Il faut aller chercher au Québec pour avoir enfin
une vision incomplète mais assez réaliste du marxisme culturel avec en Janvier
2018 deux beaux articles parus chez Soverain un vrai média politiquement incorrect ;
articles de monsieur Patrice-Hans Perrier écrivain et journaliste québécois.
Le premier article du 21/01/2018 dénommé : Le vertige mortifère du marxisme culturel
(Partie 1) nous propose de bien
prendre le temps de cerner les causes de la «fuite en avant» qui semble caractériser
les errements de l’Occident. Il semblerait pour monsieur Perrier que la
faillite des idéologies de la gauche des Lumières coïncide avec la déréliction
d’un néolibéralisme qui table de plus en plus sur la division sociale pour
imposer sa loi. C’est dans ce contexte que l’on peut affirmer que les avatars du marxisme culturel
ont fini par être récupérés par les marchés financiers. Les théories du genre
deviennent les nouveaux évangiles d’un impérialisme planétaire plongé dans une
mutation véritablement suicidaire. Tot cela et bel et bon et dans l’ensemble
fort juste. Mais monsieur Perrier commence l’historique du marxisme culturel
avec Antonio Gramsci, idéologue marxiste «hérétique»,
réalisant que la Révolution bolchévique n’est pas duplicable en Europe de
l’Ouest, avait élaboré une doctrine destinée à contrer l’hégémonie culturelle
des classes dominantes.
Si là aussi tout cela
n’est pas faux dans l’absolu c’est faire peu de cas des thèses de Lénine
assisté de Willy Münzenberg et Georgi Lukacs
Il faut bien comprendre le rôle de l’ingénierie
culturelle marxiste, entre les années 1920 et 1960, si nous voulons
être en mesure de saisir la profondeur du phénomène. Bien avant l’intervention
gramscienne, les Bolchéviques avaient déjà saisi l’importance d’unir la
propagande et la culture afin de pénétrer plus avant au cœur d’un inconscient
collectif dont il fallait prendre le contrôle.
En
nous parlant du juif Erev Rav Walter Bendix
Schönflies Benjamin, penseur qu’il dit gentiment être «kabbaliste»
du marxisme culturel et qui sert à comprendre l’importance capitale du rôle de
son rôle dans l’élaboration d’une proto-doctrine de la contreculture, on remonte
un peu dans le temps, mais nous n’avons toujours pas les origines et les
objectifs du marxisme culturel élaborés par Lénine et ses complices. Benjamin, astucieux
idéologue réalise bien sûr que pour mener le combat gramscien du détournement
de l’hégémonie culturelle bourgeoise il faut s’approprier la machine de guerre
de la culture de masse, repris à l’unisson par les épigones de L'école de Francfort et de leur marxisme inspiré de György Löwinger dit Lukács autre juif Erev
Rav complice de crimes contre l’humanité lors de sa brève présence comme commissaire politique à l'Instruction de la
République des conseils de Hongrie du 21 mars au 1er août 1919. Lukács grand
instigateur avec Lénine, Willy Münzenberg et Otto Katz dit André Simone des thèses
marxistes culturelles dans le monde était un juif Erev Rav qui introduisit aux
USA les thèses marxistes culturelles notamment à Hollywood dans le mode du
cinéma. Puis très justement monsieur Patrice-Hans Perrier nous dit que la solution finale est, d’abord et avant tout, une approche de la tabula
rasa destinée à détruire les anciennes valeurs chrétiennes qui fondaient la
doxa bourgeoise.
Dans la deuxième partie du vertige mortifère du marxisme culturel monsieur Perrier nous
présente un Walter Benjamin : «lecteur
assidu de Baudelaire, fasciné par cette notion de spleen
ou de névrose urbaine, à une époque où c’est le transfert des affects sur la
marchandise qui préoccupe les donneurs d’ordre du monde de la culture et des
communications». Et c’est là que les athéniens s’atteignirent. On aura compris avec ces deux mots «culture et communisarion» que l’on
atteint presque le cœur du sujet. Monsieur Perrier nous affirme justement que cette
tactique finira par faire les choux-gras de la psychanalyse, de la sémiotique
et des agences de publicité. Mais ce n’est pas fini, monsieur Perrier commence à ouvrir les yeux
lorsqu’il dit : «L’auteur du «Livre des passages» est un
publiciste sans le savoir, une sorte d’émule de Willi Münzenberg, l’activiste communiste qui s’est
intéressé le premier aux pouvoirs de manipulation de la presse».
