mardi 22 janvier 2019

Idéologie de la République en marche ?



Énormément de Français et même d’Européens ignorent quelle est l’idéologie dominante de la France et de l’Europe tous partis confondus et particulièrement celle qui anime notre président bien aimé le sieur Macron.
En 2004, à l'issue de ses études à l'ENA, il intègre le corps de l'Inspection générale des finances (IGF).
En septembre 2008, il se met en disponibilité de la fonction publique et devient banquier d'affaires chez Rothschild & Cie . Il est promu, fin 2010, associé au sein de la banque. La même année, il est nommé gérant et dirige l'une des plus grosses négociations de l'année, le rachat par Nestlé de la filiale «laits pour bébé» de Pfizer. Cette transaction, évaluée à plus de neuf milliards d'euros, lui permet de devenir millionnaire. Entre décembre 2010, date de sa nomination comme associé-gérant, et mai 2012, celle de son arrivée à l'Élysée, Emmanuel Macron indique avoir gagné 2 millions d'euros brut. Selon ses déclarations de revenus et de patrimoine faites à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, il a gagné plus de 2 800 000 euros bruts entre 2009 et 2013.
Votre président millionnaire, braves gens était pourtant un homme de «gauche», qui cherchait dans sa jeunesse la troisième voie entre l'individualisme libéral et le marxisme. 

À la fin des années 1990, pendant près de deux ans, il commence à militer au Mouvement des citoyens (MDC) de Jean-Pierre Chevènement.
Il est membre du Parti Socialiste, à jour de cotisation, de 2006 à 2009. Il rencontre en 2006 François Hollande, auprès duquel il s'engage à partir de 2010.
En vue des élections législatives de 2007, il essaie d'obtenir du PS une investiture en Picardie. Mais les adhérents socialistes de Picardie s'opposent à sa candidature.
Il soutient François Hollande lors de la primaire présidentielle socialiste de 2011.
François Hollande remporte l'élection présidentielle. Le 15 mai 2012, après avoir réintégré la fonction publique, Emmanuel Macron devient secrétaire général adjoint de l'Élysée, en tandem avec Nicolas Revel.
Emmanuel Macron est notamment l'un des artisans, du crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi et du pacte de responsabilité et de solidarité. Concernant ce dernier, il s'oppose à Nicolas Revel, chargé des questions sociales et «dont la fibre socialiste est plus affirmée».  Le 10 juin 2014, l'Élysée annonce qu'il quitte le cabinet de François Hollande. Les observateurs expliquent son départ par ses déceptions de ne pas entrer dans le premier gouvernement de Manuel Valls.
Il apparaît dans la liste des invités à la réunion du groupe Bilderberg de 2014 en sa qualité de secrétaire général adjoint de la présidence de la République à la fibre socialiste peu affirmée. Ce «groupe» de mondialistes a pour objectif de mettre en place l'impérialisme culturel qui a pour but, dans un premier temps, de modifier les modes de vie pour les faire ressembler à celui de la culture dominante, c’est-à-dire l'assimilation de la population dominée, en imposant sa culture, son système éducatif, sa musique, son mode de pensée et de consommation.
Selon le «sociologue» Philippe Coulangeon, il y a chez Emmanuel Macron un «hyperconformisme mâtiné d’un peu de transgression et d’une certaine bienveillance à l’égard de la culture de masse».
A partir de là les choses vont s’accélérer.
Le 26 août 2014, il est nommé ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique dans le gouvernement Valls II en remplacement d'Arnaud Montebourg, dont il conserve la moitié du cabinet. Il devient le plus jeune ministre de l'Économie depuis Valéry Giscard d'Estaing dans le premier gouvernement de Georges Pompidou en 1962. Il est qualifié par certains médias et acteurs politiques de «symbole» d'un virage social-libéral de l'exécutif. Les observateurs à la botte du pouvoir n’ont pas vu surgir le marxiste culturel accompli.
Le 6 avril 2016, à Amiens, il fonde le parti En marche, qu'il veut «transpartisan» (ce qui ne veut rien dire) et qu'il définit lui comme étant à la fois de droite et de gauche. Avec cette initiative, il assume pour la première fois son ambition de se présenter à une élection présidentielle.
En août 2016, il devient le premier ministre d'un gouvernement socialiste à se rendre au Puy du Fou, où il déclare qu'il n'est «pas socialiste» (sic). Ce membre du Parti Socialiste, à jour de cotisation, de 2006 à 2009 aurait dû employer les mots : «Je ne suis plus seulement socialiste !»). Bénéficiant d'une importante couverture médiatique, il est parfois présenté comme le «candidat des médias», le terme juste serait plutôt le candidat politiquement correct du mondialiste et marxiste culturel Groupe de Bilderberg).  
Le 30 août 2016, il démissionne de ses fonctions de ministre pour se consacrer à En marche.
«La France en marche», était un slogan du gouvernement de Vichy d’ailleurs notre bien aimé président Macron le sauveur de la France est partisan comme le maréchal de France Philippe Pétain de la collaboration avec l’Allemagne, de l’Europe nouvelle et de la lutte contre le bolchevisme (rebaptisé «menace russe»). Savoureux clin d’œil de l’Histoire en direction d’un président qui ne cesse, avec le soutien de tout le système, de dénoncer le péril de l’extrême droite et du parti de «l’anti-France».
Un président dont l’idéologie est toute entière Marxiste culturelle !                     Cette idéologie le marxisme culturel n’est pas connue en France et est occultée par les médias à la botte.
Le marxisme culturel dont je donne une définition assez complète ici devrait être mieux connu.
Je vais faire une très rapide mise au point au sujet du marxisme culturel pour résumer un peu. Mise en pratique des théories mortifères de Lénine et de l'École de Francfort qui modernisa le Marxisme classique en une idéologie de combat social et civilisationnel. Le Marxisme culturel, anciennement «Bolchévisme culturel», actuel «Politiquement correct» est une puissante arme psychologique de guerre, qui va jusqu'à changer la signification des mots, défiant parfois la logique, afin de manipuler la pensée. Une guerre culturelle est en marche, faite à l'intérieur de la société et par ses membres mêmes, visant en priorité la jeunesse dans sa formation intellectuelle. Le résultat en est généralement la révolte, puis la Révolution. Ce virus des intelligences détruit invariablement toute société qu'il contamine. Voir en cliquant ici les treize commandements du marxisme culturel.
Pour certains Marxistes Culturels distingués, le MC si il n’est pas une absurde théorie du complot serait un concept aux limites floues, dont l'usage abusif viserait à déconsidérer leur thèse, nous dirons donc plutôt que le marxisme culturel est une idéologie issue de la propagande marxiste, largement diffusée au début essentiellement par Lénine et Willi Münzenberg, puis par l'école de Francfort en Allemagne jusqu’en 1933 avec Georg Lukács, Max Horkheimer, Marcuse, Erich Fromm, Walter Benjamin un des fondateurs du freudo-marxisme (synonyme de MC Marxisme Culturel), Franz Léopold Neumann,  Ernst Bloch, théorisé partiellement à partir des années 50 aux états unis avec Theodore W. Adorno  et surtout Jurgen Habermas théoricien allemand du MC (Marxisme Culturel qui est dit souvent sciences sociales). Il est avec Axel Honneth l'un des représentants de la deuxième génération de l'École de Francfort, et développe une pensée qui combine le matérialisme historique de Marx avec le pragmatisme américain, la théorie du développement de Piaget et Kohlberg, et la psychanalyse de Freud en deux mots du Marxisme Culturel !
On ne peut pas parler de marxisme culturel sans parler d’Antonio Gramsci qui participa, à la fondation du Parti communiste d’Italie lors du Congrès de Livourne en janvier 1921.
Avec son livre L'hégémonie culturelle est né le concept qui décrit la domination culturelle de la classe dirigeante, ainsi que le rôle que les pratiques quotidiennes et les croyances collectives jouent dans l'établissement des systèmes de domination.
L’hégémonie culturelle deviendra rapidement un mode de pensée, le «marxisme culturel» plus connu sous le nom de politiquement correct et surtout de pensée unique  qui se fonde sur un principe fondamental, «l’économique l’emporte sur le politique» et s'articule autour de plusieurs concepts-clés : le marché, la concurrence et la compétitivité, le libre-échange, la mondialisation commerciale et financière, la division internationale du travail, la monnaie forte et dans certains cas la déréglementation, la privatisation, et la libéralisation.
Le président Macron, si il est modérément socialiste est un marxiste culturel convaincu issu de L'École nationale d'administration (ENA) qui est en France le grand diffuseur du marxisme culturel et de la pensée unique: un grand nombre de ministres de droite comme de gauche, beaucoup de dirigeants des plus grosses entreprises, ainsi que la plupart des hauts fonctionnaires en étant issus. Les libéraux et les fédéralistes ont précédé les critiques de la gauche envers cette institution, qu'ils considèrent jacobine, élitiste et saint simonienne. On reconnait cependant la «gauchitude» d’un Macron dans la «dictature intellectuelle» ou encore le «prêt-à-penser» induits par les idées marxistes culturelles sur des questions sociales et morales, dont l'égalitarisme, l'assistanat, l'immigration, le système éducatif, la famille et les mœurs.
Mais qui, outre la Macronie d’En Marche souvent des socialistes ou des gauchistes convertis à la pensée unique diffusent les idées marxistes culturelles ? La diffusion se fait par les centrales syndicales, les associations, une certaine fraction de la droite et surtout la plupart des médias, ceux directement sous contrôle de l'État (chaînes de radio et de télévision publiques), ou qui reçoivent des subventions (quasiment 100% des agences de presse comme l'AFP, presse dite d'information), mais aussi les groupes privés qui ont investi dans la communication et qui sont, de fait, liés à l'État : Bouygues (TF1), Vivendi (Canal +), Lagardère (Matra, Hachette, Filipacchi, Europe 1, M6 et Canal Satellite), Suez-Générale des eaux (TPS), etc. Le système scolaire et universitaire public, dont la majorité du corps enseignant, se réclamerait de la gauche, serait un vecteur de diffusion de «l'idéologie officielle». C'est ainsi que par un phénomène de mimétisme (autrement dit «la rivalité mimétique») les médias ont tendance à se copier les uns les autres, à se renseigner auprès des mêmes sources (par exemple l'AFP), et l'instantanéité de l'information diminue la réflexion vu que les sources d'informations veulent sans cesse être les premières à annoncer un événement. Tous ces gens-là agissent selon les règles de l’idéologie marxiste culturelle qui entraine systématiquement celles de la bien-pensance qui consiste entre autre à prôner la repentance, la culpabilité historique, la culture de l'excuse, les lois mémorielles et l'anti-discrimination. Se voulant moralisatrice notamment au nom des fameux droits de l'homme ou de prétendus bons sentiments, la bien-pensance préconise des lois qui interdisent et pénalisent les propos soi-disant racistes (ces gens-là affirment que les races n’existent pas, alors que les races existent bel et bien) propos homophobes, antisémites, négationnistes et autres, provoquant ainsi «des procès en blasphème théologico-politique» ou en véritable «sorcellerie». 
Le bien-pensant le plus souvent un marxiste culturel qui s’ignore ou un homme politique à la recherche de voies utilise un langage spécifique «pour éviter de nommer les choses parce que cette dénomination pourrait choquer» ou blesser les sentiments de futurs électeurs. Ce choix des mots typiquement marxiste culturel est souvent qualifié de «déni de réalité» ou de novlangue «orwellienne» par les intellectuels de la droite patriotique et nationale.

A propos Je vous recommande ce lien ou vous apprendrez que le bien-pensant existe dans toutes les idéologie savez vous que l'Allemagne nazie a eu la LTI (Lingua Tertii Imperii); la Russie soviétique, la TFT (toufta); le communisme et les pays où il a régné, la novlangue; les organisations socialistes ou autres, la langue de bois; la France a aujourd'hui sa NLF ou Nouvelle Langue Française, la langue écran ou herse ou camisole de force des bien-pensants politiquement corrects ou marxistes culturels qui, en nous imposant des mots frelatés, veulent nous interdire de saisir le réel et de le penser).
Avec le gouvernement de monsieur le président Macron, la France outre être entièrement gouvernée par le marxisme culturel se double d’être une inaptocratie (ou ineptocratie) qui est le gouvernement des incapables. Selon la définition (souvent attribuée par erreur à Jean d'Ormesson) : «Inaptocratie : un système de gouvernement où les moins capables de gouverner sont élus par les moins capables de produire et où les autres membres de la société les moins aptes à subvenir à eux-mêmes ou à réussir, sont récompensés par des biens et des services qui ont été payés par la confiscation de la richesse et du travail d'un nombre de producteurs en diminution continuelle».
En fait, il s'agit d'une traduction plus ou moins fidèle du terme anglais ineptocracy. Le terme ineptocracy n'a pas une origine bien déterminée. Il a été utilisé en 2011 par le politicien travailliste anglais Paul Flynn, mais il circulait des années auparavant sur Internet.
La France marxiste culturelle souffre aussi d'une crise de «socialite aiguë». L’état se mêle de tout, Le monstre-État consomme 57% du PIB. Dans le contexte actuel, c'est un handicap mortel.
Pendant que le pays se désindustrialise à la vitesse grand V, qu'il dégringole, les élus discutent du sexe des anges...
Macron devait faire la Révolution... Mettre la France en marche...aura-t-il le bon sens d'un autre grand révolutionnaire  Lénine qui face au marasme généré par les utopies socialistes, impose un retour aux réalités, au marché? Saura-t-il libérer un peu les Français de la chape de plomb qui les écrase? Saura-t-il imposer une sorte de NEP? (NEP : Nouvelle Economie Politique).
Ou choisira-t-il la voie que prendra l'autre révolutionnaire Staline, celle empruntée par tous ses prédécesseurs? Celle  de la bureaucratie pléthorique, de la chasse aux «koulaks» (sans dents, classe moyenne, gilets jaunes etc.), de la dette publique, des impôts et autres prélèvements obligatoires? En un mot la voie d'un déclin programmé?
Au plan de la direction du pays, rien n'a changé depuis 14-18.
Face à l'horrible tuerie, les Allemands disaient: les soldats français sont des lions gouvernés par des ânes.
Cette remarque est hélas toujours d'actualité.
Pour ne pas déroger à nos bonnes habitudes amis lecteurs essayons d’expliquer plus en détail ce qu’est le marxisme culturel idéologique aujourd’hui en vigueur en occident.
L'historien William S. Lind ou Patrick Buchanan, ont affirmé en outre que le marxisme culturel est une souche dominante de la pensée au sein de la gauche américaine, (occultant aussi par là sa dimension «internationaliste» de prise du pouvoir mondial) destinée à promouvoir la désagrégation de la culture occidentale. Cette version «culturelle» du marxisme était mise en place dès la fin de la deuxième guerre mondial et le président Macron en joue en virtuose. Il est aussi évident que le multiculturalisme avec les colossales invasions immigrationnistes arabes et sub-sahariennes n’est qu’une excroissance du marxisme culturel pour détruire les cultures traditionnelles intrinsèques à la société occidentale pour les remplacer par des sous cultures permettant le contrôle plus facile des «peuples». La lettre  au Français de monsieur le président Macron est à ce niveau symptomatique ; il n’est pas question d’arrêter cette immigration invasion mais de débattre de leur intégration ! Si j’osais… allez j’ose… le terrorisme mis en place en Algérie lors des événements par les communistes par la terreur pour prendre le pouvoir, trouve aujourd’hui son parallèle dans le fait que les attentats terroristes qui ont depuis quelques années ensanglanté la France sans être nettement voulu par nos gouvernements (l’éradication du terrorisme musulman peut être fait en une semaine avec deux compagnies de CRS en bouclant les quartiers sièges de non droits et l’expulsion immédiate des fiché S et autres vermines !). Ces actes terroristes ont tout de même permis un «état d’urgence» permettant un contrôle élargi des populations et évitant la rébellion des «peuples» qui comme en ex URSS commence à trouver la soupe socialiste saumâtre ou la daube marxiste culturelle à gerber même si elles se disent En Marche comme sous le Maréchal. Quoi que le mouvement des Gilets Jaunes vient momentanément contrarier leur projet.
Tout d’abord un constat s’impose, les Marxistes internationalistes et mondialistes ont beaucoup de difficultés à trouver aujourd'hui des «prolétaires» ou des «opprimés» pour soutenir leurs visées révolutionnaires, c’était déjà le cas en Algérie dans les années 1950 ce qui explique le ciblage par les communistes des populations indigène  illettrées à plus de 95%.                                                                                        Pour récupérer le soutien «populaire», les Marxistes Culturels d’hier comme ceux d’aujourd’hui doivent étendre la prétendue défense des «prolétaires» aux «nouveaux prolétaires» que sont désormais les femmes à protéger contre les «hommes machistes» (Sauf dans le cas de l’Islam conquérant mais ceci est une autre histoire); les étrangers contre les «nationaux racistes»; il jouent aussi sur le registre des homosexuels contre les «homophobes»; les «humanistes, tolérants ; pacifistes et démocrates» contre les «Chrétiens nationalistes et  réactionnaires» ; comment procéder : pour y arriver, les Marxistes culturels doivent accuser leurs ennemis de racisme, d'antisémitisme, d'homophobie, de fascisme, de nazisme, de conservatisme et de populisme; avec quel outil me dirait vous ? Avec l’idéologie marxiste bien sûr, aujourd’hui l’idéologie du «politiquement correct» ou marxisme culturel qui réduit le champ de la liberté d’expression, exclut la mention de certains thèmes dans le débat public et partant empêche toute critique du Marxisme Culturel; pourquoi agir de la sorte : l'objectif des Marxistes culturels est de discréditer la nation, la patrie, les hiérarchies, l'autorité, la famille, le christianisme, les valeurs, l'ordre et la morale pour favoriser l'émergence d'une «nation mondiale ultra égalitaire et multiculturelle sans âme ni racine». Cela bien sûr avec l’aide des ex Mass Médias dit aujourd’hui les «merdias» et notamment les «journaux» de la haine communiste (Devenues aujourd’hui de simples médias ou ensemble des moyens de diffusion de masse (Organisations de «masse» = base de l’idéologie marxiste) de l'information, de la publicité et de la culture, c'est-à-dire des techniques de propagandes et des instruments audiovisuels et graphiques, capables de transmettre rapidement le même message à destination d'un public très nombreux et très très peu «cultivé» en l’occurrence les merdiatocrasseux et autres journalopes de la presse subventionnés à 100% par l’état.
Ces indigènes devaient devenir les nouveaux «prolétaires», les «nouveaux clients»  et futurs esclaves des «Marxistes culturels» apatrides. Et allez donc encore un petit tour de manège marxiste.
Je vais faire un petit break pour vous parler d’un nouveau nom du Marxisme Culturel. Un de plus. C’est le «Soft» Totalitarisme.
Madame Natacha Polony que j’apprécie particulièrement y est allée de son livre avec le comité Orwell titré : Bienvenue dans le pire des mondes ou le triomphe du Soft totalitarisme. Madame Polony non «politiquement correcte» est alors virée comme une malpropre D’Europe 1 fait les frais de sa liberté de parole.
La liberté d’expression n’est plus tolérée dans nos sociétés dites sans rire «démocratiques», et toute  personne qui ne suit pas la ligne officielle totalitaire se voit exclue, sanctionnée et marginalisée, et cela sonne comme un avertissement pour les autres professionnels de «l’info» (devenu plutôt professionnels de la fausse info, car manipulée, comme les politiciens qui mentent comme ils respirent !). Coup dur pour madame Polony qui vient avoir été remerciée par Paris Première. Son émission Polonium n’étant pas reconduite à la rentrée.                                                        Du pur marxisme dans le texte ! Une abomination intellectuelle! Concept idéologique odieux qui fit au XXème siècle  150 000 000 (150 millions ; une paille !) d’innocentes victimes dans un véritable «génocide de classe» bien supérieur au «génocide de race».
Proudhon, qui fut le premier à se qualifier d'anarchiste disait : «Le communisme, pour subsister, supprime tant de mots, tant d'idées, tant de faits, que les sujets formés par ses soins n'auront plus le besoin de parler, de penser, ni d'agir : ce seront des huîtres attachées côte à côte, sans activité ni sentiment, sur le rocher de la fraternité. Quelle philosophie intelligente et progressiste que le communisme !»
William Lind un américain diplômé du Dartmouth Collège et de l'Université de Princeton, a obtenu en 1971 une maîtrise d’histoire. C’est un «intellectuel» expert militaire. Dans son livre «What is ‘Political Correctness’ ?», il évoque la toute-puissance d’une «nouvelle idéologie d’Etat» aux Etats-Unis qu’il nomme le «Politiquement correct» (Political Correctness) et qu’il associe immédiatement au «Marxisme culturel», c’est-à-dire au Marxisme «transféré du domaine économique au domaine culturel», comme déjà théorisé depuis les années 30 par Christian Rakovski. Lind établit plusieurs parallèles entre le marxisme classique (économique) et ce qu’il appelle le marxisme culturel. Les deux, explique-t-il, visent une société sans classe, les deux sont des idéologies totalitaires comme en témoigne «la nature totalitaire du politiquement correct» qui sévit sur les campus universitaires et qui a «éliminé la liberté d’expression, de la presse et de la pensée» et a aussi comme dans le cas de certains communistes détruit l’histoire réelle du marxisme et de ses tentatives de prise du pouvoir mondial. Les deux «marxismes» s’appuient sur une seule cause pour expliquer l’histoire, le marxisme économique considère que l’histoire est déterminée par «la possession des moyens de production» alors que le marxisme culturel considère que l’histoire s’explique en établissant «quel groupe (sexe, race, orientation sexuelle, etc.) a le pouvoir sur quel groupe». Ensuite explique Lind, les deux marxismes ont la particularité de déclarer certains groupes comme vertueux et d’autres comme «monstrueux» : le travailleur et l’ouvrier sont vertueux dans le marxisme économique (contre le «bourgeois exploiteur») au même titre que la minorité raciale albophobe, sexuelle ou ethnique dans le marxisme culturel est vertueuse contre l’homme blanc par nature «sexiste, machiste et raciste». Notez que les musulmans lorsqu’ils sont devenus des «z’oprimés» ne sont plus sexistes même s’ils bâchent leurs moukhères, ni machistes lorsqu’ils les torgnolent et les lapident, ni racistes lorsqu’ils traitent les hommes de race noire de «Kahlouch» (Esclaves). Enfin Lind considère que les deux marxismes se caractérisent par l’expropriation. Le marxisme économique vise à exproprier les riches et les bourgeois, le marxisme culturel punit par des impôts de plus en plus lourds, de nouvelles taxations, de lourdes amendes et par des lois injustes tous ceux qui n’adhèrent pas à la nouvelle idéologie. Et Lind de citer la discrimination positive aux Etats-Unis (affirmative action) comme un moyen parmi tant d’autres pour favoriser les minorités dites «vertueuses» au détriment des hommes blancs.                             Rakovski lui, théorisait une alliance entre la finance internationale (qu'il affuble du sobriquet «d'Internationale capitaliste» ou «Kapintern» (Aujourd’hui plus connu sous le nom de Forum Economique Mondial ou notre bon président Macron ancien de la banque Rotchild tient toute sa place) et l'Internationale communiste (Komintern). L’IC n’existe plus (seules ses idées demeurent) mais il existe encore une Internationale Socialiste. Ami de Trotski, Christian Rakovsky qui était considéré comme un anarchiste en 1895 lorsqu’il est expulsé de Prusse a été très influencé par les œuvres de Bakounine. Au milieu du XIXe siècle, lors de la controverse entre marxistes et anarchistes, Bakounine profèrera sa théorie du complot juif que l’on attribue très injustement aux idées socialistes nationalistes d’Adolph Hitler: écoutons bien ce cher Bakounine : «Tout ce monde juif, constituant une secte unique exploitante, une sorte de peuple suceur de sang, une sorte de parasite organique collectif et destructeur, s'étendant non seulement au-delà des frontières des États, mais de l'opinion politique, ce monde est maintenant, au moins en grande partie, à la disposition de Marx, d'une part, et de Rothschild de l'autre [...] Le fait est que le socialisme autoritaire (comme celui de Mussolini ou d’Hitler), le communisme marxiste, exige une forte centralisation de l'État. Et là où il y a centralisation de l'État, il doit nécessairement y avoir une banque centrale, et là où existe une telle banque, est la nation juive parasitaire, spéculant sur le travail des peuples». C’est à mettre en parallèle bien sûr avec les thèses de Rakovski : « … Karl Marx connaissait les contradictions du capitalisme, c'est qu'il connaissait ceux qui les produisaient en son sein. Il théorise ensuite une alliance entre la finance internationale et l'Internationale communiste».
Néanmoins ; Attention ! Pour ceux qui croiraient en la fin de l’histoire de l'Internationale communiste et la victoire absolue du capitalisme cosmopolite (ce qui à tout prendre est préférable aux asiles psychiatriques, aux tortures, aux prisons et aux camps d’extermination du goulag) suite à l’effondrement de l’URSS, un détour par les allées du village international de la Fête de l’Huma en 2013 suffirait à leur prouver que l’idéologie marxiste est toujours bien vivante et que la peste rouge se porte encore assez bien. Plus grand rassemblement communiste en Europe, la Fête de la haine rouge dite de l’Humanité est devenu un rendez-vous annuel incontournable pour les «camarades» du monde entiers et pour les abrutiles, «fête» ou des excités et des extrémistes marxistes culturels côtoient les intellocrates les plus pourris dans une belle cacophonie de la haine.                                                                        De plus pour les naïfs, les gogos ou les pas encore trop lobotomisés par le «système» MC allez voir les idées socialistes que véhiculent des membres du gouvernement de la France En Marche en 2019. Un petit extrait peut vous convaincre que les «idées» obsolètes de la fin du 19ème siècle, idées marxistes du manifeste du parti communiste sont toujours en vigueur au début du 21ème siècle : «Le but de l’action socialiste est et la sauvegarde de la planète. [...] L’égalité est au coeur de notre idéal. [...] La redistribution permanente des ressources et des richesses est nécessaire pour donner une réalité à l’égalité des droits, offrir à chacun les chances de conduire sa vie, et réduire les écarts de conditions. [...] Le progrès, synonyme d’amélioration de la vie humaine, est une valeur fondamentale pour les socialistes. [...] Le Parti socialiste est un parti réformiste. Il porte un projet de transformation sociale radicale. [...] Le Parti socialiste est un parti internationaliste. Etc. etc. » (Notons que leurs pseudos adversaires politiques dit de «droite» de style UMP ou républicains (LR) ne trouvent rien à dire à ce programme pour le moins marxiste culturel utopique).
Pour les non avertis (ce qui n’est plus votre cas) La France en marche avec  monsieur le bon président Macron à sa tête ressemble à un sketch d’humour, Macron est un clown qui fait des gags !
Macron dans son rôle fait penser à un chauffard drogué qui, ayant percuté un mur, l’avant de son véhicule bousillé, et ayant pu faire une marche arrière besogneuse, annoncerait, têtu et le regard fixe, qu’il va repartir de l’avant ! Dans la même direction et à nouveau droit vers le même mur.
C’est que le politiquement correct et surtout la pensée unique marxiste culturelle se fonde sur deux principes fondamentaux. Le premier est que le marxiste culturel a raison, le second c’est qu’il a toujours raison et que même si par hasard il avait tort c’est le premier principe qui s’applique.

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