Attention, si je lis effectivement le Figaro tous les
jours je ne l’achète pas, on me le donne à lire (eh oui, je sais lire);
ainsi fait-il après un excellent papier pour les épluchures de patates et pour allumer
le feu Ali met li Fo allah campagne.
Je ne sais pas si j’ai raison mais je trouve cette
gazette le Figaro qui n’a pour seule ambition que de raser ses lecteurs de plus
en plus un «Le Monde sournois» ou un «succédané de Libé». Hors quelques
articles de madame Delsol ou de messieurs Rioufol ou Zemmour, j’ai quelque fois
l’impression de lire l’Huma ! Quoique toi aussi camarade d’extrême droite
tu peux voir et consulter gratuitement ici
le journal du monde merveilleux du goulag et des 150 000 000 de morts et même acheter Pif Chien là, c’est pas des lendemains qui chantent
ça ?
Le 21 Mai dernier armé de courage et de détermination
je me mets à décrypter la copieuse chronique de monsieur Nicolas Baverez, une
longue tartine sur l’Argentine qui donne le ton, ce monsieur n’aime
apparemment pas le «populisme» dont
il ne dit d’ailleurs pas grand-chose mais qui a l’air quelque chose de très
très vilain et dont il faut se méfier comme des chemises brunes avec des
étoiles rouges.
Bien sûr on n’a pas tous fait l’ENA (École Nationale
des Ânes) mais le lecteur du Figaro sait bien que le terme «populisme» est régulièrement employé dans un sens péjoratif, plus
ou moins synonyme de «démagogie». Le
mot appartient à la «novlangue»
marxiste culturelle et est un «poncif» politiquement
correct. C’est en Novlangue un mot sidérant destiné à disqualifier la prise en
compte des aspirations populaires lorsqu’elles vont à l’encontre de l’idéologie
dominante (trad. : démocratie). Son
utilisation pléthorique fonctionne comme une idéologie paresseuse, par laquelle
les «élites» politiques et intellectuelles
marxistes culturelles autoproclamées que je nomme intellocrates cherchent à
éviter le défi qui leur est posé: reconstruire une véritable offre politique
crédible et ce n’est pas demain la veille.
On sent bien depuis le début que monsieur Baverez né en
mai 1961 à Lyon, «essayiste» français,
avocat, ancien élève de l'École normale supérieure (promotion 1980 Lettres) et
de l'École Nationale d'Administration (promotion Michel de Montaigne, 1988),
qui est docteur en histoire et agrégé de sciences sociales fait bien partie de
l’élite marxiste culturelle et de sa nomenklatura. Ce monsieur est agrégé de «sciences» sociale. Pour moi les «sciences» sociales n’existent pas,
c’est tout simplement une vaste couillonnade !
Je vous
conseille la lecture dans le Monde Diplomatique d’un article d’Yves
Florenne au sujet du livre de Stanislav Andreski : Les
sciences sociales, sorcellerie des temps modernes. Extraits :
« Quoi qu’on puisse penser de l’auteur, professeur à l’université de
Reading, son livre est un méchant pavé lancé sans aucune précaution dans la
mare universitaire (marxiste culturelle distinguée) et qui éclabousse à peu près tout le monde. Du moins – puisqu’il s’y
limite – le monde des sciences sociales. Le livre (…) est aussi un acte : de dénonciation et de désolidarisation.
Dénonciation de la «sorcellerie»
à quoi se «réduit une part importante
de ce qui est considéré comme une étude scientifique du comportement humain» ;
désolidarisation d’avec les «sorciers»
contre lesquels est prononcé un véritable réquisitoire. Car il va de soi que ces
sciences n’existent et par conséquent ne sont véritables ou prétendues, utiles
ou nocives, (…) que par les hommes qui les font ou les enseignent. Et ceux-là
en prennent pour leur grade. A la lettre, car ils sont d’abord accusés de
fonder leurs titres, leur audience, leur réputation, leur carrière, et même
leur goût de l’argent (mauvaise langue),
sur une imposture, dont Stanislav Andreski convient d’ailleurs qu’elle peut
être inconsciente. N’est-il pas constant que les sorciers croient ou finissent
par croire à la sorcellerie ?
Le sacro-saint savoir universitaire est donc fort mal traité. Notre
professeur, (…) souligne le
danger d’enseigner qui porte à «pérorer
au lieu de penser». Peu importe, puisque «le subterfuge et la duperie (spécialités spécifiquement marxistes et de gauche) sont (...) plus
profitables que la révélation de la vérité». Simple conséquence, d’ailleurs, car «la stérilité et la supercherie dans l’étude des affaires humaines
résultent des orientations générales, culturelles, politiques et économiques de
notre époque». (Ite missa est ; encore une fois le marxisme
culturel est ici révélé avec force comme le pavé d’un antifa dans la tronche
d’un gendarme mobile).
Comment ne pas trouver un fondement solide, touchant le jargon, à
l’accusation de répandre la «brume
verbale» et d’interposer un «verre
fumé» pour cacher, sinon toujours le vide ou le peu de poids de la
pensée, du moins son absence d’originalité ? (Typique du marxisme culturel). Car
l’hermétisme, les vapeurs opaques, l’incantation autoritaire et tout ce qui
caractérise, précisément, la sorcellerie, n’ont-ils pas d’autres raisons, et
n’encourent-ils pas un soupçon plus grave ? Ils permettent l’utilisation
insidieuse ou le conditionnement, au profit de telles idéologies, telles
structures socio-économiques, tels intérêts (Marxistes culturels et
politiquement corrects les intérêts). L’auteur
le note à propos du fonctionnalisme ; on se reportera aussi aux pages
incisives sur le «crypto-conservatisme»
et le «crypto-totalitarisme» (deux termes qui collent comme un gant au
marxisme culturel).
En
décembre 2015 j'avais déjà pris conscience du phénomène. C’est un commentaire sur ma page Facebook au sujets des
fameux «peoples» qui appelaient à voter en France aux régionales de 2015
contre le Front National qui a été La
prise de conscience; le commentaire de monsieur Straub m’avait amené à
proposer une analyse de la société Française sous un jour nouveau. Claude
Straub me disait : « C'est là que l'on remarque ce qu'est
réellement la sphère politique qui nous mène en barque depuis plus de cinquante
ans. Une mafia comprenant les politiques intégrés dans le système depuis des
décennies, les PDG sortis de l'ENA (école où on vous apprend comment ruiner les
travailleurs sans les perdre), les fonctionnaires politiques à tous les
niveaux, tous les médias télévisuels et journalistiques rémunérés ou
sanctionnés par l'Etat, toute la smala artistique haut de gamme, des metteurs
en scène aux intermittents, enfin tous ceux qui profitent de ce système véreux
et laxiste». Monsieur Straub est intuitif il voyait bien que ce système
marchait sur la tête.
Cette fameuse «sphère politique» a un nom, elle s’appelle le marxisme culturel, c’est en terme classique politiquement correct de la pensée unique remarquablement théorisé par Antonio Gramsci à la suite des idées de Lénine, de Willy Münzenberg et de György Löwinger dit György Lukács, un système qui comprend l’ensemble de l’organisation sociale. Système souvent dit politiquement correct devenu totalement marxiste culturel, ce système, ne comprend pas seulement «ceux qui profitent de ce système véreux et laxiste» mais l’ensemble des peuples de France, d’Europe et d’ailleurs dans le monde occidental car nous y sommes tous, vous, moi, Anne Marie, Eric, Vincent, François, Emmanuel, Paul, Mahomet, Ali et les autres. Des victimes de l’impérialisme culturel qui «profitons» ou «pâtissons» tous de ce fameux système à plus ou moins hautes doses.
Cette fameuse «sphère politique» a un nom, elle s’appelle le marxisme culturel, c’est en terme classique politiquement correct de la pensée unique remarquablement théorisé par Antonio Gramsci à la suite des idées de Lénine, de Willy Münzenberg et de György Löwinger dit György Lukács, un système qui comprend l’ensemble de l’organisation sociale. Système souvent dit politiquement correct devenu totalement marxiste culturel, ce système, ne comprend pas seulement «ceux qui profitent de ce système véreux et laxiste» mais l’ensemble des peuples de France, d’Europe et d’ailleurs dans le monde occidental car nous y sommes tous, vous, moi, Anne Marie, Eric, Vincent, François, Emmanuel, Paul, Mahomet, Ali et les autres. Des victimes de l’impérialisme culturel qui «profitons» ou «pâtissons» tous de ce fameux système à plus ou moins hautes doses.
D’aucuns irons plus
loin en parlant de «clans de la mafia politique française»
disant : «Ce n’est pas le FN qui menace la paix civile mais la caste
avec ses privilèges, son arrogance, son mépris des classes populaires, des
«sans dents», ses magouilles électorales…»
Non mesdames et messieurs, non
monsieur Straub, les classes, les castes etc. etc. c’est fini ; c’est de
l’histoire ancienne et peu de gens l’on vu venir, nous avons tous participé à
l’avènement du marxisme culturel.
Dans les sociétés modernes, en
l'absence de définitions légales, certaines auteurs ont cherché à définir au
sein de la société des groupes, appelés «classes sociales», homogènes
par leur statut social, leur mode de vie, leurs conditions matérielles, leur
comportement, leurs intérêts, leurs actions, leur vision du monde...
Exemples : classe ouvrière, classe moyenne, classe dirigeante. Parmi les concepts fondamentaux de l'anthropologie politique : la société, le pouvoir politique, les hiérarchies génèrent toujours des inégalités sociales.
Exemples : classe ouvrière, classe moyenne, classe dirigeante. Parmi les concepts fondamentaux de l'anthropologie politique : la société, le pouvoir politique, les hiérarchies génèrent toujours des inégalités sociales.
Mais les «classes» sociales classiques définies
selon Karl Marx en deux «classes» principales : le prolétariat, avec la
paysannerie et son sous-prolétariat classe dominée et la bourgeoisie petite,
commerçante, industrielle et son aristocratie financière, classe
dominante qui possède les moyens de production n’existent plus.
Dans le
marxisme culturel maintenant dominant, il n’y a plus que quatre statuts tous
plus inégalitaires les uns que les autres.
Le premier est celui de parasite de premier niveau.
Le second est celui de parasite de second
niveau.
Le troisième celui des assistés.
Le quatrième celui des producteurs esclaves.
Il existe une cinquième catégorie partiellement hors
système, les marginaux qui essaient de voler en dessous des radars (pas facile
mais possible) et les fameux «migrants» ayant remplacés les «sans-papiers»
qui sont des immigrés clandestins en situation irrégulière mais que l’on
peut rapidement situer en troisième niveau.
Il est bien sûr évident que monsieur Baverez éditorialiste
pour le quotidien Le Figaro et l'hebdomadaire Le Point,
qui l'a longtemps été pour Les
Échos et a écrit pour Le Monde fait partie de la nomenklatura de premier
niveau.
Participant
régulier aux conférences Bilderberg depuis 2007, il appartient au comité directeur
de ce groupe. Il est aussi trésorier de la Société des amis de Raymond Aron.
Serais-ce à dire qu’il partage les idées du «marxien» Aron, celui qui pensait que le marxisme était une religion
séculière et rejoignant la théorie d'Hannah Arendt sur le totalitarisme, et qui
en proposait la définition opératoire suivante en cinq éléments principaux qui
sont les suivants : Le phénomène totalitaire
intervient dans un régime qui accorde à un parti le monopole de l'activité
politique.Le parti monopolistique est animé ou armé d'une idéologie à laquelle il confère une autorité absolue et qui, par suite, devient la vérité officielle de l'État.
Pour répandre cette vérité officielle, l'État se réserve à son tour un double monopole, le monopole des moyens de force et celui des moyens de persuasion. L'ensemble des moyens de communication, radio, télévision, presse, est dirigé, commandé par l'État et ceux qui le représentent.
La plupart des activités économiques et professionnelles sont soumises à l'État et deviennent, d'une certaine façon, partie de l'État lui-même. Comme l'État est inséparable de son idéologie, la plupart des activités économiques et professionnelles sont colorées par la vérité officielle.
