mardi 17 décembre 2019

LA LISTE (Partie 9)



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Nous avons vu tout à l’heure une liste d’organisations toutes très «démocratiques» (Liens de la nébuleuse communiste de la haine rouge) appelant à ne pas voter pour le rassemblement National, mais qui sont ces gens ? Des idiots utiles, la plupart marxistes culturels inconscients, c’est là le plus terrible. L’idiot utile est un concept apparu dans les années 1920 (à la naissance du marxisme culturel et de son idéologie par Lénine, György Lukács, né György Löwinger et  Willi Münzenberg, le trio maudit, fondateur de l’école de Francfort) qui s’est développé à partir de 1929, au moment des fameux voyages de propagande communiste du temps de l’URSS. 
Willi Münzenberg personnage principal, fondateur sous les ordres de Lénine du marxisme culturel a été le précurseur de deux types tout à fait nouveaux d'activités secrètes, qui furent indispensables dans notre siècle et rendirent des services essentiels aux Soviétiques: en premier lieu, la création de certaines organisations de façade, dirigées - sous le nom de «fronts» - à des fins de propagande par des «autorités occultes»; en second lieu, la manipulation secrète de «compagnons de route» certains plus ou moins inconscients étaient de vrais idiots utiles, en restant poli.
Ses objectifs qui sont les mêmes que les objectifs du marxisme culturel qu’il a fondé avec l’école de Francfort était de susciter chez les Occidentaux non communistes et bienpensants le préjugé politique qui allait dominer toute l'époque: la conviction que toute opinion favorable à la politique étrangère de l'Union soviétique était fondée sur les principes de l'honnêteté la plus élémentaire. Il voulait instiller chez tout un chacun, comme une vérité naturelle, le sentiment que toute critique ou contestation de la politique criminelle contre l’humanité soviétique était infailliblement le fait d'une personne mauvaise, sectaire et probablement stupide, tandis que tout soutien apporté à cette politique était non moins infailliblement la marque d'un esprit progressiste, tourné vers tout ce qu'il y avait de meilleur pour l'humanité, et doté d'une sensibilité flatteuse autant que raffinée.
Pour mettre sur pied les réseaux de ses organisations de façade, de ses compagnons de route et autres idiots utiles Münzenberg sut utiliser toutes les astuces de la propagande, qu'il s'agît d'exploiter certaines opinions formulées par divers intellectuels sur les problèmes culturels, ou de faire distribuer des chapeaux humoristiques et des ballons.
Il mobilisait tous les médias : la presse, le cinéma, la radio, les livres, les magazines, le théâtre. Tous les «maîtres de l'opinion» étaient visés, certains plus ou moins convaincus par ses mensonges deviendront de parfaits abrutiles: les écrivains, les artistes, les acteurs, les commentateurs, les prêtres, les ministres, les professeurs, les hommes d'affaires importants, les scientifiques, les psychologues, tous ceux dont l'opinion avait quelque chance d'être respectée par le public.
L'instrument qui permit à Münzenberg de donner forme à ce pouvoir culturel était, outre l’école de Francfort l'Internationale communiste, c'est-à-dire, comme on l'appelait presque toujours, le Komintern.
Celui-ci était, à bien des égards, l'institution léniniste par excellence; elle avait été mise sur pied dès le début à partir des deux principales passions qui caractérisaient la personnalité politique de Lénine: son obsession du secret et sa hantise du pouvoir absolu. Les buts du Komintern ne furent jamais démocratiques, même vaguement, et encore moins réformistes, de près ou de loin; l'Internationale n'a jamais été censée apporter la moindre aide réelle à une formation de gauche qui n'eût pas été entièrement subordonnée à l'autorité soviétique.
Mais la propagande c’est quoi ?
Un Cours de marxisme culturel largement enseigné à l’ENA dont les  élèves comme Michel Poniatowski, Valéry Giscard d'Estaing, Jacques Chirac, Emmanuel Macron avec même un cadre du FN monsieur Jean-Yves Le Gallou tirèrent et pour certains tirent encore le plus grand profit. Il existe dix Stratégies principales de manipulation des masses parfaitement théorisées par le juif érèv rav Willy Münzenberg aussi connu sous les pseudonymes de: Herfurt, A. Sonneburg, Studinsky. Créateur des théories marxistes culturelles avec Lénine avec un autre juif érèv rav Georg Lukàcs ou György Lukács, né György Löwinger, fondateurs de l’école de Francfort. Münzenberg le roi de la propagande mettra notamment en œuvre les directives de Staline. Son objectif était de susciter chez les Occidentaux non communistes et bien-pensants le préjugé politique qui allait dominer toute l’époque : la conviction que toute opinion favorable à la politique étrangère de l’union soviétique était fondée sur les principes de l’honnêteté la plus élémentaire.                                                                                                                                      C’est le marxiste culturel convaincu par les thèses nauséabondes de l’école de Francfort le Nord-américain et juif érèv rav pour changer un peu, Noam Chomsky, Activiste d’ultra gauche, Professeur de Linguistique au Massachusetts Institute of Technology où il a enseigné toute sa carrière et a fondé la Linguistique générative à qui l’on attribue la rédaction de ses 10 stratégies. Grande référence du marxisme culturel et du gauchisme occidental (et au-delà), Noam Chomsky est un esclavagiste-absurdiste qui s'est fait connaître du grand Public, à la fois dans son Pays et à l'étranger, par son Parcours d'Intellectuel engagé à l’ultra gauche. Grande référence du gauchisme occidental (et au-delà), Noam Chomsky est bien un esclavagiste-absurdiste américain se réclamant du socialisme libertaire et de l'anarcho-syndicalisme – mais en réalité plus proche du communisme que de l'anarchisme –, dont l'essentiel des combats depuis la fin des années 1960 a consisté au mieux à faire preuve d'une extrême complaisance à l'égard de divers régimes criminels contre l’humanité, dictatoriaux, totalitaires et génocidaires pourvu qu'ils soient les ennemis du moment de l'État américain (et, secondairement, d'Israël, ce qui en dit long sur l’antisémitisme du juif érèv rav), au pire à les soutenir de toutes ses forces (la suite ici). Il aurait élaboré cette liste des «Dix stratégies de manipulation des masses» très largement inspirées des théories marxistes culturelles et des idées de Münzenberg, de Lénine et de Georg Lukàcs. Elle détaille l’éventail, depuis la Stratégie de la distraction, en passant par la Stratégie de la dégradation jusqu’à maintenir le Public dans l’Ignorance et la Médiocrité. Un des fondements des théories du Marxisme culturel est sa règle N°10 : Contrôle et abêtissement des médias pour dévaloriser le jugement personnel et l’esprit critique du peuple. Comme ce texte me semble bien être une simplification de sa pensée et que l’on ne trouve pas son équivalent en anglais, on lui a posé la question, pour en avoir le cœur net. Voici sa réponse : «Je n’ai aucune idée d’où cela vient. Je n’ai pas fait cette compilation moi-même, je ne l’ai pas écrite ni mise sur le web. Je suppose que celui qui l’a fait pourrait prétendre que ce sont des interprétations de ce que j’ai écrit ici ou là mais certainement pas sous cette forme ni en tant que liste». Le franc succès de ce texte illustre bien une  compréhension assez complète de la pensée de Chomsky à propos de la «manipulation», à la fois chez certains de ses partisans et de ses adversaires. Lui et Ed Herman, co-auteurs de La fabrique du consentement (Edward Herman et Noam Chomsky, Manufacturing Consent, Panthéon, New York, 2002. La «fabrique du consentement» est une expression de l’essayiste américain Walter Lippmann, qui, à partir des années 1920, mettant en doute la capacité de l’homme ordinaire à se déterminer avec sagesse, a proposé que les élites savantes «assainissent» l’information avant qu’elle n’atteigne la masse).    ne suggèrent jamais qu’il y a quelque part une organisation cachée qui «manipule les masses». Ils montrent qu’il existe un certain nombre de filtres, liés à la propriété privée des médias, à la nécessité de la publicité, à l’action de groupes d’influence etc., qui ont pour résultat que la vision du monde véhiculée par les médias est extrêmement biaisée, mais tout cela fonctionne un peu comme l’idéologie chez Marx, un processus sans sujet. Curieusement, il est d’une certaine façon rassurant de penser qu’il existe des manipulateurs conscients qui, parce qu’ils le dirigent, savent au moins où va le monde. Malheureusement, il y a bien des relations de pouvoir, des mensonges et des biais idéologiques marxistes culturels, mais il n’y aurait peut-être pas de pilote dans l’avion. 
                                                                                                         Voyons quand même la première de ces 10 stratégies : la Stratégie de la Distraction : Un des éléments primordial du contrôle social, est la stratégie de la diversion qui consiste à détourner l’attention du Public des problèmes importants et des mutations décidées par la caste marxiste culturelle et les élites politiques auto proclamées et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. Déjà appliqué par les romains sous le nom de «Panem et Circenses» (du Pain et des Jeux).                                                                                                                                                                                                                          La Stratégie de la Diversion est également indispensable pour empêcher le Public de s’intéresser aux Connaissances essentielles, dans les Domaines de la Science, de l'Economie, de la Psychologie, de la Neurobiologie, et de la Cybernétique. Je vais vous donner un extrait d’«Armes silencieuses pour guerre tranquille», un texte célébrissime de la galaxie pseudo conspirationniste, si ce n’est de la fachosphère ou de la méchante extrême droite qui dévore les tites n’enfants après les avoir violés sauvagement et vole les sacs des mamies. En 1991, il fut publié en annexe du livre «Behold a pale horse» de William Miton Cooper, alors considéré par l’ensemble des marxistes culturels mondiaux comme le pape du conspirationnisme, alors que Cooper est en pleine écriture dystopique. Cooper prétendit que ce document avait été trouvé dans une photocopieuse achetée lors d’une vente de surplus militaires. Mais le plus probable est qu’il le rédigea lui-même, pour établir un «vrai-faux», c’est-à-dire un faux disant le Vrai et dévoilant les idées de Münzenberg, Lukacs, Lénine, Chomsky ou même Gramsci. L’extrait : «Garder l’attention du Public distraite, loin des véritables Problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le Public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux (Voir aussi ici "La Ferme des animaux de Georges Orwell)». Nonobstant les armes silencieuses utilisées pour enfermer les «classes inférieures» dans cette situation de totale aliénation fonctionnent de la manière suivante : elles créent des situations, fabriquées délibérément à partir des octets d’information enregistrés dans les ordinateurs servant à l’ingénierie sociale. Elles produisent un bruit qui se perd dans le bruit de fond de la société, pour ceux qui ne sont pas exercés à le repérer, mais qui est très reconnaissable pour les spécialistes. Les cibles elles-mêmes ne comprennent pas ce qui leur arrive. Elles tentent de s’adapter jusqu’au moment où elles craquent, et généralement, elles n’ont même pas conscience d’avoir été attaquées.                                  Le premier principe de base utilisé par ces armes a été défini dès le XVIII° siècle par le banquier Mayer Rothschild : «Lorsque vous prenez l’apparence du pouvoir, les gens vous le donnent bientôt». Ce banquier comprit que les dépôts bancaires avaient l’apparence du pouvoir, et qu’ils pouvaient induire les gens à adopter un certain comportement, échanger leur richesse présente contre une promesse de richesse future plus grande. Cette inductance de la richesse fonctionnait sur l’espace mental comme l’inductance électrique fonctionne sur un champ magnétique. Elle permit à Rothschild de récupérer d’énormes richesses réelles, en échange de simples promesses de richesses futures qu’il n’avait à honorer que par la reconduction de ces promesses. Ainsi, Rothschild comprit tout simplement que l’argent pouvait être fabriqué à partir de la dette, et que celui qui maîtrisait ce système pouvait le réarranger presque à sa guise, déclenchant des guerres, au besoin, pour éliminer une partie des titulaires de promesses de richesse future qu’il ne pouvait pas honorer. Je crois avoir souvent affirmé que les marxistes culturels avaient découverts que l’homme n’est pas un être de raison mais d’émotion. Il ne sert donc à rien de tenter de le convaincre par la raison.   
Dans le cadre de l’économie totalement modélisable, l’élite ou la caste ou encore la nomenklatura marxiste culturelle a la possibilité de remodeler très largement l’ensemble du cadre de vie des individus et des groupes dominés que les règles en aient été établies par des Münzenberg, Lukacs, Lénine, Chomsky ou même Gramsci et Cie si ce n’est Rothschild. Ainsi, on fournit aux classes dites populaires une éducation de bas niveau, en particulier en mathématique, en logique, en design des systèmes et en économie, tout en encourageant tout ce qui est du domaine de l’émotion par une succession d’affronts émotionnels, images de violence et de sexe, sport-spectacle exaltant à la fois le corps contre l’esprit, et la passivité du spectateur. La règle générale pour renforcer sans cesse ce basculement dans l’émotionnel, une fois l’éducation classique anéantie, est de créer des problèmes émotionnellement perturbants, pour ensuite proposer des solutions émotionnellement rassurantes, mais fonctionnant toujours fondamentalement sur le mode de l’émotion. Pour garantir que le public ne prendra pas conscience de ce processus, il est en outre conseillé de le tenir constamment occupé, soit par la distraction (d’un niveau intellectuel très bas), soit par le travail (de préférence abrutissant et répétitif). 
Une fois les individus radicalement dominés par la sphère émotionnelle, on constatera qu’ils se replient sur des besoins fondamentaux très simples, et très infantiles. Ils percevront l’Etat comme un utérus artificiel, et attendront des politiciens qu’ils les protègent. Incapables d’affronter la brutalité du monde, n’ayant pas l’équipement intellectuel pour le penser, les sous-citoyens abrutis produits par ces armes silencieuses sont de parfaits clients pour l’Etat-providence (sous toutes ses formes), qui ne demanderont plus que la sécurité, et ne comprendront même plus les notions de liberté ou de responsabilité (l'état providence est une des plus vieille escroquerie du monde, pratiquée dans le passé par tous les dominants et tous les pouvoirs. Elle consiste seulement à prendre l'argent des gens, et à le leur rendre «généreusement» un peu sous forme de protection, comme peut le faire n'importe quel parrain de la mafia. Comme les ressources fiscales sont limitées et qu'on ne peut redistribuer aux gens plus qu'on ne leur prélève, l'État-providence finit par reposer principalement sur la dette publique jusqu'à ce que la faillite survienne. Seules l'illusion fiscale et la propagande étatique lui permettent de perdurer). Ce type de public sera parfait pour soutenir un effort de guerre, pourvu que la guerre soit lointaine, qu’elle ne le concerne pas directement, et que le fait d’agresser des gens éloignés soit perçu comme un bon moyen de défendre l’Etat-Utérus. Cela sera particulièrement utile quand, pour rééquilibrer le système déstabilisé par l’accumulation de l’argent-dette, sous-jacent invisible à l’ensemble du contrôle social, il faudra faire la guerre pour détruire le créditeur. Il est à noter que si le système ne fonctionnait plus, alors la destruction du créditeur ne pourrait plus être obtenue qu’en laissant le peuple se détruire lui-même.
Parmi les «Dix Stratégies de Manipulation» la deuxième n’est pas mal non plus : Créer des Problèmes, puis offrir des Solutions. 
Cette Méthode est aussi appelée «Problème-Réaction-Solution». On crée d’abord un Problème, une «Situation» prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple : laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des Attentats sanglants, afin que le Public soit demandeur de Lois sécuritaires au détriment de la Liberté. Benjamin Franklin dira : «Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux».
En N° 3/ on trouve : La Stratégie de la Dégradation. 
Pour faire accepter une Mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en «dégradé», sur une durée de 10 ans.  C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (Néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, baisse des retraites et allongement de la durée du Travail autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.
En N°4, la Stratégie du Différé est une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme «douloureuse mais nécessaire», en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’Effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le Public a toujours tendance à espérer naïvement que «tout ira mieux demain» et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu (L’Augmentation importante de la Pression Fiscale ne s’est pas faite avant les Élections de 2012).
En N° 5, s’adresser au Public comme à des enfants en bas-âge n’est pas mal non plus. Ça va ti les tites n’enfants ?                               La plupart des Publicités destinées au grand public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas âge ou un handicapé mental. Plus on cherchera à tromper le Spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? La réponse est dans «Armes silencieuses pour Guerres tranquilles» : «Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine Probabilité, une Réponse ou une Réaction aussi dénuée de sens Critique que celles d’une personne de 12 ans».
La N°6 : Faire Appel à l’Emotionnel plutôt qu’à la Réflexion est très bien elle aussi et confirme ce que je proclame depuis toujours que l’homme n’est pas un être de raison mais d’émotion car faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements (La Terre se réchauffe dangereusement du fait des seules Activités humaines (sic), ce sera terrible pour nos enfants : les Carburants sont encore plus taxés).
La N°7 : Maintenir le Public dans l’ignorance et la bêtise. Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son Contrôle et son esclavage. «La qualité de l’Education donnée aux Classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’Ignorance qui isole les Classes inférieures des Classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les Classes inférieures». Extrait de «Armes silencieuses pour Guerres tranquilles» (80 % des élèves des Universités ou des grandes Ecoles tel l’ENA sont issus des Classes moyenne ou supérieure).Cette stratégie est à rapprocher de la septième règle idéologique du marxisme culturel : «Affaiblissement de l’éducation par une baisse progressive du  niveau et une élimination de la sélection afin de faire disparaitre tout repère chez les jeunes».
La N° 8 : Encourager le Public à se complaire dans la Médiocrité. C’est encourager le Public à trouver «cool» le fait d’être bête, vulgaire et inculte (Voir certaines émissions de TV particulièrement populaires).
La N° 9 : Remplacer la révolte par la culpabilité, c’est faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique ou l’état providence marxiste culturel, l’individu s’auto dévalue et culpabilise, ce qui  engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, Pas de révolution!
Et enfin la N° 10 : Connaître les Individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes. Au cours des 50 dernières années, les Progrès fulgurants de la Science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes marxistes culturelles éduquées.                 Grâce à la biologie, la neurobiologie et la psychologie appliquée, le «Système» est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement.   
Le «Système» en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le «Système» détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.
Alors êtes-vous des idiots utiles ? Si vous avez lu avec attention les textes ci-dessus, certainement de moins en moins. Toutefois d’autres explications s’imposent.                                                  L’expression elle-même, calque de l’anglais useful idiot, a été utilisée par la première fois aux États-Unis en 1948, dans un article du New York Times par un journaliste correspondant à Rome, qui l’aurait emprunté à l’italien au journal L’Umanità. Elle est attribuée en pleine guerre froide par des auteurs américains à Lénine, sans qu’on n’en retrouve trace dans ses écrits, évidemment le concept étant de Münzenberg. Le terme s’appliquait à l’origine pour qualifier les Occidentaux sympathisants du communisme, qui reprenaient et répandaient, sans grand sens critique, la propagande de l’Union soviétique, à l’image d’Édouard Herriot revenu d’Ukraine en 1933 et annonçant qu’il n’avait «vu que des gens bien nourris» en plein Holodomor. Qui l’eut cru ? Que la cantinière bouffait de la tarte aux poils ?

