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Association Républicaine des Anciens Combattants (Gard).
L’ARAC est une association créée en 1917 par des
communistes à l'idéologie collectiviste.
Monsieur Pierre Clec’h, est le président de l’ARAC
(Gard).
Un mouvement marxiste peut connu est associés à l'Arac, le Comité pour la construction du Village de l’Amitié au Vietnam communiste (Vanh
Can, près de Hanoi).
Le Comité Français pour la Construction du Village de
l’Amitié au Viêt-Nam est une association française de la Loi de 1901, déclarée
le 24 juin 1992, et reconnue par l’UNICEF. La guerre du Viêt-Nam fut gagnée par
celui-ci en 1975.
Pour Hanoi, le prix de la
guerre fut de quelque 3 millions de morts et blessés, quarante ans d'isolement,
le Nord en ruine et un Sud socialement désaxé. C'était une hypothèque que le
régime mit longtemps à rembourser. Rien n'avait préparé les communistes pour
leur victoire de 1975. Leur seul modèle, après un demi-siècle de liens avec
l'Internationale communiste, était l’immonde système soviétique communiste. Dès
fin 1975 les abrutis marxistes dirigeants de Hanoi, pour qui rien
n'apparaissait comme impossible, décident de brûler les étapes en lançant le
pays sur la voie d'une industrialisation accélérée et d'une collectivisation
absolue, selon le plus pur modèle stalinien. Ainsi, à l'heure où l'Union
soviétique stagnait et où la Chine privatisait, le Vietnam collectivisait. Ce
fut seulement quelques années plus tard, quand le pays fut ravagé par la
famine, que la direction du parti pris conscience du fait que les dogmes
marxistes des années 20 n'offraient pas nécessairement une solution aux défis
de la fin du XXe siècle. En décembre 1985, le régime proclame alors la
politique de Do Moi, la Rénovation. La terre fut rendue aux paysans et les
commerces aux commerçants. En dix-huit mois le pays passa d'un déficit en riz à
un excédent. Quatre ans plus tard, le Vietnam se retrouva orphelin de l'Union
soviétique. L'heure des «modèles»
avait bien sonné. Après avoir battu et la France et les Etats-Unis, le Vietnam
se trouvait enfin affranchi de son dernier joug: l'idéologie marxiste
Stalinienne.
Il existe aussi l’ARAC–Cuba–Solidarité. C’est y pas beau le
communisme ? Qui sait
qu’homosexuels dit aussi pédérastes, Hippies (genre de beatniks, aujourd’hui Zadistes), dissidents
capitalistes étaient internés à Cuba, c’était quand le merveilleux Cuba
communiste se purifiait de ses déchets !
Dès 1959, le
régime met en place des camps pour redresser à la mode communiste les déviants
et les faibles,
homosexuels et autres genres, dissidents etc. Le
système d'enfermement en camp de concentration durera jusqu'en 1968.
Depuis une
vingtaine d'années, les historiens et chercheurs analysent avec un esprit
critique la révolution cubaine et le rôle souvent criminel qu'ont joué Fidel
Castro et son célèbre compagnon Ernesto «Che»
Guevara dit le Bou-Ché. Le film Mauvaise Conduite des réalisateurs espagnols
Nestor Almendros et cubain Orlando Jiménez-Leal en 1983, ainsi que la
publication du Livre noir du communisme en 1997 révèlent l'existence de camps
d'extermination communistes à Cuba et achèvent d'enterrer la légende dorée qui
colle au Commandante. Le régime communiste le rêve de tous les bons camarades
composant cette liste n'avait pas cherché à simplement réprimer dans le sang ceux
qui le contestaient, mais avait cherché à «purifier»
la société de ses «déviants». Et ce,
dès le début. En janvier 1959, le régime de Batista est renversé par le
mouvement du 26 juillet, mené par Fidel Castro et Ernesto Guevara. Dès leur
arrivée au pouvoir, les premiers camps d'internement et d’extermination font
leur apparition. La répression dans les camps n'est en rien une «dérive» de la révolution, mais fait
partie intégrante du projet marxiste révolutionnaire cubain. La monstrueuse et
criminelle idéologie révolutionnaire marxiste cubaine, qui se base sur une
transformation volontariste de la société, rassemble plusieurs courants issus
d'horizons historiques variés : l'hygiénisme, la pensée positiviste, et surtout
un projet de rééducation des masses. De ce mélange de pensées émerge une
volonté qui domine toutes les autres : celle de «réguler la société». Dès l'arrivée au pouvoir du camarade Fidel
Castro, des campagnes de persécutions sont lancées pour «assainir» les mœurs. Au début des années 1960, les prostituées et
les homosexuels sont massivement arrêtés et pour beaucoup exécutés sommairement,
notamment lors de la «nuit des 3 P» (pour
proxénètes, prostitués et pédérastes) en 1962. L'université de La Havane
organise également des purges homophobes dans son personnel enseignant.