Tout étant désormais activité d'État et toute activité étant soumise à l'idéologie, une faute commise dans une activité économique ou professionnelle est simultanément une faute idéologique. D'où, au point d'arrivée, une politisation, une transfiguration idéologique de toutes les fautes possibles des individus et, en conclusion, une terreur à la fois policière et idéologique. Le phénomène est parfait lorsque tous ces éléments sont réunis et pleinement accomplis. A mon très humble avis et ce n’est pas le sujet d’aujourd’hui mais en France les cinq éléments sont réunis dans un «politiquement correct» de bon aloi, une mondialisation ou globalisation soit un marxisme culturel épouvantable dont monsieur Baverez fait partie avec un statut de premier niveau.
En mars 2017 dans un article de blog dénommé: Comprendre le nouvel antisémitisme je disais : (…) vous devez
savoir que le débat politique est systématiquement aujourd’hui précédé d'un débat-culturel, le méta-débat,
le cadre conceptuel, ou encore «l'agenda politique» (anglicisme), ou la
Weltanschauung. En termes marxistes : «l'hégémonie culturelle» ou «l'idéologie
dominante». Le marxisme culturel
consiste à modifier ce cadre philosophique de manière subtile, en faveur du
collectivisme et du communisme, pour faciliter la prise de pouvoir, le
président Macron en est la plus parfaite représentation. Le marxisme culturel
consiste aussi à mentir, manipuler, désinformer, user d'arguments de mauvaise
foi, autrement dit avancer des arguments auxquels on ne croit pas soi-même,
dans le but de saborder les sociétés occidentales».
Une pétition pour défendre sa liberté d’expression fut signée par plus de cinq cents personnes, dont Chomsky. Pour répondre aux réactions violentes que suscita son geste, Chomsky rédigea alors un petit texte dans lequel il expliquait que reconnaître à une personne le droit d’exprimer ses opinions ne revenait nullement à les partager. Élémentaire aux États-Unis, cette distinction parut difficilement compréhensible en France par les marxistes culturels et à l’époque les abrutiles communistes et leurs "potes" idiots utiles. Condamner Chomsky dans cette affaire impose, au minimum, de dire ce que l’on réprouve exactement : une erreur tactique ou le principe même de la défense inconditionnelle de la liberté d’expression ? Dans le second cas, il faut alors indiquer que la France ne possède pas, en matière d’expression d’opinions, la tradition de liberté des États-Unis. Là-bas, la position de Chomsky ne choque personne. Parfois très abusivement comparée à la Ligue des droits de l’homme, l’American Civil Liberties Union, dans laquelle militent de nombreux antifascistes, porte ainsi plainte devant les tribunaux si on interdit au Ku Klux Klan ou à des groupuscules nazis de manifester, fût-ce en uniforme, dans des quartiers à majorité noire ou juive !).
La campagne pour les présidentielles a permis de vérifier le rôle des «médias» dans la mise en place progressive d’un consensus autour d’une candidature jugée comme seule «démocratique» face à celle de madame Le Pen parée de tous les oripeaux façonnés par la bien-pensance, d’une extrême droite fantasmée.
En réalité ce sont dix milliardaires
globalistes (des mondialistes marxistes culturels) qui ont pris le contrôle des
principaux médias français. Ces oligarques ploutocrates, venus du BTP, de
l’armement, du luxe ou de la téléphonie, ont accaparé les grands quotidiens
nationaux, les chaînes de télévision et les radios, pour asseoir leur
influence. Y a-t-il encore quelqu'un d'assez naïf dans ce pays des doigts de
l’Om maṇi padme hūm pour penser que ces corporations étatiques
toutes globalistes et marxistes culturelles puissent être indépendantes du
pouvoir en place ? Ils sont cinq à faire partie du cercle des dix premières
fortunes de France et à vous imposer le prêt-à-penser : Bernard Arnault, PDG du
groupe de luxe LVMH (patron des Échos, du Parisien et soutient d’Emmanuel
Macron), feu Serge Bloch dit Dassault (Le Figaro, membre du club Le Siècle invité régulier du Groupe ou Organisation de Bilderberg, ancien sénateur poursuivi en justice pour
blanchiment de fraude fiscale se dit Fan de Macron ), François Pinault (Le Point, invité 2006 du Groupe de Bilderberg soutient d’Emmanuel Macron), Vincent Bolloré (Canal+, dont le fils Yannick
Bolloré, que son père, Vincent, a installé à la présidence d'Havas est cul et
chemise avec devinez qui ? Manu Macron bien sûr). Monsieur le président de
la raie publique Emmanuel Macron, ex ministre de l’Economie d’un gouvernement
socialiste a participé à la réunion du groupe Bilderberg, qui a eu lieu à
Copenhague les 31 mai et 1 juin 2014. Monsieur Macron y assistait en tant que
conseiller du président de la Ripoublique François Hollande. Henri de Castries,
président de la compagnie Axa, préside le groupe Bilderberg. Christine Lagarde,
directrice du Fonds monétaire international, Fleur Pellerin, alors secrétaire d’état chargé du Commerce extérieur et ministre de la Culture, François Baroin
et Natalie Nougayrède, ex-directrice du Monde, journal possédé par Messieurs
Bergé, Niel et Pigasse, étaient quelques-uns des membres de la réunion de
Copenhague (Et alors et toc ! Qui est ce qu’on voit aujourd’hui apparaître
dans cet article ? Je vous le donne Émile;
Il est bien sûr évident que monsieur Baverez éditorialiste
pour Le
Figaro est un participant régulier aux conférences Bilderberg
depuis 2007 et qu’il appartient au comité directeur du groupe. Mais ce n’est
pas tout, monsieur
Nicolas Baverez participe aussi au «diner»
du Siècle de 2014 aux côtés de madame Nicole Notat (nouvelle présidente du
Siècle), Jérôme Monod (ex-conseiller à l’Élysée), Martine Aubry (PS),
Anne-Marie Idrac (ex-secrétaire d’état au commerce), Pascal Lamy (OMC), Hubert
Védrine (PS), François Baroin (porte-parole du gouvernement et ministre du
Budget) etc. etc.). Vous aurez
remarqué que vous avez des noms mais que vous ne savez pas encore tout à fait
comment ça marche, hormis le fait qu’on vous prend pour des cons ou des
connes ! J’m’en vais vous l’expliquer cré bon diou, bien à fond avec le
cas d’Édouard Philippe votre premier sinistre (oui, c’est bien Sinistre qui est
écrit) bien aimé ; monsieur le premier sinistre Philippe, Bilderberg 2016,
a été choisi par Emmanuel Macron, Bilderberg 2014 ! Du 9 au 12 juin 2016, Édouard Philippe participait à la réunion du Groupe Bilderberg. Le mécanisme
bien connu du Groupe Bilderberg est le suivant :
1- D’abord, la
sélection. Depuis 1954, chaque année, au mois de juin, le Groupe Bilderberg se
réunit. Il sélectionne deux ou trois hommes politiques français. Objectifs :
placer leurs pions, continuer la construction européenne marxiste culturelle et
la globalisation mondiale et faire élire des membres du Groupe Bilderberg
politiquement corrects aux élections dans les pays européens (la main mise sur la
presse stipendiée et la désinformation avec la fabrication du consentement fait bien sûr partie des buts de
l’organisation).
2- Ensuite, la propagande médiatique. Le système médiatique
entièrement contrôlé par les membres du groupe et complice fait la promotion de
ces hommes politiques sélectionnés par le Groupe Bilderberg. Le système
médiatique ou merdiatocratique dit plus que du bien de ces fameux pantins
dit «hommes
politiques» dans les journaux, sur les radios, sur les chaînes de
télévision et sur Internet pendant des mois et des mois. Normal : les grands
journalistes politiques, les grands éditorialistes et les directeurs des médias
sont eux-aussi des membres du Groupe Bilderberg. Exemple : Monsieur Baverez et Etienne Gernelle ont été sélectionnés par le Groupe Bilderberg pour
participer à leur réunion de juin 2016. Ils sont respectivement éditorialiste
et directeur de l’hebdomadaire Le Point.
Jeudi 4 mai 2017, Le Point faisait sa
une sous le titre : «Droite : la bataille
qui commence». Sur cette une, on voyait la photo des huit principales «personnalités» politiques du parti de
droite Les Républicains pour les mois
qui viennent. Chose étonnante : sur ces huit personnalités de droite, il y
avait sept personnalités très connues … et un homme politique complètement
inconnu ! Les sept très connus : François Baroin, Nathalie Kosciusko-Morizet,
Xavier Bertrand, Valérie Pécresse, Bruno Le Maire, Laurent Wauquiez, Christian
Estrosi. Il y avait aussi un «homme
politique» inconnu : un certain Édouard Philippe ! Avec cette photo de une
et avec le dossier à l’intérieur, l’hebdomadaire Le Point commençait à préparer l’opinion publique à la nomination d’Édouard Philippe, qui était alors encore inconnu.
3- Dernière étape, l’élection. La suite ici...
3- Dernière étape, l’élection. La suite ici...
La définition du populisme a largement varié au cours
des époques, mais le terme a souvent été employé pour définir un appel aux
intérêts du «peuple», la démagogie on l’a vu et comme un fourre-tout politique.
Daniele Albertazzi et Duncan McDonnell définissent justement
le populisme comme une idéologie «[Qui] oppose un peuple vertueux et homogène à un ensemble d'élites et autres groupes d'intérêts
particuliers de la société, accusés de priver (ou tenter de priver) le peuple
souverain de ses droits, de ses biens, de son identité, et de sa liberté
d'expression».
Le populisme désigne l'instrumentalisation de
l'opinion du peuple par des partis et des personnalités politiques qui s'en prétendent le porte-parole alors qu'ils appartiennent le plus
souvent aux classes sociales supérieures (On a vu que ces classes n’existent
plus, remplacées par des statuts de différents niveaux). En démocratie ou
pseudo démocratie, le peuple étant souverain son vote ou son opinion ne peut à
proprement parler être qualifiée de populiste. C'est la manipulation du peuple
dont se rend coupable l'homme politique qui relève du populisme.
C’est un fait, mondial, indéniable. Contre les partis
classiques, le dualisme droite/gauche, l’opposition libéralisme/socialisme,
apparaissent, dans toutes les pseudos démocraties européennes,
latino-américaines et asiatiques, des mouvements politiques qui ne s’inscrivent
plus dans la règle du jeu classique de l’alternance démocratique. La
globalisation, le mondialisme marxiste culturel est passé par là ! Vous allez
me dire bande de petits filous : «Oui
d’accord mais le capitalisme n’est pas mort». Eh bien oui, vous avez raison,
le capitalisme n’est pas mort mais Lénine fondateur du marxisme culturel avait
déjà remarqué que le communisme n’était viable que dans une économie
capitaliste performante, voir ici la NEP. Certes, des précédents viennent à l’esprit, en particulier les formes
variées du fascisme forme avérée de socialisme dans les années 1930 dont on
oublie qu’elles furent mondiales avec des branches américaines, chinoises,
japonaises, turques, arabes (Les Frères Musulmans avaient recopié les statuts
du Parti fasciste italien). Comme il est extraordinairement difficile de
classer ces mouvements, pas plus dans les années 1930 qu’aujourd’hui, ni à
droite, ni à gauche, ni libéraux, à la fois passéistes et progressistes,
l’usage est de les regrouper en vrac sous le terme générique de populisme. Un
regroupement justifié tant il se trouve de traits communs à ces mouvements,
quelles que soient la nation ou la civilisation où ils se manifestent. Le
populisme qui est d’abord une exaltation de la nation comme «communauté virtuelle» qui devrait
dépasser l’individualisme : chacun est appelé à renoncer à ses préférences
intimes ou publiques pour se fondre dans un ensemble collectif qui le dépasse,
et c’est bien ça qui fait très peur aux marxistes culturels et aux personnages
douteux bénéficiant du statut de parasites de premier niveau. Mais qui définit
la communauté virtuelle que l’on va appeler arbitrairement la Nation ? C’est
à un «chef» d’inventer la Nation.
Sans chef, pas de populisme. C’est le plus souvent par rapport à celui-ci ou à
celle-ci que la Nation et le populisme se situent et se définissent : le
populisme est créé par le haut, avant que le bas ne s’y rallie. Le «populisme» ne peut être qu’autoritaire
et seul un État fort, exalté par les populistes, paraît en mesure de restaurer
la pureté de la nation, derrière des frontières fermées de préférence : la
suppression de la libre circulation en Europe, la remigration, le droit du sang
rétabli, la restauration des visas pour entrer aux États-Unis, le Mur entre le
Mexique et les États-Unis sont quelques propositions courantes, visant à
protéger la Nation de toute infection venue d’ailleurs.
