Sur
le blog politique le plus politiquement incorrect du monde et de l'univers
connu le 3 septembre dernier je vous avouais ne
pas aimer les blancs et donc être «raciste» suivant en cela le
décret n° 2017-1230 du 3 aout 2017 relatif aux
provocations, diffamations et injures non publiques présentant un caractère
raciste ou discriminatoire (Égalitarisme et négation du concept de races
humaines… l’idéologie marxiste culturelle a pris le pas sur la raison. Il est
un terme en l’occurrence «race» qui,
depuis la fin de la seconde guerre
mondiale, s’est vu retirer toute légitimité, relégué au rang des idéologies,
affublé d’une série de connotations lourdes de sens destinées à le lester, la
notion de race dans l’espèce humaine surnage pourtant envers et contre tout et
quoi que les totalitarismes marxistes culturels atteints de délirium trémens
puissent dire ; les races existent bel et bien!) En France l’idéologie
marxiste culturelle tente, non sans un certain effort pseudo scientifique,
d’enfouir une taxinomie pourtant biologiquement valide. Un cas typique de Lyssenkisme contemporain
? Certains lobbies politiques et autres
journalopes gauchiottes notamment les gauchus d’En Marche et les marxistes culturels de la gauche à la droite ripoublicaine
n’hésitent pas à manipuler l’information et même à triturer la science lorsqu’elle
ne leur convient pas et à inventer de nouvelles notions telles de «prétendues» race, il faut dire que si
les races n’existaient pas que deviendrais le «racisme» ? Alors que nom d’un petit bonhomme, les races
existent bel et bien ! En 2015 Marcus Graven sur Riposte Laïque écrira: «Les races existent parce qu’elles sont une
représentation intellectuelle basée sur des réalités comme la couleur de la
peau, les traits physiques». Un exemple: «Il faut savoir que les greffes de moelle osseuse ne sont compatibles
qu’entre races», disait en 2011, Chantal Valay, présidente de l’ADOT 47
(Association des dons d’organes et de tissus humain du Lot-et-Garonne). Un Européen ne peut donner à un Africain,
et un Africain à un Asiatique pour la simple et bonne raison que nous sommes
différents».
Ce décret signé de monsieur le premier ministre Edouard
Philippe, de madame Belloubet, garde des sots sceaux,
ministre de la justice et de madame Girardin ministre des
outre-mer (Monsieur le premier ministre Philippe ancien élève de l'Institut
d'études politiques de Paris et de l'ENA, militant de la droite molle tendance
Ali Juppé, madame le ministre Belloubet docteur en droit depuis 1990 et agrégée
de droit public en 1992, quant à madame Annick Girardin titulaire du seul petit
diplôme d'animatrice socioculturelle, députée de l'archipel de Saint Pierre et
Miquelon du 17 juin 2007, elle est membre du Parti radical de gauche. Nommée en
2014 secrétaire d'État chargée du Développement et de la Francophonie, dans le
gouvernement Valls I, elle devient ministre de la Fonction publique du deuxième
gouvernement Valls à la suite du remaniement du 11 février 2016, poste qu'elle
conserve sous le gouvernement Cazeneuve) modifiait l'article R. 625-7 et au
premier alinéa, les mots : «une race» sont remplacés par
les mots : «une prétendue race» ; au
deuxième alinéa, il est inséré, après les mots : «de leur orientation sexuelle» les mots : «ou identité de genre». Il est évident que les trois signataires du
décret n’ont aucune compétence en sciences médicales et en psychiatrie. Seule madame Belloubet docteur en droit et garde des sceaux est plus ou
moins compétente en ce qui concerne les pratiques sexuelles considérées comme
illégales. En effet le Code pénal sanctionne certaines déviations sexuelles
appelées aujourd’hui paraphilies.
