mercredi 12 septembre 2018

La presse qui pue !





J’ai pris depuis quelques temps une très mauvaise habitude… Je regarde le journal de 20 Heure allah Télévision de Rance qui pue. Média allah botte du pouvoir marxiste culturel ou politiquement correct.
Je ne dirai rien des pseudos «journalistes» et autres journalopes à la culture historique de protozoaires qui savent à peine lire des prompteurs et des dépêches (allah ligne ?) avec leurs tronche de premier de la classe ou de tenancière de maison close ;
Ces guignols se contentent de reprendre les dépêches de l’AFP (Une agence de presse que plus gauchiste tu meurs). AFP une agence de désinformation marxiste culturelle dont le rôle principal est de désinformer la population.
Tiens je vais vous parler de deux ou trois cas qui me font bondir !

Par exemple savez-vous (Merci à madame Tasin) que la violence en Birmanie, qui a durement endeuillé et les musulmans Rohingyas et les Bouddhistes birmans, est à la source d’une idée reçue et fausse particulièrement ancrée dans l’opinion publique par la presse qui pue le gauchisme marxiste culturel que les Rohingyas seraient les agressés. Mais ce sont les musulmans Rohingyas qui agressent, massacrent et tuent les Bouddhistes depuis 1947. Nous n’avons pas là affaire à une guerre de religions. C’est un conflit d’ordre politique où les autochtones Birmans essaient de se protéger d’une communauté d’immigrés musulmans qui en veulent à leur vie. Le seul motif des Rohingyas est la création d’une zone islamique autonome en Birmanie. Et là on est au cœur d’un problème récurent avec qui vit à côté de musulmans (suivez mon regard) il est simplement question pour les bouddhistes, de savoir si ils veulent mourir des mains des séparatistes islamiques ou survivre en répliquant.

Et si on continuait sur le même sujet ? Il y a quelques jours (On approchait du 11 Septembre) la téloche qui schlingue le couscous a réussis un exploit ; nous montrer pendant un bon quart d’heure des images des attentats terroristes du 11 Septembre 2001 à New York  sur les tours du World Trade Center. Pour une personne non avertie ou des jeunes gens, on aurait peu croire que nous avions affaire à une catastrophe naturelle. Pas un mot sur les musulmans auteurs des attentats, pas un mot sur l’islamiste Ben Laden et pas un mot sur l’organisation terroriste musulmane Al-Qaïda. Mais il y a une raison : ces «journalistes» chargés théoriquement – mais qui y croit encore ? – de faire de l’information, font en réalité de la manipulation et de la désinformation au profit de l’allahicité et de l’immigration de masse s’ ils n'éructent pas encore : «muslim’s is good for you», ça ne saurait tarder !