Mais revenons à ce numéro du Figaro du 21 mai 2018 ou
monsieur le préfet Frédéric Potier et le président de la Licra monsieur Mario Stasi, (le bien
nommé, Stasi étant l’abréviation de Staatssicherheit comme dans (Ministerium für Staatssicherheit)
l’horreur démoniaque de la sécurité d’état en Allemagne Internationale- Socialiste ou RDA de sinistre mémoire) ne voient aucune «censure d'État» dans la suppression de
contenus que ces deux personnages ubuesques jugent «issus de mouvements de haine organisée».
Dans cette tribune qui vient juste après le texte très
engagé dans le politiquement correct marxiste culturel de monsieur Baverez,
tribune titrée : Twitter, Facebook :
ne pas se résigner à la haine en ligne. Notre duo de gays lurons marxistes
culturels de premier niveau se livrent à une diatribe pamphlétaire bien digne
de marxistes culturels hallucinés. Pour comprendre pourquoi je dénonce
messieurs Potier et Stasi (le bien nommé) comme des marxistes culturels, allez
lire l’article consacré à un autre rédacteur du Figaro monsieur Eric Zemmour.
Le 20 mai j'avais déjà fait un petit bilan sur monsieur Potier en écrivant : «Nos amis
patriotes de Génération Identitaire sont indignés car le directeur de la DILCRAH (sorte de MRAP, de SOS Racisme ou de
Licra officielle de chez nôtre beau gouvernement marxiste culturel), les sus
dits c’étant fait de forts mauvaises réputations, par exemple il est notoire
que le MRAP distille de la
haine des juifs et que la LICRA ex LICA (Ligue Contre l’Antisémitisme) qui
les années de l’après-guerre se mua en LICRA (Ligue Contre le Racisme et
l’Antisémitisme), car il fallait bien ça, une nouvelle population «souffrante» requérant aussi son
attention. La cousine communiste de la LICRA d'extrême gauche vaguement
trotskiste, le MRAP traditionnellement marxiste Stalinien fut encore plus
radicale dans son entreprise de déjudaïsation. Les initiales MRAP voulaient
dire Mouvement Contre le Racisme, l'Antisémitisme et pour la Paix. On garda le
sigle en en modifiant le contenu. Et le MRAP devint le Mouvement Contre le Racisme et pour l’Amitié
entre les Peuples ! Bien trouvé non ? Il ne fallait désespérer les «quartiers» et les cités ou le mot «Juif» est toujours précédé de «nique-le» ou dans ses manifs
fleurissent les «mort aux juifs», dans les banlieues ou
sont éructé régulièrement des « à mort les juifs» comme des merguez dans le couscous. Quant à SOS Racisme
association de la gauche ultra créée en 1984, dont le but était la lutte contre
le racisme, l'antisémitisme et plus généralement toutes les formes de
discrimination et son fameux slogan : «Touche toi mon pote» elle a beaucoup perdu de son influence.
Noyée sous les «affaires» comme en 2009, ou six honnêtes parasites de premier niveau, six fameux «progressistes» ou communistes de placard que l’on appelle maintenant marxistes culturels membres de SOS mon pote, dont le délicat président Sopo, sont placés en garde à vue à la brigade financière dans le cadre de l'enquête sur des mouvements de fonds suspects sur les comptes de Julien Dray dit «Juju» ou le «Baron noir», très défavorablement connu des services de TRACFIN, la cellule anti-blanchiment du ministère des Finances, Dominique Sopo, Cindy Léoni, Nathalie Fortis, chargée de relations presse et Thomas Persuy, directeur administratif et financier, font finalement l'objet d'un rappel à la loi suivant le fameux et très socialiste slogan «responsables mais pas coupables». Avant cela il y avait eu en mai 1999, l'affaire des faux témoignages au procès Vauvert ; un p’tit gars bien de chez nous Mounir Oubajja, 18 ans est tué à la cité du Bosquet à Vauvert, par Joël Élie, un chauffeur routier de 36 ans, qui a tiré en croyant qu'on était en train de lui voler sa voiture. Ce fait divers tragique, repris par tous les médias crétinozoïdes parisiens, est évidemment aussitôt présenté comme un meurtre «raciste», qui serait emblématique des problèmes des «banlieues». Le mobile semblait d'autant plus clair que trois jeunes ayant assisté à la scène affirment, dans des attestations écrites destinées à la justice, avoir entendu le tireur proférer des «injures racistes». Pourtant, oh surprise en décembre 2000, lors du procès de Joël Élie devant la cour d'assises de Nîmes, les trois témoins se montrent plus qu’évasifs. Ils finissent par reconnaître que leur version des faits leur a «plus ou moins» (beaucoup plus que moins) été dictée par le vice-président de SOS-Racisme monsieur Samuel Thomas (aujourd’hui vice-président de La fédération Nationale de la Maison des
Encore
une fois c'est
monsieur Zemmour qui a raison ; dans le cadre d'une polémique
l'opposant au président de SOS Racisme
Dominique Sopo, monsieur Zemmour écrit : «Pendant
vingt ans, l'antiracisme, Sopo le reconnaît lui-même, a régné en maître sur nos
esprits. Alors, faisons son bilan. Le multiculturalisme qui remplace
l'assimilation ; l'ethnicisation des questions sociales plutôt que la lutte des
classes ; la déconstruction du roman national remplacé par la concurrence victimaire
; la haine institutionnalisée de la France autour de la figure totémique de
Dupont Lajoie. [...] L'antiracisme fut le rideau de fumée qui occulta la
soumission socialiste aux forces libérales». Dans l'émission On n'est pas couché, l'entre-soi des
idées convenables politiquement correctes et marxistes culturelles et je reste
poli, monsieur Zemmour qualifie
également SOS Racisme de «néfaste» et
estime que l'association, dont l'action aggrave selon lui le racisme, est une «machine de guerre politique» instrumentalisée
par la gauche pour permettre au Front National de grossir aux élections
présidentielles et de déstabiliser la droite. Ne parlons pas du reste des «affaires» puantes de l’association, j’y
serais encore demain.
De toute façon la gauche Française est antisémite depuis toujours ! La LICRA, avec un peu de retard, s’est engagée sur le même chemin que le MRAP. Elle s’est portée partie civile dans le procès pour islamophobie intenté à Georges Bensoussan, historien courageux et auteur des Territoires perdus de la République. La plainte contre lui a été déposée par le Comité Contre l’Islamophobie en France (CCIF), une vitrine transparente des Frères musulmans. Dans un pays normal toute plainte émanant d’une telle officine irait directement au panier. Apparemment il n’est pas interdit aux islamistes d’user et d’abuser des lois françaises… Toutefois monsieur Bensoussan est relaxé en appel, mais voir la LICRA marcher la main dans la main avec les musulmans barbus du CCIF a de quoi donner la nausée. Et Alain Finkielkraut a eu la nausée. Il a démissionné de cette organisation pointant son «déshonneur». Le philosophe, tout intelligent qu’il soit, a mis du temps à comprendre les mécanismes implacables qui modifiaient le visage de la LICRA dont il était membre. Il fallait, rapport à la nouvelle clientèle que la LICRA veut séduire, faire oublier un peu le côté juif de l’organisation. C’est devenu : «cachez cette kippa que je ne saurais voir». La conquête des djellabas et des babouches vaut bien ça… On s’en voudrait de terminer sur une note aussi grave. Car il se passe des choses drôles au tribunal où est jugé Bensoussan. Une «sociologue» d’origine arabe (décidément ils sont partout), citée comme (faux ?) témoin par le CCIF, est venue ainsi expliquer que dans les familles maghrébines musulmanes quand on engueulait les enfants en les traitants d’«espèce de juif» il ne fallait pas y voir de saucisson Cochonou dans la chorba. Juste un tic langagier. Pas méchant pour un sou. Moi quand j’engueulais mes enfants je ne leur disais pas «espèce d’Arabe»... Remarquez que je dis ça mais en 1946 il n’y a pas si longtemps, ce cher Marcel Pagnol de l’académie Française SVP, en traitait bien un de «sale bicot»). La DILCRAH qui veux dire Délégation Interministérielle à la Lutte Contre le Racisme, l’Antisémitisme et la Haine anti-LGBT), ou sévi notre très haut-fonctionnaire politiquement correct et propre sur lui, a aussi revendiqué la suppression de la page de Génération Identitaire. Il s’agit de monsieur Frédéric Potier, délégué interministériel préfet en mission de sévices (non il n’y a pas de faute) publics, nommé Délégué Interministériel à la lutte contre le Racisme et l’Antisémitisme en Conseil des Ministres le 3 mai 2017 c’est-à-dire apparatchik de premier niveau.
De toute façon la gauche Française est antisémite depuis toujours ! La LICRA, avec un peu de retard, s’est engagée sur le même chemin que le MRAP. Elle s’est portée partie civile dans le procès pour islamophobie intenté à Georges Bensoussan, historien courageux et auteur des Territoires perdus de la République. La plainte contre lui a été déposée par le Comité Contre l’Islamophobie en France (CCIF), une vitrine transparente des Frères musulmans. Dans un pays normal toute plainte émanant d’une telle officine irait directement au panier. Apparemment il n’est pas interdit aux islamistes d’user et d’abuser des lois françaises… Toutefois monsieur Bensoussan est relaxé en appel, mais voir la LICRA marcher la main dans la main avec les musulmans barbus du CCIF a de quoi donner la nausée. Et Alain Finkielkraut a eu la nausée. Il a démissionné de cette organisation pointant son «déshonneur». Le philosophe, tout intelligent qu’il soit, a mis du temps à comprendre les mécanismes implacables qui modifiaient le visage de la LICRA dont il était membre. Il fallait, rapport à la nouvelle clientèle que la LICRA veut séduire, faire oublier un peu le côté juif de l’organisation. C’est devenu : «cachez cette kippa que je ne saurais voir». La conquête des djellabas et des babouches vaut bien ça… On s’en voudrait de terminer sur une note aussi grave. Car il se passe des choses drôles au tribunal où est jugé Bensoussan. Une «sociologue» d’origine arabe (décidément ils sont partout), citée comme (faux ?) témoin par le CCIF, est venue ainsi expliquer que dans les familles maghrébines musulmanes quand on engueulait les enfants en les traitants d’«espèce de juif» il ne fallait pas y voir de saucisson Cochonou dans la chorba. Juste un tic langagier. Pas méchant pour un sou. Moi quand j’engueulais mes enfants je ne leur disais pas «espèce d’Arabe»... Remarquez que je dis ça mais en 1946 il n’y a pas si longtemps, ce cher Marcel Pagnol de l’académie Française SVP, en traitait bien un de «sale bicot»). La DILCRAH qui veux dire Délégation Interministérielle à la Lutte Contre le Racisme, l’Antisémitisme et la Haine anti-LGBT), ou sévi notre très haut-fonctionnaire politiquement correct et propre sur lui, a aussi revendiqué la suppression de la page de Génération Identitaire. Il s’agit de monsieur Frédéric Potier, délégué interministériel préfet en mission de sévices (non il n’y a pas de faute) publics, nommé Délégué Interministériel à la lutte contre le Racisme et l’Antisémitisme en Conseil des Ministres le 3 mai 2017 c’est-à-dire apparatchik de premier niveau.
