Énormément de Français et même d’Européens ignorent
quelle est l’idéologie dominante de la France et de l’Europe tous partis
confondus et particulièrement celle qui anime notre président bien aimé le
sieur Macron.
En 2004, à l'issue de ses études à l'ENA, il intègre le
corps de l'Inspection générale des finances (IGF).
En septembre 2008, il se met en disponibilité de la
fonction publique et devient banquier d'affaires chez Rothschild & Cie . Il est promu,
fin 2010, associé au sein de la banque. La même année, il est nommé gérant et
dirige l'une des plus grosses négociations de l'année, le rachat par Nestlé de
la filiale «laits pour bébé» de
Pfizer. Cette transaction, évaluée à plus de neuf milliards d'euros, lui permet
de devenir millionnaire. Entre décembre 2010, date de sa nomination comme
associé-gérant, et mai 2012, celle de son arrivée à l'Élysée, Emmanuel Macron
indique avoir gagné 2 millions d'euros brut. Selon ses déclarations de revenus
et de patrimoine faites à la Haute Autorité pour la transparence de la vie
publique, il a gagné plus de 2 800 000 euros bruts entre 2009 et 2013.
Votre président millionnaire, braves gens était pourtant
un homme de «gauche», qui cherchait
dans sa jeunesse la troisième voie entre l'individualisme libéral et le
marxisme.
À la fin des années 1990, pendant près de deux ans, il
commence à militer au Mouvement des
citoyens (MDC) de Jean-Pierre Chevènement.
Il est membre du Parti Socialiste, à jour de
cotisation, de 2006 à 2009. Il rencontre en 2006 François Hollande, auprès duquel il s'engage à partir de 2010.
En vue des élections
législatives de 2007, il essaie d'obtenir du PS une investiture en Picardie. Mais les adhérents socialistes de Picardie s'opposent à sa candidature.
François Hollande remporte l'élection présidentielle.
Le 15 mai 2012, après avoir réintégré la fonction publique, Emmanuel Macron
devient secrétaire général adjoint de l'Élysée, en tandem avec Nicolas Revel.
Emmanuel Macron est notamment l'un des artisans, du crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi et du pacte
de responsabilité et de solidarité. Concernant ce
dernier, il s'oppose à Nicolas Revel, chargé des questions sociales et «dont la fibre socialiste est plus affirmée».
Le 10 juin 2014, l'Élysée annonce qu'il
quitte le cabinet de François Hollande. Les observateurs expliquent son départ
par ses déceptions de ne pas entrer dans le premier gouvernement de
Manuel Valls.
Il apparaît dans la liste des invités à la réunion du groupe Bilderberg de 2014 en sa qualité de
secrétaire général adjoint de la présidence de la République à la fibre
socialiste peu affirmée. Ce «groupe»
de mondialistes a pour objectif de mettre en place l'impérialisme
culturel qui a pour but, dans un premier temps, de modifier les modes de vie
pour les faire ressembler à celui de la culture dominante, c’est-à-dire
l'assimilation de la population dominée, en imposant sa culture, son système
éducatif, sa musique, son mode de pensée et de consommation.
Selon le «sociologue»
Philippe Coulangeon, il y a chez Emmanuel Macron un «hyperconformisme mâtiné d’un peu de transgression et d’une certaine
bienveillance à l’égard de la culture de masse».
A partir de là les choses vont s’accélérer.
Le 26 août 2014, il est nommé ministre de l'Économie, de
l'Industrie et du
Numérique dans le gouvernement Valls II en remplacement d'Arnaud Montebourg, dont il conserve la moitié du cabinet. Il devient le
plus jeune ministre de l'Économie depuis Valéry Giscard d'Estaing dans le premier
gouvernement de Georges Pompidou en 1962. Il
est qualifié par certains médias et acteurs politiques de «symbole» d'un virage social-libéral de l'exécutif. Les observateurs à la botte du pouvoir n’ont pas vu surgir le
marxiste culturel accompli.
Le 6 avril 2016, à Amiens, il fonde le parti En marche, qu'il veut «transpartisan» (ce qui ne veut rien
dire) et qu'il définit lui comme étant à la fois de droite et de gauche. Avec
cette initiative, il assume pour la première fois son ambition de se présenter
à une élection
présidentielle.