https://www.actionaid.fr/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Pour vous situer l’organisation stipendiée dans sa plénitude marxiste culturelle j'ai vu qu'ActionAid recrute : «Le∙la Responsable Administratif∙ve et Financier∙e» (En inclusif dans le texte) mais surtout que le candidat, la candidate ou le candidounet sodomite ou la candinouche broute minou (on n’est pas sectaire chez ActionAid) devrait développer un comportement individuel soucieux de l’égalité de genre et intégrer l’approche «genre» à l’ensemble de ses activités.
Voyons cela d’un peu plus prêt. Avant d'être un prétendu outil d'analyse, le «genre» est une véritable théorie et même une métaphysique dont l'objectif marxiste culturel est de déconstruire les fondements (avec la loi du «genre» la destruction du fondement n’est pas obligatoire mais fortement conseillée) de notre société au nom du principe d'égalité entre hommes et femmes poussé jusqu'à l’absurde interchangeabilité. Le genre est une notion arbitraire dérivée du socialisme et des règles théoriques du marxisme culturel, alliant égalitarisme et utilitarisme, susceptible de s’imposer violemment aux différentes cultures à travers la mondialisation. Le genre agit comme l'instrument d'une nouvelle culture fondée sur la remise en cause de la sexualité humaine comme inclination vers l'autre sexe et la contestation des rôles fondés sur les différences naturelles. Et allez donc ! Encore une fois avec ActionAid on est en plein dedans, dans cette  gauche passée de l’abominable Marxisme dit Économique au marxiste Culturel qui dicte, aussi bien en Europe qu’aux États-Unis, à travers des media asservis, la manière de pensée correcte. D'autant que Christopher Dummitt, historien «expert en études du genre» a récemment avoué «avoir globalement tout inventé de A à Z» dans le magazine Quillette. Longtemps reconnu comme une sommité dans le domaine du genre, Christopher Dummitt vient donc de rendre caduques toutes les prétendues études scientifiques sur le genre qui affirment que les identités sexuelles sont des constructions sociales. 


Vous aurez remarqué dans l’offre d’emploi d’ActionAid cette notion de «genre» obligatoire et discriminatoire très marxisme culturel dont le but est de déconstruire les bases de notre société au nom du principe d'égalité entre hommes et femmes poussé jusqu'à une absurde interchangeabilité. Le but est partout le même dans le monde: la Destruction des Peuples européens (ou d’origine européenne) honnis, par l’immigration, le multiculturalisme, le métissage, le «genre», les gay rights, le mariage gay, la famille monoparentale, les quotas, les manuel scolaires etc.  En bref, qu’est donc encore une fois ce Marxiste Culturel ou déconstructivisme plus connu sous le terme de Politiquement Correct ? Je sais, j’enfonce le clou !                                                                                          Il se trouve qu’après les échecs des révolutions bolcheviques en Europe de l’Ouest des intellectuels marxistes internationaux formèrent en 1923 ce qu’il est convenu d’appeler l’École de Francfort afin d’étudier les causes des échecs des révolutions trotsko-léninistes dans ces pays. Elle rassemblait des «socio-philosophes» universitaires la plupart des juifs Erev Rav tels que Horkheimer, Wiesengrund-Adorno, Marcuse, Benjamin, Fromm, Pollock, Neumann, Wiggersrhaus, suivis par Habermas, Gramsci, Lukacs… assistés par Sigmund Freud. Leurs conclusions fut que la doctrine marxiste n’était pas en cause mais que les peuples immatures n’étaient pas réceptifs. Il fallait donc changer les peuples. Ce fut le but de ce qu’ils nommèrent le Marxisme Culturel, ou déconstructivisme, dictature de la pensée, qui gouverne les démocraties d’Occident depuis les années 60. Les humains sont des êtres sentimentaux dont on achète facilement les émotions avec des mots. Les mots étant des armes il était impératif de prendre le contrôle des media et de l’industrie culturelle. Ce fut fait. Ce qui explique l’annonce discriminatoire d’ActionAid. On pouvait dorénavant façonner la pensée des peuples, promouvoir la fragmentation de la société en minorités, religieuses, raciales, sexuelles (dans le cas ActionAid), et dresser ces minorités contre la majorité traditionnelle qui n’avait plus d’autre choix que de se taire. Au moindre écart de langage le terrorisme de la pensée vous traine devant les tribunaux, en brandissant jusqu’à plus soif les clichés éculés de l’antisémitisme, de la xénophobie, du racisme, de l’islamophobie, du fascisme, de l’homophobie, du nazisme, de la puanteur nauséabonde, des heures les plus sombres, etc. Idem aux Etats-Unis : fascist, anti-semite, racist, nazi, etc. Ainsi fut installée la tyrannie des minorités sur la majorité traditionnelle, préalable à la destruction de la substance des peuples d’Occident. C’est ce même terrorisme qui vole au secours des Mitterrand, Cohn-Bendit, Polanski, auteurs d’actes pédophiles avoués, mais monte des cabales aussi ignobles qu’infondées contre Pie XII et Benoît XVI, Rome étant le symbole haï de l’Empire Chrétien d’Occident. Ainsi, de Los Angeles à Varsovie, les media asservis sapent nos civilisations en vue de l’établissement d’un Ordre Nouveau avec « Jérusalem capitale planétaire d’un gouvernement mondial » comme le suggère Jacques Attali. Des deux côtés de l’Atlantique seuls quelques menhirs résistent contre vents et marées aux campagnes de désinformation, de diffamation et de diabolisation dont ils sont l’objet. Affabulations, paranoïa, théorie de la conspiration que tout cela est bête direz-vous. Quelques écrits des meneurs de l’École de Francfort vous détromperont:                                                                               Herbert Marcuse : «C’est le peuple qui n’a pas rempli le rôle que lui avait réservé la théorie révolutionnaire … mis devant la possibilité de la révolution, le peuple aura préféré s’en détourner en adhérant profondément aux institutions principales définissant la civilisation occidentale… Une conscience non révolutionnaire – ou plutôt antirévolutionnaire – prévaut dans la majorité de la classe ouvrière, cela saute aux yeux».                                                                                                    Et le même Marcuse continue : «Il faut préférer la dictature des intellectuels au pouvoir d’un peuple encore imparfait. […] Il est nécessaire, pour une société civilisée, que des gens éduqués aient des prérogatives politiques pour combattre les sentiments, les attitudes et les concepts des masses non éduquées».                                                                                       Gramsci écrira: «The workers will never see their true class interests until they are freed from Western culture, and particularly from the Christian religion». («Les travailleurs ne verront jamais leurs véritables intérêts de classe tant qu’ils ne seront pas libérés de la culture occidentale, et particulièrement de la religion chrétienne»)                                                                               Voilà la doctrine qu’ils ont appelé «Marxisme Culturel», ou déconstructivisme. Plus connue sous le nom de Politiquement Correct pour vous prendre pour des débiles et vous voler en toute impunité.
https://alternatiba.eu/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Alternatiba se présente comme un mouvement «citoyen» pour le climat et la justice sociale. (Quelques mots dévoilent la vérité sur ce mouvement : citoyen et justice sociale, ce qui fait de cette organisation qui lutterait soi-disant pour le climat une organisation marxiste culturelle comme déjà vu ci-dessus).                     Né à Bayonne en 2013, il s’est fondé sur deux constats. D’une part, le dérèglement climatique s’accélère, touche les populations les plus pauvres de la planète et menace à moyen-terme les conditions de vie sur Terre. C’est maintenant qu’il faut agir pour nous éviter d’atteindre des seuils d’emballement climatique. D’autre part, des solutions existent et sont à portée de mains, elles n’attendent que nous. Alternatiba veut les montrer, les renforcer et les développer pour changer le système, pas le climat ! (La encore c’est l’aveu: Changer le système pas le climat on ne peut être plus clair ! C’est du pur marxisme culturel dans le texte !).

