dimanche 27 mai 2018

Eric Zemmour a raison !


Quand A2 se prend les pieds dans Le déconstructivisme l’idéologie politiquement correcte marxiste culturelle.


Vidéo ; monsieur Zemmour dans l’émission On n'est pas couché parle de son livre «Le suicide français» (Chez Albin Michel) et appelle la sphère politique marxiste culturelle : Le déconstructivisme une expression de l’École de Francfort. Pourquoi pas ? Mais au «déconstructivisme» de monsieur Zemmour, j’y préfère de loin le terme de marxisme culturel ou dans une moindre mesure le politiquement correct car il est à craindre que l’emploi du mot déconstructivisme qui qualifie un mouvement artistique, particulier à l'architecture ne soit pas très judicieux.
La théorie des systèmes de la société mondiale, développée à l’Institut de recherche sociale ou école de Francfort fondée par Lénine, Willy Münzenberg et György Löwinger dit Georg Lukács, grand criminel contre l’humanité et ministre de Bela Kun lors de l’immonde République des conseils de Hongrie, est une théorie critique des systèmes sociaux. La théorie critique des systèmes est chargée de la mise au point de l’idéologie marxiste culturelle et pour ce faire elle a bien sûr une version déconstructiviste mais ce n’est pas l’essentiel, pour en savoir plus cliquez ici.
Fin 2015 j’écrivais :
Cette «sphère politique» a un nom, cela s’appelle le marxisme culturel mon cher monsieur, c’est en terme classique politiquement correct de la pensée unique remarquablement théorisé par Antonio Gramsci un système qui comprend l’ensemble de l’organisation sociale, système devenu totalement marxiste culturel, ce système, ne comprend pas seulement «ceux qui profitent de ce système véreux et laxiste» mais l’ensemble des peuples de France, d’Europe et d’ailleurs dans le monde occidental car nous y sommes tous, vous, moi, Vincent, Moïse, François, Manuel, Paul, Mohamed et les autres. Des victimes de l’impérialisme culturel qui «profitons» ou «pâtissons» tous de ce fameux système à plus ou moins hautes doses.
D’aucuns irons plus loin en parlant de «clans de la mafia politique française» disant : «Ce n’est pas le FN qui menace la paix civile mais la caste avec ses privilèges, son arrogance, son mépris des classes populaires, des «sans dents», ses magouilles électorales…»
Non mesdames et messieurs, non, les classes, les castes etc. etc. c’est fini ; c’est de l’histoire ancienne et peu de gens l’on vu venir, nous avons tous participé à l’avènement du marxisme culturel. 
Aujourd’hui des Libertariens l’on parfaitement théorisé voir ici comment le social impérialisme est devenu le stade suprême du communisme.

