Je n’aime pas les blancs ! Et vous ?

Le titre de «Je n’aime pas les blancs» devrait être pour rester dans le politiquement correct complété par … hétérosexuels normaux, en bonne santé et athées. En effet si sous l’effet d’un délire libertarien de bon aloi j’écrivais ce qu’à Dieu ne plaise : «je n’aime pas les peaux rouges Dakotas pédérastes unijambistes et soufistes» (oui, vous allez me dire qu’il n’y en a pas derche, mais bon) je manifesterais alors un racisme, un sexisme, une forme odieuse d’homophobie doublée d’une handiphobie et d’Islamophobie (le soufisme étant une secte musulmane) passible des tribunaux suivant en cela le décret n° 2017-1230 du 3 août 2017 relatif aux provocations, diffamations et injures non publiques présentant un caractère raciste ou discriminatoire, mais d’ici à ce qu’un pédéraste membre de la tribu des Sioux porte plainte il y a encore de la marge.

Par contre dans notre belle raie publique il est bien sûr permis et même recommandé d’être cathophobe depuis 2010 il existe aux états unis une ligue catholique, la Catholic League, en 2013 Bill Donohue son président avait fait paraître un communiqué qui en disait long sur la culture cathophobe et anti prêtre qui régnait aux États-Unis… «Le goût du lucre n’est pas étranger à tant de fausses dénonciations de prêtres, mais le laïcisme qui progresse aux États-Unis – comme en France… – fait feu de tout bois» disait-il. Personnellement je suis fondamentalement papophobe, il n’est que de lire  ici ce que je pense de cette putain de vieille vérole du pape. Et aussi ce que je pense de l’Encéphalite Spongiforme Religieuse (ESR) en cliquant ici.

Plusieurs point sont éminemment discutables dans ce décret  du gouvernement marxiste culturel (pour en savoir plus achetez mon livre Note 9 le livre qui déchire à donf ! Consultez les 15 premières pages c’est gratuit). Les marxistes culturels ont profité de la torpeur estivale pour prendre le 3 août un décret, publié le 5 au JO qui renforce encore l’arsenal répressif contre le racisme et les «phobies» en tout genre (la phobie : du grec ancien phóbos, frayeur ou crainte est une peur démesurée et irrationnelle d'un objet ou d'une situation précise, malheureusement les législateurs de la Ripoublique, des illettrés marxistes culturels confondent les peurs avec les haines et par un glissement sémantique tente de faire croire que les phobies seraient des rejets ce qui n’est absolument pas le cas).   

En lisant ce splendide décret, j’ai appris ainsi qu’il existait un nouveau délit de «handiphobie» (sic)… à quand le délit de médomalacuphobie (la peur de bander mou) ; attention messieurs qui avez de molles érections aléatoires au stage «citoyen» de tumescence obligatoire ! Tout le monde sait aujourd’hui que la pluparts des militants d’En Marche qui ne sont pas basophobes souffrent d’apopathodiaphulatophobie la haine des personnes d’extrême droite qui comme chacun sait sont toujours constipés, cette phobie n’est en aucun cas un délit.

Tout le monde se rappelle ce qu’avait répondu Sammy Davis Jr à Jack Benny (de son vrai nom Binyamin Kubelsky) alors qu’il lui demandait quel était son handicap sur un parcours de golf : “Handicap?” he asked. “Talk about handicap – I’m a one-eyed Negro Jew.” (Handicap? Demanda-t-il, m’parlez pas d’handicap j’suis un juif négre). Attention défense de rigoler comme un bossu ! Surtout que moi je l’aimais bien Sammy, ce crooner singulier emporté par un cancer de la gorge à 64 ans. Lui qui aimait à rappeler qu’il était petit, noir, juif et borgne.