https://www.animafac.net/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
En prévision des élections municipales de 2020, les jeunes engagé·e·s du réseau Animafac expriment une nouvelle fois leur volonté d’être pleinement acteur·trice·s de leur citoyenneté (l’écriture inclusive imbécile dénonce ici fort bien le marxisme culturel). En portant quotidiennement leurs initiatives sur les territoires, ils·elles n’attendent pas qu’on leur demande de voter pour prendre part au débat public (Comme déjà vu plus haut, voter pour le Rassemblement National est un gros péché pour ces braves «démocrates» prosélytes de la secte marxiste culturelle). Au contraire, ils·elles incarnent par leurs actions l’émergence d’une démocratie (sic) plus interactive, inclusive (re sic) et transparente. C’est pourquoi nous lançons dès cette rentrée un nouveau chantier afin d’imaginer les futurs modes de participation démocratiques des jeunes.

https://anv-cop21.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Une des règles de base du marxisme culturel est la N° 1 : Infiltration des partis existants (plutôt que création de nouveaux partis). On l’a vu fonctionner à plein avec l’infiltration des organisations écologiques par la gauche si ce n’est par la droite molle. Aujourd’hui c’est le climat qui est allah mode. C’est ainsi qu’ANV-COP 21 nous dit : Relever le défi climatique est une condition préalable indispensable au maintien des conditions de vie civilisées sur Terre. La naissance d’ANV-COP21 a été inspirée par les victoires obtenues des grands mouvements de lutte non-violente (Tous gauchistes). La mission (ces gens ont une «mission») qu’ANV-COP21 s’est donnée est de faire émerger un mouvement citoyen de masse (Comme le communisme ?), non-violent et déterminé, radical et populaire (Des masses populaires alors ?), afin de relever ce défi. Par ses actions non-violentes ANV-COP21 veut : Dénoncer les projets et les politiques aggravant le changement climatique (Bon là rien à dire).   Replacer la lutte contre le changement climatique au centre de l’agenda politique et médiatique avec l’ambition et l’urgence que cela nécessite (Ici aussi rien à dire).                                                  Travailler en complémentarité des organisations qui œuvrent à la construction et au  développement des alternatives pour la transition sociale et écologique. (Là on commence avec le «transition sociale» qui n’a rien à voir avec le climat).                                                 Développer l’approche non-violente, comme base de la nouvelle société dans laquelle nous souhaitons vivre en paix. (Nouvelle société ? Sur qu’elles bases ?).

https://france.attac.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
ATTAC est partie intégrale de la gauchosphère communiste (Le MRAP marxiste Stalinien, annexe du PCF, et qui distille de la haine des juifs en est membre fondateur).                                                           Le socle idéologique développé par les membres d’ATTAC réside dans la dénonciation des «méfaits de la mondialisation libérale», basée sur une fausse conception du libéralisme. Protectionniste, collectiviste (en faveur d'un «contrôle démocratique» des marchés financiers, et contre les «paradis fiscaux»), et étatiste (défense des services publics et du système de protection sociale marxiste culturel), ATTAC critique les décisions de l'OMC, de l'OCDE ou du FMI, qu'elle présente comme des organisations «libérales» ou «néo-libérales». Biaisées par l’idéologie marxiste anti-libérale, les analyses proposées par ATTAC manquent de rigueur et de précision, les chiffres utilisés sont trompeurs et l’argumentation simpliste. C’est ainsi que les propositions d’ATTAC - recyclage sous des habits neufs de vieilles idéologies marxistes hostiles à la liberté et la responsabilité individuelles, voie vers la Route de la servitude, dénoncée par Hayek - rassemblent, aux dépens de la cohérence du discours et du projet politique, nombre de plaintes ou de revendications (chômeurs, féministes, environnementalistes, syndicalistes, communautaristes, etc.).                                           
Pascal Salin qui marche comme moi dans les traces de la tradition autrichienne : dans celles de mon bon maître  Frédéric Bastiat, celles de  Ludwig von Mises et Friedrich Hayek, qui défend aussi comme moi des positions minarchistes dira : «Les idées d’ATTAC trouvent un terrain fertile dans un pays où l’enseignement, la fonction publique, les syndicats, et les partis politiques sont encore fortement imprégnés de philosophie marxisante, comme en témoigne notamment la propension à raisonner en termes de lutte des classes et à faire appel à un interventionnisme sans limites de l'État (Qu’est-ce que je vous répète depuis des heures ?). Les programmes scolaires, dont l'État a le monopole, soumettent sans vergogne nos enfants à cette idéologie, au lieu de développer leur esprit critique, comme ce devrait être leur rôle».                                                                                         Jacques de Guenin lui affirmera avec humour et raison: «qu’ATTAC, dont le sigle pourrait aussi bien signifier Association Trublionne Totalitaire des Attardés du Communisme, est en fait un mouvement très dangereux, car faute de pouvoir s'appuyer sur des faits, il fait appel à l'affectivité et à l'envie, denrées très répandues à la surface de la terre». Bien noter que le MRAP qui distille de la haine des juifs est fondateur d’ATTAC !

https://ccfd-terresolidaire.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Mouvement marxiste culturel soutien inconditionnel du MRAP antisémite et marxiste Stalinien le CCFD n’est plus depuis longtemps une organisation catholique. Voir en cliquant ici sur Riposte Catholique. Après le MRJC (Pour l’évêque de Montauban, le MRJC n’est plus un mouvement catholique depuis Janvier 2018. Dans un courrier adressé au Mouvement rural de jeunesse chrétienne, Mgr Bernard Ginoux, évêque de Montauban, réagit vivement au communiqué du MRJC présentant l’avortement comme un «droit fondamental» : «Un mouvement qui se dit chrétien, reçoit des subventions de l’Église catholique et prône l’avortement est en totale contradiction avec l’enseignement de l’Église»), c’est au tour du CCFD de subir les foudres de l’épiscopat français. Mgr Cattenoz, archevêque d’Avignon explique pourquoi il a retiré sa reconnaissance à ce mouvement, qui profite du carême pour faire la quête dans toutes les paroisses : « […] Depuis plusieurs années, la paroisse Saint-Symphorien d’Avignon accueille toutes les deux semaines une quarantaine de SDF pour une table ouverte et un temps de partage dans un presbytère en partie vétuste. Le départ de l’UDAF d’un bâtiment de la paroisse a laissé entrevoir à la paroisse la possibilité de faire des travaux grâce à la vente de cet ensemble immobilier désormais libre. Mais récemment, le collectif de citoyens (?) Rosmerta s’est mis en avant, en le réquisitionnant brusquement et au nom d’une «réquisition citoyenne», pour y installer une trentaine de migrants (illégaux ?). Suite à une réunion avec le Préfet, son administration, les associations mandatées par l’État, la mairie et le collectif Rosmerta, il a été clairement établi que les services de l’État, les associations mandatées et la mairie qui s’occupent actuellement de plus de 65 000 démunis sont totalement en capacité de prendre en charge la trentaine de personnes actuellement hébergées dans le bâtiment « réquisitionné ». Le Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement (CCFD-Terre Solidaire) a rejoint le collectif de citoyens Rosmerta sans concertation préalable avec l’Église. Malgré mon courrier à l’antenne locale, cette dernière s’est maintenue solidaire de cette action sans concertation, réalisée dans l’ombre et hors de l’Église locale. Alors que le bureau national est resté sans réponse à mon courrier, l’évêque accompagnateur Mgr Blaquart m’a fait part de son indignation devant ces agissements. En tant qu’évêque, il est de mon devoir d’avertir les catholiques des postures prises par le CCFD-Terre solidaire. En accord avec le Conseil épiscopal, j’ai donc dû prendre la décision de ne plus reconnaître le CCFD-Terre solidaire comme mouvement d’action catholique, tant qu’il agira en opposition avec l’Église d’Avignon».

https://www.primolevi.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Le centre de soins Primo Levi est une association loi de 1901 créée en mai 1995 par cinq associations gauchistes et marxistes culturelles militantes dans le domaine des droits de l’homme, de la santé et de la justice : l'Action des chrétiens pour l'abolition de la torture, Amnesty International section française, Juristes sans frontières, Médecins du monde et Trèves. Cette association est comme d’habitude subventionnée à 100% avec l’argent des impôts des Français pour donner des «soins» à des étrangers !
http://ceras-projet.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Le Centre de Recherche et d’Action Sociale (Ceras) est une association fondée par la compagnie de Jésus il y a plus d’un siècle. Jésuites et laïcs y travaillent ensemble au service de trois missions : accompagner les associations engagées dans le «champ social», mettre en débat les questions qu’elles portent notamment à travers la revue Projet, les former dans ses champs de compétences.           On a déjà vu avec Raymond Aron que le marxisme est une religion séculière, le marxisme culturel aussi. Comme d’habitude c’est un théoricien du marxisme culturel Antonio Gramsci, fondateur en 1921 du Parti Communiste Italien qui va renouveler la théorie marxiste,  aussi bien du point de vue philosophique que politique et qui va nous vendre la mèche bien avant monsieur Aron. Parmi les dirigeants et penseurs du mouvement communiste et marxiste culturel, Gramsci est sans doute celui qui a montré le plus d'intérêt pour les questions religieuses. À la différence d'Engels et de Kautsky, il s'est occupé moins du christianisme primitif ou des hérésies de la fin du Moyen Âge que du fonctionnement de l'Église catholique : il fut un des premiers marxistes à chercher à comprendre le rôle contemporain de l'Église  et le poids de la culture religieuse dans les masses populaires.  Il était aussi,  comme nous verrons,  fasciné par la Réforme protestante comme paradigme de changement historique. Dans ses écrits de jeunesse,  on voit s’esquisser une analyse des  affinités électives entre religion et socialisme, ou plutôt, du socialisme comme une sorte de «religion de substitution», qu’il présente à la fois comme comparaison «objective» et comme valorisation éthique et spirituelle du socialisme. Dans un article de 1916,  intitulé  «Audace et foi»,  Gramsci définit le socialisme comme une religion «dans le sens où elle a aussi sa foi, ses mystiques,  ses pratiquants ;  c’est une religion parce qu’elle a remplacé dans les consciences le Dieu transcendantal des catholiques par la confiance (sa foi du latin fides : confiance) en l’homme et ses meilleurs énergies comme seule réalité spirituelle».  Gramsci  perçoit le monde catholique non comme un bloc monolithique,  mais comme un champ  politiquement hétérogène, traversée par les fameux «conflits sociaux». Pour Gramsci la religion ne serait-elle finalement qu’un  «opium du peuple», comme Marx l’avait laissé entendre en 1844 ?   Et c’est là où on rejoint le Ceras ! Gramsci réserve cette désignation pour les formes que lui semblent les plus manipulatrices et les plus nuisibles de la religion, comme par exemple, chez les catholiques, la doctrine des jésuites qui est celle du Ceras.  Il va jusqu’à reconnaître que le christianisme, sous certaines conditions historiques, représente «une certaine forme de la volonté des masses populaires, une forme spécifique de rationalité dans le monde et de la vie». Mais cela ne s'applique qu'à la religion innocente du peuple et non au  «christianisme jésuitique» qui est un «pur narcotique pour les masses populaires».  On ne peut pas dire que Gramsci avait une haute opinion  des jésuites : «la Compagnie de Jésus est le dernier grand ordre religieux, d’origine réactionnaire et autoritaire,  à caractère répressif et diplomatique, qui a signé avec sa naissance le durcissement de l’organisme catholique». C’est un nommé Jean-Yves Calvez (né le 3 février 1927 à Saint-Brieuc (France) et mort le 11 janvier 2010 à Paris, c’était un prêtre jésuite français, philosophe et économiste, expert en marxisme et professeur de philosophie sociale), qui alors qu’il n’est pas encore prêtre publie en 1956 une œuvre qui s’impose rapidement dans le domaine de la pseudo  philosophie sociale : La Pensée de Karl Marx. S’intéresser au marxisme avant le concile Vatican II, et qui plus est, le faire en révélant une grande sympathie pour Marx et ses idées absurdes était audacieux.                                                                                                Marxiste culturel et idiot utile Calvez s’intéresse beaucoup aux fameuses «questions sociales», économiques et politiques, refusant de séparer ces trois domaines, mais les liant plutôt dans une recherche au service d’une vision chrétienne de l’homme intégral. Tel est son engagement comme prêtre et jésuite dans l’Église. Il étudie et promeut une praxis de la «doctrine sociale de l’Église» qui soit moins euro-centriste et plus tournée vers les graves problèmes de sous-développement qui accompagnent la vague de décolonisations bâclées des années 1960. Calvez était professeur de philosophie et sciences sociales à la faculté jésuite de philosophie à Chantilly, directeur du centre d’Action populaire (devenu plus tard le CERAS) et participe en 1962 à la fondation du centre d’études socio-économiques INADES d’Abidjan, en Afrique. Il voyage beaucoup, particulièrement en Amérique Latine, où il est proche des marxistes culturels dit théologiens de la libération avec lesquels il gardera toute sa vie de fort liens d’estime et d’amitié. 

