mardi 17 décembre 2019

La LISTE. (Partie 8)


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Les autres cocos la suite…

https://silogora.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Le Silomag de silogora.org est dédié à l’actualité des pensées critiques marxistes et à l’étude des évolutions dans le mouvement des idées communistes. Ce semestriel cherche à questionner, présenter et approfondir une question particulièrement structurante ( ?) dans le débat des idées communistes. Conçu comme une base pour la réflexion et la discussion, chaque dossier a vocation à être enrichi dans la durée par les internautes. Depuis sa création en 2004, la Fondation Gabriel Péri d’obédience strictement marxiste-léniniste s’efforce, conformément à l’article 1 de ses statuts, de «contribuer à faire vivre et développer le patrimoine de réflexion et d’expérience accumulé en France et dans le monde par les luttes sociales et le mouvement des idées», particulièrement les plus criminelles contre l’humanité qui soit. Les Éditions sociales, quant à elles, sont engagées dans cet effort depuis des décennies, comme en témoigne leur catalogue éditorial. Elles ont décidé de développer ensemble une «Agora des pensées critiques». Pour mener à bien ce projet, un comité de pilotage et un comité de rédaction rassemblent, outre des responsables et collaborateurs des Éditions sociales et de la Fondation Gabriel Péri, des chercheurs et universitaires, des militants syndicaux, associatifs et politiques du PCF. Quel programme !

https://www.cinearchives.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Ciné-Archive gère le fonds audiovisuel du Parti communiste français et du mouvement dit «ouvrier». L'association a pour mission la conservation et la promotion de ces archives et a pris la suite de Zoobabel, qui s'attacha au milieu des années 70 à la découverte et à la sauvegarde des films produits, diffusés et conservés par le P.C.F au cours de son histoire. Le musée de l’horreur !

https://senateurscrce.fr/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Groupe du sénat Français s’affirmant sans rire : Communiste, Républicain, citoyen et Écologiste ! Tout un programme !

http://www.groupe-communiste.assemblee-nationale.fr/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Les députés communistes sans honte ! 
Les marxistes Staliniens nous parlent de la Retraite. Le 18 Juillet 2019 les sectateurs de la religion marxiste et sectaires dogmatiques staliniens nous parlent des retraites : «Ce matin, Jean-Paul Delevoye (Un escroc Macronneux), Haut-commissaire à la réforme des retraites, a dévoilé ses préconisations pour créer un «régime universel de retraite par points». Les conclusions de ce rapport, qui serviront de base pour un projet de loi en 2020, annoncent la couleur. Dès 2025, il faudra travailler plus - jusqu’à 64 ans – pour l’ensemble des travailleurs nés après 1963 afin de disposer d’une retraite à taux plein. Sans le dire, l’âge légal devient caduc puisque les salariés qui souhaiteraient partir à 62 ans connaitront une décote de 10 % de leurs pensions. Sous couvert d’équité, nous sommes face à une réforme guidée par des impératifs budgétaires où les droits des retraités deviennent les seules variables d’ajustement de l’équilibre financier du système. Il sera assuré, soit par un report progressif de l’âge pivot au-delà de 64 ans, soit par la baisse des pensions via un taux variable de conversion des points selon le moment de la liquidation des droits. Faute de pensions suffisantes, ceux qui en auront les moyens se tourneront vers des retraites par capitalisation délivrées par les assurances privées. Loin de simplifier notre système de retraites, le régime «universel» ouvre la porte à des milliers de régimes supplémentaires privés pour compléter un régime public obligatoire transformé en filet de sécurité minimale».  Le discours est identique chez les marxistes culturels des différents médias télévisuels ou papier qui par contre oublie eux la retraite par capitalisation. Et pourtant en voilà une idée qu'elle est bonne une fois! La retraite, historiquement rare et courte, a été créée par Bismarck au XIXe siècle (l'anecdote veut qu'il ait demandé à fixer l'âge de la retraite de façon à n'avoir presque jamais à la verser). La retraite se généralise au siècle avec l'allongement de la durée de vie et l'augmentation sans précédent des fameuses richesses (sorte d’Arlésienne socialiste). Devenue perspective probable, elle pose des problèmes aigus de financement lorsqu'elle est gérée par l'État-providence marxiste culturel, du fait de l'horizon temporel inhabituellement lointain du départ à la retraite (décalage de plusieurs dizaines d'années) et donc de l'incertitude sur les conditions dans lesquelles elle pourra s'exercer ; les hommes politiques peuvent profiter de cette incertitude pour spolier les jeunes actifs, en augmentant les cotisations sans que les citoyens réagissent, ainsi que les générations futures. A contrario, une gestion libre et responsable d'une épargne-retraite aboutit à des rendements élevés dans un cadre pérenne. Les systèmes de capitalisation et de répartition sont très différents : la capitalisation est un système individuel ou collectif de placement, alors que la répartition est forcément un système collectif, sinon collectiviste, de «protection sociale» que ses promoteurs font passer pour une assurance vieillesse (alors que les techniques de l'assurance ne sont en fait jamais employées) ce qui est d'autant plus surprenant que la vieillesse n'est plus un «risque» peu probable, mais un événement à forte probabilité. Le système par répartition est proche de ce qu'on appelle la vente pyramidale, où le revenu est basé sur le «recrutement» de nouvelles personnes, et non sur la constitution de droits réels : on vend à prix coûtant un produit futur (la future pension de retraite), qui n'est en fait qu'une simple promesse de ce produit. Ce revenu futur n'est pas officiellement garanti et est constamment révisable. Ce système sacrifie l'avenir au nom de l'immédiat, au nom d'une soi-disant solidarité intergénérationnelle (alors que la «solidarité» est une action volontaire par définition qui n'existe plus lorsqu'elle est rendue obligatoire). Il ne peut fonctionner que si la coercition étatique s'applique et oblige tout le monde à cotiser (c'est la fonction, dans un certain nombre de pays (dont la France), des institutions de sécurité sociale). Le «théorème de Sauvy» régit le fonctionnement de la retraite par répartition : les retraites futures ne se préparent pas en s’occupant des personnes âgées, mais en mettant au monde des enfants et en les élevant correctement. Une retraite par répartition doit tenir compte non des cotisations versées par le passé (qui n'existent plus) mais de la démographie, puisque les pensions des moins jeunes sont prélevées sur les revenus des plus jeunes.                                                  Les «solutions» étatiques au phénomène de transition démographique et de vieillissement de la population consistent à diminuer le montant des retraites, augmenter les cotisations ou obliger les salariés à travailler toujours plus longtemps : les victimes sont tantôt les actifs, tantôt les retraités, souvent les deux. De plus, la gestion des retraites tend à être discriminatoire en France, les bénéficiaires des régimes spéciaux de retraite et les fonctionnaires étant avantagés par rapport aux actifs du secteur privé. Une autre injustice tient au fait qu'avec la répartition, celui qui décède avant sa retraite a cotisé pour rien, ses héritiers n'obtenant rien. L'injustice fondamentale, qui remonte à la mise en place du système par répartition, est que la première génération de retraités qui a bénéficié du système n'a jamais cotisé ; cette «dette cachée», perpétuée par le système, empêche aujourd'hui un passage brutal de la répartition à la capitalisation (le passage, dans le sens inverse, de la capitalisation à la répartition est très facile, et les gouvernements ne se sont jamais privés de mettre en œuvre cette action confiscatoire et de détruire les systèmes individuels qui existaient déjà). On pourrait dire que la spoliation des générations suivantes a été installée dès le début, permettant alors aux politiciens promoteurs du système d'empocher leurs profits sur le marché politique. Afin de corriger ou d'atténuer ce passage «brutal» de la répartition à la capitalisation, il convient de dire que ce passage peut être réalisé et qu'une méthodologie traduisant cette évolution existe et a été appliquée. En effet, des procédures et des élargissements progressifs à toute la population ont été menées, non en France, mais au Chili, dans le cadre de la libéralisation et de la Privatisation de l'Economie, lorsque, entre 1978 et 1980, José Piñera était Ministre du Travail et des Retraites. Il est peu connu que c’est un décret-loi de l'État français (régime de Vichy issu du Front Populaire socialiste) du 14 mars 1941 qui «réforme» l'assurance-vieillesse pour imposer le système de la répartition à la place du système de la capitalisation, en créant une allocation aux vieux travailleurs salariés (AVTS), indépendante des «cotisations versées». Les fonds des caisses vieillesse privées (20 milliards de francs de l'époque) sont confisqués (ils deviennent inutiles dans le cadre de la répartition et permettent de financer immédiatement l'allocation). Les prétextes n'ont pas manqué à l'époque : les fonds des systèmes par capitalisation auraient été laminés par l'inflation et la crise économique des années 1930, les redistribuer tout de suite était donc affaire de «justice»; la retraite des vieux avec interdiction pour eux de travailler permettait prétendument de lutter contre le chômage des jeunes et des adultes d'âge moyen. A la fin de la Seconde Guerre mondiale, le général de Gaulle entérine bêtement les choix de Vichy, et ce seront Francis Netter et Pierre Laroque, deux anciens conseillers de René Belin (le syndicaliste marxiste de la CGT rallié au pétainisme, ministre de 1940 à 1942, auteur de la loi du 14 mars 1941), qui mettront en place la Sécurité sociale à la Libération. Claude Reichman (Dans son ouvrage «Le secret de la droite», il explique comment la France est devenue une démocratie totalitaire, dans laquelle le pouvoir a été confisqué par la technocratie et les énarques, Reichman n’ayant pas encore théorisé la notion de marxisme culturel), écrira : «Le cerveau dûment lavé - et même lessivé- les Français s'imaginent pour la plupart que l'argent de leur retraite existe quelque part. Ils sont persuadés d'avoir, leur vie durant, cotisé pour eux-mêmes. Profonde erreur. Ils ont cotisé pour les autres, et leur argent a disparu. Ils ne sont riches que de l'espoir de voir l'État parvenir à contraindre les générations suivantes à cotiser pour eux. Pour la contrainte l'État s'y entend. Mais si les générations suivantes ont disparu, c'est-à-dire ne sont plus assez nombreuses, comme c'est le cas en France, que peut l'État ? Rien, strictement rien. Sauf mettre le système en faillite. C'est exactement ce qu'il se prépare à faire en s'abstenant d'agir aujourd'hui». Sinistre perspective non ? 
L'illusion est constitutive de l’aventure communiste. L’idée communiste a vécu plus longtemps dans les esprits que dans les faits et continue de se propager comme la peste avec le marxisme culturel.
En mai 2019 pour monsieur Lecaussin qui écrit comme monsieur D’ Ormesson dans le Figaro : «Le communisme Français est un cadavre qui bouge encore, hélas!» : «Pour Nicolas le communisme aurait dû depuis longtemps sortir de l’histoire. Et ce n’est pas à l’honneur de la France d’avoir toujours un parti communiste, explique-t-il. Nicolas Lecaussin est Directeur de l’IREF (Institut de Recherches Economiques et Fiscales) et vient de publier Les donneurs de leçons aux Editions du Rocher. Je n’aurais jamais imaginé que, trente ans après la chute du communisme, il y aurait encore un parti communiste en France. Après avoir fait des dizaines de millions de morts et laissé des champs de ruines partout où il a été au pouvoir - toujours arrivé par la force, jamais grâce aux élections - le communisme est une idéologie qui séduit toujours en France. L’historien Marc Lazar avait raison lorsqu’il parlait d’une «passion française». Non seulement le PCF est toujours là, mais ses leaders s’affichent avec insolence, sans aucun état d’âme, et il frôle même les 4 % dans les sondages pour les Européennes. En novembre dernier, le Congrès du PCF avait été occulté par les débuts des gilets jaunes. Au PCF, il n’a jamais été question de rien changer, même pas de nom, alors que même le parti communiste italien a entrepris une mutation idéologique dès le début des années 1990. Sous le nom de Parti démocratique de la gauche (PDS) adopté en 1991, il est devenu une force politique importante. Notre PCF, lui, malgré sa chute dans l’électorat -16. 1 % aux législatives de 1981, 2.7 % en 2017 -, persiste dans l’erreur. Il a été le seul parti politique allié d’Hitler entre 1939 et 1941, et il s’obstine à préférer le mensonge face à la vérité, l’attitude négationniste face aux faits historiques. Ainsi en 1997, lorsque paraît le Livre noir du communisme ses représentants, la main sur le cœur, nient l’horreur, clamant haut et fort l’innocence des idées communistes. Il est vrai que ce déni accélérera encore son déclin. De nombreux membres l’ont quitté pour rallier La France insoumise ou d’autres courants politiques d’extrême gauche. N’oublions pas qu’aux élections présidentielles de 2017, Jean-Luc Mélenchon a obtenu 19.58 % des voix et que, sur onze candidats, neuf affichaient clairement leurs penchants léninistes et leurs programmes marxisants! «L’humain d’abord», il faut oser, de la part de quelqu’un qui se réclame d’une idéologie ayant entassé les cadavres et qui n’a eu que mépris pour l’être humain. Aujourd’hui, Ian Brossat, la tête de liste du PCF aux Européennes, serait, selon Le Parisien (8 mai), un communiste «new-look». Mais pourrait-il y avoir aussi un nazi «newlook»? Dire aux victimes du communisme que celui-ci est devenu «branché»… Un peu de respect. Rien, d’ailleurs, ne montre que l’idéologie aurait changé. Brossat défend le communisme avec l’aplomb et le dogmatisme d’un vrai apparatchik. Il est même fier de son grand-père qui a été espion au service du KGB et condamné à vingt ans de prison par la justice israélienne. Au cœur de son programme pour l’Europe, il y a… «l’humain». ll faut oser, de la part de quelqu’un qui se réclame d’une idéologie ayant entassé les cadavres et qui n’a eu que mépris pour l’être humain. Son programme reprend les formules creuses et les propositions éculées du PCF. Toujours la même rengaine contre «le marché, la concurrence, l’austérité…». C’est toujours l’Etat qui résout tout, pas de salut ni solutions hors les services publics, haro sur les banques, les entreprises et bien entendu les riches, qui doivent être punis. Sans oublier la dose habituelle d’antiaméricanisme, administrée depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, avec la sortie de l’OTAN. Difficile de croire qu’Ian Brossat et le PCF feront 5 % dimanche prochain. Ce qui est très grave c’est que, aujourd’hui, même si le PCF est plutôt cliniquement mort, ses dogmes, pourtant démentis par l’Histoire, font encore des émules. En fait, paradoxalement, les idées communistes ont proliféré en France comme des cellules cancéreuses en dépit de la déliquescence du PCF. L’antilibéralisme, l’antiaméricanisme, l’égalitarisme et la haine des riches sont profondément ancrés dans le tempérament français. L’idéologie communiste, entre toutes les idéologies, bénéficie toujours d’un statut privilégié. Le succès médiatique des personnalités politiques - Mélenchon, Ruffin, Garrido…- s’en réclamant prouve qu’elle garde un capital de sympathie et d’admiration auprès de très nombreux Français. Comme si l’on avait gommé tout simplement les dizaines de millions de morts, victimes des dictatures communistes. Le négationnisme de gauche décrit par Thierry Wolton dans son dernier livre est très efficace dans ce pays. Que se passerait-il si l’on organisait au Grand Palais une expo consacrée à l’art nazi où une boutique proposerait des mugs avec Hitler ? D’ailleurs, l’exposition organisée en ce moment au Grand Palais et intitulée «Rouge: Art et utopie aux pays des Soviets» montre parfaitement les caractéristiques de la propagande communiste ; sauf qu’elle est présentée de telle manière que l’immense tragédie qu’elle cache n’y apparaît jamais... Une seule fois il est fait allusion (en tout petit) aux dizaines de millions de victimes du totalitarisme communiste et au destin des vrais intellectuels (déportations, assassinats, résidence forcée, etc…). Que comprennent des jeunes qui ne connaissent pas très bien cette période et qui peuvent acheter, à la fin de l’expo, des cahiers, des stylos et des mugs avec les portraits de Staline, Marx et Lénine? Que se passerait-il si l’on organisait au Grand Palais une expo consacrée à l’art nazi où une boutique proposerait des marque-pages avec la tête de Goebbels, des mugs avec celle d’Hitler souriant ou des stylos sur lesquels on apercevrait Himmler? Ce serait inconcevable et cela provoquerait, à juste titre, des protestations de toutes parts. Communisme, un nom que j’espérais perdu dans les poubelles de l’Histoire, a toujours la cote dans un pays, la France, qui, à défaut de se réformer, montre une inquiétante attirance pour les erreurs idéologiques. Honte à un pays comme la France, d’avoir encore, en 2019, un parti communiste.

