Le gaesaekki (la pire des injures en Coréen pour fils
de chien bâtard, pour Kim Jung-un on pourrait rajouter petit
fils) Kim Jung-un, grand leader et chef suprême de la République
populaire démocratique de Corée parlerait
Français, c’est très bien; ainsi il comprendra qu’il y a dans le monde des gens
qui ne supporte plus sa tronche de communiste et de grand criminel contre
l’humanité marxiste en surcharge pondérale, de suppôt de la haine rouge
stalinienne et de répugnant scélérat collectiviste. Il a bien mérité ses autres
surnoms de byeongsin (crétin ou bouffon) de byeontae manghalnom (pervers
sodomite) d’après de mauvaises langues de dissidents évadés de l’enfer de
la
seule dynastie communiste de l'Histoire.
Mais que savez-vous vraiment sur ce régime de
Pyongyang ? La plupart des journalopes médiacrasseux et marxistes culturels
occulte le caractère intrinsèquement communiste et marxiste de ce régime totalitaire
et criminel contre l’humanité.
Tout a commencé en février 1945 à Yalta, station
balnéaire sur la mer de Crimée. Il y a un parfum de victoire dans l’air à ce
sommet réunissant l’alcoolique Britannique Winston Churchill, l’Américain
Franklin D. Roosevelt et le grand criminel contre l’humanité le soviétique bolchévique
Joseph Staline. Même s’ils ne se sont pas partagé le monde comme le veut la
légende, il y a eu des décisions lors de ce sommet destiné à préparer le monde
de l’après-guerre. L’une
d’elle, à laquelle ils n’ont pas consacré beaucoup de temps, a été de diviser
la péninsule coréenne entre deux zones d’influence à la défaite japonaise,
l’une américaine au sud du 38e parallèle, l’autre soviétique et chinoise au
Nord. Même
si, à Yalta, Winston Churchill aurait déclaré qu’il n’avait «jamais entendu parler de ce foutu endroit»
(«never heard of the bloody place», cité
par Jasper Becker dans «Rogue Regime»).
Cette division devait être provisoire, mais 68 ans plus tard, les Coréens en
paient toujours le prix. Le «prix»
étant nettement plus élevé au Nord.
C’est le grand criminel contre l’humanité Staline et son service secret, le sinistre NKVD, qui prennent les choses en main à partir de 1945 pour bâtir de toutes pièces un régime communiste au Nord, comme ils le feront ailleurs. Leur choix se porte sur Kim Il-sung, un obscur militant communiste coréen ayant grandi en Chine où il était arrivé à l’âge de sept ans, parlant mal le coréen, inconnu dans son pays, mais dont ils feront, par un subtil mélange de force et de propagande, un dieu vivant. «Nous l’avons fait à partir de zéro», se vante même Leonid Vassin, agent du NKVD, cité par Jasper Becker, qui a écrit une histoire du régime des Kim : «Quand Kim est arrivé, nous avons remarqué qu’il ne parlait pas couramment coréen», se souvient Vassin. Le 23 août [1945], Vassin explique qu’il a reçu l’ordre de lui donner un costume civil, et lui a donné trois jours pour apprendre un discours qui avait été écrit pour lui. Ce discours a été prononcé devant le premier congrès du parti organisé par des vétérans communistes, qui avaient été libérés à la suite de la défaite japonaise. Comme Kim n’avait aucune légitimité ni soutien, le NKVD a préféré lui créer son propre parti, le Parti des travailleurs. Très vite, ils ont contraint les autres partis à fusionner avec lui et brouillé les pistes sur son origine». Jasper Becker raconte comment, «dès 1949, la République démocratique et populaire de Corée était devenue une dictature communiste stalinienne à part entière, avec ses camps de travail, ses purges, ses détentions arbitraires, et son culte de la personnalité. Kim a érigé la première statue à son effigie alors qu’il n’avait pas 40 ans, et commença à se faire appeler “le Grand Leader”, ou Suryong en coréen». La guerre de Corée (1950-1953) est le premier conflit de la «guerre froide» Est-Ouest. Selon les archives soviétiques découvertes à Moscou après la fin de l’URSS, c’est Kim Il-sung qui a lancé l’idée d’attaquer le Sud, et a réussi à en convaincre Staline. Le leader soviétique, alors au faîte de sa gloire et de sa puissance, a poussé la Chine de Mao, alors dans son orbite, à aider la Corée du Nord. Près d’un million de Chinois, membres d’une armée de «volontaires», s’engageront dans cette guerre de trois ans, pensant remporter une victoire facile sur une Corée du Sud à laquelle les Etats-Unis semblaient alors attacher peu d’importance. Ce fut une erreur de calcul, et l’armée chinoise subit de très lourdes pertes. Parmi les victimes, le propre fils de Mao Zedong, Mao Anying, qui s’était engagé parmi les «volontaires» commis d’office. Ce prix du sang crée un lien particulier entre les Chinois et la Corée du Nord. En 2003, pour le cinquantième anniversaire de la fin de la guerre, une grande exposition au musée militaire de Pékin avait attiré une foule immense, souvent des familles guidées par des anciens combattants. Et c’est de son exil aux Etats-Unis qu’un écrivain chinois, Ha Jin, a raconté pour la première fois, en s’inspirant de l’histoire de son père, le sort de ces milliers de prisonniers de guerre chinois tombés aux mains des Américains, et que Mao ne voulait plus revoir vivants puisqu’ils avaient été capturés au lieu de se sacrifier au combat. De même qu’on ne franchissait pas, avant la chute du mur, le point de passage de Check Point Charlie, à Berlin, entre est communiste et ouest libre, sans avoir une boule à l’estomac, il faut avoir visité Panmunjon, dans la zone démilitarisée entre les deux Corées, pour comprendre la froide hostilité entre les deux mondes. La grande attraction touristique est évidemment la minuscule baraque au toit en tôle ondulée, séparée en deux par la ligne de démarcation de la fin de la guerre en 1953. On y pénètre en compagnie d’un soldat (américain si l’on vient du Sud, nord-coréen si on vient du Nord), à la condition de se tenir de son côté de la ligne. Au bout de la pièce, un soldat de l’autre bord surveille la scène, et des micros enregistrent les explications données par les guides militaires pour qu’aucune incitation à la guerre ne soit prononcée... La zone démilitarisée porte mal son nom, puisque c’est, de fait, la zone la plus militarisée au monde, se disputant ce titre avec la frontière indo-pakistanaise... La guerre est aussi celle de la propagande. Les Nord-Coréens y construisent un mât géant auquel est accroché un drapeau, dont la taille lui vaudrait une entrée au Guiness Book of Records si Pyongyang en faisait la demande... Et les slogans lancés par haut-parleurs dans les moments de tension font partie des grands classiques de la «guerre psychologique». A l’heure nucléaire, toutefois, la DMZ perd de son enjeu stratégique. Si la guerre devait un jour éclater, elle passerait sans doute par les airs, à coups de missiles, avec ou sans tête nucléaire. Et la ligne peinte au travers de la baraque de Panmunjon perdrait aussitôt de son importance...
