Clément Meric ? Un Redskin ! |
Le 1er octobre 2012,
Alexandre Gabriac, président fondateur des JN (jeunesses nationalistes) a été
agressé dans le XIIIe arrondissement de Paris. Le conseiller
régional de Rhône-Alpes, avait notamment été aspergé de gaz lacrymogène. Le
jeudi 25 août 2011, à Grenoble, Alexandre Gabriac avait déjà été lâchement attaqué
par plusieurs petites frappes antifas cagoulées. Frappé au niveau de la nuque,
on ne pouvait exclure l’intention de tuer chez ses agresseurs il était resté
inconscient plusieurs heures.
Neuf mois plus tard, les enquêteurs sont parvenus à identifier plusieurs suspects. Ces six agresseurs présumés, membres d'un groupe de petites vermines marxistes culturelle d'ultra gauche, ont été interpellés mardi et placés en garde à vue dans le commissariat du XIIIe arrondissement de Paris. A l'issue de leur garde à vue, ils ont reçu une convocation pour comparaître en correctionnelle en février 2014 pour « violences commises en réunion ».
Neuf mois plus tard, les enquêteurs sont parvenus à identifier plusieurs suspects. Ces six agresseurs présumés, membres d'un groupe de petites vermines marxistes culturelle d'ultra gauche, ont été interpellés mardi et placés en garde à vue dans le commissariat du XIIIe arrondissement de Paris. A l'issue de leur garde à vue, ils ont reçu une convocation pour comparaître en correctionnelle en février 2014 pour « violences commises en réunion ».
Et pendant que nous y sommes, une bonne
nouvelle n’arrivant jamais seule, neuf militants « redskins antifas » mais vrais anticapitalistes
révolutionnaires, ont été interpellés samedi 14 septembre à Paris après des actes de violence inhérents à
ces mouvances de la haine d’ultra gauche, violences qu’ils ont provoquées,
alors que des manifestations dont une importante au métro Duroc, à
l’initiative du Collectif de Défense des Libertés Publiques qui avait reçu le
soutien de Riposte Laïque ainsi qu’une autre de l'association anti-avortement « Sos
tout-petits » avaient été interdites
par le duo de bolchéviques Valls Boucault, pour soi disant éviter des
affrontements entre les petits merdeux dits « antifas » ou « antifascistes »
(comme l’affirme monsieur Boucault dans un courrier à Riposte Laïque) cette
« mouvance » de gauche marxiste culturelle risquant d’organiser une
contre-manifestation.
Antifasciste ? Mais
de qui se moque monsieur Boucault ? Antifasciste, c’est là un qualificatif
que cette mouvance se donne à elle-même, et qui est contestée par ses
adversaires dont moi même. Il signifie que je serais donc « fasciste »,
moi un libertarien ? Ah ! Le gros facho, le fasciste, la bête
immonde, véritable fantasme permanent de la gauche qui pue et qui cherche ainsi
à disqualifier tous ceux qui contestent ses dogmes et les forces vives de la nation, de ceux qui
aiment leur patrie.
La manifestation des vermines rouges haineuses, qui crachent à la figure de la république avait aussi été interdite par le duo collectiviste Boucault Valls, devait être un « hommage » au redskin extrémiste Clément Méric, accidentellement décédé alors qu’il agressait Esteban Morillo à Paris en juin dernier.
Les « jeunes » nazillons d’ultra gauche, des redskins haineux
ont entre autres dégradations et violences (Déçus de ne pas trouvez les
patriotes Français qui eux respectent les décisions même iniques de la
préfecture) jeté des chaises sur des consommateurs dans un café du XVe
arrondissement, sans raison particulière que de mettre la « chienlit »
habituelle à ses groupes haineux, avant de prendre la fuite, puis d'être
interpellés et placés en garde à vue.
Comment aider Esteban Morillo.
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Alexandre Gabriac, qui prépare actuellement le recours contre la dissolution des Jeunesses Nationalistes, a accueilli la nouvelle sur Facebook avec un contentement masqué : "Tiens mes amis les grands courageux ! Et pas de dissolution pour eux ?"
RépondreSupprimerEt les noms de ces vermines?
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