https://fete.humanite.fr/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Le communiste, le socialiste, le militant du MRAP ou d’autres stupides gens semblent apparemment normaux mais leur «âme» est en réalité atrophiée, difforme, monstrueuse. Ce qui est le plus triste  ce n’est pas seulement que le communisme ait existé et qu’il ait laissé derrière lui le marxisme culturel, c’est qu’il ait contaminé des peuples entiers et provoqué le massacre de 150 000 000 de personnes dans le monde. Ni que cette monstruosité persiste encore aujourd’hui. Le plus triste vraiment, c’est qu’il y ait une telle haine au fond de chacun d’eux. Sans compter leur absolue connerie congénitale. Il y a vraiment de quoi faire la «fête» !
Regardez ; le 6 Septembre 2019 le Roi nègre marxiste-léniniste qui se proclamait l’Hitler de son «peuple» Robert Mugabe est mort, aucun merdia marxiste culturel de la téloche gauchiste ou de la presse écrite à averti son public que Mugabe était un communiste marxiste-léniniste de la plus belle eau !    
                                                                                                               Le Figaro écrira: «Pendant son règne de trente-sept ans à la tête du Zimbabwe jusqu'à sa chute en 2017, Robert Mugabe est passé du statut de héros de l'indépendance et ami de l'Occident à celui de tyran qui a provoqué l'effondrement économique de son pays. «Il fut un formidable dirigeant dont le pouvoir a dégénéré au point de mettre le Zimbabwe à genoux», résume Shadrack Gutto, professeur à l'Université sud-africaine Unisa». Il convient de savoir qu’en France toute «l’info» passe par la même «agence de presse» entièrement marxiste culturelle l’AFP, les piteux commentateurs de ces «infos» des merdias avec leur QI de mouches à merde et leurs connaissances historiques toute marxistes culturelles n’en peuvent mais, quand on est con on est con disait mon ami Georges. Ces pauvres ânes dans le cas Mugabe prennent en référence un nommé Shadrack Gutto, professeur à l'Université sud-africaine Unisa. L’UNISA, l'Institut des études de la renaissance africaine (IARS) est une organisation marxiste qui représente une vision commune du «renouveau de l'Afrique» (…) cela implique disent-ils de rétablir les valeurs africaines traditionnelles et progressistes (c’est-à-dire marxistes) et de réaliser un changement de conscience pour adopter la responsabilité individuelle envers la communauté et la notion selon laquelle les individus, en communauté avec les autres, sont responsables de leur propre destin. Typique discours marxiste !
Sur mon beau blog le 27 aout 2011 je vous donnais quelques dernières nouvelles du beau pays marxiste tolérant et communiste progressiste mais exagérément raciste anti blanc le Zimbabwe : Nouvel avertissement le 21 Aout 2011 pour 13 sociétés étrangères implantées au très communiste et pacifique Zimbabwe. Le petit père du peuple noir, Adolph Robert Mugabe dit comrad Bob président du soviet suprême Zimbabwéen, demande à ces sociétés de sales fromages blancs de céder la majorité de leurs parts à des Zimbabwéens noirs, (Il existe quelques Zimbabwéens blancs, ce qui fait de cette mesure, une loi raciale, on attend avec impatience les réactions «indignées» de SOS Racisme, de la LDH, et surtout du MRAP) sous peine d’être expulsées. Un précédent ultimatum a été lancé au mois de juillet, lit-on sur RFI. D’ici à deux semaines, des sociétés telles que la Barclays Bank, Nestlé, British American Tobacco ou encore certaines compagnies minières devront répondre à cet ultimatum. Le gouvernement marxiste-léniniste Polpotiste maoïste si ce n’est Juchéen entend corriger les prétendus déséquilibres économiques hérités de la période coloniale. A la  même date j’écrivais : «A chaque fois que l’on as appliqué dans le monde votre idéologie marxiste, vous avez fait un désastre, un des derniers en date, avec un des derniers bons copains de Georges Marchais, de Mitterrand et de son épouse Danielle, encore au pouvoir en Afrique, Robert Mugabe, un  «marxiste-léniniste-maoïste» président de l’ex Rhodésie devenu le Zimbabwe, tyran assassin, dictateur rouge sanguinaire qui avec un régime raciste et communiste, a précipité dans la ruine et la violence raciste marxiste un pays qui était un des plus prospère d’Afrique. Tout cela n'empêche pas l'Internationale socialiste de continuer à soutenir Mugabe avec les fameux «progressistes» de gauche ! Après avoir soutenu Lénine et Staline, normal de continuer à soutenir des «amis» des «peuples» ! Depuis qu’il a viré les blancs en les massacrants sauvagement, le pays a plongé dans la misère la plus noire (sans jeu de mots) et l’espérance de vie a chuté à… 37 ans. Le beau régime «marxiste» de Robert dit comrad Bob est pointé du doigt par la collectivité internationale et par des organisations telles qu'Amnesty International, (Et là, il faut en faire pour que ces «gens» là, bougent leur gros cul de marxistes culturels) pour «atteintes massives» aux droits de l'homme, à la liberté d'opinion et à la liberté de la presse. J’aime bien les citations, alors je ne résiste pas à vous en donner une bonne de votre «camarade» Robert : En mars 2003, il déclarait : «Hitler avait un seul objectif : la justice pour son peuple, la souveraineté pour son peuple, la reconnaissance de l'indépendance de son peuple et ses droits sur ses ressources. Si cela c'est Hitler, laissez-moi être le décuple de Hitler (If that is Hitler, then let me be a Hitler tenfold. That is what we stand for)». Quand je vous dis que l’amitié entre les «peuples» c’est beau comme Mein Kampf ! (Bonjour à mes «amis» du MRAP 40 !). L'Afrique vivaient bien mieux du temps des colonies. Car, sous couvert d'indépendance, des leaders socialistes et/ou marxistes, ont fomenté des guerres civiles pour leur propre clan, et tant pis si elles ont causé la mort et la misère de millions d'Africains. Une fois au pouvoir, ils ont accaparés la majeure partie du revenu national et de l'aide internationale, engraissé une cour, une armée et une police à leur unique service, et tant pis pour les autres … à qui on faisait croire et à qui votre idéologie mortifère véritable sida mental essaye encore désespérément de faire croire que c'était la faute aux impérialistes, aux colonialistes s'ils vivaient dans la misère. Seulement voilà ; cher monsieur CSP avec votre QI de 154 dont vous glorifier comme d’un saint sacrement, vous devez savoir que ce test ne mesure pas l’ouverture d’esprit, hors, vous êtes un marxiste avoué, un «camarade», comme Robert Mugabe (ce qui est, il faut bien le reconnaître, assez rare premièrement de s’avouer « marxiste » et deuxièmement de ne pas avoir un QI de mouche à merde), nonobstant vous êtes un collectiviste nostalgique du bolchévisme, c'est-à-dire un individu sectaire, complètement dépourvu d’ouverture d’esprit, vous êtes dans l'incapacité quasi totale à vous détacher de votre groupe d'origine, à penser le monde en dehors des «penseurs» marxistes patentés et de fait avec votre sacralisation d’un prétendu «savoir», vous êtes dans l'incapacité à vous aventurer en-dehors des chemin battus par peur d'affaiblir votre pensée, votre aveuglement vous met dans l'incapacité à vous remettre en question, tout comme vous n’avez pas la capacité à dépasser un problème pour le placer dans une perspective générale.
Et allez op, un petit coup de tags juste pour la pub : Andrew Berwick, Comité de Salut Public, Theodore Kaczynski, Oslo, Marxisme culturel, Hitler, communistes, communisme, sida mental, La Nef des Fous, Gauche, Parti Socialiste, Mitterrand, Pédophilie, racisme anti blanc, fascisme rouge, fasciste rouge, Parti Communiste Français, communistes assassins, communistes criminels, idéologie marxiste nauséabonde, Sexe, petites filles, petits garçons, Monde interactif, Le Monde, Libération, MRAP,LGBT, MRAP Landes, MRAP 40, MRAP National, SOS Racisme, LDH,P.C.F, NPA, Madame Agnès Cerighelli, Antoine Bevort, Fred Vargas, Dominique Albertini, David Doucet, Chantal Mallet, Pierre Frénée, François Tollot, Christine Coulon, Jo Montier, Nicole Le Strat, Alain Bertin, Gérard Brazon, Guillaume Faye, Marxisme culturel, Bolchévisme culturel, Politiquement correct, La Liste, extrême droite, ultra droite, L’Express, Le Monde, Dreuz-info, complot judéo-maçonnique, Freudo-marxisme, Georg Lukács, Karl Korsch, Richard Sorge, Aline Parmentier, Friedrich Pollock, Karl August Wittfogel, Carl Grünberg, Henryk Grossmann, Hermann Weil, Jürgen Habermas, Axel Honneth, École de Francfort, Sigmund Freud, Otto Kirchheimer, Joseph Goebbels, Siegfried Kracauer, Kurt Mandelbaum, Walter Loewenheim, Georg Eliasberg, Herbert Marcuse, Karl Liebknecht, Rosa Luxemburg, Paul Wilhelm Massing, Gerhard Emil Otto Meyer, Oskar Negt, Jean-Marie Vincent, Gerhart Hirsch, André Gorz, Pierre Bourdieu, Paul-Michel (dit Michel) Foucault, Karl August Wittfogel, Günther Anders, Hartmut Rosa, Antonio Gramsci, Judith Butler, Fachosphère, Laetitia Avia, Sibeth Ndiaye, Emmanuel Macron, François Goullet de Rugy, apéros saucisson-pinard, Riposte laïque, Résistance républicaine, Renaud Camus, Bloc identitaire, Médias-Presse-Info,

https://www.mrap.fr/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).