Il ne manque plus qu’une rapide mise au point sur ce qu’est le marxisme
culturel pour éclairer la lanterne (rouge ?) de
monsieur Perrier. La mise en pratique des théories
mortifères de Lénine et de l'École de Francfort qui modernisa le Marxisme
classique en une idéologie de combat social et civilisationnel deviendra
rapidement du Marxisme culturel, anciennement «Bolchévisme culturel»,
actuel «Politiquement correct» qui est une puissante arme psychologique
de guerre, qui va jusqu'à changer la signification des mots, défiant parfois la
logique, afin de manipuler la pensée. Une guerre culturelle est en marche,
faite à l'intérieur de la société et par ses membres mêmes, visant en priorité
la jeunesse dans sa formation intellectuelle. Le résultat en est généralement
la révolte, puis la Révolution. Ce virus des intelligences détruit
invariablement toute société qu'il contamine. Voir en cliquant ici les treize commandements du marxisme culturel.
Pour certains Marxistes Culturels
distingués comme carrément l’ensemble des «classes»
politiques occidentales, le MC si il n’est pas une absurde théorie du complot
serait un concept aux limites floues, dont l'usage abusif viserait à
déconsidérer leur thèse, nous dirons donc plutôt que le marxisme culturel est
une idéologie issue de la propagande marxiste, largement diffusée au début
essentiellement par Lénine et Willi Münzenberg, puis par l'école de Francfort en Allemagne jusqu’en
1933 avec Georg Lukács, Max Horkheimer, Marcuse, Erich Fromm, Walter Benjamin un des fondateurs du freudo-marxisme (synonyme de MC Marxisme Culturel), Franz Léopold Neumann, Ernst Bloch, théorisé partiellement à
partir des années 50 aux états unis avec Théodore W. Adorno et surtout Jurgen Habermas théoricien allemand du MC (Marxisme Culturel qui est dit souvent sciences sociales). Il est avec Axel Honneth l'un des représentants de la deuxième génération de l'École de Francfort, et développe une pensée qui combine le matérialisme historique de Marx avec le pragmatisme américain, la théorie du développement de Piaget et Kohlberg, et la psychanalyse de Freud en deux mots du Marxisme Culturel !
Monsieur Perrier dans cette deuxième partie traitant
(et c’est très rare) du marxisme culturel nous affirme très justement
que : «ce prurit néomarxiste
constitue le limon sur lequel prendra forme la rectitude politique – nouvelle
police de la pensée du XXIe siècle. Il fallait bien mener à terme ce projet de
déconstruction des repères identitaires et des enjeux langagiers pour qu’en
l’absence de consensus social, la nouvelle intelligentsia nous impose sa police
de la pensée». CQFD.
L'historien William S. Lind théoricien du marxisme
culturel et du
concept de guerre de 4e génération ou Patrick Buchanan, ont
affirmé en outre que le MC ou marxisme culturel est une souche dominante
de la pensée au sein de la gauche américaine, (occultant partiellement sa
dimension «internationaliste» de prise du pouvoir mondial) destinée à
promouvoir la désagrégation de la culture occidentale. William S. Lind dans the
origins of political correctness se demande comme vous et moi
d’où vient tout ce dont vous avez entendu parler ce matin - le féminisme des
victimes, le mouvement des droits des homosexuels, les statistiques inventées,
l'histoire réécrite, les mensonges, les revendications, tout le reste - d'où
vient-il ? Pour la première fois de notre histoire, les Américains et les
Européens doivent avoir peur de ce qu'ils disent, de ce qu'ils écrivent et de
ce qu'ils pensent. Ils doivent avoir peur d'utiliser le mauvais mot, un mot
dénoncé comme offensant ou insensible, ou raciste, sexiste ou homophobe.
Cherchez pas, le «multiculturalisme» nouveau est arrivé ! Il est
évident que ce multiculturalisme avec les invasions immigrationnistes n’est
qu’une excroissance du marxisme culturel pour détruire les cultures
traditionnelles intrinsèques à la société occidentale pour les remplacer par
des sous cultures permettant le contrôle plus facile des «peuples».
Tout d’abord un constat s’impose, les Marxistes internationalistes et mondialistes légaux ont beaucoup de difficultés à trouver aujourd'hui des «prolétaires» ou des «opprimés» pour soutenir leurs visées révolutionnaires ou dans le cas des «capitalistes» asservir des «masses» de moins en moins laborieuses (Celles qui font le boulot pour des salaires de misère et des retraites de merde), et l’un comme l’autre vous prennent pour des imbéciles ! (En restant poli).