Longtemps,
le terme «perversion» a désigné les
pratiques sexuelles qui étaient hors normes et en tout cas socialement
réprouvées comme l’homosexualité. Ce terme était extrêmement ambigu car il
désignait également la perversion morale. C’est ainsi qu’est né le concept de
paraphilie, dont l’intérêt est de ne pas se définir en référence à une culture
ou à une morale, mais de décrire quelles sont les sexualités qui peuvent être
considérées comme pathologiques : le terme de «paraphilie», correspondant à une pratique sexuelle déviante et
anormale suivant les lois de la nature, a ainsi remplacé l’expression «perversion sexuelle», y compris dans le
domaine de l’expertise judiciaire. On distingue, suivant la gravité de
l’infraction, les simples contraventions, les délits et les crimes. En France,
il existe différentes juridictions pénales : un délit est passible du Tribunal
correctionnel et un crime de la Cour d’assises. Jadis, les termes d’agresseurs
sexuels, de violences sexuelles ou de délinquance sexuelle étaient utilisés
confusément.
Aujourd’hui, il est admis de préférer l’expression «auteurs d’infractions à caractère sexuel»
pour désigner toutes les personnalités psychopathes avec sexualité pathologique
qui peuvent être mis en cause pour n’avoir pas respecté le Code pénal en
matière de pratiques sexuelles. Cette terminologie, qui fait consensus
actuellement, englobe les sujets ayant une sexualité paraphile, mais aussi les
auteurs de violences sexuelles, conjugales ou non. Il est important de
distinguer parmi les paraphilies celles dont le passage à l’acte constitue
nécessairement une atteinte à l’intégrité d’autrui, comme la pédophilie par
exemple, entraînant une sanction pénale, de celles qui n’entravent pas
l’intégrité de l’objet du désir (fétichisme par exemple), non considérée comme
une infraction. Tous les auteurs d’infractions à caractère sexuel n’ont pas de
pratiques sexuelles paraphiles. Ainsi, la liste des infractions à caractère
sexuel d’un point de vue juridique n’est pas superposable à celle des
paraphilies, définie par le DSM. Par exemple, le mot pédophilie est absent du
Code pénal, le crime est qualifié «d’agression
et crime sexuel commis sur des mineurs de moins de 15 ans» : de nombreux
violeurs d’enfant ne remplissent pas les critères exigés par le «Manuel diagnostique et statistique des
troubles mentaux» (DSM) pour rentrer dans la catégorie «paraphilie pédophile». Un très grand nombre de délits sexuels
échappent à la justice. Ainsi, des homosexuels auteurs de violences sexuelles
sur des enfants de moins de 15 ans et de sexe masculin font état, en moyenne,
d’au moins cinq délits sexuels antérieurs restés impunis.
Dans cette histoire de tyrannie marxiste culturelle je
voudrais aujourd’hui vous parler de cette fameuse «orientation sexuelle» dite aussi «identité de genre» et du décret qui améliore la lutte
(finale ?) contre les manifestations
du
fameux "racisme" déjà vu ici, de sexisme et d'une «homophobie» pouvant se produire dans
des lieux non publics, comme au sein des entreprises ou des établissements
scolaires. Mais qu’est-ce donc que cette fameuse «homophobie» ?
L’association nationale de lutte contre la «lesbophobie»,
la «gayphobie», la «biphobie» et la «transphobie» (sans rire) vient nous faire une petite piqure de
rappel de sérum politiquement correct. Le terme homophobie,
apparu dans les années 1970 (c’est à dire à l’avènement du marxisme culturel en
France cliquez
ici pour voir en quoi le marxisme culturel qui n’est pas une
mode ou une convenance mais bien une idéologie, également connue sous le nom
de «politiquement
correct», autre approche du marxisme est mise au point par des marxistes,
en vue de détruire la civilisation occidentale, en instituant la tyrannie des
minorités - raciales, culturelles, sexuelles, religieuses - sur la
majorité traditionnelle. Car il s’agit bien là d’une toute petite minorité, en
2010 suivant le magazine Têtu seul 5%
des Français seraient homosexuel. C’est vrai qu’à Paris, «dans le micromilieu des bac+5, entre 40 et 50 ans, on trouve bien
entre 10 à 15% d’homosexuels», se moquait à l’époque Nathalie Bajos
(Inserm) «Ce qui explique qu’un taux
tout rond de 10% continue de circuler comme une vérité révélée dans les
rédactions, celle de Rue89 par exemple»).L’association marxiste culturelle
ci-dessus nous « explique Homophobie, vient de «homo», abréviation de «homosexuel», et de «phobie», du grec phóbos qui signifie crainte. Il désigne les
manifestations de mépris, rejet, et haine envers des personnes, des pratiques
ou des représentations homosexuelles ou supposées l'être. (Une phobie est une
peur ! Les marxistes culturels par un glissement sémantique douteux
utilisent le suffixe «phobie» pour
former un nom correspondant à une notion de mépris, d’aversion, de haine, de
rejet voire de discrimination envers quelque chose ou quelqu’un.