Une seule phrase résume le MRAP qu’il soit des Landes ou de Pétaouchnok, c’est celle-ci : «Le MRAP distille de la haine des Juifs en général !». Citation de Maurice WINNYKAMEN dans son œuvre magistrale : Grandeur et misère de l’antiracisme : Le MRAP est-il dépassé ? (page 203) Aux Éditions Tribord. Lire la suite en cliquant ici.
L’antiracisme est un vice à la mode, et tous les vices à la mode passent pour vertus. Le personnage d’antiraciste est le meilleur qu’on puisse jouer depuis trente ans et la profession de foi antiraciste a de merveilleux avantages. C’est une imposture toujours respectée. Même découverte, personne n’ose s’élever contre elle. Les autres vices sont exposés à la critique et chacun a la liberté de les attaquer publiquement, mais l’antiracisme fait taire tout le monde et jouit d’une immunité souveraine. A force de grimaces, les antiracistes font de nous leurs otages. Qui en choque un se les jette tous sur le dos, et ceux qui agissent de bonne foi sont toujours dupes. Donnant dans le panneau des grimaciers, ils soutiennent aveuglément les singes. Combien dissimulent ainsi les folies racistes de leur jeunesse ? Combien se sont fait un bouclier du manteau de l’antiracisme et, sous cet habit respecté, ont la permission d'être les plus méchants hommes du monde ? On a beau connaître leurs intrigues, ils ne laissent pas d'être en crédit parmi nos compatriotes. Une tête baissée, un soupir mortifié, deux roulements d'yeux, une verte indignation transforment en or pur le vil plomb de leurs basses œuvres ; et derrière cet écran, ils font prospérer leurs sales affaires.
En 2014 j’avais demandé  de dissoudre le MRAP (Et dix sous ce n’est pas cher pour un mouvement antisémite), il est toujours temps !
https://sos-racisme.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Les marxistes culturels sont des grands spécialistes du mensonge par omission ou par amalgame douteux comme ici par exemple ou ces braves gens nous disent : «Mamadou Barry, enseignant-chercheur de 31 ans a été battu à mort en pleine rue le soir de la finale de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN), le 19 juillet dernier dans la banlieue de Rouen. Selon des témoins sur place, l’agresseur a formulé des propos racistes. Raison pour laquelle SOS Racisme a demandé à ce que le mobile raciste soit retenu, chose faite, et va désormais se constituer partie civile dans cette affaire (…) allant jusqu’à préciser : A Dijon, un rassemblement d’hommage a eu lieu. Lors de la mobilisation, la présidente du comité de la ville, Dieynaba Balde, a pris la parole pour dénoncer cet acte et affirmer que toutes les formes de racisme se doivent d’être condamnées en rappelant que plusieurs jeunes d’origine maghrébines avaient été la cible d’un chauffard fou de haine à Beaune (Côte d’Or) en 2018 (L’origine maghrébine ? Ce ne serait pas des musulmans par hasard ?).
Dans le cadre de la même affaire Esther Benbassa, sénateur Europe-Ecologie Les Verts une marxiste culturelle, a rappelé ce lundi une autre agression : «A Lyon, vendredi, une famille [a été] violemment agressée et traitée de "sales bougnoules" par un groupe de l’ultra droite. En France, toute l’horreur du racisme».
C’est vrai le racisme c’est pas beau, mais dans le cas de Lyon l’affaire n’a pour l’instant aucun lien avéré avec une quelconque «ultra droite» toujours fantasmée par les mêmes crétins marxistes culturels qui ne savent pas ou font semblant de ne pas savoir que les noirs en France comme ailleurs sont aussi racistes que les blancs !
Des hommes cagoulés armés de battes de base-ball, ont attaqué, vendredi 19 juillet 2019 au soir à Lyon, des familles venues célébrer la victoire de l'Algérie contre le Sénégal à la finale de la CAN. Une victime arborant le drapeau algérien (en France) sur sa voiture évoque une vingtaine de «jeunes», tous cagoulés et vêtus de noir, tapant «comme des sauvages». Sa femme tente de protéger sa fille, tandis que lui sort du véhicule pour «détourner leur attention» et s'interposer. Il s'en tire avec des Hématomes, des lésions, et autres entorses. Ils ont dit : «on va vous tuer!» Ils voulaient nous tuer, pour moi c'est une tentative de meurtre, juste parce qu’on avait le drapeau de l'Algérie à la fenêtre. Depuis mon épouse va très mal, elle ne fait que pleurer. Moi, j'intériorise, et ma fille, ça va... Pour l'instant..."
Mais pour les marxistes culturels une attaque contre des Algériens ne peut venir que d’une ultra droite fantasmée en permanence en niant le racisme antiblancs et le racisme dans le sport qui n’est pas toujours celui qu’on croit ! En effet lors du match Algérie Sénégal des noirs s’en sont pris aux blancs de l’Algérie et inversement. Pour les musulmans c’est bien pire les noirs sont des karlouches ou des krèles ; un exemple dans Hervé Decca, dans 404 Not Found, aux éditions Actes Sud, 2012, chap. 18 : «Et elle avait tout détruit. Pour un karlouche ! Un Camerounais, un Ivoirien, ou pire, un Sénégalais. […]. Un putain de krèle qui priait la pluie ! Même pas un vrai musulman !». Voir ici le racisme anti noir outrancier qui inonde les chaines de télé arabes. Rien à voir avec l’extrême droite, c’est juste un  scandaleux détournement de valeurs des adeptes du marxisme culturel de la secte du politiquement correct. 
Il n’empêche (allah ligne ?) que les habituels porteur de haine raciste et antisémites se déchainent avec les habituelles suppositions sans fondements ; par exemple : «Des individus vêtus de noir, cagoulés, munis de battes, venant du vieux Lyon et criant "sales bougnoules". Comment ne pas voir là la marque nauséabonde de l'ultra droite ? Il est temps que ces groupuscules violents soient mis hors d'état de nuire !», a réagi sur Twitter le président de la métropole de Lyon, David Kimelfeld (un ancien du PS et du Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (MRAP) le délicat mouvement qui distille de la haine des juifs en général), après la révélation de cette agression. Et voilà comment on fait l’histoire allah sauce marxiste culturelle des Kimelfeld et des Benbassa !
Mais alors qui sont donc ses racistes qui sifflent sur nos têtes ? Encore un coup de l’extrême droite ? Non, on vient de le voir. Comme c’est bizarre ! Précisons que monsieur Barry (Guinéen enseignant-chercheur à l’Université de Rouen-Normandie) était de race noire (hé oui n'en déplaise à la "caste", (comprendre les marxistes culturels), les "races"  existent et je l'affirme haut et fort depuis 2014 sans aucun soucis). D’ailleurs pour l’ONU les RACES existent ! Dans une tribune parue dans Le Monde, le président de la Licra, Mario Stasi (un nom qui ne s’invente pas), affirme que la suppression du mot «race» de notre Constitution est un impératif moral (Aujourd’hui, le mot race, figure toujours dans l’article premier de notre constitution). Répondons-lui par une simple information, trop peu connue : en dépit du social nationalisme, l’ONU n’a pas abrogé le concept de race.
Selon plusieurs sources concordantes, l’agresseur du Guinéen Mamoudou Barry l’aurait interpellé et pointé du doigt et a dit : «Vous les sales noirs, on va vous niquer ce soir», (le rapport avec le match de foot Algérie Sénégal est bien sûr évident) à la hauteur d’un arrêt de bus. L'agresseur Damien A, âgé de 29 ans est né d’un père turc et d’une mère française. Placé sous curatelle, il travaillait de manière irrégulière dans le bâtiment, vivait à Sotteville-lès-Rouen dans un foyer aux frais du contribuable et avait déjà suivi des soins dans un hôpital psychiatrique de l'agglomération. Lorsque l'agresseur de monsieur Barry porte les coups mortels et que sa femme se rend compte que son mari est mort, elle déclare à l'agresseur : «Tu as tué mon mari !». Là, l'agresseur lui dit : «Reste à ta place ou je te réserverai le même sort». Les femmes à leur place ça ne vous dit rien ? Suivez mon regard vers la Mecque !
L'agresseur présumé avait déjà suivi des soins dans un hôpital psychiatrique de l'agglomération. Dans les cas politiquement sensibles (suspicions de racisme anti blanc, sexisme, actes terroristes de musulmans etc.), ce recours au casier psychiatrique n'est-il pas un acte politique à part-entière qui vise à nier certains problèmes de races et de religions par la facilité de l'argument du «déséquilibre» ? Sans doute cela peut servir d'argument politiquement correct. En tout cas, c'est un argument qui juridiquement ne tient pas. En effet, juridiquement, quelqu'un qui est «déséquilibré», c'est-à-dire qui a son discernement altéré et non aboli, à moins qu'il soit sous stupéfiants à haute dose ou bien sous contrainte, sous la menace de leur vie, a une responsabilité pénale complète. Dans ce cas-là, il y a tout un pan du code de procédure pénale qui prévoit la responsabilité de personnes qui sont sous curatelle ou sous tutelle : c'est ce qu'on appelle les «majeurs protégés». Pour qu'on prononce une curatelle ou une tutelle sur quelqu'un, il faut un vrai dérangement psychologique et pourtant, même dans ce cas-là, il est prévu la responsabilité pénale de ces personnes. En somme, la perte à un moment de son équilibre psychologique ne peut jamais justifier l'irresponsabilité pénale. D'un autre côté, cela peut atténuer la peine si jamais on arrive à montrer que ce manque de discernement était important. Sur cette question-là, ce ne seront jamais les journalistes de l’AFP qui pourront en décider mais toujours des experts psychiatres.

https://www.ldh-france.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
La LDH, la Ligue des Doigts de l’Homme dans le Centre d’Union Libéral est une association marxiste-léniniste d’ultra gauche (Notez bien que le lien est donné par le Parti Communiste). La LDH Internationaliste veut «faire échec», aux nationalismes à bien sûr la fameuse extrême droite l’arlésienne bien connue de toute cette bande de débiles mentaux, sans oublier la xénophobie. Elle défend dit-elle toutes celles et ceux (langage typiquement marxiste culturel) qui sont jugés «différents» comme les Tziganes, les gens du voyage (Jean, pierre et même Paul Du Voyage) ou les Roms , trop souvent victimes des peurs irrationnelles, de lexclusion, violente ou insidieuse, et de campagnes de stigmatisation. Le maire de Saubens agressé par les fameux "gens du voyage" apprécie la LDH. Quand les mêmes "gens du voyage" une cinquantaine ont attaqué une gendarmerie du centre de la France à coups de haches et de barres de fer pour protester contre la mort d'un jeune voleur de leur communauté tué par un gendarme dans la nuit de vendredi à samedi au cours d’un contrôle ou il avait blessé trois gendarmes. Dans cette belle soirée de juillet 2010, le calme est revenu dans la petite commune de Saint-Aignan, où 300 militaires avaient été déployés aux frais du contribuable.
https://www.gisti.org/spip.php?page=sommaire (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Notez bien encore une fois que le lien est donné par le PCF !

Exemple d’une organisation très petite mais très active avec un très fort pouvoir de nuisance: le GISTI (le Groupe d’information et de soutien des immigrés). Comme les autres organisations de cette liste il ne s’agit pas d’une organisation à but lucratif ni d’une partie de l’appareil d’Etat. Et même le GISTI est engagé dans de nombreuses mises en cause des gouvernements au nom des valeurs et des groupes qu’il défend mais 20 % de ses revenus viennent de subventions publiques, (du Ministère de l’emploi et de la solidarité, de la Région Ile de France, de l’ACSE). On pourrait donc dire que bien que qualifiés d’ONG ses organisations sont largement financièrement dépendantes de l’Etat. Cependant en France la plupart des ONG ont le statut d’association 1901 et ne sont pas des éléments de l’appareil d’Etat, même si la frontière entre l’Etat et elles n’est pas facile à définir nettement.
Mais bon c’est encore une «association» d’ultra gauche, ultra subventionnée par l’argent des contribuables mais qui offre une spécificité intéressante c’est que l’initiative de son projet, au cours de l'année 1971, revient à une poignée de jeunes crétins élèves marxistes culturels de l'École nationale d'administration (ENA) en fin de scolarité, partageant la volonté forte d'affirmer et de défendre les principes d'un soi-disant «État de droit» notoirement marxiste Internationaliste dont ils s'apprêtaient à devenir les représentants. Notez bien que votre président de la raie publique préféré le sieur Macron est un de leurs coreligionnaire. Leur engagement marxiste se nourrissait d'une vision particulièrement critique du contexte politique et administratif de l'époque. L'un d'entre eux se souvient : «Le Gisti s'est donc constitué à partir l'idée (presque Trotskiste) qu'il fallait se battre contre une vision anormale du pouvoir administratif et exécutif».                                                                                Si la défense de l'État de droit (état providence marxiste culturel) constitue le premier point d'achoppement de ce petit groupe de jeunes marxistes culturel, cet engagement s'agrège rapidement à une autre conviction relative à la façon de mener cette lutte (langage marxiste). Ceux-ci souhaitent, avant tout, mettre à disposition « une certaine formation universitaire et une bonne capacité technique » au service des luttes sociales (comprendre les «luttes» marxistes).  Le contexte politique de l'époque fortement marqué par les thématiques du mouvement ouvrier (comprendre pour «mouvement ouvrier» le parti communiste) justifie qu'ils s'adressent en premier lieu aux syndicats (en grande majorité socialistes ou communistes), dans l'idée d'offrir leurs services à des organisations déjà constituées. Toutefois, un accueil pour le moins « distant » des secteurs migrants de la CGT et de la CFDT contribue à faire émerger l'idée de la nécessité, pour le groupe, de se constituer de façon autonome. D'emblée, l'engagement est envisagé à partir d'un instrument spécifique, celui de la mobilisation de compétences juridiques au service des luttes (c’est-à-dire du communisme stalinien). C'est d'ailleurs le constat d'«un thème à forte charge et à faible visibilité qui était le vide juridique du côté des immigrés, cette espèce de zone de non-droit » qui détermine pour une grande part le choix des objectifs nettement marxistes culturels du groupe. CQFD.

https://le-cran.fr/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Le Conseil Représentatif des Associations Noires de France. Rien que le nom, n’y aurait-il pas là comme un vieux relent de «racisme» ? Tout le monde sait bien qu’il n’y a  pas de «noirs» en France n’est-ce pas, peut-être quelques hommes plus bronzés que les autres ou au plus des hommes de couleur un peu plus foncés. Mais bon, ils ont quand même le mérite à l’inverse de la crétinissime  presse et des merdias  «politiquement corrects» et marxistes culturels de déclarer qu'il existe bien en France une "afrophobie" (terme impropre puisqu’il s’agit bien d’un vulgaire racisme essentiellement musulman ou maghrébin) la preuve c’est eux qui la donne cliquez ici ou un supporter Tunisien et musulman raciste  dans une vidéo publiée sur twitter tiens des propos orduriers et racistes à l’égard des sénégalais, puis des noirs en général, la «pire race» selon ses termes. Cerise sur le gâteau de la haine musulmane contre les noirs, c’est lorsque ce bon musulman s’exclame : «Qu’allah vous tue, il vous fait un truc à la Hitler» (le «jeune homme» ce serait «excusé» depuis). Le CRAN nous dit aussi que sur d’autres captures d’écrans publiées par des internautes, on peut le voir (le fameux musulman tunisien) deux jours plus tôt sur un match différent, comparer les noirs à des singes, le tout en public sur son compte snapchat (voir ici). Remarquez que déjà en 2014 pour le match de qualification pour la Coupe du monde qui a opposé le Burkina Faso à l'Algérie, à Ouagadougou, a été très disputé sur le terrain (3-2) et en tribunes. Sur Twitter, les tensions de la rencontre se sont traduites par un déchaînement de tweets racistes. En Algérie, la colère suite allah défaite et à la branloute (Une branlée et une déroute) de leur équipe a laissé place au racisme primaire. Sur Twitter, certains supporteurs algériens se sont distingués par leurs messages racistes et violents à l’encontre de l’arbitre ou des Burkinabè. Janny Sikazwe s’est par exemple vu accusé d’avoir obtenu son diplôme «dans un mafé» ou gagné «un sac de riz» pour laisser le Burkina s’imposer. Les Burkinabè, ont été régulièrement traités de «singes». Tandis que certains les qualifiaient de «nègres», de mangeurs de bananes, d’autres évoquaient sans retenue l’odeur des Noirs. Des références à l’esclavage ont également été remarquées : «Putain les tribunes burkinabaises on dirait les cales d’un bateau d’esclave». Pfuuuuuuu, encore un coup de l’ultra droite, comme dirait le MRAP qui distille de la haine des juifs en général.

https://www.lacimade.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Genre MRAP, mais d’origine protestante et très marxiste culturel. Septembre 1939 voit l’invasion de la Pologne et l’entrée de la France dans la guerre. Suzanne de Dietrich, Secrétaire générale de la FUACE (Fédération Universelle des Associations Chrétiennes d’Étudiants) présenta un rapport sur ce que vivaient les alsaciens lorrains évacués dans les départements du centre et du sud de la France. Elle s’adressa au Comité Inter-Mouvements de jeunesse (le CIM), réunissant Éclaireurs Unionistes, Unions Chrétiennes de Jeunes Gens et de Jeunes Filles et Fédé, en vue de «témoigner de l’amour du Christ». Le 18 octobre 1939, à Bièvres, les dirigeants du CIM, créent la CIMADE (Comité Inter-Mouvements Auprès Des Évacués) pour venir en aide, notamment, aux populations évacuées d’Alsace et de Lorraine, au nombre de 200.000 environ. Des équipes sont constituées (d’où le terme d’équipiers encore en usage aujourd’hui) qui accomplissent un travail à la fois d’évangélisation et «social» auprès des évacués alsaciens. Madeleine Barot, appelée et soutenue par Marc Bœgner, est Secrétaire générale de la Cimade, pendant toute la durée de la guerre et au-delà, Violette Mouchon (Commissaire nationale EU) étant présidente. La Cimade a donc été fondée en 1939 au sein des mouvements de jeunesse protestants. De sa mission initiale auprès des «évacués» de l’Alsace-Lorraine fuyant l’avancée sociale nationaliste, elle a conservé son nom, mais aussi un lien avec le monde protestant et surtout une fidélité aux valeurs et aux engagements de ses fondateurs déjà fortement teinté du rouge marxiste culturel semblent oublier la célèbre phrase de Jésus : «Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu». Depuis plus de soixante ans, La Cimade a adapté son action aux enjeux entièrement marxistes culturels  de l’époque. Elle s’est engagée de façon très anecdotique auprès des juifs menacés, a œuvré ensuite pour la réconciliation franco-allemande, s’est impliquée auprès des peuples du Sud en lutte pour l’indépendance et la décolonisation. Encore une fois ses gens ont oublié la lettre de Paul aux Ephésiens 6,5-9 : «5 Esclaves, obéissez à vos maîtres d’ici-bas avec crainte et tremblement, d’un cœur simple, comme au Christ, 6 non parce que l’on vous surveille, comme si vous cherchiez à plaire aux hommes, mais comme des esclaves du Christ qui s’empressent de faire la volonté de Dieu. 7 Servez de bon gré, comme si vous serviez le Seigneur, et non des hommes. 8 Vous le savez : ce qu’il aura fait de bien, chacun le retrouvera auprès du Seigneur, qu’il soit esclave ou qu’il soit libre. 9 Et vous, maîtres, faites de même à leur égard. Laissez de côté la menace : vous savez que, pour eux comme pour vous, le Maître est dans les cieux et qu’il ne fait aucune différence entre les hommes. À partir de la fin des années 70, à l’avènement du marxisme culturel en action, la Cimade s’implique de plus en plus en réaction aux projets de loi réduisant les fameux «droits» des immigrés. La grève de la faim en 1981 et la marche pour l’égalité et contre le racisme renforcent le positionnement politique de l’association. Fidèle à ses principes, La Cimade entre dans les centres de rétention en 1984, pour y venir en aide aux étrangers illégaux reconduits à la frontière. Tout au long de son histoire, la Cimade est restée un mouvement marxiste culturel dit aussi gauchiste post-moderne, «engagé» à fond à gauche sans se satisfaire d’une simple posture caritative.

http://www.gref.asso.fr/wp/?page_id=2175(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
La charte du GREF : Constitué dans un esprit marxiste stalinien de «solidarité» avec le KGB, de partenariat et d’échange avec les prisonniers du Goulag, le GREF propose sa contribution bénévole, dans les domaines éducatifs (camps de rééducation en Sibérie), à tous les projets communistes et criminels qui visent, dans un esprit de laïcité marxiste stalinienne à promouvoir une éducation allah con qui permette le meilleur développement des potentiels communistes individuels, à favoriser l’apprentissage concret de la «démocratie»  des soviets (marxiste culturelle multi-ethnique) et à encourager le libre réinvestissement ( ?),  des savoirs de tueurs acquis au service de la collectivité. Cela bien sûr en France et à l’international avec l’argent des impôts des Français !
Les membres du GREF venant en appui aux acteurs de l’éducation et de la formation à l’international, intervenant en France en éducation à la citoyenneté et à la solidarité internationale, en aide aux publics en difficulté (migrants, détenus, Roms…), adhèrent aux valeurs d’accueil et de partage et en excluent toute référence à la notion de préférence nationale. Bof.

https://www.secours-catholique.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Lien donné par le Parti Communiste ? Les cathos, les nouveaux cocos ?
Le Secours Catholique-Caritas France est une association loi 1901 à but non lucratif, reconnue d'utilité publique depuis 1962. Cette association vit à 90% de l’argent des impôts des Français, c’est ce que le marxisme culturel nomme la séparation de l’église et de l’état ! Service soi-disant de l'Église Catholique, elle fonderait son action sur l'Évangile marxiste-léniniste et une doctrine sociale toute entière marxiste culturelle et collectiviste de l'Église dite de Rome. En France, fille ainée de l’église, le Secours Catholique couvre l’ensemble du territoire, grâce à ses 3700 équipes locales réparties en 75 bureaux locaux appelés «délégation». À l’international, l’association est membre de la confédération Caritas Internationalis présente partout dans le monde à travers ses 165 Caritas membres. Le Secours Catholique-Caritas France développe ses actions à l’étranger en lien étroit avec ces Caritas nationales.
https://www.atd-quartmonde.fr/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
ATD Quart Monde est un mouvement marxiste culturel qui rassemble des personnes de tous les horizons de l’ultra gauche et de la droite molle pour réfléchir (avec leur tout petit QI c’est pas simple, surtout si on est noir ! En effet Les noirs ont un QI moyen d’environ 85, les blancs ont un QI moyen d’environ 100, les asiatiques de l’est (Chine et Japon) d’environ 103. Selon les données des tests réalisés lors de l’étude longitudinale nationale étudiée par les auteurs de The Bell Curve, aux USA le QI moyen des noirs américains est de 1,21 écart-type inférieur à celui des blancs. Cela correspond à un QI en moyenne inférieur de 18,15 points à celui des blancs. Source), agir et vivre ensemble différemment, c’est-à-dire à la mode collectiviste. La violence de l’extrême pauvreté, l’ignorance, le dénuement et le mépris isolent les personnes et les enferment dans le silence jusqu’à les faire parfois douter de leur appartenance à la communauté humaine. Unir nos forces pour atteindre ceux qui sont exclus dans nos sociétés et reconnaître la contribution indispensable des personnes vivant dans la pauvreté sont des étapes essentielles pour mettre fin à la misère et bâtir la paix. Ah ! Encore les habituels vœux pieux marxistes (Saint Joseph (Staline) priez pour nous) ! La misère condamne encore aujourd’hui des millions d’êtres humains à vivre dans des conditions inacceptables qui portent atteinte à la dignité humaine, en particulier dans les pays dirigés par des communistes dont les dirigeants s’en mettent plein les fouilles et dont le «peuple» crève la dalle ! Depuis les indépendances des années 1960, les initiés savent que certains dirigeants africains «amis de la France» menaient grand train dans le monde occidental à Paris ou sur la Côte d’Azur : hôtels particuliers, voitures de collection, vêtements de luxe…. Mais qui s’en souciait vraiment?   
                                                                      Au printemps 2007, une plainte déposée à Paris par une poignée d’ONG, accusant plusieurs chefs d’État africains de détournements de fonds publics, a lancé l’affaire de ces «biens mal acquis» sur le dos de leurs peuples que ravitaille allégrement avec l’argent des impôts des Français les ONG sus dites. Après moult péripéties judiciaires, la Cour de cassation a autorisé, en novembre 2010, l’ouverture d’une enquête inédite sur ces fortunes accumulées en France par les présidents du Gabon, du Congo-Brazzaville et de la Guinée équatoriale. De quelles complicités ont bénéficié ces dirigeants pour placer leurs pétrodollars dans l’Hexagone ? Le silence des partis politiques français serait-il lié à des financements occultes ? Autant de questions liées à ce scandale de la corruption ordinaire aux parfums de Françafrique. ATD Quart Monde et ces «potes» représentent bien cet  avatar idéologique marxiste pour les «pauvres» sorte de nouveau «prolétariat» et véritable stratégie d’action politique, propagée entre autre par les intellocrates marxistes internationalistes qui fondèrent en 1923, l'école de Francfort, devrait à moi, libertarien minarchiste, patriote et sioniste créateur du blog antisémitisme non merci, représenter la substantifique moelle de la vulgarité populacière des gueux, des manants, des fot-en-culs et autres pisse-froids. Et bien non, c’est justement cette merveilleuse «prolixité» qui fait finalement le politiquement correct de ces ONG comme dans ce merveilleux pays le Zimbabwe où règne le communisme le plus merveilleux, l’avènement du grand soir avec la naissance du petit Jésus soviétique noir et les lendemains qui chantent le blues. Le racisme  le plus abject au Zimbabwe se remarque aux multiples discriminations et aux assassinats, principalement contre la communauté blanche du pays. Remarquons toutefois que le génocide des noirs locaux y tient aussi une place non négligeable. Après la dissolution de la Rhodésie et l'indépendance du Zimbabwe qui met fin à la domination britannique en 1980, le parti communiste marxiste-léniniste, l’Union nationale africaine du Zimbabwe - Front patriotique (ZANU-PF) (sorte de LCR locale chère à monsieur Besancenot) arrive au pouvoir. En avril 1980, son altesse royale et démocratique Robert Mugabe avait mis sur pied la 5e Brigade, une milice pacifiste entraînée par des humanistes et progressistes instructeurs nord-coréens pour faire taire avec modération et démocratiquement les opposants politiques du merveilleux parti communiste au pouvoir, la Zanu, Zimbabwe African National Union. Plus de 60 000 Ndébélés de la province de Matabeleland, bastion de l’opposition, ont ainsi été systématiquement et démocratiquement exécutés «sous les ordres directs» de Mugabe. À cette époque, la plupart des terres agricoles appartiennent aux très méchants et vilains racistes Blancs. Le bon parti communiste, pacifiste, humaniste comme le MRAP, dirigé par Robert Mugabe, applique une politique un petit peu raciste en menant une réforme agraire, confisque les terres aux méchants Blancs, les expulsent de leurs fermes, puis les massacrent très démocratiquement. Depuis, la population blanche zimbabwéenne n'a cessé de diminuer, passant de 260 000 à seulement 10 000 individus de 1975 à 2017. C’est ce qui amené le pays au chaos. En 1996, 4 500 fermiers blancs possédaient encore à cette date environ 30 % des terres cultivables du pays (contre 70 % en 1980) cultivant blé, arachides et tabac et dont le chiffre d'affaires représentait plus de 50 % du PIB. Surnommé le grenier à blé de l'Afrique, le pays participait en tant que fournisseur de denrées au Programme alimentaire mondial (PAM). Depuis 2000, plus de 80 % de ces fermiers ont été expulsés et massacrés et leurs terres ont été dépecées ou redistribuées à des hauts dignitaires communistes de race noire ou à des populations noires autochtones complétement incompétentes. En 2010, seuls une petite centaine de blancs (massacrés depuis) habitaient encore le pays. Le Zimbabwe avec 90% de joyeux chômeurs communistes est devenu client du PAM et en 2006, 3 millions de Zimbabwéens soit le quart de la population dépendaient de l'aide alimentaire internationale. C’est ATD quart monde qui est content ! 
Ils nous disent : «Les personnes en situation d’extrême pauvreté sont les premières à refuser la misère. Elles ont une connaissance et une expérience uniques qui peuvent abaisser les barrières séparant les personnes et les peuples. En unissant nos courages, nos intelligences, notre créativité, un autre monde est possible». Ben non, l’homme étant ce qu’il est (Homo homini lupus est) aucun autre monde n’est possible, la pauvreté (faute de motivation à produire des biens et services) est ainsi le résultat inéluctable d’une forme de communisme politique. Lutter contre les effets n’est pas lutter contre les causes. ATD Quart monde est une ONG de merde comme les autres ou les dirigeants se gavent avec des salaires de ministres et fait partie des nouveaux pilleurs de la misère, plus il y a d’ONG plus il y a d’humains qui crèvent de faim, de torture, de guerres et de mines !! La raison de l'échec de toute idéologie collectiviste telle que le communisme d’ATD Quart monde est que, dans un tel type d'organisation sociale souhaitée, les personnes les plus capables ne voient pas leurs mérites reconnus et récompensés, et finissent par rejeter un collectif qui les exploite ; un système où la responsabilité est collective pousse chacun à vivre aux dépens des autres, comme l'ont montré dès le départ les premières expériences de «socialisme utopique» telles que celle du philanthrope Robert Owen au XIXe siècle. L'autoritarisme, l'oppression et la dictature en constituent l'autre aspect : dans l'optique d'un Lénine, le prolétariat ignore ce qui est bon pour lui et doit donc être contraint par le parti.
D’autre part, les braves gens marxistes culturels haineux ont une haine bien ciblée contre les personnes votant pour le Rassemblement National qui est tout le contraire, et c’est ainsi qu’en avril 2017 dans le JDD, 61 associations et ONG, dont Aides, Attac, Emmaüs, Greenpeace, Ligue des Droits de l'Homme, SOS Racisme, WWF etc. appellent les citoyens à aller voter au second tour de la présidentielle (J’aurai l’occasion d’y revenir) et à se mobiliser face à ceux qui prôneraient soi-disant le repli sur soi. Ah, Reductio_ad_Hitlerum quand tu nous tiens ! Extraits : «Le pire reste malheureusement possible». Elles sont 61 organisations de la fameuse «société civile» à lancer un «cri d’alarme» dans le JDD, une semaine avant le second tour de la présidentielle qui opposait monsieur Emmanuel Macron à madame Marine Le Pen. Sans citer le nom des deux candidats, ces mouvements publient un appel à la mobilisation «face à celles et ceux qui prônent le rejet de l’autre et le repli sur soi. Il en va de la défense de nos valeurs les plus universelles, un enjeu majeur de cette élection». Un appel implicite à voter contre madame Marine Le Pen. Souvent je dis Reductio_ad_Hitlerum pour qualifier ce genre de discours typique du marxisme culturel mais qui se double ici de l’Argumentum ad personam. Dans son opuscule La Dialectique éristique, le philosophe allemand Arthur Schopenhauer recense cette technique sous le titre d'Ultime stratagème (à la fois dernier recensé et dernier recours) : «Si l’on s’aperçoit que l’adversaire est supérieur et que l’on ne va pas gagner, il faut tenir des propos désobligeants, blessants et grossiers. Être désobligeant, cela consiste à quitter l’objet de la querelle (puisqu’on a perdu la partie) pour passer à l’adversaire, et à l’attaquer d’une manière ou d’une autre dans ce qu’il est : on pourrait appeler cela argumentum ad personam pour faire la différence avec l’argumentum ad hominem. Ce dernier s’écarte de l’objet purement objectif pour s’attacher à ce que l’adversaire en a dit ou concédé. Mais quand on passe aux attaques personnelles, on délaisse complètement l’objet et on dirige ses attaques sur la personne de l’adversaire. On devient donc vexant, méchant, blessant, grossier. C’est un appel des facultés de l’esprit à celles du corps ou à l’animalité. Cette règle est très appréciée car chacun est capable de l’appliquer, et elle est donc souvent utilisée. La question se pose maintenant de savoir quelle parade peut être utilisée par l’adversaire. Car s’il procède de la même façon, on débouche sur une bagarre, un duel ou un procès en diffamation».
Les 61 marxistes culturels signataires : ActionAid France - Peuples Solidaires, Aides, Alofa Tuvalu, Alternatiba, Animafac, ANV-COP 21, Association des paralysés de France, Attac, CCFD Terre solidaire, Centre Primo Levi, Ceras, Concordia, Coordination Sud, CRID, Emmaüs France, Étudiants et Développement, Fadear, Fédération des acteurs de la solidarité, Fédération des associations de Marocains en France, Fédération Loisirs solidarité retraités, Fondation Abbé-Pierre, Fondation Énergies pour le monde, Foodwatch, Forim, France Libertés, France Nature environnement, France Terre d’asile, Générations futures, Greenpeace France, Hôtel social 93, Jeunesse ouvrière chrétienne, L’Auberge des migrants, Cimade, Ligue de l’enseignement, La Main tendue, Les Amis de la terre France, Ligue des droits de l’homme, LVN - Personnalistes et citoyens, Maison des potes, Médecins du monde, Miramap, Mountain Wilderness France, MRJC, Noé, OMPE, ONE, Osez le féminisme!, Oxfam France, Pas sans nous, Place to B, Planning familial, Refedd, Réseau Action climat, Réseau Civam, Secours islamique France, Sherpa, Solidarité laïque, SOS Racisme, Utopia 56, WWF, Zero Waste France.
Nous avons là un ramassis de profiteurs que la peur de perdre leurs acquis et leurs milliards de subventions publiques fait réagir. C’est une manipulation incroyable pour faire plier le français moyen complètement déboussolé par toutes ces associations sangsues qui vivent sur le dos du contribuable, ça veut dire que ceux qui soutiennent le RN paient des impôts qui sont redistribués à des associations qui luttent contre eux !
Mais que vient faire le WWF , Green peace , les amis de la terre dans cette liste de profiteurs ; sinon qu’ils ont peur comme toutes ces association de voir leurs larges subvention diminuer voir disparaitre au profit d’action réelle envers les travailleurs Français pauvres , les retraités qui ont vu leur pouvoir d’achat fondre depuis des années sous la hausse des prélèvements d’état ! Et que vient faire la Fédération des associations de Marocains en France ? Ils ne votent pas en France ces gens ? Qu’est-ce que le WWF a à voir là-dedans ? Il y a du nationalisme contre les tortues du pacifique au sein du RN ? Et l’Association des paralysés de France qu’est-ce qu’elle vient faire là ?  Avec Zero Waste France,  peut-on jeter les cocos à la poubelle et les migrants ? Allah une, allah deux, allah taroua, allah mer!
http://www.union-rationaliste.org/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
L’union rationaliste possède une émission de radio sur France-culture c’est-à-dire payée par les finances publiques (l’argent du contribuable pour changer) chaque quatrième dimanche du mois de 9 h 42 à 10 h 00, l’animatrice est madame Emmanuelle Huisman-Perrin, professeur de Philosophie (Madame Huisman-Perrin est maître de conférence en philosophie à l'IEP de Paris et professeur de philosophie en CPGE, spécialisée dans les études sur le «genre». Une des grandes spécialités marxistes culturelles le «genre» est sans aucune base scientifique sérieuse. La théorie du genre, ou plutôt «théorie du gender», relève exclusivement du champ des prétendues sciences sociales et de la philosophie. Pour le philosophe Dominique Lecourt, les études de genre sont avant tout un «bien bel exemple de politiquement correct» (Un des synonymes de marxisme culturel) et, dans les universités françaises, des «sous-produits de recherche américains». L'anthropologue Frank Salter, accuse les études de genre de faire preuve d'une prévention contre la biologie (anti-biological bias) et considère que «la biologie détermine si une personne a des organes reproducteurs mâles ou femelles, ce qui correspond habituellement à sa sexualité, la structure de son cerveau et à ses préférences. Aucun changement de coutumes, de lois, de croyances, d'endoctrinement ou de pratiques n'a ces effets». Le biologiste Ulrich Kutschera de l'Université de Kassel, considère pour sa part les études de genre comme «une pseudoscience universitaire». Même les politiques de LREM s’en mêlent. Le 25 mars 2019, madame Agnès Cerighelli élue LREM de Saint-Germain-en-Laye a publié le tweet suivant : «Le lobby LGBT comme dans toute secte a élaboré un savant mélange de doctrines pseudo-scientifiques au service d’une volonté d’influence et de pouvoir, en utilisant les moyens les plus sophistiqués et les plus cyniques à l’âge des réseaux sociaux, du mensonge et de la propagande». Ma parole elle doit me lire ?
Madame Huisman-Perrin de par sa formation universitaire a hérité d’un marxisme culturel de bon aloi et fait référence à Freud pour ses «études» sur le fameux «genre». Freud a fait partie de l’ école de Francfort et inspirera fortement la pensée d’un Herbert Marcuse l'auteur d'Éros et Civilisation. Cette appartenance de Freud à l’école de Francfort amènera le Freudo-marxisme assimilé à une force «progressiste» et «rationaliste». Le Freudo-marxisme est pour ceux qui se poseraient la question, une tentative de conjonction de la pensée freudienne et du marxisme, représentée par Wilhelm Reich et Herbert Marcuse. (Selon Reich, c'est bien sûr le système capitaliste ignoble qui est générateur des névroses. La communauté psychanalytique lui a d'ailleurs reproché de ne pas respecter la règle de neutralité. Marcuse aurait montré que la répression des pulsions est la condition première de la genèse de la civilisation. 
En France, dans les années 1970 et 80, et même encore jusqu’au début des années 2000, il n’était pas d’alternative possible pour l’intello et l’universitaire que la grille de lecture psychanalytique et sa triade «inconscient – désir - langage», avec tout ce qui en découle, notamment dans une certaine vision du psychisme humain, aliéné à son propre libre-arbitre par un inconscient qui nous mène... «À l’insu de notre plein gré» !                                                                   La psychanalyse de Freud est une escroquerie, en 1985 dans The limits of science, chez Oxford University Press, Peter Medawar écrira : «L'opinion gagne du terrain, selon laquelle la doctrine psychanalytique est la plus prodigieuse escroquerie intellectuelle du vingtième siècle ; et un produit condamné avec ça, une voie sans issue, quelque chose de l'ordre du dinosaure ou du zeppelin dans l'histoire des idées, une vaste structure d'une conception radicalement inadaptée et vouée à rester sans postérité».                Le linguiste et philosophe juif érèv rav Noam Chomsky, l'intellectuel engagé de tendance socialiste libertaire et anarchiste, un des marxistes culturels américain de la plus belle eau qui a connu Lacan un des propagateurs les plus acharné des idiotes thèses psychanalytiques freudiennes dans les années 1970, a confié qu'il le considérait comme un «charlatan conscient de l'être qui se jouait du milieu intellectuel parisien pour voir jusqu'à quel point il pouvait produire de l'absurdité tout en continuant à être pris au sérieux». C’est pourtant Lacan lui-même qui en janvier 1977 dira : «Notre pratique est une escroquerie. Bluffer, faire ciller les gens, les éblouir avec des mots qui sont du chiqué, c'est quand même ce qu'on appelle d'habitude du chiqué… Du point de vue éthique, c'est intenable, notre profession... Il s'agit de savoir si Freud est oui ou non un événement historique. Je crois qu'il a raté son coup. C'est comme moi, dans très peu de temps, tout le monde s'en foutra de la psychanalyse».
La «théorie du genre» de madame Huisman-Perrin se propose de nier le déterminisme corporel au profit d’une idéologie de la subjectivité pure. Pour madame/monsieur Judith Butler une juive érèv rav antisioniste et homosexuelle, caricature d’une marxiste culturelle, le corps serait originellement une «matière neutre» (Il est intéressant de noter ici que l’homosexualité était considérée comme une pathologie psychiatrique jusqu’en 1973 aux USA et jusqu’en 1992 en France, l’homosexualité avait sa place dans un diagnostic au même titre que le schizophrénie ou la dépression). Le neutre est, selon monsieur Alain_de_Benoist, «un rêve de mort» ce qui expliquerait peut-être le livre de madame Huisman-Perrin, La Mort expliquée à ma fille. De plus madame Huisman-Perrin anime un cours à l'Institut d’Études Politiques sur «La Mort en perspectives». 
Néanmoins soyons clairs. Si la «théorie du genre» est une notion attrape-tout qui renvoie aussi bien aux programmes d’égalité femme/homme au sein des écoles publiques en France qu’aux travaux du psychologue John Money dans les États-Unis des années 1950, elle converge toujours vers la dénonciation du déni des sexes biologiques, de la déconstruction du primat symbolique de l’hétérosexualité féconde et des pulsions infantiles et mortifères d’universitaires marxistes culturels prosélytes. (Longtemps inconnu du grand public, le nom de John Money sexologue et psychologue néo-zélandais complétement fou est apparu dans quantité d’articles de blogs et de vidéos. Il y est décrit à juste titre comme, un «taré», un «malade mental», un «psychopathe», un «criminel assassin», à l’origine de l’absurde concept de genre (Ce n’est pas au féminisme exacerbé ou aux homosexuels qu’on doit l’invention du concept de «genre», ils ont juste sauté dessus comme la vérole sur le bas clergé. Dès 1955, inaugurant plusieurs années de «travaux» à l’université Johns Hopkins, John Money reformule les approches héritées de l’anthropologue Margaret Mead sur la socialisation des garçons et des filles : pour sa part, plutôt que de «sex roles», John Money parle de «gender rôles»).                                                                                                  Mais de quoi cette «théorie du genre», qui n'existe pas plus que la «lutte des classes», est-elle le fantasme? Pourquoi une telle rumeur a-t-elle pu se propager dans les réseaux sociaux sans que les médias n'aient eu le temps de l'invalider? Comment des parents - heureusement très minoritaires - ont-ils pu céder à cette ridicule campagne de panique, baptisée «journée du retrait de l'école», où se mêlent terreur de l'inversion des sexes, de l'annulation des différences et de la pédophilie? Pour répondre à cette question, il faut d'abord rappeler que le genre, dérivé du latin genus, a toujours été utilisé par le sens commun pour désigner une catégorie quelconque, classe, groupe ou famille, présentant les mêmes signes d'appartenance. Employé comme concept pour la première fois en 1964 par le psychanalyste américain Robert Stoller qui est souvent associé aux mouvements des Gender Studies. Même si les conclusions de ses «études» viennent confirmer ces derniers, son approche est cependant différente puisqu'il aborde la question d'identité sexuelle selon un axe purement psychanalytique. Il s'agit d'étudier l'articulation entre l'appartenance biologique à un sexe et le développement ontogénétique du sentiment subjectif d'identité sexuelle. Le «genre» a ensuite servi à distinguer le sexe (au sens anatomique) de l'identité (au sens social ou psychique). Dans cette acception, le gender désigne donc le sentiment de l'identité sexuelle, alors que le sexe définit l'organisation anatomique de la différence entre le mâle et la femelle. A partir de 1975, le terme fut utilisé aux États-Unis et dans les travaux universitaires pour étudier les formes de différenciation que le statut et l'existence de la différence des sexes induisent dans une société donnée. De ce point de vue, le gender est une entité morale, politique et culturelle, c'est-à-dire une construction idéologique, alors que le sexe reste une réalité anatomique incontournable.                                                          Dans le même temps, le livre de la «philosophe» et marxiste culturelle américaine Judith Butler, Trouble dans le genre. Pour un féminisme de la subversion (La Découverte, 2005), publié à New York en 1990, eut un grand retentissement, non pas dans la société civile, mais dans le monde académique international. S'appuyant sur les travaux de Jacques Lacan (successeur de Freud, Lacan qui a avoué être un escroc en disant en 1977 : «Notre pratique est une escroquerie, bluffer, faire ciller les gens, les éblouir avec des mots qui sont du chiqué, c'est quand même ce qu'on appelle d'habitude du chiqué») s’est évidemment beaucoup intéressé à la sexualité en générale et à l’homosexualité en particulier. Il rejette d’emblée la théorie de la dégénérescence: pour lui l’escroc, la sexualité quelle qu’elle soit s’acquiert. Si pour Freud et lui ce n’est pas une maladie, cela ne valide pas pour autant l’homosexualité comme un comportement sexuel normal, c’est bien un comportement pervers au sens d’inhabituel.                                                          Plusieurs fausses théories freudiennes viennent expliquer l’acquisition de l’homosexualité: ce serait soi-disant la non résolution du complexe d’Œdipe, ou encore la fixation à des stades précoces de développement (stade orale, stade anal) serait la cause de cette orientation sexuelle. «Mais si les travaux de Freud visaient aussi à «dépsychiatriser» l’homosexualité, c’est-à-dire de bannir les concepts scientifiques pour les remplacer par des fariboles (ne pas oublier que Freud a «travaillé» au déconstructivisme marxiste de l’école de Francfort en vue de la mise en application des règles de la théorie marxiste culturelle comme la 6 : Utilisation dans l’enseignement du sexe et notamment de l’homosexualité pour transgresser la morale traditionnelle et créer de nouvelles revendications clivantes dans la société, la 11 Substitution progressive de la famille monoparentale ou homoparentale à la famille traditionnelle comme modèle de société, la 12 : Promotion d’une forme exacerbée de féminisme jouant sur la jalousie entre sexes plutôt que sur leur complémentarité.
Judith Butler prônait le culte des «états –limites» en affirmant que la différence est toujours floue et que, par exemple, le transsexualisme (conviction d'appartenir à un autre sexe anatomique que le sien) pouvait être une manière, notamment pour la communauté noire, de subvertir l'ordre établi en refusant de se plier à la différence biologique, construite par les Blancs. Ben tiens ! Ça c’est du pur déconstructivisme politique marxiste culturel !                                 Dans cette perspective idiote se développa alors ce qu'on appellera «la théorie queer» (du mot anglais «étrange», «peu commun» pour ne pas dire anormal !), tendance relativement minoritaire au sein des études de genre et qui contribua à cerner des comportements sexuels marginaux et «troublés» : transgenre, travestisme, transsexualisme, etc... Elle permit non seulement de comprendre ces autres formes de sexualité mais de donner une dignité à des minorités de malades mentaux il y a longtemps envoyés au bûcher.  Les «études de genre», rebaptisées «théorie du genre», par les partisans d’un ordre moral ancien sont ainsi «descendues dans la rue» pour servir de slogan grotesque à une vision complotiste de l'Etat, cela veut dire qu'une nouvelle conceptualité, aussi sophistiquée soit-elle mais entièrement marxiste culturelle peut devenir, «à l'insu de leur plein gré» des auteurs qui s'en réclament, l'enjeu d'un odieux combat politique visant à obtenir l’avènement du marxisme culturel complet et de sa règle 14 : à ce que les marxistes culturels nomment l’humanisme et qui conduira l’ensemble de l’humanité à sa perte totale et définitive..                                 Toute approche nouvelle et fortement marxiste culturelle engendre des dogmes, des excès, des attitudes ridicules et la valorisation du sexe soi-disant construit (gender, queer, etc.) au détriment du sexe anatomique et naturel. On connaît les dérives de ce naturalisme fort bien critiqué en France par Elisabeth Badinter. C'est sans aucun doute par référence à cette absurde théorie queer et à ses abominables dérives qu'a été propagée la rumeur selon laquelle des sinistres adeptes de Foucault, Derrida, Lacan, Beauvoir, Bourdieu ou Freud viseraient à pervertir les écoliers. Pervertir ? Peut-être pas, mais la règle N° 6 de l’élaboration de la dominante idéologique marxiste culturelle sur la population est bien l’utilisation dans l’enseignement du sexe et notamment de l’homosexualité pour transgresser la morale traditionnelle et créer de nouvelles revendications clivantes dans la société. De plus les quelques «universitaires» totalement marxistes ou Freudiens  sont assistés des fameux idiots utiles, ceux qui participent au marxisme culturel en l’acceptant naïvement en tant que tel, en prenant pour argent comptant ses thèses, sans comprendre qu’il s’agit d’un instrument idéologique visant un objectif ultérieur destructeur. D’autant que certains universitaires plus intelligents que les freudos-marxistes voient dans les études de genre une recherche carrément biaisée. L'anthropologue Frank Salter, sans remettre en cause toutes les études de genre, les accuse de faire preuve d'une prévention contre la biologie (anti-biological bias) et considère que «la biologie détermine si une personne a des organes reproducteurs mâles ou femelles, ce qui correspond habituellement à sa sexualité, la structure de son cerveau et à ses préférences. Aucun changement de coutumes, de lois, de croyances, d'endoctrinement ou de pratiques n'a ces effets». Point barre !                                       Pour la sociologue Suédoise Helen Lindberg, les quatre théories sociales féministes qu'elle a étudiées ne sont absolument pas idéologiquement neutres et peuvent donner une vision biaisée de la société. Elle critique également ces théories comme manquant de cohérence, ne permettant pas de peser sur l'évolution de la société et s'accordant mal avec «les preuves empiriques». 
Le biologiste Ulrich Kutschera de l'Université de Kassel, considère pour sa part les études de genre comme «une pseudoscience universitaire». Freudo-marxisme et psychanalyse = études de «genre» = pseudoscience = escroquerie intellectuelle !   
Pour le philosophe Dominique Lecourt, les études de genre sont avant tout un «bien bel exemple de politiquement correct» (synonyme de marxisme culturel) et, dans les universités françaises, des «sous-produits de recherche américains».
                                                                                                                                                 Je suis toutefois perplexe, le lien sur l’union rationaliste est donné par une ultra gauche marxiste stalinienne conséquente, le Parti Communiste dit Français (Le PCF, anciennement Section Française de l'Internationale Communiste (SFIC) qui devient en 1921 le Parti communiste (SFIC), abrégé en PC-SFIC, puis le PCF en 1943 à la dissolution du Komintern soviétique. Le Komintern d'après son nom russe de Kommounistitcheskiï internatsional, était aussi également appelé Troisième Internationale). Je pense en avoir trouvé le pourquoi. L'aventure humaine ne saurait être dissociée du rôle fondamental de la raison. Cet exercice d'une fonction critique fondée sur le libre examen du réel, s'il est indispensable à la science, l'est tout autant pour faire progresser la démocratie.
L’union rationaliste pense avec raison que le rôle de la science et la notion même de progrès sont aujourd'hui contestés (le «progressisme» marxiste que nous qualifierons d’officiel et de classique est en pleine déconfiture). Beaucoup reconnaissent que le progrès scientifique a contribué à rendre possible l'allongement considérable de l'espérance de vie et l'amélioration du niveau de vie moyen dans les pays développés, et dans une moindre mesure dans le reste du monde. Mais ils constatent aussi que le développement de l'économie que ces progrès ont permis, n'a pas fait disparaître l'inacceptable misère qui est encore le sort de tant d'êtres humains, qu'un gaspillage des ressources et des atteintes de plus en plus graves à l'environnement l'ont accompagné. Nous savons désormais que l'avenir de la planète et de l’humanité est en question et que l'on ne peut plus poursuivre aveuglément le modèle de développement qui a jusqu'ici servi de référence. La situation exige des changements profonds dans les priorités économiques comme dans les comportements. Alors c’est là que les cocos et assimilés entrent en scène. En vertu des règles 13 et 14 régissant la théorie marxiste culturelle qui sont,  je le rappelle ; règle 13, Propagation des grandes peurs écologiques, totalement fictives et manipulées à longueur d’années et règle 14, enfin pour en finir ce que les marxistes culturels nomment l’humanisme et qui conduira l’ensemble de l’humanité à sa perte totale et définitive. Les communistes marxistes staliniens Français après la déroute spectaculaire du modèle soviétique criminel contre l’humanité, et la gangrène prononcée du deuxième phare de la politique mondiale se soignant de l'horreur maoïste grâce à de fortes de doses de libéralisation économique, les marxistes devenus pour la plupart des marxistes culturels refusent l'héritage de l’URSS, apostasient et essayent de s'allier à la social-démocratie (qui elle-même essaye de se raccrocher au libéralisme) et tentent de manipuler les rationalistes pour qui l’humanisme n’est que  la culture qui permet de former notre jugement. 
Sur son site, l’union rationaliste nous dit vouloir promouvoir une culture humaniste (?) qui est d’intégrer la science dans la culture générale, valoriser la formation à l’esprit critique dans l’enseignement et les médias, développer la formation citoyenne. Il y a du boulot non ? D’autant qu’en 1947 Jacques Ellul écrit : «Sitôt que l'on parle d'humanisme, on est en plein dans le domaine des malentendus. On pense à un certain sentimentalisme, à un certain respect de la personne humaine, qui n'est qu'une faiblesse et un luxe bourgeois et l'on ne peut s'empêcher de penser qu'un écrivain communiste (...) avait en partie raison quand il écrivait : «la dignité humaine, les droits de l'homme, le respect de la personne, etc., on en a les oreilles rebattues». Cette réaction est dure, mais je crois qu'elle est légitime en face de tout ce que l'on a appelé «humanisme». Et, en particulier, l'un des malentendus qu'il faudrait dissiper, c'est (l'idée) que la démocratie serait humaniste et respecterait l'homme et (que) la dictature serait antihumaniste et mépriserait l'homme. Tout notre temps est absolument subjugué par cette erreur, par cette antinomie au sujet de l'homme, entre démocratie et dictature».
Il n’en reste pas moins que sur son site, l’union rationaliste nous écrit que la religion musulmane pose un problème au rationalisme en tant que telle. G Fussman dans Laïcité et rationalisme écrira: « […] Les rationalistes sont aussi universalistes que les musulmans. C'est pourquoi nous ne pouvons-nous limiter à des prises de position libérales valables pour la seule France. Il existe en effet un principe de droit musulman disant qu'en pays majoritairement infidèle (non-musulman), le bon musulman doit respecter les lois locales tant qu'elles ne touchent pas à l'essentiel (respect du régime alimentaire, etc.). Les chiites permettent même de cacher sa croyance. Par contre en pays d'islam, la charia doit s'appliquer dans sa totalité, au moins aux musulmans, souvent aussi aux minorités. Nous ne pouvons accepter ce sophisme. Il ne suffit pas qu'un imam dise en France que les jeunes Françaises musulmanes peuvent sortir sans voile et se maquiller sans cesser d'être musulmanes. Il faut qu'il ajoute que ce serait le cas même si elles vivaient en Arabie saoudite ou en Afghanistan et que c'est une aussi grande monstruosité de lapider une femme au Nigeria que cela le serait en France. Les droits de l'homme ne se divisent pas. Qui accepte le statut inférieur de la femme en pays musulman rêve dans son for intérieur de le rétablir en France si l'islam y devient un jour majoritaire. La laïcité de l'État interdit à ses représentants de mener le combat en ces termes. Les principes que l'Union Rationaliste s'est donné pour tâche de défendre nous imposent de le faire». Bravo messieurs mais ça va pas plaire aux cocos !

https://mwasicollectif.com/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).                                                                   
Mwasi (se prononce moisi et veut dire fille ou femme en lingala sorte de pataouète ethnique noir). C’est encore un «collectif» racialiste ou ethno différentialiste dit «Afroféministe» créé en 2014 par un groupe d’Africaines et Afrodescendantes qui ressentaient le besoin de fédérer, d’échanger et de s’exprimer sur les questions liées aux Femmes Noires (Quand je vous le dit que les races existent). Ce collectif non-mixte de Femmes noires et métisses, lutte contre les soi-disant violences et différentes oppressions qu’elles subissent. Son approche intersectionnelle des «luttes» qu’elles rencontrent, le place sur de nombreux champs de bataille (sic); contre les discriminations liées à la classe, au genre, à la sexualité, à la santé, la religion; contre l’institutionnalisation des dominations hétéropatriarcales dans le système capitaliste hégémonique blanc dans toute sa complexité. Les mots de «système capitaliste hégémonique blanc» dénotent outre un marxisme culturel assumé, un racisme antiblanc de bon aloi !
Bizarrement ses groupes racistes existent en plusieurs exemplaires. L’afroféminisme en France est représenté, entre autres par différents groupes militants tels que :
Afrofem, fondé en 2012 premier collectif francophone raciste noir né de l'initiative de 10 femmes noires militantes panafricaines. Le collectif est intersectionnel et abolitionniste. Le meilleur dans cette histoire c’est qu’encore une fois c’est le monde arabo-musulman qui est dénoncé comme fondamentalement raciste et esclavagiste ! Cliquez ici  et vous saurez qu’au lieu de postes d’employées de maison et de conditions de travail dignes promis par leurs propres compatriotes, c’est une situation d’esclavagisme domestique que ces femmes noires venues d’Afrique ont rencontré dans les pays où règne l’Islam. Les familles arabo-musulmanes qui les ont achetées les font travailler jusqu’à 20 heures par jour, leur font subir des actes de violences et de torture et confisquent les passeports. Des filières de recrutement dans les pays d’origine aux familles qui achètent une main d’œuvre sans leur accorder le moindre droit, c’est tout un système qui est organisé pour flouer ces femmes et les contraindre à rester sous le contrôle de leurs abuseurs musulmans racistes. Ce système ce sont celles et ceux qui organisent ces voyages en s’appuyant sur des complicités dans les administrations et services d’état des pays Africains corrompus jusqu’à la moelle.     Ce système ce sont des pays musulmans du monde arabe tels par exemple que le Qatar, le Koweït ou le Liban et bien d’autres qui utilisent la kafala (*) comme système esclavagiste.   
 Ce système c’est l’échec des associations marxistes culturelles de droits humains, des autorités internationales et des pays hôtes à offrir un cadre sécuritaire à des «travailleuses et travailleurs».                                                                                              Ce système c’est l’échec des pays Africains d’origine à détruire la corruption et à protéger leurs ressortissants sur leurs propres territoires comme à l’étranger.  
(*) Pour Farida Nabourema (Togolaise Désabusée) «La Kafala est un système de parrainage des travailleurs migrants qui exige qu’un migrant soit sponsorisé par un citoyen avant de pouvoir immigrer et travailler dans le pays en question. Le système Kafala confère des pouvoirs énormes aux employeurs qui détiennent le contrôle absolu sur les mouvements des travailleurs». Madame Nabourema reconnait sur son blog que dans plusieurs pays d’Afrique (…) les colons ont construit avant de partir des hôpitaux, des routes, des écoles et dans certains de ces pays, les seules infrastructures publiques à ce jour sont celles construites par les colons. CQFD
Lesbiennes of color groupe féministe lesbien noir. Créée en 2009, l’association Lesbiennes of color (LOCs) regroupe des féministes lesbiennes originaires d’Afrique, des Amériques, des Antilles, des Caraïbes, du Moyen-Orient et d’Asie. Elles multiplient les actions en opposition à ce qu’elles appellent l’ordre hétéro-normatif et font aussi entendre leur voix raciste dans un milieu LGBT qu’elles considèrent peu inclusif pour les femmes non-blanches.                                                                                     
Sciences Curls, une association de l'institut d'études politiques de Paris qui tente «de se réapproprier des critères de beauté qui ne correspondent pas forcément à la norme blanche» et démonter les stéréotypes liés au cheveu afro crépu, frisé et bouclé.  
Ces groupes racistes sont de plus largement présent sur la toile, notamment à travers des blogueuses influentes telles que Laura Nsafou Sharone Omankoy (blog : Le kitambala Agité)
https://barakacity.com/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Des musulmans «humanistes» ! Quand je vous le dit que l’Islamomarxisme existe !
https://www.sos-homophobie.org/ (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
L’association marxiste culturelle Sos Homophobie s’explique juste avec son sous-titre «lutte contre la lesbophobie, la gayphobie, la biphobie et la transphobie» et pour sigle «SOSH».
Les néologismes et les idées marxistes culturelles qu’ils véhiculent trouvent leurs explications évidemment sur Wikipédia comme Lesbophobie ici, sur Wiktionnaire pour la gayphobie, la biphobie est dite et prise sur Wikipédia grand spécialiste des déviations sexuelles dont tout le monde se tape le coquillard comme un mot-valise formé sur le modèle du mot homophobie, désignant soi-disant les manifestations de mépris, rejet, et haine envers des personnes ou des pratiques bisexuels ou apparentées (pansexualité ou homosexualité). L'une des manifestations de la biphobie consiste à considérer que la bisexualité n'existe pas réellement. La biphobie et c’est ça qui est intéressant se rencontre indifféremment venant de personnes hétérosexuelles ou homosexuelles (SOS Homophobie parlant à ce propos de «double peine» sans se rouler le cul par terre de rire. Le mot «homophobe» est un mot-virus. Dans un contexte médiatique, un «homophobe» (par exemple quelqu'un qui serait opposé au mariage gay) aurait soi-disant en lui une haine contre les homosexuels. Plus généralement, tous les termes en -phobe ou -phobie, dont le nombre n'est limité que par l'imagination débridée de leurs auteurs gauchiottes : handiphobie, sérophobie, transphobie, pauvrophobie (néologisme inventé par ATD Quart Monde que nous avons vu tout à l’heure), psychophobie (discrimination à l'égard des personnes handicapées mentales), grossophobie (discrimination à l'égard des obèses), glottophobie (moquerie à l'égard de ceux qui ont un accent différent), oikophobie (haine de la maison natale ou de sa patrie), génophobie (peur d'engendrer), connardophobie (peur des communistes et autres gens socialistes ou de gauche) etc. — il ne manque plus que la phobophobie, peur de la peur, ou la libéralophobie, peur du libéralisme — sous-entendent que la personne concernée est atteinte d'une maladie mentale particulière (c'est donc une attaque ad hominem) comme nous allons le voir plus loin avec le cas de madame Agnès Cerighelli, la phobie désignant une peur incontrôlable et irrationnelle. En réalité, l'hostilité envers une croyance, une religion, une idéologie, un comportement social ou une orientation sexuelle peut s'appuyer sur des arguments rationnels, et relève également de la liberté d'expression et de la liberté de penser et est légitime tant qu'elle n'aboutit pas à une agression. Que l'on juge bêtement cette hostilité comme immorale n'entre pas en ligne de compte (l'immoralité n'étant pas un prétexte légitime à agression). Mettre un adversaire dans la «cage aux phobes» permet ainsi d'éviter toute discussion rationnelle: Philippe Muray, un de mes bon maîtres inventa le concept d'«envie de pénal», qui stigmatise la volonté farouche de créer des lois pour «combler le vide juridique», c'est-à-dire supprimer toute forme de liberté et de responsabilité. Il écrira dans Exorcismes spirituels III, Les Belles Lettres, 2002 : «Je suis frappé depuis quelques années par l’opération de médicalisation systématique dont sont l’objet tous ceux qui ne pensent pas dans la juste ligne : on les taxe de phobie. Et personne n’ose seulement délégitimer cette expression en la problématisant (c’est-à-dire en disant ce que se devrait de dire à tout propos un intellectuel : qu’est-ce que, au fait, ça signifie ?). Il y a maintenant des phobes pour tout, des homophobes, des gynophobes (encore appelés machistes ou sexistes), des europhobes, etc. Une phobie, c’est une névrose : est-ce qu’on va discuter, débattre, avec un névrosé au dernier degré ? Non, on va l’envoyer se faire soigner, on va le fourrer à l’asile, on va le mettre en cage. Dans la cage aux phobes».
Il existe toutefois quelques personnes avec la tête sur les épaules, notamment Madame Agnès Cerighelli, conseillère municipale non-inscrite de Saint-Germain-en-Laye (Agnès Cerighelli, était une adhérente de l’immonde LREM dont elle a été exclue),  qui n’échappera pas à la cage aux phobes.  
Madame Cerighelli, subit la vindicte absurde des associations marxistes culturelles SOS homophobie, Aides et l’Inter-LGBT qui ont déposé en Juillet 2017 auprès du doyen des juges d’instruction du TGI de Paris une plainte pour injures publiques, diffamation et provocations à la haine, la violence ou la discrimination à raison de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre contre elle. Sur son compte Twitter, suivi par plus de 5 000 abonnés, madame Cerighelli multiplierait depuis de longs mois les tweets soi-disant injurieux, diffamatoires ou provoquant à la haine contre les personnes LGBT. Au fil des 2 800 tweets publiés sur son compte, elle distillerait une logorrhée obsessionnelle et quasi-maladive à l’encontre des LGBT qui sont tour à tour accusés:  
De former un «lobby LGBT», «mondialiste et libertaire», «communautariste et séditieux», «ayant su infiltrer Ministères et Parlement» qui voudrait «homosexualiser la société», «mépriserait l’hétérosexualité» et défendrait «l’éducation sexuelle dès 4 ans». Toutes affirmations très justes qui n’ont strictement rien d’injurieuses ni de diffamatoires exprimant simplement la vérité.     D’être, à l’instar du «nazi Heydrich imposant le port l’étoile de David aux Juifs», «une secte LGBT» qui «imposerait à tous ses membres de porter un pansement arc-en-ciel sur le visage pour promouvoir son prosélytisme et son communautarisme sexuel». Même motifs et même punition que dessus ces affirmations n’ont strictement rien d’injurieuses ni de diffamatoires exprimant juste une opinion.
Si par un hasard miraculeux il s’avérait que j’écrive : «Si nous sommes socialistes, alors nous devons forcément être antisémite – et l’opposé, dans ce cas, c’est le Matérialisme et le Mammonisme, auxquels nous cherchons à nous opposer. (..) Comment, en tant que socialiste, ne pouvez-vous pas être antisémite ?». Si je n’ajoutais pas que ce texte est extrait d’un discours prononcé par monsieur le chancelier du troisième Reich Allemand Adolph Hitler au parti Social Nationaliste en août 1920, à Munich, à propos des races et de la politique, vous seriez en droit de me traiter d’antisémite (ce qui marquerait mal, moi qui fait cet article pour défendre les sionistes de Dreuz-info) ; j’ajoute qu’il est ainsi bien établi que tous les socialistes de l’époque défendaient les politiques eugénistes, comme ils l’avaient toujours fait par le passé. En effet, à cette époque, tous ceux qui défendaient l’idée de génocide se revendiquaient Socialistes. 
Madame Cerighelli est aussi accusée d’imputer avec raison au lobby LGBT de promouvoir la PMA pour toutes, pour satisfaire son «égoïsme abject». Egoïsme abject n’a rien de diffamant ni d’injurieux c’est aussi une simple vérité.                                                                                                          De plus, elle accuse fermement le même immonde Lobby de diffuser une «idéologie subversive incitant les enfants à expérimenter la bisexualité ou le transsexualisme», les actions de prévention de SOS homophobie étant explicitement dénigrées dans un autre tweet pour indiquer que «le lobby LGBT n’a pas sa place à l’école». Encore une vérité première.     De faire une promotion «dramatique» des LGBT à l’école, madame Cerighelli ferait aussi semblant de s’interroger (affirmation gratuite) sur «le nombre de suicides, de mutilations, d’opérations chirurgicales (toutes remboursées par la sécurité sociale) commises sur des enfants au nom de la banalisation du transsexualisme ?». L’affirmation vraie que la promotion LGBT est faite à l’école publique ce qui est une honte, et l’interrogation de madame Cerighelli très justifiée n’ont strictement rien d’injurieuses ni de diffamatoires exprimant juste la simple vérité.   
Alors ? On vient de voir que tout ce cirque est une manifestation du marxisme culturel dans sa simplicité ridicule. Les règles de la théorie marxiste culturelle s’appliquent ici pleinement en particulier la règle N°3. La volonté de faire obstacle au maximum à la natalité blanche en promouvant l’avortement et en encourageant le développement de familles sans enfants. Avec la N° 4, la destruction des valeurs de solidarité telles la famille ou la nation. La N° 5, destruction des repères culturels et moraux fondateurs en sabotant le judéo-christianisme et pour terminer la N°6, l’utilisation dans l’enseignement du sexe et notamment de l’homosexualité pour transgresser la morale traditionnelle et créer de nouvelles revendications clivantes dans la société. De nouveau CQFD.

https://www.amnesty.org/fr/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Amnesty International est un mouvement mondial regroupant plus de 7 millions de personnes qui prennent l'injustice comme une affaire personnelle. Ils affirment : Nous faisons campagne pour un monde où chacun peut se prévaloir de ses droits (Les fameux doigts de l’homme ?). Nous sommes financés par nos membres et des personnes comme vous. Nous sommes indépendants de toute idéologie politique, de tout intérêt économique et de toute religion, qu’ils disent, mais accepte d’être recommandés par les communistes des gens parmi les pires criminels contre l’humanité que le monde a connu, connait ou connaitra. Aucun gouvernement n'échappe à leur vigilance. Aucune situation n'est désespérée. À nos débuts, peu de gens imaginaient que des tortionnaires deviendraient des hors-la-loi internationaux. Il paraissait improbable que la plupart des pays aboliraient la peine de mort. Il semblait tout aussi inconcevable que des dictateurs réputés intouchables aient un jour à répondre de leurs crimes. On n’aurait presque tendance à les croire, surtout lorsqu’ils dénoncent le Zimbabwe communiste : «Le président du Zimbabwe, Emmerson Dambudzo Mnangagwa, surnommé "Ngwena", le crocodile (un communiste sanguinaire dont les connexions cervicales ne sont pas encore toutes assurées mais son processus de réflexion devrait connaître un déblocage imminent), a mis en œuvre une politique de répression systématique contre l’opposition pendant la première année de son mandat, a dénoncé lundi 26 août Amnesty International. « Ce que nous observons (…), ce sont des attaques impitoyables contre les droits humains, notamment contre les libertés d’expression, de réunion et d’association, de plus en plus réduits et considérés comme des crimes», a déploré un des responsables de l’ONG pour l’Afrique, Muleya Mwananyanda. Lire aussi répression au Zimbabwe.                                                      J’aimerais bien que le PCF vienne commenter le rapport 2017/2018 d'Amnesty International sur la Corée du Nord communiste ; extrait : «Jusqu’à 120 000 personnes étaient toujours détenues dans les quatre camps de prisonniers politiques connus, où elles subissaient des violations graves, systématiques et généralisées de leurs droits fondamentaux, notamment des actes de torture et d’autres mauvais traitements, et étaient soumises aux travaux forcés. Certaines de ces violations constituaient des crimes contre l’humanité ; aucune mesure n’a semble-t-il été prise au cours de l’année pour que les responsables répondent de leurs actes. De nombreux prisonniers de ces camps n’avaient été déclarés coupables d’aucune infraction reconnue par le droit international, mais étaient détenus de façon arbitraire parce que certains de leurs proches étaient considérés comme une menace pour les pouvoirs publics, ou au titre de la «culpabilité par association». 
J’aimerais bien aussi que le PCF qui donne le lien d’Amnesty en favori vienne aussi commenter l’article sur le Viêt-Nam communiste voir ici ; extrait : «Le droit à la liberté d’expression, d’association et de réunion pacifique restait soumis à des restrictions arbitraires. La répression contre la dissidence s’est intensifiée, poussant de très nombreux militants à fuir le pays. Des défenseurs des droits humains, des militants politiques pacifiques et des adeptes de mouvements religieux ont été la cible de diverses violations des droits humains : détentions arbitraires, poursuites judiciaires liées à la sécurité nationale et à d’autres accusations vagues, procès inéquitables, ou encore emprisonnements de longue durée, entre autres. Des militants de premier plan ont subi des restrictions de leur liberté de circulation et fait l’objet d’une surveillance, de harcèlement et de violentes agressions. Des prisonniers d’opinion ont été torturés ou autrement maltraités. Des décès suspects en garde à vue ont été signalés et la peine de mort était toujours en vigueur».                                                                                        L’avis du PCF et de ses sbires de la nomenklatura serait aussi intéressant sur la Chine ou République populaire de Chine fondée en 1949, actuellement dirigée par Xi Jinping, reconduit pour 5 ans secrétaire général du parti communiste, comme aussi sur la République Démocratique Populaire du Laos fondée en 1949 dirigée par Bounnhang Vorachith (Un bien brave coco qui dirige un pays tellement progressiste que les partis politiques autres que le Parti révolutionnaire du peuple lao (Parti communiste) au pouvoir sont restés interdits), avec la République de Cuba État communiste à parti unique qui était présidé par Raul Castro, frère de feu Fidel Castro et aujourd’hui par Miguel Diaz-Canel Bermúdez un bon blanc de chez blanc membre du Parti communiste cubain et «président» fantoche, en effet c’est le 19 avril 2018, qu’il est élu président des Conseils d'État et des ministres par l'Assemblée nationale du pouvoir populaire, succédant ainsi à Raúl Castro qui demeure quand même premier secrétaire du Parti communiste et véritable «homme fort» du pays jusqu'en 2021. C’est beau les démocraties populaires non ?                                                                                                       Il reste comme toutes les fameuses ONG, le grave problème du financement. En premier lieu nous pouvons voir que l’ONG dispose de plusieurs strates. Amnesty International est la première façade mais derrière nous retrouvons Amnesty International Charity Limited qui est une  association  enregistrée  comme charitable et c’est  par celle-ci que  passe  les  financements d’Etats et de groupes corporatistes. Georges Soros, milliardaire notamment accusé de délit d’initiés en France par la Société Générale est à la tête de la fondation Open Society Institute, qui promeut la démocratie, est l’un des plus gros donateurs d’Amnesty International Charity Limited. Il a déjà investi plus de 100 millions de dollars au sein de l’ONG. (Peut-être dans un souci de conscience et de transparence vis à vis des Etats) Il y a deux ans, un autre «scandale » financier  éclaboussait l’ONG. L’ancienne  directrice d’Amnesty, Irene  Khan, s’est vue octroyer une indemnité de départ de plus de  600 000€, étrange venant de cette femme qui avait activement lutté contre la pauvreté dans le monde. Amnesty  international se prévaut de  l’acte  Transparency  International, ce dernier est un indice de perception de la corruption. Mais il n’y a aucun détail des dons. Un don peut être un don d’Etat ou de particulier. Où sont ces détails ?  Pourquoi ne sont-ils  pas  déclarés  officiellement ? Peut-on se considérer comme  transparent dans ces moment-là ? Toutes ces questions laissent planer de graves doutes au-dessus de  l’ONG. 