Le 19 juillet 2014 le Club Danton écrivais un bel article : Comment le marxisme culturel détruit la France je peux vous dire que c’est fait et bien fait et qu’en 2018, il n’y aura pas de retour possible.
Extrait du dit article : La révolution russe s’est construite sur la forme économique du marxisme, basée sur l’exploitation de la jalousie entre classes sociales. Cette forme a peu progressé entre les deux guerres et n’a pas réussi à vraiment s’imposer dans les pays de l’Est après 1945. Elle a quasiment disparu des territoires couverts par l’ex-URSS depuis la chute du mur. Les dirigeants bolchéviques avaient néanmoins anticipé cet échec potentiel très tôt. Après la défaite de la Vistule, – où les troupes russes ont été arrêtées par des polonais héroïques sauvant ainsi les pays occidentaux de l’invasion - et surtout Lors du congrès de Moscou de 1922, Trotski et la clique de judéo-marxistes qui avaient mis la main sur le pouvoir, – les liens exacts entre la bande à Trotski, pratiquement tous athées, et le monde juif religieux constituent toujours un mystère» (mystère dévoilé par mes soins lorsqu'en Octobre dernier j'écrivais: «Là il m’a été donné une brochure, la «Tour de garde» anciennement «réveillez-vous» sorte de catéchisme très bien fait et très dogmatique. Quelle ne fut pas ma surprise d’y trouver une référence à l’anarcho-syndicaliste Noam Chomsky (Chomsky y dit une chose juste: «personne ne va déverser la vérité dans notre esprit. C’est à nous de la trouver par nous-même») de nombreux marxistes ont dit des choses justes mais la doctrine est criminelle dans l’ensemble. D’abord intéressé par le marxisme, Chomsky s’en détacha très tôt pour choisir une voie dite libertaire de gauche assez originale et peu connue l’anarchisme juif. Chomsky fut aussi au début très influencé par Karl Korsch, «philosophe», enseignant, théoricien et militant du communisme de conseils (une des versions séculière du marxisme culturel bien représenté par les républiques des conseils l’horreur communiste barbare totale et absolue particulièrement sous Béla Kohn ou Cohen dit Béla Kun qui mit en œuvre la  terreur rouge au sein de la République des conseils de Hongrie (du 21 mars au 1er août 1919).Cette pseudo «république» marxiste en viendra à utiliser la propagande antisémite, bien que la plupart de ses cadres aient été eux-mêmes des juifs d’origine, des Erev Rav (Le peuple de boue, ou érèv rav (hébreu:  «tourbe nombreuse») ou assafsouf («ramassis») est un groupe d’étrangers (des faux juifs) se joignant aux Hébreux lors de l’Exode hors d’Égypte. Dans la traduction du Monde Nouveau de la Bible les témoins de Jéhovah appellent gentiment l’Erev Rav le «peuple mêlé» ; Exode Chapitre 12 verset  37 : Alors les fils d’Israël partirent de Ramsès pour Soukkoth, au nombre de six cent mille hommes de pied, [des hommes] robustes, sans compter les petits. 38 Et un peuple mêlé, immense, monta aussi avec eux, ainsi que du petit bétail et du gros bétail, cheptel très nombreux. La tradition juive fait de l’Erev Rav des convertis insincères, responsables des fautes d’Israël dans le désert et des comportements indignes se manifestant parmi les Juifs. Eliyahou ben Shlomo Zalman plus connu comme  le Génie de Vilna simplement par son acronyme hébraïque HaGRA (HaGaon Rabbénou Eliyahu - Notre Maître Élie, le Génie), explique que le érèv rav sont ceux dans le peuple juif qui au lieu de contrer «ceux qui parmi les Nations causent du tort au peuple juif» choisissent la polémique et s’en prennent à lui utilisant les «fausses vertus des hypocrites et des trompeurs». Notons que le marxiste, le républicain ou le socialiste est dans tous les cas entouré de ses fausses vertus des hypocrites et des trompeurs. Cette conduite est expliquée au sujet des Juifs dans l'histoire moderne comme «étant le désir de certains Juifs d'être reconnus sur le plan social dans un environnement hostile aux Juifs», ou comme «la conséquence d’une éducation juive défectueuse». Ils sont considérés comme des «ennemis de l’intérieur» ou des «juifs antisémites» personnellement je les qualifie de faux juifs. Combien de gens savent que des dizaines de milliers de juifs, de demi-juifs ou de quart de juifs serviront sous l'uniforme nazi durant la guerre ; en savoir + sur les soldats juifs d'Hitler. Rabbi Pinchas Winston un spécialiste lui aussi des temps de la fin écrit qu'il existe dans le judaïsme un terme technique, le érèv rav, pour désigner les Juifs qui au fil des générations «sont tellement assimilés et influencés par des valeurs non juives qu'ils sont devenus par eux-mêmes des ennemis de la nation juive». Il donne pour exemple «les Juifs qui sont tellement à gauche [politiquement] qu'ils sont devenus des antisémites à part entière» (Certains marxistes culturels sont aujourd’hui de vrais antisémites comme on peut le voir ici et là lalalère...). Il explique que «ce qui les rend dangereux» est que lorsque «des non-Juifs disent au sujet du peuple juif ce que le érèv rav dit, ils sont qualifiés d’antisémites, par contre quand c'est le Erev Rav qui le dit ils sont considérés comme introspectifs, honnêtes, courageux, puritains, alors qu'en fait ce qu'ils sont réellement est des haineux d’eux-mêmes»), chez les cadres juifs convertis à la religion séculière marxiste de la République des conseils de Hongrie, une affiche dénonce les Juifs refusant de partir au front et proclame «Exterminez-les s'ils ne veulent pas donner leur vie à la cause sacrée du prolétariat !». Béla Cohen dit Kun fait rafler et exécuter la plupart des cinq mille juifs polonais venus tenter de se ravitailler en Hongrie. Dans les dernières semaines du régime marxiste, les éléments radicaux tentent de prendre le contrôle, réclamant la mise du grand progressiste Szamuely à la direction du gouvernement et l'intensification de la politique de terreur qui avait déjà atteint des sommets de l’horreur, et exigeant une «Saint-Barthélemy rouge. (…) Madame Marine Lepen dira aussi en 2015 : «nos compatriotes  juifs le savent l'antisémitisme est dû à l'implantation de l'Islamisme dans notre pays») –les marxiste pourrait-on dire traditionnels et officiels, ont eu l’idée de génie de créer un «marxisme culturel» beaucoup plus discret pouvant se propager beaucoup plus efficacement que le marxisme officiel dit économique. Cette forme insidieuse de marxisme vise à établir progressivement une société culturellement totalitaire basée sur une morale de confrontation et sur la destruction des valeurs gréco-judéo-chrétiennes traditionnelles. Après l’éviction de Trotski (érev rav parmi les érev rav) et la prise du pouvoir par Staline ( un ardent nationaliste partisan du socialisme dans un seul pays), cette intelligentsia trotskiste internationaliste s’est déplacée à travers le monde : d’abord Francfort (1923) avec des chefs de file tels Marcuse (plus tard à la pointe des troubles étudiants aux Etats-Unis), Horkheimer, Wiesengrund-Adorno, puis new York (1933) après l’arrivée d’Hitler au pouvoir, puis de nouveau Francfort dans les années 50. C’est ce groupe de «philosophes» ou intellocrates marxistes et leurs adeptes qui vont élaborer plus en détail les principes du «marxisme culturel». Le «Politiquement correct» n’est que le dernier avatar de ce courant. Pour le marxisme culturel, la base de la destruction de la société est la valorisation et l’exacerbation des jalousies entre divers groupes sociaux, ethniques ou religieux. Evidemment, le premier ennemi à abattre est le catholicisme universel qui prêche l’amour du prochain, aux antipodes complets de la doctrine du marxisme culturel. Accessoirement la destruction de l’église orthodoxe et de la synagogue s’incluait bien dans le paysage de l’élaboration de la religion séculière marxiste. Afin de détruire les démocraties occidentales par l’intérieur sans avoir recours à la force, les théoriciens du marxisme culturel ont imaginé et mis en œuvre des actions multiples touchant à la fois les institutions et les valeurs démocratiques. Ces actions ont évolué au fil du temps afin de s’adapter au contexte et aux événements. Les principales sont listées ci-dessous :
  • Infiltration des partis existants (plutôt que création de nouveaux partis),
  • Encouragement de l’immigration de cultures exotiques qui auront du mal à s’intégrer, généreront des tensions et contribueront à la destruction progressive de l’identité de la race blanche et des valeurs démocratiques,
  • Volonté de faire obstacle au maximum à la natalité blanche en promouvant l’avortement et en encourageant le développement de familles sans enfants,
  • Destruction des valeurs de solidarité telles la famille ou la nation,
  • Destruction des repères culturels et moraux fondateurs en sabotant l’église catholique,
  • Utilisation dans l’enseignement du sexe et notamment de l’homosexualité pour transgresser la morale traditionnelle et créer de nouvelles revendications clivantes dans la société,
  • Affaiblissement de l’éducation par une baisse progressive du niveau et une élimination de la sélection afin de faire disparaitre tout repère chez les jeunes,
  • Noyautage de la magistrature pour culpabiliser les victimes et exonérer les criminels,
  • Création d’une dépendance financière croissante vis à vis de l’état afin de créer une population asservie et assistée,
  • Contrôle et abêtissement des medias pour dévaloriser le jugement personnel et l’esprit critique,
  • Substitution progressive de la famille monoparentale ou homoparentale à la famille traditionnelle comme modèle de société,
  • Promotion d’une forme exacerbée de féminisme jouant sur la jalousie entre sexes plutôt que sur leur complémentarité,
  • Propagation des grandes peurs écologiques, totalement fictives et manipulées à longueur d’années.


