Source: Collectif Tous ensemble contre le nouvel antisémitisme.: Sale juif !:
Le CTECNA accuse justement les “militants”
marxistes culturels propagateurs de la haine néo nazie de la campagne BDS d’êtres
à l’origine de la recrudescence de l’antisémitisme dans le monde.
Personnellement j'affirme ici que les mises en ligne sur Internet et les publicités antisémites faite dans la presse pour la campagne de haine antisémite notamment dans l’Alsace par les fameux 12 de Mulhouse et plus d’une centaines d’activistes antisémites dans la France entière sont à l’origine par leur discours de haine des meurtres antisémites commis sur Jonathan Sandler, 30 ans, ses deux fils Gabriel et Arieh, 4 et 5 ans, et la petite Myriam Monsonego, 7 ans, fille du directeur de l'école Ozar Hatorah de Toulouse commis par le musulman Mohamed Merah qui se revendiquait être un moudjahidine (un musulman combattant d’allah), et avoir voulu venger les enfants palestiniens. La suite ici : Après la libération de la parole raciste le passage à l'acte ! Extrait : « Aujourd’hui en Alsace, Rachid Zennir un délinquant multirécidiviste âgé de 40 ans a été condamné pour avoir proféré des immondes propos antisémites à l’encontre d’une commerçante de Vendenheim le 8 février 2012 (…) Le conseil de la Licra (Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme), souligne que le prévenu « a réitéré son discours gravement antisémite devant les gendarmes » qui l’ont auditionné trois jours après les faits. « Il leur a dit qu’il n’avait “pas l’habitude de se laisser emmerder par des colons », rappelle Maître Maud Nisand…. » (Des colons ? En Alsace ?)
Personnellement j'affirme ici que les mises en ligne sur Internet et les publicités antisémites faite dans la presse pour la campagne de haine antisémite notamment dans l’Alsace par les fameux 12 de Mulhouse et plus d’une centaines d’activistes antisémites dans la France entière sont à l’origine par leur discours de haine des meurtres antisémites commis sur Jonathan Sandler, 30 ans, ses deux fils Gabriel et Arieh, 4 et 5 ans, et la petite Myriam Monsonego, 7 ans, fille du directeur de l'école Ozar Hatorah de Toulouse commis par le musulman Mohamed Merah qui se revendiquait être un moudjahidine (un musulman combattant d’allah), et avoir voulu venger les enfants palestiniens. La suite ici : Après la libération de la parole raciste le passage à l'acte ! Extrait : « Aujourd’hui en Alsace, Rachid Zennir un délinquant multirécidiviste âgé de 40 ans a été condamné pour avoir proféré des immondes propos antisémites à l’encontre d’une commerçante de Vendenheim le 8 février 2012 (…) Le conseil de la Licra (Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme), souligne que le prévenu « a réitéré son discours gravement antisémite devant les gendarmes » qui l’ont auditionné trois jours après les faits. « Il leur a dit qu’il n’avait “pas l’habitude de se laisser emmerder par des colons », rappelle Maître Maud Nisand…. » (Des colons ? En Alsace ?)
Lorsque les musulmans
racistes et antisémites multirécidivistes Rachid Zennir et Mohamed Merah
écoutaient les slogans vociférés par les « anti sionistes » de l’AFPS,
d’EELV, du PCF, de la Dynamique présence musulmane, de la LDH, les boutes feu
de la haine complaisamment relayés par les médias marxistes culturels tels que
: « ISRAEL ASSASSIN », « ETAT D’ ISRAEL ETAT CRIMINEL » ou lorsqu’il entendait
Mahmoud Suleiman, le maire du village palestinien d’Al-Masara près de Bethléem
en visite à Paris, crier dans un supermarché CARREFOUR avec ces amis de BDS à
Évry le 4 juillet 2009 ( Voir la Vidéo
ICI !) lors d’une action de boycott : « En achetant ces produits vous
soutenez l’armée Israélienne afin qu’elle tue les enfants palestiniens, donc
vous devez boycotter Israël vous devez arrêter d’acheter des produits
Israéliens car chacun équivaut à une balle qui va tuer un enfant en Palestine.