https://www.concordia.fr/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Concordia est une association à but non lucratif, née en 1950 suite à la Seconde Guerre Mondiale d'une volonté de jeunes anglais·es, allemand·e·s et français·es (inclusif=cocos) de faire renaître les fameuses valeurs de tolérance et de paix à travers des chantiers internationaux de bénévoles (et allez donc encore une merde de plus marxiste culturelle comme nous le montre l’écriture inclusive de leur présentation et qui se goberge avec l’argent des impôts des Français). Sur leur site vous pourrez trouver les actualités des régions grâce à leur blog, tous leurs projets grâce au moteur de recherche, leurs offres d'embauche dans la rubrique emploi, des réponses aux questions fréquentes dans la FAQ (you ?).
https://www.coordinationsud.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Qui sont-ils ? Laissons-les se présenter : Coordination SUD est la coordination nationale des ONG françaises de solidarité internationale (autre nom du marxisme culturel internationaliste). Fondée en 1994, elle rassemble aujourd’hui 164 ONG françaises travaillant dans la solidarité internationale. Une centaine sont membres via six collectifs : CLONG-Volontariat, Cnajep, Coordination Humanitaire et Développement, Crid, Forim, Groupe Initiatives. Les ONG membres mènent des actions humanitaires d’urgence, d’aide au développement, de protection de l’environnement, de défense des droits humains auprès des populations défavorisées, ainsi que des actions d’éducation à la citoyenneté et de plaidoyer.                                                                                      Coordination SUD anime des commissions de travail thématiques, composées de ses membres et de partenaires. Ces commissions se mobilisent sur des enjeux majeurs de la solidarité internationale. Elle gère un fonds paritaire de cofinancement d’expertises externes sur les différents aspects de la performance organisationnelle et institutionnelle pour les ONG.                                                                                                 Des missions au service des ONG françaises. 
Coordination SUD assure une quadruple mission :
1.  Promotion et défense du secteur,
2.  Renforcement de la professionnalisation des organisations à travers le conseil et la formation,
3.  Plaidoyer sur la solidarité internationale auprès des institutions publiques et privées, en France, en Europe et dans le monde,
4.  Services de veille et d’analyse, et de diffusion d’information.
Une inscription dans plusieurs collectifs nationaux et internationaux. Coordination SUD est membre de collectifs français, européens et internationaux associatifs :
  • Mouvement associatif
  • Concord (la confédération des ONG européennes d’urgence et de développement)
  • Forus (réseau mondial composé de plateformes nationales d’ONG et de coalitions régionales)
Coordination SUD est une association loi 1901 dont le financement est assuré par les cotisations de ses membres, des recettes sur activités, des subventions publiques et des fonds privés. En savoir plus :  Les missions et objectifs de Coordination SUD.                                                                                                    Ce que ses gens appellent des subventions publiques dont ils bénéficient à 90% ce n’est que l’argent de vos impôts pour se payer les salaires de ministres des dirigeants, rappelez-vous Marcuse qui disait: «Il faut préférer la dictature des intellectuels au pouvoir d’un peuple encore imparfait. […] Il est nécessaire, pour une société civilisée, que des gens éduqués aient des prérogatives politiques pour combattre les sentiments, les attitudes et les concepts des masses non éduquées». Pour arriver à leurs objectifs ils n’hésitent pas à faire les poches de leurs concitoyens pour en vivre comme des nababs.   
                                                                                   
https://www.crid.asso.fr/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Leur propre présentation vaut mieux qu’un long discours: Le Centre de recherche et d’information pour le développement (CRID) a été créé en 1976 par 8 associations dites de solidarité internationale (ASI). Il en compte aujourd’hui une cinquantaine, réunie autour d’une vision partagée de la solidarité internationale, reposant sur le partenariat et l’éducation au développement. 
Fort de son réseau de près de 50 membres, le CRID mène de nombreuses campagnes d’interpellation des décideurs publics et de mobilisation citoyenne en s’appuyant sur le travail de plaidoyer fait par ses membres.                                                                Depuis 20 ans maintenant, le CRID coordonne et co-pilote le Festival des Solidarités, événement qui a lieu chaque année partout en France au mois de novembre.                                                    Tous les 2 ans, il organise un grand rendez-vous réunissant acteurs des mouvements sociaux et de la solidarité internationale en France. Cette année, à Grenoble du 22 au 26 août 2018 : l’Université d’été solidaire, citoyenne et rebelle !                                                     En 2015, lors de la Cop21, le CRID coordonne la Coalition climat 21 rassemblant plus de 130 organisations. Fort de ce succès, le CRID co-porte à nouveau avec plusieurs organisations dont 350.org la question climatique lors du One Planet Summit en 2017 avec la campagne Pas un Euro de Plus.                                               Depuis décembre 2017, le CRID participe aux États Généraux des Migrations (Ces abrutiles (néologisme pour abrutis collectivistes remplace avantageusement les fameux idiots utiles complices des crimes contre l’humanité communistes) qui mettent en application la règle N°2 de l’idéologie marxiste culturelle : l’encouragement de l’immigration de cultures exotiques qui auront du mal à s’intégrer, généreront des tensions et contribueront à la destruction progressive de l’identité de la race blanche et des valeurs démocratiques, l’avoue franchement en déclarant vouloir construire un mouvement d’opinion pour s’opposer à une vision soi-disant à leurs yeux aveuglés d’idiots utiles, erronée, culpabilisante et trop souvent xénophobe des migrations et des migrant-e-s (notez l’écriture inclusive qui fait le coco). Il a également contribué à montrer une France accueillante et solidaire par la production d’une cartographie des initiatives citoyennes solidaires envers les migrants : le Sursaut citoyen (encore des citoyen.ne.s. Français.e.s ou non. Bénévoles ou salarié.e.s. Grands-parents (Ils n’ont pas osés Grandes Parentes !) ou étudiant.e.s. Toutes et tous engagé.e.s auprès des migrant.e.s et réfugié.e.s arrivé.e.s en France, dans des associations, des collectifs citoyens, des collectifs de voisins, formels ou informels, ou parfois même individuellement.                                                             Depuis peu, le collectif On Ne Se Taira Pas a vu le jour, rassemblant de nombreuses organisations, militants, universitaires, journalistes, victimes de tentative d’intimidation des multinationales à l’aide de procès bâillons.                                                                          Par ailleurs, le CRID coordonne en France la dynamique des Forums Sociaux Mondiaux, temps de rencontres des mouvements altermondialistes dans le monde (Là c’est l’aveu définitif ! Le terme altermondialisation doit s'entendre par antimondialisation. Les altermondialistes promeuvent une théorie économique et sociale très proche du marxisme stalinien ou trotskiste socialiste, tantôt du nationalisme (et souvent des deux), avec des variantes favorables à la décroissance, à l'écologie (prétexte du réchauffement climatique pour accroître l'interventionnisme étatique) ou au protectionnisme, faute d'avoir saisi le mécanisme de l'échange libre et de la balance des paiements. A l'extrême, les tenants de ces thèses sont les luddites modernes (voir ici le néo ludisme maladie infantile de la critique des technologies/), opposés à toute forme de progrès. De surcroît, on note leur recours aux méthodes violentes, à l'affrontement physique et à la provocation, en particulier lors de sommets du G7/G8. Pour l’économiste indien Jagdish Bhagwati, les revendications altermondialistes contre le libre-échange sont liées à la chute visible du communisme, seul rival idéologique du capitalisme, chute qui aurait créé un vide pour les «idéalistes dont la conscience sociale se nourrit de la conviction que le capitalisme est source d’injustice». La prétention des altermondialistes à offrir des propositions allant «dans le sens de l’intérêt général» relève de la démagogie en raison de l'impossibilité de définir cet «intérêt général». L’excellent prix Nobel d’économie Milton Friedman qui se définissait aux états unis comme «un Républicain avec un grand R et un libertarien avec un petit l » (même avec un petit l, c’est très bien) le rappelle dans La Liberté du choix : «ceux qui croient agir en fonction de l'intérêt général sont en réalité conduits à favoriser des intérêts particuliers qui ne font pas partie de leurs intentions». Malgré leur prétention à la démocratie, les altermondialistes remettent en cause les principes du libre choix et de la responsabilité individuelle (paternalisme moralisateur concernant les comportements, parmi lesquels celui de la «mal bouffe»).
https://emmaus-france.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Henri Grouès dit l’abbé Pierre est à l’origine d’un Mouvement qui rassemblerait aujourd’hui près de 18 000 personnes. Prêtre catholique chrétien, longtemps personnalité préférée des Français, il a su créer un Mouvement fondé sur une intuition inédite. En 1949, l’abbé Pierre est appelé auprès d’un ancien bagnard qui vient de faire une tentative de suicide et, devant son désarroi, il lui dira cette phrase fondatrice pour le Mouvement Emmaüs : «Je ne peux rien te donner. Mais, toi qui n’as rien, au lieu de mourir, viens m’aider à aider». Puis une vie communautaire s’organise dans la maison qu’il a achetée à Neuilly-Plaisance, autour de l’activité de chiffonnier… Une activité toujours centrale chez Emmaüs ! Après les ravages de la guerre, les rigueurs de l’hiver 1954 tuent. Dans ce contexte de grave pénurie de logements, l’abbé Pierre lance un célèbre appel sur les ondes de Radio Luxembourg. C’est le point de départ de ce qu’on appellera «l’insurrection de la bonté». Aujourd’hui, 60 ans après cet appel et cet élan de solidarité, le Mouvement Emmaüs poursuit, jour après jour, une forme de «combat» qui n’est plus fidèle à celui de son fondateur Chrétien mais à celui de l’internationale marxiste culturelle
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https://www.etudiantsetdeveloppement.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Etudiants et Développement (E&D) est une association nationale de solidarité internationale et d’éducation populaire animant un réseau  d’associations qui cherchent à créer des liens de solidarité à l’échelle internationale. Elle est composée d’associations déclarées de loi 1901, dirigées par des jeunes et/ou  des étudiants  qui ont choisi d’agir en réseau. E&D est ouverte à l’ensemble des organisations de jeunes et/ou d’étudiants qui se reconnaissent dans la charte d’E&D.                                  Le réseau est le plus largement ouvert et a vocation à rassembler un grand nombre d’organisations. E&D est un réseau d’associations qui laisse leur place aux individus. E&D s’adresse donc aussi à des personnes physiques à la fois comme contributeurs ou participants aux activités marxistes culturelles de l’association.

http://www.agriculturepaysanne.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
La Fadear est opposée au modèle agricole industriel des pays développés, l’agriculture paysanne est menée comme un projet politique dont les acteurs s’entendent dans le désir de développer un système agricole alternatif. Voir ici. Alors agriculteur ou paysan ?
C'est ici (allez cliquer, ça mord pas) que monsieur Lionel Bardot s’interroge : "Paysan, agriculteur, ou exploité agricole" ? Bof… marxistes culturels c’est sûr !

https://www.federationsolidarite.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
La Fédération des acteurs de la solidarité, autrefois Fédération nationale des associations d'accueil et de réadaptation sociale (FNARS), est une fédération française d'organismes et d'associations proposant aux personnes en situation de grave détresse sociale un accueil, un hébergement et une aide à la réinsertion sociale. Créé en 1956, ce réseau généraliste de lutte contre les exclusions fédère 870 associations ou organismes qui gèrent 2 800 établissements et services sociaux accueillant, hébergeant, logeant et insérant 900 000 personnes chaque année. La fédération a une mission politique et de services ; elle représente ses adhérents, les conseille, les informe et mutualise leurs expériences. Florent Gueguen est le directeur général de la FNARS depuis 2011. En 2016, la FNARS change de nom pour donner plus de visibilité à son nouveau projet fédéral. Monsieur Louis Gallois en est le président. C’est encore un énorme «machin» marxiste culturel pour détourner une partie des impôts des Français pour entretenir toute une nomenklatura de feignants !

http://www.amf-federation.com/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Écoutons les : L’association des Marocains en France est créée en janvier 1961, elle a traversé toutes les étapes de l’intégration des populations immigrées et issues de l’immigration. Sa ligne socio-politique (marxiste culturelle)  a toujours été adaptée aux exigences de l’évolution historique de l’immigration marocaine en France. Cette longévité est, avant tout, le signe d’une grande et pertinente implication dans le vécu de l’immigration marocaine, et de la volonté, en permanence renouvelée, de l’accompagner dans ses métamorphoses et la soutenir dans ses luttes et ses espoirs pour une réelle intégration dans l’espace républicain, et pour une véritable citoyenneté donnant à chacun les chances de vivre dignement. (Le fait d’appeler à voter contre un parti inscrit dans la démocratie en l’occurrence le Rassemblement National qui représente quand même 24 millions de personnes est assez problématique, connaissez-vous au Maghreb des Associations de Français qui appellerait à voter pour tel ou tel candidat (quand il y en a ?). En outre, l’AMF a opté pour l’ouverture sur les autres communautés (?) vivantes en France; ainsi elle compte parmi ses militants des individus de nationalités différentes. Comme elle a opté aussi pour une démarche maghrébine (?) complémentaire qui rassemble les associations Tunisiennes, Algériennes et Marocaines dans des actions (?) et des structures communes.  
Ces braves gens nous donnent leurs liens qui valent leur pesant de marxisme culturel, de plus si vous ne savez pas bien ou passe le pognon de vos impôts, vous avez là une belle liste de parasites collectivistes droits dans leurs babouches ! Sans compter certains syndicat dont un qui propose une «justice» allah mode marxiste culturelle.