En août 2016, il devient le premier ministre d'un
gouvernement socialiste à se rendre au Puy du Fou, où il déclare qu'il n'est «pas socialiste» (sic). Ce membre du Parti
Socialiste, à jour de cotisation, de 2006 à 2009 aurait dû employer les
mots : «Je ne suis plus seulement
socialiste !»). Bénéficiant d'une importante couverture médiatique, il
est parfois présenté comme le «candidat
des médias», le terme juste serait plutôt le candidat politiquement correct
du mondialiste et marxiste culturel Groupe de Bilderberg).
Le 30 août 2016, il démissionne de ses fonctions de ministre pour se consacrer à En marche.
Le 30 août 2016, il démissionne de ses fonctions de ministre pour se consacrer à En marche.
«La France en marche», était un slogan du gouvernement de
Vichy d’ailleurs notre bien aimé président Macron le sauveur de la France est partisan
comme le maréchal de France Philippe Pétain de la collaboration avec
l’Allemagne, de l’Europe nouvelle et de la lutte contre le bolchevisme
(rebaptisé «menace russe»). Savoureux
clin d’œil de l’Histoire en direction d’un président qui ne cesse, avec le
soutien de tout le système, de dénoncer le péril de l’extrême droite et du
parti de «l’anti-France».
Un président dont l’idéologie est toute entière
Marxiste culturelle !
Cette idéologie le marxisme culturel n’est pas connue en France et est
occultée par les médias à la botte.
Je vais faire une très rapide mise au point au sujet
du marxisme culturel pour résumer un peu. Mise en pratique des théories
mortifères de Lénine et de l'École de Francfort qui modernisa le Marxisme
classique en une idéologie de combat social et civilisationnel. Le Marxisme culturel,
anciennement «Bolchévisme culturel», actuel «Politiquement correct»
est une puissante arme psychologique de guerre, qui va jusqu'à changer la
signification des mots, défiant parfois la logique, afin de manipuler la
pensée. Une guerre culturelle est en marche, faite à l'intérieur de la société
et par ses membres mêmes, visant en priorité la jeunesse dans sa formation
intellectuelle. Le résultat en est généralement la révolte, puis la Révolution.
Ce virus des intelligences détruit invariablement toute société qu'il
contamine. Voir en cliquant ici les treize commandements du marxisme culturel.
Pour certains Marxistes
Culturels distingués, le MC si il n’est pas une absurde théorie du complot
serait un concept aux limites floues, dont l'usage abusif viserait à
déconsidérer leur thèse, nous dirons donc plutôt que le marxisme culturel est
une idéologie issue de la propagande marxiste, largement diffusée au début
essentiellement par Lénine et Willi Münzenberg, puis par l'école de Francfort en Allemagne jusqu’en 1933 avec Georg Lukács, Max Horkheimer, Marcuse, Erich Fromm, Walter Benjamin un des fondateurs du freudo-marxisme (synonyme de MC Marxisme Culturel), Franz
Léopold Neumann, Ernst Bloch, théorisé partiellement à
partir des années 50 aux états unis avec Theodore W. Adorno et surtout Jurgen Habermas théoricien allemand du MC (Marxisme Culturel qui est dit souvent sciences sociales). Il est avec Axel Honneth l'un des représentants de la deuxième génération de
l'École
de Francfort, et développe
une pensée qui combine le matérialisme
historique de Marx avec le pragmatisme américain, la théorie
du développement de Piaget et Kohlberg, et la psychanalyse de Freud en deux mots du Marxisme
Culturel !
On ne peut pas parler de marxisme
culturel sans parler d’Antonio Gramsci qui participa, à la fondation du Parti
communiste d’Italie lors du Congrès de Livourne en janvier 1921.
Avec son livre L'hégémonie culturelle est né le concept qui décrit la domination
culturelle de la classe dirigeante, ainsi que le rôle que les pratiques
quotidiennes et les croyances collectives jouent dans l'établissement des
systèmes de domination.
L’hégémonie culturelle deviendra
rapidement un mode de pensée, le «marxisme
culturel» plus connu sous le nom de politiquement correct et surtout de
pensée unique qui se fonde sur un principe fondamental, «l’économique l’emporte sur le politique»
et s'articule autour de plusieurs concepts-clés : le marché, la concurrence et
la compétitivité, le libre-échange, la mondialisation commerciale et
financière, la division internationale du travail, la monnaie forte et dans
certains cas la déréglementation, la privatisation, et la libéralisation.