Le
terme «homophobie» est issu de
l’anglais homophobia, néologisme, apparu pour la première fois dans un article
de la revue pornographique américaine Screw
(Vis et par extension homo) daté du 23 mai 1969, dans lequel le mot désigne
la peur qu'ont certains hommes hétérosexuels de passer pour homosexuels.
On le retrouve en 1971, dans Homophobia: a
tentative personality profile du psychologue Kenneth Smith. Il a été
transposé en français canadien par Yvon
Thivierge dans sa traduction pour l'association Gays of Ottawa / Gais de
l'Outaouais du fascicule de Ron Dayman et Marie Robertson «Understanding Homophobia» (Pink
Triangle Press, Toronto, 1975), et, plus tard et indépendamment en français
hexagonal par Claude Courouve dans son ouvrage Les Homosexuels et les autres (Athanor, Paris, 1977), suivi de peu
par Dominique Fernandez dans son roman L'étoile
rose (Grasset, Paris, 1978). Dès cet instant le terme qui désignait la
juste peur que pouvaient certains hommes hétérosexuels de passer pour
homosexuels ou d’être victimes d’une agression sexuelle de la part de «gays» ou comme toutes les phobies
jusqu’à l’avènement dans les années 1970 du marxisme culturel, une
notion de peur, de crainte, d’angoisse par rapport à quelque chose, devient par
la grâce d’un idiot utile marxiste culturel et académicien «gay» notoirement farfelu, une notion de rejet, de mépris,
d’aversion, de répulsion, voire de haine. Ce terme de «phobie» commence aujourd'hui à être
utilisé par le ramassis de bureaucrates bolcheviques dégénérés et d’embrayages (pédales
de gauche) boutefeux de la haine rouge, thuriféraires du système marxiste
culturel à tort et à travers. Il est dans l'air du temps de donner des noms
sophistiqués à nos malaises physiques et psychologiques. Ainsi, il semble à
certains bac+5 (agrégés ou non et autres énarques) parisiens plus honorable de se
dire victimes de mysophobie (peur de la saleté), que d'avouer être tout
bêtement un obsédé du nettoyage (cette bande de détraqués mentaux convertis à
la religion séculière marxiste culturelle se sont spécialisés dans une forme de
nettoyage ethnique des hétérosexuels et des vieux gars qui ont peur de se faire
mettre au coin d’un bois par une bande de jeunes «gays» égarés et gérontophiles). Psychiatriser des comportements antisociaux
et dérangeants est parfois une manière de se dédouaner de ses responsabilités.
L'exemple récent de Thomas Thévenoud l’irréprochable conseiller général Socialiste
de Saône-et-Loire en 2008, député de la 1re circonscription de Saône-et-Loire en
2012, en 2014 secrétaire d'État chargé du Commerce extérieur, du développement
du tourisme et des Français de l'étranger qui a justifié ses «négligences fiscales» (il ne déclarait
pas ses revenus et ne payait pas ses impôts depuis plusieurs années) par une «phobie administrative» l'a amplement
montré.
L’association nationale de lutte contre la «lesbophobie», la «gayphobie», la «biphobie»
et la «transphobie» dit aussi :
SOS
homophobie (*1) déclare qu’est «homophobe»
toute organisation ou individu rejetant l'homosexualité et les
homosexuel-le-s (notez les : –le-s, façon nettement marxiste d’affirmer
qu’on oublie personne), et ne leur reconnaissant pas les mêmes droits qu'aux
hétérosexuel-le-s (idem que dessus avec en plus les fameux «droits» ou doigts de l’homme dans le Centre d’Union Libéral).