Parfois monsieur Eric Zemmour a des «fulgurances» et des "idées" ce qui n’est pas donné à tout le monde, surtout dans le Monde. Il dit vouloir faire le procès de l'antiracisme des années 1980 qu'il qualifie, avec le féminisme, de «cause(s) de bien-pensants» (bien-pensance ou politiquement correct, sont des synonymes de marxisme culturel) se rattachant au «milieu des pseudo-élites françaises et occidentales» (ex idiots utiles devenus intellocrates) que le peuple ne suivrait pas du tout. C'est surtout après avoir «lu Pierre-André Taguieff», connu pour ses prises de position et ses travaux sur la «Nouvelle Droite» et l'antiracisme, qu'il a «compris que le progressisme antiraciste n’était que le successeur du communisme, avec les mêmes méthodes totalitaires mises au point par le Komintern dans les années 1930». Dans What is Cultural Marxism ? J’essaye d’expliquer comment dès 1925 Antonio Gramsci un «journaliste» de propagande (Il y en a encore même chez nous comme nous l’a bien expliqué l’auteur du feu site Les Elégances : «Le fascisme rouge collectiviste et marxiste culturel nidoreux montre son vrai visage sur Rue89, nulle recherche de débats d’idées, juste la vieille technique de la reductio ad Hitlerum sur fond de chasse à l’homme et ce en lançant l'anathème ! En vous accusant de racisme, d’eugénisme, de xénophobie, de sexisme, esclavagiste, colonialiste, impérialiste, petit blanc réactionnaire, sioniste, libertarien, identitaire, frontiste, extrémiste de droite, etc., en fait, en vous excluant du genre Humain ces marxistes culturels se discréditent totalement. La «journaliste» marxiste culturelle a une pensée intellectuelle faible et généralement un QI de moule qu’elle compense en disqualifiant par des mots à forts impacts psychologiques tous les contradicteurs un peu trop convaincants. La collectiviste socialiste est sans scrupule, sa bonne conscience l'autorisant à user de la pire mauvaise foi. Il est inutile de voir en celle-ci un être Humain doué de conscience, elle est plus proche psychologiquement du psychopathe, n'ayant aucun scrupule à violer tout principe éthique» et il y en a d'autres. Antonio Gramsci, fondateur du Parti Communiste Italien pensait lui que l'échec du communisme à faire la révolution socialiste était dû à l'emprise de la culture qu’il dit être «hégémonique» et bourgeoise sur l'idéologie et les organisations des travailleurs. Gramsci avait fait le constat suivant : Les révolutionnaires bolchéviques russes étaient non seulement les premiers en octobre 1917 à avoir réussi à prendre le pouvoir, mais c’était aussi les seuls. Les processus marxistes révolutionnaires s’étaient multipliés au cours des années 1910 et 1920, mais partout ils avaient échoué. Gramsci lui-même avait pris part entre 1919 et 1920 aux «conseils de Turin» (le bienno rosso, les «deux années rouges»), pendant lesquels les ouvriers manipulés par quelques intellos de cette ville occupent leurs usines, et ou des formes embryonnaires d'autogestion se mettent en place. Mais en Italie comme partout ailleurs (Allemagne, Hongrie, plus tard en Espagne...), le mouvement communiste est battu, c’est l’échec encore l’échec, toujours l’échec ! La question que se pose alors Gramsci est : pourquoi ? Pourquoi dans les pays les plus avancés (France, Allemagne, Italie...), ce qui était bêtement prévu par tous les merveilleux textes marxistes si pénétrants, à savoir la révolution socialiste, n'arrive pas ? Cela même lorsque les organisations ouvrières peuvent se prévaloir de centaines de milliers, voire de millions, de membres, comme en Allemagne, où la social-démocratie obtient aux élections un quart des voix. Le concept critique d'hégémonie culturelle, c'est l’utopique réponse que Gramsci va proposer à ce problème.
Antonio Gramsci c’est quelque peu, mais pas trop inspiré de Marx et du fondateur du marxisme culturel Lénine mais surtout de Willi Münzenberg, grand architecte de la Désinformation sous son ami Lénine puis un moment sous Staline (Staline l’a fait démocratiquement assassiner), qui convaincu que le Communisme ne pourrait jamais s'implanter si la nature même des peuples de la Chrétienté n'était au préalable radicalement transformée, a défini l'objectif et donné le mode d'emploi du Marxisme Culturel : «Organiser les intellectuels et se servir d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue. Alors seulement, après que toutes ses valeurs eussent été corrompues et la vie rendue impossible, pourrions-nous imposer notre Dictature du Prolétariat».
En d'autres termes, les représentations culturelles de la «classe» dirigeante, c'est-à-dire à l’époque l'idéologie dominante, qui avaient déteint plus que Marx n'aurait pu le penser sur les masses de «travailleurs» devaient être remplacées. C’est en fait assez simple, Gramsci nous dit : «Si le peuple ne veut pas changer, changeons le peuple . Dans les sociétés industrielles «avancées», des outils culturels qu’il nomme «hégémoniques» tels que l'école obligatoire, les médias de masse et la culture populaire auraient inculqué une «fausse conscience» aux fameux travailleurs, il convient donc de leur en inculquer d’autres véritablement marxistes. Au lieu de faire en sorte qu'advienne une révolution qui prétendument servirait leurs besoins collectifs, les «travailleurs» des sociétés «avancées» avaient cédés au nationalisme naturel, au consumérisme et à l'ascension sociale naturelle elle aussi, embrassant un individualiste naturel de compétition et de réussite personnelle ou encore se rangeant derrière des chefs religieux ce qui pourrait être aussi en quelque sorte être naturel. Gramsci analyse et prépare les bases du MC donc le rôle des médias, de l'art, du théâtre, du cinéma et les institutions culturelles de la société en mettant de l'emphase sur les luttes de genres, de classes et d'ethnies pour ne pas dire de races (et c’est là que monsieur Zemmour et Gramsci s’atteignirent) en visant à subvertir les valeurs chrétiennes et les normes culturelles naturelles et traditionnelles de la société occidentale. Nous verrons que cette présentation est succincte et qu’elle occulte (Volontairement ?) la dimension marxiste-léniniste fondamentale (comme le complot dit de la Symphonie en rouge majeur  et les idées soufflées dans l’oreille complaisante de Lénine par Willy Münzenberg  notamment  celle-ci que l’on vient de voir: «Organiser les intellectuels et se servir d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue», dimension fondamentale à prendre en compte dans la compréhension du phénomène, touchant toute les relations humaines. 