C’est le grand criminel contre l’humanité Staline et son service secret, le sinistre NKVD, qui prennent les choses en main à partir de 1945 pour bâtir de toutes pièces un régime communiste au Nord, comme ils le feront ailleurs. Leur choix se porte sur Kim Il-sung, un obscur militant communiste coréen ayant grandi en Chine où il était arrivé à l’âge de sept ans, parlant mal le coréen, inconnu dans son pays, mais dont ils feront, par un subtil mélange de force et de propagande, un dieu vivant. «Nous l’avons fait à partir de zéro», se vante même Leonid Vassin, agent du NKVD, cité par Jasper Becker, qui a écrit une histoire du régime des Kim : «Quand Kim est arrivé, nous avons remarqué qu’il ne parlait pas couramment coréen», se souvient Vassin. Le 23 août [1945], Vassin explique qu’il a reçu l’ordre de lui donner un costume civil, et lui a donné trois jours pour apprendre un discours qui avait été écrit pour lui. Ce discours a été prononcé devant le premier congrès du parti organisé par des vétérans communistes, qui avaient été libérés à la suite de la défaite japonaise. Comme Kim n’avait aucune légitimité ni soutien, le NKVD a préféré lui créer son propre parti, le Parti des travailleurs. Très vite, ils ont contraint les autres partis à fusionner avec lui et brouillé les pistes sur son origine». Jasper Becker raconte comment, «dès 1949, la République démocratique et populaire de Corée était devenue une dictature communiste stalinienne à part entière, avec ses camps de travail, ses purges, ses détentions arbitraires, et son culte de la personnalité. Kim a érigé la première statue à son effigie alors qu’il n’avait pas 40 ans, et commença à se faire appeler “le Grand Leader”, ou Suryong en coréen». La guerre de Corée (1950-1953) est le premier conflit de la «guerre froide» Est-Ouest. Selon les archives soviétiques découvertes à Moscou après la fin de l’URSS, c’est Kim Il-sung qui a lancé l’idée d’attaquer le Sud, et a réussi à en convaincre Staline. Le leader soviétique, alors au faîte de sa gloire et de sa puissance, a poussé la Chine de Mao, alors dans son orbite, à aider la Corée du Nord. Près d’un million de Chinois, membres d’une armée de «volontaires», s’engageront dans cette guerre de trois ans, pensant remporter une victoire facile sur une Corée du Sud à laquelle les Etats-Unis semblaient alors attacher peu d’importance. Ce fut une erreur de calcul, et l’armée chinoise subit de très lourdes pertes. Parmi les victimes, le propre fils de Mao Zedong, Mao Anying, qui s’était engagé parmi les «volontaires» commis d’office. Ce prix du sang crée un lien particulier entre les Chinois et la Corée du Nord. En 2003, pour le cinquantième anniversaire de la fin de la guerre, une grande exposition au musée militaire de Pékin avait attiré une foule immense, souvent des familles guidées par des anciens combattants. Et c’est de son exil aux Etats-Unis qu’un écrivain chinois, Ha Jin, a raconté pour la première fois, en s’inspirant de l’histoire de son père, le sort de ces milliers de prisonniers de guerre chinois tombés aux mains des Américains, et que Mao ne voulait plus revoir vivants puisqu’ils avaient été capturés au lieu de se sacrifier au combat. De même qu’on ne franchissait pas, avant la chute du mur, le point de passage de Check Point Charlie, à Berlin, entre est communiste et ouest libre, sans avoir une boule à l’estomac, il faut avoir visité Panmunjon, dans la zone démilitarisée entre les deux Corées, pour comprendre la froide hostilité entre les deux mondes. La grande attraction touristique est évidemment la minuscule baraque au toit en tôle ondulée, séparée en deux par la ligne de démarcation de la fin de la guerre en 1953. On y pénètre en compagnie d’un soldat (américain si l’on vient du Sud, nord-coréen si on vient du Nord), à la condition de se tenir de son côté de la ligne. Au bout de la pièce, un soldat de l’autre bord surveille la scène, et des micros enregistrent les explications données par les guides militaires pour qu’aucune incitation à la guerre ne soit prononcée... La zone démilitarisée porte mal son nom, puisque c’est, de fait, la zone la plus militarisée au monde, se disputant ce titre avec la frontière indo-pakistanaise... La guerre est aussi celle de la propagande. Les Nord-Coréens y construisent un mât géant auquel est accroché un drapeau, dont la taille lui vaudrait une entrée au Guiness Book of Records si Pyongyang en faisait la demande... Et les slogans lancés par haut-parleurs dans les moments de tension font partie des grands classiques de la «guerre psychologique». A l’heure nucléaire, toutefois, la DMZ perd de son enjeu stratégique. Si la guerre devait un jour éclater, elle passerait sans doute par les airs, à coups de missiles, avec ou sans tête nucléaire. Et la ligne peinte au travers de la baraque de Panmunjon perdrait aussitôt de son importance...
Les journalistes
accrédités qui ont eu la chance d’une visite en Corée du Nord, ont reçus un
livre précieux : le «Grand guide des
journalistes», un ouvrage traduit en français, en forme de petit livre
rouge, qui se révèle d’une lecture fascinante, dès l’avant-propos :
«Notre
presse écrite et parlée a atteint à l’heure actuelle son plein épanouissement
et nos journalistes déploient tout leur talent au service du Parti et de la révolution.
Les progrès qui se constatent chaque jour dans notre presse et le développement
des qualités humaines et professionnelles des journalistes ainsi que les
émouvantes histoires d’affection d’homme à homme seraient inconcevables sans la
direction clairvoyante et la sollicitude immense du camarade Kim Jong-il, dirigeant
bien-aimé de notre peuple. Aimant la compagnie des journalistes, le camarade
Kim Jong-il s’applique à régler les problèmes grands et petits qu’ils
rencontrent dans leur travail et leur permet, en leur fournissant de claires
orientations, de produire des textes et de réaliser des publications de valeur
réelle, tout à la fois conformes aux intentions du Parti et à l’attente du
public. En prenant les journalistes sous sa généreuse protection, qui s’étend
jusqu’à leur vie quotidienne, il les aide à mieux répondre à la confiance du
Parti. Sous sa brillante direction, grâce à sa vive intelligence et à
l’affection dont il entoure les travailleurs de la presse, celle-ci connaît
maintenant un essor continu très remarquable».
Dès le premier chapitre, intitulé «Travaillons à notre manière», le guide précise :
«Tous les jours, à l’aube, dans le
pays du matin calme qu’est redevenue la Corée du Djoutché [l’idéologie
nord-coréenne. Le juche est une perversion autocratique de l’idéologie marxiste
développée par le fils de chien Kim Il-sung et qui fonde le régime de la
République Populaire Démocratique de Corée. Elle guide les activités du Parti
du Travail de Corée, dominant en Corée du Nord, et du Front démocratique
national anti-impérialiste en Corée du Sud et a vocation à diriger le destin de
chaque citoyen.
L'idéologie du juche est accompagnée par une propagande
marxiste intensive, dont l'un des aspects les plus saillants est un culte de la
personnalité autour de la «dynastie Kim»,
la radio diffuse d’abord la merveilleuse mélodie du «Chant
du Général Kim Il-sung» (sorte
de Hors
Wessel Lead à la mode niakoué), immortel hymne révolutionnaire. En l’entendant, notre peuple commence
sa journée, rempli de la fierté d’avoir pour Leader le grand camarade Kim
Il-sung et de vivre en Corée. Le choix de cette mélodie pour commencer les
émissions radiophoniques du jour est un témoignage de la volonté du camarade
Kim Jong-il, Dirigeant bien-aimé, de mettre en valeur cette voix du Djoutché
qui accomplit la révolution sous la conduite de son grand Leader. La musique
signalant le début des émissions d’une station de radio est un des aspects
importants de celles-ci. C’est en effet un facteur déterminant de leur
caractère. Auparavant, la mélodie du Chant de printemps qui, par son lyrisme,
invitait à méditer, commençait ces émissions. Le camarade Kim Jong-il, qui
considère tous les problèmes de façon créatrice, saisissant parfaitement les
exigences de l’évolution de la réalité et les aspirations de notre peuple, a fait
remplacer la mélodie du Chant de printemps par celle du Chant du Général Kim
Il-sung comme signal d’annonce de nos émissions radiophoniques».
Des leçons de professionnalisme qui restent d’actualité
pour tous les vrais journalopes du monde entier. voir
ici : Au secours Pol Pot revient. De nombreuses personnes
contestent que le régime de Corée du nord soit un régime communiste arguant
que la Corée du Nord est une dictature qui n’a rien à voir avec le communisme
tel que le concevait Karl Marx. Selon Pierre Laurent, secrétaire national du
Parti communiste français, «le régime
nord-coréen n’a rien à voir, ni de près ni de loin, avec le communisme et
l’idée communiste. (…) Ce pays est une dictature qui affame son peuple. (…)
Arrêtez d’appeler ce régime communiste parce qu’il ne l’est pas. Dites haut et
fort, comme je le dis, que c’est une insulte aux communistes de dire que le
régime nord-coréen a à voir avec ça».
Le drapeau rouge avec la faucille et le marteau c'est quoi ? |
Donnons pour une fois partiellement raison à monsieur
au grand leader du fasciste rouge ou Parti Communiste en France et néanmoins camarade Laurent
du Parti des travailleurs
révolutionnaires Français, effectivement le régime de la République Populaire Démocratique
de Corée dit aussi Corée du Nord n’est pas encore totalement communiste bien
qu’il y travaille sérieusement. Selon l'article premier de la Constitution de
1972 de la Corée du Nord, révisée en avril 1992, en septembre 1998 et en 1999, «la République populaire démocratique de
Corée est un État socialiste souverain qui représente les intérêts de tout le
peuple coréen». Etat «socialiste» ;
tiens c’est comme chez les cocos alors ? Et puis cette soi-disant
République Populaire et Démocratique ça vous a un de ces petits airs de
dictature marxiste criminelle contre l’humanité s’inscrivant parfaitement dans
la ligne des partis communistes «luttant»
pour l’édification du socialisme ! Après Lénine, Staline, Mao, Pol Pot,
Robert Mugabe (1), Castro, qui ont fait avec leurs complices Kim Il-sung
et Kim Jung-il plus de 150 000 000 de victimes sur la planète, il
manque encore quelques centaines de milliers de morts dans les camps de
concentration et d’extermination et dans les chambres à gaz homicides à Kim
Yong-un pour devenir un vrai communiste génocidaire comme son père et son grand
père formés par les services secrets communistes du NKVD soviétique.