Le président Macron, si il est
modérément socialiste est un marxiste culturel convaincu issu de L'École nationale d'administration (ENA)
qui est en France le grand diffuseur du marxisme culturel et de la pensée unique:
un grand nombre de ministres de droite comme de gauche, beaucoup de dirigeants
des plus grosses entreprises, ainsi que la plupart des hauts fonctionnaires en
étant issus. Les libéraux et les fédéralistes ont précédé les critiques de la
gauche envers cette institution, qu'ils considèrent jacobine, élitiste et saint
simonienne. On reconnait cependant la «gauchitude»
d’un Macron dans la «dictature
intellectuelle» ou encore le «prêt-à-penser»
induits par les idées marxistes culturelles sur des questions sociales et
morales, dont l'égalitarisme, l'assistanat, l'immigration, le système éducatif,
la famille et les mœurs.
Mais qui, outre la Macronie d’En Marche souvent des socialistes ou des
gauchistes convertis à la pensée unique diffusent les idées marxistes
culturelles ? La diffusion se fait par les centrales syndicales, les
associations, une certaine fraction de la droite et surtout la plupart des
médias, ceux directement sous contrôle de l'État (chaînes de radio et de
télévision publiques), ou qui reçoivent des subventions (quasiment 100% des agences
de presse comme l'AFP, presse dite d'information), mais aussi les groupes
privés qui ont investi dans la communication et qui sont, de fait, liés à
l'État : Bouygues (TF1), Vivendi (Canal +), Lagardère (Matra, Hachette, Filipacchi,
Europe 1, M6 et Canal Satellite), Suez-Générale des eaux (TPS), etc. Le système
scolaire et universitaire public, dont la majorité du corps enseignant, se
réclamerait de la gauche, serait un vecteur de diffusion de «l'idéologie officielle». C'est ainsi
que par un phénomène de mimétisme (autrement dit «la rivalité mimétique») les médias ont tendance à se copier les
uns les autres, à se renseigner auprès des mêmes sources (par exemple l'AFP),
et l'instantanéité de l'information diminue la réflexion vu que les sources
d'informations veulent sans cesse être les premières à annoncer un événement.
Tous ces gens-là agissent selon les règles de l’idéologie marxiste culturelle
qui entraine systématiquement celles de la bien-pensance qui consiste entre
autre à prôner la repentance, la culpabilité historique, la culture de
l'excuse, les lois mémorielles et l'anti-discrimination. Se voulant
moralisatrice notamment au nom des fameux droits de l'homme ou de prétendus
bons sentiments, la bien-pensance préconise des lois qui interdisent et
pénalisent les propos soi-disant racistes (ces gens-là affirment que les races
n’existent pas, alors que les races existent bel et bien) propos homophobes, antisémites, négationnistes et
autres, provoquant ainsi «des procès en blasphème
théologico-politique» ou en véritable «sorcellerie».
Le bien-pensant le plus souvent un marxiste culturel qui s’ignore ou un homme politique à la recherche de voies utilise un langage spécifique «pour éviter de nommer les choses parce que cette dénomination pourrait choquer» ou blesser les sentiments de futurs électeurs. Ce choix des mots typiquement marxiste culturel est souvent qualifié de «déni de réalité» ou de novlangue «orwellienne» par les intellectuels de la droite patriotique et nationale.
A propos Je vous recommande ce lien ou vous apprendrez que le bien-pensant existe dans toutes les idéologie savez vous que l'Allemagne nazie a eu la LTI (Lingua Tertii Imperii); la Russie soviétique, la TFT (toufta); le communisme et les pays où il a régné, la novlangue; les organisations socialistes ou autres, la langue de bois; la France a aujourd'hui sa NLF ou Nouvelle Langue Française, la langue écran ou herse ou camisole de force des bien-pensants politiquement corrects ou marxistes culturels qui, en nous imposant des mots frelatés, veulent nous interdire de saisir le réel et de le penser).
Le bien-pensant le plus souvent un marxiste culturel qui s’ignore ou un homme politique à la recherche de voies utilise un langage spécifique «pour éviter de nommer les choses parce que cette dénomination pourrait choquer» ou blesser les sentiments de futurs électeurs. Ce choix des mots typiquement marxiste culturel est souvent qualifié de «déni de réalité» ou de novlangue «orwellienne» par les intellectuels de la droite patriotique et nationale.