À partir de
1959 et au début des années 1960, des structures émergent de façon très
désordonnée, par exemple des fermes agricoles fermées. Les premiers camps de
travaux forcés sont ouverts dans la péninsule de Guanaha (située à l'extrême
ouest de Cuba). Le rôle du camarade Guevara dans la construction et la mise en marche
de ces camps de concentration est mis en avant aujourd’hui. Le Che est
directement à l'origine de l'ouverture de ces camps de concentration dit de réhabilitation,
destinés à faire de ces opposants à la révolution communiste «des hommes neufs», le plus souvent des
hommes morts. Régis Debray impute au
camarade Che Guevara l'ouverture des premiers camps de travaux forcés. Ces
structures appelées les «Guanahacahibes»
(1960-1961) sont destinées aux ouvriers responsables de «crimes contre la morale révolutionnaire», afin de se racheter une
conduite. La nécessité de retrouver une pureté idéologique communiste obsède le
Bou-Ché. D'ailleurs, la création de ces camps de travail forcé est concomitante
avec celle de milices armées, de comités de quartier, d'une police politique,
etc. Il s'agissait, selon lui et ses idées marxistes, d'une entreprise de «recyclage des déchets de la société». En 1963, Fidel Castro
prononce un discours au cours duquel il utilise pour la première fois
l'expression «Unités militaires d'aide à
la production» (Umap) de vrais camps de concentration. C'est en 1964 que
s'ouvrent les premiers Umap, appellation officielle qui déguise l'installation
de véritables camps d'internement et de travail forcé. Toutes sortes d'ennemis
de la révolution cubaine y sont enfermés de force. Vincent Bloch, qui est
également l'auteur de Cuba, un univers totalitaire, écrit : «Au nom d'une moralité confuse et
incertaine, les hippies, les homosexuels, les témoins de Jéhovah, les artistes
idéologiquement diversionnistes sont envoyés dans les Umap». Une colossale
entreprise de propagande est organisée autour des Umap, présentées comme une
organisation parfaite de la société. Purifier
la société se traduit également par une entreprise de «re-virilisation» de celle-ci. Par exemple, dans les rues de Cuba
et a fortiori dans ces camps, «la police
coupe les cheveux longs des garçons qui osent se montrer en public». À
l'entrée de ces Umap, une pancarte indique : «Le travail fera de vous des hommes», sorte d’ «Arbeit macht frei» comme chez les nazis. Pour le régime
criminel communiste, ce qui menace d'affaiblir la révolution socialiste, ce
sont autant les bourgeois que les hommes «faibles»,
féminins : les homosexuels, les antimilitaristes (trop fragiles pour tuer au
nom de la révolution communiste) et les hippies. Il faut, afin de servir la
révolution, rééduquer ces hommes qui pouvaient très rarement ressortir de ces
camps au bout d'un an en cas de «bonne
conduite». Selon
Martha Frayde, médecin et ancienne dissidente au régime cubain, ces structures
constituent de véritables «camps de
concentration», entourés de barbelés, où les hommes pouvaient travailler
jusqu'à 16 heures par jour, dormaient entassés dans des hangars, et où les
homosexuels, les criminels, les handicapés mentaux, les dissidents politiques
et les religieux étaient mêlés. Si les conditions de vie varient fortement
selon les camps, les cas de torture, d'exécution, de suicides et d'affamement
sont incontestables, les viols étaient également pratique courante.
