J’ai pris depuis quelques temps une très mauvaise
habitude… Je regarde le journal de 20 Heure allah Télévision de Rance qui pue.
Média allah botte du pouvoir marxiste culturel ou politiquement correct.
Je ne dirai rien des pseudos «journalistes» et autres journalopes à la culture historique de
protozoaires qui savent à peine lire des prompteurs et des dépêches (allah
ligne ?) avec leurs tronche de premier de la classe ou de tenancière de
maison close ;
Ces guignols se contentent de reprendre les dépêches de
l’AFP (Une agence de presse que plus gauchiste tu meurs). AFP une agence de
désinformation marxiste culturelle dont le rôle principal est de désinformer la
population.
Tiens je vais vous parler de deux ou trois cas qui me
font bondir !
Par exemple savez-vous
(Merci à madame Tasin) que la violence en Birmanie, qui a
durement endeuillé et les musulmans Rohingyas et les Bouddhistes birmans, est à
la source d’une idée reçue et fausse particulièrement ancrée dans l’opinion
publique par la presse qui pue le gauchisme marxiste culturel que les Rohingyas
seraient les agressés. Mais ce sont les musulmans Rohingyas qui agressent,
massacrent et tuent les Bouddhistes depuis 1947. Nous n’avons
pas là affaire à une guerre de religions. C’est un conflit d’ordre politique où
les autochtones Birmans essaient de se protéger d’une communauté d’immigrés
musulmans qui en veulent à leur vie. Le seul motif des Rohingyas est la
création d’une zone islamique autonome en Birmanie. Et là on est au cœur d’un
problème récurent avec qui vit à côté de musulmans (suivez mon regard) il est
simplement question pour les bouddhistes, de savoir si ils veulent mourir des
mains des séparatistes islamiques ou survivre en répliquant.
Et si on continuait sur le même sujet ? Il y a
quelques jours (On approchait du 11 Septembre) la téloche qui schlingue le
couscous a réussis un exploit ; nous montrer pendant un bon quart d’heure
des images des attentats terroristes du 11 Septembre 2001 à New York sur les tours du World Trade Center.
Pour une personne non avertie ou des jeunes gens, on aurait peu croire que nous
avions affaire à une catastrophe naturelle. Pas un mot sur les musulmans
auteurs des attentats, pas un mot sur l’islamiste Ben Laden et pas un mot sur
l’organisation terroriste musulmane Al-Qaïda. Mais il y a une raison : ces
«journalistes» chargés théoriquement
– mais qui y croit encore ? – de faire de l’information, font en réalité de la
manipulation et de la désinformation au profit de l’allahicité et de
l’immigration de masse s’ ils
n'éructent pas encore : «muslim’s is good for you», ça ne saurait tarder !
Et puis l’autre soir c’est la cerise sur le gâteau,
notre belle téloche marxiste culturelle nous
montre tout un flot de Vénézuéliens qui fuient leur pays pour des raisons que
l’on aimerait bien connaitre, car là aussi on a l’impression que c’est une
sorte de secret d’état, tout juste sont évoquées des «questions économiques». D’après mes modestes connaissances, il me
semble bien que le Venezuela
du nord de l'Amérique du Sud dispose des plus importantes réserves de pétrole
mondial et que les exportations pétrolières de la compagnie d'État PDVSA
assurent 95 % des exportations et 50 % du PIB.
En 2008, l'afflux des pétrodollars a fait de Caracas
une vitrine du capitalisme, caractérisé par une frénésie de consommation:
hôtels, restaurants, centres commerciaux se multipliaient sur le modèle
américain.
Les quartiers pauvres des bidonvilles de la capitale
(barrios) montraient une certaine prise en charge de la société par l'État:
mercal (supérettes subventionnées par l'État), souvent irrégulièrement
approvisionnés; programmes de santé, d'éducation, d'aide aux nécessiteux, sous
la surveillance de «Comités
révolutionnaires locaux» qui s’en mettaient d’abord plein les fouilles
(Charité communiste bien ordonnée commence par soi-même). Les réformes
mises en place par le dictateur socialiste très teinté de marxisme
léninisme Nicolás Maduro Moros, avaient pour objectif de faire du Venezuela une
société socialiste bolivarienne,
sorte de marxisme stalinien à la sauce locale de Cachapas (Galettes de
maïs épaisses et bourratives) ce que
certains abrutis nommaient le pays du socialisme du XXIe siècle.