ANCLI (Lien de l’Association des Marocains en France)
L’Agence Nationale de Lutte Contre l'Illettrisme est encore un bouffe pognon de l’argent de vos impôts. D’abord soyons clair. Pour agir efficacement disent-ils, il faut savoir tout d’abord de quoi on parle, de qui on parle, se mettre d’accord sur les mots. Pour bien comprendre la réalité des situations des personnes, et pour trouver des solutions appropriées, il faut disposer de définitions simples et claires, cesser de confondre illettrisme analphabétisme, apprentissage du français langue étrangère.
Illettrisme : On parle d’illettrisme pour des personnes qui, après avoir été scolarisées en France, n’ont pas acquis une maîtrise suffisante de la lecture, de l’écriture, du calcul, des compétences de base, pour être autonomes dans les situations simples de la vie courante. Il s’agit pour elles de réapprendre, de renouer avec la culture de l’écrit, avec les formations de base, dans le cadre de la politique de lutte contre l’illettrisme.
Analphabétisme : On parle d’analphabétisme pour désigner des personnes qui n’ont jamais été scolarisées. Il s’agit pour elles d’entrer dans un premier niveau d’apprentissage. Un de mes amis, Saïd, descendant de Harkis Français d’Algérie disait : «moi je suis alphabète !».
Français Langue Etrangère (FLE) : Pour les nouveaux arrivants dans notre pays, dont ils ne parlent pas la langue, on parle de FLE. Il s’agit pour eux d’apprendre la langue du pays où ils résident.  
                                                                                               Ces mots définissent donc des situations bien différentes.               Être illettré, c’est donc ne pas disposer, après avoir pourtant été scolarisé, des compétences de base (lecture, écriture, calcul) suffisantes pour faire face de manière autonome à des situations courantes de la vie quotidienne : écrire une liste de courses, lire une notice de médicament ou une consigne de sécurité, rédiger un chèque, utiliser un appareil, lire le carnet scolaire de son enfant, entrer dans la lecture d’un livre…

CGET (Commissariat général à l'égalité des territoires) (Lien de l’Association des Marocains en France).  
Merveilleuse source de profit pour les étrangers résidant sur le sol national qui récoltent la manne de l’argent des impôts de ces abrutis de Francaouettes ! Créé par le décret n° 2014-394 du 31 mars 2014, le Commissariat général à l’égalité du territoire (CGET) réunit les missions et les agents de la délégation interministérielle à l’aménagement du territoire et à l’attractivité régionale (Datar), du secrétariat général du comité interministériel des villes (SGCIV) et de l’Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances (Acsé). Depuis le 1er janvier 2018, le CGET est rattaché administrativement au ministre chargé de l’aménagement du territoire et de la ville par le décret n° 2017-1860 du 30 décembre 2017. Savez-vous piquer des sous ? Allah mode allah mode, savez-vous piquer des sous allah mode du CGTE ?

https://www.cncdh.fr/ (Lien de l’Association des Marocains en France).                                                                                      La  Commission Nationale Consultative des Droits de l'Homme.                                                                                                             Les «Doigts» de l’homme, vous avez dit doigts de l’homme ? Vous savez ou vous pouvez vous les mettre vos «doigts» ?  
Les droits de l'homme seraient les droits naturels supérieurs aux lois et autres normes étatiques, censés concerner tout être humain sans distinction de nationalité, de race ou de classe sociale (?), et dont chaque individu dispose nécessairement et irrévocablement. La déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 «reconnait et déclare» (et non proclame) ainsi les droits de liberté, propriété, sûreté et résistance à l'oppression. D'abord constituée de droits contre la puissance publique (droit-résistances), l'acception moderne du terme (manifestement erronée et marxiste culturelle) englobe aussi des droits sur l'État (droit-créances, ou faux droits) comme l'éducation ou la culture. Cette évolution a pour pendant celle du sentiment général selon lequel c'est à l'État de garantir les fameux «droits de l'homme». Ainsi dans le droit positif, les droits de l'homme seraient défendus par la loi, les conventions et institutions internationales et le juge.                                                     Seulement voilà, ces fameux «droits de l’homme» sont dévoyés par l’état marxiste culturel, car ils en font un usage inconsidéré notamment au sujet des immigrés ou futur immigrés. Ayn Rand l’avais bien vu : «Les emplois, la nourriture, les vêtements, les moyens de distraction, les maisons, les soins médicaux, l'éducation, etc., ne poussent pas sur les arbres. Ce sont des produits de l'action humaine; des biens et des services qui ont été créés par quelqu'un. Qui sera là pour les fournir ?
Si certains ont le «droit» de vivre aux dépens du travail des autres, cela veut dire que ces autres sont privés de leurs Droits et condamnés à travailler comme des esclaves. Tout prétendu «droit» d'un homme, qui nécessite de violer les Droits d'un autre homme, n'est pas, et ne peut pas être un Droit. Personne ne peut avoir le Droit d'imposer une obligation que l'on n'a pas choisie, un devoir sans récompense ou une servitude involontaire. II ne peut pas y avoir de «droit de réduire des hommes à l'esclavage». Un Droit n'implique pas sa concrétisation matérielle par l'action d'autres hommes; il implique uniquement la liberté pour chacun de parvenir à cette concrétisation grâce à son propre effort.
(…) Une tyrannie collectiviste ne peut se permettre de réduire tout un pays à l'esclavage par la confiscation ouverte de ses productions, matérielles ou morales. Elle ne peut parvenir à cette fin que par un processus de corruption interne (c’est ce qui ce produit aujourd’hui en France avec le marxisme culturel). De même que dans le domaine matériel le pillage de la richesse d'un pays se fait par une politique d'inflation sur la monnaie, l'on peut aujourd'hui observer la mise en place d'un processus d'inflation dans le domaine des Droits. Ce processus repose sur une telle prolifération de «nouveaux droits» récemment proclamés tels  que les gens ne se rendent pas compte que le sens du concept est inversé. De même que la mauvaise monnaie est imposée à la place des bonnes, ces droits en monnaie de singe détruisent les Droits authentiques. Considérez ce fait curieux : jamais l'on n'a observé à un tel point, tout autour du monde, la prolifération de deux phénomènes apparemment contradictoires : les prétendus «nouveaux droits» et les camps de travail forcé, la suite en cliquant ici.  

Alors les esclaves ça va toujours ? Vous les sentez bien profond les «doigts» de l’homme ? Mais ce n’est pas fini, vous allez rire… jaune ? Et répétons tous en cœur: «Oh wonderful world of human rights that your collectivist tyranny reigns for the eternity. Amen».                  Le «Prix des Droits de l’Homme de la République française –Liberté – Egalité – Fraternité», très richement doté financièrement par le Premier ministre du Gouvernement français (de la «caste») qui dilapide ainsi l’argent des impôts des Français, est décerné par la tyrannie collectiviste dite commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH). Destiné à récompenser des actions de terrain et des projets, individuels ou collectifs, portant sur la protection et la promotion effectives des fameux «droits de l’Homme», ce prix est remis à Paris -ou le cas échéant dans le pays de résidence du lauréat - le 10 décembre de chaque année, à l’occasion de la journée des droits de l’Homme proclamée par les Nations Unies.

Fhttps://www.iledefrance.fr/ (Lien de l’Association des Marocains en France). Wonder, oh brave new world! Encore une preuve de plus de la subvention par les impôts des Français d’associations d’étrangers d’obédience gauchistes marxistes culturelles. Alors les tites n’esclaves, ça va toujours ?
DAAEN (direction de l’accueil, de l’accompagnement des étrangers et de la nationalité) (Lien de l’Association des Marocains en France).                                                                                                            Si des fois vous ne sauriez pas ou passe l’argent de vos impôts demandez à monsieur Pierre-Antoine Molina ancien élève comme Chirac et Macron de l'E.N.A. (promotion Copernic) ancien directeur au ministère de l’intérieur du socialiste Manuel Valls et Bernard Cazeneuve qui en est aujourd’hui le directeur. Ah les copains et les coquins !

https://defenseurdesdroits.fr/ (Lien de l’Association des Marocains en France). L’article 71-1 de la loi constitutionnelle n°2008-724 du 23 juillet 1958  - art. 41 crée un défenseur des droits sans préciser quelle sont ces fameux droits.                                                       Le Défenseur des droits veille au respect des droits et libertés par les administrations de l'État, les collectivités territoriales, les établissements publics, ainsi que par tout organisme investi d'une mission de service public, ou à l'égard duquel la loi organique lui attribue des compétences. Il peut être saisi, dans les conditions prévues par la loi organique, par toute personne s'estimant lésée par le fonctionnement d'un service public ou d'un organisme visé au premier alinéa. Il peut se saisir d'office. Ces «droits à» (ou droits-créances) sont de «faux-droits» économiques et sociaux : le droit à la sécurité sociale, le droit aux congés payés, le droit à l'éducation, le droit au logement, droit à l'image, droit à la solidarité, aux loisirs etc. Expression d'une folie législative marxiste culturelle et d'un bataillon de revendications collectivistes exigibles se portant garants d'un proclamé «devoir d'État», ces «droits» se sont développés sans référence à la propriété, à la responsabilité et à la liberté de contracter de l'individu ; ils ne proviennent que de décisions étatiques arbitraires destinées à satisfaire une clientèle électorale via des «prestations» publiques. Certains partisans de la dénaturation du droit tendent à les assimiler abusivement à des droits de l’Homme.
Alors les esclaves ça va toujours bien ? Même les belges ?

Egalité contre le racisme (Lien de l’Association des Marocains en France). Le racisme est l’affaire de chacun d’entre nous surtout le racisme anti blanc. Ses manifestations portent gravement atteinte à la dignité humaine et à l’égalité entre toutes les personnes.   
Une initiative du fameux «Défenseur des droits» pour faire face au non moins fameux «racisme» chose particulièrement aberrante car le défenseur des «droits» est là pour être saisi, dans les conditions prévues par la loi organique, par toute personne s'estimant lésée par le fonctionnement d'un service public. Plusieurs raisons ont amené le Défenseur des droits, autorité indépendante de rang constitutionnel, à sortir de son rôle et à lancer en octobre 2014 un appel pour «mobiliser la défense de l’égalité contre le racisme» : Il a pour missions de promouvoir l’égalité et de lutter contre les discriminations ; il est régulièrement interpellé par les acteurs de la lutte contre le racisme sur la propagation des propos racistes dans les espaces d’expression publique. De nombreuses initiatives existent déjà et participent quotidiennement à lutter contre le racisme, mais elles resteraient trop souvent méconnues. Le Défenseur des droits a réuni avec l’argent des impôts des Français dont il est prodigue (ce n’est pas son fric et puis il ne faut pas oublier les «potes» gauchiottes dans la distribution du pognon, les bons amis rouges qui vont voter contre l’extrême droite) différents partenaires pour organiser une réponse globale pour faire face à toutes les manifestations du racisme : propos, actes, discriminations, violences. Aujourd’hui 52 organisations gauchistes et marxistes culturelles ont répondu à l’appel lancé par Jacques Toubon en octobre 2014, créant une mobilisation massive et inédite dans la lutte contre le racisme. Celle-ci regroupe des acteurs très divers, parfois très éloignés de la lutte contre le racisme, qui apportent chacun une précieuse contribution (c’est à dire du pognon et un retour d’ascenseur pour l’avenir). Parmi ces idiots utiles, on compte : des entreprises comme Casino, la SNCF, La Poste, Google, Twitter, Facebook, Aéroports de Paris ; des acteurs institutionnels comme le CSA ou la CNIL ; des associations comme SOS-Racisme, la LDH, le MRAP qui distille de la haine des juifs et la LICRA ; des acteurs de la fameuse «culture» comme le Musée de l’histoire de l’immigration ou le camp des Milles.                                               Mon opinion est que si le racisme est assurément condamnable du point de vue de l'éthique, il ne l'est du point de vue du droit que dans la mesure où il se traduit en actes violents qui lèsent autrui dans sa personne ou dans sa propriété.  Criminaliser l'expression du racisme revient à établir un ordre moral et à imposer la police de la pensée à l'encontre de la liberté d'expression. Les lois antiracistes, tout comme les lois racistes (discrimination «positive») imposées par l'Etat, violent les droits légitimes des personnes. Seul un comportement non conforme à l'axiome de non-agression est illégitime et donc punissable. Dans une société libérale, une opinion xénophobe ou raciste ne serait donc pas poursuivie judiciairement, non parce qu'il ne s'y trouverait aucun raciste (ce qui est impossible), mais parce que le délit d'opinion n'y existerait tout simplement pas. Reste que, sur le plan des principes, le racisme est profondément incompatible avec l'universalisme libéral. En effet, une telle opinion pèche par holisme et collectivisme ethnique, ce qui la situe aux antipodes de l'individualisme que défend le libéralisme. Au final, si les libéraux se refusent à en appeler à une condamnation pénale des idées racistes, qu'elles soient exprimées oralement ou par écrit, ils s'y opposent moralement tout en refusant leur prohibition. À la censure politique, ils préfèrent par conséquent la libre expression des opinions, fussent-elles les plus contraires à leurs principes. «Le racisme est la forme la plus abjecte et la plus brutalement primitive du collectivisme. Le racisme reconnaît un groupe et attribue ses vertus ou ses défauts, sa supériorité ou son infériorité à son origine raciale. Or il n'y a que des esprits individuels et des réalisations individuelles. [...] Le racisme est porté par le collectivisme et son corollaire l'étatisme. Son seul antidote est la philosophie individualiste et son corollaire le capitalisme de laissez-faire» dira Ayn Rand. Et nous en terminerons avec l’idole des marxistes culturels Karl Marx lui-même qui disait : «Les classes et les races trop faibles pour maîtriser les nouvelles conditions de vie doivent laisser le champ libre. (...) [Elles doivent] périr dans l’holocauste révolutionnaire». CQFD.