A propos Je vous recommande ce lien ou vous apprendrez que le bien-pensant existe dans toutes les idéologie savez vous que l'Allemagne nazie a eu la LTI (Lingua Tertii Imperii); la Russie soviétique, la TFT (toufta); le communisme et les pays où il a régné, la novlangue; les organisations socialistes ou autres, la langue de bois; la France a aujourd'hui sa NLF ou Nouvelle Langue Française, la langue écran ou herse ou camisole de force des bien-pensants politiquement corrects ou marxistes culturels qui, en nous imposant des mots frelatés, veulent nous interdire de saisir le réel et de le penser).
Avec le gouvernement de monsieur le président Macron,
la France outre être entièrement gouvernée par le marxisme culturel se double
d’être une inaptocratie (ou ineptocratie) qui est le gouvernement des
incapables. Selon la définition (souvent attribuée par erreur à Jean d'Ormesson)
: «Inaptocratie : un système de
gouvernement où les moins capables de gouverner sont élus par les moins
capables de produire et où les autres membres de la société les moins aptes à
subvenir à eux-mêmes ou à réussir, sont récompensés par des biens et des
services qui ont été payés par la confiscation de la richesse et du travail
d'un nombre de producteurs en diminution continuelle».
En fait, il s'agit d'une traduction plus ou moins
fidèle du terme anglais ineptocracy. Le terme ineptocracy n'a pas une origine
bien déterminée. Il a été utilisé en 2011 par le politicien travailliste
anglais Paul Flynn, mais il circulait des années auparavant sur Internet.
La France marxiste culturelle souffre aussi d'une crise
de «socialite aiguë». L’état se mêle
de tout, Le monstre-État consomme 57% du PIB. Dans le contexte actuel, c'est un
handicap mortel.
Pendant que le pays se désindustrialise à la vitesse
grand V, qu'il dégringole, les élus discutent du sexe des anges...
Macron devait faire la Révolution... Mettre la France
en marche...aura-t-il le bon sens d'un autre grand révolutionnaire Lénine qui face au marasme généré par les
utopies socialistes, impose un retour aux réalités, au marché? Saura-t-il libérer
un peu les Français de la chape de plomb qui les écrase? Saura-t-il imposer une
sorte de NEP? (NEP : Nouvelle Economie Politique).
Ou choisira-t-il la voie que prendra l'autre
révolutionnaire Staline, celle empruntée par tous ses prédécesseurs? Celle de la bureaucratie pléthorique, de la chasse
aux «koulaks» (sans dents, classe
moyenne, gilets jaunes etc.), de la dette publique, des impôts et autres
prélèvements obligatoires? En un mot la voie d'un déclin programmé?
Au plan de la direction du pays, rien n'a changé depuis
14-18.
Face à l'horrible tuerie, les Allemands disaient: les
soldats français sont des lions gouvernés par des ânes.
Cette remarque est hélas toujours d'actualité.
Pour ne pas déroger à nos bonnes habitudes amis
lecteurs essayons d’expliquer plus en détail ce qu’est le marxisme culturel
idéologique aujourd’hui en vigueur en occident.
L'historien William S. Lind ou Patrick Buchanan, ont
affirmé en outre que le marxisme culturel est une souche dominante de la pensée
au sein de la gauche américaine, (occultant aussi par là sa dimension «internationaliste» de prise du pouvoir
mondial) destinée à promouvoir la désagrégation de la culture occidentale.