La priorité serait l'indépendance vis-à-vis des États-Unis, qui restaient le principal client pour
le secteur stratégique des hydrocarbures et le principal partenaire commercial
du Venezuela d'une manière générale. Cela explique en partie le rapprochement
avec le Cuba marxiste et castriste.
«Avec
plus de 2,3 millions d’émigrés, on commence à l’appeler le plus grand exode des
cinquante dernières années en Amérique latine»,
observe La Nación le principal quotidien
argentin.
Les raisons ?
Tout commence avec Hugo Rafael Chávez Frías, né le 28
juillet 1954 à Sabaneta (Llanos, sud du Venezuela) et mort le 5 mars 2013 à
Caracas, président de la République de 1999 à 2013. Fondateur et chef du parti
politique du Mouvement Cinquième République de 1997 à 2007 – date à laquelle il
fonde le Parti socialiste unifié du Venezuela (PSUV) –, il est élu président de
la République du Venezuela fin 1998. Se réclamant du bolivarisme et ayant pour
objectif l'établissement du «socialisme
du XXIe siècle», il met en place un ensemble de réformes, désigné sous le
nom de «Révolution bolivarienne», et
comprenant la promulgation d'une nouvelle constitution, une politique de soi-disant
«démocratie participative», et la
nationalisation des industries clés. Les ressources naturelles du Venezuela lui
permettent de financer un ensemble de politiques sociales, et suscite
l’enthousiasme d'une partie de la gauchiotterie pourrie et des
nationalistes-révolutionnaires allah con à l'échelle internationale. Sa
politique fait l'objet de controverses : il lui est notamment reproché de ne
pas poser les bases d'un développement durable au Venezuela, de gouverner de
façon autoritaire et d'entretenir des liens avec plusieurs immondes dictatures
communistes. Mais surtout comme dans tout système socialiste c’est d’abord
l’éternel : «Moi, merveilleux
président élu démocratiquement à vie et génie de la sierra de la Culata, je m’en
met plein les fouilles avec mes «potes» de la nomenklatura socialope et l’armée
et je laisse le populo crever la dalle» C’est que Chávez a été beaucoup plus influencé par les écrits de
l'historien marxiste Federico
Brito Figueroa, que de celles
du libérateur Simón
Bolívar même si il prône un «Bolivarisme» de façade.
En Colombie, les immondes guérillas marxistes des Forces
armées révolutionnaires de Colombie, principale guérilla communiste et de l’Armée
de libération nationale organisation marxiste placée sur la
liste des organisations terroristes des États-Unis, du Canada et de l'Union
européenne se revendiquent elles aussi du bolivarisme. Avantageuse façon de
soi-disant se distinguer du marxisme et du communisme criminel contre
l’humanité et de prendre les gens pour des cons comme chez nous les
altermondialistes, écologistes et autres antiracistes.
Et puis viendra le temps de Nicolás Maduro Moros, né le 23 novembre 1962 à Caracas. Issu
de la classe moyenne
d'un quartier populaire du sud de cette ville. Il milite dans la Ligue
socialiste (marxiste-léniniste)
du lycée au début des années 1970 (Le marxisme-léninisme demeure l'idéologie
officielle à Cuba où il est mêlé aux idées de José Martí, en République populaire de
Chine, au Viêt Nam et au Laos.
En Corée du Nord,
la mention du marxisme-léninisme a été supprimée dans la constitution de 1992;
des mentions continuent d'en être faites en tant que «prémisse idéologique et théorique» du Juche,
l'idéologie à usage national créée par Kim Il-sung). Selon un de ses amis, il s'est fait
expulser de son établissement scolaire en 1977 pour propagande communiste.