Et puis l’autre soir c’est la cerise sur le gâteau, notre belle téloche marxiste culturelle  nous montre tout un flot de Vénézuéliens qui fuient leur pays pour des raisons que l’on aimerait bien connaitre, car là aussi on a l’impression que c’est une sorte de secret d’état, tout juste sont évoquées des «questions économiques». D’après mes modestes connaissances, il me semble bien que le  Venezuela du nord de l'Amérique du Sud dispose des plus importantes réserves de pétrole mondial et que les exportations pétrolières de la compagnie d'État PDVSA assurent 95 % des exportations et 50 % du PIB.
En 2008, l'afflux des pétrodollars a fait de Caracas une vitrine du capitalisme, caractérisé par une frénésie de consommation: hôtels, restaurants, centres commerciaux se multipliaient sur le modèle américain.
Les quartiers pauvres des bidonvilles de la capitale (barrios) montraient une certaine prise en charge de la société par l'État: mercal (supérettes subventionnées par l'État), souvent irrégulièrement approvisionnés; programmes de santé, d'éducation, d'aide aux nécessiteux, sous la surveillance de «Comités révolutionnaires locaux» qui s’en mettaient d’abord plein les fouilles (Charité communiste bien ordonnée commence par soi-même). Les réformes mises en place par le dictateur socialiste très teinté de marxisme léninisme Nicolás Maduro Moros, avaient pour objectif de faire du Venezuela une société socialiste bolivarienne, sorte de marxisme stalinien à la sauce locale de Cachapas (Galettes de maïs épaisses et bourratives) ce que certains abrutis nommaient le pays du socialisme du XXIe siècle. La priorité serait l'indépendance vis-à-vis des États-Unis, qui restaient le principal client pour le secteur stratégique des hydrocarbures et le principal partenaire commercial du Venezuela d'une manière générale. Cela explique en partie le rapprochement avec le Cuba marxiste et castriste.
«Avec plus de 2,3 millions d’émigrés, on commence à l’appeler le plus grand exode des cinquante dernières années en Amérique latine», observe La Nación le principal quotidien argentin.
Les raisons ?
Tout commence avec Hugo Rafael Chávez Frías, né le 28 juillet 1954 à Sabaneta (Llanos, sud du Venezuela) et mort le 5 mars 2013 à Caracas, président de la République de 1999 à 2013. Fondateur et chef du parti politique du Mouvement Cinquième République de 1997 à 2007 – date à laquelle il fonde le Parti socialiste unifié du Venezuela (PSUV) –, il est élu président de la République du Venezuela fin 1998. Se réclamant du bolivarisme et ayant pour objectif l'établissement du «socialisme du XXIe siècle», il met en place un ensemble de réformes, désigné sous le nom de «Révolution bolivarienne», et comprenant la promulgation d'une nouvelle constitution, une politique de soi-disant «démocratie participative», et la nationalisation des industries clés. Les ressources naturelles du Venezuela lui permettent de financer un ensemble de politiques sociales, et suscite l’enthousiasme d'une partie de la gauchiotterie pourrie et des nationalistes-révolutionnaires allah con à l'échelle internationale. Sa politique fait l'objet de controverses : il lui est notamment reproché de ne pas poser les bases d'un développement durable au Venezuela, de gouverner de façon autoritaire et d'entretenir des liens avec plusieurs immondes dictatures communistes. Mais surtout comme dans tout système socialiste c’est d’abord l’éternel : «Moi, merveilleux président élu démocratiquement à vie et génie de la sierra de la Culata, je m’en met plein les fouilles avec mes «potes» de la nomenklatura socialope et l’armée et je laisse le populo crever la dalle» C’est que Chávez a été beaucoup plus influencé par les écrits de l'historien marxiste Federico Brito Figueroa, que de celles du libérateur Simón Bolívar même si il prône un «Bolivarisme» de façade.
En Colombie, les immondes guérillas marxistes des Forces armées révolutionnaires de Colombie, principale guérilla communiste et de l’Armée de libération nationale organisation marxiste placée sur la liste des organisations terroristes des États-Unis, du Canada et de l'Union européenne se revendiquent elles aussi du bolivarisme. Avantageuse façon de soi-disant se distinguer du marxisme et du communisme criminel contre l’humanité et de prendre les gens pour des cons comme chez nous les altermondialistes, écologistes et autres antiracistes.
Et puis viendra le temps de Nicolás Maduro Moros, né le 23 novembre 1962 à Caracas. Issu de la classe moyenne d'un quartier populaire du sud de cette ville. Il milite dans la Ligue socialiste (marxiste-léniniste) du lycée au début des années 1970 (Le marxisme-léninisme demeure l'idéologie officielle à Cuba où il est mêlé aux idées de José Martí, en République populaire de Chine, au Viêt Nam et au Laos. En Corée du Nord, la mention du marxisme-léninisme a été supprimée dans la constitution de 1992; des mentions continuent d'en être faites en tant que «prémisse idéologique et théorique» du Juche, l'idéologie à usage national créée par Kim Il-sung). Selon un de ses amis, il s'est fait expulser de son établissement scolaire en 1977 pour propagande communiste.
Ancien chauffeur de bus puis leader syndical, il est membre du très gauchiste Mouvement Cinquième République (MVR). D'abord député (1999-2000), puis président de l'Assemblée nationale du Venezuela (2005-2006), il est ensuite ministre des Affaires étrangères (2006-2012) puis vice-président de la République (2012-2013). À la suite de la mort du président Hugo Chávez, il devient président de la République par intérim, puis remporte en trichant l'élection présidentielle anticipée avec 50,6 % des voix face à Henrique Capriles.
En 2014 et 2017, au cours d'une grave crise économique provoquant notamment des pénuries alimentaires, Nicolás Maduro est confronté à des manifestations meurtrières et à une opposition demandant sa démission de la part d'opposants au gouvernement socialiste vénézuélien. Les élections législatives de 2015 voient l'opposition emporter la majorité à l'Assemblée nationale, ce qui constitue le point de départ d'une grave crise institutionnelle. Il est réélu en 2018 à l'issue d'un scrutin plus que contesté. Il est intéressant de remarquer que très démocratiquement au cours du scrutin une partie des partis d'opposition était interdite de candidature.