Cette version «culturelle» du
marxisme était mise en place dès la fin de la deuxième guerre mondial et le
président Macron en joue en virtuose. Il est aussi évident que le
multiculturalisme avec les colossales invasions immigrationnistes arabes et
sub-sahariennes n’est qu’une excroissance du marxisme culturel pour détruire
les cultures traditionnelles intrinsèques à la société occidentale pour les
remplacer par des sous cultures permettant le contrôle plus facile des «peuples». La lettre au Français de monsieur le président Macron
est à ce niveau symptomatique ; il n’est pas question d’arrêter cette
immigration invasion mais de débattre de leur intégration ! Si j’osais… allez
j’ose… le terrorisme mis en place en Algérie lors des événements par les
communistes par la terreur pour prendre le pouvoir, trouve aujourd’hui son
parallèle dans le fait que les attentats terroristes qui ont depuis quelques
années ensanglanté la France sans être nettement voulu par nos gouvernements
(l’éradication du terrorisme musulman peut être fait en une semaine avec deux
compagnies de CRS en bouclant les quartiers sièges de non droits et l’expulsion
immédiate des fiché S et autres vermines !). Ces actes terroristes ont tout de
même permis un «état d’urgence» permettant
un contrôle élargi des populations et évitant la rébellion des «peuples» qui comme en ex URSS commence
à trouver la soupe socialiste saumâtre ou la daube marxiste culturelle à gerber
même si elles se disent En Marche comme
sous le Maréchal. Quoi que le mouvement des Gilets Jaunes vient momentanément
contrarier leur projet.
Tout d’abord un constat s’impose, les Marxistes
internationalistes et mondialistes ont beaucoup de difficultés à trouver
aujourd'hui des «prolétaires» ou des «opprimés» pour soutenir leurs visées
révolutionnaires, c’était déjà le cas en Algérie dans les années 1950 ce qui
explique le ciblage par les communistes des populations indigène illettrées à plus de 95%.
Pour récupérer le soutien «populaire»,
les Marxistes Culturels d’hier comme ceux d’aujourd’hui doivent étendre la
prétendue défense des «prolétaires»
aux «nouveaux prolétaires» que sont
désormais les femmes à protéger
contre les «hommes machistes» (Sauf
dans le cas de l’Islam conquérant mais ceci est une autre histoire); les
étrangers contre les «nationaux
racistes»; il jouent aussi sur le registre des homosexuels contre les «homophobes»; les «humanistes, tolérants ;
pacifistes et démocrates» contre les «Chrétiens
nationalistes et réactionnaires» ;
comment procéder : pour y arriver, les Marxistes culturels doivent accuser
leurs ennemis de racisme, d'antisémitisme, d'homophobie, de fascisme, de
nazisme, de conservatisme et de populisme; avec quel outil me dirait vous ?
Avec l’idéologie marxiste bien sûr, aujourd’hui l’idéologie du «politiquement correct» ou marxisme
culturel qui réduit le champ de la liberté d’expression, exclut la mention de
certains thèmes dans le débat public et partant empêche toute critique du
Marxisme Culturel; pourquoi agir de la sorte : l'objectif des Marxistes
culturels est de discréditer la nation, la patrie, les hiérarchies, l'autorité,
la famille, le christianisme, les valeurs, l'ordre et la morale pour favoriser
l'émergence d'une «nation mondiale ultra
égalitaire et multiculturelle sans âme ni racine». Cela bien sûr avec
l’aide des ex Mass Médias dit aujourd’hui les «merdias» et notamment les «journaux»
de la haine communiste (Devenues aujourd’hui de simples médias ou ensemble des
moyens de diffusion de masse (Organisations de «masse» = base de l’idéologie marxiste) de l'information, de la
publicité et de la culture, c'est-à-dire des techniques de propagandes et des
instruments audiovisuels et graphiques, capables de transmettre rapidement le
même message à destination d'un public très nombreux et très très peu «cultivé» en l’occurrence les
merdiatocrasseux et autres journalopes de la presse subventionnés à 100% par
l’état.
Ces indigènes devaient devenir les nouveaux «prolétaires», les «nouveaux clients» et futurs
esclaves des «Marxistes culturels»
apatrides. Et allez donc encore un petit tour de manège marxiste.
Je vais faire un petit break pour vous parler d’un
nouveau nom du Marxisme Culturel. Un de plus. C’est le «Soft» Totalitarisme.
Madame Natacha Polony que j’apprécie particulièrement y
est allée de son livre avec le comité Orwell titré : Bienvenue dans le pire des mondes ou le triomphe du Soft
totalitarisme. Madame Polony non «politiquement
correcte» est alors virée comme une malpropre D’Europe 1 fait les frais de
sa liberté de parole.
