mercredi 8 juillet 2015

Moi ? C’est Michel !




Dans le torche cul marxiste culturel et immigrationniste d’extrême gauche Libération ici, un pisse copie se disant « journaliste » et « écrivain », né au Maroc, Abdel-Illah Salhi nous la Sorbonne ; pardon nous la sort bonne en disant: « Moi aussi je m’appelle Salhi ». Comme beaucoup : voir ici.


Monsieur Salhi vient nous dire qu’il serait peut-être temps de conjuguer autrement la fameuse théorie du «grand remplacement», chère à Renaud Camus l’achrien, à Éric Zemmour le nerf_ulnaire; Je soupçonne fortement monsieur Salhi d’être d’accord avec Youssoupha Mabik, né lui aussi dans un magnifique pays étranger le Congo ou coule des fleuves de vin et de miel, lorsque celui-ci éructe la lippe baveuse et désobligeante : « À force de juger nos gueules, les gens le savent, qu'à la télé souvent les chroniqueurs diabolisent les banlieusards, chaque fois que ça pète on dit qu'c'est nous, j'mets un billet sur la tête de celui qui fera taire ce con d'Éric Zemmour ». C’est ben vrai ça, et monsieur Salhi qui écrit dans un canard d’ultra gauche marxiste culturel, né lui aussi dans un très beau pays étranger en l’occurrence le Maroc, le premier importateur de drogue en Europe, sait bien qu’il n’est finalement qu’une petite partie d’un « peuple » révolutionnaire de substitution et qu’il conviendrais bien qu’il se rende compte comme monsieur Zemour, qui avait compris lui, que le progressisme antiraciste n’était que le successeur du communisme, avec les mêmes méthodes totalitaires mises au point par Willi Münzenberg le chef du Komintern dans les années 1930, ce que l’on appelle aujourd’hui le marxisme culturel. Sidi Salhi al Katib, n’oublie pas bien sur en bon petit islamomarxiste ou marxiste culturel la famille Le Pen, certainement responsables ( mais pas coupables ?) avec les patriotes des attentats mahométans qui endeuillent notre nation. Ah ! Les méchants Lepen ! Les vilains Le Pen ! Voila le mal !

Et les vilains républicains ? Asma et Remenber you Sidi Abdel-Illah Salhi; le 19 juin 1991, au cours d'un dîner-débat du Rassemblement Pour la République aujourd’hui les Républicains, monsieur le président Français Chirac, prononce le lendemain de la pelle, pardon l’appel, le discours qui contient l'expression le « bruit et l'odeur ». En voici un extrait :
« Notre problème, ce n'est pas les étrangers, c'est qu'il y a overdose. C'est peut-être vrai qu'il n'y a pas plus d'étrangers qu'avant la guerre, mais ce n'est pas les mêmes et ça fait une différence. Il est certain que d'avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugais travaillant chez nous, ça pose moins de problèmes que d'avoir des musulmans et des Noirs […] Comment voulez-vous que le travailleur français qui habite à la Goutte-d'or où je me promenais avec Ali Juppé il y a trois ou quatre jours, qui travaille avec sa femme et qui, ensemble, gagnent environ 15 000 francs, et qui voit sur le palier à côté de son HLM, entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses, et une vingtaine de gosses, et qui gagne 50 000 francs de prestations sociales, sans naturellement travailler ! Si vous ajoutez à cela le bruit et l'odeur, eh bien le travailleur français sur le palier devient fou. Et il faut le comprendre, si vous y étiez, vous auriez la même réaction. Et ce n'est pas être raciste que de dire cela. » Ça y est on l’a, le bruit des bombes et les odeurs puantes marxistes culturelles multiculturalistes « allah » con de journaleux aux patronymes à coucher dehors avec un billet de logement de Libération ou comme il dit : « un nom à consonance arabo-musulmane », bien dignes de celles d'un Willi Münzenberg chef du Komintern dans les années 1930, qui voulait « détruire la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue ». Dis, tu la sent bien la grosse odeur sidi Salhi ?
Il y a déjà 25 ans presque jour pour jour que Chirac en plus du très juste « bruit et odeurs » disait et ça on l’a oublié : « Il faut que ceux qui nous gouvernent prennent conscience qu'il y a un problème de l'immigration, et que si l'on ne le traite pas­ et, les socialistes étant ce qu'ils sont, ils ne le traiteront que sous la pression de l'opinion publique, les choses empireront au profit de ceux qui sont les plus extrémistes ».
Les plus « extrémistes » disait en 1991 Ben Chi (ancien vendeur de l’Huma Dimanche) avec Ali Jupé, mais non, c’est juste des bons musulmans bien de chez nous !


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