L'homophobie est donc un rejet de la différence, au même titre que la
xénophobie, le racisme, le sexisme, les discriminations sociales liées aux
croyances religieuses, aux handicaps, etc. Elle précise que dans leur forme la
plus violente, l’homophobie, la biphobie et la transphobie s’exprimeraient par
des violences physiques et pourraient dégénérer, de la bousculade, du passage à
tabac, jusqu’au viol et même au meurtre (lire
ici: deux gays assassine un homosexuel 20 et 25 ans de réclusion criminelle).
Dans une forme plus quotidienne, elles se traduisent par des réactions, avouées
ou non, de rejet, d’exclusion: injures verbales ou écrites, moqueries,
humiliations, harcèlement, refus de service, dégradations de biens et
discriminations. Elles peuvent aussi se manifester par des formes de
commisération, de dédain ou faire l’objet d’un tabou. Parmi les conditions nécessaires
à l’établissement du système marxiste culturel destiné à la destruction de la
société grecquo-latino-judéo-chrétienne occidentale il y en a trois qui ont ici
toute leur place, premièrement la volonté de faire obstacle au maximum à la
natalité blanche en promouvant l’avortement et en encourageant le développement
de familles sans enfants notamment par
le «mariage» des homosexuels,
deuxièmement la destruction des valeurs de solidarité traditionnelles telles la
famille ou la nation, la destruction des repères culturels et moraux fondateurs
en sabotant les églises chrétiennes et troisièmement cerise rouge sur le
gâteau, utilisation dans l’enseignement du sexe et notamment de l’homosexualité
(*2) pour
transgresser la morale traditionnelle et créer de nouvelles revendications
clivantes dans la société, pour ce faire et on le constate ici, les marxistes
culturels utilisent le sophisme, l’argumentation à la logique fallacieuse.
Comme par exemple celui-ci : «Tous
les chats sont des mammifères. Or, les chiens sont des mammifères. Donc, tous les chiens sont des félins». Les
calés en grammaire Française auront remarqué que la conjonction donc qui
permet d'indiquer une idée de conséquence entre les deux éléments de même
nature, qu'elle coordonne est ici utilisée comme un véritable adverbe de
liaison qui, adjoint à un verbe, à
un nom, à un adjectif ou à un autre adverbe en modifie le sens. Encore un
exemple tant qu’on y est, vous connaissez bien la célèbre phrase : «Le racisme n'est pas une opinion, mais un
délit» Relayée dans tous les merdias allah con, cette formule (dont la
paternité est régulièrement attribuée à l’abrutile guignol marxiste culturel
Guy Bedos) était intégrée comme élément de langage dans les discours de tous
les journalopes et politiques marxistes culturels. Cette antienne, on la retrouvera même dans
des réquisitoires dressés dans des procès pour discrimination raciale. Oui mais
voilà, c'est aussi un sophisme, et il est d'autant plus pervers qu'il se
présente tout auréolé de ce qui pourrait passer pour une sagesse populaire. Le
but étant d'affirmer l'équivalence par association de deux concepts : Le
racisme : qui serait et est présenté comme une idéologie et le délit : qui est
le non-respect d'une règle de loi, qui expose son auteur à une peine d’amende
ou d'emprisonnement. Implicitement, on pose qu'une opinion (idéologie)
peut-être un délit. On va même plus loin
en affirmant que le racisme n'est pas une opinion, ce qui s'oppose à la
définition même du racisme. Or le délit
d'opinion n'existe pas en France, pour la simple raison qu'il serait
anticonstitutionnel. La liberté
d'opinion étant un des principes démocratiques fondamentaux de la
République. Elle figurait déjà en bonne
place dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen.
D'une manière générale, on notera que le délit
d'opinion n'est pas compatible avec la démocratie. Il peut être intéressant de
voir quels sont les rouages à l’œuvre dans une argumentation sophiste, afin de
pouvoir mieux s'en prémunir.
