Deux syllabes qui claquent comme une sentence sans
appel « FA-CHO», terme générique employé par les journalopes et autres
intellocrates merdiatocrasseux pour culpabiliser, censurer, isoler celui qui ne
se sent plus chez lui. Fin de non-recevoir, basta, casse- toi tu pue, ferme ta
gueule.
Facho, insulte suprême, dernier avertissement avant le
camp de rééducation citoyen, carton rouge dans les matchs des bien-pensants.
Plusieurs merdias allah
botte du politiquement correct ont affirmé après avoir lu et mis à la sauce «lecteur de base» les «dépêches» (à la ligne) de l’agence de
presse d’Ultra Gauche marxiste culturelle Stalinienne l’AFP (Agence Franchement
Putassière) qu’un vaste «coup de filet» dans
les réseaux prétendus d’«ultra droite» plus
précisément un soi-disant groupuscule de vieillards cacochymes dénommé AFO
ayant abouti à l’interpellation de 10 personnes (dans le canard enchainé ce
sont des «Fachos» évidemment,
ailleurs vous avez le choix entre terroristes d’extrême droite, militants
d’ultra droite, fachos bien sûr etc. etc.) dans toute la France aurait permis
de déjouer un incertain éventuel et hypothétique projet d’attentat envers «les musulmans» (sic). Il paraitrait
mais je ne suis pas sûr de la source que ce monstrueux groupuscule de bêtes
immondes aurait fait courir le bruit que les testicules de musulmans seraient
aphrodisiaques, comme pour la corne de rhinocéros, ce qui à terme permettrait
la disparition de l’espèce de mahomerdateurs et de spice di counasse
torchonnées. A l’appui de cette pseudo «information»,
les sempiternelles et précieuses «sources
proches de l’enquête», comprenez les pseudos «enquêteurs» eux-mêmes, ou plus précisément leur hiérarchie entièrement
politiquement correcte et d’ultra gauche marxiste culturelle.
Bon d’accord, facho on
connait mais «ultra droite» qu’est-ce
que c’est que ça ? L’extrême droite, la vraie bête immonde bien salope on
connaissait, c’est très vilain, vulgaire et très méchant mais bon, quand on est
au deuxième tour de l’élection présidentielle il faut prendre des pincettes
avec les électeurs, alors on invente des termes nouveaux pour les inciter à
voter à gauche ou vers le matrolygnagniste
Macron, les municipales approchent !
Alors LCI la petite chaine de désinfo
marxiste culturelle de monsieur Pellisson membre du siècle, elle aussi allah
botte du politiquement correct va interroger monsieur Jean-Yves Camus un homme
d’ultra gauche joyeux inventeur du «populisme»
et «spécialiste» de l’extrême
daroite. Ce vrai génie des Carpates est aussi directeur de l'Observatoire
des Radicalités Politiques c’est-à-dire que ce brave homme d’ultra gauche avait en 2014 fondé cet «Observatoire» avec une dizaine de «chercheurs» marxistes culturels et très
politiquement corrects, des intellocrates s’affublant de dénominations
pompeuses comme politologues, «historiens»,
juristes et fin du fin «sociologues»,
se sont regroupé à l’initiative de la Fondation Jean Jaurès. La Fondation
dispose d’un budget annuel de 2 millions d’euros. Ses ressources proviennent
pour l’essentiel de l’État, c’est-à-dire de l’argent des impôts des Français
même d’extrême droite !
Un «journaliste» de LCI est censé interroger monsieur Camus : L'AFO, soupçonnée de préparer
une attaque terroriste (c’est extrêmement bizarre çà, aucune attaque ou projet
d’attaque sérieuse dénommée «terroriste»
n’a été jusqu’ici dévoilée par les enquêteurs de la DGSI) est présentée (présentée
par qui ?) comme appartenant à la mouvance ultra-droite (sic). Qu'est-ce
qui distingue ce groupuscule de l'extrême droite ? Ça c’est une bonne
question !