Revenons à monsieur Zemmour selon lui, l'antiracisme est une tactique initiée par François Mitterrand pour faire oublier le virage libéral de la gauche en 1983. L'antiracisme serait une idéologie mise en place par d'anciens gauchistes qui auraient dû renoncer à leurs illusions. Avec les immigrés, ceux-ci auraient ainsi trouvé une sorte de peuple révolutionnaire de substitution. Tout cela bien dit dans son livre : "Le suicide Français", je ne doute pas qu’après m’avoir lu il ne restera plus à monsieur Zemmour qu’à écrire «Le cadavre France».                                                
Au chapitre 4 de What is Cultural Marxism ? j’écrivais : « La création par des marxistes occidentaux (le marxisme culturel est aussi appelé «marxisme occidental») aux ordres du Komintern (l’Internationale communiste) (bien vu par monsieur Zemmour, mais pas assez approfondi car malheureusement soigneusement tenu caché) de l’institut des études sociales de Frankfort (Institut für Sozialforschung) chargé de la subversion de la société capitaliste occidentale dans les années 20 et 30 est nommé aujourd’hui le marxisme culturel qui migrera vers les USA après l’arrivée au pouvoir d’Adolph Hitler (Cette partie de l’histoire a aussi été très bien perçue par monsieur Zemmour). Ce poison idéologique a alors gagné les Universités américaines de Berkeley, Columbia, Princeton, et Brandeis. A partir de ces institutions le poison est passé dans le système d’éducation en Occident avec une véritable éclosion à partir des années 60 grâce à une nouvelle ingénierie sociale. Il gagnera aussi Hollywood et la culture cinématographique. L’idéologie marxiste culturelle de l’École de Frankfort contamine alors des générations entières grâce aussi aux moyens de communications modernes. Des idées basées sur les idéologies de Hegel, Marx, Nietzsche, Freud, etc.
Les objectifs de subversions de l’École de Francfort et par conséquent du politiquement correct ou marxisme culturel.
1. La création d’accusations racistes.
Si cette partie de l’histoire a été elle aussi bien distinguée par monsieur Zemmour dans sa thèse sur le «Le déconstructivisme». Il reste encore onze autres parties nécessaires essentielles à l’édification du marxisme culturel :
2. Un changement continuel afin de créer la confusion.
3. L’enseignement du sexe et de l’homosexualité aux enfants.
4. Saboter l’autorité des écoles et des professeurs.
5. Immigration massive pour détruire les identités nationales.
(Bien vu aussi par monsieur Zemmour)
6. La promotion de l`alcool et de la beuverie.
7. Action de déchristianisation des écoles et des institutions qui a indirectement favorisé la culture de mort marxiste culturelle en créant le vide nécessaire par ses violentes attaques contre l’Église
. (Le judaïsme n’échappera pas à la règle générale)
8. Un système de justice peu fiable et biaisé contre la victime du crime.
9. La dépendance sur aux contributions sociales de l’état.
10. Contrôler les médias et rendre la qualité de l’information médiocre.
(On ne va pas cracher dans la gamelle de Zemmour, mais bon, on sait que dans ce beau pays des doigts de l’homme la presse est subventionnée à 124 %. Jusqu'à l'écœurement dira Bruno Roger-Petit qui donne un bel exemple de fabrique du consentement en démocratie libérale, telle que Noam Chomsky l’a astucieusement démontrée (qu’est-ce que je vous disais ?). La campagne pour les présidentielles a permis de vérifier le rôle des médias dans la mise en place progressive d’un consensus autour d’une candidature jugée comme seule «démocratique» face à celle de Marine Le Pen parée de tous les noirs oripeaux d’une extrême droite à droite du social-nationalisme.