Le grand démocrate socialiste Maduro est élu président de la République le 14 avril 2013.
Le 14 novembre 2013, Maduro fait voter par le Parlement le droit de gouverner par décret pendant un an, type de gouvernance utilisé par tous les présidents du Venezuela depuis les années 1970, y compris par Hugo Chávez. La principale raison de la gouvernance par décret est l'aggravation de la crise économique. Ainsi, Maduro promet de changer de modèle économique et vaincre la «bourgeoisie parasitaire» qui, selon lui, détiendrait les rênes de l'économie et tenterait sans relâche de déstabiliser le gouvernement dans le cadre d'une «guerre économique». Il promet aussi de lutter fermement contre la corruption, qu'il nomme «antivaleur du capitalisme».
Le 4 août 2018, Nicolás Maduro se dit victime d'un attentat lors d'une parade militaire organisée à l'occasion du 81e anniversaire de la création de la garde nationale bolivarienne. Selon les autorités vénézuéliennes, cette tentative d’assassinat a été menée à l’aide de deux drones chargés d'explosifs, et a blessé sept militaires. Le socialo communiste Maduro considère bien sûr que «l'ultra-droite vénézuélienne alliée avec l'ultra-droite colombienne de Juan Manuel Santos» est responsable de l’attentat. L’exécutif vénézuélien souligne également la responsabilité de militants présents aux États-Unis et en appelle à Donald Trump. L'attaque est ensuite revendiquée par un groupuscule jusque-là inconnu, Los soldados de Franelas ou  Mouvement national des soldats en chemise, tandis qu'une journaliste d'opposition installée aux États-Unis relaye un communiqué de revendication disant «Nous ne pouvons pas tolérer que la population soit affamée, que les malades n'aient pas de médicaments, que la monnaie n'ait plus de valeur, que le système éducatif n'enseigne plus rien et ne fasse qu'endoctriner avec le communisme».