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Fédération Syndicale Unitaire (FSU 30).
La Fédération syndicale unitaire a été créée en 1993.
Elle est rapidement devenue la fédération syndicale majoritaire des personnels
de l’Education nationale, mais également la première fédération de la fonction
publique de l’Etat. Regroupant actuellement 21 syndicats, elle rassemble des personnels
de divers ministères et services publics relevant de l’Etat, des collectivités
territoriales ou des hôpitaux. Elle occupe de ce fait une place singulière dans
le paysage syndical français. En 10 ans d’activité, elle a contribué au
renouveau du paysage syndical français où elle entend œuvrer à établir des
liens et des relais entre l’action syndicale et le mouvement social dans toute
sa diversité.
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Force Ouvrière (UD-FO 30).
07 février 2020
L’UD FO du Gard apprend par votre intermédiaire qu’une
officine se prétendant laïque, Riposte Laïque, cherche à instrumentaliser et
pervertir cette donnée universelle définie par la loi de 1905 pour vous
calomnier et attenter à votre honneur.
Vous avez décidé de porter l’affaire devant les
tribunaux.
L’UD FO du Gard vous apporte son soutien car aucun
citoyen ne peut être traité de la sorte parce qu’il exerce son droit à la libre
expression et démonstration de sa conviction en matière de religions.
La loi de 1905 est une loi de concorde permettant à
tous de croire ou ne pas croire, de l’exprimer et de vivre ensemble sans
stigmatisation dans la République.
La haine manifestée à votre égard dans la publication
de cette officine est à l’opposé de ce que pose institutionnellement la loi. A
ce titre, nous faisons confiance en la justice républicaine pour condamner
sévèrement ses auteurs.
Veuillez recevoir nos cordiales salutations.
Force ouvrière ou FO — nom usuel de la Confédération
générale du travail - Force ouvrière (CGT-FO), qui témoigne de ses origines
cégétistes — est une confédération syndicale française, créée en 1947. Force
ouvrière est l'héritière de la branche réformiste de la CGT, syndicat qui a
été, dès sa création en 1895, tiraillé entre une tendance réformiste et une
tendance révolutionnaire puis communiste. Cette dernière tendance, minoritaire
jusqu'à la Libération, a déjà fait scission en 1921 (création de la CGTU) avant
de renforcer ses positions au sein de la CGT réunifiée au moment du Front
populaire. L'échec des grèves de 1938 contre Daladier affaiblit l'aile
communiste de la CGT, finalement exclue en 1939 au moment de la signature du
pacte germano-soviétique. Nonobstant il semble rester quelques gauchistes
communistes au sein de cette organisation.
Gilles Besson, est le secrétaire général de l’UD-FO du
Gard. Il signera à part (voir plus loin)
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France- El Djazaïr (Région).
Cher Bernard;
Victime d’injures, de menaces et de diffamation mettant
en cause votre honneur et votre probité par le site "RIPOSTE LAÏQUE"
porte- voix d'un parti politique raciste et xénophobe, l'association d'amitié
"France el Djazaïr" vous apporte son soutien total dans l'action
judiciaire que vous menez à l'encontre des auteurs de ce sinistre site. Vous
avez toujours combattu le fléau du racisme, de l'antisémitisme, de l'islamophobie
et toutes les formes de stigmatisation et d'exclusion des plus faibles. Ainsi
votre présence le 15 janvier 2018 aux côtés des parents d'élèves qui
manifestaient contre la suppression par
le maire "RASSEMBLEMENT NATIONAL" de Beaucaire des menus de substitution
au porc dans les cantines scolaires vous honore et prouve votre engagement pour
une société apaisée et respectueuse des droits de tous ses citoyens. C'est donc
à juste titre que vous engagez des poursuites judiciaires contre ces militants
de la haine, les charges sont suffisantes pour inculper les auteurs de ces
propos et nous serons nombreux à vos côtés le 13 février 2020 à 14h00 au
tribunal correctionnel de Nîmes afin de dénoncer avec force la montée du racisme, de l'antisémitisme et
de l'islamophobie.