Il est vrai aussi que l’idéologie marxiste qui anime ce
pays est assez originale elle s’appelle le Juche. Le Juche est l’idéologie inventée
par les communistes soviétiques et développée par l’ancien président de la
Corée du Nord, Kim Il-sung. C’est la base du régime de la République populaire dite
«démocratique» de ce pays. Elle guide
les activités du Parti du Travail de Corée, seul et unique parti politique
représenté en Corée du Nord (Comme le NSDAP de monsieur Adolph Hitler :
Parti Social Nationaliste des Travailleurs Allemands). Cette idéologie copiée stricto
sensus sur le marxisme, règle sans qu’il le sache (certains s’en doutent un
peu), le destin de chaque citoyen. Au lendemain de la Guerre de Corée
entre 1950 et 1953, Kim Il-sung commence à bâtir sa puissante dictature
marxiste avec l’aide du NKVD Soviétique. Il élimine démocratiquement un à un
les cadres du Parti du Travail Coréen et instaure peu à peu l’idéologie «Juche». Le dictateur marxiste s’inspire
des nauséabondes idées marxistes-léninistes qui prônent une société sans
classes. Le Juche repose également sur le principe d'indépendance politique,
d'autosuffisance économique et d'autonomie militaire. Cette idéologie a pour
but la réunification avec la Corée du Sud, selon le discours officiel du Nord.
Le pays éprouve d’énormes difficultés pour l'autosuffisance alimentaire.
L’autonomie militaire est par contre bien assurée, tandis que des pourparlers
entre le Nord et le Sud continuent depuis de nombreuses années sans qu'aucun
accord ne soit trouvé. Bien que l'idéologie soit inspirée du communisme et que
le régime suit tous ses principes il en rajoute dans la turpitude communiste. On
sait que ce pays pacifiste, démocrate et progressiste fait fonctionner
de très belles chambres à gaz homicides dans son plus grand camp de
concentration, le camp 22 et dans bien d’autres. Des transfuges ont transmis
des documents qui démontrent l’existence d’«expériences»
pratiquées à l’aide des chambres à gaz. Un document tamponné «Top secret» et «une lettre de transfert» datés de février 2002 se réfère à Lin
Hun-hwa, 39 ans : «la susdite personne
est transférée au camp ... numéro 22 dans le but d’expérimentation humaine de
gaz liquide pour des armes chimiques», ça doit être ça le communisme à
visage humain ! Kim Il-sung le grand leader et grand papa du gros tas Kim
Yung Un avait organisé la société de manière à en avoir le contrôle total:
chaque Nord-coréen est recensé, puis classé dans une des trois grandes classes
de la société. La première est la classe des «masses du noyau central». Elle est constituée d’un ramassis d’apparatchiks rampants et
de bureaucrates bolcheviques dégénérés dits héros du peuple, de leurs familles,
vivant dans la capitale. La seconde classe sociale est celle des «masses extérieures au noyau» regroupant
les personnes sans intérêt particulier pour le régime, des esclaves: paysans,
ouvriers… c’est l’appartenance sociale
la plus répandue en Corée du Nord. La dernière classe, les «masses mélangées» regroupe les personnes exclues comme les
réprouvés de campagne politique ou encore les familles de ceux qui ont fui le
pays. Ces exclus, véritables sous humanité n’ont pas le droit d’occuper
Pyongyang. L’idéologie Juche peut être qualifiée de « nouvelle idéologie marxiste révolutionnaire originale», d’où
découle la politique de la famille Kim, qui donne la priorité à l’armée.
L’idéologie Juche est un communisme canada Dry, ça a les symboles du communisme
(Drapeau rouge, étoile rouge, faucille et marteau etc.), le gout du communisme
le plus avarié et criminel contre l’humanité avec ses génocides ses camps
d’extermination et ses chambres à gaz homicides, son nom de
république Populaire et Démocratique sonne comme un nom communiste et les cocos
Français disent : «Non ce n’est pas
du communisme», mais bon, ça y ressemble drôlement non ?
Vous voulez encore une preuve que la Corée du Nord est
communiste ? La RPDCN est antisémite comme les communistes et les Nazis,
deux faces de la même pièce. Pour
la Corée du Nord : «Israël, c’est un
cancer au Moyen-Orient. Israël trouble la paix et la sécurité pour dénoncer les
autres pays de la région». Israël pense avec justesse que, «la Corée du Nord est le pays le plus
détestable au Monde avec l’Iran».
Dans
notre belle république il existe un parti Juchéen
ce parti progressiste, démocratique, pacifiste et tolérant qui arbore
ostensiblement le drapeau rouge frappé des deux vieux outils rouillés la
faucille et le marteau se dit être le PCJF (parti communiste Juchéen de France)
aussi appelé PCJ (parti communiste du Juche) qui serait un parti politique
français pro-Corée du nord dont le premier congrès aurait eu lieu en mai 2009.
Vous noterez bien que ce Parti se dit «communiste» !
Les premières traces d’activités de ce petit groupe de débiles profonds remontent
à octobre 2006. Suite à l’essai nucléaire effectué en RPD de Corée, des
étudiants progressistes (ce sont eux qui le disent) décident de tenir des
réunions hebdomadaires dans leur université et dans une cabine téléphonique afin
d’étudier les merveilleuses idées criminelles
contre l’humanité du Juche. Ce groupe informel (et à l’effectif très réduit de
deux abrutis) se structure peu à peu et prendra en juillet 2007 le nom de CERJF
(Centre des études révolutionnaires du Juche en France). Toujours en 2007, la
revue d’études théorique «Notre Juche» est
fondé. Fin 2008, lors de son IIème congrès, le CERJF vote à l’unanimité une
motion initiant un processus de création d’un nouveau parti communiste (vous
noterez le mot «communiste» n’en
déplaise au camarade Laurent) ayant pour idéologie principale les idées du
Juche de Kim Il-sung. De nombreuses organisations telles que «la longue marche» (maoïstes) et les «Jeunesses Juchéennes de France»
répondent à cet appel. Des militants issus de l’aile marxiste-léniniste du PCF
rejoignent aussi le mouvement qui se concrétisera lors du congrès de fondation
de mai 2009 qui fait du PCJF le premier parti politique français pro-coréen. Le
beau PCJF tellement progressiste comme le parti de monsieur Laurent, revendique
une politique anti-électoraliste et se démarque cependant des partis
révisionnistes type NPA, PCF et PG qui vivent du crétinisme parlementaire. La
prise de pouvoir n’est possible, selon les textes fondateurs du parti, que par
la guerre prolétaire qui vise à renverser la bourgeoisie fasciste du pouvoir et
à établir le communisme sous la bannière du nouveau parti communiste. Le PCJF soutient
la RPDC en tant que nation souveraine disposant des mêmes droits que les
autres. Le PCJF salue la volonté de fer du peuple coréen qui s’est donné
l’ambitieux objectif de bâtir pour 2012 (année du centenaire de Kim Il-sung)
une société socialiste puissante sous la bannière des idées du Juche et de la magnifique
politique de Kim-Song-un. Le PCJF ne prétend pas vouloir imposer les idées du
Juche en France ; les idées du Juche en tant que tels ne sont faites que pour
être appliquées en Corée de par leur spécificités. Cependant, tous les pays
sont invités à s’inspirer de cette idéologie universelle l’adapter aux
contextes locaux. Le PCJF se donne ainsi pour mission de diffuser les idées
humanistes et progressistes du Juche en France, et ensuite d’organiser une
grande consultation populaire qui mettra sur pieds un programme politique
inspiré des idées du Juche.
Exactement comme le Parti de Gauche de monsieur
Mélenchon dit aujourd’hui «insoumis»
qui met en avant l’idée magnifique et démocratique de «l’humain d’abord» le très grand leader de la RDC le secrétaire général
Kim Jong-il aurait dit: «La philosophie
du Juche c'est
une philosophie axée sur l'homme car dans sa formulation tout comme dans
sa systématisation, elle met l'accent sur
l'espèce humaine. La philosophie axée sur l'homme dont nous
parlons met l'être humain au centre du
problème philosophique fondamental et
en fait un levier en ce qui
concerne la vision, la conception et la position qu'il faut adopter à l'égard
de l'univers». Mon Dieu, c’est confus mais c’est beau comme du Lénine ou du
Mao, si ce n’est du Pol Pot ! Mais attention le premier qui rigole gagne
un stage nature et découverte du Socialisme juche au camp 22 à côté de
Pyongyang.