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Ce trouble sexuel ego-dystonique (cas où l’individu est gêné par son homosexualité) peut-être social, familial ou intériorisé par les homosexuels ce qui les amène à se rejeter eux-mêmes et peut conduire à la dépression et souvent à des tentatives de suicide. Il est à noter que grâce aux gauchistes marxistes culturels et à leur sixième règle: «Utilisation dans l’enseignement du sexe et notamment de l’homosexualité pour transgresser la morale traditionnelle et créer de nouvelles revendications clivantes dans la société», et aux lobbies «gays», le taux de suicide chez les jeunes homosexuels reste aujourd’hui encore beaucoup plus élevé que chez les jeunes hétérosexuels. S'il n'existe pas d'études en France directement consacrées au suicide des adolescents en souffrance de trouble sexuel ego-dystonique, elles ne manquent pas dans les pays anglo-saxons. Elles montrent notamment que les garçons homosexuels présentent un risque quatre à sept fois supérieur de tenter de se suicider comparativement à leurs camarades hétérosexuels, tandis que les filles homosexuelles présentent un risque supérieur de 40 % par rapport aux jeunes hétérosexuelles). Si l'acronyme LGBT (parfois GLBT) se veut représentatif des personnes non hétérosexuelles et est le plus utilisé, il est parfois complété pour être plus inclusif : par Q pour «queer» ou «en questionnement (sur son orientation sexuelle)» : on dit alors LGBTQ ou LGBTQQ ; il y aussi I pour «intersexe» : on dit alors LGBTI ou LGBTQI. Dans les principes de Yogyakarta, «LGBTI» est utilisé (principes de Yogyakarta : Série de principes sur l’application du droit international des droits de l'homme en matière d’orientation sexuelle et d’identité de genre pour la protection et pour l'interdiction absolue de la discrimination contre les personnes LGBT et intersexuées selon la Déclaration universelle des droits de l'homme, sous l'influence de Louise Arbour, Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme, qui a joué un rôle de premier plan dans l'adoption de la Déclaration de Montréal sur les droits humains des LGBT. Les principes de Yogyakarta (en Indonésie) ont été présentés devant le Conseil des droits de l’homme des Nations unies le 26 mars 2007. Compte tenu de ces principes, l’Assemblée générale des Nations unies a énoncé la Déclaration relative à l'orientation sexuelle et l'identité de genre le 18 décembre 2008). Mais ce n’est pas fini, il existe aussi A pour «asexuel» (personne n'éprouvant aucune attirance sexuelle vers quelque genre que ce soit) et P pour «pansexuel» ou «polyamoureux»). Monsieur Potier a lui aussi revendiqué la suppression de la page de Génération Identitaire. Je me pose la question de savoir quand monsieur Potier et ses «potes» vont légaliser les
Si travesti veux toujours dire pervers paraphile
et si selon la 5e édition du Manuel diagnostique et statistique des troubles
mentaux (DSM-5), les goûts sexuels sont bien groupés en deux catégories, soit
normaux (normophiliques) et anormaux (paraphiliques) les travestis sont des
anormaux, les transgendéristes et les transsexuels n’en sont pas très
loin !
Nos deux joyeux acolytes (eh non c’est pas une
insulte) attaquent leur délirant réquisitoire antinational marxiste culturel ou
politiquement correct en affirmant péremptoirement que depuis plusieurs années
se déploient sur Internet et les réseaux sociaux des «mouvements» que nos joyeux «amis»
jugent motivés par leurs fantasmes de bien-pensants comme ce qu’ils nomment l'«extrémisme» identitaire avec ce qui va
nécessairement avec pour nourrir leur chimère, la fameuse xénophobie avec son
corolaire, le toujours très fameux «racisme»,
sans oublier cela va de soit l'antisémitisme. Les soi-disant et fameux fauteurs
de haine bien haineuse à fond les manettes, nommés ci-dessus auraient compris
bien avant eux tout le profit idéologique qu'ils pouvaient tirer de la
numérisation de la société et du développement des réseaux sociaux et que dire des blogs? Finalement
ils n’ont pas l’air si bête que ça les immondes ! Le numérique aurait même
donné un second souffle à des
mouvements, plus ou moins structurés, chassés comme des malpropres des espaces médiatiques
traditionnels marxistes culturels politiquement corrects en raison de leurs discours qui seraient pour les marxistes
culturels ou les Potier et Cie, extrémistes et censé incarner
le mal absolu. Bon d’accord, mais il reste quand même Minute, ici Minute sur
Internet aussi Présent diffusé par
abonnement postal, mais également en kiosque (depuis le 17 mai 1989) et depuis
mars 2004, par abonnement sur Internet, sans oublier RIVAROL ! Alors que nos deux compères métaphrastes (mais non ça n’est pas une
injure) marxistes culturels pensent qu’internet aurait offert un eldorado
propice à la prolifération de l’animadversion et a un fâcheux prosélytisme de
droite totalitaire honteuse composant une fachosphère bien mal nommée le fascisme étant
comme le nazisme une idéologie Socialiste. Qu’Internet soit un eldorado pour
tous les tarés de la terre, ce n’est pas faux mais nos gays lurons qui se trompent
de cible en sont la preuve vivante.
Voyez-vous braves gens, ces deux
membres de la nomenklatura de premier niveau de l’exécutif Français, non élus, des
apparatchiks et des hauts fonctionnaires politically correctness, vous affirment d'énormes stupidités dans la presse stipendiée. D’aucuns irons plus loin en parlant de «clans de la mafia politique française»
disant : «Ce n’est pas le FN qui menace la paix civile mais la caste
avec ses privilèges, son arrogance, son mépris des classes populaires, des
«sans dents», ses magouilles électorales…»
Mais comment a-t-on pu en arriver là ?
Le mieux c’est de Lire un
beau livre Note 9 mais rajouter ici 558 pages sur
le sujet vous allez décrocher, alors faisons court. Contentons-nous de quelques
extraits de «La Symphonie en rouge majeur», une thèse parue sous la
forme de mémoires dans les années 1950 en Espagne franquiste et attribuée à
Josef Landowski qui donne un résumé de l’interrogatoire de Christian
Georgievich Rakovski (né Khristo Gheorghev Stantchev) ancien chef du gouvernement de la République socialiste soviétique
ukrainienne (lire
aussi ici c'est plus complet). Il prit part à la
conférence de Gênes en 1922. Il fut ambassadeur soviétique à Londres et à
Paris. Il s’opposa à Joseph Staline et rallia l’Opposition de gauche
(Trotskiste). Se soumettant à l’autorité de Staline en 1934, il fut brièvement
réintégré. Rakovski fut néanmoins impliqué dans le procès des vingt et un (une
partie des procès de Moscou), emprisonné et démocratiquement exécuté par le
NKVD pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce qui suit est le contenu de son
interrogatoire par le NKCD : «Rakovski commence par argumenter que si
Karl Marx connaissait les contradictions du capitalisme, c'est qu'il
connaissait ceux qui les produisaient en son sein. Il théorise ensuite une
alliance entre la finance internationale (qu'il affuble du sobriquet
«d'Internationale capitaliste» ou «Kapintern» (Aujourd’hui plus connu sous le
nom de Forum Economique Mondial) et l'Internationale communiste (Komintern). Il
ajoute que Marx, dans ses écrits, est manifestement passé à côté d'un phénomène
économique qui pourtant fascinait les gens de son époque: l'immense
accumulation du capital des 5 frères de la famille Rothschild. Il précise
qu'ils sont 5, tout comme les 5 branches de l'étoile rouge soviétique. (Amschel Mayer Rothschild, Salomon Mayer
Rothschild, Nathan Mayer Rothschild, Kalmann Mayer Rothschild, James de
Rothschild) ». Pour Rakovsky, ces deux entités, quasiment sœurs jumelles de
l’asservissement des peuples, l'une prônant le cosmopolitisme (car le capital
n'a pas de frontières) et l'autre l'internationalisme (car le prolétariat
n'aurait pas de frontières lui aussi) sont là pour provoquer la destruction de
l'état-nation et ce n'est pas encore fini.
Un Etat nation est, faut-il vous le rappeler amies, amis et autres genres, un concept théorique, politique et historique, désignant la juxtaposition d'un État, en tant qu'organisation politique, à une nation, c'est-à-dire des individus qui se considèrent comme liés et appartenant à un même groupe. C'est donc la coïncidence entre une notion d'ordre identitaire, l'appartenance à un groupe, la nation, et une notion d'ordre juridique, l'existence d'une forme de souveraineté et d'institutions politiques et administratives qui l'exercent. Nos deux apparatchiks marxistes culturels ont en détestation cette sorte d’état grâce à leur éducation spécifique. Ce n’est plus pourtant le cas en France actuellement, la France est un état socialiste marxiste culturel internationaliste en aucun cas un état Nation.
Dès le début, on s’aperçoit que le marxisme culturel internationaliste (MCI) ne dérange aucunement le cosmopolitisme capitaliste au travers d’une «sociale démocratie», car d’une part il ont des buts communs (Immigration effrénée pour abaisser le coût de la main d’œuvre dans le monde occidental et création d’un sous prolétariat «inculte» facilement manipulable d’une part et d’autre part le «socialisme» ne pouvant prospérer que dans une économie capitaliste performante avec la création d’une nomenklatura chargée de diriger les «peuples»). En France en particulier plus rien ne distingue les idées de la gauche de celle de la prétendue droite molle (Bande des quatre ou UMPS, l’UMP devenu Les Républicains qui n’est plus qu’un parti socialiste de droite très modéré) ; L’ensemble de la presse et des médias sont inféodés au Marxisme Culturel, tout comme la justice. J’irais même jusqu'à dire que la droite nationaliste ou Front National est de plus en plus contaminé par ses concepts utopiques !
Idées ou concepts profondément Marxistes Culturels dont il convient de se faire une «idée» saine, la suite ici.
Un Etat nation est, faut-il vous le rappeler amies, amis et autres genres, un concept théorique, politique et historique, désignant la juxtaposition d'un État, en tant qu'organisation politique, à une nation, c'est-à-dire des individus qui se considèrent comme liés et appartenant à un même groupe. C'est donc la coïncidence entre une notion d'ordre identitaire, l'appartenance à un groupe, la nation, et une notion d'ordre juridique, l'existence d'une forme de souveraineté et d'institutions politiques et administratives qui l'exercent. Nos deux apparatchiks marxistes culturels ont en détestation cette sorte d’état grâce à leur éducation spécifique. Ce n’est plus pourtant le cas en France actuellement, la France est un état socialiste marxiste culturel internationaliste en aucun cas un état Nation.
Dès le début, on s’aperçoit que le marxisme culturel internationaliste (MCI) ne dérange aucunement le cosmopolitisme capitaliste au travers d’une «sociale démocratie», car d’une part il ont des buts communs (Immigration effrénée pour abaisser le coût de la main d’œuvre dans le monde occidental et création d’un sous prolétariat «inculte» facilement manipulable d’une part et d’autre part le «socialisme» ne pouvant prospérer que dans une économie capitaliste performante avec la création d’une nomenklatura chargée de diriger les «peuples»). En France en particulier plus rien ne distingue les idées de la gauche de celle de la prétendue droite molle (Bande des quatre ou UMPS, l’UMP devenu Les Républicains qui n’est plus qu’un parti socialiste de droite très modéré) ; L’ensemble de la presse et des médias sont inféodés au Marxisme Culturel, tout comme la justice. J’irais même jusqu'à dire que la droite nationaliste ou Front National est de plus en plus contaminé par ses concepts utopiques !
Idées ou concepts profondément Marxistes Culturels dont il convient de se faire une «idée» saine, la suite ici.
Si une des règles de l’édification de marxisme
culturel (voir ici) est
l’affaiblissement de l’éducation par une baisse progressive du niveau et une
élimination de la sélection afin de faire disparaitre tout repère chez les
jeunes, il n’en reste pas moins vrais que pour l’élaboration et la constitution
d’une nomenklatura marxiste culturelle en France comme en ex URSS le
conditionnement du «matériau humain» devait
passer par une école nouvelle. Dès 1918 en ex URSS la loi sur l'école unique du travail anéantit le système
existant et adopte les méthodes pédagogiques les plus modernes, en particulier
celle du philosophe américain John Dewey. En effet, durant les années 20,
l'école soviétique est la plus «progressiste»
du monde. La gestion est confiée au «collectif
scolaire» qui comprend tous les personnels et tous les élèves. La direction
est assurée par le Conseil de l'école, avec les enseignants et les délégués des
élèves. L'école devient un lieu de jeu, un club : née avec l'État, elle doit
disparaître avec lui, selon les théoriciens marxistes. A cette époque on pense
que c'est un environnement nouveau qui permettra à l'homme nouveau de se
construire. Les progrès scientifiques appliqués à l'éducation font rêver. En
1925 le récit fantastique de M. Boulgakov Cœur
de chien décrit la fabrication d'un humain à partir d'un chien. L'opération
réussit parfaitement, l'individu obtenu est tel qu'on le souhaitait, mais... il
s'avère très vite que dès qu'il voit un chat, il ne peut s'empêcher de lui
courir après. Ce récit ne sera jamais publié en URSS. En France dès la fin de
la guerre et surtout après 1968 est mis en place des méthodes d’éducation
s’inspirant des méthodes marxistes et surtout noyautant l’éducation
supérieure ; les universitaires fuient les valeurs conservatrices et les
traditions nationalistes, de sorte que leurs programmes d’enseignement et leurs
pratiques d’embauche découragent les personnes non-gauchistes de poursuivre une
carrière universitaire. Ce qui leur permet d’agir ainsi, sans l’admettre, est
que le biais prend une forme subtile.