Ancien chauffeur de bus puis leader syndical, il est
membre du très gauchiste Mouvement
Cinquième République (MVR). D'abord député (1999-2000), puis président de
l'Assemblée nationale du Venezuela (2005-2006), il est ensuite ministre des
Affaires étrangères (2006-2012) puis vice-président de la
République (2012-2013). À la suite de la mort du président Hugo Chávez, il devient président de la République par intérim,
puis remporte en trichant l'élection
présidentielle anticipée avec 50,6 % des voix face à Henrique Capriles.
En 2014 et 2017, au cours d'une grave
crise économique provoquant notamment des pénuries alimentaires,
Nicolás Maduro est confronté à des manifestations
meurtrières et à une opposition demandant sa démission de la part
d'opposants au gouvernement socialiste vénézuélien. Les élections
législatives de 2015 voient l'opposition emporter la majorité à l'Assemblée
nationale, ce qui constitue le point de départ d'une grave
crise institutionnelle. Il est réélu en 2018 à l'issue d'un scrutin
plus que contesté. Il est intéressant de remarquer que très
démocratiquement au cours du scrutin une partie des partis d'opposition était
interdite de candidature.
Le 14 novembre 2013, Maduro fait
voter par le Parlement le droit de gouverner par décret pendant un an, type de
gouvernance utilisé par tous les présidents du Venezuela depuis les années 1970, y compris par Hugo Chávez. La principale raison de
la gouvernance par décret est l'aggravation de la crise économique. Ainsi,
Maduro promet de changer de modèle économique et vaincre la «bourgeoisie parasitaire» qui, selon
lui, détiendrait les rênes de l'économie et tenterait sans relâche de
déstabiliser le gouvernement dans le cadre d'une «guerre économique». Il promet aussi de lutter fermement contre la
corruption, qu'il nomme «antivaleur du
capitalisme».
Le 4 août 2018, Nicolás Maduro se dit victime d'un
attentat lors d'une parade militaire organisée à l'occasion du 81e anniversaire
de la création de la garde nationale bolivarienne. Selon les autorités vénézuéliennes,
cette tentative d’assassinat a été menée à l’aide de deux drones chargés
d'explosifs, et a blessé sept militaires. Le socialo communiste Maduro
considère bien sûr que «l'ultra-droite
vénézuélienne alliée avec l'ultra-droite colombienne de Juan Manuel Santos» est
responsable de l’attentat. L’exécutif vénézuélien souligne également la
responsabilité de militants présents aux États-Unis et en appelle à Donald
Trump. L'attaque est ensuite revendiquée par un groupuscule jusque-là inconnu,
Los soldados de Franelas ou Mouvement national des soldats en chemise,
tandis qu'une journaliste d'opposition installée aux États-Unis relaye un
communiqué de revendication disant «Nous
ne pouvons pas tolérer que la population soit affamée, que les malades n'aient
pas de médicaments, que la monnaie n'ait plus de valeur, que le système
éducatif n'enseigne plus rien et ne fasse qu'endoctriner avec le communisme».
La triste débâcle du Venezuela est bien un résultat
prévisible du socialisme
Au cours de sa présidence, Hugo Rafael Chávez Frías a
utilisé les revenus provenant du pétrole, lesquels ont explosé grâce à la
hausse fulgurante du prix du pétrole, pour sans bourrer les poches et très accessoirement
aider assez modestement toutefois les plus démunis. C’était une stratégie
plutôt simple et efficace pour prendre le pouvoir puisque au début de son
premier mandat, environ 50% de la population du pays était considérée comme
pauvre (ce chiffre est descendu à 31,5% au début de 2008).
S’il advenait une baisse du prix du pétrole ou de la
production, il aurait à couper drastiquement dans les dépenses pour les plus
démunis, à défaut de quoi il mettrait le pays dans une situation financière
encore plus précaire.
Le Venezuela était parti clairement sur les traces du
Cuba marxiste-léniniste et Chávez entrainait le pays, peu à peu, vers une
dictature socialiste marxiste militaire-totalitaire.
Le régime marxiste manque cruellement de devises
étrangères, ce qui l’empêche d’importer des produits de première nécessité et
de payer ses dettes. Environ 85% des biens consommés au Venezuela sont
importés. Le pays fait face à des pénuries de biens essentiels comme le lait et
la farine, en passant par le shampooing, le papier toilette et les serviettes
hygiéniques. Des files d’attente de plusieurs centaines de personnes se forment
chaque jour devant les supermarchés. Une dizaine de patients sont récemment
décédés dans un hôpital de Caracas par manque de valves coronariennes.