.Sophisme ad Hitlerum : vous n'êtes pas d'accord, donc vous défendez le racisme. Vous êtes donc raciste. Or ici il ne s'agit nullement de défendre le racisme, mais bien un droit fondamental. Le sophisme ad Hitlerum vise à discréditer par avance les conclusions d'un contradicteur en l'associant à un personnage ou une idéologie qui ne peut susciter que le rejet.
.Sophisme Non Sequitur : le racisme ce n’est pas bien, les délits ce n’est pas bien, donc racisme=délit. C’est une conclusion,fallacieuse.
Ces formes de sophismes manichéens illustrés par le célèbre et très marxiste «Si vous n'êtes pas avec nous, vous êtes contre nous» sont monnaie courante aujourd'hui, parce que très pratiques pour mettre en évidence des clivages réels... ou supposés, surtout supposés (ou prétendus comme les races qui n’existeraient pas). Après l'attentat de Charlie Hebdo, toute personne qui déclarait «Je ne suis pas Charlie» était vue comme faisant implicitement l'apologie du terrorisme. Le problème de ce genre de formules marxistes culturelles clivantes, c'est qu'elles finissent par donner corps à ce contre quoi elles prétendent lutter. À telle enseigne que dans le même temps, les politiques de tous bords qui participaient au lynchage médiatique de toute voix dissidente de type («je ne suis pas Charlie») s'étaient crues bien inspirées d'ajouter «pas d'amalgame» qui lui aussi fit florès sur les réseaux sociaux, mais uniquement pour parodier leur hypocrisie. A cela s'ajoute l'argument d'autorité. On ne parle pas d'une discussion de comptoir au bar de Madame Brise-Miche. On parle des plus hautes autorités de l’état, de membres de la Magistrature, comme dans le décret ci-dessus. Difficile de croire qu'ils ne comprennent pas la portée de leur parole. La presse médiacrasseuse dans son ensemble brille par sa furtivité et son silence qui en disent long sur les relations incestueuses qui prévalent entre le monde politique et les merdias aujourd'hui. Pourtant on aurait pu croire qu'il était du devoir de ce quatrième pouvoir qu'est la presse de dénoncer ce qu'il faut bien appeler une dérive totalitaire par érosion lente mais systématique des droits fondamentaux des citoyens, et par la remise en question de principes clairement établis par la constitution.
.Sophisme ad Hitlerum : vous n'êtes pas d'accord, donc vous défendez le racisme. Vous êtes donc raciste. Or ici il ne s'agit nullement de défendre le racisme, mais bien un droit fondamental. Le sophisme ad Hitlerum vise à discréditer par avance les conclusions d'un contradicteur en l'associant à un personnage ou une idéologie qui ne peut susciter que le rejet.
.Sophisme Non Sequitur : le racisme ce n’est pas bien, les délits ce n’est pas bien, donc racisme=délit. C’est une conclusion,fallacieuse.
Ces formes de sophismes manichéens illustrés par le célèbre et très marxiste «Si vous n'êtes pas avec nous, vous êtes contre nous» sont monnaie courante aujourd'hui, parce que très pratiques pour mettre en évidence des clivages réels... ou supposés, surtout supposés (ou prétendus comme les races qui n’existeraient pas). Après l'attentat de Charlie Hebdo, toute personne qui déclarait «Je ne suis pas Charlie» était vue comme faisant implicitement l'apologie du terrorisme. Le problème de ce genre de formules marxistes culturelles clivantes, c'est qu'elles finissent par donner corps à ce contre quoi elles prétendent lutter. À telle enseigne que dans le même temps, les politiques de tous bords qui participaient au lynchage médiatique de toute voix dissidente de type («je ne suis pas Charlie») s'étaient crues bien inspirées d'ajouter «pas d'amalgame» qui lui aussi fit florès sur les réseaux sociaux, mais uniquement pour parodier leur hypocrisie. A cela s'ajoute l'argument d'autorité. On ne parle pas d'une discussion de comptoir au bar de Madame Brise-Miche. On parle des plus hautes autorités de l’état, de membres de la Magistrature, comme dans le décret ci-dessus. Difficile de croire qu'ils ne comprennent pas la portée de leur parole. La presse médiacrasseuse dans son ensemble brille par sa furtivité et son silence qui en disent long sur les relations incestueuses qui prévalent entre le monde politique et les merdias aujourd'hui. Pourtant on aurait pu croire qu'il était du devoir de ce quatrième pouvoir qu'est la presse de dénoncer ce qu'il faut bien appeler une dérive totalitaire par érosion lente mais systématique des droits fondamentaux des citoyens, et par la remise en question de principes clairement établis par la constitution.