Comme monsieur Mélenchon qui avait pour slogan «L’Humain d’abord» du programme du Front
de Gauche pour l’élection présidentielle puis les élections législatives de
2012 le grand leader et Secrétaire Général du Parti Kim Jong-il a dit: «La
philosophie du Juche est une philosophie axée sur l'homme car dans sa formulation tout comme dans sa systématisation, elle met
l'accent sur l'espèce humaine. La
philosophie axée sur l'homme dont nous parlons met l'être humain au centre du
problème philosophique fondamental et en fait un levier en ce qui concerne la
vision, la conception et la position qu'il faut adopter à l'égard de
l'univers». Du Mélenchon, du Pierre Laurent, du Pol Pot du Mao dans le
texte !
Mais le saviez-vous ? L’armée française s’est battue à
deux reprises sur le sol coréen.
L’intervention la plus connue, quoique négligée par
l’histoire, est bien sûr l’envoi d’un contingent français d’un millier d’hommes
dans le cadre de la force des Nations Unies (en fait une armée sous
commandement américain) pendant la guerre de Corée, de 1950 à 1953. Un navire de
guerre français a également participé aux opérations. Mais, fait totalement
occulté par les livres d’histoire, on sait moins que l’armée française a mené
une expédition punitive contre le Royaume de Corée en 1866, en représailles
contre la mort de plusieurs missionnaires catholiques français et
l’extermination de milliers de fidèles coréens convertis. A l’époque, la Corée
est surnommée le «royaume ermite», et
cette expédition française, conduite par le contre-amiral Pierre-Gustave Roze,
est la première d’une puissance occidentale dans ce pays. L’opération navale
qui remonte jusqu’aux portes de Séoul, se termine de manière non concluante.
Les Français estiment avoir «lavé la
mort» de leurs missionnaires, mais les Coréens estiment avoir opposé une
telle résistance que l’envahisseur n’a pas insisté et s’est retiré...
L’épilogue de cette opération attendra... 2010. Car, au cours de leur razzia,
les militaires français firent main basse sur 297 manuscrits royaux coréens
anciens, déposés ensuite à la Bibliothèque nationale de France et versés au
patrimoine national inaliénable de par la loi française. Aux demandes répétées
de restitution de ces précieux manuscrits par la Corée du Sud, la France opposa
une fin de non-recevoir, jusqu’au jour où les enjeux économiques ont commencé à
être importants avec une Corée du Sud devenue puissance industrielle. François
Mitterrand avait promis le retour, mais c’est Nicolas Sarkozy qui l’a fait,
sans violer la loi puisqu’il a conclu en 2010 un accord de prêt renouvelable
tous les cinq ans, donnant ainsi satisfaction aux Coréens, au grand dam des
gardiens des archives nationales qui redoutent un précédent fâcheux...
L'organe
de propagande marxiste l’Inhumanité
pardon, l’Humanité nous informe que malgré
les sanctions, le régime de Pyongyang a procédé à un nouvel essai nucléaire le
3 septembre 2017. Pyongyang reste en quête de reconnaissance et les derniers
développements prouvent que les dirigeants nord-coréens feront tout pour y
parvenir. Sur le plan de la dissuasion d’abord, avec le succès revendiqué,
hier, d’un sixième essai nucléaire. Après les tirs de missiles balistiques qui
ont ponctué l’été, la République populaire démocratique de Corée (RPDC, Corée
du Nord) affirmait avoir mis au point une bombe H (à hydrogène, ou
thermonucléaire) pouvant être installée sur le nouvel engin intercontinental.
Si les estimations des capacités militaires réelles du pays varient, reste que les
bombes à hydrogène sont beaucoup plus puissantes que leurs homologues
atomiques. Ce sixième essai marque un nouveau pas dans le programme
nord-coréen. La puissance de la secousse détectée était de cinq à six fois
supérieure à celle du dernier essai de 10 kilotonnes, daté de septembre 2016.
Selon le Centre chinois de surveillance sismologique, un séisme d’une magnitude
4,6 a secoué le nord de la péninsule. Cette bombe, « d’une puissance sans précédent », devrait permettre au pays « d’atteindre le but final, qui est de
parachever la force nucléaire
de l’État », a
expliqué Ri Chun-hee, la présentatrice
septuagénaire de la télévision publique. Dans une déclaration sibylline, le
président Trump s’est contenté de sous-entendre que seule une solution militaire
trouverait grâce à ses yeux : «Le discours d’apaisement avec la Corée du Nord ne fonctionnera pas, ils ne
comprennent qu’une chose». Le perfectionnement de l’arme nucléaire ne serait désormais qu’une question de mois, même si la capacité nord-coréenne à miniaturiser une tête
nucléaire pour la monter sur un missile et
permettre à ce dernier d’entrer dans l’atmosphère est difficile à évaluer.
Il y a un an, la Corée du Nord demandait aux États-Unis à être accueillie dans le club des puissances nucléaires. Et donc d’être traitée comme telle. Le président sud-coréen est favorable à la reconnaissance implicite du statut de puissance nucléaire à son voisin, afin de mettre fin à l’escalade et de reprendre les pourparlers. En combattant Pékin de manière détournée, Washington a empêché toute solution. Mais Pyongyang n’a jamais voulu des négociations multilatérales et des discussions à six (États-Unis, Corée du Nord, Corée du Sud, Chine, Japon et Russie). Le dirigeant nord-coréen, Kim Jong-un, souhaite avant tout parler d’égal à égal avec Donald Trump. L’inefficacité flagrante des sept trains de sanctions oblige à un changement de méthode. De plus, la menace de tirs d’avertissement à proximité de l’île de Guam, un territoire américain dans l’océan Pacifique, et le survol, la semaine dernière, d’un missile de portée intermédiaire au-dessus du Japon prouvent que la Corée du Nord a la maîtrise de l’agenda. On peut d’ailleurs douter de son intention réelle de viser Guam. Sauf à mener isolément les opérations, et à s’aliéner son opinion publique, le Japon de Shinzo Abe n’a d’autre choix, pour l’heure, que de retourner à la table des négociations. D’autant que les multiples revirements stratégiques de Washington pourraient au final pousser Séoul et Tokyo à régler seuls le problème, comme l’avait déjà suggéré Donald Trump lors de la campagne électorale. Malgré l’escalade militaire, le président américain a lui-même été contraint de faire machine arrière, ayant fait la démonstration de son impréparation. Oublié pour un temps, donc, la promesse «du feu et de la fureur», même si, jeudi dernier, deux bombardiers stratégiques B-1B et quatre chasseurs furtifs F-35B américains, conjointement avec des appareils sud-coréens, ont été déployés afin de maintenir la pression sur Pyongyang. Le secrétaire à la Défense, James Mattis, et le secrétaire d’État, Rex Tillerson, ont donné un premier signe dans le Wall Street Journal, en assurant que les États-Unis «ne visaient pas» un renversement de régime à Pyongyang ou la réunification de la péninsule par une intervention armée. L’ancien conseiller stratégique de Donald Trump, Steve Bannon, affirmait enfin, mi-août, qu’«aucune solution militaire (ne pouvait répondre) à la menace nord-coréenne», faisant valoir le danger qui pèserait sur les Sud-Coréens avec le déclenchement d’un conflit ouvert. «(Les Nord-Coréens) nous ont eu», ajoutait le stratège américain. L’instrumentalisation de la menace nord-coréenne comme moyen de mener une guerre commerciale à la Chine a également fait preuve de ses limites. En combattant Pékin de manière détournée, Washington a empêché toute solution. D’autant que la capacité de la Chine à peser sur la Corée du Nord est surestimée. Il est donc urgent de sortir de ce tête-à-tête sino-américain. De fait, jusqu’alors, chaque résolution du Conseil de sécurité des Nations unies faisait l’objet d’une discussion préalable entre la Chine et les États-Unis à partir d’un texte rédigé par Washington. Une fois parvenues à un accord, les deux parties soumettaient une version commune aux autres membres. Ainsi, après l’adoption à l’unanimité, le 5 août, de la résolution 2371, visant à bloquer les revenus tirés des exportations nord-coréennes, la France a démontré une fois de plus, hier, que les autres membres permanents n’interviennent qu’à la marge dans le dossier nord-coréen. Le président Macron s’est ainsi contenté d’appeler le Conseil de sécurité à «réagir rapidement» et «fermement», faisant preuve de son absence de proposition. Ici réapparaît le protagoniste russe, qui entend jouer un rôle plus important dans le dossier. Mercredi dernier, Rex Tillerson a joint son homologue Sergueï Lavrov. Alors qu’on évoque un futur embargo sur le pétrole, Moscou affirme qu’un renforcement des sanctions contre la Corée du Nord serait «contre-productif et dangereux». À l’issue de leur entretien, un communiqué du ministère russe des Affaires étrangères informe que « Sergueï Lavrov a de nouveau souligné qu’il n’y avait d’autre solution possible que des moyens politiques et diplomatiques pour réduire les tensions dans la péninsule coréenne. Il a estimé indispensable de s’abstenir de toute démarche militaire qui risquerait de déboucher sur des conséquences imprévisibles ». À la suite du tir nord-coréen du missile balistique intercontinental du 4 juillet, la Russie avait ainsi bloqué une déclaration du Conseil de sécurité appelant à prendre «des mesures significatives» contre Pyongyang. D’une part, la délégation russe estimait qu’il s’agissait seulement d’un missile de moyenne portée, incapable d’atteindre l’Alaska, conformément aux premières analyses américaines, d’autre part elle a développé de nouveaux réseaux économiques avec la RDPC, actant qu’un accord sur le nucléaire passera inévitablement par des échanges dans les domaines commercial, technologique ou humanitaire. L’adoption de sanctions inédites par la Chine et l’interdiction de l’exportation du charbon nord-coréen pourraient aider la Russie à jouer le rôle auquel elle aspire. Illustration de ces tensions sino-coréennes, aucune délégation chinoise n’était présente le 15 août dernier lors des cérémonies célébrant la libération. Bien, ceci étant dit, vous aurez remarqué que l’Huma l’organe de propagande communiste Français n’évoque même pas à mot couvert l’aspect indiscutablement marxiste et communiste du régime de Pyongyang et de la magnifique République Démocratique et Populaire de Corée malgré la dictature, la famine, les camps de concentration, les chambres à gaz, les drapeaux rouges et autres faucilles et marteaux en folie. D’autres merdias et journalopes argues d’un caractère «stalinien» du régime. Seul monsieur Thierry Wolton précise dans le Figaro que l’utilisation de l’adjectif «Stalinien» montre la persistance d’un respect craintif envers le communisme. Il explique aussi et ce justement que le stalinisme est le plus souvent représenté comme une déviance du communisme application politique de l’idéologie marxiste-léniniste ; Condamner le stalinisme c’est exonérer le communisme. L’Huma va plus loin il n’en parle pas !