La liberté d’expression n’est plus tolérée dans nos
sociétés dites sans rire «démocratiques»,
et toute personne qui ne suit pas la
ligne officielle totalitaire se voit exclue, sanctionnée et marginalisée, et
cela sonne comme un avertissement pour les autres professionnels de «l’info» (devenu plutôt professionnels
de la fausse info, car manipulée, comme les politiciens qui mentent comme ils
respirent !). Coup dur pour madame Polony qui vient avoir été remerciée par
Paris Première. Son émission Polonium n’étant pas reconduite à la rentrée. Du pur marxisme dans le texte ! Une
abomination intellectuelle! Concept idéologique odieux qui fit au XXème
siècle 150 000 000 (150 millions ; une
paille !) d’innocentes victimes dans un véritable «génocide de classe» bien supérieur au «génocide de race».
Proudhon, qui fut le premier à se qualifier
d'anarchiste disait : «Le communisme,
pour subsister, supprime tant de mots, tant d'idées, tant de faits, que les
sujets formés par ses soins n'auront plus le besoin de parler, de penser, ni
d'agir : ce seront des huîtres attachées côte à côte, sans activité ni
sentiment, sur le rocher de la fraternité. Quelle philosophie intelligente et
progressiste que le communisme !»
William Lind un américain diplômé du Dartmouth Collège
et de l'Université de Princeton, a obtenu en 1971 une maîtrise d’histoire.
C’est un «intellectuel» expert
militaire. Dans son livre «What is
‘Political Correctness’ ?», il évoque la toute-puissance d’une «nouvelle idéologie d’Etat» aux
Etats-Unis qu’il nomme le «Politiquement
correct» (Political Correctness) et
qu’il associe immédiatement au «Marxisme culturel», c’est-à-dire au
Marxisme «transféré du domaine économique
au domaine culturel», comme déjà théorisé depuis les années 30 par
Christian Rakovski. Lind établit plusieurs parallèles entre le marxisme
classique (économique) et ce qu’il appelle le marxisme culturel. Les deux,
explique-t-il, visent une société sans classe, les deux sont des idéologies
totalitaires comme en témoigne «la nature
totalitaire du politiquement correct» qui sévit sur les campus
universitaires et qui a «éliminé la
liberté d’expression, de la presse et de la pensée» et a aussi comme dans
le cas de certains communistes détruit l’histoire réelle du marxisme et de ses
tentatives de prise du pouvoir mondial. Les deux «marxismes» s’appuient sur une seule cause pour expliquer
l’histoire, le marxisme économique considère que l’histoire est déterminée par «la possession des moyens de production»
alors que le marxisme culturel considère que l’histoire s’explique en
établissant «quel groupe (sexe, race,
orientation sexuelle, etc.) a le pouvoir sur quel groupe». Ensuite explique
Lind, les deux marxismes ont la particularité de déclarer certains groupes
comme vertueux et d’autres comme «monstrueux»
: le travailleur et l’ouvrier sont vertueux dans le marxisme économique (contre
le «bourgeois exploiteur») au même
titre que la minorité raciale albophobe, sexuelle ou ethnique dans le marxisme
culturel est vertueuse contre l’homme blanc par nature «sexiste, machiste et raciste». Notez que les musulmans lorsqu’ils
sont devenus des «z’oprimés» ne sont
plus sexistes même s’ils bâchent leurs moukhères, ni machistes lorsqu’ils les
torgnolent et les lapident, ni racistes lorsqu’ils traitent les hommes de race
noire de «Kahlouch» (Esclaves). Enfin
Lind considère que les deux marxismes se caractérisent par l’expropriation. Le
marxisme économique vise à exproprier les riches et les bourgeois, le marxisme
culturel punit par des impôts de plus en plus lourds, de nouvelles taxations,
de lourdes amendes et par des lois injustes tous ceux qui n’adhèrent pas à la
nouvelle idéologie. Et Lind de citer la discrimination positive aux Etats-Unis
(affirmative action) comme un moyen parmi tant d’autres pour favoriser les
minorités dites «vertueuses» au
détriment des hommes blancs. Rakovski lui,
théorisait une alliance entre la finance internationale (qu'il affuble du
sobriquet «d'Internationale capitaliste» ou
«Kapintern» (Aujourd’hui plus connu
sous le nom de Forum Economique Mondial ou notre bon président Macron ancien de
la banque Rotchild tient toute sa place) et l'Internationale communiste
(Komintern). L’IC n’existe plus (seules ses idées demeurent) mais il existe
