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Mouvement de la Paix (Nîmes).
Le Mouvement de la Paix est une Organisation marxiste non-gouvernementale
créée en 1948 et agréée «Association
nationale de jeunesse et d’éducation populaire». Association loi 1901 à but
non lucratif, le Mouvement de la Paix agit pour le désarmement, en particulier
nucléaire, mais aussi contre la production et les transferts d’armements, pour
la réduction des budgets militaires. Etait contrôlé par le mouvement
communiste international (Kominform). Dès lors, tout le problème du
Mouvement s’exprime à travers une dialectique contraignante : tenter de créer
un mouvement de masse mondial universel, mais également soutenir il y a encore
peu de temps la politique étrangère soviétique. Plus le temps passera, plus la
balance penchera vers ce second objectif, ce qui mettra en contradiction le
Mouvement avec sa doctrine initiale à but pacifiste. Madame Marianne Durand, est présidente du Mouvement
de la Paix (Nîmes). 30@mvtpaix.org
Ainsi, si l'appel de Stockholm de 1950 (contre
l'utilisation de la bombe atomique) est un vrai succès, le Mouvement ne
condamnera jamais les expériences atomiques soviétiques, ni celle de la Corée
du Nord d’aujourd’hui.
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Parti Communiste Français (PCF Gard).
Vincent Bouget, est son secrétaire.
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Parti Ouvrier Indépendant (POI Nîmes).
Groupuscule de Trotskistes. Se propose de regrouper
travailleurs, jeunes et retraités pour la réalisation de la démocratie
politique et sociale, la laïcité de l’école et de l’état, la reconnaissance et
l’organisation de la lutte des classes.
Secrétaire monsieur Dany Bertrand.
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Rassemblement citoyen (Beaucaire).
Il est plus que temps de rappeler à ceux qui
voudraient nous faire avaler qu'il est naturel, voire courageux d'être
communiste et de se réclamer de l'idéologie marxiste que non, cela ne l'est
pas. C'est à peu près aussi logique que d'estimer courageux de s'enfermer dans
une cave avec des rats pendant une épidémie de peste... La normalisation
intensive que mène notre société moderne contre tous les épiphénomènes qui la
dérangent vous ferait passer des vessies de porc pour des lanternes hallal ! Il
faut faire très attention aux mots que l'on emploie, ils ont un sens précis et
peuvent, s'ils sont mal employés, causer des ravages que rien ne pourra
réparer. La définition du courage est pourtant très claire : «fermeté, force de caractère qui permet
d'affronter le danger, la souffrance, les revers, les circonstances difficiles».
Son contraire, illustré quotidiennement dans ses actes comme dans ses
propos par les communistes et leurs satellites, se désigne par plusieurs mots :
«lâcheté, couardise, pleutrerie,
poltronnerie, veulerie». Les mots ont un sens.
Se méfier des mots est l'une des premières choses que
l'on apprend quand on combat cette nébuleuse qu'est le marxisme ! Nous ne le
dirons jamais assez, il est aberrant de donner une visibilité médiatique au
communisme et à l’ultra gauche et ses nombreuses ramifications au nom d'une
liberté d'expression que ces gens-là dévoient dès qu'ils ont la parole. Leurs
idées nauséabondes, dès lors qu'elles sont exprimées, font oeuvre de gangrène
et creusent inexorablement leur tranchée jusqu'à annexer complètement les
cerveaux mal préparés à leur résister. L'inculture politique fait le lit de
tous les collectivismes, internationalismes, et autres fascismes rouges. Et ce
n'est en rien pédant de le dire, il est nécessaire et urgent d'instruire pour
prévenir ce cancer qui s'étend inexorablement.
Laure Cordelet : Présidente du Rassemblement Citoyen
Beaucaire Terre d'Argence. www.rcb-beaucaire.org
Une belle liste de gauchiasses aux idées criminelles
et nauséabondes est annexée aux messages de soutien à ce très bon camarade
Bernard Deschamps.