Il y a un an, la Corée du Nord demandait aux États-Unis à être accueillie dans le club des puissances nucléaires. Et donc d’être traitée comme telle. Le président sud-coréen est favorable à la reconnaissance implicite du statut de puissance nucléaire à son voisin, afin de mettre fin à l’escalade et de reprendre les pourparlers. En combattant Pékin de manière détournée, Washington a empêché toute solution. Mais Pyongyang n’a jamais voulu des négociations multilatérales et des discussions à six (États-Unis, Corée du Nord, Corée du Sud, Chine, Japon et Russie). Le dirigeant nord-coréen, Kim Jong-un, souhaite avant tout parler d’égal à égal avec Donald Trump. L’inefficacité flagrante des sept trains de sanctions oblige à un changement de méthode. De plus, la menace de tirs d’avertissement à proximité de l’île de Guam, un territoire américain dans l’océan Pacifique, et le survol, la semaine dernière, d’un missile de portée intermédiaire au-dessus du Japon prouvent que la Corée du Nord a la maîtrise de l’agenda. On peut d’ailleurs douter de son intention réelle de viser Guam. Sauf à mener isolément les opérations, et à s’aliéner son opinion publique, le Japon de Shinzo Abe n’a d’autre choix, pour l’heure, que de retourner à la table des négociations. D’autant que les multiples revirements stratégiques de Washington pourraient au final pousser Séoul et Tokyo à régler seuls le problème, comme l’avait déjà suggéré Donald Trump lors de la campagne électorale. Malgré l’escalade militaire, le président américain a lui-même été contraint de faire machine arrière, ayant fait la démonstration de son impréparation. Oublié pour un temps, donc, la promesse «du feu et de la fureur», même si, jeudi dernier, deux bombardiers stratégiques B-1B et quatre chasseurs furtifs F-35B américains, conjointement avec des appareils sud-coréens, ont été déployés afin de maintenir la pression sur Pyongyang. Le secrétaire à la Défense, James Mattis, et le secrétaire d’État, Rex Tillerson, ont donné un premier signe dans le Wall Street Journal, en assurant que les États-Unis «ne visaient pas» un renversement de régime à Pyongyang ou la réunification de la péninsule par une intervention armée. L’ancien conseiller stratégique de Donald Trump, Steve Bannon, affirmait enfin, mi-août, qu’«aucune solution militaire (ne pouvait répondre) à la menace nord-coréenne», faisant valoir le danger qui pèserait sur les Sud-Coréens avec le déclenchement d’un conflit ouvert. «(Les Nord-Coréens) nous ont eu», ajoutait le stratège américain. L’instrumentalisation de la menace nord-coréenne comme moyen de mener une guerre commerciale à la Chine a également fait preuve de ses limites. En combattant Pékin de manière détournée, Washington a empêché toute solution. D’autant que la capacité de la Chine à peser sur la Corée du Nord est surestimée. Il est donc urgent de sortir de ce tête-à-tête sino-américain. De fait, jusqu’alors, chaque résolution du Conseil de sécurité des Nations unies faisait l’objet d’une discussion préalable entre la Chine et les États-Unis à partir d’un texte rédigé par Washington. Une fois parvenues à un accord, les deux parties soumettaient une version commune aux autres membres. Ainsi, après l’adoption à l’unanimité, le 5 août, de la résolution 2371, visant à bloquer les revenus tirés des exportations nord-coréennes, la France a démontré une fois de plus, hier, que les autres membres permanents n’interviennent qu’à la marge dans le dossier nord-coréen. Le président Macron s’est ainsi contenté d’appeler le Conseil de sécurité à «réagir rapidement» et «fermement», faisant preuve de son absence de proposition. Ici réapparaît le protagoniste russe, qui entend jouer un rôle plus important dans le dossier. Mercredi dernier, Rex Tillerson a joint son homologue Sergueï Lavrov. Alors qu’on évoque un futur embargo sur le pétrole, Moscou affirme qu’un renforcement des sanctions contre la Corée du Nord serait «contre-productif et dangereux». À l’issue de leur entretien, un communiqué du ministère russe des Affaires étrangères informe que « Sergueï Lavrov a de nouveau souligné qu’il n’y avait d’autre solution possible que des moyens politiques et diplomatiques pour réduire les tensions dans la péninsule coréenne. Il a estimé indispensable de s’abstenir de toute démarche militaire qui risquerait de déboucher sur des conséquences imprévisibles ». À la suite du tir nord-coréen du missile balistique intercontinental du 4 juillet, la Russie avait ainsi bloqué une déclaration du Conseil de sécurité appelant à prendre «des mesures significatives» contre Pyongyang. D’une part, la délégation russe estimait qu’il s’agissait seulement d’un missile de moyenne portée, incapable d’atteindre l’Alaska, conformément aux premières analyses américaines, d’autre part elle a développé de nouveaux réseaux économiques avec la RDPC, actant qu’un accord sur le nucléaire passera inévitablement par des échanges dans les domaines commercial, technologique ou humanitaire. L’adoption de sanctions inédites par la Chine et l’interdiction de l’exportation du charbon nord-coréen pourraient aider la Russie à jouer le rôle auquel elle aspire. Illustration de ces tensions sino-coréennes, aucune délégation chinoise n’était présente le 15 août dernier lors des cérémonies célébrant la libération. Bien, ceci étant dit, vous aurez remarqué que l’Huma l’organe de propagande communiste Français n’évoque même pas à mot couvert l’aspect indiscutablement marxiste et communiste du régime de Pyongyang et de la magnifique République Démocratique et Populaire de Corée malgré la dictature, la famine, les camps de concentration, les chambres à gaz, les drapeaux rouges et autres faucilles et marteaux en folie. D’autres merdias et journalopes argues d’un caractère «stalinien» du régime. Seul monsieur Thierry Wolton précise dans le Figaro que l’utilisation de l’adjectif «Stalinien» montre la persistance d’un respect craintif envers le communisme. Il explique aussi et ce justement que le stalinisme est le plus souvent représenté comme une déviance du communisme application politique de l’idéologie marxiste-léniniste ; Condamner le stalinisme c’est exonérer le communisme. L’Huma va plus loin il n’en parle pas !