Jean-Yves Camus né en 1958
est, on vient de le voir, un grand «spécialiste»
de l’extrême droite, oui cela est bel et beau mais à ma connaissance pour être spécialiste d’une chose il faut
l’avoir pratiquée, hors toujours à ma connaissance monsieur Camus n’a jamais
été membre de l’Action Française, il n’a jamais été Poujadiste, ni monarchiste
et il ne défend pas la mémoire du Maréchal de France Philippe Pétain le
créateur de la fête des mères ce qui ne l’empêche pas de déblatérer: «Il existe une distinction pas forcément
scientifiquement avérée entre l'extrême droite, qui affiche tout de même un
certain respect de la démocratie, du moins en apparence, et l'ultra-droite qui,
elle, entend mettre en œuvre les moyens d'une conquête par des actions non
légales, prétend faire un travail que l'appareil de l'Etat ne ferait pas. (Ah
ça nom d’un petit camarade Staline, si ce n’est pas «avéré» scientifiquement ça ne veut rien dire alors ? La
science politique anglo-saxonne nettement moins marxiste culturelle et
politiquement correcte parle plus volontiers de «droite radicale» qu’ils situent à la limite de la droite «démocratique» c’est-à-dire une gauche «modérée», libérale ou conservatrice). Clairement,
dans ce cas précis (un coup monté comme on va le voir et dont on a que des
suppositions idiotes, mais monsieur Camus un «journaliste» stipendié lui est catégorique), l'appartenance à la
mouvance de l'ultra-droite est incontestable.
Arrêtons
là, le reste étant dans la même veine marxiste culturelle, toutefois pour les
curieux de la rhétorique marxiste culturelle et du matérialisme dialectique
dans le texte cliquez ici : LCI
Beaucoup plus sérieusement
l’affaire dite de «l’Ultra Droite» ou
de l’«Action des Forces Opérationnelles» (AFO) a été téléguidée pour aller vers une mise au pas
de nos forces de sécurité.
La spectaculaire et hyper
merdiatisée arrestation de certains des présumés membres de l’«Action des Forces Opérationnelles»
cache une volonté du régime marxiste culturel de contrer une très possible
dérive «islamosceptique» de nos
forces de sécurité !
Revoyons brièvement les
faits : Au petit matin du dimanche 24 juin dernier, dix personnes – dix, pas
une de plus – venues prétendument des rangs d’une «ultra-droite» gaiement fantasmée par tout un ensemble de
personnages d’ultra gauche étaient placées en garde à vue après un coup de
filet mené sur l’ensemble du territoire national. Avec une coordination qui
fait plaisir à voir, différents services du renseignement intérieur ont opéré
en région parisienne, Charente-Maritime, Corse du sud, et dans la Vienne. Ces
dix personnes, qui appartiendraient toutes à un «groupuscule» nommé «Action
des Forces Opérationnelles» (AFO) dont le site Internet est toujours
visible, sont suspectées d’avoir voulu s’en prendre à des cibles musulmanes.
Dès dimanche soir, dans un gazouillis élogieux, le ministre de l’Intérieur
Gérard Collomb félicitait les services de la DGSI pour cette opération, qui prouve
que ladite DGSI est capable d’être efficace, pour autant qu’elle en reçoive
l’ordre. Rappelons que lors du défilé du 1er mai dernier à Paris, quelque 1200 «Black Bloc» avaient pendant plusieurs
heures tout saccagé sur leur passage. Curieusement, ladite DGSI n’avait rien vu
venir.
Allah manœuvre également,
l’ensemble de la presse stipendiée du régime, Médiapart en tête. Dès lundi
matin, le site d’ultra gauche stalinienne et marxiste culturel islamocompatible
Médiapart, par ailleurs l’un des deux principaux passe-plats du régime marxiste
culturel avec le Canard Enchaîné, publiait sur cinq pleines pages un article
soi-disant bien documenté, sur l’AFO et ses ramifications supposées dans «l’ultra droite» dont personne encore
n’avaient entendu causer. L’article
rappelle que, le 9 avril dernier, Médiapart alertait, je cite, sur «la résurgence de la mouvance de
l’ultra-droite» et révélait que la DGSI, je cite toujours, avait «une cinquantaine de policiers, gendarmes et
militaires» parmi ses «objectifs» suivis
pour leurs liens avec «l’extrême droite
violente» (Celle-là aussi elle est pas mal «extrême droite violente», ils ont oublié faschosphère et
nébuleuse de la haine). Fin de
citation. Médiapart cible plus précisément le mouvement des Volontaires Pour la
France (VPF), présidé par ses deux co-fondateurs, le général Antoine Martinez
et Ivan Blot.