Désormais dans notre belle raie publique, les propos dits racistes et «phobiques» en tout genre tenus lors de «conversations non publiques» (j’adore la capacité des législateurs à inventer des euphémismes) seront passibles de poursuites… Jusqu’à présent, la justice de s’pays des doigts de l’homme dans le centre d’Union Libéral relaxait en général les prévenus quand ceux-ci étaient poursuivis pour des propos racistes tenus à l’occasion de conversations privées, même si celles-ci avaient été prononcées à voix haute. Dans le cadre de la lutte contre l’handiphobie raconter l’histoire d’un homme qui marche dans la rue, et qui tout à coup, croise un aveugle et lui donne une bonne grosse baffe en lui disant: «Ah !! Tu ne l’as pas vue venir hein, celle-là !» peut vous valoir jusqu’à 3000 euros d’amende et celui qui en rigole bêtement condamné lui aussi pour complicité. Il faut dire que le 8 juin dernier je faisais une sorte de coming out et faisait un terrible aveu ; oui je suis fou ! Complètement fou, brindezingue, maboul, con, etc. etc. D’autres sur certains blogs marxistes culturels me traitaient de : libérationniste à tête d'alcoolique fin de race, gros tas de merde libertarien, obscène jusqu'à la folie furieuse, pédophile d’opérette et d'inadapté social consanguin, j’oubliais la référence number one: fasciste, facho, extrémiste de droite et même carrément nazi, nazillon, suppôt de Le Pen et de Satan donc,  etc. etc. Si je n’ai pas échappé à Labet Immonde proféré à Mont de Marsan lors d’un procès stalinien par l’avocate du MRAP qui distille de la haine des juifs, j’ai toutefois échappé jusqu’à aujourd’hui aux injures marxistes telles qu’hydre sanglante du capitalisme, vipère lubrique impérialiste et colonialiste, puante hyène capitaliste qui suce le sang du prolétariat, patron voyou, tigres de papier laquais du capitalisme ploutocratique, les grandes idées se perdent ! L’injure, l’invective, la grossièreté, la basse insulte, la vulgarité, les sottes imprécations semble la technique la plus efficace que ces courageux anonymes prétendus «humanistes, progressistes et autres pacifistes» si ce n’est «républicains» semblent avoir trouvé pour éviter toute possibilité de débat ! Vous jeter l'anathème ! Mais de grâce arrêtez SVP de me stigmatiser, car cette stigmatisation, telle que vous la pratiquée et telle qu’elle est pratiquée par vos amis activistes de gauche se disant pour certains «républicains», c'est une volonté de donner en pâture votre racisme virulent en raison de mon origine blanche et Française de vieille souche (Je sais : «Les aristocrates à la lanterne!») plutôt que de s'attaquer à la véritable raison qui est le traitement de la crise provoquée par la sociale démocratie mondialiste et le marxisme culturel nauséabond d’ En Marche  tout autant mondialiste et ce n'est pas juste de l'idéologie, on peut le vérifier tous les jours dans les faits. Derrière tout ceci il y a la stigmatisation, tel l'expérience de troubles mentaux, toxicomanie, alcoolisme et antécédents criminels (ou l'imposition d'un tel diagnostic) ; une forme physique déformée ou une différence non-désirée l’appartenance à l'ensemble d'une «race» (Qui n’existe pas), les groupes ethniques et nationalités, religions, croyances, idéologies politiques, perçus comme étant hors des normes sociales marxistes culturelles. On voit que la loi à l’instigation des communistes et socialistes (Fabius-Gayssot) n'a protégé qu'une forme de stigmatisation, celle sur l'ethnie ou la race (Qui n’existe pas pour les marxistes culturels). Et ça c'est inadmissible. En effet pourquoi avoir oublié les autres. C'est incompréhensible. Pourtant les malades mentaux ont aussi connu les camps de concentration du Goulag, les asiles psychiatriques communistes et Socialistes Nationaux. Ne pensez-vous pas que la maladie mentale a assez souffert de la stigmatisation pour que toute stigmatisation des fous soit punie par la loi au même titre que le racisme ? Et bien d’accord celle-là je l’ai cherché non ?

Désormais, tolérance zéro. Délation à gogo. A l’issue d’un repas bien arrosé, vous sortez une bonne blague sur les nègres bleus (*), les fous, les mongoliens, les tafiolles asphalteuses, les travlos brésiliens tapineurs du bois de Boulogne, les bouddhistes talmudistes ou les mahométistes kharijites, vous risquez de vous retrouver devant le tribunal de police. Le tarif : 1500 euros d’amende, 3000 en cas de récidive, sans oublier l’inévitable «stage de citoyenneté».