OFII (Lien de l’Association des Marocains en France).   
L’Office Français de l’Immigration et de l’Intégration. L’Ordonnance du 2 novembre 1945 (Chapitre V) signée par le général de Gaulle crée l’Office national d’immigration, l’ONI, et le charge, à titre exclusif, «du recrutement pour la France et de l’introduction en France des immigrants étrangers». Le décret d’application du 26 mars 1946 fait de l’ONI un établissement à caractère administratif sous tutelle du ministère du Travail et lui confère la mise en œuvre des opérations de recherche, de sélection professionnelle, de visite médicale et d’acheminement du personnel étranger ainsi que les opérations d’introduction en France des familles. Depuis cette date, l’histoire de l’établissement et de ses successeurs, l’OMI, l’ANAEM, l’OFII, se confond avec l’histoire de l’immigration légale en France. Créé en 2009, l’OFII est désormais le seul opérateur de l’Etat en charge de l’immigration légale. Plus de 900 agents grassement rémunérés travaillent à l’Office en France au siège parisien et dans plus de cinquante directions territoriales, délégations ou plates-formes hébergées qui permettent de couvrir l’ensemble du territoire national. A l’étranger, l’OFII est représenté dans huit pays : le Maroc, la Tunisie, la Turquie, la Roumanie, le Mali, le Sénégal, le Cameroun, l’Arménie. Le seul truc un peu bien de ce machin bouffe sous du contribuable est là : http://www.retourvolontaire.fr/.

ACORT (Turquie) (Lien de l’Association des Marocains en France)                                                                                         Bien qu’elle ait été officiellement interrompue en France, en 1974, l’immigration en provenance de Turquie s’est en réalité poursuivie. Ainsi, dans les années 80, nombre d’immigrés originaires de Turquie se trouvaient en France, sans titre de séjour et de travail. Dès 1980, avec le soutien des travailleurs en situation régulière, le mouvement de revendication des  «sans-papiers» s’est développé : il a eu pour résultat la régularisation de tous. Alors les esclaves contents de bosser comme des turcs pour des Turcs ?

ADTF (tunisiens) (Lien de l’Association des Marocains en France). L’Association Démocratique des Tunisiens en France milite pour une énorme absurdité marxiste culturelle ! Ils nous disent : «Dans le contexte du Brexit, des élections européennes du 23 mai et des prochaines élections municipales de mars 2020, les résidents étrangers non ressortissant de l’union européenne n’ont pas le droit de voter et d’être élus dans les conseils municipaux ou au parlement européen, contrairement aux étrangers ressortissant d’un Etat de l’UE. L’absence de participation de tous les résidents étrangers à la décision politique profite immédiatement aux discours populistes et xénophobes, qui progressent dans l’électorat et dans les représentations avec toutes les menaces que cela représente pour la Démocratie, la Liberté, la Fraternité et l’Egalité de Droits. C’est dans une démarche de conquête de droits, tant promis et jamais concrétisés, que l’Union des Tunisiens pour l’Action Citoyenne (Utac), l’Association Démocratique des Tunisiens en France (ADTF) et la Fédération des Tunisiens pour une Citoyenneté des deux Rives (FTCR), invitent le collectif «J’y Suis, j’y vote» pour échanger autour des interventions possibles dans les campagnes électorales pour rappeler ces notions fondamentales d’élargissement de la démocratie et de défense de l’Egalité des Droits. Le débat sera introduit par : Madame Catherine Teule, ancienne Secrétaire Générale de La Ligue des Droits de l’Homme, monsieur Bernard Delemotte de la Lettre de la Citoyenneté, ASECA et Un membre du collectif allemand «Freibourg Collectif 100%» agissant pour le Droit de Vote de tous les Etrangers».                                                                                                                            En France même les cons ont le droit de voter, d’ailleurs il n’y a qu’à voir le résultat avec Macron, mais ce n’est pas encore demains que les musulmans étrangers vont pouvoir voter en France.
Alarmphone (Lien de l’Association des Marocains en France). Association Allemande très marxiste culturelle qui propose un numéro «d’alarme», une «assistance» téléphonique disent-ils pour les personnes en situation de «détresse» en mer allant jusqu’à préciser : Pas un sauvetage mais une alarme ! 
Exemple : Diiiiing. Allo. Allo oui ci Ali. Bijour Ali comment ça va ? Ça va, ji suis dans la mer merditerané, si loin la Fronce ? T’inquiète Ali on arrive ! En attendant nage. 
Ancien Marin d’état (Maître mécanicien de réserve et nageur de combat), chef mécanicien de la marine marchande, je suis très sensible au devoir d’assistance à des personnes ou à des bâtiments en difficulté appelant à l’aide. Les bâtiments les plus proches doivent se dérouter pour porter assistance et les moyens de sauvetage sont automatiquement mis en œuvre, souvent au péril de la vie des sauveteurs et j’en sais quelque chose. Ce n’est absolument pas le cas de ces fameux «migrants» qui se mettent volontairement en danger en appareillant sur des embarcations de fortune incapables de les conduire là où ils souhaiteraient aller. Il n’y a pas, dans ce cas, un «droit» à assistance tant que les personnes ne sont pas en danger, c’est-à-dire tant que les migrants ne sont pas devenus des naufragés dont la vie est immédiatement menacée. Tout bateau est, dans ce cas, tenu de porter assistance aux naufragés dont ils sont proches. Sans oublier de les ramener dans leur port d’origine ! A ce sujet, une remarque s’impose: la route maritime allant de Suez à Gibraltar est très fréquentée par tous les bateaux se rendant en Europe occidentale ou en venant, en particulier par la Manche et la mer du Nord. Ce trafic dessert de très grands ports – Le Havre, Anvers, Amsterdam, Hambourg -, sans parler des ports méditerranéens – Gênes, Marseille, Barcelone. Chaque jour, des dizaines de cargos et de navires à passagers passent au nord de la Libye et au sud de la Sicile. Or, jamais, au grand jamais, on n’a appris qu’un de ces bateaux s’était dérouté ou avait récupéré des «naufragés». Ceci signifie que, pour les capitaines de ces bateaux, les migrants qui s’exposent volontairement ne sont pas des naufragés.                                                                                 Les bateaux des associations d’ultra gauchistes qui vont à la recherche de migrants au large de la Libye et de la Tunisie ne sont pas là pour sauver des naufragés mais pour transférer illégalement des migrants en Europe. Dans ces conditions, les États riverains n’ont aucune obligation d’accueillir ces futurs clandestins. Les idiots utiles d’ultra gauche exercent un immonde chantage qui a pour effet d’augmenter le flux des migrants économiques illégaux dont le but unique est de débarquer en Europe pour s’en mettre plein les fouilles au détriment des autochtones qu’ils pillent sans vergogne. Quand on sauve un ou de véritables naufragés, on les débarque dans le port le plus proche, qui peut être en Tunisie, en Algérie, voire en Égypte, d’où ils sont reconduits vers leur pays d’origine. Dans le cas actuel, les migrants illégaux, une fois débarqués en Europe, deviennent des demandeurs d’asile quel que soit leur pays d’origine et acquièrent des droits à des aides, et si leur statut de demandeur d’asile ne leur est pas reconnu, ils disparaissent dans la nature et deviennent des clandestins souvent inexpulsables. Si on veut tarir ce flux, il faut que tous les pays d’Europe aient la même politique de fermeté et refusent à céder au chantage des soi-disant ONG, financées par l’argent de vos impôts d’esclaves de ce brave new world !

AMERM (Lien de l’Association des Marocains en France). Finalement le Maroc ce ne doit pas être un si beau pays que ça si tous ces citoyens ne pensent qu’à foutre le camp et venir en France ! L’Association Marocaine d’Etudes & de Recherches sur les Migrations (AMERM) a été fondée en février 1994 à Rabat par un groupe d'enseignants chercheurs venant de différents horizons de connaissance et de formation.                                             L’AMERM est membre du comité scientifique du Congrès mondial : Mouvements humains et immigration.  
Membre du comité scientifique pour la biennale sur les dynamiques migratoires maghrébine pilotée par le Centre des Droits des migrants et Génériques.                                                       Membre du Conseil Scientifique de la Chaire de l’UNESCO « Migrations et droits humains». Université Hassan II. Ain Chok. Casablanca.                                                                                 Membre du réseau méditerranéen de formation et recherche en droits de l’homme.                                                                            Membre du secrétariat du Comité de Coordination Euromed Maroc.                                                                                       Membre du Réseau Marocain Euromed des ONG.

Amnesty France (Lien de l’Association des Marocains en France)
Qu'est-ce qu'Amnesty International ? On dit souvent: «L'important c'est de participer». C'est très bien, mais pour nous, ce n'est pas assez. Lorsqu'il s'agit de «droits humains», l’important ce n'est pas de participer, l’important c'est de gagner. Nous ne voulons pas d'une médaille de participation. Nous voulons remporter des victoires, sans cesse. C’est la lutte finale quoi !

ANAFE (Lien de l’Association des Marocains en France)
Partie de la nébuleuse marxiste culturelle de la haine rouge. Depuis le milieu des années 80, pour lutter contre l’immigration irrégulière, les Etats européens ont développé certaines mesures et pratiques de bon sens, en lien notamment avec le renforcement des contrôles aux frontières et des conditions restreintes d’accès au territoire européen (généralisation de l’exigence de visas, amende aux compagnies de transport, etc.). Ces excellentes mais très incomplètes mesures entrent dans le cadre d’une politique de plus en plus juste et stricte des contrôles des flux migratoires. En France, les conséquences les plus manifestes de ce durcissement ont été constatées aux frontières aériennes, terrestres et maritimes, en raison de l’invisibilité de ces lieux. Témoins à plusieurs reprises de situations que des idiots utiles ou des marxistes culturels trouvent inadmissibles, des membres de plusieurs organisations professionnelles marxistes culturelles et syndicales d’ultra gauche (de personnel au sol ou navigant) ont pris contact, au cours de l’année 1988, avec des organisations marxistes de prétendue défense des droits humains pour échanger des informations et se concerter en vue d’actions communes (parmi ces braves gens se trouve le MRAP marxiste et communiste qui distille de la haine des juifs). S’est ainsi constituée l’Association nationale d’assistance aux frontières pour les étrangers (Anafé), d’abord de manière informelle mais dans l’absolue l’application de la règle N° 2 régissant l’application du marxisme culturel à savoir l’encouragement de l’immigration de cultures exotiques qui auront du mal à s’intégrer, généreront des tensions et contribueront à la destruction progressive de l’identité de la race blanche et des valeurs démocratiques. C’est en partie la puante idéologie multiculturelle. 
Créée en 1989, l’Anafé subventionnée par l’argent des contribuables «travaille» depuis plus de vingt-cinq ans dans les zones d’attente afin de démolir la société. Composée de 21 organisations (associations et syndicats), l’Anafé regroupe 9 des 15 associations habilitées à visiter les zones d’attente. Des milliers d’étrangers se voient très justement refuser l’entrée sur le territoire et sont maintenus en zone d’attente pendant plusieurs jours, voire plusieurs semaines, dans des conditions difficiles, mais rien ne les avaient obligé à venir chez nous. Jusqu’en 1992, il n’y avait aucun fondement légal à cette privation de liberté. L’une des premières actions de l’Anafé a conduit le ministère de l’intérieur à légiférer pour donner une base légale au maintien des étrangers en zone d’attente : c’est ainsi qu’est entrée en vigueur la loi Quilès du 6 juillet 1992, créant le régime juridique et la procédure de zone d’attente, modifiés à de nombreuses reprises depuis.

Les organisations membres de l’ANAFE :
ACAT France Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture
Membre du Conseil d’administration.                                                                               
Deux femmes sont à l’origine de la création de l’ACAT le 16 juin 1974. Lors d’une conférence d’un prétendu «pasteur» Vaudois, Tullio Vinay (De 1976 à 1983, Tullio Vinay a été membre du Sénat de la République italienne, élu en tant qu'indépendant sur la liste du Parti communiste italien), rentrant du Vietnam Sud exhibait au cours d’une conférence, des photos d’hommes, femmes et enfants mutilés suite à des séjours prolongés dans les fameuses cages à tigres. Édith du Tertre et Hélène Engel, protestantes, se sentent appelées par cette phrase : «Pendant combien de temps laisserons-nous défigurer le visage du Christ ?» (Ce devait être le petit Jésus Soviétique).  
Elles décident alors de s’engager dans la religion séculaire marxiste et de transmettre leur indignation à géométrie variable : elles fondent l’Action des soi-disant chrétiens pour l’abolition de la torture (ACAT) avec des amis issus de toutes les confessions chrétiennes, car elles estiment qu’il est du devoir des chrétiens, plus encore que les autres, de lutter contre ce qu’elles appellent  le scandale de la torture. La vocation œcuménique, jamais démentie, de l’ACAT est née.
L’ACAT se donnera pour but de combattre la torture partout dans le monde, sans distinction idéologique, ethnique ou religieuse (Sauf en Chine communiste en Corée du Nord Communiste, au Vietnam, Cambodge, Laos communistes, Zimbabwe etc. Par la suite, l’abolition de la peine de mort sera ajoutée à son mandat, ainsi que la fameuse défense du non moins fameux «droit» d’asile.                 Aujourd’hui, l’ACAT-France est reconnue d’utilité publique et d’éducation populaire (c’est-à-dire subventionnée à 100% par les contribuables). C’est la première ACAT du réseau international FIACAT, Fédération internationale de l’ACAT – ayant statut consultatif auprès des Nations unies. L’ACAT-France regroupe des milliers de membres adhérents et donateurs.
L’association aide à l’intégration des professionnels de santé qui sont en France réfugiés, bénéficiaires de l’asile territorial et demandeurs d’asile ou apatrides. Elle collabore avec d’autres associations marxistes culturelles engagées dans la défense du droit d’asile et des réfugiés. Contacts avec les ministères concernés et participation à des commissions ; diffusion d’informations spécifiques ainsi que des animations d’antennes en province.
Avocats pour la Défense des Droits des Étrangers (ADDE)
Membre du Conseil d’administration
de la nébuleuse marxiste culturelle de la haine rouge l’ANAFE.
Le «droit» des étrangers n’existe pas.
Les marxistes culturels devraient bien savoir que «Personne n’a le Droit de s’installer chez les autres sans y avoir été invité»           L’état, qui est illégitime, n’a pas le Droit de laisser entrer sur le «sol national», qui est en réalité la propriété légitime de résidents privés à qui il a usurpé le Droit de les inviter, la présence d’individus que ceux-ci- n’y auraient pas invités. Donc, l’affirmation d’un prétendu «droit d’immigrer librement» est, comme la condamnation de l’«ordre moral» et pour la même raison, la négation d’un aspect du Droit de propriété légitime qui lui est inhérent. Certains libéraux minarchistes dont je fais partie l’acceptent parce qu’ils admettent l’usurpation de cette fonction par les hommes de l’état tout en refusant qu’ils l’exercent par crainte justifiée de leur arbitraire.  
Cette usurpation, ou «intégration forcée», a pour conséquence que certains individus se trouvent sur le «sol national» alors qu’ils ne devraient pas s’y trouver, et que certains autres ne s’y trouvent pas alors qu’ils devraient y être.                                                         De ce fait, sur le sol national, le soupçon est unilatéral : il pèse bien sur les seuls «étrangers» invités par les hommes d’un état lui-même illégitime, et dont la présence est de ce fait a priori illégitime.                                                                                               Je voudrais toutefois rendre ici un hommage aux immigrés clandestins.                                                                                           Car l'immigré clandestin pèse moins que l'immigré régulier sur les comptes de la Sécurité Sociale, et il n'alimente pas les arguments de ceux qui fondent leur juste xénophobie sur le colossal prélèvement qu'opèrent les étrangers sur les moyens et les services du «Club France», tout simplement parce qu'il ne dispose pas des papiers nécessaires pour accéder à la plupart des faveurs de l'État-Providence. Face aux problèmes de société que soulève l'immigration et malgré leurs divergences idéologiques, les hommes de l'État - ceux qui sont en place, comme ceux qui voudraient l'être - sont au moins unanimes sur un point : il faut lutter contre l'immigration clandestine. Cette lutte constitue la priorité affichée de toutes les politiques d'immigration qui nous sont proposées, de quelque parti qu'elles émanent. Une unanimité trop criante pour être honnête... En fait, bouc émissaire facile d'un problème difficile, l'immigré clandestin présente des avantages que n'a pas l'immigré régulier. En premier lieu, par son travail au noir, l'immigré clandestin abaisse les coûts monétaires et non monétaires de la main d'oeuvre. II renforce la compétitivité de l'appareil de production et freine le processus de délocalisation des entreprises qui trouvent sur place ce qu'elles sont incitées à chercher à l'extérieur. Il facilite les adaptations de l'emploi aux variations conjoncturelles et augmente la souplesse du processus productif. Le clandestin, qu'il soit étranger ou national, ne fait qu'anticiper les allègements légaux de charges sociales qui tendent à se généraliser. Animant le réseau de "l'économie informelle ", il participe à ce qui est à la fois une régulation non négligeable des fluctuations économiques, et une bouée de sauvetage pour nombre d'institutions en situation désespérée. L'immigré clandestin qui ne participe pas au financement du système de protectorat social, ne participe pas non plus à son exploitation au détriment des cotisants, du fait même de sa clandestinité. Ceci compense cela, tout simplement parce qu'il ne dispose pas des papiers nécessaires pour accéder à la plupart des faveurs de l'Etat-Providence, dont on connaît les exigences en matière de paperasserie. L'immigré clandestin pèse ainsi moins que l'immigré régulier sur les comptes de la Sécurité Sociale, et il n'alimente pas les arguments de ceux qui fondent leur xénophobie sur le prélèvement qu'opèrent les étrangers sur les moyens et les services du " Club" France. Enfin, ceux qui craignent de voir un jour le droit de vote accordé aux étrangers résidant régulièrement sur le territoire national peuvent être rassurés avec l'immigré clandestin qui, par définition et à cause de son irrégularité, ne pourra participer à ces réjouissances électorales. La politique, qui n'est souvent qu'un moyen de faire prévaloir la subjectivité de sa foi en la parant de l'autorité de la loi, est une voie dont l'accès lui est fermé. Ce n'est pas l'immigré clandestin qui pourra utiliser le monopole public du pouvoir de coercition pour nous imposer des règles de vie contraires à nos habitudes. Mais justement, l'immigré clandestin ne viole-t-il pas ces règles de vie en société ? Pas nécessairement, car s'il est vrai qu'il ne respecte pas les règles définies par l'État, il est faux de croire que ces règles étatiques recouvrent toutes les règles de la vie en société. La législation n'est pas le Droit, comme la légalité n'est pas la légitimité, et comme aucune loi ne fixe les principes de la politesse. Dès lors que l'immigré clandestin respecte les règles naturelles de la vie en société, telle que par exemple le respect de la parole donnée, et même s'il est hors-la-loi, il mérite moins l'expulsion que ceux qui font l'inverse. Enfin, dans un monde où la puissance tutélaire de l'État se fait de plus en plus étouffante, ce clandestin inconnu nous montre le chemin de l'indépendance et réveille notre sens anesthésié dé la liberté individuelle. A ce titre, il valait bien cet hommage qui n'a du paradoxe que la forme. (source)
Comède, Comité pour la santé des exilés Membre du Conseil d’administration et du Bureau de l’ANAFE (Du sérieux !)
Créé en 1979, le Comité marxiste culturel pour la santé des exilés (Comede) s’est donné pour mission d’Agir en faveur de la santé des exilés et de défendre leurs droits. En près de 40 ans, le soin et l’accompagnement de 150 000 personnes de plus de 150 nationalités dans le cadre des consultations et des permanences téléphoniques ont fait du Comede un acteur essentiel de la solidarité à l’égard des migrants/étrangers et un dispositif d’observation privilégié de leur santé et de leurs conditions d’accès aux soins. Les activités d’accueil, soins et soutien des exilé.e.s, ainsi que d’information, formation et recherche sont indispensables pour répondre aux objectifs de l’association. Les actions du Comede sont conduites en partenariat avec des associations, institutions et professionnels de la santé, du droit et de l’action sociale. Vous aurez noté qu’ici on nous parle d’exilés et même comme nous sommes en marxistoculturelanie d’exilé-e-s en inclusif. Mettons les choses au point avec ci-après avec un petit lexique de l’asile. «Étranger» : Individu n’ayant pas la nationalité de l’État considéré.                                                                                    «Migrant» : Le terme qualifie une personne qui se déplace d’un pays à un autre. Son usage est jugé comme inadapté par certains journalistes et OMC (Organisations Marxistes Culturelles) pour qualifier les étrangers qui cherchent à émigrer massivement en Europe ces derniers mois pour des raisons «économiques».             «Réfugié»: Personne qui, «craignant avec raison d’être persécutée (…) se trouve hors du pays dont elle a la nationalité». Ce statut défini par la Convention de Genève donne droit à la protection du pays qui l’accorde.                                                              «Demandeur d’asile»: Personne demandant à obtenir son admission sur le territoire d’un État en qualité de réfugié et attendant que les autorités compétentes statuent sur sa requête.                                                                                       «Exilé»: L’exilé a, volontairement ou non, quitté sa patrie, sous la contrainte d’un bannissement ou d’une déportation, l’impossibilité de survivre ou la menace d’une persécution. «Expatrié»: Un expatrié est un individu résidant dans un autre pays que le sien. La définition est très large, mais le terme est utilisé principalement pour les ressortissants de pays du Nord qui travaillent à l’étranger.
Il y a deux manières de traiter le grave problème de l'immigration et il n’est pas en changeant le nom des migrants en «exilés»: de façon autoritaire (réglementations, contrôles, répression et même préférence nationale et autres procédés fleurant bon l'étatisme) ou de façon libérale, en autorisant toute immigration, mais en supprimant les motivations malsaines (État-providence, protection sociale, soins gratuits et autres), les seules qui n'enrichissent pas le pays d'accueil. La contradiction propre à la social-démocratie est qu'elle attire les moins favorisés (immigration) et fait fuir les plus capables ou les plus taxés (émigration), ce qui alimente un processus d'appauvrissement général du pays : Milton Friedman dira : «Si l'État-providence n'existait pas, si nous avions une complète liberté des marchés, il serait alors logique de laisser la porte grande ouverte à l'immigration. Mais avec l'État-providence c'est impossible. Sa présence implique de contrôler l'immigration».
Comité Tchétchénie (membre de l’ANAFE)
Créé à Paris en octobre 1999, Le Comité Tchétchénie tente de mobiliser l’opinion publique afin de pousser le gouvernement français et les organisations internationales à agir pour mettre fin à l’occupation russe en Tchétchénie et participer à la reconstruction de cette république. Nous tentons d’apporter notre aide aux différentes initiatives humanitaires. Nous soutenons les réfugiés tchétchènes en France, et collaborons avec les comités créés dans d’autres villes en France et ailleurs. Nous soutenons tous ceux qui, en Russie, luttent contre cette guerre : organisations de défense des droits de l’homme, antimilitaristes, anarchistes, écologistes. Enfin, inscrivant notre action dans la durée, nous cherchons à coopérer avec toutes les organisations tchétchènes qui pourraient être partie prenante dans la construction d’une société civile en Tchétchénie. La recherche et la diffusion d’informations sont de nos priorités. Alors que les autorités russes cherchent par tous les moyens à faire le blocus de l’information, nos contacts avec des organisations de défense des droits de l’homme et des ONG russe et tchétchène permettent de recueillir des informations et des témoignages. Nous n’avons ni permanents, ni infrastructure, ni locaux, ni subventions autres que les dons des participants. Notre activité repose uniquement sur le bénévolat. Nous pensons que seule une mobilisation importante de l’opinion publique peut contraindre les gouvernements occidentaux et les organisations internationales à intervenir auprès du gouvernement russe.
Savez-vous amis que selon la Direction générale de la Sécurité intérieure, 7 à 8 % des Français impliqués dans les filières djihadistes syro-irakiennes sont d’origine tchétchène, qu’ils soient candidats au départ, combattants ou simples soutiens, rappelle Jean-Charles Brisard, président du Centre d’analyse du terrorisme.                                                                                            «Plus de 60 000 Tchétchènes sont aujourd’hui installés en France, un grand nombre sont très sensibles à l’idéologie de Daech. C’est un sujet sur lequel nos services de renseignement sont alertés», affirme la sénatrice UDI Nathalie Goulet, qui a présidé une commission d’enquête parlementaire sur les moyens de lutte contre les réseaux djihadistes. Toutefois, selon Alain Chouet, ancien chef de service à la Direction Générale de la Sécurité Extérieure, «il n’y a pas vraiment ce qu’on peut appeler une filière. Mais à la suite de la guerre en Tchétchénie, l’Europe occidentale a accueilli un grand nombre de réfugiés, dont un certain nombre ont dérapé».  