                                                                               11. Encourager la destruction de la cellule familiale

12. Changer la relation traditionnelle entre l`homme et la femme, recherche du plaisir, attaquer l’autorité du père.
Lire la suite ici.
Par ailleurs, Éric Zemmour déclare : «On ne peut plus critiquer l’offensive islamiste sans se faire traiter de raciste» (article 5 des règles marxistes culturelles : Immigration massive pour détruire les identités nationales).




*****************

PUBLICITÉ


Lire ou faire lire Note9 ? 
Livre pernicieux, mis à l’index des livres interdits par la nomenklatura marxiste culturelle merdiatique Française et par le Saint-Siège de la bienpensance intellectuelle politiquement correcte qui a quand même un avantage, puisque notre Saint père le pape en dira : «Note9 est une sainte perle de l’ethnographie politique! On peut bien sûr ne pas être d'accord avec cet auteur, mais il a le mérite de ne pas faire de langue de bois. Chaque biographie qu’il nous donne est étudiée à travers l’histoire... évidemment lourde de sens pour la compréhension du positionnement des hommes politiques d’aujourd’hui».
Le lien pour commander Note 9, livre aux 558 très belles pages entièrement écrites avec deux doigts de l’homme et des lettres latines formant des mots en Français de France, c’est simple cliquez ici: Se procurer Note 9
*****************

La France est un pays plus que contaminé par le marxisme culturel, c’est à dire fortement influencé par le marxisme et ce depuis la 1ère Guerre mondiale et plus encore au lendemain de la seconde. C’est la force de propagande de l’Union soviétique qui a toujours reçue un écho très favorable chez nous via le PC, le PS, ses intellocrates et ses journalopes et ses courroies de transmission les syndicats. De prétendus «intellectuels» comme Sartre ont su imposer l’idéologie marxiste dans la culture française en permettant au passage de passer sous silence les cent cinquante millions d’innocentes victimes du communisme qui ne sont d’ailleurs toujours pas reconnus vraiment, à l’égal de ceux du nazisme. Il serait intéressant de s’interroger sur cette hémiplégie de la mémoire.
Il y a mieux, j’ai regardé récemment un journal de 20Heure de France2 ou le journalope stipendié et marxiste culturel à la vue basse détaillant une photo de la chemise du jeune homme de 17 ans, fils d’un immigrant grec Dimitrios Pagourtzis, qui, selon la police, a abattu vendredi dernier 10 personnes à son lycée texan disait y voir des symboles NAZIS !
Il est bien connu que les marxistes culturels ont une forte tendance à voir des sociaux-nationalistes partout !
Une photo de la dite chemise va nous en apprendre de belles sur l’idéologie marxiste culturelle des merdiatocrasseux d’A2 !  