La triste débâcle du Venezuela est bien un résultat prévisible du socialisme
Au cours de sa présidence, Hugo Rafael Chávez Frías a utilisé les revenus provenant du pétrole, lesquels ont explosé grâce à la hausse fulgurante du prix du pétrole, pour sans bourrer les poches et très accessoirement aider assez modestement toutefois les plus démunis. C’était une stratégie plutôt simple et efficace pour prendre le pouvoir puisque au début de son premier mandat, environ 50% de la population du pays était considérée comme pauvre (ce chiffre est descendu à 31,5% au début de 2008).
S’il advenait une baisse du prix du pétrole ou de la production, il aurait à couper drastiquement dans les dépenses pour les plus démunis, à défaut de quoi il mettrait le pays dans une situation financière encore plus précaire.
Le Venezuela était parti clairement sur les traces du Cuba marxiste-léniniste et Chávez entrainait le pays, peu à peu, vers une dictature socialiste marxiste militaire-totalitaire.
Le régime marxiste manque cruellement de devises étrangères, ce qui l’empêche d’importer des produits de première nécessité et de payer ses dettes. Environ 85% des biens consommés au Venezuela sont importés. Le pays fait face à des pénuries de biens essentiels comme le lait et la farine, en passant par le shampooing, le papier toilette et les serviettes hygiéniques. Des files d’attente de plusieurs centaines de personnes se forment chaque jour devant les supermarchés. Une dizaine de patients sont récemment décédés dans un hôpital de Caracas par manque de valves coronariennes. L’administration socialo-communiste blâme les commerçants et impose des contrôles de prix, ce qui a évidemment comme conséquence d’accentuer les pénuries. Des dirigeants de pharmacies et de supermarchés ont été démocratiquement arrêtés. Il est maintenant interdit de photographier les étagères vides des supermarchés appartenant au gouvernement et des journalistes ont été arrêtés pour avoir dénoncé ces pénuries.
Entre 2000 et 2012, le gouvernement marxiste a bénéficié d’environ 800 milliards de Dollars de revenus pétroliers. C’est ce qui a permis à Chávez d’ancrer son régime. Le nombre de fonctionnaires a plus que doublé en 16 ans tandis que le dirigeant communiste expropriait ou nationalisait bêtement 1.200 entreprises privées. Le déficit de gouvernement a alors explosé à 20% du PIB et la dette du pays a très fortement augmenté. L’inflation s’est accélérée tandis que le PIB était en diminution. La pauvreté a recommencé à augmenter, tout comme l’insatisfaction de lapopulation.                                                                                                                                                                Le pays s’approchera alors  de plus en plus du totalitarisme communiste le plus ignoble. Le 27 janvier dernier, le ministre de la défense a imposé un décret permettant à l’armée d’utiliser leurs armes contre des protestataires s’ils faisaient preuve de violence. La censure envers les médias indépendants a continué. Seulement le quart de la population a confiance en l’autorité électorale. Les prisonniers politiques se font de plus en plus nombreux, incluant Leopoldo Lopez, fondateur du parti Voluntad Popular, mis «provisoirement» et démocratiquement en prison, il y croupit depuis un an, ainsi que le maire de la capitale Caracas, Antonio Ledezma.
En 2003, Chavez le génie de la serranía de Perijá avait renvoyé 18.000 employés (50%) des Petróleos de Venezuela SA (PDVSA) parce qu’ils avaient participé à une manifestation dénonçant la politisation socialo-communiste idiote de cette entreprise d’État. Beaucoup de ces gens constituaient les cadres et l’intelligentsia de PDVSA et durent s’expatrier aux États-Unis, au Mexique, en Colombie, au Pérou et même en Alberta. La communauté vénézuélienne de l’Alberta est passée de 465 en 2001 à 3.860 en 2011 ! L’un d’eux a même fondé un nouveau centre de recherches à l’Université de Calgary. Mais c’est certainement la Colombie qui a le plus bénéficié de l’exode des cerveaux du Venezuela.

Par ailleurs, la surévaluation du Bolivar imposée par le gouvernement marxiste du Venezuela nuit énormément aux opérations de PDVSA. En fait, ce que l’on a observé est que si on dilapide en bon socialiste le capital d’une entreprise plutôt que d’y réinvestir, sa production ne peut qu’en souffrir. C’est l’accumulation du capital productif par l’investissement qui pousse la productivité et engendre la richesse. Plutôt que de porter le blâme et changer le système socialiste incompétent, l’abruti dictateur marxiste Maduro préféra rejeter la responsabilité de cette débâcle sur le dos de la politique «impérialiste» des États-Unis. Le psychopathe et président socialo-communiste est devenu paranoïaque et voit des complots partout comme d’ailleurs tous les socialopes du monde.

Malheureusement, le Venezuela prouve encore une fois que le marxisme et le socialisme détruisent la richesse et appauvrit la population. Par ailleurs, un régime socialiste ne peut subsister qu’en affaiblissant constamment la démocratie et les libertés individuelles, jusqu’à sombrer dans le totalitarisme militaire criminel contre l’humanité. Espérons que le monde apprendra des erreurs tragiques des Vénézuéliens marxistes ou socialistes. Mais ne comptez pas sur la presse marxiste culturelle de Francarabia pour vous l’expliquer !


Michel Alain Labet de Bornay

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