Pour récupérer le soutien «populaire», les Marxistes Culturels d’aujourd’hui doivent étendre la prétendue défense des «prolétaires» aux «nouveaux prolétaires» que sont désormais les femmes à protéger contre les «hommes machistes» (Sauf dans le cas de l’Islam conquérant mais ceci est une autre histoire); les étrangers contre les «nationaux racistes» ; les homosexuels contre les «homophobes» (Sauf dans le cas de l’Islam conquérant mais ceci etc. etc.) ; les «humanistes, tolérants ; pacifistes et démocrates» contre les «Chrétiens nationalistes et réactionnaires» ; les délinquants et autres racailles antisémites et albophobe contre la «police violente et agressive» ; comment procéder : pour y arriver, les MC, Marxistes culturels doivent accuser leurs ennemis de racisme, d'antisémitisme, d'homophobie, de fascisme, de nazisme, de conservatisme ; avec quel outil : l’idéologie du «politiquement correct» qui réduit le champ de la liberté d’expression, exclut la mention de certains thèmes dans le débat public et partant empêche toute critique du Marxisme Culturel; pourquoi agir de la sorte : l'objectif des Marxistes culturels est de discréditer la nation, la patrie, les hiérarchies, l'autorité, la famille, le christianisme, les valeurs, l'ordre et la morale pour favoriser l'émergence d'une «nation mondiale ultra égalitaire et multiculturelle sans âme ni racine». Cela bien sûr avec l’aide des ex Mass Médias (Devenues aujourd’hui de simples médias ou ensemble des moyens de diffusion de masse (Organisations de «masse»= base de l’idéologie marxiste) de l'information, de la publicité et de la culture, c'est-à-dire des techniques de propagandes et des instruments audiovisuels et graphiques, capables de transmettre rapidement le même message à destination d'un public très nombreux et très très peut «cultivé». La suite ici... Chapitre 2 Chapitre 3 chapitre 4
Tout d’abord un constat s’impose, les Marxistes internationalistes et mondialistes légaux ont beaucoup de difficultés à trouver aujourd'hui des «prolétaires» ou des «opprimés» pour soutenir leurs visées révolutionnaires ou dans le cas des «capitalistes» asservir des «masses» de moins en moins laborieuses (Celles qui font le boulot pour des salaires de misère et des retraites de merde), et l’un comme l’autre vous prennent pour des imbéciles ! (En restant poli).
Pour récupérer le soutien «populaire», les Marxistes Culturels d’aujourd’hui doivent étendre la prétendue défense des «prolétaires» aux «nouveaux prolétaires» que sont désormais les femmes à protéger contre les «hommes machistes» (Sauf dans le cas de l’Islam conquérant mais ceci est une autre histoire); les étrangers contre les «nationaux racistes» ; les homosexuels contre les «homophobes» (Sauf dans le cas de l’Islam conquérant mais ceci etc. etc.) ; les «humanistes, tolérants ; pacifistes et démocrates» contre les «Chrétiens nationalistes et réactionnaires» ; les délinquants et autres racailles antisémites et albophobe contre la «police violente et agressive» ; comment procéder : pour y arriver, les MC, Marxistes culturels doivent accuser leurs ennemis de racisme, d'antisémitisme, d'homophobie, de fascisme, de nazisme, de conservatisme ; avec quel outil : l’idéologie du «politiquement correct» qui réduit le champ de la liberté d’expression, exclut la mention de certains thèmes dans le débat public et partant empêche toute critique du Marxisme Culturel; pourquoi agir de la sorte : l'objectif des Marxistes culturels est de discréditer la nation, la patrie, les hiérarchies, l'autorité, la famille, le christianisme, les valeurs, l'ordre et la morale pour favoriser l'émergence d'une «nation mondiale ultra égalitaire et multiculturelle sans âme ni racine». Cela bien sûr avec l’aide des ex Mass Médias (Devenues aujourd’hui de simples médias ou ensemble des moyens de diffusion de masse (Organisations de «masse»= base de l’idéologie marxiste) de l'information, de la publicité et de la culture, c'est-à-dire des techniques de propagandes et des instruments audiovisuels et graphiques, capables de transmettre rapidement le même message à destination d'un public très nombreux et très très peut «cultivé». La suite ici... Chapitre 2 Chapitre 3 chapitre 4
Michel Alain Labet de Bornay
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