Ce décret marxiste culturel signé par des personnes
complétement incompétentes sur le plan scientifique est droit dans la ligne
marxiste culturelle et des subjectives théories nauséabondes et révolutionnaires
communistes de l’école de Francfort et d’un György Löwinger dit Georg Lukács
ministre de la Culture et commissaire à l'Instruction de la puante «république» collectiviste des conseils (des soviets) en Hongrie
du 21 mars 1919 au 6 août 1919 qui introduira l’éducation sexuelle à l’école.
Comme
aujourd’hui cela avait pour objectif d'imposer l'enseignement dans les écoles
républicaines d'une prétendue «théorie du
genre» visant à transformer les garçons en filles, les filles en garçons et
les classes en un vaste lupanar où les professeurs apprendraient aux élèves les
joies de la masturbation collective. — (huffingtonpost.fr, 30 février 2014).
Après l’Art d’État, l’histoire d’état, on a la Science
d’État.
Si vous avez un caractère de grosse pute collaborationniste
marxiste ou socialiste complice avec le système marxiste culturel vous pouvez dénoncer
cet article en cliquant ici
(*1) Dans le cadre du prosélytisme habituel aux associations
marxistes culturelle SOS homophobie a obtenu l'agrément du ministère de l'Éducation
nationale, en tant qu'association complémentaire de l'enseignement public, pour
intervenir en milieu scolaire. Le tribunal administratif de Paris annule cet
agrément le 23 novembre 2012 à la suite d'un recours contentieux initié le 30
octobre 2012, mais l'agrément est rétabli le 21 mai 2013.Les interventions dans
des établissements scolaires peuvent se faire dans toute la France. La formation
des membres de l'association disposés à se rendre dans les collèges et les
lycées pour présenter le module destiné aux élèves, se tient à la disposition
des établissements scolaires.
D’autre part une «commission Interventions et formations pour
adultes» (IFPA) existe pour la formation de professionnels (entreprises du
secteur privé et public, santé, sanitaire et social, justice, police,
syndicats, acteurs sociaux, etc.) à la prise en compte des phénomènes de
discrimination homophobe et se tient à la disposition des professionnels
concernés. é le 29/03/2016
Depuis le 26 mars 2016 à Paris
le bureau de SOS homophobie qui ne compte sur toute la France que 1300
adhérent-e-s est composé de : Gilles Dehais
président-e ; Virginie Combe
vice-président-e en charge des délégations
régionales ; Michaël Bouvard est élu vice-président-e en charge de l'institutionnel et de
l'inter-associatif ; Anne-So P. est élue secrétaire ; Christophe Chablat est élu
trésorier-e ; Nicolas Moreau est élu à la coordination des délégations
régionales ; William Feuilloy est élu coordinateur de projets en charge de la
transversalité (?).
(*2) Le terme «homosexualité» est relativement récent. Il apparaît en 1869 sous
la plume du Dr Bankert de façon concomitante à une psychologisation des
conduites sexuelles, et au rattachement des déviations de certaines de ces
conduites à un trouble psychopathologique ou à une maladie. Est
devenue une manifestation pathologique ce qui auparavant était considéré comme
un acte criminel : celui de sodomie. C’est parce qu’on est passé de l’acte à la
conduite, de l’éventuel à l’habituel, qu’est né le concept d’homosexualité
précédé d’ailleurs de celui d’«inverti».