On peut être sûr que dans ce système marxiste culturel il se trouvera toujours des délateurs et autres sycophantes pour dénoncer mon blog ou leurs voisins, leurs collègues de travail et pourquoi pas les membres de leur famille.

Voici à titre d’information un extrait du préambule du décret (le texte intégral est disponible sur légifrance) : «Le décret améliore la lutte contre les manifestations de racisme, de sexisme et d’homophobie pouvant se produire dans des lieux non publics, comme au sein des entreprises ou des établissements scolaires. Il renforce à cette fin la répression des contraventions de provocation, diffamation et injure non publiques à caractère raciste, sexiste, homophobe ou handiphobe, dans des conditions similaires à ce qui a été prévu dans la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse par la loi n° 2017-86 du 27 janvier 2017 relative à l’égalité et la citoyenneté pour les délits de provocations, diffamations et injures racistes ou discriminatoires commises de façon publique. Il élargit ces infractions aux cas où elles sont commises en raison de l’identité de genre de la victime, afin de mieux lutter contre la Transphobie, et il substitue à la notion de race, qui n’est pas applicable aux êtres humains, celle de «prétendue race» (ben si, les races existent bel et bien et cette «notion» est bien applicable à l’espèce humaine : la vérité sur les races humaines cliquez ici) comme cela a été fait dans les dispositions législatives du code pénal par la loi du 27 janvier 2017. Il ajoute pour ces infractions la peine complémentaire de stage de citoyenneté, qui existe désormais pour les délits prévus par la loi du 29 juillet 1881».

Camille Desmoulins qui ne connaissais pourtant pas monsieur le président de la République Macron dira : «Ce sont les despotes maladroits qui se servent de baïonnettes, l’art de la tyrannie est de faire la même chose avec des juges».

Bon je sais, je suis raciste et alors ?

 (*) Nègre bleu ou négro azul est un des qualificatifs racistes utilisés à Cuba le merveilleux paradis socialiste des travailleurs, par sa police et son administration pour un homme de couleur dit «noir» dont la couleur de peau est très foncée. Mais cette qualification figure aussi sur les papiers d’identité des «citoyens» en stage permanent de citoyenneté (Notez qu’en France cette  «notion» de race, n’est pas applicable aux êtres humains par la sainte grâce d’un législateur se substituant aux scientifiques au nom d’un dogme marxiste culturel).                                                                      Alors que les personnes de couleur dites «noires» forment 62 % de la population cubaine – chiffres de l’université de Miami –, comment se fait-il que lors du recensement de 2002, 11% des Cubains seulement se sont déclarés Noirs ? Pour l’opposant Manuel Cuesta Morua, la raison en est simple : à Cuba, les «Blancs» entretiennent un «racisme cordial» envers les «Noirs» et l’une des bases idéologiques du régime marxiste dit castriste reste le système dit de l’ «avancement», par lequel les «Blancs» obtiennent les meilleurs logements, les meilleurs emplois, les meilleurs soins, etc. Si le système était binaire, «Blanc – Noir», près des deux tiers de la population subirait de plein fouet un système d’apartheid. Fort heureusement, le législateur marxiste a établi un riche nuancier qui permet à tout un chacun de se sentir plus ou moins «Blanc», à l’exception de ceux qui ne le sont pas du tout. La couleur de peau, va ainsi du noir de chez noir le «negro azul» ou noir bleu sorte de Stroumpf nègre au «jabao» (nègre clair de peau) en passant par le «blanconazo» (blanchâtre), le «prieto» (noirâtre), le «moreno» (brun), le «mulatro» (mulâtre), le «trigueño» (brun clair). Un «moreno» pourra faire valoir qu’il est plus proche d’un «jabao» que d’un «negro azul» pour obtenir un meilleur job, dans une économie où les emplois sont à la discrétion du Parti communiste. Malgré l’égalitarisme prôné par le système, les «Noirs-Noirs» restent très largement au bas de l’échelle sociale. 85 % des prisonniers de droit commun à Cuba sont des «noirs-noirs». Comme en France les marxistes culturels partisans du régime marxiste cubain associent encore la «manipulation du thème racial» à la «subversion contre-révolutionnaire» et ont toujours faussement estimé que la prétendue «égalité des chances» suffirait à surmonter le «racisme». Parler du «sujet» revient donc à «diviser la Révolution socialiste», à promouvoir un «racisme à l’envers» ou la «subversion raciale». Bref, pour de vrais marxistes et communistes Castristes ou en France militants du MRAP (mouvement qui distille de la haine des juifs), de la LDH, du Front de Gauche ou socialistes d’En Marche, ceux qui évoquent l’existence de racisme sur l’île ne peuvent être que d’affreux contre-révolutionnaires à la solde des Etats-Unis (peut-être aussi d’ignobles fascistes d’extrême droite sociaux nationalistes ou nazis) en savoir plus cliquez ici.