Plus efficace encore que les anciennes dictatures : Le lavage de cerveaux
en liberté. Noam Chomsky nous dévoile
toute cette horrible face cachée du marxisme culturel et de la formation de ces
sbires de premier niveau : «Bien
que j’aie rencontré plusieurs intellectuels conservateurs au cours de l’année
dernière qui auraient aimé obtenir un poste universitaire, mais ont abandonné
après des années de tentatives, la discrimination ouverte est évidemment rare.
Une variété de situations résulte d’un processus informel de filtrage qui se
déroule du troisième cycle jusqu’à la titularisation et au-delà. La façon même
dont sont enseignées certaines matières s’appuie sur une politique
«progressiste» et indique clairement dès le début que les conceptions
conservatrices n’y sont pas acceptées. Les instituts de formation des
enseignants, par exemple, prennent des théories d’apprentissage
constructivistes comme définitives, excluant par principe les réalistes (en
matière de connaissance), si bien que les perspectives quasi-marxistes de ces
études excluent ceux qui adhèrent au capitalisme. Si vous désapprouvez la
discrimination positive, oubliez l’objectif d’obtenir un diplôme en études
afro-américaines. Si vous pensez que la famille nucléaire s’avère le meilleur
modèle familial en termes de bien-être social, restez loin des études sur les
femmes. D’autres domaines permettent l’étude des auteurs et des idées
conservatrices, mais les marges de progression y sont étroites. Les mandarins
sont peu enclins à soutenir votre sujet, les appels à communication des
conférences portent rarement sur votre travail, et peu de descriptions d’emploi
correspondent à votre profil. Un universitaire qui étudie la littérature
anti-communiste puis écrit et conclut que sa valeur est supérieure à celle des
discours de la contre-culture en termes de bien-fondé de ses idées et de la
moralité de ses implications n’ira pas loin dans le système actuel. Aucune
élimination active ou bruyante ne se produit, et aucune requête explicite sur
l’orientation politique à tenir n’a besoin d’être posée. L’orientation
politique a été intégrée dans les disciplines, et ainsi, ce qui est
effectivement un jugement politique peut être exprimé en termes disciplinaires.
Comme l’a dit un américaniste durant une réunion de comité à laquelle j’ai
assistée, «Nous ne pouvons pas embaucher quelqu’un qui ne fait pas le poids»,
une affirmation qui avait toute la force d’un dicton scolastique. Stanley Fish,
professeur et doyen émérite du Collège of Liberal Arts and Sciences de
l’Université de l’Illinois à Chicago, livre le conseil suivant : «La question
que vous devriez poser aux professeurs est de savoir si leur travail a une
influence ou une pertinence» — et alors qu’il soulève ce point il fait valoir
qu’aucune conspiration de gauche dans l’enseignement supérieur n’existe,
l’enjeu étant de maintenir les conservateurs sur la corde raide. Alors que
l’étude des chercheurs comme Michel Foucault, Michael Hardt et Antonio Negri
semblent indispensable dans les séminaires d’études supérieures, des études sur
Friedrich A. Von Hayek et Francis Fukuyama, dont les noms apparaissent rarement
sur les programmes de cours en dépit de leur influence sur les affaires du
monde, semblent hors de propos. Les universitaires peuvent ergoter sur les
procédures d’embauche, mais les registres électoraux montrent que l’orthodoxie
gauchiste a dorénavant une emprise professionnelle. Les conservateurs et les
gauchistes se font face en public, mais dans les campus, l’opinion
conservatrice n’est pas bien considérée. Vous n’entendrez pas souvent parler de
chèques scolaires dans les instituts de formation des enseignants ou de patriotisme
dans les études sur l’Amérique. Historiquement, les frontières entre les
matières universitaires furent créées par les objets d’étude, par les normes de
recherche et l’examen de nos pairs. Aujourd’hui, une variable politique a été
ajoutée par laquelle les hypothèses conservatrices chassent leurs auteurs des
postes académiques. Un mur isole la gauche universitaire des idées et des
écrits de la droite».
Il y a bien sûr des noms de ces universitaires de la
nomenklatura qu’il faut retenir pour l’histoire. Par exemple ceux qui veulent
imposer la censure pour tous et partout comme nos deux
compères
métaphrastes et marxistes culturels de premier niveau
messieurs Potier et Stasi. Au moment où le livre prophétique de George Orwell
1984 ressort chez Gallimard dans une nouvelle traduction, il n’est pas
indifférent de se pencher sur le cas de ces deux partisans de la novlangue. La
novlangue dont Syme, cadre administratif travaillant dans le roman d’Orwell à
la nouvelle (et dernière) édition du dictionnaire de la novlangue, en proclame
l’objectif « Ne voyez-vous pas que le
véritable but de la novlangue est de réduire les limites de la pensée ? À la
fin nous rendrons littéralement impossible le crime par la pensée car il n’y aura
plus de mots pour l’exprimer».
Mario Stasi et Frédéric Potier nos deux distractifs artisans
de la novlangue, deux apparatchiks marxistes culturels de premier niveau,
méritent que je leur consacre encore quelques instants.
Mario Stasi porte le même nom que son papa Mario
Stasi, avocat comme lui. Il a remplacé fin 2017 Alain Jacubowicz démissionnaire
à la tête de la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA).
Il en est le sixième président. Mario Stasi, né en 1968, est avocat au Barreau de Paris. Parallèlement à sa profession d’Avocat, Mario Stasi est un militant gauchiste, marqué par l’engagement «antiraciste» et républicain de son oncle, l’ancien Ministre et parlementaire Bernard Stasi. Engagé dans la vie politique auprès de François Bayrou (un des grands cocus de la Macronie, le parquet de Paris allant jusqu’à ouvrir une enquête préliminaire visant le MoDem pour «abus de confiance et recel». Depuis les révélations de France info du 8 juin 2018, le petit parti de François Bayrou est en effet soupçonné d’avoir fait financer, à travers le budget alloué par Bruxelles à ses parlementaires, une partie des emplois des salariés du siège du MoDem à une période où les finances du mouvement étaient au plus mal. Selon cette enquête dévoilée par France info, les emplois fictifs seraient même courants au sein du parti de François Bayrou. Bientôt la fin ?
Je ne résiste pas au plaisir de vous donner un extrait du poème Narcisse-Jupiter-Micron… de Cédric de Valfrancisque :
[Le
téléphone sonne : c’est François Bayrou, le crétin des Pyrénées, qui
appelle «Narcisse-Jupiter»]Il en est le sixième président. Mario Stasi, né en 1968, est avocat au Barreau de Paris. Parallèlement à sa profession d’Avocat, Mario Stasi est un militant gauchiste, marqué par l’engagement «antiraciste» et républicain de son oncle, l’ancien Ministre et parlementaire Bernard Stasi. Engagé dans la vie politique auprès de François Bayrou (un des grands cocus de la Macronie, le parquet de Paris allant jusqu’à ouvrir une enquête préliminaire visant le MoDem pour «abus de confiance et recel». Depuis les révélations de France info du 8 juin 2018, le petit parti de François Bayrou est en effet soupçonné d’avoir fait financer, à travers le budget alloué par Bruxelles à ses parlementaires, une partie des emplois des salariés du siège du MoDem à une période où les finances du mouvement étaient au plus mal. Selon cette enquête dévoilée par France info, les emplois fictifs seraient même courants au sein du parti de François Bayrou. Bientôt la fin ?
Je ne résiste pas au plaisir de vous donner un extrait du poème Narcisse-Jupiter-Micron… de Cédric de Valfrancisque :
Je t’appelle du Béarn où je me fais bien suer,
Car je n’ai rien à faire de la sainte journée.
Je ne reconnais plus ma bonne ville de Pau,
Celle qui m’a élu, comme toi… par défaut.
Une faune allogène y fait partout sa loi :
Le dealer immigré s’y comporte en roi.
Je rêve, tu l’as compris, d’un retour à Paris.
Redevenir ministre, tu me l’avais promis,
Profiter du système, y reprendre mes aises,
Et retrouver là-bas Marielle de Sarnez.
[Cette demande insupporte «Narcisse-Jupiter» qui n’aime pas qu’on lui dicte sa conduite…]
Non, mon pauvre Bayrou, il n’en est pas question :
Tu as trahi les tiens poussé par l’ambition.
Tu n’es qu’un bon à rien, un naïf et un sot.
Alors reste chez toi, éphémère Garde-des-sceaux !
Ton «Modem» m’a aidé à prendre l’Elysée :
Ce ramassis de mous, de tièdes, d’enfoirés,
Toujours prompt à virer, à changer de chapelle
Quitte, tous les cinq ans, à trahir de plus belle.
Toi et la mère Sarnez, allez donc vous faire voir :
Grâce à vous, j’en conviens, je détiens le pouvoir.
De vous faire revenir, je n’ai nulle intention,
Car je vous sais foireux, prompts à la trahison.
La suite de
Narcisse-Jupiter-Micron, cliquez ici.…)
Notre bavasseur au Barreau de Paris Mario Stasi dit Super Mario est donc «engagé» auprès du crétin des Pyrénées lors des élections européennes de 1999 et des élections législatives de 2007 et du gaulliste social, Philippe Séguin lors des élections municipales de 2001, il s’investit ensuite à la LICRA au sein de laquelle il a été nommé Président de la Commission Juridique en juin 2012. Depuis 2016, il était Premier Vice-Président de l’association. La LICRA communique : «Devant la poussée des communautarismes (tiens elle est belle celle-là. C’est quoi ça le communautarisme ? On trouve ça sur le net : le communautarisme est un terme socio-politique désignant les attitudes ou les aspirations au sein de minorités et moins couramment au sein de majorités (culturelles, religieuses, ethniques...) visant à se différencier volontairement, pour s'entraider, voire pour se dissocier du reste de la société, mais à mon sens monsieur le président Stasi n’ose pas employer le mot «musulman» car chacun sait en France que le fameux «communautarisme» désigne la communauté musulmane inassimilable dans la république), La LICRA continue : «des extrémismes politiques et religieux, (là c’est la vielle science marxiste culturelle des amalgames qui ressurgi, lorsque la LICRA vient nous parler d’extrémisme politique il est certain qu’elle veut nous parler des extrémismes de droite, ceux de gauche n’existant pas et quand à la religion c’est certainement le catholicisme traditionaliste dont elle veut parler) face au développement d’un véritable racisme identitaire et d’un antisémitisme aux multiples visages, (Bon là tout est dit, le racisme est «identitaire» et antisémite, c’est le petit Jésus soviétique ressorti des cartons), Mario Stasi aura à cœur de défendre la vocation universaliste et républicaine du combat antiraciste. Il souhaite renforcer l’ancrage territorial de la LICRA, développer ses actions d’éducation, amplifier ses partenariats avec les acteurs publics mais aussi privés et intensifier la lutte contre la haine sur les réseaux sociaux». Là, il va y avoir du boulot ! A la fin de l’article je vais faire une petite liste des pages Facebook et des sites antisémites en France on verra bien ceux qui seront fermés par Potier et Stasi.
