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Nous avons
vu tout à l’heure une liste d’organisations toutes très «démocratiques» (Liens de la nébuleuse communiste de la haine
rouge) appelant à ne pas voter pour le rassemblement National, mais qui sont
ces gens ? Des idiots utiles, la plupart marxistes culturels inconscients,
c’est là le plus terrible. L’idiot utile est un concept apparu dans les années
1920 (à la naissance du marxisme culturel et de son idéologie par Lénine, György Lukács, né György Löwinger et Willi Münzenberg, le trio maudit, fondateur
de l’école de Francfort) qui s’est développé à partir de 1929, au moment des
fameux voyages de propagande communiste du temps de l’URSS.
Willi Münzenberg personnage principal, fondateur sous les ordres de Lénine du marxisme culturel a été le précurseur de deux types tout à fait nouveaux d'activités secrètes, qui furent indispensables dans notre siècle et rendirent des services essentiels aux Soviétiques: en premier lieu, la création de certaines organisations de façade, dirigées - sous le nom de «fronts» - à des fins de propagande par des «autorités occultes»; en second lieu, la manipulation secrète de «compagnons de route» certains plus ou moins inconscients étaient de vrais idiots utiles, en restant poli.
Ses objectifs qui sont les mêmes que les objectifs du marxisme culturel qu’il a fondé avec l’école de Francfort était de susciter chez les Occidentaux non communistes et bienpensants le préjugé politique qui allait dominer toute l'époque: la conviction que toute opinion favorable à la politique étrangère de l'Union soviétique était fondée sur les principes de l'honnêteté la plus élémentaire. Il voulait instiller chez tout un chacun, comme une vérité naturelle, le sentiment que toute critique ou contestation de la politique criminelle contre l’humanité soviétique était infailliblement le fait d'une personne mauvaise, sectaire et probablement stupide, tandis que tout soutien apporté à cette politique était non moins infailliblement la marque d'un esprit progressiste, tourné vers tout ce qu'il y avait de meilleur pour l'humanité, et doté d'une sensibilité flatteuse autant que raffinée.
Pour mettre sur pied les réseaux de ses organisations de façade, de ses compagnons de route et autres idiots utiles Münzenberg sut utiliser toutes les astuces de la propagande, qu'il s'agît d'exploiter certaines opinions formulées par divers intellectuels sur les problèmes culturels, ou de faire distribuer des chapeaux humoristiques et des ballons.
Il mobilisait tous les médias : la presse, le cinéma, la radio, les livres, les magazines, le théâtre. Tous les «maîtres de l'opinion» étaient visés, certains plus ou moins convaincus par ses mensonges deviendront de parfaits abrutiles: les écrivains, les artistes, les acteurs, les commentateurs, les prêtres, les ministres, les professeurs, les hommes d'affaires importants, les scientifiques, les psychologues, tous ceux dont l'opinion avait quelque chance d'être respectée par le public.
L'instrument qui permit à Münzenberg de donner forme à ce pouvoir culturel était, outre l’école de Francfort l'Internationale communiste, c'est-à-dire, comme on l'appelait presque toujours, le Komintern. Celui-ci était, à bien des égards, l'institution léniniste par excellence; elle avait été mise sur pied dès le début à partir des deux principales passions qui caractérisaient la personnalité politique de Lénine: son obsession du secret et sa hantise du pouvoir absolu. Les buts du Komintern ne furent jamais démocratiques, même vaguement, et encore moins réformistes, de près ou de loin; l'Internationale n'a jamais été censée apporter la moindre aide réelle à une formation de gauche qui n'eût pas été entièrement subordonnée à l'autorité soviétique.
Willi Münzenberg personnage principal, fondateur sous les ordres de Lénine du marxisme culturel a été le précurseur de deux types tout à fait nouveaux d'activités secrètes, qui furent indispensables dans notre siècle et rendirent des services essentiels aux Soviétiques: en premier lieu, la création de certaines organisations de façade, dirigées - sous le nom de «fronts» - à des fins de propagande par des «autorités occultes»; en second lieu, la manipulation secrète de «compagnons de route» certains plus ou moins inconscients étaient de vrais idiots utiles, en restant poli.
Ses objectifs qui sont les mêmes que les objectifs du marxisme culturel qu’il a fondé avec l’école de Francfort était de susciter chez les Occidentaux non communistes et bienpensants le préjugé politique qui allait dominer toute l'époque: la conviction que toute opinion favorable à la politique étrangère de l'Union soviétique était fondée sur les principes de l'honnêteté la plus élémentaire. Il voulait instiller chez tout un chacun, comme une vérité naturelle, le sentiment que toute critique ou contestation de la politique criminelle contre l’humanité soviétique était infailliblement le fait d'une personne mauvaise, sectaire et probablement stupide, tandis que tout soutien apporté à cette politique était non moins infailliblement la marque d'un esprit progressiste, tourné vers tout ce qu'il y avait de meilleur pour l'humanité, et doté d'une sensibilité flatteuse autant que raffinée.
Pour mettre sur pied les réseaux de ses organisations de façade, de ses compagnons de route et autres idiots utiles Münzenberg sut utiliser toutes les astuces de la propagande, qu'il s'agît d'exploiter certaines opinions formulées par divers intellectuels sur les problèmes culturels, ou de faire distribuer des chapeaux humoristiques et des ballons.
Il mobilisait tous les médias : la presse, le cinéma, la radio, les livres, les magazines, le théâtre. Tous les «maîtres de l'opinion» étaient visés, certains plus ou moins convaincus par ses mensonges deviendront de parfaits abrutiles: les écrivains, les artistes, les acteurs, les commentateurs, les prêtres, les ministres, les professeurs, les hommes d'affaires importants, les scientifiques, les psychologues, tous ceux dont l'opinion avait quelque chance d'être respectée par le public.
L'instrument qui permit à Münzenberg de donner forme à ce pouvoir culturel était, outre l’école de Francfort l'Internationale communiste, c'est-à-dire, comme on l'appelait presque toujours, le Komintern. Celui-ci était, à bien des égards, l'institution léniniste par excellence; elle avait été mise sur pied dès le début à partir des deux principales passions qui caractérisaient la personnalité politique de Lénine: son obsession du secret et sa hantise du pouvoir absolu. Les buts du Komintern ne furent jamais démocratiques, même vaguement, et encore moins réformistes, de près ou de loin; l'Internationale n'a jamais été censée apporter la moindre aide réelle à une formation de gauche qui n'eût pas été entièrement subordonnée à l'autorité soviétique.
Mais la propagande c’est quoi ?
Un Cours de marxisme culturel largement
enseigné à l’ENA dont les élèves comme Michel
Poniatowski, Valéry Giscard d'Estaing, Jacques Chirac, Emmanuel Macron avec
même un cadre du FN monsieur Jean-Yves Le Gallou tirèrent et pour certains
tirent encore le plus grand profit. Il existe dix Stratégies principales de manipulation
des masses parfaitement théorisées par le juif érèv rav Willy Münzenberg aussi
connu sous les pseudonymes de: Herfurt, A. Sonneburg, Studinsky. Créateur des
théories marxistes culturelles avec Lénine avec un autre juif érèv rav Georg Lukàcs ou
György Lukács, né György Löwinger, fondateurs de l’école de Francfort.
Münzenberg le roi de la propagande mettra notamment en œuvre les directives de
Staline. Son objectif était de susciter chez les Occidentaux non communistes et
bien-pensants le préjugé politique qui allait dominer toute l’époque : la
conviction que toute opinion favorable à la politique étrangère de l’union
soviétique était fondée sur les principes de l’honnêteté la plus
élémentaire. C’est le marxiste culturel convaincu par les
thèses nauséabondes de l’école de Francfort le Nord-américain et juif érèv rav
pour changer un peu, Noam Chomsky, Activiste d’ultra gauche, Professeur de
Linguistique au Massachusetts Institute of Technology où il a enseigné toute sa
carrière et a fondé la Linguistique générative à qui l’on attribue la rédaction
de ses 10 stratégies. Grande référence du marxisme culturel et du gauchisme
occidental (et au-delà), Noam Chomsky est un esclavagiste-absurdiste qui
s'est fait connaître du grand Public, à la fois dans son Pays et à l'étranger,
par son Parcours d'Intellectuel engagé à l’ultra gauche. Grande référence du
gauchisme occidental (et au-delà), Noam Chomsky est bien un esclavagiste-absurdiste
américain se réclamant du socialisme libertaire et de l'anarcho-syndicalisme
– mais en réalité plus proche du communisme que de l'anarchisme –, dont l'essentiel des combats
depuis la fin des années 1960 a consisté au mieux à faire preuve d'une extrême
complaisance à l'égard de divers régimes criminels contre l’humanité, dictatoriaux,
totalitaires et génocidaires pourvu qu'ils soient les ennemis du moment de
l'État américain (et, secondairement, d'Israël, ce qui en dit long sur
l’antisémitisme du juif érèv rav), au pire à les soutenir de toutes ses forces
(la suite ici). Il
aurait élaboré cette liste des «Dix stratégies de manipulation des
masses»
très largement inspirées des théories marxistes culturelles et des idées de Münzenberg,
de Lénine et de Georg
Lukàcs. Elle
détaille l’éventail, depuis la Stratégie de la distraction, en passant par la
Stratégie de la dégradation jusqu’à maintenir le Public dans l’Ignorance et la
Médiocrité. Un des fondements des théories du Marxisme culturel est sa règle
N°10 : Contrôle et abêtissement des médias pour dévaloriser le jugement
personnel et l’esprit critique du peuple. Comme ce texte
me semble bien être une simplification de sa pensée et que l’on ne trouve pas
son équivalent en anglais, on lui a posé la question, pour en avoir le cœur
net. Voici sa réponse : «Je n’ai aucune
idée d’où cela vient. Je n’ai pas fait cette compilation moi-même, je ne l’ai
pas écrite ni mise sur le web. Je suppose que celui qui l’a fait pourrait
prétendre que ce sont des interprétations de ce que j’ai écrit ici ou là mais
certainement pas sous cette forme ni en tant que liste». Le franc succès de
ce texte illustre bien une compréhension
assez complète de la pensée de Chomsky à propos de la «manipulation», à la fois chez certains de ses partisans et de ses
adversaires. Lui et Ed Herman, co-auteurs de La fabrique du consentement (Edward Herman et Noam Chomsky, Manufacturing Consent, Panthéon, New
York, 2002. La «fabrique du consentement»
est une expression de l’essayiste américain Walter Lippmann, qui, à partir des
années 1920, mettant en doute la capacité de l’homme ordinaire à se déterminer
avec sagesse, a proposé que les élites savantes «assainissent» l’information avant qu’elle n’atteigne la
masse). ne suggèrent jamais qu’il y a quelque part une
organisation cachée qui «manipule les
masses». Ils montrent qu’il existe un certain nombre de filtres, liés à la
propriété privée des médias, à la nécessité de la publicité, à l’action de
groupes d’influence etc., qui ont pour résultat que la vision du monde
véhiculée par les médias est extrêmement biaisée, mais tout cela fonctionne un
peu comme l’idéologie chez Marx, un processus sans sujet. Curieusement, il est
d’une certaine façon rassurant de penser qu’il existe des manipulateurs
conscients qui, parce qu’ils le dirigent, savent au moins où va le monde.
Malheureusement, il y a bien des relations de pouvoir, des mensonges et des
biais idéologiques marxistes culturels, mais il n’y aurait peut-être pas de
pilote dans l’avion.
Voyons quand même la première de ces 10 stratégies : la Stratégie
de la Distraction : Un des éléments primordial du contrôle social, est la
stratégie de la diversion qui consiste à détourner l’attention du Public des
problèmes importants et des mutations décidées par la caste marxiste culturelle
et les élites politiques auto proclamées et économiques, grâce à un déluge continuel
de distractions et d’informations insignifiantes. Déjà appliqué par les romains
sous le nom de «Panem et Circenses» (du
Pain et des Jeux).
La
Stratégie de la Diversion est également indispensable pour empêcher le Public
de s’intéresser aux Connaissances essentielles, dans les Domaines de la
Science, de l'Economie, de la Psychologie, de la Neurobiologie, et de la
Cybernétique. Je vais vous donner un extrait d’«Armes silencieuses pour guerre tranquille», un texte célébrissime
de la galaxie pseudo conspirationniste, si ce n’est de la fachosphère ou de la
méchante extrême droite qui dévore les tites n’enfants après les avoir violés
sauvagement et vole les sacs des mamies. En 1991, il fut publié en annexe du
livre «Behold a pale horse» de
William Miton Cooper, alors considéré par l’ensemble des marxistes culturels
mondiaux comme le pape du conspirationnisme, alors que Cooper est en pleine
écriture dystopique. Cooper
prétendit que ce document avait été trouvé dans une photocopieuse achetée lors
d’une vente de surplus militaires. Mais le plus probable est qu’il le rédigea
lui-même, pour établir un «vrai-faux»,
c’est-à-dire un faux disant le Vrai et dévoilant les idées de Münzenberg,
Lukacs, Lénine, Chomsky ou même Gramsci. L’extrait : «Garder l’attention du Public distraite, loin des véritables Problèmes
sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le Public
occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec
les autres animaux (Voir aussi ici "La
Ferme des animaux de Georges Orwell)». Nonobstant les armes
silencieuses utilisées pour enfermer les «classes
inférieures» dans cette situation de totale aliénation fonctionnent de la
manière suivante : elles créent des situations, fabriquées délibérément à
partir des octets d’information enregistrés dans les ordinateurs servant à
l’ingénierie sociale. Elles produisent un bruit qui se perd dans le bruit de
fond de la société, pour ceux qui ne sont pas exercés à le repérer, mais qui
est très reconnaissable pour les spécialistes. Les cibles elles-mêmes ne
comprennent pas ce qui leur arrive. Elles tentent de s’adapter jusqu’au moment
où elles craquent, et généralement, elles n’ont même pas conscience d’avoir été
attaquées. Le premier principe
de base utilisé par ces armes a été défini dès le XVIII° siècle par le banquier
Mayer Rothschild : «Lorsque vous prenez
l’apparence du pouvoir, les gens vous le donnent bientôt». Ce banquier
comprit que les dépôts bancaires avaient l’apparence du pouvoir, et qu’ils
pouvaient induire les gens à adopter un certain comportement, échanger leur
richesse présente contre une promesse de richesse future plus grande. Cette
inductance de la richesse fonctionnait sur l’espace mental comme l’inductance
électrique fonctionne sur un champ magnétique. Elle permit à Rothschild de
récupérer d’énormes richesses réelles, en échange de simples promesses de
richesses futures qu’il n’avait à honorer que par la reconduction de ces
promesses. Ainsi, Rothschild comprit tout simplement que l’argent pouvait être
fabriqué à partir de la dette, et que celui qui maîtrisait ce système pouvait
le réarranger presque à sa guise, déclenchant des guerres, au besoin, pour
éliminer une partie des titulaires de promesses de richesse future qu’il ne
pouvait pas honorer. Je crois avoir souvent affirmé que les marxistes culturels
avaient découverts que l’homme n’est pas un être de raison mais d’émotion. Il
ne sert donc à rien de tenter de le convaincre par la raison.
Dans le cadre de
l’économie totalement modélisable, l’élite ou la caste ou encore la
nomenklatura marxiste culturelle a la possibilité de remodeler très largement
l’ensemble du cadre de vie des individus et des groupes dominés que les règles
en aient été établies par des Münzenberg, Lukacs, Lénine,
Chomsky ou même Gramsci et Cie si ce n’est Rothschild. Ainsi, on fournit aux
classes dites populaires une éducation de bas niveau, en particulier en
mathématique, en logique, en design des systèmes et en économie, tout en
encourageant tout ce qui est du domaine de l’émotion par une succession
d’affronts émotionnels, images de violence et de sexe, sport-spectacle exaltant
à la fois le corps contre l’esprit, et la passivité du spectateur. La règle
générale pour renforcer sans cesse ce basculement dans l’émotionnel, une fois
l’éducation classique anéantie, est de créer des problèmes émotionnellement
perturbants, pour ensuite proposer des solutions émotionnellement rassurantes,
mais fonctionnant toujours fondamentalement sur le mode de l’émotion. Pour
garantir que le public ne prendra pas conscience de ce processus, il est en
outre conseillé de le tenir constamment occupé, soit par la distraction (d’un
niveau intellectuel très bas), soit par le travail (de préférence abrutissant
et répétitif).
Une fois les individus radicalement dominés par la sphère émotionnelle,
on constatera qu’ils se replient sur des besoins fondamentaux très simples, et
très infantiles. Ils percevront l’Etat comme un utérus artificiel, et
attendront des politiciens qu’ils les protègent. Incapables d’affronter
la brutalité du monde, n’ayant pas l’équipement intellectuel pour le penser,
les sous-citoyens abrutis produits par ces armes silencieuses sont de parfaits
clients pour l’Etat-providence (sous toutes ses formes), qui ne demanderont
plus que la sécurité, et ne comprendront même plus les notions de liberté ou de
responsabilité (l'état providence est une des plus vieille escroquerie du monde, pratiquée dans le passé
par tous les dominants et tous les pouvoirs. Elle consiste seulement à prendre
l'argent des gens, et à le leur rendre «généreusement»
un peu sous forme de protection, comme peut le faire n'importe quel parrain de
la mafia. Comme les ressources fiscales sont limitées et qu'on ne peut
redistribuer aux gens plus qu'on ne leur prélève, l'État-providence finit par
reposer principalement sur la dette publique jusqu'à ce que la faillite
survienne. Seules l'illusion fiscale et la propagande étatique lui permettent
de perdurer). Ce type de public sera parfait pour soutenir un effort
de guerre, pourvu que la guerre soit lointaine, qu’elle ne le concerne pas directement,
et que le fait d’agresser des gens éloignés soit perçu comme un bon moyen de
défendre l’Etat-Utérus. Cela sera particulièrement utile quand, pour
rééquilibrer le système déstabilisé par l’accumulation de l’argent-dette,
sous-jacent invisible à l’ensemble du contrôle social, il faudra faire la
guerre pour détruire le créditeur. Il est à noter que si le système ne
fonctionnait plus, alors la destruction du créditeur ne pourrait plus être
obtenue qu’en laissant le peuple se détruire lui-même.
Parmi les «Dix
Stratégies de Manipulation» la deuxième n’est pas mal non plus : Créer
des Problèmes, puis offrir des Solutions.
Cette
Méthode est aussi appelée «Problème-Réaction-Solution».
On crée d’abord un Problème, une «Situation»
prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit
lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple :
laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des Attentats
sanglants, afin que le Public soit demandeur de Lois sécuritaires au détriment
de la Liberté. Benjamin Franklin dira : «Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité
ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux».
En N° 3/ on trouve : La Stratégie de la
Dégradation.
Pour faire accepter une Mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer
progressivement, en «dégradé», sur
une durée de 10 ans. C’est de cette façon
que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (Néolibéralisme)
ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité,
flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, baisse
des retraites et allongement de la durée du Travail autant de changements qui
auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.
En N°4, la Stratégie du Différé est une autre façon de
faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme «douloureuse mais nécessaire», en
obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur.
Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice
immédiat. D’abord parce que l’Effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite
parce que le Public a toujours tendance à espérer naïvement que «tout ira mieux demain» et que le sacrifice
demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour
s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le
moment sera venu (L’Augmentation importante de la Pression Fiscale ne s’est pas
faite avant les Élections de 2012).
En N° 5, s’adresser au Public comme à des enfants en
bas-âge n’est pas mal non plus. Ça va ti les tites n’enfants ? La plupart des
Publicités destinées au grand public utilisent un discours, des arguments, des
personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant,
comme si le spectateur était un enfant en bas âge ou un handicapé mental. Plus
on cherchera à tromper le Spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi
? La réponse est dans «Armes silencieuses
pour Guerres tranquilles» : «Si
on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en
raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine Probabilité, une
Réponse ou une Réaction aussi dénuée de sens Critique que celles d’une personne
de 12 ans».
La N°6 : Faire Appel à l’Emotionnel plutôt qu’à la
Réflexion est très bien elle aussi et confirme ce que je proclame depuis
toujours que l’homme n’est pas un être de raison mais d’émotion car faire appel
à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse
rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du
registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y
implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements (La
Terre se réchauffe dangereusement du fait des seules Activités humaines (sic),
ce sera terrible pour nos enfants : les Carburants sont encore plus taxés).
La N°7 : Maintenir le Public dans l’ignorance et
la bêtise. Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les
technologies et les méthodes utilisées pour son Contrôle et son esclavage. «La qualité de l’Education donnée aux
Classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de
l’Ignorance qui isole les Classes inférieures des Classes supérieures soit et
demeure incompréhensible par les Classes inférieures». Extrait de «Armes silencieuses pour Guerres
tranquilles» (80 % des élèves des Universités ou des grandes Ecoles tel
l’ENA sont issus des Classes moyenne ou supérieure).Cette stratégie est à
rapprocher de la septième règle idéologique du marxisme culturel : «Affaiblissement de l’éducation par une
baisse progressive du niveau et une
élimination de la sélection afin de faire disparaitre tout repère chez les
jeunes».
La N° 8 : Encourager le Public à se complaire dans
la Médiocrité. C’est encourager le Public à trouver «cool» le fait d’être bête, vulgaire et inculte (Voir certaines émissions de TV particulièrement populaires).
La N° 9 : Remplacer la révolte par la culpabilité,
c’est faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à
cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts.
Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique ou l’état providence
marxiste culturel, l’individu s’auto dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des
effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, Pas de révolution!
Et enfin la N° 10 : Connaître les Individus mieux
qu’ils ne se connaissent eux-mêmes. Au cours des 50 dernières années, les
Progrès fulgurants de la Science ont creusé un fossé croissant entre les
connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites
dirigeantes marxistes culturelles éduquées. Grâce à la biologie, la
neurobiologie et la psychologie appliquée, le «Système» est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain,
à la fois physiquement et psychologiquement.
Le «Système» en est arrivé à mieux
connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie
que dans la majorité des cas, le «Système»
détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que
les individus eux-mêmes.
Alors
êtes-vous des idiots utiles ? Si vous avez lu avec attention les textes
ci-dessus, certainement de moins en moins. Toutefois d’autres explications
s’imposent.
L’expression elle-même, calque de l’anglais useful idiot, a été utilisée par la première fois aux États-Unis en
1948, dans un article du New York Times par un journaliste correspondant à
Rome, qui l’aurait emprunté à l’italien au journal L’Umanità. Elle est attribuée en pleine guerre froide par des
auteurs américains à Lénine, sans qu’on n’en retrouve trace dans ses écrits,
évidemment le concept étant de Münzenberg. Le terme s’appliquait à l’origine
pour qualifier les Occidentaux sympathisants du communisme, qui reprenaient et
répandaient, sans grand sens critique, la propagande de l’Union soviétique, à
l’image d’Édouard Herriot revenu d’Ukraine en 1933 et annonçant qu’il n’avait «vu que des gens bien nourris» en plein
Holodomor. Qui l’eut cru ? Que la cantinière bouffait de la tarte aux
poils ?
https://www.actionaid.fr/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
Pour vous situer l’organisation stipendiée dans sa
plénitude marxiste culturelle j'ai
vu qu'ActionAid recrute : «Le∙la Responsable Administratif∙ve et Financier∙e» (En inclusif
dans le texte) mais surtout que le candidat, la candidate ou le candidounet
sodomite ou la candinouche broute minou (on n’est pas sectaire chez ActionAid)
devrait développer un comportement individuel soucieux de l’égalité de genre et
intégrer l’approche «genre» à
l’ensemble de ses activités.
Voyons cela d’un peu plus prêt. Avant d'être un
prétendu outil d'analyse, le «genre»
est une véritable théorie et même une métaphysique dont l'objectif marxiste
culturel est de déconstruire les fondements (avec la loi du «genre» la destruction du fondement
n’est pas obligatoire mais fortement conseillée) de notre société au nom du
principe d'égalité entre hommes et femmes poussé jusqu'à l’absurde
interchangeabilité. Le genre est une notion arbitraire dérivée du socialisme et
des règles théoriques du marxisme culturel, alliant égalitarisme et
utilitarisme, susceptible de s’imposer violemment aux différentes cultures à
travers la mondialisation. Le genre agit comme l'instrument d'une nouvelle
culture fondée sur la remise en cause de la sexualité humaine comme inclination
vers l'autre sexe et la contestation des rôles fondés sur les différences
naturelles. Et allez donc ! Encore une fois avec ActionAid on est en plein
dedans, dans cette gauche passée de l’abominable Marxisme dit Économique
au marxiste Culturel qui dicte, aussi bien en Europe qu’aux États-Unis, à
travers des media asservis, la manière de pensée correcte. D'autant que Christopher Dummitt, historien «expert en études du genre» a récemment
avoué «avoir globalement tout inventé de A à Z» dans le magazine Quillette.
Longtemps reconnu comme une sommité dans le domaine du genre,
Christopher Dummitt vient donc de rendre caduques toutes les prétendues
études scientifiques sur le genre qui affirment que les identités
sexuelles sont des constructions sociales.
Vous aurez remarqué dans l’offre d’emploi d’ActionAid cette notion de «genre» obligatoire et discriminatoire
très marxisme culturel dont le but est de déconstruire les bases de notre
société au nom du principe d'égalité entre hommes et femmes poussé jusqu'à une
absurde interchangeabilité. Le but est
partout le même dans le monde: la Destruction des Peuples européens (ou
d’origine européenne) honnis, par l’immigration, le multiculturalisme, le
métissage, le «genre», les gay
rights, le mariage gay, la famille monoparentale, les quotas, les manuel
scolaires etc. En bref, qu’est
donc encore une fois ce Marxiste Culturel ou déconstructivisme plus connu sous
le terme de Politiquement Correct ? Je sais, j’enfonce le clou !
Il se
trouve qu’après les échecs des révolutions bolcheviques en Europe de l’Ouest
des intellectuels marxistes internationaux formèrent en 1923 ce qu’il est
convenu d’appeler l’École de Francfort afin d’étudier les causes des échecs des
révolutions trotsko-léninistes dans ces pays. Elle rassemblait des «socio-philosophes» universitaires la
plupart des juifs Erev Rav tels que Horkheimer, Wiesengrund-Adorno, Marcuse, Benjamin, Fromm,
Pollock, Neumann, Wiggersrhaus, suivis par Habermas, Gramsci, Lukacs…
assistés par Sigmund Freud. Leurs conclusions fut que la doctrine marxiste
n’était pas en cause mais que les peuples immatures n’étaient pas réceptifs. Il
fallait donc changer les peuples. Ce fut le but de ce qu’ils nommèrent le
Marxisme Culturel, ou déconstructivisme, dictature de la pensée, qui gouverne
les démocraties d’Occident depuis les années 60. Les humains sont des êtres
sentimentaux dont on achète facilement les émotions avec des mots. Les mots
étant des armes il était impératif de prendre le contrôle des media et de
l’industrie culturelle. Ce fut fait. Ce qui explique l’annonce discriminatoire
d’ActionAid. On pouvait dorénavant façonner la pensée des peuples, promouvoir
la fragmentation de la société en minorités, religieuses, raciales, sexuelles
(dans le cas ActionAid), et dresser ces minorités contre la majorité
traditionnelle qui n’avait plus d’autre choix que de se taire. Au moindre écart
de langage le terrorisme de la pensée vous traine devant les tribunaux, en
brandissant jusqu’à plus soif les clichés éculés de l’antisémitisme, de la
xénophobie, du racisme, de l’islamophobie, du fascisme, de l’homophobie, du
nazisme, de la puanteur nauséabonde, des heures les plus sombres, etc. Idem aux
Etats-Unis : fascist, anti-semite, racist, nazi, etc. Ainsi fut installée la
tyrannie des minorités sur la majorité traditionnelle, préalable à la
destruction de la substance des peuples d’Occident. C’est ce même terrorisme
qui vole au secours des Mitterrand, Cohn-Bendit, Polanski, auteurs d’actes
pédophiles avoués, mais monte des cabales aussi ignobles qu’infondées contre
Pie XII et Benoît XVI, Rome étant le symbole haï de l’Empire Chrétien
d’Occident. Ainsi, de Los Angeles à Varsovie, les media asservis sapent nos
civilisations en vue de l’établissement d’un Ordre Nouveau avec « Jérusalem
capitale planétaire d’un gouvernement mondial » comme le suggère Jacques
Attali. Des deux côtés de l’Atlantique seuls quelques menhirs résistent contre
vents et marées aux campagnes de désinformation, de diffamation et de
diabolisation dont ils sont l’objet. Affabulations, paranoïa, théorie de la
conspiration que tout cela est bête direz-vous. Quelques écrits des meneurs de
l’École de Francfort vous détromperont:
Herbert Marcuse : «C’est le peuple
qui n’a pas rempli le rôle que lui avait réservé la théorie révolutionnaire …
mis devant la possibilité de la révolution, le peuple aura préféré s’en
détourner en adhérant profondément aux institutions principales définissant la
civilisation occidentale… Une conscience non révolutionnaire – ou plutôt
antirévolutionnaire – prévaut dans la majorité de la classe ouvrière, cela
saute aux yeux».
Et le même Marcuse continue : «Il faut préférer la dictature des
intellectuels au pouvoir d’un peuple encore imparfait. […] Il est nécessaire, pour une société
civilisée, que des gens éduqués aient des prérogatives politiques pour
combattre les sentiments, les attitudes et les concepts des masses non éduquées».
Gramsci écrira: «The workers will never see their true class interests
until they are freed from Western culture, and particularly from the Christian
religion». («Les travailleurs ne verront jamais leurs
véritables intérêts de classe tant qu’ils ne seront pas libérés de la culture
occidentale, et particulièrement de la religion chrétienne»)
Voilà la doctrine qu’ils ont appelé «Marxisme Culturel», ou
déconstructivisme. Plus connue sous le nom de Politiquement Correct pour vous
prendre pour des débiles et vous voler en toute impunité.
https://alternatiba.eu/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
Alternatiba
se présente comme un mouvement «citoyen»
pour le climat et la justice sociale. (Quelques mots dévoilent la vérité sur ce
mouvement : citoyen et justice sociale, ce qui fait de cette organisation
qui lutterait soi-disant pour le climat une organisation marxiste culturelle
comme déjà vu ci-dessus).
Né à Bayonne en 2013, il s’est fondé sur deux constats. D’une part, le
dérèglement climatique s’accélère, touche les populations les plus pauvres de
la planète et menace à moyen-terme les conditions de vie sur Terre. C’est
maintenant qu’il faut agir pour nous éviter d’atteindre des seuils
d’emballement climatique. D’autre part, des solutions existent et sont à portée
de mains, elles n’attendent que nous. Alternatiba veut les montrer, les
renforcer et les développer pour changer le système, pas le climat ! (La encore
c’est l’aveu: Changer le système pas le climat on ne peut être plus
clair ! C’est du pur marxisme culturel dans le texte !).
https://www.animafac.net/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
En prévision des élections
municipales de 2020, les jeunes engagé·e·s du réseau Animafac expriment une nouvelle fois
leur volonté d’être pleinement acteur·trice·s de leur citoyenneté (l’écriture
inclusive imbécile dénonce ici fort bien le marxisme culturel). En portant
quotidiennement leurs initiatives sur les territoires, ils·elles n’attendent
pas qu’on leur demande de voter pour prendre part au débat public (Comme déjà
vu plus haut, voter pour le Rassemblement National est un gros péché pour ces
braves «démocrates» prosélytes de la
secte marxiste culturelle). Au
contraire, ils·elles incarnent par leurs actions l’émergence d’une démocratie
(sic) plus interactive, inclusive (re sic) et transparente. C’est pourquoi nous
lançons dès cette rentrée un nouveau chantier afin d’imaginer les futurs modes
de participation démocratiques des jeunes.
https://anv-cop21.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
Une des
règles de base du marxisme culturel est la N° 1 : Infiltration des partis
existants (plutôt que création de nouveaux partis). On l’a vu fonctionner à
plein avec l’infiltration des organisations écologiques par la gauche si ce
n’est par la droite molle. Aujourd’hui c’est le climat qui est allah mode. C’est ainsi qu’ANV-COP 21 nous dit :
Relever le défi climatique est une condition préalable indispensable au
maintien des conditions de vie civilisées sur Terre. La naissance d’ANV-COP21 a
été inspirée par les victoires obtenues des grands mouvements de lutte
non-violente (Tous gauchistes). La mission (ces gens ont une «mission») qu’ANV-COP21 s’est donnée est
de faire émerger un mouvement citoyen de masse (Comme le communisme ?),
non-violent et déterminé, radical et populaire (Des masses populaires
alors ?), afin de relever ce défi. Par ses actions non-violentes ANV-COP21
veut : Dénoncer les projets
et les politiques aggravant le changement climatique (Bon là rien à dire). Replacer la lutte contre le changement climatique au centre de l’agenda
politique et médiatique avec l’ambition et l’urgence que cela nécessite (Ici
aussi rien à dire).
Travailler en complémentarité des organisations qui œuvrent à la
construction et au développement des
alternatives pour la transition sociale et écologique. (Là on commence avec le «transition sociale» qui n’a rien à voir
avec le climat). Développer
l’approche non-violente, comme base de la nouvelle société dans laquelle nous
souhaitons vivre en paix. (Nouvelle société ? Sur qu’elles bases ?).
https://france.attac.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
ATTAC est
partie intégrale de la gauchosphère communiste (Le MRAP marxiste Stalinien, annexe
du PCF, et qui distille de la haine des juifs en est membre fondateur). Le socle idéologique développé par les membres d’ATTAC réside dans la
dénonciation des «méfaits de la
mondialisation libérale», basée sur une fausse conception du libéralisme.
Protectionniste, collectiviste (en faveur d'un «contrôle démocratique» des marchés financiers, et contre les «paradis fiscaux»), et étatiste (défense
des services publics et du système de protection sociale marxiste culturel),
ATTAC critique les décisions de l'OMC, de l'OCDE ou du FMI, qu'elle présente
comme des organisations «libérales»
ou «néo-libérales». Biaisées par
l’idéologie marxiste anti-libérale, les analyses proposées par ATTAC manquent
de rigueur et de précision, les chiffres utilisés sont trompeurs et
l’argumentation simpliste. C’est ainsi que les propositions d’ATTAC - recyclage
sous des habits neufs de vieilles idéologies marxistes hostiles à la liberté et
la responsabilité individuelles, voie vers la Route de la servitude, dénoncée
par Hayek - rassemblent, aux dépens de la cohérence du discours et du projet
politique, nombre de plaintes ou de revendications (chômeurs, féministes,
environnementalistes, syndicalistes, communautaristes, etc.).
Pascal Salin qui marche
comme moi dans les traces de la tradition autrichienne :
dans celles de mon bon maître Frédéric Bastiat,
celles de Ludwig von Mises et Friedrich Hayek, qui défend aussi comme moi des
positions minarchistes dira : «Les idées d’ATTAC trouvent un terrain
fertile dans un pays où l’enseignement, la fonction publique, les syndicats, et
les partis politiques sont encore fortement imprégnés de philosophie
marxisante, comme en témoigne notamment la propension à raisonner en termes de
lutte des classes et à faire appel à un interventionnisme sans limites de
l'État (Qu’est-ce que je vous répète depuis des heures ?). Les programmes scolaires, dont l'État a le
monopole, soumettent sans vergogne nos enfants à cette idéologie, au lieu de
développer leur esprit critique, comme ce devrait être leur rôle».
Jacques de Guenin lui affirmera avec
humour et raison: «qu’ATTAC, dont le
sigle pourrait aussi bien signifier Association Trublionne Totalitaire des
Attardés du Communisme, est en fait un mouvement très dangereux, car faute de
pouvoir s'appuyer sur des faits, il fait appel à l'affectivité et à l'envie,
denrées très répandues à la surface de la terre». Bien noter que le MRAP
qui distille de la haine des juifs est fondateur d’ATTAC !
https://ccfd-terresolidaire.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
Mouvement marxiste culturel soutien inconditionnel du
MRAP antisémite et marxiste Stalinien le CCFD n’est plus depuis longtemps une
organisation catholique. Voir
en cliquant ici sur Riposte Catholique. Après le MRJC (Pour l’évêque de
Montauban, le MRJC n’est plus un mouvement catholique depuis Janvier 2018. Dans
un courrier adressé au Mouvement rural de jeunesse chrétienne, Mgr Bernard
Ginoux, évêque de Montauban, réagit vivement au communiqué du MRJC présentant
l’avortement comme un «droit fondamental» :
«Un mouvement qui se dit chrétien, reçoit
des subventions de l’Église catholique et prône l’avortement est en totale
contradiction avec l’enseignement de l’Église»), c’est au tour du CCFD de
subir les foudres de l’épiscopat français. Mgr Cattenoz, archevêque d’Avignon
explique pourquoi il a retiré sa reconnaissance à ce mouvement, qui profite du
carême pour faire la quête dans toutes les paroisses : « […] Depuis plusieurs
années, la paroisse Saint-Symphorien d’Avignon accueille toutes les deux semaines
une quarantaine de SDF pour une table ouverte et un temps de partage dans un
presbytère en partie vétuste. Le départ de l’UDAF d’un bâtiment de la paroisse
a laissé entrevoir à la paroisse la possibilité de faire des travaux grâce à la
vente de cet ensemble immobilier désormais libre. Mais récemment, le collectif
de citoyens (?) Rosmerta s’est mis en avant, en le réquisitionnant brusquement
et au nom d’une «réquisition citoyenne», pour y installer une trentaine de
migrants (illégaux ?). Suite à une réunion avec le Préfet, son
administration, les associations mandatées par l’État, la mairie et le
collectif Rosmerta, il a été clairement établi que les services de l’État, les
associations mandatées et la mairie qui s’occupent actuellement de plus de 65 000
démunis sont totalement en capacité de prendre en charge la trentaine de
personnes actuellement hébergées dans le bâtiment « réquisitionné ». Le Comité
Catholique contre la Faim et pour le Développement (CCFD-Terre Solidaire) a
rejoint le collectif de citoyens Rosmerta sans concertation préalable avec
l’Église. Malgré mon courrier à l’antenne locale, cette dernière s’est
maintenue solidaire de cette action sans concertation, réalisée dans l’ombre et
hors de l’Église locale. Alors que le bureau national est resté sans réponse à
mon courrier, l’évêque accompagnateur Mgr Blaquart m’a fait part de son indignation
devant ces agissements. En tant qu’évêque, il est de mon devoir d’avertir les
catholiques des postures prises par le CCFD-Terre solidaire. En accord avec le
Conseil épiscopal, j’ai donc dû prendre la décision de ne plus reconnaître le
CCFD-Terre solidaire comme mouvement d’action catholique, tant qu’il agira en
opposition avec l’Église d’Avignon».
https://www.primolevi.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
Le centre de soins Primo Levi est une association loi
de 1901 créée en mai 1995 par cinq associations gauchistes et marxistes
culturelles militantes dans le domaine des droits de l’homme, de la santé et de
la justice : l'Action des chrétiens pour l'abolition de la torture, Amnesty
International section française, Juristes sans frontières, Médecins du monde et
Trèves. Cette association est comme d’habitude subventionnée à 100% avec
l’argent des impôts des Français pour donner des «soins» à des étrangers !
http://ceras-projet.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
Le Centre de Recherche et d’Action Sociale (Ceras) est
une association fondée par la compagnie de Jésus il y a plus d’un siècle.
Jésuites et laïcs y travaillent ensemble au service de trois missions :
accompagner les associations engagées dans le «champ social», mettre en débat les questions qu’elles portent
notamment à travers la revue Projet, les former dans ses champs de compétences. On
a déjà vu avec Raymond Aron que le marxisme est une religion séculière, le
marxisme culturel aussi. Comme d’habitude c’est un théoricien du marxisme
culturel Antonio Gramsci, fondateur en 1921 du Parti Communiste Italien qui va
renouveler la théorie marxiste, aussi
bien du point de vue philosophique que politique et qui va nous vendre la mèche
bien avant monsieur Aron. Parmi les dirigeants et penseurs du mouvement
communiste et marxiste culturel, Gramsci est sans doute celui qui a montré le
plus d'intérêt pour les questions religieuses. À la différence d'Engels et de
Kautsky, il s'est occupé moins du christianisme primitif ou des hérésies de la
fin du Moyen Âge que du fonctionnement de l'Église catholique : il fut un des
premiers marxistes à chercher à comprendre le rôle contemporain de
l'Église et le poids de la culture
religieuse dans les masses populaires.
Il était aussi, comme nous verrons, fasciné par la Réforme protestante comme paradigme
de changement historique. Dans ses écrits de jeunesse, on voit s’esquisser une analyse des affinités électives entre religion et
socialisme, ou plutôt, du socialisme comme une sorte de «religion de substitution», qu’il présente à la fois comme
comparaison «objective» et comme
valorisation éthique et spirituelle du socialisme. Dans un article de 1916, intitulé
«Audace et foi», Gramsci définit le socialisme comme une religion «dans le sens où elle a aussi sa foi, ses
mystiques, ses pratiquants ; c’est une religion parce qu’elle a remplacé
dans les consciences le Dieu transcendantal des catholiques par la confiance (sa
foi du latin fides : confiance) en
l’homme et ses meilleurs énergies comme seule réalité spirituelle». Gramsci perçoit le monde catholique non comme un bloc monolithique, mais comme un champ politiquement hétérogène, traversée par les fameux
«conflits sociaux». Pour Gramsci la
religion ne serait-elle finalement qu’un
«opium du peuple», comme Marx
l’avait laissé entendre en 1844 ? Et
c’est là où on rejoint le Ceras ! Gramsci réserve cette désignation pour
les formes que lui semblent les plus manipulatrices et les plus nuisibles de la
religion, comme par exemple, chez les catholiques, la doctrine des jésuites qui
est celle du Ceras. Il va jusqu’à reconnaître
que le christianisme, sous certaines conditions historiques, représente «une certaine forme de la volonté des masses
populaires, une forme spécifique de rationalité dans le monde et de la vie».
Mais cela ne s'applique qu'à la religion innocente du peuple et non au «christianisme
jésuitique» qui est un «pur narcotique
pour les masses populaires». On ne
peut pas dire que Gramsci avait une haute opinion des jésuites : «la Compagnie de Jésus est le dernier grand ordre religieux, d’origine
réactionnaire et autoritaire, à
caractère répressif et diplomatique, qui a signé avec sa naissance le durcissement
de l’organisme catholique». C’est un nommé Jean-Yves Calvez (né le 3 février 1927 à Saint-Brieuc
(France) et mort le 11 janvier 2010 à Paris, c’était un prêtre jésuite
français, philosophe et économiste, expert en marxisme et professeur de
philosophie sociale), qui alors qu’il n’est pas encore prêtre publie en 1956 une œuvre qui s’impose
rapidement dans le domaine de la pseudo
philosophie sociale : La Pensée de Karl Marx. S’intéresser
au marxisme avant le concile Vatican II, et qui plus est, le faire en révélant une grande
sympathie pour Marx et ses idées absurdes était audacieux.
Marxiste culturel et idiot utile Calvez s’intéresse beaucoup aux fameuses
«questions sociales», économiques et
politiques, refusant de séparer ces trois domaines, mais les liant plutôt dans
une recherche au service d’une vision chrétienne de l’homme intégral. Tel est
son engagement comme prêtre et jésuite dans l’Église. Il étudie et promeut une praxis de la «doctrine sociale de l’Église» qui soit moins euro-centriste et plus tournée vers
les graves problèmes de sous-développement qui accompagnent la vague de décolonisations bâclées des années 1960. Calvez était professeur de philosophie et sciences
sociales à la faculté jésuite de philosophie à Chantilly, directeur du centre d’Action
populaire (devenu plus
tard le CERAS) et participe en 1962 à la
fondation du centre d’études socio-économiques INADES d’Abidjan, en Afrique. Il voyage beaucoup, particulièrement en Amérique
Latine, où il est proche des marxistes
culturels dit théologiens
de la libération avec lesquels
il gardera toute sa vie de fort liens d’estime et d’amitié.
https://www.concordia.fr/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
Concordia est une association à but non lucratif, née
en 1950 suite à la Seconde Guerre Mondiale d'une volonté de
jeunes anglais·es, allemand·e·s et français·es (inclusif=cocos) de faire
renaître les fameuses valeurs de
tolérance et de paix à travers des chantiers internationaux de
bénévoles (et allez donc encore une merde de plus marxiste culturelle comme
nous le montre l’écriture inclusive de leur présentation et qui se goberge avec
l’argent des impôts des Français). Sur leur site vous
pourrez trouver les actualités des régions grâce à leur blog, tous leurs projets grâce au moteur de recherche, leurs offres d'embauche dans la rubrique emploi, des réponses aux questions fréquentes dans la FAQ (you ?).
https://www.coordinationsud.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
Qui sont-ils ? Laissons-les se présenter : Coordination SUD est la coordination
nationale des ONG françaises de solidarité internationale (autre nom du
marxisme culturel internationaliste). Fondée en 1994, elle rassemble
aujourd’hui 164 ONG françaises travaillant dans la solidarité internationale.
Une centaine sont membres via six
collectifs : CLONG-Volontariat, Cnajep, Coordination Humanitaire et Développement, Crid, Forim, Groupe Initiatives. Les ONG
membres mènent des actions humanitaires d’urgence, d’aide au développement, de
protection de l’environnement, de défense des droits humains auprès des
populations défavorisées, ainsi que des actions d’éducation à la citoyenneté et
de plaidoyer. Coordination SUD anime des commissions de travail
thématiques, composées de ses membres et de partenaires. Ces commissions se
mobilisent sur des enjeux majeurs de la solidarité internationale. Elle gère un
fonds paritaire de cofinancement d’expertises externes sur les différents aspects
de la performance organisationnelle et institutionnelle pour les ONG.
Des missions au service des
ONG françaises.
Coordination SUD assure une quadruple mission :
1.
Promotion et
défense du secteur,
2.
Renforcement de
la professionnalisation des organisations à travers le conseil et la formation,
3.
Plaidoyer sur
la solidarité internationale auprès des institutions publiques et privées, en
France, en Europe et dans le monde,
4.
Services de
veille et d’analyse, et de diffusion d’information.
Une
inscription dans plusieurs collectifs nationaux et internationaux. Coordination SUD est membre de collectifs français,
européens et internationaux associatifs :
- Mouvement associatif
- Concord (la confédération des ONG européennes d’urgence et de développement)
- Forus (réseau mondial composé de plateformes nationales d’ONG et de coalitions régionales)
Coordination SUD est une association loi 1901 dont le
financement est assuré par les cotisations de ses membres, des recettes sur
activités, des subventions publiques et des fonds privés. En savoir
plus : Les missions et objectifs de Coordination
SUD.
Ce
que ses gens appellent des subventions publiques dont ils bénéficient à 90% ce
n’est que l’argent de vos impôts pour se payer les salaires de ministres des
dirigeants, rappelez-vous Marcuse qui disait: «Il faut préférer la dictature des intellectuels au pouvoir d’un
peuple encore imparfait. […] Il est
nécessaire, pour une société civilisée, que des gens éduqués aient des
prérogatives politiques pour combattre les sentiments, les attitudes et les
concepts des masses non éduquées». Pour arriver à leurs objectifs ils
n’hésitent pas à faire les poches de leurs concitoyens pour en vivre comme des
nababs.
https://www.crid.asso.fr/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
Leur propre présentation
vaut mieux qu’un long discours: Le Centre de recherche et d’information pour le
développement (CRID) a été créé en 1976 par 8 associations dites de solidarité
internationale (ASI). Il en compte aujourd’hui une cinquantaine, réunie autour
d’une vision partagée de la solidarité internationale, reposant sur le
partenariat et l’éducation au développement.
Fort de son réseau de près de 50 membres, le CRID mène de nombreuses
campagnes d’interpellation des décideurs publics et de mobilisation citoyenne
en s’appuyant sur le travail de plaidoyer fait par ses membres.
Depuis 20 ans maintenant, le CRID coordonne et co-pilote le Festival des Solidarités, événement qui a lieu chaque année partout en France au mois de novembre.
Tous les 2 ans, il organise un grand rendez-vous réunissant acteurs des
mouvements sociaux et de la solidarité internationale en France. Cette année, à
Grenoble du 22 au 26 août 2018 : l’Université d’été solidaire, citoyenne et
rebelle ! En 2015, lors de la Cop21, le
CRID coordonne la Coalition climat 21 rassemblant plus de 130 organisations. Fort de ce
succès, le CRID co-porte à nouveau avec plusieurs organisations dont 350.org la
question climatique lors du One Planet Summit en 2017 avec la campagne Pas
un Euro de Plus. Depuis décembre 2017, le CRID participe
aux États Généraux des Migrations (Ces abrutiles (néologisme pour abrutis collectivistes remplace
avantageusement les fameux idiots utiles complices des crimes contre l’humanité
communistes) qui mettent en application la règle N°2 de l’idéologie marxiste
culturelle : l’encouragement de l’immigration de cultures exotiques qui
auront du mal à s’intégrer, généreront des tensions et contribueront à la
destruction progressive de l’identité de la race blanche et des valeurs démocratiques,
l’avoue franchement en déclarant vouloir construire un mouvement d’opinion pour
s’opposer à une vision soi-disant à leurs yeux aveuglés d’idiots utiles, erronée,
culpabilisante et trop souvent xénophobe des migrations et des migrant-e-s
(notez l’écriture inclusive qui fait le coco). Il a également contribué à
montrer une France accueillante et solidaire par la production d’une
cartographie des initiatives citoyennes solidaires envers les migrants :
le Sursaut citoyen (encore des
citoyen.ne.s. Français.e.s ou non. Bénévoles ou salarié.e.s. Grands-parents (Ils
n’ont pas osés Grandes Parentes !) ou étudiant.e.s. Toutes et tous
engagé.e.s auprès des migrant.e.s et réfugié.e.s arrivé.e.s en France, dans des
associations, des collectifs citoyens, des collectifs de voisins, formels ou
informels, ou parfois même individuellement.
Depuis peu, le collectif On Ne Se Taira Pas a vu le jour, rassemblant de nombreuses
organisations, militants, universitaires, journalistes, victimes de tentative
d’intimidation des multinationales à l’aide de procès bâillons. Par
ailleurs, le CRID coordonne en France la dynamique des Forums Sociaux Mondiaux, temps de
rencontres des mouvements altermondialistes dans le monde (Là c’est l’aveu
définitif ! Le terme altermondialisation doit s'entendre par antimondialisation. Les
altermondialistes promeuvent une théorie économique et sociale très proche du
marxisme stalinien ou trotskiste socialiste, tantôt du nationalisme (et souvent
des deux), avec des variantes favorables à la décroissance, à l'écologie
(prétexte du réchauffement climatique pour accroître l'interventionnisme
étatique) ou au protectionnisme, faute d'avoir saisi le mécanisme de l'échange
libre et de la balance des paiements. A l'extrême, les tenants de ces thèses
sont les luddites modernes (voir ici le néo ludisme maladie infantile de la
critique des technologies/), opposés à
toute forme de progrès. De surcroît, on note leur recours aux méthodes
violentes, à l'affrontement physique et à la provocation, en particulier lors
de sommets du G7/G8. Pour l’économiste indien Jagdish Bhagwati, les
revendications altermondialistes contre le libre-échange sont liées à la chute
visible du communisme, seul rival idéologique du capitalisme, chute qui aurait
créé un vide pour les «idéalistes dont la
conscience sociale se nourrit de la conviction que le capitalisme est source
d’injustice». La prétention des altermondialistes à offrir des propositions
allant «dans le sens de l’intérêt
général» relève de la démagogie en raison de l'impossibilité de définir cet
«intérêt général». L’excellent prix
Nobel d’économie Milton Friedman qui se définissait aux états unis comme «un Républicain avec un grand R et un libertarien avec un petit l »
(même avec un petit l, c’est très bien) le rappelle dans La Liberté du choix : «ceux qui croient agir en fonction de l'intérêt général sont en réalité
conduits à favoriser des intérêts particuliers qui ne font pas partie de leurs
intentions». Malgré leur prétention à la démocratie, les altermondialistes
remettent en cause les principes du libre choix et de la responsabilité
individuelle (paternalisme moralisateur concernant les comportements, parmi
lesquels celui de la «mal bouffe»).
https://emmaus-france.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
Henri Grouès dit l’abbé Pierre est à l’origine d’un
Mouvement qui rassemblerait aujourd’hui près de 18 000 personnes. Prêtre
catholique chrétien, longtemps personnalité préférée des Français, il a su
créer un Mouvement fondé sur une intuition inédite. En 1949, l’abbé Pierre est
appelé auprès d’un ancien bagnard qui vient de faire une tentative de suicide
et, devant son désarroi, il lui dira cette phrase fondatrice pour le Mouvement
Emmaüs : «Je ne peux rien te donner.
Mais, toi qui n’as rien, au lieu de mourir, viens m’aider à aider». Puis
une vie communautaire s’organise dans la maison qu’il a achetée à
Neuilly-Plaisance, autour de l’activité de chiffonnier… Une activité toujours
centrale chez Emmaüs ! Après les ravages de la guerre, les rigueurs de l’hiver
1954 tuent. Dans ce contexte de grave pénurie de logements, l’abbé Pierre lance
un célèbre appel sur les ondes de Radio Luxembourg. C’est le point de départ de
ce qu’on appellera «l’insurrection de la
bonté». Aujourd’hui, 60 ans après cet appel et cet élan de solidarité, le
Mouvement Emmaüs poursuit, jour après jour, une forme de «combat» qui n’est plus fidèle à celui de son fondateur Chrétien
mais à celui de l’internationale marxiste culturelle
.
https://www.etudiantsetdeveloppement.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
Etudiants et Développement (E&D) est une
association nationale de solidarité internationale et d’éducation populaire
animant un réseau d’associations qui
cherchent à créer des liens de solidarité à l’échelle internationale. Elle est
composée d’associations déclarées de loi 1901, dirigées par des jeunes
et/ou des étudiants qui ont choisi d’agir en réseau. E&D est
ouverte à l’ensemble des organisations de jeunes et/ou d’étudiants qui se reconnaissent
dans la charte d’E&D. Le réseau est
le plus largement ouvert et a vocation à rassembler un grand nombre
d’organisations. E&D est un réseau d’associations qui laisse leur place aux
individus. E&D s’adresse donc aussi à des personnes physiques à la fois
comme contributeurs ou participants aux activités marxistes culturelles de
l’association.
http://www.agriculturepaysanne.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
La Fadear est opposée au modèle agricole industriel des
pays développés, l’agriculture paysanne est menée comme un projet politique
dont les acteurs s’entendent dans le désir de développer un système agricole
alternatif. Voir
ici. Alors
agriculteur ou paysan ?
C'est
ici (allez cliquer, ça mord pas) que monsieur Lionel
Bardot s’interroge : "Paysan,
agriculteur, ou exploité agricole" ? Bof… marxistes culturels c’est
sûr !
https://www.federationsolidarite.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
La Fédération des acteurs de la solidarité, autrefois
Fédération nationale des associations d'accueil et de réadaptation sociale
(FNARS), est une fédération française d'organismes et d'associations proposant
aux personnes en situation de grave détresse sociale un accueil, un hébergement
et une aide à la réinsertion sociale. Créé en 1956, ce
réseau généraliste de lutte contre les exclusions fédère 870 associations ou
organismes qui gèrent 2 800 établissements et services sociaux accueillant,
hébergeant, logeant et insérant 900 000 personnes chaque année. La fédération a
une mission politique et de services ; elle représente ses adhérents, les
conseille, les informe et mutualise leurs expériences. Florent Gueguen est le
directeur général de la FNARS depuis 2011. En 2016, la FNARS change de nom pour
donner plus de visibilité à son nouveau projet fédéral. Monsieur Louis Gallois
en est le président. C’est encore un énorme «machin»
marxiste culturel pour détourner une partie des impôts des Français pour
entretenir toute une nomenklatura de feignants !
http://www.amf-federation.com/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
Écoutons les : L’association des Marocains en
France est créée en janvier 1961, elle a traversé toutes les étapes de
l’intégration des populations immigrées et issues de l’immigration. Sa ligne
socio-politique (marxiste culturelle) a
toujours été adaptée aux exigences de l’évolution historique de l’immigration
marocaine en France. Cette longévité est, avant tout, le signe d’une grande et
pertinente implication dans le vécu de l’immigration marocaine, et de la
volonté, en permanence renouvelée, de l’accompagner dans ses métamorphoses et
la soutenir dans ses luttes et ses espoirs pour une réelle intégration dans
l’espace républicain, et pour une véritable citoyenneté donnant à chacun les
chances de vivre dignement. (Le fait d’appeler à voter contre un parti inscrit
dans la démocratie en l’occurrence le Rassemblement National qui représente
quand même 24 millions de personnes est assez problématique, connaissez-vous au
Maghreb des Associations de Français qui appellerait à voter pour tel ou tel
candidat (quand il y en a ?). En outre, l’AMF a opté pour l’ouverture sur
les autres communautés (?) vivantes en France; ainsi elle compte parmi ses
militants des individus de nationalités différentes. Comme elle a opté aussi
pour une démarche maghrébine (?) complémentaire qui rassemble les associations
Tunisiennes, Algériennes et Marocaines dans des actions (?) et des structures
communes.
Ces braves
gens nous donnent leurs liens qui valent leur pesant de marxisme culturel, de
plus si vous ne savez pas bien ou passe le pognon de vos impôts, vous avez là
une belle liste de parasites collectivistes droits dans leurs babouches !
Sans compter certains syndicat dont un qui propose une «justice» allah mode marxiste culturelle.
ANCLI (Lien de l’Association des Marocains en France)
L’Agence Nationale de Lutte Contre l'Illettrisme est encore un bouffe pognon de
l’argent de vos impôts. D’abord soyons clair. Pour agir efficacement
disent-ils, il faut savoir tout d’abord de quoi on parle, de qui on parle, se
mettre d’accord sur les mots. Pour bien comprendre la réalité des situations
des personnes, et pour trouver des solutions appropriées, il faut disposer de
définitions simples et claires, cesser de confondre illettrisme analphabétisme,
apprentissage du français langue étrangère.
Illettrisme : On parle d’illettrisme pour des
personnes qui, après avoir été scolarisées en France, n’ont pas acquis une
maîtrise suffisante de la lecture, de l’écriture, du calcul, des compétences de
base, pour être autonomes dans les situations simples de la vie courante. Il
s’agit pour elles de réapprendre, de renouer avec la culture de l’écrit, avec
les formations de base, dans le cadre de la politique de lutte contre
l’illettrisme.
Analphabétisme : On parle d’analphabétisme pour
désigner des personnes qui n’ont jamais été scolarisées. Il s’agit pour elles
d’entrer dans un premier niveau d’apprentissage. Un de mes amis, Saïd,
descendant de Harkis Français d’Algérie disait : «moi je suis alphabète !».
Français Langue Etrangère (FLE) : Pour les
nouveaux arrivants dans notre pays, dont ils ne parlent pas la langue, on parle
de FLE. Il s’agit pour eux d’apprendre la langue du pays où ils résident.
Ces mots définissent donc des situations bien différentes. Être illettré, c’est
donc ne pas disposer, après avoir pourtant été scolarisé, des compétences de
base (lecture, écriture, calcul) suffisantes pour faire face de manière
autonome à des situations courantes de la vie quotidienne : écrire une liste de
courses, lire une notice de médicament ou une consigne de sécurité, rédiger un
chèque, utiliser un appareil, lire le carnet scolaire de son enfant, entrer
dans la lecture d’un livre…
CGET
(Commissariat général à l'égalité des territoires) (Lien de l’Association des Marocains en France).
Merveilleuse source de profit pour les étrangers résidant sur le sol
national qui récoltent la manne de l’argent des impôts de ces abrutis de
Francaouettes ! Créé par le décret n° 2014-394 du 31 mars 2014, le
Commissariat général à l’égalité du territoire (CGET) réunit les missions et
les agents de la délégation interministérielle à l’aménagement du territoire et
à l’attractivité régionale (Datar), du secrétariat général du comité
interministériel des villes (SGCIV) et de l’Agence nationale pour la cohésion
sociale et l’égalité des chances (Acsé). Depuis le 1er janvier 2018, le CGET
est rattaché administrativement au ministre chargé de l’aménagement du
territoire et de la ville par le décret n° 2017-1860 du 30 décembre 2017.
Savez-vous piquer des sous ? Allah mode allah mode, savez-vous piquer des
sous allah mode du CGTE ?
https://www.cncdh.fr/ (Lien de l’Association des Marocains en France). La
Commission Nationale Consultative des Droits de l'Homme.
Les «Doigts» de l’homme, vous
avez dit doigts de l’homme ? Vous savez ou vous pouvez vous les mettre vos
«doigts» ?
Les droits de l'homme seraient les droits naturels supérieurs aux lois
et autres normes étatiques, censés concerner tout être humain sans distinction
de nationalité, de race ou de classe sociale (?), et dont chaque individu
dispose nécessairement et irrévocablement. La déclaration des droits de l'homme
et du citoyen de 1789 «reconnait et
déclare» (et non proclame) ainsi les droits de liberté, propriété, sûreté
et résistance à l'oppression. D'abord constituée de droits contre la puissance
publique (droit-résistances), l'acception moderne du terme (manifestement
erronée et marxiste culturelle) englobe aussi des droits sur l'État
(droit-créances, ou faux droits) comme l'éducation ou la culture. Cette
évolution a pour pendant celle du sentiment général selon lequel c'est à l'État
de garantir les fameux «droits de l'homme».
Ainsi dans le droit positif, les droits de l'homme seraient défendus par la
loi, les conventions et institutions internationales et le juge.
Seulement voilà, ces fameux «droits
de l’homme» sont dévoyés par l’état marxiste culturel, car ils en font un
usage inconsidéré notamment au sujet des immigrés ou futur immigrés. Ayn Rand l’avais bien vu : «Les emplois, la nourriture, les
vêtements, les moyens de distraction, les maisons, les soins médicaux,
l'éducation, etc., ne poussent pas sur les arbres. Ce sont des produits de
l'action humaine; des biens et des services qui ont été créés par quelqu'un.
Qui sera là pour les fournir ?
Si certains ont le «droit» de vivre aux dépens du travail des autres, cela veut dire que ces autres sont privés de leurs Droits et condamnés à travailler comme des esclaves. Tout prétendu «droit» d'un homme, qui nécessite de violer les Droits d'un autre homme, n'est pas, et ne peut pas être un Droit. Personne ne peut avoir le Droit d'imposer une obligation que l'on n'a pas choisie, un devoir sans récompense ou une servitude involontaire. II ne peut pas y avoir de «droit de réduire des hommes à l'esclavage». Un Droit n'implique pas sa concrétisation matérielle par l'action d'autres hommes; il implique uniquement la liberté pour chacun de parvenir à cette concrétisation grâce à son propre effort. (…) Une tyrannie collectiviste ne peut se permettre de réduire tout un pays à l'esclavage par la confiscation ouverte de ses productions, matérielles ou morales. Elle ne peut parvenir à cette fin que par un processus de corruption interne (c’est ce qui ce produit aujourd’hui en France avec le marxisme culturel). De même que dans le domaine matériel le pillage de la richesse d'un pays se fait par une politique d'inflation sur la monnaie, l'on peut aujourd'hui observer la mise en place d'un processus d'inflation dans le domaine des Droits. Ce processus repose sur une telle prolifération de «nouveaux droits» récemment proclamés tels que les gens ne se rendent pas compte que le sens du concept est inversé. De même que la mauvaise monnaie est imposée à la place des bonnes, ces droits en monnaie de singe détruisent les Droits authentiques. Considérez ce fait curieux : jamais l'on n'a observé à un tel point, tout autour du monde, la prolifération de deux phénomènes apparemment contradictoires : les prétendus «nouveaux droits» et les camps de travail forcé, la suite en cliquant ici.
Si certains ont le «droit» de vivre aux dépens du travail des autres, cela veut dire que ces autres sont privés de leurs Droits et condamnés à travailler comme des esclaves. Tout prétendu «droit» d'un homme, qui nécessite de violer les Droits d'un autre homme, n'est pas, et ne peut pas être un Droit. Personne ne peut avoir le Droit d'imposer une obligation que l'on n'a pas choisie, un devoir sans récompense ou une servitude involontaire. II ne peut pas y avoir de «droit de réduire des hommes à l'esclavage». Un Droit n'implique pas sa concrétisation matérielle par l'action d'autres hommes; il implique uniquement la liberté pour chacun de parvenir à cette concrétisation grâce à son propre effort. (…) Une tyrannie collectiviste ne peut se permettre de réduire tout un pays à l'esclavage par la confiscation ouverte de ses productions, matérielles ou morales. Elle ne peut parvenir à cette fin que par un processus de corruption interne (c’est ce qui ce produit aujourd’hui en France avec le marxisme culturel). De même que dans le domaine matériel le pillage de la richesse d'un pays se fait par une politique d'inflation sur la monnaie, l'on peut aujourd'hui observer la mise en place d'un processus d'inflation dans le domaine des Droits. Ce processus repose sur une telle prolifération de «nouveaux droits» récemment proclamés tels que les gens ne se rendent pas compte que le sens du concept est inversé. De même que la mauvaise monnaie est imposée à la place des bonnes, ces droits en monnaie de singe détruisent les Droits authentiques. Considérez ce fait curieux : jamais l'on n'a observé à un tel point, tout autour du monde, la prolifération de deux phénomènes apparemment contradictoires : les prétendus «nouveaux droits» et les camps de travail forcé, la suite en cliquant ici.
Alors les esclaves ça va toujours ? Vous les sentez bien
profond les «doigts» de
l’homme ? Mais ce n’est pas fini, vous allez rire… jaune ? Et
répétons tous en cœur: «Oh wonderful
world of human rights that your collectivist tyranny reigns for the eternity.
Amen». Le
«Prix des Droits de l’Homme de la
République française –Liberté – Egalité – Fraternité», très richement doté
financièrement par le Premier ministre du Gouvernement français (de la «caste») qui dilapide ainsi l’argent des
impôts des Français, est décerné par la tyrannie collectiviste dite commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH).
Destiné à récompenser des actions de terrain et des projets, individuels ou
collectifs, portant sur la protection et la promotion effectives des fameux «droits de l’Homme», ce prix est remis à
Paris -ou le cas échéant dans le pays de résidence du lauréat - le 10 décembre
de chaque année, à l’occasion de la journée des droits de l’Homme proclamée par
les Nations Unies.
Fhttps://www.iledefrance.fr/ (Lien de l’Association des Marocains en France).
Wonder, oh brave new world! Encore une preuve de plus de la subvention
par les impôts des Français d’associations d’étrangers d’obédience gauchistes
marxistes culturelles. Alors les tites n’esclaves, ça va toujours ?
DAAEN (direction de l’accueil, de
l’accompagnement des étrangers et de la nationalité) (Lien de l’Association des Marocains en France). Si
des fois vous ne sauriez pas ou passe l’argent de vos impôts demandez à
monsieur Pierre-Antoine Molina ancien élève comme Chirac et Macron de l'E.N.A.
(promotion Copernic) ancien directeur au ministère de l’intérieur du socialiste
Manuel Valls et Bernard Cazeneuve qui en est aujourd’hui le directeur. Ah les
copains et les coquins !
https://defenseurdesdroits.fr/ (Lien de l’Association des Marocains en France). L’article
71-1 de la loi constitutionnelle n°2008-724 du 23 juillet 1958 - art. 41 crée un défenseur des droits sans
préciser quelle sont ces fameux droits.
Le Défenseur des droits veille au respect des droits et libertés par les
administrations de l'État, les collectivités territoriales, les établissements
publics, ainsi que par tout organisme investi d'une mission de service public,
ou à l'égard duquel la loi organique lui attribue des compétences. Il peut être
saisi, dans les conditions prévues par la loi organique, par toute personne
s'estimant lésée par le fonctionnement d'un service public ou d'un organisme
visé au premier alinéa. Il peut se saisir d'office. Ces
«droits
à» (ou droits-créances) sont de «faux-droits»
économiques et sociaux : le droit à
la sécurité sociale,
le droit aux congés payés, le droit à
l'éducation, le droit
au logement, droit à
l'image, droit à la solidarité, aux loisirs etc.
Expression d'une folie législative marxiste culturelle et d'un bataillon de
revendications collectivistes exigibles se portant garants d'un proclamé «devoir
d'État», ces «droits» se sont
développés sans référence à la propriété, à la responsabilité et à la liberté de contracter de l'individu ; ils ne proviennent que de décisions
étatiques arbitraires destinées à satisfaire une clientèle électorale via des «prestations»
publiques. Certains partisans de la dénaturation du droit tendent à les
assimiler abusivement à des droits de l’Homme.
Alors les esclaves ça va toujours bien ? Même les
belges ?
Egalité contre le racisme (Lien de l’Association des Marocains en France). Le racisme est l’affaire de chacun d’entre nous
surtout le racisme anti blanc. Ses manifestations portent gravement atteinte à
la dignité humaine et à l’égalité entre toutes les personnes.
Une
initiative du fameux «Défenseur des
droits» pour faire face au non moins fameux «racisme» chose particulièrement aberrante car le défenseur des
«droits» est là pour être saisi, dans les conditions prévues par la loi
organique, par toute personne s'estimant lésée par le fonctionnement d'un
service public. Plusieurs raisons ont amené le Défenseur des droits, autorité
indépendante de rang constitutionnel, à sortir de son rôle et à lancer en
octobre 2014 un appel pour «mobiliser la
défense de l’égalité contre le racisme» : Il a pour missions de promouvoir
l’égalité et de lutter contre les discriminations ; il est régulièrement
interpellé par les acteurs de la lutte contre le racisme sur la propagation des
propos racistes dans les espaces d’expression publique. De nombreuses
initiatives existent déjà et participent quotidiennement à lutter contre le
racisme, mais elles resteraient trop souvent méconnues. Le Défenseur des droits
a réuni avec l’argent des impôts des Français dont il est prodigue (ce n’est
pas son fric et puis il ne faut pas oublier les «potes» gauchiottes dans la distribution du pognon, les bons amis
rouges qui vont voter contre l’extrême droite) différents partenaires pour
organiser une réponse globale pour faire face à toutes les manifestations du
racisme : propos, actes, discriminations, violences. Aujourd’hui 52
organisations gauchistes et marxistes culturelles ont répondu à l’appel lancé
par Jacques Toubon en octobre 2014, créant une mobilisation massive et inédite
dans la lutte contre le racisme. Celle-ci regroupe des acteurs très divers,
parfois très éloignés de la lutte contre le racisme, qui apportent chacun une
précieuse contribution (c’est à dire du pognon et un retour d’ascenseur pour
l’avenir). Parmi ces idiots utiles, on compte : des entreprises comme Casino,
la SNCF, La Poste, Google, Twitter, Facebook, Aéroports de Paris ; des acteurs
institutionnels comme le CSA ou la CNIL ; des associations comme SOS-Racisme,
la LDH, le MRAP qui distille de la haine des juifs et la LICRA ; des acteurs de
la fameuse «culture» comme le Musée de
l’histoire de l’immigration ou le camp des Milles. Mon opinion
est que si le racisme est assurément condamnable du point de vue de l'éthique, il ne l'est du point de vue du droit que dans la mesure où il se traduit
en actes violents qui lèsent autrui dans sa personne ou dans sa propriété. Criminaliser l'expression
du racisme revient à établir un ordre moral et à imposer la police de la pensée
à l'encontre de la liberté
d'expression. Les lois
antiracistes, tout comme les lois racistes (discrimination «positive») imposées par l'Etat, violent les droits légitimes des
personnes. Seul un comportement non conforme à l'axiome
de non-agression est illégitime
et donc punissable. Dans une société libérale, une opinion xénophobe ou raciste
ne serait donc pas poursuivie judiciairement, non parce qu'il ne s'y trouverait
aucun raciste (ce qui est impossible), mais parce que le délit d'opinion n'y
existerait tout simplement pas. Reste que, sur le plan des principes, le
racisme est profondément incompatible avec l'universalisme libéral. En effet,
une telle opinion pèche par holisme et collectivisme ethnique, ce qui la situe aux antipodes de l'individualisme que défend le libéralisme. Au final, si les libéraux se refusent à en appeler à
une condamnation pénale des idées racistes, qu'elles soient exprimées oralement
ou par écrit, ils s'y opposent moralement tout en refusant leur prohibition. À
la censure politique, ils préfèrent par conséquent la libre expression des opinions,
fussent-elles les plus contraires à leurs principes. «Le racisme est la forme la plus abjecte et la plus brutalement
primitive du collectivisme. Le racisme reconnaît un groupe et attribue ses
vertus ou ses défauts, sa supériorité ou son infériorité à son origine raciale.
Or il n'y a que des esprits individuels et des réalisations individuelles. [...]
Le racisme est porté par le collectivisme
et son corollaire l'étatisme. Son seul antidote est la philosophie
individualiste et son corollaire le capitalisme de laissez-faire» dira Ayn
Rand. Et nous en terminerons avec l’idole des marxistes culturels Karl Marx
lui-même qui disait : «Les classes
et les races trop faibles pour maîtriser les nouvelles conditions de vie
doivent laisser le champ libre. (...) [Elles doivent] périr dans l’holocauste révolutionnaire». CQFD.
OFII (Lien de l’Association des Marocains en France).
L’Office Français de
l’Immigration et de l’Intégration. L’Ordonnance du 2 novembre 1945 (Chapitre V)
signée par le général de Gaulle crée l’Office national d’immigration, l’ONI, et
le charge, à titre exclusif, «du
recrutement pour la France et de l’introduction en France des immigrants
étrangers». Le décret d’application du 26 mars 1946 fait de l’ONI un
établissement à caractère administratif sous tutelle du ministère du Travail et
lui confère la mise en œuvre des opérations de recherche, de sélection professionnelle,
de visite médicale et d’acheminement du personnel étranger ainsi que les
opérations d’introduction en France des familles. Depuis cette date, l’histoire
de l’établissement et de ses successeurs, l’OMI, l’ANAEM, l’OFII, se confond
avec l’histoire de l’immigration légale en France. Créé en 2009, l’OFII est désormais le seul opérateur
de l’Etat en charge de l’immigration légale. Plus de 900 agents grassement
rémunérés travaillent à l’Office en France au siège parisien et dans plus de
cinquante directions territoriales, délégations ou plates-formes hébergées qui
permettent de couvrir l’ensemble du territoire national. A l’étranger, l’OFII
est représenté dans huit pays : le Maroc, la Tunisie, la Turquie, la Roumanie,
le Mali, le Sénégal, le Cameroun, l’Arménie. Le seul truc un peu bien de ce
machin bouffe sous du contribuable est là : http://www.retourvolontaire.fr/.
ACORT (Turquie) (Lien
de l’Association des Marocains en France)
Bien qu’elle ait été officiellement interrompue en France, en 1974,
l’immigration en provenance de Turquie s’est en réalité poursuivie. Ainsi, dans
les années 80, nombre d’immigrés originaires de Turquie se trouvaient en
France, sans titre de séjour et de travail. Dès 1980, avec le soutien des
travailleurs en situation régulière, le mouvement de revendication des «sans-papiers»
s’est développé : il a eu pour résultat la régularisation de tous. Alors les
esclaves contents de bosser comme des turcs pour des Turcs ?
ADTF (tunisiens) (Lien
de l’Association des Marocains en France). L’Association Démocratique des
Tunisiens en France milite pour une énorme absurdité marxiste culturelle !
Ils nous disent : «Dans le contexte
du Brexit, des élections européennes du 23 mai et des prochaines élections
municipales de mars 2020, les résidents étrangers non ressortissant de l’union
européenne n’ont pas le droit de voter et d’être élus dans les conseils
municipaux ou au parlement européen, contrairement aux étrangers ressortissant
d’un Etat de l’UE. L’absence de participation de tous les résidents étrangers à
la décision politique profite immédiatement aux discours populistes et
xénophobes, qui progressent dans l’électorat et dans les représentations avec
toutes les menaces que cela représente pour la Démocratie, la Liberté, la
Fraternité et l’Egalité de Droits. C’est dans une démarche de conquête de
droits, tant promis et jamais concrétisés, que l’Union des Tunisiens pour
l’Action Citoyenne (Utac), l’Association Démocratique des Tunisiens en France
(ADTF) et la Fédération des Tunisiens pour une Citoyenneté des deux Rives (FTCR),
invitent le collectif «J’y Suis, j’y vote» pour échanger autour des
interventions possibles dans les campagnes électorales pour rappeler ces
notions fondamentales d’élargissement de la démocratie et de défense de
l’Egalité des Droits. Le débat sera introduit par : Madame Catherine
Teule, ancienne Secrétaire Générale de La Ligue des Droits de l’Homme, monsieur
Bernard Delemotte de la Lettre de la Citoyenneté, ASECA et Un membre du
collectif allemand «Freibourg Collectif 100%» agissant pour le Droit de Vote de
tous les Etrangers». En France même les cons ont le droit de voter,
d’ailleurs il n’y a qu’à voir le résultat avec Macron, mais ce n’est pas encore
demains que les musulmans étrangers vont pouvoir voter en France.
Alarmphone (Lien
de l’Association des Marocains en France). Association Allemande très marxiste
culturelle qui propose un numéro «d’alarme»,
une «assistance» téléphonique disent-ils pour les personnes en situation de
«détresse» en mer allant jusqu’à
préciser : Pas un sauvetage mais une alarme !
Exemple :
Diiiiing. Allo. Allo oui ci Ali. Bijour Ali comment ça va ? Ça va, ji suis
dans la mer merditerané, si loin la Fronce ? T’inquiète Ali on
arrive ! En attendant nage.
Ancien Marin d’état (Maître mécanicien de réserve et nageur de combat),
chef mécanicien de la marine marchande, je suis très sensible au devoir
d’assistance à des personnes ou à des bâtiments en difficulté appelant à
l’aide. Les bâtiments les plus proches doivent se dérouter pour porter
assistance et les moyens de sauvetage sont automatiquement mis en œuvre,
souvent au péril de la vie des sauveteurs et j’en sais quelque chose. Ce n’est
absolument pas le cas de ces fameux «migrants»
qui se mettent volontairement en danger en appareillant sur des embarcations de
fortune incapables de les conduire là où ils souhaiteraient aller. Il n’y a
pas, dans ce cas, un «droit» à
assistance tant que les personnes ne sont pas en danger, c’est-à-dire tant que
les migrants ne sont pas devenus des naufragés dont la vie est immédiatement
menacée. Tout bateau est, dans ce cas, tenu de porter assistance aux naufragés
dont ils sont proches. Sans oublier de les ramener dans leur port
d’origine ! A ce sujet, une remarque s’impose: la route maritime allant de
Suez à Gibraltar est très fréquentée par tous les bateaux se rendant en Europe
occidentale ou en venant, en particulier par la Manche et la mer du Nord. Ce
trafic dessert de très grands ports – Le Havre, Anvers, Amsterdam, Hambourg -,
sans parler des ports méditerranéens – Gênes, Marseille, Barcelone. Chaque
jour, des dizaines de cargos et de navires à passagers passent au nord de la
Libye et au sud de la Sicile. Or, jamais, au grand jamais, on n’a appris qu’un
de ces bateaux s’était dérouté ou avait récupéré des «naufragés». Ceci signifie que, pour les capitaines de ces bateaux,
les migrants qui s’exposent volontairement ne sont pas des naufragés. Les
bateaux des associations d’ultra gauchistes qui vont à la recherche de migrants
au large de la Libye et de la Tunisie ne sont pas là pour sauver des naufragés
mais pour transférer illégalement des migrants en Europe. Dans ces conditions,
les États riverains n’ont aucune obligation d’accueillir ces futurs
clandestins. Les idiots utiles d’ultra gauche exercent un immonde chantage qui
a pour effet d’augmenter le flux des migrants économiques illégaux dont le but
unique est de débarquer en Europe pour s’en mettre plein les fouilles au
détriment des autochtones qu’ils pillent sans vergogne. Quand on sauve un ou de
véritables naufragés, on les débarque dans le port le plus proche, qui peut
être en Tunisie, en Algérie, voire en Égypte, d’où ils sont reconduits vers
leur pays d’origine. Dans le cas actuel, les migrants illégaux, une fois
débarqués en Europe, deviennent des demandeurs d’asile quel que soit leur pays
d’origine et acquièrent des droits à des aides, et si leur statut de demandeur
d’asile ne leur est pas reconnu, ils disparaissent dans la nature et deviennent
des clandestins souvent inexpulsables. Si on veut tarir ce flux, il faut que
tous les pays d’Europe aient la même politique de fermeté et refusent à céder
au chantage des soi-disant ONG, financées par l’argent de vos impôts d’esclaves
de ce brave new world !
AMERM (Lien de
l’Association des Marocains en France). Finalement le Maroc ce ne doit pas être
un si beau pays que ça si tous ces citoyens ne pensent qu’à foutre le camp et
venir en France ! L’Association Marocaine d’Etudes & de Recherches sur
les Migrations (AMERM) a été fondée en février 1994 à Rabat par un groupe
d'enseignants chercheurs venant de différents horizons de connaissance et de
formation.
L’AMERM est membre du comité scientifique du Congrès mondial : Mouvements
humains et immigration.
Membre du comité scientifique pour la biennale sur les dynamiques
migratoires maghrébine pilotée par le Centre des Droits des migrants et
Génériques. Membre du Conseil
Scientifique de la Chaire de l’UNESCO « Migrations et droits humains».
Université Hassan II. Ain Chok. Casablanca.
Membre du réseau méditerranéen de formation et recherche en droits de
l’homme.
Membre du secrétariat du Comité de Coordination Euromed Maroc.
Membre du Réseau
Marocain Euromed des ONG.
Amnesty France (Lien
de l’Association des Marocains en France)
Qu'est-ce
qu'Amnesty International ? On dit souvent: «L'important
c'est de participer». C'est très bien, mais pour nous, ce n'est pas assez. Lorsqu'il
s'agit de «droits humains»,
l’important ce n'est pas de participer, l’important c'est de gagner. Nous ne
voulons pas d'une médaille de participation. Nous voulons remporter des victoires,
sans cesse. C’est la lutte finale quoi !
ANAFE (Lien de
l’Association des Marocains en France)
Partie de la nébuleuse marxiste culturelle de la haine
rouge. Depuis le milieu des années 80, pour lutter contre l’immigration
irrégulière, les Etats européens ont développé certaines mesures et pratiques
de bon sens, en lien notamment avec le renforcement des contrôles aux
frontières et des conditions restreintes d’accès au territoire européen
(généralisation de l’exigence de visas, amende aux compagnies de transport,
etc.). Ces excellentes mais très incomplètes mesures entrent dans le cadre
d’une politique de plus en plus juste et stricte des contrôles des flux
migratoires. En France, les conséquences les plus manifestes de ce durcissement
ont été constatées aux frontières aériennes, terrestres et maritimes, en raison
de l’invisibilité de ces lieux. Témoins à plusieurs reprises de situations que
des idiots utiles ou des marxistes culturels trouvent inadmissibles, des
membres de plusieurs organisations professionnelles marxistes culturelles et
syndicales d’ultra gauche (de personnel au sol ou navigant) ont pris contact,
au cours de l’année 1988, avec des organisations marxistes de prétendue défense
des droits humains pour échanger des informations et se concerter en vue
d’actions communes (parmi ces braves gens se trouve le MRAP marxiste et
communiste qui distille de la haine des juifs). S’est ainsi constituée
l’Association nationale d’assistance aux frontières pour les étrangers (Anafé),
d’abord de manière informelle mais dans l’absolue l’application de la règle N°
2 régissant l’application du marxisme culturel à savoir l’encouragement de
l’immigration de cultures exotiques qui auront du mal à s’intégrer, généreront
des tensions et contribueront à la destruction progressive de l’identité de la
race blanche et des valeurs démocratiques. C’est en partie la puante idéologie
multiculturelle.
Créée
en 1989, l’Anafé subventionnée par l’argent des contribuables «travaille»
depuis plus de vingt-cinq ans dans les zones d’attente afin de démolir la
société. Composée de 21 organisations (associations et
syndicats), l’Anafé regroupe 9 des 15
associations habilitées à visiter les zones d’attente. Des milliers d’étrangers
se voient très justement refuser l’entrée sur le territoire et sont maintenus
en zone d’attente pendant plusieurs jours, voire plusieurs semaines, dans des
conditions difficiles, mais rien ne les avaient obligé à venir chez nous.
Jusqu’en 1992, il n’y avait aucun fondement légal à cette privation de liberté.
L’une des premières actions de l’Anafé a conduit le ministère de l’intérieur à
légiférer pour donner une base légale au maintien des étrangers en zone
d’attente : c’est ainsi qu’est entrée en vigueur la loi Quilès du 6
juillet 1992, créant le régime juridique et la procédure de zone d’attente,
modifiés à de nombreuses reprises depuis.
Les organisations membres de
l’ANAFE :
Deux femmes sont à l’origine
de la création de l’ACAT le 16 juin 1974. Lors d’une conférence d’un prétendu «pasteur»
Vaudois, Tullio Vinay (De 1976 à 1983, Tullio Vinay a été membre du Sénat
de la République italienne, élu en tant qu'indépendant sur la liste du Parti
communiste italien), rentrant du Vietnam Sud exhibait au cours d’une
conférence, des photos d’hommes, femmes et enfants mutilés suite à des séjours
prolongés dans les fameuses cages à tigres. Édith du Tertre et Hélène Engel,
protestantes, se sentent appelées par cette phrase : «Pendant combien de temps laisserons-nous défigurer le visage du Christ
?» (Ce devait être le petit Jésus Soviétique).
Elles
décident alors de s’engager dans la religion séculaire marxiste et de
transmettre leur indignation à géométrie variable : elles fondent l’Action
des soi-disant chrétiens pour l’abolition de la torture (ACAT) avec des amis
issus de toutes les confessions chrétiennes, car elles estiment qu’il est du
devoir des chrétiens, plus encore que les autres, de lutter contre ce qu’elles
appellent le scandale de la torture. La vocation œcuménique, jamais démentie, de l’ACAT est née.
L’ACAT se donnera pour but
de combattre la torture partout dans le monde, sans distinction idéologique,
ethnique ou religieuse (Sauf en Chine communiste en Corée du Nord Communiste,
au Vietnam, Cambodge, Laos communistes, Zimbabwe etc. Par la suite, l’abolition
de la peine de mort sera ajoutée à son mandat, ainsi que la fameuse défense du non
moins fameux «droit» d’asile. Aujourd’hui,
l’ACAT-France est reconnue d’utilité publique et d’éducation populaire
(c’est-à-dire subventionnée à 100% par les contribuables). C’est la première
ACAT du réseau international FIACAT, Fédération
internationale de l’ACAT – ayant statut
consultatif auprès des Nations unies. L’ACAT-France regroupe des milliers de
membres adhérents et donateurs.
Association-d-Accueil-aux-Medecins-et-Personnels-de-Sante-Refugies-en-France (membre de
l’ANAFE)
L’association aide à l’intégration des professionnels
de santé qui sont en France réfugiés, bénéficiaires de l’asile territorial et
demandeurs d’asile ou apatrides. Elle collabore avec d’autres associations marxistes
culturelles engagées dans la défense du droit d’asile et des réfugiés. Contacts
avec les ministères concernés et participation à des commissions ; diffusion
d’informations spécifiques ainsi que des animations d’antennes en province.
Avocats pour la Défense des Droits des
Étrangers (ADDE)
Membre du Conseil d’administration de la nébuleuse marxiste culturelle de la haine rouge l’ANAFE.
Membre du Conseil d’administration de la nébuleuse marxiste culturelle de la haine rouge l’ANAFE.
Le «droit» des
étrangers n’existe pas.
Les marxistes culturels
devraient bien savoir que «Personne n’a le Droit de s’installer chez les
autres sans y avoir été invité»
L’état, qui est illégitime, n’a pas le Droit de laisser entrer sur
le «sol national», qui est en réalité la propriété légitime de résidents
privés à qui il a usurpé le Droit de les inviter, la présence d’individus que
ceux-ci- n’y auraient pas invités. Donc, l’affirmation d’un prétendu «droit
d’immigrer librement» est, comme la condamnation de l’«ordre moral»
et pour la même raison, la négation d’un aspect du Droit de propriété légitime
qui lui est inhérent. Certains libéraux minarchistes dont je fais partie
l’acceptent parce qu’ils admettent l’usurpation de cette fonction par les
hommes de l’état tout en refusant qu’ils l’exercent par crainte justifiée de
leur arbitraire.
Cette
usurpation, ou «intégration forcée», a pour conséquence que certains
individus se trouvent sur le «sol national» alors qu’ils ne devraient
pas s’y trouver, et que certains autres ne s’y trouvent pas alors qu’ils
devraient y être. De
ce fait, sur le sol national, le soupçon est unilatéral : il pèse bien sur les
seuls «étrangers» invités par les hommes d’un état lui-même illégitime,
et dont la présence est de ce fait a priori illégitime.
Je voudrais toutefois rendre ici un hommage aux immigrés clandestins.
Car l'immigré clandestin pèse moins que l'immigré régulier sur les
comptes de la Sécurité Sociale, et il n'alimente pas les arguments de ceux qui
fondent leur juste xénophobie sur le colossal prélèvement qu'opèrent les
étrangers sur les moyens et les services du «Club France», tout
simplement parce qu'il ne dispose pas des papiers nécessaires pour accéder à la
plupart des faveurs de l'État-Providence. Face aux problèmes de société
que soulève l'immigration et malgré leurs divergences idéologiques, les hommes
de l'État - ceux qui sont en place, comme ceux qui voudraient l'être - sont au
moins unanimes sur un point : il faut lutter contre l'immigration clandestine.
Cette lutte constitue la priorité affichée de toutes les politiques
d'immigration qui nous sont proposées, de quelque parti qu'elles émanent. Une
unanimité trop criante pour être honnête... En fait, bouc émissaire facile d'un
problème difficile, l'immigré clandestin présente des avantages que n'a pas
l'immigré régulier. En premier lieu, par son travail au noir, l'immigré
clandestin abaisse les coûts monétaires et non monétaires de la main d'oeuvre.
II renforce la compétitivité de l'appareil de production et freine le processus
de délocalisation des entreprises qui trouvent sur place ce qu'elles sont
incitées à chercher à l'extérieur. Il facilite les adaptations de l'emploi aux
variations conjoncturelles et augmente la souplesse du processus productif. Le
clandestin, qu'il soit étranger ou national, ne fait qu'anticiper les
allègements légaux de charges sociales qui tendent à se généraliser. Animant le
réseau de "l'économie informelle ", il participe à ce qui est à la
fois une régulation non négligeable des fluctuations économiques, et une bouée
de sauvetage pour nombre d'institutions en situation désespérée. L'immigré
clandestin qui ne participe pas au financement du système de protectorat
social, ne participe pas non plus à son exploitation au détriment des
cotisants, du fait même de sa clandestinité. Ceci compense cela, tout
simplement parce qu'il ne dispose pas des papiers nécessaires pour accéder à la
plupart des faveurs de l'Etat-Providence, dont on connaît les exigences en
matière de paperasserie. L'immigré clandestin pèse ainsi moins que l'immigré
régulier sur les comptes de la Sécurité Sociale, et il n'alimente pas les
arguments de ceux qui fondent leur xénophobie sur le prélèvement qu'opèrent les
étrangers sur les moyens et les services du " Club" France. Enfin,
ceux qui craignent de voir un jour le droit de vote accordé aux étrangers
résidant régulièrement sur le territoire national peuvent être rassurés avec
l'immigré clandestin qui, par définition et à cause de son irrégularité, ne
pourra participer à ces réjouissances électorales. La politique, qui n'est
souvent qu'un moyen de faire prévaloir la subjectivité de sa foi en la parant
de l'autorité de la loi, est une voie dont l'accès lui est fermé. Ce n'est pas
l'immigré clandestin qui pourra utiliser le monopole public du pouvoir de
coercition pour nous imposer des règles de vie contraires à nos habitudes. Mais
justement, l'immigré clandestin ne viole-t-il pas ces règles de vie en société
? Pas nécessairement, car s'il est vrai qu'il ne respecte pas les règles
définies par l'État, il est faux de croire que ces règles étatiques recouvrent
toutes les règles de la vie en société. La législation n'est pas le Droit,
comme la légalité n'est pas la légitimité, et comme aucune loi ne fixe les principes
de la politesse. Dès lors que l'immigré clandestin respecte les règles
naturelles de la vie en société, telle que par exemple le respect de la parole
donnée, et même s'il est hors-la-loi, il mérite moins l'expulsion que ceux qui
font l'inverse. Enfin, dans un monde où la puissance tutélaire de l'État se
fait de plus en plus étouffante, ce clandestin inconnu nous montre le chemin de
l'indépendance et réveille notre sens anesthésié dé la liberté individuelle. A
ce titre, il valait bien cet hommage qui n'a du paradoxe que la forme. (source)
Comède,
Comité pour la santé des exilés Membre du Conseil d’administration
et du Bureau de l’ANAFE (Du
sérieux !)
Créé en 1979, le Comité marxiste culturel pour la
santé des exilés (Comede) s’est donné pour mission d’Agir en faveur de la santé
des exilés et de défendre leurs droits. En près de 40 ans, le soin et
l’accompagnement de 150 000 personnes de plus de 150 nationalités dans le cadre
des consultations et des permanences téléphoniques ont fait du Comede un acteur
essentiel de la solidarité à l’égard des migrants/étrangers et un dispositif
d’observation privilégié de leur santé et de leurs conditions d’accès aux
soins. Les activités d’accueil, soins et soutien des exilé.e.s, ainsi que
d’information, formation et recherche sont indispensables pour répondre aux
objectifs de l’association. Les actions du Comede sont conduites en partenariat
avec des associations, institutions et professionnels de la santé, du droit et
de l’action sociale. Vous aurez noté qu’ici on nous parle d’exilés et même
comme nous sommes en marxistoculturelanie d’exilé-e-s en inclusif. Mettons les
choses au point avec ci-après avec un petit lexique de l’asile. «Étranger» : Individu n’ayant pas la
nationalité de l’État considéré.
«Migrant» : Le terme qualifie
une personne qui se déplace d’un pays à un autre. Son usage est jugé comme
inadapté par certains journalistes et OMC (Organisations Marxistes Culturelles)
pour qualifier les étrangers qui cherchent à émigrer massivement en Europe ces
derniers mois pour des raisons «économiques».
«Réfugié»:
Personne qui, «craignant avec raison
d’être persécutée (…) se trouve hors
du pays dont elle a la nationalité». Ce statut défini par la Convention de
Genève donne droit à la protection du pays qui l’accorde. «Demandeur d’asile»: Personne demandant
à obtenir son admission sur le territoire d’un État en qualité de réfugié et
attendant que les autorités compétentes statuent sur sa requête.
«Exilé»: L’exilé a, volontairement ou
non, quitté sa patrie, sous la contrainte d’un bannissement ou d’une
déportation, l’impossibilité de survivre ou la menace d’une persécution. «Expatrié»: Un expatrié est un individu
résidant dans un autre pays que le sien. La définition est très large, mais le
terme est utilisé principalement pour les ressortissants de pays du Nord qui
travaillent à l’étranger.
Il y a deux manières de traiter le grave problème de
l'immigration et il n’est pas en changeant le nom des migrants en «exilés»: de façon autoritaire
(réglementations, contrôles, répression et même préférence nationale et autres
procédés fleurant bon l'étatisme) ou de façon libérale, en autorisant toute
immigration, mais en supprimant les motivations malsaines (État-providence,
protection sociale, soins gratuits et autres), les seules qui n'enrichissent
pas le pays d'accueil. La contradiction propre à la social-démocratie est
qu'elle attire les moins favorisés (immigration) et fait fuir les plus capables
ou les plus taxés (émigration), ce qui alimente un processus d'appauvrissement
général du pays : Milton Friedman dira : «Si l'État-providence n'existait pas, si nous avions une complète
liberté des marchés, il serait alors logique de laisser la porte grande ouverte
à l'immigration. Mais avec l'État-providence c'est impossible. Sa présence
implique de contrôler l'immigration».
Créé à Paris en octobre 1999, Le Comité Tchétchénie
tente de mobiliser l’opinion publique afin de pousser le gouvernement français
et les organisations internationales à agir pour mettre fin à l’occupation
russe en Tchétchénie et participer à la reconstruction de cette république.
Nous tentons d’apporter notre aide aux différentes initiatives humanitaires.
Nous soutenons les réfugiés tchétchènes en France, et collaborons avec les
comités créés dans d’autres villes en France et ailleurs. Nous soutenons tous
ceux qui, en Russie, luttent contre cette guerre : organisations de défense des
droits de l’homme, antimilitaristes, anarchistes, écologistes. Enfin,
inscrivant notre action dans la durée, nous cherchons à coopérer avec toutes
les organisations tchétchènes qui pourraient être partie prenante dans la
construction d’une société civile en Tchétchénie. La recherche et la diffusion
d’informations sont de nos priorités. Alors que les autorités russes cherchent
par tous les moyens à faire le blocus de l’information, nos contacts avec des
organisations de défense des droits de l’homme et des ONG russe et tchétchène
permettent de recueillir des informations et des témoignages. Nous n’avons ni
permanents, ni infrastructure, ni locaux, ni subventions autres que les dons
des participants. Notre activité repose uniquement sur le bénévolat. Nous
pensons que seule une mobilisation importante de l’opinion publique peut
contraindre les gouvernements occidentaux et les organisations internationales
à intervenir auprès du gouvernement russe.
Savez-vous amis que selon
la Direction générale de la Sécurité intérieure, 7 à 8 % des Français
impliqués dans les filières djihadistes syro-irakiennes sont d’origine
tchétchène, qu’ils soient candidats au départ,
combattants ou simples soutiens, rappelle Jean-Charles Brisard, président du
Centre d’analyse du terrorisme.
«Plus de 60 000 Tchétchènes sont aujourd’hui installés en
France, un grand nombre sont très sensibles à l’idéologie de Daech. C’est un
sujet sur lequel nos services de renseignement sont alertés», affirme la
sénatrice UDI Nathalie Goulet, qui a présidé une commission d’enquête
parlementaire sur les moyens de lutte contre les réseaux djihadistes.
Toutefois, selon Alain Chouet, ancien chef de service à la Direction Générale
de la Sécurité Extérieure, «il n’y a pas vraiment ce qu’on peut appeler une
filière. Mais à la suite de la guerre en Tchétchénie, l’Europe occidentale a
accueilli un grand nombre de réfugiés, dont un certain nombre ont dérapé».
Ces migrants ont en effet une histoire particulière. «Le gros des
arrivées s’est fait après la seconde guerre de Tchétchénie, à partir de l’année
2000 et jusqu’en 2009 -2010, avec un pic en 2003», explique Pascale
Chaudot, présidente du Comité Tchétchénie.
La république musulmane du
Caucase russe vient alors de vivre deux guerres d’indépendance d’une grande
cruauté avec la Russie, entre 1994 et 1996 puis de 1999 à 2000, dont la seconde
a donné lieu à une rébellion islamiste radicale. Elles se sont soldées en 2000
par l’arrivée au pouvoir d’un tyran pro-russe, Akhmad Kadyrov, puis par son
fils, l’actuel président Ramzan Kadyrov, qui ont prolongé la terreur. Des
dizaines de milliers de Tchétchènes, anciens opposants ou simples citoyens
menacés par la dureté du régime, ont alors fui leur pays pour l’Europe. En
France, pas moins de 15 000 Russes, dont un certain nombre originaires de
Tchétchénie, ont ainsi obtenu l’asile.
Parmi ces
réfugiés, un certain nombre «ont
été très marqués par les images qui montraient la Syrie bombardée et les
enfants blessés, ils se sont un peu reconnus dans cette guerre», reprend
Pascale Chaudot. D’autant que le
conflit tchétchène s’est en quelque sorte délocalisé en Syrie. «Quand
la Russie est intervenue officiellement en Syrie pour soutenir Bachar
Al Assad, parmi les soldats envoyés par Moscou se trouvaient des
Tchétchènes armés mis à disposition par Ramzan Kadyrov", explique Aude
Merlin, chargée de cours à l’Université libre de Bruxelles. En face, on a vu
certains Tchétchènes rejoindre Daech, à qui l’Émirat du Caucase, structure
islamiste ayant supplanté la rébellion indépendantiste, avait prêté
allégeance».
Appelés
à rejoindre Daech par «Omar le tchétchène»,
un ancien soldat devenu très populaire chez les djihadistes, des milliers de
Tchétchènes sont alors partis combattre en Syrie. Y compris depuis les pays où
la diaspora avait immigré. «Il
y a un conflit générationnel entre les premiers indépendantistes plutôt laïcs
et leurs fils ou leurs neveux, qui constatent l’échec de leurs pères et sont
beaucoup plus fascinés par la rhétorique islamiste», reprend Aude Merlin.
C’est ainsi que les Tchétchènes sont devenus l’une des nationalités les plus
représentées dans les rangs de Daech.
Association des avocats marxistes culturels du «droit» d'asile.
Association
qui rassemble des avocats intervenant dans la défense des «droits de l'homme et des libertés
fondamentales», notamment en ce qui concerne le droit d'asile, le statut de
réfugié et le statut des étrangers.
(Membre de l’ANAFE)
Bizarre vous avez dit bizarre ?
Forum réfugiés-Cosi est encore une association allah
con sans but lucratif mais subventionnée par le fric de ces cons de
Francaouettes, œuvrant pour l'accueil des soi-disant réfugiés, la défense du «droit» d'asile et la promotion d’un
fantasmé «Etat de droit», issue de la
fusion en mai 2012, des associations Forum réfugiés et Cosi – promouvoir et
défendre les «droits». A
force de chercher sur les sites marxistes culturels, communistes, socialopes et
autres monstruosités gauchistes, je m’aperçois que ces gens-là n’arrêtent pas
de nous abreuver de l’expression «Etat de
droit», hors il me semble bien ne pas vous avoir encore donné mon opinion
sur la «chose». Le
modèle de l'État de droit ne reste qu'un modèle théorique qui n'est jamais
totalement efficient ou mis en œuvre dans la pratique. D'après certains
théoriciens comme Holcombe, tout État, même dictatorial, est un État de droit.
De même, pour le juriste Hans Kelsen, l’État social-nationaliste ou nazi
pouvait être regardé comme un État de droit. Même la pire des dictatures est
liée par certaines procédures quand elle a affaire à ce qu'elle appelle des «cas sociaux», assassins, fraudeurs du
fisc, esprits contestataires administrativophobes et autres catégories ou
classes de citoyens considérées comme dangereuses. En Union soviétique, par
exemple, le traitement des dissidents en asile psychiatrique était connu de
tout le monde. Il faisait partie du «contrat
social». S'ils respectaient les règles du jeu, les individus ordinaires
n'avaient pas à craindre d'être envoyés en asile. S'ils se lançaient dans une
protestation ouverte contre les autorités, ils savaient ce qui les attendait.
Même dans les régimes les plus répressifs, les gouvernants suivent des règles
de nature constitutionnelle qui garantissent aux citoyens que, s'ils obéissent
à ces règles, ils ne seront pas poursuivis par l'État. Bref, même l'État le
plus dictatorial n'échappe pas à la logique de l'échange protection contre
tribut. On peut noter que la conception de l'État de droit – orthographié avec E
majuscule – n'a pas de sens pour les libéraux ou les libertariens même
minarchistes comme moi car, même si elle offre un certain nombre de garanties,
le Droit élaboré par l'État relève fondamentalement du domaine du droit
positif, et non du domaine du Droit naturel. Ainsi, pour un libertarien, l'État
violera dans tous les cas de figure le Droit naturel, et le droit positif qu'il
élabore ne se cantonne, à ses yeux, qu'à la légalité et non à la légitimité. Si
l'État est soumis, dans la théorie de l'État de droit, au respect du principe
de légalité, cela ne l'empêche pas de punir les vols et les violations de
propriété des individus et en même temps de s'exempter de se condamner
lui-même, en instituant le vol organisé, c'est-à-dire l'impôt.
En réalité, les libéraux défendent la Rule of Law, qui équivaut à
l'isonomia des Grecs, laquelle n'est rien d'autre que l'égalité devant la loi.
Pour exister et être respectée, celle-ci n'exige pas l'existence d'un appareil
étatique, bien au contraire comme nous l'avons vu plus haut. Aussi, afin
d'éviter toute confusion, la seule conception libéralement valable doit
s'écrire état de Droit. On peut donc conclure que le droit positif créé et
institué par l'État n'est pas légitime : miroir des intérêts du moment, il ne
sert que l'État.
France Terre d'Asile (Membre de l’ANAFE)
Ecore une UMP (Une Merde de Plus, France Terre d'Asile figurait en 2011 en cinquième position des «associations» les plus subventionnées de France. France terre
d'asile (FTDA), qui aide les immigrés dans leur accession à l'emploi, au
logement et à la nationalité française, a reçu une enveloppe de 26,5 millions
d'euros des mains du précédent gouvernement en 2011. Son principal contributeur
? Le ministère de l'Intérieur à l’époque de soi-disant «droite», Claude Guéant, encore un ancien de l’ENA (promotion Thomas More 1971), ministre de l’Intérieur, de l’Outre-mer, des
Collectivités territoriales et de l’Immigration. Mais non ça fait pas mal,
pensez à la vaseline !
Membre du Conseil d’administration
et du Bureau de l’ANAFE, (Du sérieux !)
Laissons ses prédateurs d’impôts des Français se
présenter : Le GAS est une association non confessionnelle, très diverse
dans ses composantes politiques, religieuses et philosophiques. Le respect des
opinions de chacun est à la base des relations entre ses membres et constitue
aussi la règle fondamentale des relations avec les personnes accueillies. Une
solidarité concrète ici et là-bas. L'objectif premier, qui a motivé les
fondateurs du GAS, est de manifester une solidarité concrète avec les réfugiés,
à travers deux actions principales : accueillir ici chaque demandeur
d'asile, quelles que soient son origine, son histoire, la couleur de sa peau,
dans une relation de respect et d'amitié, en lui donnant temps, écoute, aide
matérielle et morale et en lui offrant les services concrets que le GAS peut
donner, être à l'écoute de ce que disent les réfugiés sur leur pays, sur leurs
proches qui y sont demeurés, sur les causes de leur départ ; les aider à
s'organiser, à informer l'opinion française et participer à des actions de
solidarité internationale. Ces deux orientations fondamentales ont été
maintenues par l'association depuis sa création en 1979, comme deux lignes de
force complémentaires dans le choix de ses priorités d'action. Cependant, face
à une réglementation de plus en plus restrictive, une préoccupation tend à
prendre une place dominante : c'est la défense du droit d'asile. Mais peut-il
en être autrement si l'on veut que les demandeurs puissent conserver une chance
d'accéder au territoire français et d'exposer leur situation ?
A dissoudre d’urgence et dix sous c’est par cher pour
ce machin qui ne sert à rien aux Français.
Jesuit
Refugee Service - France La
Cimade Membre du Conseil d’administration de l’ANAFE.
L’association JRS
FRANCE (Jesuit Refugee Service, en Francaoui dans le texte) lutte contre
l’isolement et l’exclusion sociale des demandeurs d’asile et des réfugiés. Nous proposons un programme
d’hospitalité et d’hébergement temporaire (JRS Welcome), une Ecole de Français,
un programme interculturel (JRS Jeunes), un accompagnement juridique et un
service de retour à l’emploi. Au-delà
de cette mission d’accompagnement, nous défendons les droits des demandeurs
d’asile et des réfugiés grâce à un programme de plaidoyer, au
niveau national et européen. Chaque jour, tous les acteurs de JRS France
montrent que la rencontre efface la crainte de l’étranger au profit de la
confiance et de la fraternité.
Membre du Conseil d’administration de la nébuleuse marxiste culturelle de
la haine rouge l’ANAFE.
Véritable escroquerie intellectuelle, les très fameux «droits» de l'homme seraient les droits naturels supérieurs aux
lois et autres normes étatiques, censés concerner tout être humain sans
distinction de nationalité, de race ou de classe sociale, et dont chaque
individu dispose nécessairement et irrévocablement. La déclaration des droits
de l'homme et du citoyen de 1789 «reconnait
et déclare» (et non proclame) ainsi
les droits de liberté, propriété, sûreté et résistance à l'oppression. D'abord
constituée de droits contre la puissance publique (droit-résistances), l'acception
moderne du terme - erronée - englobe aussi des droits sur l'État (droit-créances, ou faux droits) comme
l'éducation ou la culture. Cette évolution a pour pendant celle du sentiment
général selon lequel c'est à l'État de garantir les droits de l'homme. Ainsi
dans le droit positif, les droits de l'homme seraient défendus par la loi, les
conventions et institutions internationales et le juge. Les «droits à» (ou droits-créances) sont de «faux-droits» économiques et sociaux :
le droit à la sécurité sociale, le droit aux congés payés, le droit à
l'éducation, le droit au logement, droit à l'image, droit à la solidarité, aux
loisirs etc. Expression d'une folie législative et d'un bataillon de
revendications exigibles se portant garants d'un proclamé «devoir d'État», ces «droits»
se sont développés sans référence à la propriété, à la responsabilité et à la
liberté de contracter de l'individu ; ils ne proviennent que de décisions
étatiques arbitraires destinées à satisfaire une clientèle électorale via des «prestations» publiques. Certains
partisans de la dénaturation du droit tendent à les assimiler abusivement à des
droits de l’Homme. En France, le droit des étrangers qui est un faux
droit constitue la réglementation qui
organise non seulement l'entrée des ressortissants étrangers sur le
territoire français, mais aussi leur séjour et leur sortie. Il a été codifié
dans le CESEDA. Le droit
d'asile, considéré (noter le «considéré») comme un droit fondamental garanti par la Convention de Genève, devrait être
distingué du droit commun des étrangers (dans le sens où il dépend de l'OFPRA et de la CNDA, tandis que le fameux «droit» des étrangers qui n’existe pas
en tant que tel dépend des juridictions
administratives de droit
commun). Cependant, l’idiot utile marxiste culturel et législateur a réuni ces
deux «droits» au sein du CESEDA.
Laissons-les s’exprimer : Créée en 1975, Migrations Santé Alsace a pour
objet de promouvoir la santé des
populations migrantes et de leurs familles ; elle favorise leur
accès aux dispositifs, aux droits et aux soins en matière de santé. L’approche
de la santé à laquelle se réfère l’association est celle définie par l’OMS : La
santé est un état de bien-être complet, physique, psychique et social et pas
seulement la simple absence de maladie ou d’infirmité.
L’état de santé des populations ne peut donc pas être isolé de leurs
conditions de vie. Partenaires
financiers : Délégation Régionale de la Jeunesse, des Sports et de la
Cohésion Sociale (DRJSCS), Agence Régionale de Santé (ARS), Commissariat général à l’égalité des territoires, Régime local d’assurance maladie, Alsace Moselle, la Fondation de France,
la DILCRAH (Délégation Interministérielle à la Lutte Contre le Racisme,
l'Antisémitisme et la Haine anti-LGBT), on se demande qu’est-ce qu’ils viennent
foutre là, le Journal des aides régionales Gand Est, l’assurance maladie du Bas
Rhin, La ville de Colmar, de Strasbourg et de Schiltigheim. En bref que de
l’argent public bien de chez nous volé dans votre poche amis pour soigner
( ?) des étrangers !
Inutile de s’étaler sur un «mouvement» marxiste, partie de la nébuleuse de la haine communiste,
organisation raciste qui distille de la haine des juifs. Déjà vu.
Déjà vu.
Déjà vu.
http://spasap-cfdt.over-blog.com/ Syndicat CFDT des personnels assurant un service Aéroport de Paris. (Membre de l’ANAFE)
Empêchent
le retour des migrants illégaux.
FIN
des liens de l’ANAFE.
Michel Alain Labet de Bornay
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Reproduction autorisée avec la mention: ©http://michelalainlabetdebornay.blogspot.fr/
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