L’organe d’Ultra Gauche Médiapart
souligne, je cite, qu’«À l’automne 2017,
Dominique Copain et Guy Sibra (d’après le Canard Enchainé il s’agit de
Sibera), deux recruteurs des VPF, ont
créé [l’AFO], destinée à mener de réelles opérations clandestines. Selon nos
informations, poursuit le média en ligne, les deux hommes font partie des dix
gardés à vue», fin de citation. Médiapart omet de préciser que la création
de l’AFO par MM. Copain et Sibera est postérieure à leur exclusion des VPF en
octobre 2017. Selon Médiapart, je cite encore : «Les services de renseignement ont dû sensibiliser plusieurs
administrations, parmi lesquelles les différents corps d’armée, la police, la
gendarmerie, les douanes, ainsi que l’administration pénitentiaire [afin] de
prévenir le recrutement de tout nouveau policier ou militaire déjà recensé comme
figurant dans cette mouvance». Et Médiapart d’enfoncer le clou : « L’«entrisme» de «l’extrême droite violente»
au sein des forces de sécurité préoccupe la DGSI, les Renseignements
territoriaux et la Direction du renseignement de la préfecture de police de
Paris», fin de citation. But probable de ce discours : intimider tous ceux
qui, dans l’armée, la gendarmerie, la police et l’administration pénitentiaire
seraient susceptibles de prêter une oreille coupablement complaisante sur les
supposés dangers qu’une présence musulmane massive ferait courir à notre pays.
Dans un communiqué commun publié hier, le général Antoine Martinez et Yvan Blot
déclarent, je cite : «Nous continuerons à
nous faire entendre, nous poursuivrons notre action et notamment celle de
lanceurs d’alerte, mais nous la conduirons également sans relâche pour
convaincre les Français de la nécessité d’un sursaut collectif, et par conséquent
nous les appelons à nous rejoindre». Fin de citation.
Dans la même veine je vous
donne de larges extraits de l'article de
l’article de Riposte Laïque.
La DGSI avoue : en arrêtant
dix patriotes, elle a voulu protéger des imams radicaux. Publié le 26 juin
2018. Curieusement, le sujet n’a encore effleuré aucun des centaines de
journaleux, et leurs invités bidons, qui, depuis dimanche, martèlent en boucle
que les dix nationalistes de l’ultra-droite qui voulaient passer à l’action
visaient, entre autres, des imams radicaux.
Et pourtant, un journaliste
digne de ce nom aurait pu poser juste une question : «Ah bon, il reste des imams radicaux en France, et Collomb les laisse
en liberté ?». Ils sont mignons tout plein chez RL, un «journaliste» non stipendié par le pouvoir marxiste culturel ?
Il est où ? Le bobardier honnête il est où ?
Un autre journaliste
(baveux), s’il avait osé être insolent, aurait même pu poser une deuxième
question : «le ministre de l’Intérieur ne
se rend-il pas coupable de non-assistance à personnes en danger» ? Là ça
frise la naïveté et puis il y a une faute on n’écrit plus ministre mais
Sinistre !
Des mauvais esprits encore plus curieux pourraient s’interroger également et se
demander pourquoi la DGSI convoque des fichés S musulmans par courrier, et
pourquoi elle colle quinze ninjas dans toute la France pour arrêter un paisible
retraité, et faire le parallèle avec les grotesques moyens mis en œuvre pour
arrêter la trésorière de Vigilance Halal, quelques mois plus tôt. Ils
pourraient même poser des questions sur la détention, depuis un an, du jeune
Logan Nisin, soupçonné d’avoir soi-disant préparé un attentat contre Mélenchon,
alors que même monsieur le sinistre ministre cacochyme Collomb a avoué
que le dossier était pratiquement vide. Ils pourraient aussi se poser des
questions sur le fait que pas un attentat, ni aucun acte de violence, n’a été
commis, en France, depuis des dizaines d’années, alors que toutes les violences
viennent de l’extrême et ultra gauche et des islamistes…
Mais nos fiers et gais journalopes,
et leurs «invités» intellocrates
marxistes culturels serviles, ne font que relayer ce qu’on leur demande de dire
: L’ultra droite (comprendre ceux qui commence à en avoir marre des chances
pour la France et des torchonnées bien trop visibles sans parler des personnes «issues de la diversité», ou de «minorités visibles») serait violente,
elle voudrait faire parler la poudre, ils oseraient les pauvres fous prétendre
que la RATP, l’islam, (Religion d’Amour et de Paix) est une menace terroriste,
il y a plein de policiers, de gendarmes, de militaire, de fonctionnaires chez
eux, les patriotes qui en ont ras la casquette des musulmans et de leur ultra
visibilité souvent terroriste et criminelle et n’oubliez pas les gardiens de
prison qui eux aussi en ont marre car que plus de 80% des prisonniers en France
sont musulmans ! Alors combien de «terroristes
d’ultra droite» sont en prison ? La réponse : aucun !
Mais ceci nous ouvre des
horizons. Il y aurait donc des imams radicaux en liberté ! Cet aveu, effectué
par la bouche des vaillants enquêteurs de la DGSI (fiers de vous, les gars ?)
pose juste une question. Si, après les attentats de 2015 et ceux qui ont suivi,
il demeure, en France, des imams radicaux (au fait, c’est quoi, un imam modéré
?), que doit faire le gouvernement ? Les expulser ? Les emprisonner ?