Le
parti communiste en France est un parti complice de crimes contre l'humanité
écrivais je en 2012. C’est
un appel au secours qu’ont envoyé aux Nations unies il y a quelques mois à plus
de 40 organisations de défense des droits de l’homme dans une pétition
demandant une enquête et que soit exigée la fermeture des camps d’extermination
communistes du goulag ou du Laogaï en Corée du Nord. Dans un document du 3
avril 2012, la Coalition mondiale pour
mettre un terme aux crimes contre l’humanité en Corée du Nord (ICNK) alerte sur
la situation d’environ 200 000 personnes travaillant dans des camps de
concentration, dont des enfants. Tortures, viols, avortements forcés,
infanticides ou encore exécutions sans procès et devant les autres détenus y
sont pratiqués. Le rapport indique que les chrétiens sont les plus maltraités
au sein des camps du goulag. Déjà le 24 mars
dernier, le Conseil des droits de l’homme de l’ONU avait, pour la première
fois, unanimement condamné «le bilan
épouvantable» du régime communiste de Pyongyang concernant les droits de
l’homme, les alliés du pays ne se prononçant pas. A ces crimes, s’ajoutent ceux
dans les chambres à gaz en verre du Camp 22, pièces de dimensions suffisantes
pour une famille, révélés en 2004.Plus de 500 000 personnes seraient mortes
dans les camps d’extermination communistes du goulag Coréen ces dernières
décennies. Le communisme, le marxisme est une infection au même titre que le
sida, la grippe H1N1, et malgré la réalité des malheurs qu'il a provoqué, son
culte persiste grâce à l'action de psychopathes tels les dirigeants de l’AAFC
trouvant encore des «idiots utiles».
Créée en 1969 par des personnalités marxistes du Parti
Communiste en France et d’idiots utiles de diverses sensibilités politiques de
gauche, l’Association d’amitié franco-coréenne (AAFC) vise au renforcement des
liens d’amitié et de coopération entre les peuples français et coréen. Jean
Kanapa et Raymond Lavigne, journalistes et dirigeants du Parti communiste
français, M. Nathan Korb dit Francis Lemarque,
compositeur-interprète, idiot utile marxiste culturel, d’autres personnalités
du monde politique de gauche, social et culturel, des députés, des sénateurs et
des maires de grandes villes comme MM. Léo Figuères, Maurice Nilès, Serge
Boucheny, Roger Gaudon tous communistes, des enseignants communistes et des
syndicalistes de la CGT furent les initiateurs de «Paris-Pyongyang», Association d’amitié franco-coréenne créée en
1969, à Bagneux. Aujourd’hui officiellement le PCF crache dans la soupe de
Corée du Nord. Officieusement c’est autre chose! Les communistes Français
pensent que l’occident ment et que le mythe péjoratif de la propagande
occidentale sur la Corée du Nord est une immense tromperie conçue pour cacher
aux peuples du monde les merveilleuses réalisations des Nord-Coréens, qui ont
réussi à créer leurs propres conditions, leur propre système socio-économique
indépendant basé sur les magnifiques principes socialistes, libres de la
domination des puissances occidentales. La force de dissuasion
nucléaire de la Corée du Nord est nécessaire au vu des agissements et des
menaces du monde impérialiste et capitaliste contre elle.
Les immondes communistes Français menteurs et complices
de monstrueux crimes contre l’humanité s’expriment par l’intermédiaire d’une de
leur association de la nébuleuse de la haine rouge au sujet de l’ «affaire Coréenne» sur
le site de l'AAFCN.
Déjà en 2012 le PC en
France disait en parlant de la Corée du Nord : «L'annonce du décès de Kim Jong-il, qui maintenait depuis 1994 un
régime de fer sur son pays, ouvre une période d'incertitude. Le pouvoir semble
revenir aux mains de son fils Kim Jong-un mais la dynastie héréditaire des Kim,
qui dirige le pays depuis 1953 dans une opacité anti-démocratique et dans un
consternant culte de la personnalité, va-t-elle perdurer ? Ce régime n'est
plus, depuis des décennies, qu'une caricature grossière, étrangère à ce que
nous nommons pour notre part, le communisme. Les relations du PCF et du parti
au pouvoir en Corée du Nord sont rompues depuis bien longtemps (comme d’habitudes
le PC en France ment, l’AAFCN
supplée au PC sur ce point). Les peuples
de Corée du Nord et de Corée du Sud ont besoin de démocratie, de paix, de
démilitarisation, de développement social. Depuis 1953, pourtant, les problèmes
persistent et la tension régionale n'a jamais vraiment baissé comme le montrent
les confrontations récentes, et la péninsule est une des régions les plus
militarisées du monde. Le changement de dirigeant en Corée du Nord
permettra-t-il le changement nécessaire ? La responsabilité des États-Unis, de
chacun des pays membres du Conseil de sécurité des Nations unies et de l’ensemble
des pays de la région est directement engagée. Tout doit être fait, notamment
par la France pour aller dans ce sens. C'est à cela que les communistes
français entendent œuvrer».
Aujourd’hui le PC en France sur
le site de l'AAFCN nous dit : «La
tension est encore montée d'un cran dans la péninsule coréenne après le sixième
essai nucléaire auquel a procédé la République Populaire Démocratique de Corée
(RPDC, Corée du Nord) le 3 septembre 2017 : alors que la RPDC a toujours
défendu la possession de l'arme nucléaire dans une logique de dissuasion, ce
qui rend hautement improbable qu'elle agisse en premier, le risque
d'embrasement et de guerre vient bien de l'administration Trump qui a réaffirmé
une nouvelle fois la possibilité d'une action militaire dont les conséquences
seraient désastreuses, en Asie du Nord-Est et au-delà. L'Association d'amitié
franco-coréenne (AAFC) tient à réaffirmer son engagement pour la paix,
convaincue de l'impérieuse nécessité d'un retour au dialogue pour dénouer une
crise dont elle souhaite rappeler les enjeux principaux en huit points.
1.
Le programme nucléaire nord-coréen a une logique pleinement rationnelle,
correspond à la sauvegarde de sa souveraineté nationale par Pyongyang : il a
été développé avec la ferme conviction que les exemples irakien et libyen
montraient que l'on ne pouvait pas avoir confiance dans les Etats-Unis quant à
un désarmement unilatéral.
2.
La RPD de Corée est le seul pays au monde aussi lourdement sanctionné pour avoir
développé une capacité de dissuasion nucléaire autonome : le fait que Israël ou
le Pakistan, alliés des Etats-Unis, aient pu pour leur part se doter de l'arme
nucléaire témoigne d'un "deux poids deux mesures" dans l'application
par Washington et ses alliés du principe de non-prolifération nucléaire.
3.
Les six essais nucléaires auxquels a procédé la RPDC depuis 2009 doivent être
comparés au nombre d'essais américains (plus de 1 000) ; par ailleurs, les
Etats-Unis sont très fortement soupçonnés de poursuivre la modernisation de
leur armement nucléaire dans le cadre d'essais en laboratoire qui, eux,
échappent au contrôle du dispositif issu du traité d'interdiction des essais
nucléaires.
4.
Les États-Unis sont le seul pays au monde à avoir utilisé l'arme nucléaire,
lors des bombardements de Hiroshima et Nagasaki en 1945, et ils ont envisagé de
recourir à cette arme pendant la guerre de Corée, ce qui ne les qualifie pas
pour donner des leçons en la matière aux autres pays du monde.
5.
La seule issue à la crise en cours est l'engagement de véritables négociations,
qui prennent en compte les exigences de sécurité de la Corée du Nord et
conduisent à la signature d'un traité de paix et à la mise en place d'une
régime de sécurité collective, et non des négociations léonines dans lesquelles
Pyongyang commencerait par renoncer à ses programmes nucléaires et balistiques,
comme le souhaite Washington.
6.
La création d'un climat de confiance entre l'ensemble des parties suppose déjà
que, en contrepartie du gel de ses programmes militaires par la RPDC, les
Etats-Unis et leurs alliés cessent leurs exercices de guerre au large de la
péninsule coréenne et l'installation du système de missiles THAAD en Corée du
Sud et lèvent tout ou partie des sanctions à l'encontre de la Corée du Nord.
7.
Non seulement les sanctions internationales n'ont pas empêché le développement
par la RPDC de ses programmes nucléaires et balistiques, mais elles ont
lourdement touché les populations ; le chantage à l'arme alimentaire ou aux
livraisons de pétrole que pratiquent les Etats-Unis à l'égard de la RPDC est
une attitude humainement inacceptable vis-à-vis des femmes, des hommes et des
enfants qui vivent en Corée du Nord.
8.
Les États membres des Nations unies devraient réfréner les ardeurs militaristes
des faucons dans les cercles dirigeants américains, conformément aux objectifs
de la Charte des Nations unies de préserver la paix et la sécurité mondiales».
Vous aurez remarqué que l’idéologie de ce charmant pays
communiste et criminel contre l’humanité n’est pas mentionnée dans cet article
et que les états unis sont toujours représentés comme le grand Satan qui affame
les populations de Corée du Nord ou les vipères lubriques et autre hyènes
puantes qui sucent le sang des travailleurs et des travailleuses du prolétariat
ouvrier des républiques Populaire toutes tellement démocratiques que ça fait
peur!
Pour en terminer avec la malheureuse Corée du Nord
revenons encore un instant sur les goulags Coréens.