L’administration socialo-communiste blâme les commerçants et impose des
contrôles de prix, ce qui a évidemment comme conséquence d’accentuer les
pénuries. Des dirigeants de pharmacies et de supermarchés ont été démocratiquement
arrêtés. Il est maintenant interdit de photographier les étagères vides des
supermarchés appartenant au gouvernement et des journalistes ont été arrêtés
pour avoir dénoncé ces pénuries.
Entre 2000 et 2012, le gouvernement marxiste a
bénéficié d’environ 800 milliards de Dollars de revenus pétroliers. C’est ce
qui a permis à Chávez d’ancrer son régime. Le nombre de fonctionnaires a plus
que doublé en 16 ans tandis que le dirigeant communiste expropriait ou
nationalisait bêtement 1.200 entreprises privées. Le déficit de gouvernement a alors
explosé à 20% du PIB et la dette du pays a très fortement augmenté. L’inflation
s’est accélérée tandis que le PIB était en diminution. La pauvreté a recommencé
à augmenter, tout comme l’insatisfaction de lapopulation. Le pays s’approchera alors de plus en plus du totalitarisme communiste le
plus ignoble. Le 27 janvier dernier, le ministre de la défense a imposé un
décret permettant à l’armée d’utiliser leurs armes contre des protestataires
s’ils faisaient preuve de violence. La censure envers les médias indépendants a
continué. Seulement le quart de la population a confiance en l’autorité électorale.
Les prisonniers politiques se font de plus en plus nombreux, incluant Leopoldo
Lopez, fondateur du parti Voluntad Popular, mis «provisoirement» et démocratiquement en prison, il y croupit depuis un an, ainsi que le maire de la
capitale Caracas, Antonio Ledezma.
En 2003, Chavez le génie de la serranía de Perijá avait
renvoyé 18.000 employés (50%) des Petróleos de Venezuela SA (PDVSA) parce
qu’ils avaient participé à une manifestation dénonçant la politisation socialo-communiste
idiote de cette entreprise d’État. Beaucoup de ces gens constituaient les
cadres et l’intelligentsia de PDVSA et durent s’expatrier aux États-Unis, au
Mexique, en Colombie, au Pérou et même en Alberta. La communauté vénézuélienne
de l’Alberta est passée de 465 en 2001 à 3.860 en 2011 ! L’un d’eux a même
fondé un nouveau centre de recherches à l’Université de Calgary. Mais c’est
certainement la Colombie qui a le plus bénéficié de l’exode des cerveaux du
Venezuela.
Par ailleurs, la surévaluation du Bolivar imposée par
le gouvernement marxiste du Venezuela nuit énormément aux opérations de PDVSA.
En fait, ce que l’on a observé est que si on dilapide en bon socialiste le
capital d’une entreprise plutôt que d’y réinvestir, sa production ne peut qu’en
souffrir. C’est l’accumulation du capital productif par l’investissement qui
pousse la productivité et engendre la richesse. Plutôt que de porter le blâme
et changer le système socialiste incompétent, l’abruti dictateur marxiste Maduro
préféra rejeter la responsabilité de cette débâcle sur le dos de la politique «impérialiste» des États-Unis. Le psychopathe
et président socialo-communiste est devenu paranoïaque et voit des complots
partout comme d’ailleurs tous les socialopes du monde.
Malheureusement, le Venezuela prouve encore une fois
que le marxisme et le socialisme détruisent la richesse et appauvrit la
population. Par ailleurs, un régime socialiste ne peut subsister qu’en
affaiblissant constamment la démocratie et les libertés individuelles, jusqu’à
sombrer dans le totalitarisme militaire criminel contre l’humanité. Espérons
que le monde apprendra des erreurs tragiques des Vénézuéliens marxistes ou
socialistes. Mais ne comptez pas sur la presse marxiste culturelle de
Francarabia pour vous l’expliquer !
Michel Alain Labet de Bornay
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