Les faire abattre par des services spécialisés ? C’est justement parce que ce
travail n’est pas effectué, que forcément, dans le but de se protéger, certains
commencent à prendre des dispositions, pour se protéger, eux et leur famille,
des fois que… On peut partager ou pas cette réaction, elle est inévitable.
J’ai
souvent dit que chez Riposte Laïque que j’aime bien, ils étaient un peu naïfs,
et alors avant de se demander ce que c’est qu’un imam (d’Épinal) radical (voir
ici les
radis-calisés) ou même modérés il conviendrait
peut-être de savoir ce qu’est un Imam ? L’Islam n’étant pas une religion (Il
n’y a pas de clergé en Islam) Comme il n’y a aucune différence entre un «âlim» (pl. ulémas) les «savants en islamerditude» et le
mahométan de base. Imam veux juste dire «celui
qui est devant» n’importe quel musulman pieux peut être Imam, il n’y a donc
pas plus de radicaux ou de modérés que de cochon dans le couscous. L’Islam n’est pas une religion, c’est
un système politique qui utilise le «divin»
pour justifier son idéologie totalitaire, ce qui explique sa complicité avec le
marxisme culturel et les idéologies gauchistes.
Riposte Laïque ajoute
toutefois très justement que tous les imams présents sur le territoire français
sont des taupes de l’islam, et n’ont qu’une mission : transformer la France en
terre musulmane, comme le leur réclament les textes (dits) sacrés.
Ainsi, nous avons appris l’existence d’une
organisation dite «d’ultra droite» répondant
au nom d’AFO, pour «Action des Forces
Opérationnelles», dont n’importe quel internaute peut aisément découvrir
qu’elle dispose d’un blog, à cette adresse. Le 04/07/2018 ils précisent : Cette page a abondamment été captée par les médias lors de la Rafle de la piscine. Le site GUERRE DE FRANCE n'est pas un site
dépendant de REVEIL PATRIOTE ni de l'AFO, qui est une coquille vide fantasmée,
ni une vitrine légale de quelque organisation que ce soit.
Déjà la mise à jour du
27/06 2018 est particulièrement intéressante : C'est incroyable, il faut se pincer pour y croire. Des dizaines de "consultants",
de "spécialistes" se succèdent sur les chaînes TV, y compris RT, pour
décrypter ce que contient ce site, parfois avec des interprétations démontrant
l'immensité de leurs ignorances.
Et puis avec l’article
dit de La Rafle de la piscine du 03
07 2018 on s’aperçoit que la «presse» les
merdias, c’est-à-dire les intellocrates merdiatocrasseux marxistes culturels
changent de chanson !
Le 29.06.2018, 23h, le site Guerre de France déclare : La
communication avec les journalistes (ils sont gentils, naïfs et croyants chez
Guerre de France) commence à porter ses fruits, la chanson est en train de
changer.
L'article dans LE POINT d’Aziz Zemouri retranscrit à
peu près correctement ce dont nous avons discuté. Il y a encore quelques
imprécisions, mais militaire c'est un métier. En particulier continuer à utiliser ce qualificatif scélérat et fourbe, «l'ultra droite», complètement aberrant.
Contact aussi avec CNN,
qui pourrait faire l'effort de m'expédier une équipe. Il est certain que la
Guerre de France vu par les Yankees c'est un peu décalé, et pourtant, à une
époque, un certain Galula enseignait les principes de la guerre asymétrique
révolutionnaire, une sorte d'école Française de la guérilla.
Extrait de l’article du Figaro du 24/06/2018
En résumé, il s’agirait de pères de famille et de
retraités présentés comme étant «sans
histoire», donc sans antécédents judiciaires, pratiquant le tir sportif et
se préparant à un scénario de guérilla ou de guerre civile (…), la propension
de ces personnes à passer à l’acte en commettant des attentats dont le projet
ne serait par ailleurs pas «clairement
matérialisé»
Assisterait-on à la
création d’une menace visant à manipuler l’opinion, orchestrée par l’exécutif
dans le but de se maintenir au pouvoir ? Le gouvernement anticiperait-il un chaos généralisé dont il cherche à faire porter la responsabilité à
d’autres que lui ? S’agit-il
d’un détournement d’attention ? Les trois mon adjudant !