Le poids des mots et le choc des nauséabondes idées antisémites des activistes
extrémistes de l’AFPS reçues ont fait leur travail dans l’inconscient des
musulmans Rachid Zennir et Mohamed Merah. Il est donc
« logique » que ce soit des bons « musulmans » qui aient
voulu « venger » les « enfants » palestiniens victimes bien
sur des « colons juifs » ! Voir
ici aussi.
Le 31 octobre 2009 dans
l'Alsace sous le titre « Palestine réaction au boycott des produits israéliens
» le CRIF faisait un le communiqué
suivant :
« Le Consistoire
israélite du Haut-Rhin, l’association B’nai B’rith de Colmar Mulhouse et le
Crif Alsace réagissent aux articles sur la venue d’agriculteurs palestiniens
dans la région (L’Alsace des 17 et 20 octobre 2009) : « Nous respectons ceux
qui se donnent comme objectif de défendre le peuple palestinien et son droit à
un état. Toutefois, en marge de cet événement, nous sommes choqués qu’une
manifestation humanitaire ait dérivé en un antisionisme virulent appelant au
boycott des produits israéliens — boycott qui est réprimé par l’article 225-1
modifié du code pénal français. L’intention de faire venir des agriculteurs est
louable, mais l’instrumentalisation en machine de propagande antisioniste
générant la haine ne va pas dans le sens d’une incitation à la paix et au
rapprochement. »
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COMMEMORATION POUR LE 10ème ANNIVERSAIRE DE L’ ASSASSINAT DE SEBASTIEN SELLAM
RépondreSupprimerDimanche 17 Novembre à 17 heures à Synagogue de Belleville 120 Boulevard de Belleville, 75020 Paris
Adel Amastaibou, était "satisfait de son acte" et "content s'il est mort (...) ce sale juif
La chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris a jugé mardi pénalement irresponsable Adel Amastaibou, accusé d'avoir tué son meilleur ami, Sébastien Sellam, en 2003, à coups de couteau et fourchette. Selon les experts psychiatres, le meurtrier présumé est schizophrène et il ne pouvait pas être jugé pénalement.
"C'est un scandale", a réagi Me Axel Metzker, avocat de la famille de la victime pour qui ce crime "est anti-juif". "On va se battre et on ira jusqu'à la cour européenne", a-t-il ajouté.
La famille de la victime, un jeune DJ de confession juive, avait fait appel du non-lieu conclu par un juge d'instruction en 2006.
Lors de l'audience devant la chambre de l'instruction le 2 décembre dernier pour juger de la responsabilité pénale du mis en examen, l'avocat général Bruno Revel avait requis l'irresponsabilité d'Adel Amastaibou, hospitalisé d'office depuis six ans. "Six expertises montrent la même chose. Il n'y a pas de mobile antisémite", avait plaidé l'avocat général.
Le 20 novembre 2003, Sébastien Sellam est retrouvé mort, tué à coups de fourchette et de couteau. Ce jour-là, son ami Adel Amastaibou, considéré comme schizophrène, rentre chez sa mère couvert de sang et lui dit qu'il "a tué Sébastien". Elle appelle les policiers.
Au commissariat, il reconnaît les faits et affirme "avoir entendu des voix". "Je me croyais mort et pour revivre, il fallait que je tue Sébastien", expliquera-t-il, selon les pièces du dossier. Calme et cohérent, sourire aux lèvres, il affirmera alors aux policiers qu'il est "satisfait de son acte" et "content s'il est mort (...) ce sale juif".
Le mis en examen, aujourd'hui âgé de 26 ans, avait arrêté son traitement depuis sept mois, ne se croyant "plus malade", avait-il expliqué à l'audience début décembre. Mais comme il n'arrivait pas à dormir, il prenait "du shit et de l'alcool".
Dans son box, entouré par deux infirmiers, Adel Amastaibou, cheveu ras et petite moustache, avait déclaré ne "se souvenir de rien". "Sébastien était quelqu'un de bien, mon meilleur ami", avait-il affirmé.
Adel Amastaibou était déjà soigné depuis trois ans au moment du meurtre. Auparavant, il avait déjà blessé ses parents à coups de couteau "parce qu'il croyait que c'était des diables", avait attaqué un rabbin et s'était jeté une fois par la fenêtre du deuxième étage. Il s'était retrouvé à deux reprises en hôpital psychiatrique.