Dans le rond «rouge» (n’est pas fait exprès) que remarque-t-on ? Un symbole communiste et marxiste, l'étoile rouge omniprésente dans les États communistes, notamment sur les tours du Kremlin, au sommet des gratte-ciel staliniens, au sommet des hampes des drapeaux et sur tous les véhicules militaires. L’idéologie marxiste criminelle contre l’humanité représentée par ce symbole a fait au bas mot 150 millions de victimes innocentes. Elle pouvait représenter soit la société communiste : le Parti (pointe du haut), l'Armée, les Ouvriers, les Paysans et les travailleurs soit les 5 continents c'est-à-dire l'unité des travailleurs du monde entier. Elle était présente sur le drapeau de l'URSS et les drapeaux des républiques soviétiques (divisions territoriales de l'Union soviétique) avec la faucille et le marteau comme sur celle de la chemise alors comme symbole «Nazi» prière de repasser ! Mais nos «amis» journalopes n’y voient les abrutiles qu’éventuellement et pour 20 Minutes.fr qu’un «symbole de rébellion», certainement une sorte de symbole dans le style Guevara ?
Deuxième symbole nettement visible sur la chemise de l’assassin une magnifique croix de fer symbole en Allemagne au XXIème siècle de la Bundeswehr ; il me semble que madame Ursula von der Leyen, ministre fédéral de la défense d’Allemagne serait en droit d’exiger des excuses de l’A2. La croix de fer (Eisernes Kreuz) est une décoration militaire allemande qui fut établie comme un honneur militaire par le roi Frédéric-Guillaume III de Prusse en 1813 lors des guerres napoléoniennes. Cette  décoration militaire a été effectivement largement été utilisée par le Troisième Reich mais agrémenté d’un svastika, ce qui n’est pas le cas de celle de notre assassin qui ressemble plutôt à une décoration du 19ème siècle !
Vous savez ce que j’aimerais ? C’est qu’un ou une de ces jeunes journalopes, ces sales petites roulures marxistes culturelles des merdias et de la téloche au QI de mouche à merde et à la culture marxiste de sous développé nous fasse son mea culpa et qu’enfin il dise : «Je vais crever bien sûr un jour et je l’avoue je me suis planté toute ma vie. J’ai soutenu Staline, Mao, Pol Pot, Kim Sung Un, Chavez, Castro, Mugabe, Mandela et Mengistu. Dès qu’un régime de merde, sanglant, raciste, corrompu et exotique brandissait le drapeau rouge, la faucille et le marteau j’ai fait des claquettes avec ma langue de bois. J’ai lu l’Huma, le Monde et Libération et j’ai même écrit dans le Figaro, cru à l’ Afrique du Sud de Mandela  au Zimbabwe de comrad Bob et au Kampuchéa Démocratique, j’ai gueulé des conneries plus grosses que moi avec Krivine, le pédophile Kohn Bendit, l’homme de lettre Besancenot, les antisémites du MRAP et Mechantcon Mélanchon, j’ai été abonné à l’Huma, au Inrocks, j’ai écrit dans le Post.fr et à Médiapart, j’ai défendu Carlos et Boudarel et les pires saletés marxistes culturelles des deux dernières générations , j’ai voté Mitterrand, Hollande et Macron et j’ai milité au MRAP qui distille de la haine des juifs (Rien que pour monsieur Zemmour ; savez-vous que LE MRAP DISTILLE DE LA HAINE DES JUIFS ? Je n’irai pas… quoique… d’aller jusqu’à dire : «ça vous la coupe non ?» oui bon, je l’ai dit…mais je vous sais homme d’humour !) et à Sos Racisme avec nos «potes» l’érev rav trotskiste Julien Dray aux caprices horlogers dispendieux et Harlem Désir (L'ancien premier secrétaire du Parti socialiste a trouvé depuis 2017 un nouveau poste : représentant pour la liberté des médias (sans rire) au sein de l'Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe deux mois après la fin de la présidence de François Hollande, l'ancien secrétaire d'État aux Affaires européennes a donc trouvé comment rebondir. Les trois dirigeants à la tête des trois institutions que compte l'OSCE (responsable du Bureau des institutions démocratiques et des droits de l'homme, représentant pour la liberté des médias et haut-commissaire pour les minorités nationales) ont le rang de sous-secrétaire général de l'ONU. Et la rémunération qui va avec, soit 122195 euros annuels, selon les calculs de L'Opinion. Le quotidien explique aussi que les États membres de l'organisation se sont mis d'accord pour que le salaire versé aux employés de l'ONU soit non imposable. Pour son «temps plein», monsieur Désir va donc toucher en moyenne plus de 10 180 euros par mois, exempté d'impôts, contre 9 440 euros brut mensuels quand il était encore ministre du gouvernement de Manuel Valls. Elle est- pas belle la vie en socialie ?), je suis parti à Marrakech sur les traces de Frédéric et des petits garçons que j’ai gaiement sodomisés et j’ai bandé pour DSK, j’ai cru à la société multiculturelle, j’ai chié sur le Pape parce que c’était pas dangereux et j’ai écrasé ma grande gueule sur les autres religions, j’ai branlé du rabbin, pompé du mollah, astiqué de l’imam parce que je suis un lâche et un gros naze, j’ai affirmé qu’il n’ y avait aucun lien entre le sentiment d’une insécurité qui n’existe pas et une immigration pas plus importante que dans les années trente. Oui, j’ai tout faux depuis tout p’tit, c’est ma nature de gros con. Je hais les pauvres, les riches et les classes moyennes, les blancs, les français de souche, mes parents, les gens de ma tribu et si je suis de gauche, à fond à fond c’est parce que j’ai honte de mes origines et que j’aurais voulu être une femme noire borgne manchote unijambiste sidaïque naine et lesbienne. Je n’ai rien vu venir, ni la crise économique, ni la décadence morale, intellectuelle, sécuritaire, sanitaire, ni l’implosion du Pays, rien. Je me suis bouché les oreilles et ouvert le trou du cul pour me faire mettre à sec avec du sable, j’étais con comme une valise du FLN, je suis de tous les combats foireux, de toutes les vastes gourances, de toutes les hypocrisies Allah con, je suis un concentré de toute la mauvaise foi du monde, de l’indignation à géométrie variable, du mensonge sélectif, de la répression des opinions qui me déplaisent, j’ai été un chantre des assassinats collectifs et des totalitarismes déments surtouts des marxistes au 150 millions de victimes . Et je n’ai rien appris : trouvez-moi une utopie à la con et je recommence, non je ne veux rien savoir, je vous ai mis dans la merde jusqu'au cou, mais parce que je suis de gôôôôôache je ne peux pas me renier même si vous en crevez …». Oui bon, faut pas rêver comme disait Brassens quand on est con on est con !
Un dernier mot pour Eric Zemmour et j’en termine. Cette idéologie le marxisme culturel dont le déconstructivisme n’est qu’un avatar (à ce sujet voir ici  par Andreas Fischer-Lescano : «La théorie des systèmes comme théorie critique» particulièrement au chapitre V titré : «L’idéal émancipateur dans une «association d’hommes libres».   
                                                                           Pour qu’il n’y est aucun doute sur les réflexions marxistes culturelles de l’Ecole de Francfort le chapitre commence par une citation de monsieur du camarde de Karl Marx dans Le Capital, Livre I, Paris : Garnier-Flammarion : « ... Représentons-nous enfin une association d’hommes libres (…)» (Je vous préviens, c’est très chiant à lire, mais bon, il ne faut pas demander à des marxistes d’être des humoristes, tout juste des imbéciles au sens de ceux dont les facultés intellectuelles sont très faibles par nature). Bon allons y : «La théorie critique des systèmes dans sa version déconstructiviste cherche à identifier les conditions de réalisation de l’idéal émancipateur classique et pose la question de savoir comment est possible l’autonomie issue de rapports réifiés (plus simple chosifier) qui, pour Adorno, ne sont en aucun cas naturels mais de simples résidus surannés du développement historique. Le point de départ de cet effort est que le dispositif social dans lequel nous vivons est hétéronome comme jamais auparavant et qu’«aucun homme dans la société actuelle ne peut vraiment exister grâce à sa propre détermination». En aucun cas nous ne devrions «gonfler les vaches pour obtenir plus de lait» et répondre aux questions complexes que pose le système politique mondial proposant candidement l’avènement d’une République mondiale. La politique comme système, ce fétiche de la collectivisation, est l’opium du peuple, l’institutionnalisation d’allégations fantasmagoriques et non tenues. Au lieu de cela, l’utopie se nomme : société mondiale civile (juridique) sans État, pax bukowina au lieu de pax americana association(s) d’hommes libres». Ouf c’est fini, mais voilà pour monsieur Zemmour l’explication de «déconstructivisme» !                              