Ces migrants ont en effet une histoire particulière. «Le gros des arrivées s’est fait après la seconde guerre de Tchétchénie, à partir de l’année 2000 et jusqu’en 2009 -2010, avec un pic en 2003», explique Pascale Chaudot, présidente du Comité Tchétchénie. 
La république musulmane du Caucase russe vient alors de vivre deux guerres d’indépendance d’une grande cruauté avec la Russie, entre 1994 et 1996 puis de 1999 à 2000, dont la seconde a donné lieu à une rébellion islamiste radicale. Elles se sont soldées en 2000 par l’arrivée au pouvoir d’un tyran pro-russe, Akhmad Kadyrov, puis par son fils, l’actuel président Ramzan Kadyrov, qui ont prolongé la terreur. Des dizaines de milliers de Tchétchènes, anciens opposants ou simples citoyens menacés par la dureté du régime, ont alors fui leur pays pour l’Europe. En France, pas moins de 15 000 Russes, dont un certain nombre originaires de Tchétchénie, ont ainsi obtenu l’asile.                                                                                          Parmi ces réfugiés, un certain nombre «ont été très marqués par les images qui montraient la Syrie bombardée et les enfants blessés, ils se sont un peu reconnus dans cette guerre», reprend Pascale Chaudot. D’autant que le conflit tchétchène s’est en quelque sorte délocalisé en Syrie. «Quand la Russie est intervenue officiellement en Syrie pour soutenir Bachar Al Assad, parmi les soldats envoyés par Moscou se trouvaient des Tchétchènes armés mis à disposition par Ramzan Kadyrov", explique Aude Merlin, chargée de cours à l’Université libre de Bruxelles. En face, on a vu certains Tchétchènes rejoindre Daech, à qui l’Émirat du Caucase, structure islamiste ayant supplanté la rébellion indépendantiste, avait prêté allégeance». 
Appelés à rejoindre Daech par «Omar le tchétchène», un ancien soldat devenu très populaire chez les djihadistes, des milliers de Tchétchènes sont alors partis combattre en Syrie. Y compris depuis les pays où la diaspora avait immigré.                                            «Il y a un conflit générationnel entre les premiers indépendantistes plutôt laïcs et leurs fils ou leurs neveux, qui constatent l’échec de leurs pères et sont beaucoup plus fascinés par la rhétorique islamiste», reprend Aude Merlin. C’est ainsi que les Tchétchènes sont devenus l’une des nationalités les plus représentées dans les rangs de Daech.
ELENA - France (Membre de l’ANAFE)
Association des avocats marxistes culturels du «droit» d'asile. 
Association qui rassemble des avocats intervenant dans la défense des «droits de l'homme et des libertés fondamentales», notamment en ce qui concerne le droit d'asile, le statut de réfugié et le statut des étrangers.
(Membre de l’ANAFE)
Bizarre vous avez dit bizarre ?
Forum réfugiés- COSI (Membre de l’ANAFE)
Forum réfugiés-Cosi est encore une association allah con sans but lucratif mais subventionnée par le fric de ces cons de Francaouettes, œuvrant pour l'accueil des soi-disant réfugiés, la défense du «droit» d'asile et la promotion d’un fantasmé «Etat de droit», issue de la fusion en mai 2012, des associations Forum réfugiés et Cosi – promouvoir et défendre les «droits».                                             A force de chercher sur les sites marxistes culturels, communistes, socialopes et autres monstruosités gauchistes, je m’aperçois que ces gens-là n’arrêtent pas de nous abreuver de l’expression «Etat de droit», hors il me semble bien ne pas vous avoir encore donné mon opinion sur la «chose». Le modèle de l'État de droit ne reste qu'un modèle théorique qui n'est jamais totalement efficient ou mis en œuvre dans la pratique. D'après certains théoriciens comme Holcombe, tout État, même dictatorial, est un État de droit. De même, pour le juriste Hans Kelsen, l’État social-nationaliste ou nazi pouvait être regardé comme un État de droit. Même la pire des dictatures est liée par certaines procédures quand elle a affaire à ce qu'elle appelle des «cas sociaux», assassins, fraudeurs du fisc, esprits contestataires administrativophobes et autres catégories ou classes de citoyens considérées comme dangereuses. En Union soviétique, par exemple, le traitement des dissidents en asile psychiatrique était connu de tout le monde. Il faisait partie du «contrat social». S'ils respectaient les règles du jeu, les individus ordinaires n'avaient pas à craindre d'être envoyés en asile. S'ils se lançaient dans une protestation ouverte contre les autorités, ils savaient ce qui les attendait. Même dans les régimes les plus répressifs, les gouvernants suivent des règles de nature constitutionnelle qui garantissent aux citoyens que, s'ils obéissent à ces règles, ils ne seront pas poursuivis par l'État. Bref, même l'État le plus dictatorial n'échappe pas à la logique de l'échange protection contre tribut. On peut noter que la conception de l'État de droit – orthographié avec E majuscule – n'a pas de sens pour les libéraux ou les libertariens même minarchistes comme moi car, même si elle offre un certain nombre de garanties, le Droit élaboré par l'État relève fondamentalement du domaine du droit positif, et non du domaine du Droit naturel. Ainsi, pour un libertarien, l'État violera dans tous les cas de figure le Droit naturel, et le droit positif qu'il élabore ne se cantonne, à ses yeux, qu'à la légalité et non à la légitimité. Si l'État est soumis, dans la théorie de l'État de droit, au respect du principe de légalité, cela ne l'empêche pas de punir les vols et les violations de propriété des individus et en même temps de s'exempter de se condamner lui-même, en instituant le vol organisé, c'est-à-dire l'impôt.    
En réalité, les libéraux défendent la Rule of Law, qui équivaut à l'isonomia des Grecs, laquelle n'est rien d'autre que l'égalité devant la loi. Pour exister et être respectée, celle-ci n'exige pas l'existence d'un appareil étatique, bien au contraire comme nous l'avons vu plus haut. Aussi, afin d'éviter toute confusion, la seule conception libéralement valable doit s'écrire état de Droit. On peut donc conclure que le droit positif créé et institué par l'État n'est pas légitime : miroir des intérêts du moment, il ne sert que l'État.
France Terre d'Asile (Membre de l’ANAFE)
Ecore une UMP (Une Merde de Plus,  France Terre d'Asile figurait en 2011 en cinquième position des «associations» les plus subventionnées de France. France terre d'asile (FTDA), qui aide les immigrés dans leur accession à l'emploi, au logement et à la nationalité française, a reçu une enveloppe de 26,5 millions d'euros des mains du précédent gouvernement en 2011. Son principal contributeur ? Le ministère de l'Intérieur à l’époque de soi-disant «droite», Claude Guéant, encore un ancien de l’ENA  (promotion Thomas More 1971), ministre de l’Intérieur, de l’Outre-mer, des Collectivités territoriales et de l’Immigration. Mais non ça fait pas mal, pensez à la vaseline !
Membre du Conseil d’administration et du Bureau de l’ANAFE, (Du sérieux !)
Laissons ses prédateurs d’impôts des Français se présenter : Le GAS est une association non confessionnelle, très diverse dans ses composantes politiques, religieuses et philosophiques. Le respect des opinions de chacun est à la base des relations entre ses membres et constitue aussi la règle fondamentale des relations avec les personnes accueillies. Une solidarité concrète ici et là-bas. L'objectif premier, qui a motivé les fondateurs du GAS, est de manifester une solidarité concrète avec les réfugiés, à travers deux actions principales : accueillir ici chaque demandeur d'asile, quelles que soient son origine, son histoire, la couleur de sa peau, dans une relation de respect et d'amitié, en lui donnant temps, écoute, aide matérielle et morale et en lui offrant les services concrets que le GAS peut donner, être à l'écoute de ce que disent les réfugiés sur leur pays, sur leurs proches qui y sont demeurés, sur les causes de leur départ ; les aider à s'organiser, à informer l'opinion française et participer à des actions de solidarité internationale. Ces deux orientations fondamentales ont été maintenues par l'association depuis sa création en 1979, comme deux lignes de force complémentaires dans le choix de ses priorités d'action. Cependant, face à une réglementation de plus en plus restrictive, une préoccupation tend à prendre une place dominante : c'est la défense du droit d'asile. Mais peut-il en être autrement si l'on veut que les demandeurs puissent conserver une chance d'accéder au territoire français et d'exposer leur situation ?
A dissoudre d’urgence et dix sous c’est par cher pour ce machin qui ne sert à rien aux Français.                                                            Jesuit Refugee Service - France La Cimade                                     Membre du Conseil d’administration de l’ANAFE.
L’association JRS FRANCE (Jesuit Refugee Service, en Francaoui dans le texte) lutte contre l’isolement et l’exclusion sociale des demandeurs d’asile et des réfugiés. Nous proposons un programme d’hospitalité et d’hébergement temporaire (JRS Welcome), une Ecole de Français, un programme interculturel (JRS Jeunes), un accompagnement juridique et un service de retour à l’emploi. Au-delà de cette mission d’accompagnement, nous défendons les droits des demandeurs d’asile et des réfugiés grâce à un programme de plaidoyer, au niveau national et européen. Chaque jour, tous les acteurs de JRS France montrent que la rencontre efface la crainte de l’étranger au profit de la confiance et de la fraternité.
                                                                                                Membre du Conseil d’administration de la nébuleuse marxiste culturelle de la haine rouge l’ANAFE.
Véritable escroquerie intellectuelle, les très fameux «droits» de l'homme seraient les droits naturels supérieurs aux lois et autres normes étatiques, censés concerner tout être humain sans distinction de nationalité, de race ou de classe sociale, et dont chaque individu dispose nécessairement et irrévocablement. La déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 «reconnait et déclare» (et non proclame) ainsi les droits de liberté, propriété, sûreté et résistance à l'oppression. D'abord constituée de droits contre la puissance publique (droit-résistances), l'acception moderne du terme - erronée - englobe aussi des droits sur l'État (droit-créances, ou faux droits) comme l'éducation ou la culture. Cette évolution a pour pendant celle du sentiment général selon lequel c'est à l'État de garantir les droits de l'homme. Ainsi dans le droit positif, les droits de l'homme seraient défendus par la loi, les conventions et institutions internationales et le juge. Les «droits à» (ou droits-créances) sont de «faux-droits» économiques et sociaux : le droit à la sécurité sociale, le droit aux congés payés, le droit à l'éducation, le droit au logement, droit à l'image, droit à la solidarité, aux loisirs etc. Expression d'une folie législative et d'un bataillon de revendications exigibles se portant garants d'un proclamé «devoir d'État», ces «droits» se sont développés sans référence à la propriété, à la responsabilité et à la liberté de contracter de l'individu ; ils ne proviennent que de décisions étatiques arbitraires destinées à satisfaire une clientèle électorale via des «prestations» publiques. Certains partisans de la dénaturation du droit tendent à les assimiler abusivement à des droits de l’Homme. En France, le droit des étrangers qui est un faux droit constitue la réglementation qui organise non seulement l'entrée des ressortissants étrangers sur le territoire français, mais aussi leur séjour et leur sortie. Il a été codifié dans le CESEDA. Le droit d'asile, considéré (noter le «considéré») comme un droit fondamental garanti par la Convention de Genève, devrait être distingué du droit commun des étrangers (dans le sens où il dépend de l'OFPRA et de la CNDA, tandis que le fameux «droit» des étrangers qui n’existe pas en tant que tel dépend des juridictions administratives de droit commun). Cependant, l’idiot utile marxiste culturel et législateur a réuni ces deux «droits» au sein du CESEDA.
Migrations santé (Membre de l’ANAFE)
Laissons-les s’exprimer : Créée en 1975, Migrations Santé Alsace a pour objet de promouvoir la santé des populations migrantes et de leurs familles ; elle favorise leur accès aux dispositifs, aux droits et aux soins en matière de santé. L’approche de la santé à laquelle se réfère l’association est celle définie par l’OMS : La santé est un état de bien-être complet, physique, psychique et social et pas seulement la simple absence de maladie ou d’infirmité.                                                                                              L’état de santé des populations ne peut donc pas être isolé de leurs conditions de vie.                                                           Partenaires financiers : Délégation Régionale de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale (DRJSCS), Agence Régionale de Santé (ARS), Commissariat général à l’égalité des territoires, Régime local d’assurance maladie, Alsace Moselle, la Fondation de France, la DILCRAH (Délégation Interministérielle à la Lutte Contre le Racisme, l'Antisémitisme et la Haine anti-LGBT), on se demande qu’est-ce qu’ils viennent foutre là, le Journal des aides régionales Gand Est, l’assurance maladie du Bas Rhin, La ville de Colmar, de Strasbourg et de Schiltigheim. En bref que de l’argent public bien de chez nous volé dans votre poche amis pour soigner ( ?) des étrangers !
Inutile de s’étaler sur un «mouvement» marxiste, partie de la nébuleuse de la haine communiste, organisation raciste qui distille de la haine des juifs. Déjà vu.
Syndicat des avocats de France (Membre de l’ANAFE)
Déjà vu.
Syndicat de la magistrature (Membre de l’ANAFE)
Déjà vu.
http://spasap-cfdt.over-blog.com/ Syndicat CFDT des personnels assurant un service Aéroport de Paris. (Membre de l’ANAFE)                                                                                      Empêchent le retour des migrants illégaux.

FIN des liens de l’ANAFE.

Michel Alain Labet de Bornay

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