Pour l’Assemblée Générale de FED
Le Président Oucine Benchouyeb
France-El Djazaïr (France-Algérie) est créée en 2005 en
réaction aux propos de Nicolas Sarkozy sur les bienfaits de la colonisation,
elle installait son nouveau président en juillet 2010. À la tête de cette
association qui «s'oppose à toute
réhabilitation du passé colonial de la France», se propose d'œuvrer pour
l'amitié entre les deux peuples et a notamment mis sur pied le festival
Panorama du cinéma algérien, Lakdar Qejou, architecte beaucairois de 38 ans,
succédait ainsi à l'ancien député communiste Bernard Deschamps. Ce dernier, à
l'occasion d'un rassemblement dans une salle de l'union départementale de la
CGT, et auquel ont notamment participé Mustapha Zerroual, député algérien, Youcef
Aït Tahar, président de l'association des Algériens de la région, ou encore le
consul adjoint d'Algérie à Montpellier, a expliqué que si, à 79 ans, il avait
toujours bon pied bon œil, il souhaitait ainsi permettre à l'association, dont
il est l'un des fondateurs, de trouver un «second
souffle». Lakdar Qejou a, pour sa part, humblement assuré qu'il voulait «poursuivre ce qui a été fait».
Communiste comme son prédécesseur, mais sans être membre du parti, le jeune
homme, dont le père, ouvrier agricole marocain qui avait combattu pour
l'indépendance de l'Algérie ( ?), veut porter le fer contre le projet,
initié par Georges Frêche, du musée «de la
présence française en Algérie». Un lieu pour lequel les travaux ont
commencé, à Montpellier, dans un climat polémique, et pour lequel la mairie
s'est désengagée. À noter que le matin, en assemblée générale, France-El Djazaïr
a adopté une résolution contre le projet de loi d'interdiction du voile
intégral.
Le Conseil d'administration de France El Djazaïr : Jean
Asselmeyer Président (que nous retrouverons plus loin), Oucine Benchouyeb
artisan-commerçant en électro-ménager à Beaucaire, Michel Berthier, secrétaire
de France-El Djazaïr, professeur d'histoire-géographie, Uzès (Gard), Pierre
Clech, Madjid Daghmous, Fatima Daho, Marianne Durand, trésorière de France-El
Djazaïr, professeur d'Anglais, retraitée, Nimes., Sadok Gharbi, Saïd Mezghena,
Ali Tourki Vice-Président de France-El Djazaïr, chef-opérateur en métallurgie,
retraité, Abdelaziz Zitouni.
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Groupe communiste au Conseil départemental du Gard.
Soutien à Bernard Deschamps.
Il y a deux ans, le 19
janvier 2018, le groupe des élus communistes du Conseil départemental du Gard
exprimait son soutien à Bernard Deschamps, et d’autres personnes, victimes du
site d’extrême droite «Riposte Laïque».
Les faits que nous
dénoncions à l’époque (menaces, insultes, calomnies) ont été portés devant la
justice par Bernard.
C’est le 13 février prochain
que le Tribunal Correctionnel est appelé à siéger. Nous serons, une nouvelle
fois, à tes côtés, Cher Bernard, pour continuer à te soutenir dans ton combat
pour la démocratie, contre le racisme, la xénophobie.
Nous voulons, avec toi et
tous les démocrates, que la justice fasse son œuvre, qu’elle condamne les
coupables.
Merci à toi pour la
détermination dont tu fais preuve.
Christian Bastid
Président du Groupe
communiste
Ils sont seulement six, tous communistes. J’en profite
pour signaler ici à tous les progressistes, amateurs d’utopies égalitaristes et
criminelles, ainsi que d’une idéologie absolutiste que début octobre 2019, le
Parlement européen a adopté une résolution mettant sur le même plan les
atrocités nazies et communistes, soulignant le caractère intrinsèquement criminel
des deux idéologies. La
suite ici.