Et puis tant que j’y suis restons encore une minute à Cuba avec le bien connu Ernesto Guevara.

Gardez à l'esprit en lisant les citations qui suivent que l’assassin et gangster communiste raciste homophobe et antisémite dégénérescent Ernesto Guevara dit Le Che ou le Boucher qui les a proférées était un médecin (sic) qui parlait sans cesse de l'ignorance et des préjugés mesquins des gens de toutes classes sociales.

Citations de The Motorcycle Diaries (le livre):

«Les noirs, ces magnifiques exemples de la race africaine qui ont conservé leur pureté raciale grâce à leur manque d’affinité avec la baignade et l’hygiène, ont vu leur territoire envahi par un nouveau type d'esclaves: les Portugais».

«Le noir est indolent, nonchalant et rêveur; il va dépenser son maigre salaire en légèreté et en boisson alcoolique; l’Européen lui a une tradition de travail et d'économie qui l'a poursuivi dans ce coin de l'Amérique et le fait se promouvoir lui-même, indépendamment de ses propres aspirations».

Rappelons aussi également que selon Pierre Clostermann, le raciste et assassin communiste Che, disait que les noirs étaient «d’une sauvagerie atavique».

Pour le marxiste Guevara les personnes de couleur qu’il nomme «noirs de la Race Africaine» sont sales et ne se lavent pas, ils sont indolents paresseux nonchalants rêveurs et dépensent leur salaire dans les boissons alcooliques. Il ne manque plus au tableau du bon communiste marxiste raciste que l’antisémitisme, le racket du gangstérisme mafieux et l’homophobie, patience on y vient : avec cette autre citation de The Motorcycle Diaries:

«La première personne sur qui nous frappons était le maire, quelqu'un appelé Cohen; nous avions beaucoup entendu parler de lui, qu'il était juif et qu’il n’était  intéressé que par l’argent, ce qui régla son sort (…) L'épisode nous vexe un peu, parce que l’homme, était en plus homosexuel et un ennemi de la classe ouvrière de premier ordre et il avait pourtant été très agréable pour nous, nous donnant 10  Dollars chacun, apportant notre total à 479 pour moi et 163 1/2 à Alberto».

C’est cet «homme» là un grand pacifiste et progressiste qui a dit aussi : «Les Mexicains sont une bande d'analphabètes Indiens».

Dans son testament il loue «la haine efficace, violente, sélective et froide machine à tuer».

Il dit aussi comme tous les marxistes et autres socialistes qu'il ne peut pas être «ami» avec quelqu'un qui a des idées contraires aux siennes. Quelle chance j’ai alors de ne pas être comme par exemple messieurs Besancenot, Poutou ou Mélenchon et de ne pas partager comme eux avec le Che  ses idées racistes, homophobes antisémite et maffieuses de gangster marxiste!                                                            Même l’ancien compagnon du Bou «Che» en Bolivie, Régis Debray, déclarait à son sujet : «La haine brute fait de cet homme une efficace, violente, sélective et froide machine à tuer». Fidel Castro le leader maximo, lui conseillait alors de tuer tant que cela sera nécessaire: «Notre lutte est une lutte à mort». Pour l’idéologie socialiste nauséabonde des marxistes culturels et autres militants d’En Marche qui a déjà fait la bagatelle de cent cinquante millions de morts… Le «Che» antisémite raciste et homophobe, serait un grand humaniste de gauche communiste ? Mais de qui se moque le NPA ? Vous n’avez même pas un soupçon de «rouge» au front de honte camarades ?