En février 2004 des Nord-Coréens dissidents ont
témoigné de l'existence et de l'utilisation, jusque-là supposées, de chambres à
gaz dans le principal camp de concentration nord-coréen, le camp 22, qui
pourrait enfermer 50 000 personnes, et possèderait des chambres qui serviraient
à la fois à éliminer les prisonniers et à mener des expérimentations.
Un ancien chef du camp 22 a donné une description d'une
chambre. Avec 3,5 mètres de long pour 3 mètres de large, elle est assez grande
pour gazer une famille entière. Étant donnée l'idéologie eugéniste du régime
nord-coréen, la famille entière d'un prisonnier politique, jusqu'à trois
générations, est condamnée. Des «scientifiques»
sont chargés de prendre des notes sur le déroulement des exécutions, car ces
dernières servent également d'expérimentations pour développer des armes
chimiques.
Une série de témoignages personnels choquants met en
lumière le splendide camp 22 ou règne l’esprit marxiste et Juchéen le plus pur.
Son témoignage est soutenu par Soon Ok-lee, qui a été emprisonné pendant sept ans. «Un officier m'a ordonné de choisir 50 femmes présentes en bonne santé», a-t-elle déclaré. Un des gardiens m'a remis un panier rempli de chou imbibé, m'a dit de ne pas le manger, mais de le donner aux 50 femmes. Je les ai sortis et j'ai entendu les cris de ceux qui les avaient mangés. Tous criaient et vomissaient du sang. Tous ceux qui ont mangé les feuilles de chou ont commencé à vomir violemment le sang et à hurler de douleur. C'était l'enfer. En moins de 20 minutes, ils étaient tous morts». Le nombre de prisonniers détenus dans le goulag nord-coréen n'est pas connu: une estimation de 500 000, détenus dans 12 centres ou plus laisse à penser que c’est un chiffre assez juste. On pense que le camp 22 en détient de 50 000 à 70 000. La plupart sont emprisonnés parce que leurs proches sont considérés comme des ennemis de la révolution socialiste et du régime. Beaucoup sont des chrétiens, une religion que les Kim communistes considèrent comme l'une des plus grandes menaces pour leur pouvoir. Selon le dictateur, non seulement un dissident soupçonné est arrêté, mais aussi trois générations de sa famille sont emprisonnées, pour éliminer le mauvais sang et la graine de dissidence.
1 Robert Mugabe: Né
en Rhodésie en 1924, le petit futur criminel contre l’humanité est élevé à la mission
catholique jésuite de Kurama au nord-est de la capitale Salisbury. En 1960,
Robert Mugabe est converti à l'idéologie marxiste et se déclarant «marxiste-léniniste-maoïste». Diplômé
en enseignement à l'âge de 17 ans le petit communiste marxiste n'hésite pas à
dire qu'il est en plus de ses
sept diplômes académiques : «diplômé en violences» ! Le 18 avril 1980, Robert Mugabe devient Premier ministre du nouvel État du Zimbabwe et Canaan Banana (sans rire SVP) le premier président. Au pouvoir, Mugabe tente de bâtir un nouveau pays sur la base d'une alliance entre Shonas (son Ethnie) et Ndébélés (autre ethnie dans le sud du pays). Les revendications et les attentes «sociales» des Shonas l'entraînent à mener une politique nationaliste et raciste que certain marxistes culturels d’aujourd’hui appellent ethno-différencialisme. En 1982, pour fêter les deux ans d'indépendance, il fait rebaptiser toutes les villes du pays à commencer par Salisbury, nommée désormais Harare. En 1983, une rébellion de l’ethnie minoritaire ndébélé pas intéressée du tout par l’idéologie communiste met fin à l'union du nord et du sud du pays et une guerre dite «civile» alors qu’elle est ethnique comme celle de 1994 au Rwanda, des Hutus et des Tutsis ensanglante la province du Matabeleland. Robert Mugabe y déploie «sa» 5e brigade, une force spéciale formée par des instructeurs nord-coréens. Oui vous avez bien lu : Nord-Coréens !
sept diplômes académiques : «diplômé en violences» ! Le 18 avril 1980, Robert Mugabe devient Premier ministre du nouvel État du Zimbabwe et Canaan Banana (sans rire SVP) le premier président. Au pouvoir, Mugabe tente de bâtir un nouveau pays sur la base d'une alliance entre Shonas (son Ethnie) et Ndébélés (autre ethnie dans le sud du pays). Les revendications et les attentes «sociales» des Shonas l'entraînent à mener une politique nationaliste et raciste que certain marxistes culturels d’aujourd’hui appellent ethno-différencialisme. En 1982, pour fêter les deux ans d'indépendance, il fait rebaptiser toutes les villes du pays à commencer par Salisbury, nommée désormais Harare. En 1983, une rébellion de l’ethnie minoritaire ndébélé pas intéressée du tout par l’idéologie communiste met fin à l'union du nord et du sud du pays et une guerre dite «civile» alors qu’elle est ethnique comme celle de 1994 au Rwanda, des Hutus et des Tutsis ensanglante la province du Matabeleland. Robert Mugabe y déploie «sa» 5e brigade, une force spéciale formée par des instructeurs nord-coréens. Oui vous avez bien lu : Nord-Coréens !
Aujourd’hui les archives s’ouvrent; des documents
historiques, récemment déclassifiés, impliquent directement le président
communiste du Zimbabwe, Robert Mugabe dans l’odieux massacre connu sous le nom
de Gukurahundi. Ce massacre d'environ 20 000 personnes dans le sud du pays en
janvier 1983 fait partie du génocide du peuple Ndébélé est
d’environ 60 000 morts. Le Zimbabwe est nouvellement indépendant et la
population Ndebele est accusée par le gouvernement de soutenir une rébellion
opposée au régime de Robert Mugabe. Une unité spéciale de l'armée, la 5e
brigade, formée et encadrée par des militaires de la Corée du Nord, est envoyée
pour mater la rébellion. S'en suivra le massacre de toute une population. En
2016 le journal vietnamien Thanh nien rapporte que la Corée du Nord continue de
construire des usines de munitions, de vendre des armes et de former les
membres des forces de sécurité de nombreux pays d'Afrique, et tout cela en
dépit de l'embargo onusien. Un nouveau rapport d'un comité d'experts de l'Onu
publié en début de semaine signale notamment que la Corée du Nord possède 54
usines d'armement et qu'elle fait le commerce des technologies d'armement
depuis 1996. Les experts font référence à des fonctionnaires namibiens ayant
avoué aux contrôleurs de l'Onu que plusieurs entreprises nord-coréennes étaient
affairées à différents projets en Namibie, notamment la construction d'une
usine de munitions à Windhoek. Ces fonctionnaires affirment également que la
société nord-coréenne Mansudae Overseas Project Grup réalise plusieurs projets
militaires, plus particulièrement la construction d'une école militaire et
d'une base pour le ministère de la Défense nationale de Namibie. Un autre
rapport des experts onusiens, paru en août 2015, fait état de la construction
par les ouvriers nord-coréens d'une base militaire à Suider Hof, non loin de
Windhoek. Les experts rappellent que la construction des usines d'armement et
des bases militaires a été interdite à la Corée du Nord en vertu de l'embargo
de l'Onu. Selon le site d'information sud-africain IOL, outre la Namibie, la
Corée du Nord participe à la construction et à l'exploitation d'une usine de
munitions à Likasi en République Démocratique du Congo. L'Ethiopie compte elle
aussi sur une coopération à long terme avec la Corée du Nord. L'Ethiopie a
besoin de l'entretien de ses vieux systèmes d'armement et de livraisons de
pièces de rechange pour les chars de combat ainsi que de munitions. Quant à la
Tanzanie, toujours selon le site IOL, elle a plusieurs fois invité des
spécialistes nord-coréens pour moderniser ses avions de combat, bien qu'elle se
soit vue obligée de mettre un terme à ces relations et d'expulser les
spécialistes, étant devenue la cible d'une violente critique. Par ailleurs, la
Corée du Nord vend des composants de missiles à l'Egypte. Des composants de
missiles Scub-B, développés en URSS à l'époque de la guerre froide, ont été
découverts lors d'un contrôle des livraisons au Caire depuis Pékin. Ces
composants ont été fabriqués en Corée du Nord et acheminés à Pékin par voie
aérienne. La Corée du Nord accorde son assistance dans la formation de
policiers et de militaires de nombreux pays d'Afrique. En 2014, elle a formé
700 policiers pour l'Ouganda, bien que cette activité soit illégale. Les
autorités ougandaises ont sans rigoler déclaré qu'il ne s'agissait pas d'une
violation de l'embargo car les instructeurs nord-coréens se spécialisaient dans
le sauvetage en mer, l'assistance médicale et les technologies du bâtiment. Pyongyang
a formé des unités spéciales et des gardes du corps pour la Tanzanie, le Zimbabwe (dans le massacre des
ndébélé les cadres de la 5ème brigade étaient Coréens), le Nigeria
et la République Démocratique du Congo.