Notre bavasseur au Barreau de Paris Mario Stasi dit Super Mario est donc «engagé» auprès du crétin des Pyrénées lors des élections européennes de 1999 et des élections législatives de 2007 et du gaulliste social, Philippe Séguin lors des élections municipales de 2001, il s’investit ensuite à la LICRA au sein de laquelle il a été nommé Président de la Commission Juridique en juin 2012. Depuis 2016, il était Premier Vice-Président de l’association. La LICRA communique : «Devant la poussée des communautarismes (tiens elle est belle celle-là. C’est quoi ça le communautarisme ? On trouve ça sur le net : le communautarisme est un terme socio-politique désignant les attitudes ou les aspirations au sein de minorités et moins couramment au sein de majorités (culturelles, religieuses, ethniques...) visant à se différencier volontairement, pour s'entraider, voire pour se dissocier du reste de la société, mais à mon sens monsieur le président Stasi n’ose pas employer le mot «musulman» car chacun sait en France que le fameux «communautarisme» désigne la communauté musulmane inassimilable dans la république), La LICRA continue : «des extrémismes politiques et religieux, (là c’est la vielle science marxiste culturelle des amalgames qui ressurgi, lorsque la LICRA vient nous parler d’extrémisme politique il est certain qu’elle veut nous parler des extrémismes de droite, ceux de gauche n’existant pas et quand à la religion c’est certainement le catholicisme traditionaliste dont elle veut parler) face au développement d’un véritable racisme identitaire et d’un antisémitisme aux multiples visages, (Bon là tout est dit, le racisme est «identitaire» et antisémite, c’est le petit Jésus soviétique ressorti des cartons), Mario Stasi aura à cœur de défendre la vocation universaliste et républicaine du combat antiraciste. Il souhaite renforcer l’ancrage territorial de la LICRA, développer ses actions d’éducation, amplifier ses partenariats avec les acteurs publics mais aussi privés et intensifier la lutte contre la haine sur les réseaux sociaux». Là, il va y avoir du boulot ! A la fin de l’article je vais faire une petite liste des pages Facebook et des sites antisémites en France on verra bien ceux qui seront fermés par Potier et Stasi.
Monsieur le très haut et honorable (de lapin ?) F. Potier lui est énarque, il a "travaillé" notamment aux cabinets de Claude Bartolone (Parti Socialiste) lorsque ce dernier présidait l’Assemblée Nationale et de Manuel Valls lorsqu’il était premier ministre. Il a remplacé à la tête de la Dilcrah, la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (marchez, soufflez puis cliquez) le préfet Gilles Clavreul en mai 2017. La Dilcrah a été créée par Nicolas Sarkozy et ses pouvoirs ont été élargis par François Hollande. Récemment la DILCRAH – cet acronyme charmant – a vu son budget de 100 millions reconduit pour la période 2018-2020. Il s’agit de lutter principalement contre «l’antisémitisme», celui-là même que des agents d’influence exacerbent pour justifier ces prébendes, un «antisémitisme» dont les actes ont pourtant baissé de 50% en 2016, d’après leurs propres chiffres... Cette mainmise des professionnels de la «Haine» tous azimuts sur le trésor national sous prétexte de lutter contre ce que les «associations» elles-mêmes provoquent en étouffant toute liberté d’expression, est insupportable d’un point de vue moral. Les Français dans leur immense majorité ne détestent aucunement les juifs, monsieur Arno Klarsfeld le dit : «La France n'est pas antisémite». Mais alors les antisémites qui sont-ils? 8 ans déjà que j’ai créé le blog Antisémitisme non merci très exactement le jeudi 23 Septembre 2010 n’ayant de cesse de dire que le nouvel antisémitisme est le concept d’une nouvelle forme d'antisémitisme qui s'est développée au début du XXIe siècle, émanant simultanément de la gauche et de l'islam, et tendant à se manifester comme une opposition au sionisme et à l'État d'Israël. J’ajoute que plus d’une cinquantaine d’individus membre du PCF, du NPA, d’EELV, bref de toute la nébuleuse de la gauche haineuse Française ont été condamnés par la justice pourtant laxiste pour incitation à la haine raciale antisémite, sans oublier à peu près le même nombre de musulmans qui ont d’autre part assassiné de très nombreux juifs au nom de leur religion de sauvages. Dans LA QUESTION un livre écrit avec mes petits doigts de l’homme à moi: je pose la vraie «Question», la seule question qu’il faut se poser aujourd’hui qui est : «Qui sont ces antisémites et autres blancophobes qui éructent des mort aux juifs ou mort aux blancs dans les rues de France ?».
La réponse : Des bons musulmans, certains de race noire (si si, les races existent), instrumentalisés par toute une nébuleuse de la haine raciste et antisémite marxiste culturelle de la gauche à la droite politique Française en passant par les médias. Alors quand je sais que la DILCRAH a encore soutiré 100 millions sur notre propre argent, pour nous fliquer et nous réprimer davantage, «l’antisémitisme» n’étant qu’un prétexte, soyez-en sûrs il n’est que de voir plus haut, pas un seul «identitaire», ni aucune personne de droite nationale n’as été depuis 8 ans condamné pour ce délit ! ! Ce qui est en jeu n’est pas «l’antisémitisme» ou le respect des victimes dont ils se fichent comme de leur première sodomie, mais bien le pouvoir marxiste culturel des parasites de premier niveau, qui se défendent de toute opposition avec ce bouclier sous peine d’amende, d’interdiction d’écrire ou de penser ou même de prison. (Avertissement : A l’attention des officines haineuses d’extrême gauche et à leurs avocaillons, l’ensemble des textes ci-dessus et ci-après ont déjà fait l’objet d’une publication il y a plus de trois mois sur Internet. L’article 65 de la loi du 29 juillet 1881 relatif à la prescription des délits de presse (diffamation, et injure notamment) prévoit un délai de 3 mois à compter du jour de leur diffusion. Merci bien de ne pas me casser les couilles avec des plaintes Allah con ! Merci). Un pouvoir dictatorial qui devient, de fait, de plus en plus absolu, ne tolérant pas la moindre remarque, la moindre critique, même sensée. Surtout sensée ! C’est la lucidité politique sur le sort des Français sous domination marxiste culturelle globaliste qui est combattue avec virulence et violence par les agents du pouvoir profond, qui se confondent parfois avec les élus de l’État. Ainsi des présidents successifs de la DILCRAH : Gilles Clavreul hier, Frédéric Potier aujourd’hui. Monsieur Potier s’est notamment remarquablement illustré par son action au moment de l’affaire Défend Europe. Rappelons les faits : un ensemble de militants du groupe nationaliste Génération Identitaire bloque symboliquement une frontière dans les Alpes en posant une banderole et appellent au contrôle des clandestins, il n’y a ni violence ni intervention de la police. Quelques jours plus tard la page Facebook de Défend Europe est supprimée par Facebook, puis ensuite celle de Génération Identitaire. Le sous-préfet Potier se vante d’être à l’initiative de cette interdiction, découvrant ainsi la nouvelle alliance d’une censure d’État avec la censure privée d’une multinationale américaine Allah botte de l’état Français. Cette démarche a provoqué la surprise chez le politologue Dominique Reynié dans un autre article remarqué du Figaro. Stasi et Potier s’acharnent contre la liberté d’expression.
Un peu plus tard nos deux comparses ont cosigné une tribune dans le Figaro du 21 mai 2018. Un véritable florilège, je cite «Facebook a fait application de ses propres règles d’utilisation contre un groupuscule d’extrême droite véhiculant un discours xénophobe. Nulle censure d’État. Nul complot. Nulle violation d’une liberté fondamentale». Une analyse sémantique simple et de bon sens permet de dévoiler, de dévoiler quoi ? Le mensonge tout simplement. Le sous-préfet Potier s’est vanté d’être à l’origine de la suppression des pages Facebook concernées. Quand il dit «Nulle censure d’État», il ment tout simplement mais bon c’est un pur réflexe chez un marxiste culturel. Et quand le couple Anastasie (la figure de la censure avec ses grands ciseaux) dit tranquillement «Nulle violation d’une liberté fondamentale», il illustre les valeurs de Big Brother dans 1984 :
On voit ici tout le potentiel de ce procédé. Si on
définit un mot par son antonyme, on bloque totalement l'esprit et le
raisonnement en mettant dans la confusion la pensée critique.
Tiens, puisqu’on en est là, si on parlait un peu de la novlangue
(en anglais Newspeak) langue officielle d'Océania, inventée par George Orwell
pour son roman 1984 (publié en 1949). Une nouvelle traduction du roman en 2018
la renomme néoparler.
Le principe est simple : plus on diminue le nombre de
mots d'une langue, plus on diminue le nombre de concepts avec lesquels les gens
peuvent réfléchir, plus on réduit les finesses du langage, moins les gens sont
capables de réfléchir, et plus ils raisonnent à l'affect. La mauvaise maîtrise
de la langue rend ainsi les gens stupides et dépendants. Ils deviennent des
sujets aisément manipulables par les médias de masse tels que la télévision et
même ce qui reste de la presse écrite.
Déjà en octobre 1977 Pierre Bourdieu, lors de son
intervention au Congrès de l’AFEF, à Limoges dira : «J’ai été frappé de me heurter au fait que les mêmes interlocuteurs
qui, en situation de bavardage, faisaient des analyses politiques très
compliquées des rapports entre la direction, les ouvriers, les syndicats et
leurs sections locales, étaient complètement désarmés, n’avaient pratiquement
plus rien à dire que des banalités dès que je leur posais des questions du type
de celles que l’on pose dans les enquêtes d’opinion et aussi dans les
dissertations (…). Le système
scolaire enseigne non seulement un langage, mais un rapport au langage qui est
solidaire d’un rapport aux choses, un rapport aux êtres, un rapport au monde
complètement déréalisé». Messieurs Stasi et Potier et quasiment l’ensemble
des gens au statut de premier niveau qui ont fait des études supérieures ont ce
langage perverti par le Newspeak ou Néoparler la langue propagandiste dont le but est de
réduire l’éventail de la pensée ; exemple : «Ce n'est pas un sujet tabou» : engage la discussion sur un sujet
controversé en forçant l'interlocuteur opposé à admettre la même chose (et
implicitement qu'il pourrait avoir tort), sous peine d'être renvoyé à sa magie
primitive. Aucun argument n'a été échangé sur le fond de la controverse, mais
le dénonciateur de tabou a pu montrer la supériorité implicite de sa position,
sans même avoir eu à la dire.
Et aussi : «Envoyer
un signal fort» : Indication rassurante, destinée à informer le public
qu’un responsable s’occupe bien d’un problème. Ici la force de l'adjectif fort,
c'est qu'il est suffisamment fort pour que le problème soit quasiment résolu,
du moins en passe de l'être, par l'envoi d'un signal qualifié par cette force.
Orwell est très présent dans le discours politique marxiste
culturel : sophisme par association, slogan, inversion de sens et oxymore sont
autant de procédés qui visent à brouiller l'esprit critique, l’accès à la
réflexion et au développement de sens. L'oxymore permet de rendre inaccessible
la pensée. Il est la construction de deux termes antagonistes. Il suffit de
mettre un mot suivi de son contraire pour lui faire écran. Dans la pensée
marxiste culturelle politiquement correcte, ce procédé est fortement utilisé
pour brouiller toute réflexion et développement de sens. Lorsque nous utilisons
un oxymore construit avec un terme positif et un négatif, le cerveau par
instinct de survie retient le mot positif comme prioritaire. L'usage de ce
procédé de langage est d'une subtilité infinie. Nous ne comptons plus le nombre
de concepts qui se sont formés de cette manière : la discrimination positive
(légitimation d'un mécanisme de domination), la tolérance zéro (légitimation de
la violence), le commerce équitable (le commerce est l'art de négocier, il ne
peut être équitable ; mais c'est également l'occultation de l'exploitation des
pays pauvres), les charges sociales
(pour accepter la destruction du salaire et de la cotisation).
La novlangue est aussi une simplification lexicale et
syntaxique de la langue destinée à rendre impossible l'expression des idées nationalistes
potentiellement subversives et à éviter toute formulation de critique de l’État
marxiste culturel, l'objectif ultime étant d'aller jusqu'à empêcher l'«idée» même de cette critique.
Les sophismes par association sont une famille de
sophismes qui consistent à faire remarquer que deux éléments B et C ont un
point en commun A pour affirmer que la caractéristique de C serait partagée
avec B. La plupart du temps le point en commun est un élément du discours ou
des croyances.