Allons-y avec nos braves «camarades» amateurs d’utopies égalitaristes et criminelles :
Christian
Bastid (Nîmes 2), président du groupe, vice-président délégué à l'habitat et au
suivi de l'ANRU. Employé secteur privé. Conseiller Municipal de Nîmes.
Cathy Chaulet (canton de Rousson),
vice-présidente au développement du Bio et des circuits-courts à la qualité
alimentaire et à la restauration collective. Fonctionnaire territoriale
Isabelle Fardoux (canton de La
Grand Combe), déléguée à l'égalité homme-femme et à la lutte contre les
discriminations. Journaliste.
Patrick Malavieille (La
Grand Combe), vice-président délégué à la culture, au patrimoine et au
développement artistique. Président de l'EPCC du Pont du Gard. Formateur en
CFA. Maire de La Grand'Combe.
Jean-Michel
Suau (Alès 1), délégué à la protection de l'enfance et à la famille. Charpentier.
Conseiller Municipal d'Alès.
Jacy Valy (Rousson), délégué
aux sports. Retraité.
-
La France Insoumise (LFI Beaucaire).
Quelques attardés bobos (bourgeois bohèmes) déçus du
PS, des communistes, d'anciens trotskistes et de quelques ultra gauchistes.
-
Parti de Gauche du Gard.
Bernard bonjour
Tu peux compter sur le soutien du Parti de Gauche du
Gard, dans ton combat pour la démocratie et contre le racisme et la xénophobie.
Espérant que la justice fasse son travail
Bien amicalement
Marie-Pierre Vaselli et Philippe Labrossse
co-secrétaires du PG30
- Ligue
des Droits de l’Homme (Nîmes).
Gérard Brazon le 19 janvier 2017 écrivait
déjà (texte agrémenté de quelques parenthèses de mon cru, pardon Gégé):
La Ligue
des Droits de l’Homme (LDH) bouge encore. Mieux, cette association qui se veut
(sans se bidonner) plus laïque que la République ou même la «Riposte» de madame Tasin, souhaite
poursuivre un combat devant le Conseil d’État contre le Maire de Beaucaire,
Julien Sanchez, sur une affaire mettant en péril la France à savoir, faut-il ou
non mettre une crèche dans une Mairie, un Conseil départemental et que sais-je
encore ! Jamais la nativité n’avait autant fait couler d’encre dans notre
pays. Jamais des associatifs ne se sont montrés aussi acharné contre une
représentation qui existe en France depuis plus d’un millénaire. Cette
obsession devient suspecte finalement. Elle traduit probablement un état
politique, une volonté de nuire, une hantise quasi maladive. Un tic plus proche
du toc et qui devrait alerter nos juges. La LDH, association autoproclamée des
droits de l’homme se prépare à verser quelques milliers d’euros au Conseil
d’État, à obliger le Maire de Beaucaire à se défendre et à financer sa
défense. Tant d’argent dépensé pour une représentation qui ne dure finalement
que peu de temps. La LDH n’a rien de plus urgent que de financer ces batailles
d’arrière-garde, ces combats gauchistes de laïcards, ces marottes de bouffeur
de curés, alors même que ceux-ci s’islamisent à grande vitesse. La LDH n’a plus
rien d’une ligue, ne défend plus rien et surtout pas les «droits de l’homme» compte tenu de ce qui se passe dans le monde et
dont elle se moque royalement. Non, elle fouille dans les poubelles de tous
ceux qui ne sont pas dans ses choix politiques, c’est-à-dire à gauche (pour ne
pas dire d’ultra gauche Stalinienne criminelle).