Le marxisme, de façon unique parmi les philosophies politiques, s’est bêtement défini lui-même comme une science. Pour ses sectateurs (Pour Raymond Aron le Marxisme est une religion séculière), ses propositions ne sont pas spéculatives mais empiriques. En tant que bon hégélien, Marx voyait ses prévisions comme faisant partie d’un processus historique inexorable. Et pourtant, elles se sont toutes, mais vraiment toutes révélées fausses. Le capitalisme était supposé détruire la classe moyenne, laissant une minuscule clique d’oligarques gouverner un vaste prolétariat. En fait, le capitalisme a agrandi la bourgeoisie partout où il a été pratiqué. Le capitalisme était supposé abaisser le niveau de vie pour la majorité. En fait, le monde est plus riche qu’il n’aurait été concevable il y a 150 ans. Tout le système de marché était supposé être au bout du rouleau au temps où Marx et Engels écrivaient. En fait, il entrait dans son âge d’or, profitant immensément aux plus pauvres. Comme l’a dit Schumpeter, la princesse a toujours pu se permettre des bas de soie, mais il a fallu le capitalisme pour les mettre à la portée de la jeune fille de la boutique. Le niveau de vie d’un Britannique vivant du RMI aujourd’hui est plus élevé que celui du Britannique gagnant le salaire moyen en 1920. Je ne sais pas combien de personnes qui répètent les mots de Marx comme des perroquets sont au courant qu’ils le font. Mais, quel que soit le nom qu’on lui donne, les événements ont eu sensationnellement peu de prise sur cette doctrine. On aurait pu croire, que l’effondrement des régimes marxistes du pacte de Varsovie en 1989 aurait réfuté définitivement le socialisme. Et cependant, des générations successives d’abrutis continuent de tomber dans le panneau du marxisme culturel. Alors que nous avons dépassé le bicentenaire de sa naissance, comme il est délicieux de constater que Karl Marx a été transformé en la chose qu’il détestait plus que tout : le prophète d’une foi irrationnelle.