A titre d’exemple, il serait aisé de faire planer dans
l’opinion l’idée d’une menace terroriste d’ultra gauche (qui elle est bien
réelle il n’y a encore pas si longtemps) en allant surveiller quelques semaines
certains blogs (ou certaines ZAD) pour y trouver de quoi monter un dossier et
mener une opération de police judiciaire du même ordre. Mais cela n’apporterait
sans doute rien sur le plan électoral…
Tiens, un exemple d’anti-France d’Ultra Gauche du gay
Parti dit les «insoumis» (à quoi) du
camarade de monsieur Mélenchon le fameux stalinien démocrate
Stéphane Poussier, candidat La France Insoumise (LFI) le petit Parti d’ultra
gauche marxiste aux législatives dans le Calvados, a été condamné le 27 Mars
2018 à un an de prison avec sursis pour apologie du terrorisme par le tribunal
correctionnel de Lisieux (Calvados). En cause, ses tweets publiés au lendemain
de la mort du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame, tué après s'être substitué à une otage dans l’immonde et sempiternelle attaque djihadiste qui a fait quatre morts dans le sud
de la France Stéphane Poussier avait été interpellé dimanche matin à son domicile de Dives-sur-Mer.
Candidat heureusement malheureux de La France Insoumise
aux législatives en 2017, il avait écrit sur Twitter: «À chaque fois qu'un gendarme se fait buter (...) je pense à mon ami
Rémi Fraisse», un jeune militant écologiste tué en 2014 par une grenade
tirée par un gendarme dans le sud-ouest de la France. «Là, c'est un colonel, quel pied! Accessoirement, encore un électeur de
Macron en moins», avait-il ajouté. Ses remarques ont provoqué de vives
réactions sur Twitter, et son compte a été désactivé. Les tweets ont été
condamnés par son mouvement, la France
Insoumise et par son leader Jean-Luc Mélenchon. Poussier a été exclu du
parti. Nonobstant encore une fois, c’est bien un militant d’Ultra Gauche qui
écrit des saloperies sur Internet !
Continuons donc avec nos amis de «Guerre de France».
Dans l'émission de B.F.Macron (ci-dessus), on en
apprend des vertes et des pas mûres de Matthieu Suc (MEDIAPART), qui, comme
tous ces journalistes arrogants et surtout ignorants, se vante d'être un
spécialiste de l'ultra droite, qui n'existe que dans ses délires d’ultra
gauchiste. En particulier que la DGSI a demandé mi-2017 au Général Martinez et
à Yvon Blot d'y aller moderato et qu'en gros on avait assez joué à se faire
peur. Sauf que le recrutement battait son plein pour Volontaires Pour la France (VPF), puis
plus tard à Réveil Patriote. Rassurez-vous les gars, le recrutement est excellent, malgré les risques
que prennent ces nouveaux résistants qui nous découvrent. Encore un peu de pub
gratuite de ces bras cassés et on atteint les 5000 sympathisants. Déjà la
fréquentation de ce site est passée de 6000/10000 par semaine à 10000 par jour,
continuez, vous être de braves petits sergents recruteurs.
A l’heure où des islamistes dont la dangerosité notoire a été établie sont relâchés par centaines, au point que le procureur Molins lui-même en arrive à tirer la sonnette d’alarme, il y a lieu de s’interroger sur l’emploi qui est fait de nos services de «renseignements», si une partie d’entre eux reçoit pour instruction de surveiller ceux qui cherchent à se protéger de la menace réelle qu’ils représentent.
A l’heure où des islamistes dont la dangerosité notoire a été établie sont relâchés par centaines, au point que le procureur Molins lui-même en arrive à tirer la sonnette d’alarme, il y a lieu de s’interroger sur l’emploi qui est fait de nos services de «renseignements», si une partie d’entre eux reçoit pour instruction de surveiller ceux qui cherchent à se protéger de la menace réelle qu’ils représentent.
Nos amis de «Guerre
de France» (Copie intégrale du site faite) avec leur édito du 30 06 2018 en
rajoute une petite louche : «Nous
sommes samedi 30.06 à 7h30, toujours pas un molosse du système à l'horizon.
Messieurs les Archers du Roi, prière de ne pas démolir ma porte, vous sonnez
aimablement, je ne suis pas armé. J'ai réussi hier un coup tordu, une de mes
grandes spécialités. Interview devant une équipe de télévision étrangère : les
journalistes ont été stupéfiés par la description d' «Apocalypse now» en
doulce France et le degré d'avancement de la Guerre de France. Ils grenouillent
sur le terrain jusque demain, ça va faire très mal. Que mes camarades de
résistance soient mis en examen, je veux bien, on se défendra et cela fera
pschitt comme pour Tarnac et les Irlandais de Vincennes. Mais s'il vous reste
un peu d'honneur merci de «libérez
nos camarades».