Les «droits de l’homme» sont
vus comme un moyen financier, une façon de se faire un peu d’argent devant et
grâce à des tribunaux sensibles aux discours moralisants. Un p’tit boulot qui
consiste à relever les discours forcément «fascistes»,
si ce n’est d’extrême droite des éditeurs de journaux en ligne ou de blogs qui
refusent l’islamisation. Son p’tit boulot, consiste à soutenir les déserteurs,
ces fameux migrants. En fait, elle poursuit un engagement politique marxiste,
servant à discréditer tout ce qui ressemble de près ou de loin à un patriote, à
un Européen de souche, à une association de défense des valeurs nationales jugées
par elle comme fasciste ou d’extrême droite. Tout ce qui peut faire son gras
est bon à prendre, y compris une crèche qui est le symbole d’une naissance,
d’un passé chrétien, pour ceux qui sont croyants, mais surtout le moment
festif par excellence pour les enfants. La LDH (marxiste culturelle) me rappelle
ces révolutionnaires, ces «sans-culottes»
qui dévalisaient les Églises, renversaient les tombeaux des Rois de France
à Saint-Denis, pillaient les abbayes, (violaient les religieuses), exécutaient
les prêtres qui refusaient de prêter le serment à la République. La LDH me fait
penser à ces cavaliers de l’apocalypse en Vendée, cherchant à éradiquer tout ce
qui pouvait ressembler à du Chrétien. Qu’est-ce que c’est que cette
Ligue ? La Ligue française pour la défense des droits de l’homme et
du citoyen est une association (loi 1901) visant à l’observation, la
défense et la promulgation des droits de l’homme au sein de
la République française, dans tous les domaines de la vie publique. Elle a été fondée en 1898 par le sénateur de la Gironde Ludovic Trarieux. Françoise Dumont est élue présidente en mai 2015. Jean-François Mignard est élu secrétaire général le 25 mai 2015. À partir de la fin du XXe siècle, la défense du droit des étrangers fournit la plus grande partie de son activité contentieuse. Cette dernière occupation est en fait son obsession première qui peut s’expliquer par un passé un peu trouble : durant l’entre-deux-guerres, la LDH est, en effet, sur le plan colonial, sur une position plus proche de la SFIO que de l’anticolonialisme du Parti communiste, représentée par l’assimilationniste généreux Marius Moutet, ce membre du comité central de la LDH qui sera Ministre des Colonies sous le Front populaire. Ce même Front Populaire qui vota les pleins pouvoirs à Pétain en 1940 sauf, je lui accorde, Marius Moutet. Pour autant, c’est ce même Moutet qui supprima le bagne en Guyane. Aujourd’hui, beaucoup le regrettent pour accueillir toute cette belle jeunesse qui s’ennuie dans nos cités et passe son temps à rendre la vie épouvantable pour leurs voisins et pour la société. On notera au passage que la LDH avait une vision des droits de l’homme à géométrie variable après la IIe guerre mondiale : l’essentiel du travail de la Ligue consiste à se concentrer sur la lutte contre les abus et les violations du droit commun, tout en restant pour la majorité de ses membres très favorables à la colonisation. Ce dont elle ne se vante pas aujourd’hui ! Pour autant, Émile Kahn, son secrétaire général de 1932 à 1953, puis son président de 1953 à 1958, incarnait comme de nombreux socialistes, une tendance favorable à la mission civilisatrice de l’Empire colonial français. On se souvient des réflexions de Jules Ferry et de Léon Blum (socialistes) sur le devoir des races supérieures envers les races inférieures. Jules Ferry un républicain libéral, anticlérical et positiviste, le père de l'école publique laïque et obligatoire dira exactement : «Je répète qu'il y a pour les races supérieures un droit, parce qu'il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures...». Nous savons que le cheval de bataille de la LDH est la défense de l’immigré. N’essayez pas de vous plaindre d’insultes racistes antiblancs, c’est voué à l’échec. Blancs, chrétiens et de souche (ou non), ne sont pas les bienvenus. Une crèche devient alors vite une insulte pour tous les immigrés d’origine musulmane. Il ne faut pas choquer l’immigré… La LDH aurait matière à attaquer en justice le Coran qui déborde de versets meurtriers et misogynes, mais il préfère s’attaquer aux chrétiens, aux Crèches et aux municipalités du Rassemblement National.
(à suivre…)
Cliquez ici pour la quatrième partie et la dernière ! Ouf !
Michel Alain Labet de Bornay
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