Voyons donc quelque une des
191 «personnalités» parmi lesquelles
des élus de gauche, d’anciens élus marxistes, des responsables de partis, de
syndicats ou d’organisations soutiens de monsieur Bernard Deschamps:
Sylvain André. Maire de Cendras (30) depuis le 6 janvier 2017, Sylvain André a annoncé
sa candidature aux élections municipales de 2020. À 35 ans, Sylvain André a
encore beaucoup d’énergie à consacrer à sa toute petite commune de 1 800
habitants, Cendras, au sein de laquelle il a été élu conseiller municipal en
2014. Aujourd’hui, «après réflexion avec
l’équipe municipale, mes collègues m’ont proposé d’animer la liste pour les
prochaines élections», déclare l’élu qui toujours vu la gestion municipale
comme un collectif. Un collectif au sein duquel tout le monde se retrouve dans certaines
valeurs et convictions, notamment celle de l’urgence sociale et écologique.
Trois piliers nous rassemblent : solidarité, écologie et culture. Côté
opposition, le conseiller municipal Kamel Belkacemi, qui a déjà tenté sa chance
en 2014 et 2008, ne se représente pas à Cendras en 2020, mais vise plutôt Alès
puisqu'il sera sur la liste du candidat de La République en marche, Éric
Bouchité. «À Cendras, il y a une
véritable hégémonie communiste. Tout est cloisonné, il n'est pas possible de
changer les choses», considère-t-il. Kamel Belkacemi estime par ailleurs
que «c'est une commune où le racisme
règne en maître». Quand je vous le dit ! Dès
Octobre 2017 le conseil municipal de cette charmante bourgade dirigée par son
maire communiste
fait voter par son conseil municipal
à sa botte de père Noël (Bottes rouges) dans la série Droits de l’Homme
Terroriste Palestinien, une motion
pour la libération du sieur terroriste Salah Hamouri
adoptée au Conseil municipal lors de la séance du 25 septembre 2017, de plus à l’occasion
de la venue de Rami Badran et Asem Taha, Médecins du dispensaire rural d’Abu Shkhe-dem
en Eretz Israël une soirée de solidarité a été organisé sur Cendras par l’association
antisémite filiale du Parti Communiste en France l’AFPS en partenariat avec la
municipalité communiste. Le dispensaire d'Abu Shkhedem que l'AFPS antisémite
Alès-Cévennes le soutient grâce notamment aux dons individuels
et aux subventions de municipalités
(dont Cendras), et de la Fondation Un monde par tous. Le terrorisme
Palestinien antisémite est donc financé par de l’argent public venant de
municipalités communistes ! CQFD.
Les contacter : mairie-cendras@wanadoo.fr
Ensuite
viens Le nom à ne pas manquer !
Jean Asselmeyer, un grand cinéaste (Asselmeyer
n’est qu’un minuscule réalisateur de rares petits films documentaires
gauchistes allah con). Il est né le 11 janvier 1944 à Mulhouse. Depuis 1967-68
il évolue entre la France et la R.F.A. En 1967, il milite en R.F.A. aux côtés
de Rudy Dutschke dit «Rudy le rouge» au
S.D.S., puis au Secours rouge allemand et est proche de la maison d'édition
«anti-impérialiste TriKont» (Tricontinental et pas trois fois con). En 1973, il
fonde un groupe révolutionnaire et dirige lui-même, dit-on, un stage
d'entraînement à la guérilla. Il est l'agent de liaison entre les défenseurs du
criminel terroriste Baader et les groupes révolutionnaires terroristes rouges criminels
de Munich. En 1976 il rentre en France où il crée la revue à l’unique N° de
deux pages «combattants
anti-impérialiste». A cette époque, au milieu des années
soixante-dix, il est l'un des principaux animateurs du «Comité International pour la défense des prisonniers politiques en
Europe Occidentale» (CIDPPEO) créé à Utrecht aux Pays-Bas en décembre 1974
à l'initiative d'un collectif international d'avocats dont Maître Klaus
Croissant l’avocat de la sinistre «bande
à Baader», très impliqué dans «l’action»
marxiste révolutionnaire. Asselmeyer organise donc en France toute la campagne
de soutien et de défense des terroristes rouges assassins prisonniers de la
R.A.F. et il écrit des articles dans la presse sous divers pseudonymes (Victor
Kleinkrieg, Fred Mohr). En 1975, Jean Asselmeyer réalise un documentaire, «De qui dépend que l'oppression demeure», sur
la lutte armée en R.F.A. (bel euphémisme pour terroriste rouge criminel), qui
passe cette année-là sur T.F.1. Le titre du film qui est emprunté à Berthold
Brecht ne permet aucune équivoque. Le 24/10/77, le magazine allemand «Der Spiegel» accuse avec juste raison Asselmeyer
d'être le correspondant de la Fraction Armée Rouge en France. A partir du
printemps 1978, il dirige un bulletin de soutien aux divers groupes marxistes
et criminels de guérilla urbaine qui paraîtra irrégulièrement jusqu'en 1980 : «Actualité de la résistance anti-impérialiste».