Puis le 28 06 le brave et courageux rédacteur de
Guerre de France écrit :
«La DGSI repaire de l’anti-France ? (la DGSI est assistée
dans ses «opérations» par L'Office
central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information
et de la communication (OCLCTIC) et sa plateforme de signalement Internet) Voici ceux qui accusent et arrêtent les
patriotes ! C'est bien entendu, l'AFO qui n'est
qu'un ramassis de fascistes, (voir le titre de mon article) racistes, xénophobes, homophobes (c'est la
mode) et nazis (ça, c'est la référence suprême : au-dessus, il n'y a rien (si
il y a la Reductio ad Hitlerum). Voilà l'affirmation des
"élites" qui dirigent nos vies et entendent diriger nos actes, et
jusqu'à nos pensées. Il s'agit là d'une réponse tout faite, servi chaque fois
qu'elles se trouvent face à un problème qu'elles ne veulent pas voir, ou auquel
elles ne veulent pas apporter de solution. Ces prétendues élites représentent
un petit entre-soi, qui mêle politiciens, journalistes, juges, responsables de
milieux associatifs ou cultureux... et certains hauts gradés des forces de
l'ordre. (Peut-être faudrait-il commencer par lire ce texte et essayer de comprendre pourquoi et comment nous en
sommes arrivé là, à une société toute entière marxiste culturelle!)
*****************
PUBLICITÉ
Lire ou faire lire Note9 ?
Livre pernicieux, mis à l’index des livres interdits
par la nomenklatura marxiste culturelle merdiatique Française et par le
Saint-Siège de la bienpensance intellectuelle politiquement correcte qui a
quand même un avantage, puisque Kim
Jong-un (*) guide suprême de la république populaire démocratique
de Corée, génie parmi les génies en dira : «Note9
est une perle populaire et démocratique de l’ethnographie politique! On peut
bien sûr ne pas être d'accord avec ce sale blanc d’auteur et ssibsaeggi (petite merde) maudite de chien capitaliste allah con,
mais il a le mérite comme mon ami et néanmoins vipère lubrique et michinnom (connard) Trump de ne pas faire de
langue de bois. Chaque biographie qu’il nous donne est étudiée à travers
l’histoire... évidemment lourde de sens pour la compréhension du positionnement
des hommes politiques d’aujourd’hui».
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belles pages entièrement écrites avec deux doigts de l’homme et des lettres
latines formant des mots en Français de France, c’est simple cliquez ici: Se procurer
Note 9
(*) Le seuil de 135% de popularité a été atteint hier par
Kim Jong-un. Ce taux historique est le fruit d’un long travail et de mesures
fortes, salués par la population qui a exprimé avec vigueur sa satisfaction
lors du dernier sondage. Une leçon à méditer pour les pays occidentaux ?
A l’heure où la popularité d’Emmanuel Macron et celles
de messieurs Stasi et Potier nos aristarques préférés connaît des hauts et des
bas, au gré des humeurs des Français «un
peuple de fachos d’ultra droite et de pisse-froids», il semblerait que les
Nord-Coréens aient quelques années d’avance dans la recherche du bonheur. Les
Français ont peut-être des leçons à apprendre de ce pays.
*****************
Le rédacteur de Guerre de France continue :
«Le directeur général de la sécurité intérieure figure évidemment en bonne
place dans cette pyramide. Si, depuis un an, ce poste est occupé par Laurent
Nunez, ancien préfet de police de Marseille, qui a été, de 2012 à 2017, la
période de tous les attentats le poste de monsieur Patrick Calvar. Lors de son départ à la retraite, le
journal Le Point dressait un portrait extatique de ce commissaire, «inconnu du
grand public» mais dont tout le monde connaissait le nom - et (sans ce
bidonner SVP) «sans étiquette politique»...