encore une Internationale Socialiste. Ami de Trotski, Christian Rakovsky qui
était considéré comme un anarchiste en 1895 lorsqu’il est expulsé de Prusse a
été très influencé par les œuvres de Bakounine. Au milieu du XIXe siècle, lors
de la controverse entre marxistes et anarchistes, Bakounine profèrera sa
théorie du complot juif que l’on attribue très injustement aux idées
socialistes nationalistes d’Adolph Hitler: écoutons bien ce cher
Bakounine : «Tout ce monde juif,
constituant une secte unique exploitante, une sorte de peuple suceur de sang,
une sorte de parasite organique collectif et destructeur, s'étendant non
seulement au-delà des frontières des États, mais de l'opinion politique, ce
monde est maintenant, au moins en grande partie, à la disposition de Marx,
d'une part, et de Rothschild de l'autre [...] Le fait est que le socialisme autoritaire (comme celui de
Mussolini ou d’Hitler), le communisme
marxiste, exige une forte centralisation de l'État. Et là où il y a
centralisation de l'État, il doit nécessairement y avoir une banque centrale,
et là où existe une telle banque, est la nation juive parasitaire, spéculant
sur le travail des peuples». C’est à mettre en parallèle bien sûr avec les
thèses de Rakovski : « … Karl Marx
connaissait les contradictions du capitalisme, c'est qu'il connaissait ceux qui
les produisaient en son sein. Il théorise ensuite une alliance entre la finance
internationale et l'Internationale communiste».
Néanmoins ; Attention ! Pour ceux qui croiraient en la
fin de l’histoire de l'Internationale communiste et la victoire absolue du
capitalisme cosmopolite (ce qui à tout prendre est préférable aux asiles
psychiatriques, aux tortures, aux prisons et aux camps d’extermination du
goulag) suite à l’effondrement de l’URSS, un détour par les allées du village
international de la Fête de l’Huma en 2013 suffirait à leur prouver que
l’idéologie marxiste est toujours bien vivante et que la peste rouge se porte
encore assez bien. Plus grand rassemblement communiste en Europe, la Fête de la
haine rouge dite de l’Humanité est devenu un rendez-vous annuel incontournable
pour les «camarades» du monde entiers
et pour les abrutiles, «fête» ou des
excités et des extrémistes marxistes culturels côtoient les intellocrates les
plus pourris dans une belle cacophonie de la haine.
De plus pour les naïfs, les gogos ou les pas encore trop lobotomisés par
le «système» MC allez voir les idées socialistes
que véhiculent des membres du gouvernement de la France En Marche en 2019. Un petit extrait peut vous convaincre que les «idées» obsolètes de la fin du 19ème
siècle, idées marxistes du manifeste du parti communiste sont toujours en
vigueur au début du 21ème siècle : «Le
but de l’action socialiste est et la sauvegarde de la planète. [...] L’égalité est au coeur de notre idéal. [...]
La redistribution permanente des
ressources et des richesses est nécessaire pour donner une réalité à l’égalité
des droits, offrir à chacun les chances de conduire sa vie, et réduire les
écarts de conditions. [...] Le
progrès, synonyme d’amélioration de la vie humaine, est une valeur fondamentale
pour les socialistes. [...] Le Parti
socialiste est un parti réformiste. Il porte un projet de transformation
sociale radicale. [...] Le Parti
socialiste est un parti internationaliste. Etc. etc. » (Notons que leurs
pseudos adversaires politiques dit de
«droite» de style UMP ou républicains (LR) ne trouvent rien à dire à ce
programme pour le moins marxiste culturel utopique).
Pour les non avertis (ce qui n’est plus votre cas) La France en marche avec monsieur le bon président Macron à sa tête ressemble
à un sketch d’humour, Macron est un clown qui fait des gags !
Macron dans son rôle fait penser à un chauffard drogué
qui, ayant percuté un mur, l’avant de son véhicule bousillé, et ayant pu faire
une marche arrière besogneuse, annoncerait, têtu et le regard fixe, qu’il va
repartir de l’avant ! Dans la même direction et à nouveau droit vers le même
mur.
C’est que le politiquement correct et surtout la pensée
unique marxiste culturelle se fonde sur deux principes fondamentaux. Le premier
est que le marxiste culturel a raison, le second c’est qu’il a toujours raison
et que même si par hasard il avait tort c’est le premier principe qui s’applique.
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