Cette foi irrationnelle, cette religion séculière, ce marxisme culturel s’est transmis depuis presque un siècle par l’intermédiaire des milieux intellectuels de gauche et par le courant des personnages douteux s’affirmant juifs pour certains et qui ne sont en fait que des érev rav trotskistes et autres gauchouilles socialopes. En France, la transmission a été amplifiée par Mitterrand qui a acheté les syndicats étudiants trotskistes en échangeant des postes contre leur soutien. Cambadélis a été bien récompensé ! Le marxisme culturel a rencontré en France une caisse de résonnance particulièrement forte, ce qui explique en grande partie l’état actuel du pays et son épuisement économique et intellectuel. La jalousie ronge le pays de l’intérieur mais elle déborde également de nos frontières et atteint les élites françaises qui envient le succès de leurs pairs anglo-saxons ou allemands sans être capables de les égaler. Le marxisme culturel a une forme diffuse, insidieuse et presque virale, comme l’avait souhaité Lénine, Münzenberg, Lukács etc. etc. Si certains adeptes sont conscients de leurs actions, beaucoup ne savent pas qu’ils sont infectés et ne se rendent pas compte de leur dépendance à cette idéologie. La CGT y a puisé sa devise : «Pour détruire les patrons, il faut détruire les entreprises». Au-delà, cette dictature de la pensée unique ( autre formulation de la bête marxiste culturelle) est propagée en France par de nombreux vecteurs. D’un côté, les têtes pensantes : intellectuels intellocrates bien connus, écrivains, cinéastes, journalistes, économistes, hommes politiques, et même banquiers (Voir ici le Groupe Bilderberg). De l’autre, les troupes militantes qui agissent chacune dans leurs domaines : enseignants (la FSU y fait 30% des voix), magistrats (le SM fait 30% des voix), associations de soutien aux marginaux de tous poils, associations de défense des droits de l’homme, syndicats révolutionnaires (CGT, SUD, une partie de FO, une partie de la CFDT qui n’a pas fait sécession et qui est plus radicale que la CGT), mouvements homosexuels et LGBT,… Enfin, le relais politique est assuré par les partis révolutionnaires mais également, et surtout, par l’infiltration des partis de gouvernement de gauche (PS, radicaux et écologistes). Hors de France, les organismes internationaux et notamment ceux traitant des questions humanitaires, sociales ou environnementales, sont eux aussi pour partie gangrénés : ONU, FAO, OMS, GIEC, BIT. Relisons la première déclaration du congrès de Moscou fondateur du marxisme culturel: «Organisons les intellectuels et servons nous d’eux pour pourrir la société occidentale jusqu’à ce qu’elle pue. Alors seulement après que toutes les valeurs auront été corrompues et la vie rendue impossible, pourrons-nous imposer la dictature du prolétariat».
La France ne se détruit pas par défaut mais par la volonté de ce courant. Monsieur le Président Macron n’est qu’un pantin entre leurs mains. (Voir ici le Groupe Bilderberg).
Et ne nous trompons pas, tout ceci n’est pas un fantasme d’adeptes de la théorie du complot. L’effet destructeur sur la France est bien réel.

Michel Alain Labet de Bornay.    


2018. Agence de Presse AIS (Accréditation International System). Trade Mark. Tous droits réservés.

Ce matériel peut être publié, diffusé ou redistribué dans la mesure de la citation de la source.

Une faute d'orthographe, une erreur à signaler ? Une précision à apporter? Des sous à nous envoyer ? Commenter l’article les commentaires sont libres et les ânes honimes tolérés ou écrivez à : a.de.bornay@gmail.com

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire