lundi 14 janvier 2019

Monsieur le président je vous fais une lettre.

Monsieur le Président
Je vous fais une lettre
Que vous lirez peut-être
Si vous avez le temps…






Monsieur le président,



Vous m’avez fait l’honneur de m’écrire, permettez-moi que je vous réponde ;

Je serai bref, vous vous dites être fier d’être Français, vous êtes peut-être sincère lorsque vous déclarez votre flamme au pays, mais malheureusement vous œuvrez clairement à la destruction de la nation, sachez monsieur le président que depuis que vous avez été élu, je suis et beaucoup de mes amis sommes de moins en moins fier eux d’être Français.

Vous osez affirmer n’avoir pas  oublié avoir été élu sur un projet, sur de grandes orientations auxquelles vous demeurez fidèle.

Hors monsieur le président vous avez été élu vous le savez par une majorité d’électeurs qui ont voté pour vous avant tout pour faire barrage à la droite nationale et patriote bien représentée par Madame Le Pen, en aucun cas pour vos «idées» marxistes culturelles et mondialistes nauséabondes.
C’est pourquoi votre «grand débat» n’est qu’un écran de fumée, le vieux truc éculé du «asseyons-nous autour d’une table et causons» !  Ce «Grand débat» ou plus justement dit, cette «Grande arnaque» qui n’aura pour intérêt, à vos aux yeux, que de gagner un peu de temps et de faire accroire que vous écoutez les sans dents et que nous vivons dans une démocratie exemplaire ! Il faut être fou ou tout simplement adhérent de votre parti pour croire à de telles balivernes.
Vous nous dites vouloir : «La clarification de notre projet national et européen» ce «notre» me parait bien singulier. C’est votre projet seul auquel et c’est vous qui le dites, vous demeurerez fidèle quoi qu’il arrive ! Alors pourquoi débattre ?
De plus vous trompez encore les Français en leur laissant croire que vous ouvrez un débat sur l’immigration et vous écrivez : «Notre pays a toujours su accueillir ceux qui ont fui les guerres, les persécutions et ont cherché refuge sur notre sol : c’est le devoir de l’asile, qui ne saurait être remis en cause. Notre communauté nationale s’est aussi toujours ouverte à ceux qui, nés ailleurs, ont fait le choix de la France, à la recherche d’un avenir meilleur : c’est comme cela qu’elle s’est aussi construite. Or, cette tradition est aujourd’hui bousculée par des tensions et des doutes liés à l’immigration et aux défaillances de notre système d’intégration. [Ajoutant] Que proposez-vous pour améliorer l’intégration dans notre Nation ? En matière d’immigration, une fois nos obligations d’asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ? Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?».
Monsieur le président quand prendrez-vous conscience que l’immigration à changée, qu’avant c’étaient des chrétiens les immigrés. Aujourd’hui ce sont des musulmans insolubles dans la république. Fermer les frontières, stopper l’immigration, sortir de cette Europe imbécile tel est le souhait d’une majorité de Français. A ce propos je reprendrai pour terminer ces quelques phrases d’un vrai grand Français le Général De Gaulle rapportées dans C’était De Gaulle, par Alain Peyrefitte, méditez-les, monsieur le président.
«C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu’on ne se raconte pas d’histoires ! Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français !»
Je vous prie d'agréer, Monsieur le Président de la République, l'expression de ma très haute considération.

Michel Alain Labet de Bornay
 


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