L’homosexuel(le) est devenu(e) le sujet défini par un choix d’objet du même
sexe que lui, avec pour conséquence un fait classique en psychiatrie : la
tendance à rapporter une conduite dite «anormale»
à une personnalité pathologique caractérisant un individu. La conduite
homosexuelle fait l’homosexuel, la conduite toxicomaniaque fait le toxicomane,
etc. Double glissement donc : celui de l’acte à la conduite, celui de la
conduite à un type de personnalité disposant à de telles conduites. Mais dans
ce moment où la médecine identifie l’homosexualité à une conduite anormale au
sens étymologique, c’est-à-dire avec ce qui sort de la norme et en l’occurrence
de la norme du vivant, elle l’inclut dans le champ plus large des perversions
(de ce que l’on appellera d’abord «l’instinct
sexuel»), lui faisant ainsi côtoyer aussi bien la bestialité (zoophilie) que
le sadisme, le masochisme que la nécrophilie, mettant sur le même rang les
particularités d’un choix d’objet et les particularités d’un rapport à l’objet.
Il n’est alors pas très difficile de montrer que l’homosexualité comme perversion
et donc comme «maladie» de l’instinct
sexuel ne fut qu’un relais pris par la stigmatisation de l’homosexualité à
partir du moment où la médecine a été pressée d’assimiler le pathologique avec
l’anormal et où elle devient aussi auxiliaire de justice. Chacun sait que les
homosexuels qui n’ont jamais été qu’une petite minorité dans le monde n’ont pas
attendu les «progrès» de la médecine
pour être persécutés. Ils le furent à différentes époques, dans différents
types de société, et même la Grèce ancienne se montra critique à leur égard.
Ils furent persécutés pour différentes raisons, la principale étant sans doute
la nécessité, fortement enracinée, de lier la sexualité humaine aux modalités
de la reproduction biologique, mais les considérations économiques, notamment
celles sur lesquelles insiste Michel Foucault concernant le gaspillage chez
l’homme de la force que constitue sa semence, ne sauraient être éludées. La
médecine a finalement partiellement évincé le problème de l’homosexualité comme
maladie (sauf bien sûr si la personne souffre de son homosexualité ce qui
caractérise encore alors un trouble mental (par exemple si sodomiser des petits
garçons Thaïlandais ou Tunisiens de 12 ans vous pose problème et que vous les
confondiez avec des «boxeurs de + de 30
ans», vous êtes encore un grave malade mental, nonobstant la catégorie
diagnostique d'«homosexualité
égodystonique» a été retirée du DSM, publié par l'Association Américaine de
Psychiatrie, en 1987 (avec la publication du DSM-III-R), mais revient
potentiellement dans le DSM-IV sous la catégorie «trouble sexuel non-spécifié» incluant «détresse marquée et persistante au sujet de son orientation sexuelle»,
manière habituelle des marxistes culturels de noyer le poisson) : rappelons que le terme de «perversion» ne fait bien sûr plus
partie de la quatrième classification standardisée des maladies mentales (DSM4)
et que son éviction s’est faite sous la «pression
de la rue», celle de certaines associations d’homosexuels d’ultra gauche ;
ce qui fait que maintenant un ou une homo-crado-sado-maso-uro-scato-zoo-phile
n’est plus une ou un pervers mais un ou une paraphile. Ce terme de «paraphilie» qui est alors venu abusivement
remplacer celui de «perversion» a eu
pour première conséquence d’escamoter tout débat sur la perversion d’abord et
sur l’homosexualité ensuite : si tous les homosexuels n’étaient pas des
pervers, cela ne signifiait pas pour autant que la perversion n’existe pas ;
restait alors à tenter d’en donner clairement une définition. La psychanalyse
de son côté a tenté dès le début de se démarquer de la position médicale, mais
force est de constater que les considérations freudiennes en matière
d’homosexualité ont entraîné de vives polémiques au sein du mouvement
psychanalytique au point que le débat sur l’homosexualité en est resté plombé
et demeure actuellement délicat. Freud a eu à l’égard de la question
homosexuelle une prudence et une réserve que n’ont souvent pas eu ses
successeurs : il donnera en 1903 une interview à Die Zeit pour défendre un
homosexuel poursuivi en justice et ira jusqu’à signer en 1930 une pétition
demandant la révision du code pénal et la suppression du délit d’homosexualité.