Il n'y a jamais eu d'enquête pour déterminer d'où est
venu l'ordre du massacre des Ndébélé et le président à vie et grand démocrate
communiste Mugabe en bon «camarade» a toujours nié avoir été au courant. Mais
des documents récemment déclassifiés indiquent le contraire. Des câbles
diplomatiques australiens ainsi que des rapports de services de renseignements
révèlent que le massacre a été planifié par le parti marxiste de Robert Mugabe,
pour se débarrasser de toute opposition politique. Ils indiquent aussi que
Mugabe était non seulement au courant des exactions de cette brigade, mais que
celle-ci agissait sous ses ordres. En mars 2003, il avait déclaré : «Hitler avait un seul objectif : la justice
pour son peuple, la souveraineté pour son peuple, la reconnaissance de
l'indépendance de son peuple et ses droits sur ses ressources. Si cela c'est
Hitler, laissez-moi être le décuple de Hitler». Dans le cadre des génocides
le beau Bébert Mugabe se rapproche plus des grands criminels conte l’humanité
communistes Staline, Mao ou Pol Pot. D’autant que Robert n’aime pas les zomos ;
le grand leader du Zimbabwe en bon communiste a toujours affiché sa vive
opposition à l'homosexualité, traitant les homosexuels de «porcs» ou de «chiens»,
et appelant la population à les dénoncer et les livrer à la police. Présentant
l'homosexualité comme «un péché contre
nature», il s'est encore radicalisé entre 2008 et 2012, appelant à «castrer les homosexuels» ou à les
décapiter. Lors de la campagne des élections de 2013, il a promis que, s'il
était élu, il «ferait vivre un enfer aux
homosexuels». Il critique systématiquement l'avancée des fameux droits pour
les homosexuels dans les autres pays africains, ou européens, en particulier
lors des débats sur l'ouverture du mariage homosexuel. De plus comrade Bob est
un raciste qui n’aime pas les blancs et qui en 2010 disait : «L’homme
blanc n’est pas indigène de l’Afrique. L’Afrique est pour les Africains. Le Zimbabwe
est pour les Zimbabwéens». Vous imaginez si j’écrivais : «L’homme noir n’est pas indigène de l’Europe.
L’Europe est pour les Européens. La France est pour les Français (sous-entendu
«blancs» bien sûr)» les marxistes communistes et assimilés
me sauterais dessus en me traitant de raciste et de facho non ?
La Corée du Nord a effectivement formé et fourni des cadres en 1981 au
Zimbabwe pour sa célèbre 5ème brigade, une unité très spéciale de l’armée, responsable
de l’épuration ethnique et du massacre de plus de 60.000 personnes, hommes,
femmes, vieillards et enfants de plusieurs groupes ethniques minoritaires dans
les provinces du Matabeleland et des Midlands.
Mais de plus le bon camarade communiste Bébert Gabriel
Mugabe celui que Bernard Kouchner, ministre des affaires étrangères français,
qualifiera «d’escroc et d’assassin» déclare :
«Tout au Zimbabwe est associé aux
exploits du président Kim Il-sung» : c’est en ces termes que Mugabe dit
comrade Bob a accueilli en 2007 le nouvel ambassadeur de la fameuse République
Populaire Démocratique de Corée. De fait, les idées marxistes-léninistes sauce
nuoc-mam du Juche mise au point par les idéologues marxistes de l’ex URSS et
développées
par Kim Il-sung sont explicitement considérées comme un modèle par l’Union
nationale africaine du Zimbabwe–Front patriotique (Zimbabwe African National
Union–Patriotic Front, ZANU-PF), au pouvoir au Zimbabwe depuis 1980, après sa
guerre raciste de libération contre les blancs (tous massacrés
démocratiquement) dit régime d’apartheid anglo-saxon qui avait prévalu
jusqu’alors dans l’ancienne Rhodésie du Sud. La proximité politique et
idéologique entre la ZANU-PF et le Parti du travail de Corée s’est en effet
nouée pendant les fameux «combats de la
libération», suite notamment au voyage de Bébert Mugabe à Pyongyang en
1978, alors que la RPDC a été l’un des soutiens politiques et militaires les
plus actifs aux mouvements de Mugabe et c’est fait le complice des crimes
contre l’humanité commis par toute une population raciste. Tandis que la rivale
de la guérilla de la ZANU (l’actuelle ZANU-PF), l’Union populaire africaine du
Zimbabwe (Zimbabwe African Peoples Union, ZAPU), avait pour principaux alliés
le Congrès national africain (African National Congress, ANC) de l’Afrique du
Sud, l’Union soviétique et les démocraties populaires d’Europe de l’Est, la
ZANU s’était rapprochée, pour sa part, de la Chine et de la Corée du Nord, afin
de combiner les principes merveilleux du communisme et du socialisme avec l’indépendance
nationale. Les liens militaires se poursuivront après l’indépendance du
Zimbabwe, la RPDC ayant alors envoyé des troupes et des formateurs avec des experts
militaires à Harare pour former l’armée du nouvel État.
Lors de sa première visite officielle à Pyongyang, en octobre 1980, au
lendemain de l’indépendance, Robert Mugabe a souligné le beau modèle que
constituait la RPDC, et spécialement le Parti du travail de Corée, pour
l’édification du nouvel Etat : «Il n’y a
pas de doute que l’instrument politique de base pour la formulation de nos buts
politiques, sociaux et économiques et l’identification des moyens adaptés à
leur réalisation est le Parti du travail de Corée» en reprenant l’idée de
base du Juche, commune avec celle des Partis communistes et chez nous en France
avec celle du MRAP (Mouvement qui distille de la haine des juifs), selon
laquelle «les peuples sont réellement les
maîtres de leur destin dans l’exercice de leur souveraineté». Toujours à
Pyongyang, le grand leader président à vie Robert Mugabe a précisé que, dans
cette perspective, la consolidation de l’indépendance nationale du Zimbabwe
était indissociable de la lutte mondiale anti-impérialiste, et qu’elle
supposait des liens de fraternité avec la RPDC: «La lutte anti-impérialiste et anticoloniale doit continuer dans la
région pour se débarrasser des forces impérialistes qui demeurent dans les pays
du Sud. Toutefois nous devons maintenant, en ce qui nous concerne, utiliser
notre indépendance comme un instrument pour atteindre les buts économiques de
notre révolution… C’est dans la poursuite de cet objectif que nous désirons
voir se consolider notre amitié et notre alliance». On croirait lire un
discours de Pierre Laurent le grand leader du PC se disant F !
Revenons à nos amis impérialistes du Sud du Zimbabwe
massacrés par les troupes de comrade Bob encadrées par les nord-coréens. Les
victimes du génocide et de l’épuration ethnique étaient toutes partisanes du
parti d'opposition ZAPU alors dirigé par Joshua Nkomo, allié de Mugabe au
Zimbabwe pendant la «lutte» pour
l'indépendance. Des dizaines de milliers d'autres partisans ont disparu,
d’autres sont décédés pendant leur emprisonnement ou dans les camps de concentration
dirigés par les cadres Nord-Coréens dont c’est une spécialité.
Mata Dumisani Mpofu a été témoin de l’arrivée de la
5ème brigade en 1984 dans son village de Mtshabezi. «Les soldats ont rassemblé tous les villageois dans une case et y ont
mis le feu. Ceux qui essayaient d’échapper aux flammes étaient tués par les
soldats à coup de mitraillette. C’était cruel, cela ressemblait aux images que
l’on voit dans les films». Le souvenir de ces gens en flamme périssant sous
les coups de feu des soldats restera à jamais gravé dans sa mémoire.
Samkeliso Ncube, était âgée de 15 ans lorsque les
massacres ont eu lieu, a perdu son oncle Phathiwe Mdluli, ancien professeur à
l’école de Siganda dans le district de Lupane. «Les soldats de la 5ème brigade ont investi l’école et ordonné aux
professeurs de creuser leurs propres tombes avant d’être tués à bout portant».
La répression de l'armée est brutale contre les
Ndébélés. On dénombrera officiellement 10 000 victimes (d’autres chiffres
donnent environ 60 000 morts dans les très marxistes génocides, massacres,
épuration ethnique, déportations et famine provoquée). En 1987, un accord de
paix met fin à la guerre civile. C'est également l'année de la fin du collège
électoral blanc et de leur représentation assurée de 20 députés signifiant la
fin du rôle politique des Blancs dans le pays. C'est aussi l'année où Mugabe
prend la fonction de président de l'État aux pouvoirs élargis, abolissant le
poste de Premier ministre.
Michel Alain Labet de Bornay.
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