à cela près qu'il avait été nommé à ce poste juste après la présidentielle de
2012 et qu'il avait participé à la réunion du groupe mondialiste (Politiquement
correct et marxiste culturel) Bilderberg
en 2015. Cet «inconnu du grand
public» avait néanmoins connu son heure de gloire après son audition devant la
commission parlementaire sur les attentats. Vous savez, celle qui a établi que
le détachement de militaires en poste devant le Bataclan avait reçu l'ordre de
ne pas intervenir, un ordre donné par... on ne sait pas qui, ce qui n'avait pas
troublé outre mesure les enquêteurs, lesquels n'avaient pas poussé plus loin
leurs investigations. Devant la
commission parlementaire, le patron de la DGSI avait, selon Le Figaro, déclaré (en
2016) que la France était «au bord d'une
guerre civile». Les auditions se faisant à huis-clos, Calvar avait eu tout le
loisir de démentir. Il avait alors affirmé que ses services devaient s’occuper
d'autres groupes extrémistes parce que la confrontation est inéluctable. Et au
cas où l'on n'aurait pas bien compris de quels extrémistes il s'agissait, ce
frère jumeau du procureur François Molins enfonçait le clou : "L'ultra
droite". Son successeur a bien
retenu la direction indiquée. Quant à
Calvar, il vit aujourd'hui une retraite active et lucrative. Il est d'abord
enseignant à Science Po Paris, l'un des laboratoires qui fabriquent les clones
de la pensée unique (dire aussi marxisme culturel SVP), destinés à peupler les ministères et les
partis politiques. Il officie également comme "conseiller spécial" de
l'Institut Montaigne, ce club de réflexion mondialiste, qui prône la
déréglementation en matière sociale et - ce qui va de pair - l'abolition des
frontières et donc l'arrivée des migrants. C'est sur cet individu qu'a reposé, pendant cinq ans, la sécurité des
Français. Avec le succès que l'on sait. Aujourd'hui, son successeur veut faire
croire qu'il agit pour la sécurité en arrêtant une dizaine de patriotes. C’est
criminel. Mais merci pour la pub...»
Vous aurez aussi remarqué que le terme d’Ultra droite
généralement pas employé connait un regain de popularité telle que messieurs Yvan
Benedetti et Alexandre Gabriac sont le 04 Juillet dernier dans la piteuse
gazette marxiste culturelle stipendiée dite
Le Parisien qualifiés de deux figures de la fameuse «Ultra Droite». Yvan Benedetti et Alexandre Gabriac, ont été
condamnées à Lyon à des jours -amendes - 80 jours-amendes à 50 euros pour le
premier et 30 pour le second pour avoir soi-disant reconstitué ou maintenu deux
organisations dissoutes, l’Œuvre française et les Jeunesses nationalistes révolutionnaires.
Même s’il se réserve la possibilité de faire appel,
Alexandre Gabriac a estimé cette condamnation «légère», signe bien, que «la
justice n’avait pas d’élément» contre eux. Jusqu’ici nos deux personnages
étaient qualifiés d’extrémistes de droite.
Un recours contre la dissolution des deux
organisations doit être prochainement examiné devant la Cour européenne des
Droits de l’Homme, a précisé Alexandre Gabriac. Pour lui, une victoire devant
la haute juridiction « invaliderait la condamnation » prononcée mercredi par le
tribunal lyonnais.
Les choses ont bien l’air de ce dégonfler ; en
effet dans le feuille de chou Sud Ouest on apprend que monsieur Guy Sibra
(dit Sibera alias Richelieu dans le Canard Enchainé), interpellé fin juin à
Tonnay-Charente, près de Rochefort, a été remis en liberté sous contrôle
judiciaire. Le parquet de Paris a fait appel de cette décision du juge des
libertés et de la détention. Le chef de file présumé d’un groupe dit d’ultra droite, dont les Zautorités redoutaient "(il semble bien à tord) un passage
à l’acte violent" contre des musulmans et arrêté le week-end du 23 juin en
Charente-Maritime, a été remis en liberté vendredi
sous contrôle judiciaire. Un autre suspect a lui aussi recouvré la liberté. Guy
Sibra, un policier à la retraite devenu antiquaire notamment spécialisé dans
les armes à feu, avait été
arrêté à Tonnay-Charente, près
de Rochefort. Lui et neuf autres personnes, membres ou proches d’un groupe
baptisé Action des forces
opérationnelles (AFO),
avaient été placées en garde à vue et mis en
examen pour "association de malfaiteurs terroriste criminelle".
Quatre d’entre eux avaient été libérés sous contrôle
judiciaire, quatre autres avaient été placés en détention provisoire et deux
autres incarcérés dans l’attente d’un
débat devant le juge des libertés et de la détention. Ces deux derniers
suspects, dont Guy Sibra, ont donc été remis en liberté sous contrôle judiciaire. Le
parquet de Paris a fait appel de la décision du juge des libertés et de
la détention concernant Guy Sibra.