Par exemple Madame X est un personnage dit par les
gangs marxistes culturels d’ultra gauche, d’extrême-droite, il vous est arrivé
dans un cas spécifique de dire qu'elle avait raison sur un point, cela signifie
que vous cautionnez l'ensemble du discours de madame X et que êtes donc un
extrémiste d’extrême-droite
(lire ici). Si vous disiez que madame X à raison sur la plupart des sujets vous vous préparez un stage nature et découverte de la "citoyenneté" marxiste culturelle dans un gay camp de rééducation socialiste.
La tactique rhétorique dite reductio ad Hitlerum participe du même fantasme marxiste culturel
venimeux.
La reductio ad Hitlerum consisterait par
exemple, à rejeter les campagnes anti-tabac du fait qu’Hitler les soutenait en son temps, ou à
critiquer le végétarisme parce qu'Hitler était végétarien.
Cette tactique rhétorique a pour objet d'exclure
l'adversaire du champ polémique tout en évitant le débat de fond. Avec d'autres
techniques rhétoriques, comme l'argumentation ad hominem, la reductio ad Hitlerum apparaît généralement à bout de
discussion, lorsque les adversaires ont épuisé toutes les preuves et tous les
arguments rationnels pour se convaincre mutuellement.
Ne croyez pas que je radote on trouve aisément sur la
toile des articles sur le site d'ultra gauche Médiapart dont le
titre : LA BATAILLE SÉMANTIQUE ne
laisse aucun doute sur les stratégies mises au pont par les marxistes culturels
pour contrôler la pensée !
Monsieur Jean-Pierre Roche le grand président droit-de-l’hommiste
Bordelais des Esprits Libres (beaucoup
plus libre et surtout beaucoup plus égaux que les autres) de déblatérer selon une
rhétorique toute orwellienne et marxiste culturelle qui veux traiter le Mal
(entendre l’extrême droite) par les mots.
Il
y a toujours dans s’pays des doigts de l’homme un Marat, un Robespierre ou un
Saint-Just (qui avait l’esprit tellement Libre qu’on lui doit le fameux : «pas de Liberté pour les ennemis de la
Liberté») pour envoyer un Malesherbes, un Condorcet, un Chénier, un Danton
même à l'échafaud. Il y aura toujours un Lazare Carnot pour exterminer des
rebelles : nous sommes tous les gens de la droite patriote et nationale des
Vendéens potentiels.
En France, depuis la Libération, le ciel des idées est enténébré par une vision marxiste de l'homme qu'entretient le monopole de l‘abominable pensée unique politiquement correcte et marxiste culturelle de gauche dans les sphères pédagogiques, médiatiques, sur le Net et éditoriales. Jusqu'à Mai 68 régnait à l'université un stalinisme de béton armé. Il fut relayé par un marxo-freudisme (dit aussi marxisme-occidental) à la sauce trotskiste, castriste ou maoïste jusqu'au recyclage par Mitterrand du gaucho manichéen faisant profession de lutter contre le capitalisme mais dont l’action concrète consistait principalement à saper ce qui résistait encore à sa domination en un bobo cynique, hédoniste, nihiliste et marxiste culturel après le passage sous la férule de Gramsci. Le Macron le plus tempéré par les jeux politiciens est toujours flanqué de commissaires politiques : Mélenchon, les Cocos, les trotskystes, les écolos de service, les altermondialistes et toujours s'embusque un délateur et un censeur maquillé en journaliste pour traquer l'infidèle. Toujours resurgit dans l'ombre d'un chef anodin, mais avec son aval au moins implicite, cette inquisition médiévale qui voue le patriote insoumis aux enfers du «réac» d’extrême droite, ce fameux qualificatif péjoratif donné à la droite de conviction et à ceux qui contestent le système marxiste culturel dominant.
En France, depuis la Libération, le ciel des idées est enténébré par une vision marxiste de l'homme qu'entretient le monopole de l‘abominable pensée unique politiquement correcte et marxiste culturelle de gauche dans les sphères pédagogiques, médiatiques, sur le Net et éditoriales. Jusqu'à Mai 68 régnait à l'université un stalinisme de béton armé. Il fut relayé par un marxo-freudisme (dit aussi marxisme-occidental) à la sauce trotskiste, castriste ou maoïste jusqu'au recyclage par Mitterrand du gaucho manichéen faisant profession de lutter contre le capitalisme mais dont l’action concrète consistait principalement à saper ce qui résistait encore à sa domination en un bobo cynique, hédoniste, nihiliste et marxiste culturel après le passage sous la férule de Gramsci. Le Macron le plus tempéré par les jeux politiciens est toujours flanqué de commissaires politiques : Mélenchon, les Cocos, les trotskystes, les écolos de service, les altermondialistes et toujours s'embusque un délateur et un censeur maquillé en journaliste pour traquer l'infidèle. Toujours resurgit dans l'ombre d'un chef anodin, mais avec son aval au moins implicite, cette inquisition médiévale qui voue le patriote insoumis aux enfers du «réac» d’extrême droite, ce fameux qualificatif péjoratif donné à la droite de conviction et à ceux qui contestent le système marxiste culturel dominant.
Monsieur Roche le très grand président Bordelais des Esprits Libres semble un adepte fervent
de la Liberté au moins aussi fervent
que Saint Just. Je pense sincèrement que la définition de la liberté du
camarade Roche est réduite à la seule expression des pulsions individuelles et
principalement entendue comme la remise en cause des normes comportementales
admises dans les sociétés européennes. S’il emploie le terme c’est pour
marginaliser la définition de la liberté entendue comme participation à la vie
publique et maîtrise de son destin. Note : ce terme convient par conséquent
parfaitement aux individus consommateurs/sujets du Système marxiste culturel.
Monsieur Jean-Pierre Roche a une merveilleuse
proposition simple et radicale et le pacte démocrate (sans rire) qu’il nous
propose tient en une seule phrase : Ne parler que de «L’extrême droite» et ne plus jamais prononcer le nom du mouvement
ni celui de ses dirigeants. Regardez ; de nos jours, on n'ose plus dire les choses telles qu'elles
sont. Ainsi on ne dit plus «aveugle»,
on dit «non-voyant». On ne dit plus «sourd», on dit «non-entendant», on ne dit plus «connard
de gauche», on dit «mal comprenant
progressiste». On ne dit plus «pédé»,
on dit «non merci»! Et puis «extrême-droite» ne veut rien dire. L'extrémisme
est un anti-concept ; la catégorie n'a pas de définition claire ; l'usage du
terme est relatif aux pays et aux tendances politiques; le terme est un
instrument de propagande socialiste.
C'est connu depuis Staline et ça s'appelle la «technique du salami» : on détache progressivement de la droite des
petits morceaux en les traitant de «fascistes»,
et eux seuls – et le reste de la droite ou prétendu-t-elle, par bêtise ou par
lâcheté, ne les défend pas contre ces mensonges jusqu'au jour où elle ne peut
plus former de coalition majoritaire, parce qu'au lieu de la défendre, elle a
participé elle-même à fabriquer une «extrême-droite»
réputée «fasciste» et infréquentable
– et où, par isolement et abandon des gens normaux, la concentration des
excités et des cinglés est devenue telle qu'elle finit par ratifier les
diffamations organisées contre elle. Bien entendu, ça ne marche que dans ce
sens-là : seule la gauche est assez malhonnête et assez organisée dans le but
de nuire pour imposer une imposture aussi manifeste.
Monsieur Jean-Pierre Roche véritable chance pour la
France et la vraie démocratie, génie inébranlable qui tient tête à notre
cruelle et changeante époque, véritable homme de gauche à l’intelligence
surdimensionnée qui voit la résurgence de la bête immonde, possède un sens aigu
de l'humour et du sarcasme et la capacité de saisir exactement les pensées
d’une grande majorité de Français. Monsieur Roche un homme à l’esprit
complétement Libre possède une profonde sagesse, réfléchie et logique, privée
de toute panique. Dans les moments difficiles, il est un maître invincible pour
trouver une issue de la situation la plus empêtrée. Le grand camarade Roche nous
propose donc un génial «pacte démocrate»,
d’aucuns diront les pauvres sots que Roche est un imposteur avec l’Esprit Libre et qu’il n’a
pas lu le programme de son parti (on ne peut pas tout faire quand on est un
génie), programme qui propose de rejeter, au passage, les mots «danger des extrêmes», formule prétexte
pour effrayer les électeurs. Quel crédit accorder alors au plus grand génie politique après
Staline Jean-Pierre Roche qui se propose de «rediaboliser
l’extrême droite». Et que pour lui si vraiment «extrême droite» ne suffit pas on devra parler de «La candidate extrême droite». Puis J.P.
Roche propose avec son intelligence frôlant le miraculeux qu’à la grande limite
on tolérera «La Le Pen» ou «La fille Le Pen» ou encore «La candidate Le Pen» ce afin d’affilier
fille et père dans l’imaginaire mais avec impasse sur le prénom. On tolérera
également «F Haine, Front Nazional ou
Affront Nazional». Le camarade Roche oublie de qualifier cette «extrême droite» fantasmée de néo-nazie,
incarnation moderne de Satan dans la religion séculière marxiste culturelle
dont monsieur Roche est un des curetons ; sous sa forme groupusculaire le «néo-nazi» est pourtant très utile au
système pour renforcer la législation liberticide.
Notre brave petit présidentounais Bordelais Roche est
un des petits sacristains de la religion séculière marxiste culturelle. Raymond
Aron a été le premier à préciser que cette doctrine le marxisme servait, à ses
yeux, de «fondement à une religion séculière,
le communisme» ; que monsieur le calotin rouge Roche ne connaisse pas
Aron soit mais il ne peut ignorer Jacques
Ellul né en 1912 à Bordeaux et mort
en 1994 à Pessac, historien du droit, sociologue et théologien protestant
libertaire français qui voyait comme Aron dans le marxisme,
une religion séculière : «équipée, comme
toute religion, d'une théologie, d'une sotériologie, d'une eschatologie et
d'une éthique (…) Le marxisme a
remplacé le Jardin d’Éden par le communisme primitif, la Chute par le régime
capitaliste, le péché par l’aliénation économique, le Messie par le
prolétariat, la Rédemption par la révolution, la Parousie par la société communiste
à venir
Pirmin Schwander personnalité politique suisse, membre de l'Union démocratique du centre (UDC) dira : «Combien de temps faudra-t-il encore avant que nous comprenions que notre mise sous tutelle actuelle par les politiciens, experts, fonctionnaires et rédempteurs de l'humanité auto-proclamés (bizarre comme ça me fait penser à messieurs Potier et Stasi, pas vous ?) menacent davantage notre liberté et démocratie que l'ancien féodalisme des empereurs, rois et souverains ?». Et des présidents Roche à l’esprit libre ?
Mais notre très grand camarade Jean-Pierre à l’esprit aussi libre qu’un membre du Politburo soviétique n’en a pas encore fini avec ses délires marxistes culturels d’ultra gauche lorsqu’il éructe tel un Pol Pot : «Discréditer l’extrême droite ne tient qu’à nous, mais il faut comprendre que le combat «antiraciste», «antifasciste», a été, jusque-là, assez nul voire contreproductif boomerang et publicitaire à l’envers». Faute d’être vraiment libre, notre petit curaillon rouge est quand même lucide. La suite ici sur le site d'ultra gauche Médiapart.
Pirmin Schwander personnalité politique suisse, membre de l'Union démocratique du centre (UDC) dira : «Combien de temps faudra-t-il encore avant que nous comprenions que notre mise sous tutelle actuelle par les politiciens, experts, fonctionnaires et rédempteurs de l'humanité auto-proclamés (bizarre comme ça me fait penser à messieurs Potier et Stasi, pas vous ?) menacent davantage notre liberté et démocratie que l'ancien féodalisme des empereurs, rois et souverains ?». Et des présidents Roche à l’esprit libre ?
Mais notre très grand camarade Jean-Pierre à l’esprit aussi libre qu’un membre du Politburo soviétique n’en a pas encore fini avec ses délires marxistes culturels d’ultra gauche lorsqu’il éructe tel un Pol Pot : «Discréditer l’extrême droite ne tient qu’à nous, mais il faut comprendre que le combat «antiraciste», «antifasciste», a été, jusque-là, assez nul voire contreproductif boomerang et publicitaire à l’envers». Faute d’être vraiment libre, notre petit curaillon rouge est quand même lucide. La suite ici sur le site d'ultra gauche Médiapart.