https://www.fidh.org/fr/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
La Fédération Internationale des ligues des Droits de l'Homme (FIDH) est une «ONG internationale» qui à ses dires défend tous les droits humains : civils, politiques, économiques, sociaux et culturels, tels qu’ils sont énoncés dans la Déclaration universelle des droits de l’Homme. Reconnue d’utilité publique en France (C’est-à-dire subventionnée à 100% par l’argent des contribuables), où elle a son siège, la FIDH serait une organisation non partisane, non confessionnelle, apolitique et à but non lucratif. Son indépendance, son expertise et son objectivité seraient les gages de sa crédibilité. Elle agit en toute transparence. L'expression «organisation non gouvernementale» (ONG) apparaît pour la première fois dans l'article 71 de la Charte des Nations unies, en 1946, article qui invite le Conseil économique et social (ECOSOC) à «consulter en tant que de besoin des ONG dans le cadre de sa mission». Or l’ECOSOC ne propose pas de définition des ONG. L’ONG est aujourd'hui un mot valise connoté positivement ce qui permet n’importe qu’elle approche politique très souvent marxiste culturelle surtout si elle fait partie de la nébuleuse communiste ou est recommandé par elle.

https://www.initiative-communiste.fr/prcf-presentation/(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Comment vous ne connaissez pas le PRCF ? : une organisation humoristique fédérant les communistes (Ils sont environ 4 ou 5 à tenir leur comité central dans une cabine téléphonique) qui veulent que renaisse un Parti Communiste de combat avec son KGB, sa Loubianka, ses apparatchiks, ses goulags, ses ignobles famines et ses asiles psychiatriques; tant qu’il y eut un vrai Parti communiste en France, les aujourd’hui introuvables «travailleurs» pesaient politiquement, l’imbécile idéal révolutionnaire marxiste portait les merveilleuses luttes progressistes tellement criminelles contre l’humanité et finales que s’en était un vrai plaisir populaire et démocratique, l’indépendance nationale et son rassemblement, les conquêtes sociales et le produire en France étaient défendus, les travailleurs français et immigrés luttaient ensemble, les fachos et autres sociaux-nationalistes rasaient les murs et le MEDEF se tenait à carreau (du Temple ?)…  Le PRCF  qui mobilise la théorie scientifique forgée par les grands génies Marx, Engels et Lénine, pour proposer une idéale et merveilleuse stratégie révolutionnaire que c’est un vrai plaisir de vous dévoiler ses magnifiques objectifs: ensemble, remettons le monde du travail au cœur du rassemblement populaire contre le grand capital sinon direction la Kolyma, refusons la mensongère «Europe sociale» et combattons durement l’Union européenne (UE) supranationale des vampires satanistes financiers capitalistes suceurs du sang des travailleurs et des travailleuses ! Vous devez sous peine de 15 ans de goulag combattre la criminalisation du merveilleux et populaire communisme, ainsi que de défendre l’héritage de la Commune de Paris, de la Révolution d’Octobre, du Congrès de Tours et des ministres PCF de la Libération, refuser l’odieux amalgame entre le Troisième Reich et les héros de Stalingrad, défendre Cuba, le Viet Nam, le Laos, la Corée du Nord, le Zimbabwe socialiste etc., dénoncer le capitalisme de la LREM et l’impérialisme immonde avec le Rassemblement National qui dévore les petits enfants rouges, avec ceux capitalistes vicieux qui détruisent l’environnement, sucent des bittes, sodomisent des chèvres, menacent la paix mondiale, détruisent les acquis sociaux, violent les femmes, détruisent méchamment les libertés démocratiques et la souveraineté des masses et des peuples. A l’opposé des états-majors inféodés à la C.E.S. pro-Maastricht, le PRCF milite pour la relance du syndicalisme de classe. Loin de négocier les régressions sociales, il faut construire le tous ensemble en même temps contre Macron-MEDEF, l’exécutant de l’Union européenne arrimée à l’OTAN. Sans oublier le Rassemblement National de Marine Le Pen !  
Le PRCF unit le drapeau rouge frappé de l’emblème ouvrier et paysan au drapeau tricolore de la Révolution française pour sortir la France du broyeur de l’€uro et de l’UE, combattre l’OTAN et la marche aux guerres impérialistes conduite par Trump, remettre à l’ordre du jour la marche de la France au socialisme-communisme, contribuer à la relance du Mouvement Communiste International vers des lendemains qui chantent et du Front anti-impérialiste mondial, défendre l’environnement contre le tout-profit capitaliste. Le manque de culture de ses gens-là est monstrueux, ils n’ont jamais lu Pascal Salin qui dit : «C'est à tort qu'on compare le capitalisme existant à une situation purement idéale où n'existerait jamais d'erreur de gestion, jamais de dissimulation comptable, jamais de faillite, jamais de licenciements, jamais de baisse de valeur des actifs. Car l'erreur est humaine, elle est nécessairement présente dans toute organisation sociale et elle est bien souvent un élément essentiel de tout processus d'apprentissage. Ne poursuivons donc pas la chimère d'un monde idéal sans problème, mais demandons-nous plutôt quel est le système qui donne le plus de chances à tous de poursuivre efficacement leurs propres objectifs. La réponse est simple : c'est le capitalisme, car il repose ­ plus que tout autre ­ sur la discipline de la responsabilité individuelle, parce que l'erreur y est sanctionnée et parce qu'il incite à la création de connaissances (éventuellement à partir des leçons tirées des erreurs)».                                                                                                  Malgré les monstrueux échecs du communisme les braves cocos du PRCF proposent à tous les «progressistes» de construire un Front (National ?) pour l’indépendance nationale, la coopération internationale et la République sociale. Chez moi cela s’appelle du social nationalisme (En Allemand du National-socialisme ou nazisme). Alors, jeune lobotomisé ne reste pas spectateur, rejoins le PRCF ou les JRCF, l’organisation des Jeunes pour la Renaissance Communiste en France

Michel Alain Labet de Bornay


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