Michel Alain Labet de Bornay.

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Dans la série petite blague à diffuser :

Que voir allah télémédiacrasseuse : Aujourd’hui dans Poubelle la vie, le «feuilleton» de merde Franchouillard marxiste culturel et «marseillais», Fatiha la tapineuse moukère est inquiète ; Ali a reçu une décharge de 12 dans le visage alors qu’il s’apprêtait à cambrioler une bijouterie pour rembourser le grossiste de la BAC qui l’avait fourni en cocaïne afin d’alimenter les partouzes pédophiles des magistrats, des journalopes et des élus Marseillais d’En Marche. Pendant ce temps, Mohamed déprime, tous ses amis sont morts dans des règlements de compte ou des attentats suicides terroristes et de plus son opération de changement de sexe l’a laissé invalide et handicapé. Son malaise se fait de plus en plus sentir auprès de ses clients à l’hôtel et si ses derniers apprenaient qu’il a refilé le Sida à monsieur le maire ? Il perdrait la garde de ses enfants achetés à des Roms, ce qui nuirait à leur business florissant de trafic d’êtres humains et de voitures volées.

La plus drôle !

C'est l'histoire d'une femme qui ne réussit pas à atteindre l'orgasme lorsqu'elle fait l'amour avec son mari. Alors un jour elle lui dit :

- Chéri, cette nuit j'ai fait un rêve incroyable. On était en train de faire l'amour et au dessus de nous, sur l'armoire, il y avait un homme noir qui agitait un éventail et j'ai pris un pied pas possible.

Alors le couple décide de concrétiser le rêve. Alors ils sortent de chez eux et à un feu ils trouvent un grand noir et lui proposent 100 euros s'il accepte de venir ventiler avec un éventail sur l'armoire pendant qu'il font l'amour.

Le gars accepte et ils vont directement dans la chambre à coucher.

Le couple commence à faire l'amour et le noir agite l'éventail.

Malheureusement aucun résultat. La femme n'atteint toujours pas l'orgasme...

Alors elle propose à son mari qu'il change sa place avec celle du noir.

Le mari un peu perplexe accepte.

L'échange se fait, le mari prend l'éventail et commence à ventiler. Après peu de temps la femme hurle de plaisir en atteignant l'orgasme.

Lorsque les deux ont terminé, le mari redescend de son armoire, s'approche du noir et lui dit :

- Alors, connard... t'as vu comment il fallait ventiler ?!

Petite blague à diffuser :

Pourquoi n’y a-t-il aucun mexicain aux jeux Olympiques ?

- Parce que tous ceux qui savaient sauter et courir vite ont déjà quitté le pays.

Petite blague à diffuser :

C'est un mignon petit renard qui marche dans la forêt ou il voit un petit lapin qui pleure

Le renard dit: mais pourquoi tu pleures ?

-ben voilà, je ne sais pas qui je suis !

-mais si ! T’a une petite queue ronde des grandes oreilles, t'es un lapin!

-oh merci fait le lapin et il s'en va tout content et là il voit un petit mouton qui pleure et il lui dit:

-mais pourquoi tu pleures?

-béééeeeeeh, je ne sais pas qui je suis !

-mais si! T’es frisé, t'es moche, tu pue, t'es un arabe!

Bonne réflexion en Alabama :

Un des effets de l’émancipation fut de rendre fourbes et prétentieux, de braves Nègres, qui n’étaient au départ que de simple imbéciles.

La vérité sort de la bouche des enfants :

Un gamin demande à son père :

– Papa, pourquoi on ne mange pas de singe ?

– Bah, il paraît que ce sont nos ancêtres, alors ça ne se fait pas.

– Ah d’accord, c’est pour ça que les musulmans ne mangent pas de porc !

Constatation :

Quand un blanc se bat contre un arabe ou un noireuh, comment reconnaît-on l'agresseur ?

Le noir ou l'arabe se défendent, le blanc commet un acte de violence raciste.