Mario Stasi a lui un nom prédestiné, j’ignore s’il est
originaire de Corse, d’Italie, d’Allemagne de l’est ou d’ailleurs mais son
patronyme évoque irrésistiblement la police politique de la partie orientale de
l’Allemagne, alors communiste. Je lui recommande chaudement de voir (ou revoir)
le superbe film consacré à cette charmante institution en 2006 par Florian
Henckel von Donnersmark, La Vie des
autres. Hélas la Stasi ne recrute plus, mais on dit que les services
secrets cubains… Et puis il reste un sacré boulot à Anastasie monsieur
Potier avec la censure des mots homophobes comme dans la littérature de gare et
particulièrement les San Antonio émaillés des mots de pédé, pédale, de la
jaquette, fiotte, folle, lope, lopette, tante, tata, tantouse, tafiole, tapette
ou encore tarlouze, emproseur et emmanché, sodomite avec les désuets giton et corydon,
sans oublier le traditionnel «embrayage»
pour pédale de gauche, puis que dire de gomorrhéenne (le mot apparaîtrait sous
la plume de Proust, dans La Fugitive pour
faire pendant poétiquement à Sodomite, là monsieur Potier devra se débrouiller
avec Dieu lui-même car gomorrhéenne fait bien pendant à Sodomite dans la Bible ;
dans le verset 19:5 de la Genèse, les habitants de Sodome veulent «connaître» (=avoir des relations
sexuelles) les compagnons de Loth. La destruction de la ville qui achève ce
récit fut dès lors considéré comme une punition de Dieu contre ce crime
d'homosexualité. À la suite de ce verset, les mots latins sodomia et français
sodomie et leurs dérivés, tel sodomite ont été appliqués à l'homosexualité)
n’oublions pas non plus le célèbre broute minou, dégustatrice de tarte au poil,
gouine, gousse, gougnotte, gigot à l’ail, sapho, tribade. Si les homos hommes
et femmes sont gâtés sur le plan des synonymes pour les transgenres je n’ai
trouvé que travlos ! Mais là ce n’est pas grave car le manuel (DSM) de l'Association Américaine de Psychiatrie reconnait
toujours la maintenant dysphorie de genre ex transsexualisme ou incongruence de
genre comme maladie mentale, elle insiste sur le fait que «la non-conformité de genre» elle-même n'est pas un trouble mental.
Ce qui caractérise la dysphorie de genre est la présence d'une souffrance
clinique significative associée à la non-conformité de genre.
*****************
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Lire ou faire lire Note9 ?
Livre pernicieux, mis à l’index des livres interdits
par la nomenklatura marxiste culturelle merdiatique Française et par le
Saint-Siège de la bienpensance intellectuelle politiquement correcte qui a
quand même un avantage, puisque Kim
Jong-un (*) guide suprême de la république populaire démocratique
de Corée, génie parmi les génies en dira : «Note9
est une perle populaire et démocratique de l’ethnographie politique! On peut
bien sûr ne pas être d'accord avec cet auteur chien capitaliste, mais il a le
mérite comme mon ami Trump de ne pas faire de langue de bois. Chaque biographie
qu’il nous donne est étudiée à travers l’histoire... évidemment lourde de sens
pour la compréhension du positionnement des hommes politiques d’aujourd’hui».
Le lien pour commander Note 9, livre aux 558 très
belles pages entièrement écrites avec deux doigts de l’homme et des lettres
latines formant des mots en Français de France, c’est simple cliquez ici: Se procurer
Note 9
(*) Le seuil de 120% de popularité a été atteint hier par
Kim Jong-un. Ce taux historique est le fruit d’un long travail et de mesures
fortes, salués par la population qui a exprimé avec vigueur sa satisfaction
lors du dernier sondage. Une leçon à méditer pour les pays occidentaux ?
A l’heure où la popularité d’Emmanuel Macron et celles
de messieurs Stasi et Potier nos aristarques préférés connaît des hauts et des
bas, au gré des humeurs des Français «un
peuple de fachos et de pisse-froids», il semblerait que les Nord-Coréens
aient quelques années d’avance dans la recherche du bonheur. Les Français ont
peut-être des leçons à apprendre de ce pays.
*****************
Les médias français corrompus sont très mauvais. Ils
livrent des analyses partielles et partiales, mettant leur sens critique au
service unique de l’idéologie marxiste culturelle plutôt que de la vérité.
Prompts à dégainer l’analyse fine pour démonter le modèle américain qu’ils
croient encore libéral ou pour remettre en question le bienfondé d’une
mobilisation, ils mettent un temps considérable à corriger leurs conclusions
trop hâtives et erronées.
Les citoyens ne se laissent plus dicter leur opinion. S’ils accordent encore du crédit aux informations des
principaux médias, leurs analyses ne sont plus prises pour argent comptant ; ils se sont donc fait une spécialité de présenter les informations
tantôt de la façon la moins neutre possible, tantôt sans prendre la moindre distance avec les déclarations
des uns et des autres.
Les thèmes développés par les médias sont largement
déconnectés des priorités des citoyens, qui cessent petit à petit de lire la
presse écrite qui ne survit plus que grâce à ses subventions. Les sujets et le
calendrier sont plus dictés par le monde politique que par le monde réel ; la
façon de les traiter aussi. On pourra arguer qu’ils ne sont pas tous doués pour
le calcul et que le comptage des manifestants est toujours un exercice difficile, mais rater un cortège entier, c’est gros.
L’accumulation de reports et ajustements de prévisions
depuis un an s’accélère et constituerait un bon sujet ; la valeur ajoutée des
journalistes politiques est, dans d’autres pays, de s’assurer que les hommes
politiques remplissent correctement leur rôle et ne prennent pas ouvertement
les citoyens pour des abrutis – que ce soit en annonçant ne pas avoir de compte
à l’étranger ou en annonçant des prévisions de croissance, peu importe. Mais en
France, les journalistes politiques écoutent et relaient les messages et faits
d’armes, répandent la bonne parole décidée en haut lieu.
Les médias en tant qu’entreprises et les journalistes
en tant que professionnels ont en réalité deux possibilités : être un relais de
l’opinion des citoyens et l’alimenter de faits et d’analyses, ou tenter de la
façonner. Ils ont choisi leur camp et sont dûment récompensés ; la presse
écrite survit uniquement grâce à des subventions massives depuis des années,
les journalistes bénéficient de niches fiscales dont les justifications ne tiennent
pas la route.
Dans ce débat, les «journalistes»
(Monsieur Stasi avocat et monsieur Potier préfet seraient aussi
journalistes ?) sont juges et partie puisqu’ils ont le pouvoir de
mobiliser ou non l’opinion publique. Ce n’est pas plus glorieux que les
parlementaires qui votent eux-mêmes leur rémunération.
Les journalistes et leurs médias ont le choix entre la
carotte et le bâton, et ils ont choisi la carotte. Grâce à eux, les hommes
politiques ont pu, des années durant, continuer à sévir.
Les Français n’aiment pas ça, et lisent de moins en
moins les journaux devant lesquels ils passent toujours chaque matin. Mais les
journaux s’en fichent ; ils n’ont pas à plaire aux Français, ils n’ont qu’à
plaire au pouvoir.
Et maintenant chose promise chomdu comme on dit en
Macronie, La liste des antisémites et des extrémistes antisémites sur Face
Book :
AFPS Officiel, Oumma.com, Oumma.com sur Facebook soutient de la campagne antisémite BDS, voir ici une vidéo sur Oumma.Com Facebook, CAPJO
europalestine.com/ CAPJO sur Facebook.com soutiennent Tariq Ramadan et de quelle façon ! Bien sûr
que l'antisémitisme est un point de convergence chez de nombreux musulmans qui
vivent dans notre pays et cherchent à exprimer leurs rancœurs, leurs
frustrations permanentes alimentées à la source d'une victimisation
indéfiniment réactivée de la gauche à la Droite Républicaine marxiste
culturelle. Cela fait mal aux oreilles de certains mais il faut le répéter, ce
sont des faits, pas des élucubrations: en France depuis 2003 avec l'assassinat
de Sébastien Sellam aux cris de «j'ai tué
un juif, j'irai au paradis» jusqu'à Sarah Halimi en avril dernier battue à
mort et défenestrée aux cris d'Allah Akbar, les Français juifs qui ont été tués
l'ont été uniquement parce qu'ils étaient juifs. Tous eurent face à eux des
meurtriers se réclamant à des degrés divers de l'islam, certains invoquant la
Palestine, d'autres Allah. Ce point aveugle de l'antisémitisme arabo-musulman,
si on en dénonce l'imprégnation culturelle, peut vous valoir un procès dans la
France d'aujourd'hui. Pendant ce temps les commentaires sur Oumma.com et autres
avec les tweets se suivent, suintants de haine et de violence crue.
L'antisémitisme est un baromètre social. Beaucoup de Français non juifs ne sont
apparemment toujours pas assez connaisseurs de l'histoire pour le mesurer. Nous en sommes là. Il faudrait prendre le temps de citer des commentaires
qu'on lit au sujet des accusatrices de Ramadan. Le fond de haine, la vraie,
celle des vrais nazis socialistes nationaux et des musulmans Cette obsession
antisémite est désormais incarnée par le vocable antisioniste. Le complot
sioniste imprègne chacun de ces commentaires et de ces tweets, cette obsession
prend de telles proportions qu'on pourrait parler de pathologie collective. La
croyance en un complot juif chez beaucoup d'esprits du monde musulman n'a pas
attendu les écrits antijuifs de Sayid Qutb ou que Les Protocoles des Sages de
Sion soient un best-seller dans le monde arabe. Le Coran médinois et les
hadiths n'ont de cesse de présenter les juifs comme des menteurs et des
comploteurs visant à atteindre spirituellement voire physiquement le prophète
de l'islam. L'extermination de la tribu juive de l'oasis de Khaybar en 628,
premier acte de guerre de Mohamed et ses troupes, est la réponse au prétendu
complot juif... Le complotisme est complété dans les commentaires de sites, de
blogs et de tweets concernés par les
clichés rebattus sur les mœurs dissolues des hommes juifs lubriques, et de
femmes juives à la cuisse légère. Henda Ayari est ainsi à plusieurs reprises
traitée de «pute» payée par «des juifs / sionistes» pour salir «l'honneur» de Tariq Ramadan. Madame Zemor est condamnée pour incitation à la haine!
Autre association antisémite annexe du PC dit F l'UJPF déjà condamnée à restituer des fonds obtenus de l'état Français
(c'est à dire vos sous braves gens) obtenus par duperie spécialité bien connue des marxistes culturels haineux et antisémites, mais qui se cache donc contre ce faux nez marxiste?
Et le MRAP là dit donc ! Un mouvement marxiste
stalinien qui distille de la haine des juifs en général oui vous avez bien lu ! «Le MRAP distille de la haine des
Juifs en général !» ! Citation de Maurice Winnykamen dans «Grandeur
et misère de l’antiracisme : Le MRAP est-il dépassé ? (page 203) Aux Editions
Tribord. Exactement comme les nazis ! J’accuse ici encore une fois les associations dites antiracistes de type
LICRA, MRAP, LDH, SOS Racisme, d’avoir
une responsabilité écrasante dans les drames antisémites qui endeuille mon pays
depuis des années. Par leurs actions judiciaires incessantes, elles ont
favorisé le développement de l’islam, en France, en traînant devant les
tribunaux quiconque – et j’en sait quelque chose – osait essayer d’alerter nos
compatriotes sur la réalité de ce fascisme et de cet islamo marxisme
nauséabond. Certaines d’entre elles ont osé porter plainte contre Michel
Houellebecq, liant leur voix à celle des islamistes qui demandaient
l’interdiction de toute critique de l’islam, amalgamée à du racisme. D’autres,
parfois les mêmes, ont osé défendre, à Vesoul, un imam antisémite, au nom d’une
liberté d’expression qui m’a été refusée comme à Remi Moreno, Pierre Cassen,
Christine Tasin, Pascal Ilout et combien d’autres ? Elles font régner un
véritable terrorisme judiciaire dans notre pays, et donnent raison à Alain
Finkielkraut, qui voyait dans l’antiracisme le communisme du 21e siècle.
Michel Alain Labet de Bornay
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Michel Alain Labet de Bornay
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