Voir aussi ici Virginie Vota
Michel Alain Labet de Bornay
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Michel Alain Labet de Bornay
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Dernière nouvelle de l’Ultra Droite par l’AFP Agence Franchement Putassière : «Selon les derniers éléments de l'enquête sur l’immonde Ultra Droite, les individus radicalisés auraient voulu prendre pour cibles des innocents détenus islamistes après leur sortie de prison ou encore des innocentes mosquées radicales dans l'optique de lutter contre un prétendu péril islamiste. Trente-six armes à feu légales et des milliers de munitions ont été retrouvées lors de perquisitions chez les suspects, y compris des éléments «entrant dans la fabrication d’explosif de type TATP», avait précisé le parquet, qui avait ouvert une enquête à la mi-avril». Vous aussi amis savez-vous qu’avec une bonne quantité de décolorant pour cheveux vous pouvez fabriquer une quantité suffisante de TATP pour commettre un meurtre de masse à une échelle inimaginable comme dirait un «intellectuel» d’ultra gauche ; et qui ne dispose pas dans son garage et sa pharmacie d'acétone, d'eau oxygénée (peroxyde d’hydrogène) et de l’acide sulfurique ou chlorhydrique, pouvant vous faire passer pour un dangereux terroriste d’ultra droite ou un djihadiste, attention tout de même avec le décolorant vous pouvez en acheter dans les drogueries. Mais ces solutions contiennent 97 % d’eau. Vous allez donc devoir faire bouillir le liquide pour extraire l’eau et concentrer le peroxyde. Vous risquez par la même occasion de mettre le feu à votre laboratoire improvisé et de tout perdre avant même qu’un seul musulman djihadiste ou un «suppôt du Grand Satan» n’ait péri.
RépondreSupprimerCinq bobards ont été jetés en pâture à la presse : trucider des imams "radicaux" (le détail qui tue), des "revenants" de Syrie et d'Irak, des femmes voilées au hasard dans la rue, et le rappeur Médine, qui, lui, veut crucifier des laïcards, entre autres. S'y ajoute l'empoisonnement de rayons halal. Plus c'est gros, plus ça passe.
RépondreSupprimerIntéressons nous à la DGSI, la page Wikipedia est suffisante pour comprendre : taper "wikipedia DGSI" sur le moteur de recherche de votre navigateur (le site a des soucis avec les lettres accentuées). Ce qu'il faut retenir : Nicolas Sarkozy, ce grand démocrate, a regroupé la DST et les RG dans la DCRI, qui dépendait de la DGPN (Direction Générale de la Police Nationale). Puis Manuel Valls, autre démocrate avéré, a instauré la DGSI, qui est sous la tutelle directe du ministère de l'intérieur "avec plus d'autonomie".
Citons Wikipedia : "En janvier 2012, Yves Bertrand, ancien directeur des Renseignements généraux, estime dans un entretien à Mediapart, qu'« on ne fusionne pas un service dont la vocation est avant tout judiciaire et opérationnelle, comme la DST, avec un service d’information, comme les RG, qui n’a pas d’attribution judiciaire — mis à part les courses et jeux », sinon pour créer une « police politique », ce qui représente à ses yeux une « atteinte aux libertés énorme".
L'efficacité de la fusion est également interrogée après les attentats du 13 novembre 2015 en France : il lui est reproché d'avoir « surtout eu pour effet de désintégrer le maillage tissé année après année par les RG », tandis que perdurait « une culture façonnée par la guerre froide » et attachée au « modèle d'un service d'élite rompu au secret. [...] Coupée de ses racines et sanctuarisée par le secret défense, la DCRI n’a jamais autant fonctionné en vase clos ».
En effet, les activités de la DGSI relèvent du "secret défense", qui serait le cas échéant opposé à une commission d'enquête parlementaire, comme la pugnace commission du Sénat dans l'affaire Benalla. Bref, la DGSI est une police politique, pas toujours inspirée (affaire de Tarnac), et qui n'est pas sans rappeler un célèbre exemple historique. La plupart des terroristes musulmans étaient fichés à la DGSI, accumuler autant d'échecs (250 morts, 1000 blessés) fait douter de l'efficacité des 4400 personnels, débordés par 20000 fichés S et 4000 FSPRT. On se souviendra que le facteur déclenchant du terroriste de Trèbes a été sa convocation par courrier !
Pour redorer un blason plutôt cabossé, autant se "farcir" des papys résistants.
On a appris au passage qu'il existe une "cellule ultra-droite" au sein de la DGSI.
Je suis personnellement persuadé que les "éléments de langage", les bobards ci-dessus, ont été concoctés au ministère de l'intérieur, avec participation éventuelle de journalistes, entre autres Mathieu Suc de Médiapart (qui a déclaré que la DGSI avait demandé au Général Martinez des VpF de se calmer côté recrutement dans les milieux militaires et policiers). Pourquoi pas une collaboration des victimes théoriques pendant qu'on y est, l'affaire Benalla est là pour nous rappeler que tout est possible en Macronie. On se rappellera de la réception précipitée du CFCM au ministère de l'intérieur.
Résultat de cette x-ième opération ratée : les Français savent maintenant qu'il existe des résistants, avec un coup de publicité inespéré, et le camp d'en face sait que ça ne va pas rentrer comme dans du beurre. Bingo.