Depuis 2003 et 2004, la loi française punit plus sévèrement les agressions et
les insultes lorsqu’elles sont motivées par l’ «homophobie». Depuis 2012 lorsqu’elles sont motivées par la
transphobie. Elles sont tout aussi répréhensibles pénalement que les
comportements "racistes" ou antisémites. L'hétérocentrisme est l'ensemble des
représentations et des valeurs faisant de l'hétérosexualité la norme unique à
suivre en matière de pratique sexuelle et de vie affective. Il peut inclure la
présomption que chacun est hétérosexuel ou bien que l'attirance à l'égard de
personnes de l'autre sexe est la seule norme et donc est supérieure.
L'hétérocentrisme fait référence aux privilèges des personnes hétérosexuelles
aux soi-disant dépens des déviants gays, lesbiennes, et bisexuels.Mais le combat continue avec
Wanted Pedo
Wanted Pedo
Michel Alain Labet de Bornay.
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Est-ce grâce à SOS Homophobie association complémentaire de l'enseignement public agréé du ministère de l'Éducation nationale et à ses magnifiques et ludiques «modules» imposant au mieux comme le dira le huffingtonpost.fr le 30 février 2014, l'enseignement dans les écoles républicaines d'une prétendue «théorie du genre» visant à transformer les garçons en filles, les filles en garçons et les classes en un vaste lupanar où les professeurs apprennent aux élèves les joies de la masturbation collective, qu’en septembre 2017 un instituteur (on dit aujourd’hui professeur des écoles) de Caveirac, situé à 10 km à l'ouest de Nîmes soupçonné d'agressions sexuelles sur 12 très jeunes mineurs garçons et filles (neuf plaintes ont été déposées), est arrêté mis en examen et placé en détention provisoire.
RépondreSupprimerL'affaire a débuté fin 2016 quand des parents se sont «inquiétés de la narration de certains "jeux"» (des modules Dudule ?). Les enquêteurs ont pris le temps de «s'assurer de l'authenticité et de la cohérence des propos des enfants (...) qui s'exprimaient avec des mots d'enfants de quatre ans» et «ne racontaient pas des abus sexuels» mais «des "jeux"», a expliqué le procureur qui ne connait pas les «modules». Ils ont été entendus selon une procédure spéciale, le protocole Mélanie, dans une salle dédiée et avec des enquêteurs spécialisés. Des soupçons pesaient déjà sur cet instituteur il y a 15 ans, alors qu'il enseignait à Calvisson, à 10 km de Calveirac. Il y avait par exemple ces parents, dira Myriam au Figaro, qui n'osaient plus mettre leur petite fille en robe dans la classe de l'enseignant car «il se passait des trucs». «Il insultait aussi les enfants», se remémore Myriam, qui finit par écrire au rectorat de Montpellier. En vain. L'instituteur reste en place. «Pourquoi le rectorat n'a rien fait?», interroge-t-elle aujourd'hui. «J'espère que des parents vont s'en rappeler et que cette fois ils vont parler».
Nonobstant les casiers judiciaires de plus de 360 000 enseignants ont été contrôlés depuis un an et le ministère de l’Education nationale a procédé l’an dernier à 30 radiations liées à des cas de pédophilie ou pédopornographie, après 27 cas en 2015, a annoncé l’institution, qui emploie plus de 850 000 agents exerçant auprès de mineurs.
Au total, en incluant les «fautes graves», 41 radiations ont été prononcées en 2016 dans l’enseignement public et privé, dont 16 en primaire et 25 dans le secondaire, a indiqué le ministère. Le nombre de radiations pour des affaires de moeurs était de 27 en 2015, 19 en 2014, 26 en 2013 et 15 en 2012, rappelle la rue de Grenelle.