Ce bulletin ne sera en réalité que la première ébauche de la revue «l'Internationale» que J. Asselmeyer
lancera également, en 1983. Au sein d'A.D. Jean Asselmeyer se fera évidemment
l'apôtre de l'alliance avec la sinistre R.A.F. Il disparaît de France entre
1980 et 1983, et est interpellé le 10 décembre 1984 par la police : le 13
décembre il est inculpé «d'association de
malfaiteurs» pour l'aide matérielle apportée aux terroristes assassins A.D.
(Voir
ici les attentats terroristes commis par les communistes d'action Directe
au moins 12 morts et 26 blessés). La profession déclarée aux enquêteurs de ce
complice d’assassins était sans hurler de rire : conseiller d'éducation
populaire ou conseiller socioculturel ! Du 15 septembre au 23 octobre 1985, il
observe une grève de la faim par solidarité avec des détenus de la R.A.F. Le 12
janvier 1988 il est condamné par le Tribunal correctionnel de Paris à 7 ans de
prison pour «association de malfaiteurs».
On
retrouve le nom de monsieur Asselmeyer dans le Conseil d'administration de
France El Djazaïr.
Vincent Bouget, Secrétaire de la fédération du Gard du PCF.
Pierre Clec’h, Président de l’ARAC (Gard).
Laure Cordelet, Présidente de RCB–Beaucaire (Rassemblement Citoyen de Beaucaire).
Décidément ces noms de «personnalités» donnés par notre
excellent camarade le vieil apparatchik Stalinien Bernard Deschamps ressemble
de plus en plus à une liste de malfaiteurs. La présidente du RCB
condamnée.
Depuis l’élection de monsieur
Julien Sanchez en tant que Maire de Beaucaire, de mauvais perdants croient
pouvoir utiliser tous les moyens pour s’en prendre aux élus légitimes choisis
par les habitants de Beaucaire et à ceux qui travaillent avec eux ou sous leur
autorité. Injure, diffamation, propagation de fausse nouvelle : on ne compte
plus les entorses au «vivre ensemble»
de la part de gens qui prétendent pourtant à longueur de journée en être les
seuls et uniques promoteurs. Pour tenter de justifier leur comportement
inacceptable et fautif, certains opposants parlent même de «harcèlement démocratique», comme si la démocratie pouvait justifier
et légitimer le harcèlement. Hier 28 février, la Cour d’Appel de Nîmes rendait
sa décision concernant Madame Laure Cordelet, Présidente du Rassemblement
Citoyen de Beaucaire, association regroupant une quinzaine d’habitants de
Beaucaire (sur 16 000) habituée des micros et des caméras malgré sa très faible
représentativité. Poursuivie pour diffamation et injures, Laure Cordelet a donc
été condamnée civilement par la Cour d’Appel de Nîmes pour avoir jeté
publiquement le discrédit sur les policiers municipaux de la commune dans un
but de désinformation et de malveillance. Elle doit verser 300 euros de
dommages et intérêts à chacune des 19 parties civiles et rembourser 50 euros de
frais de justice à chacune des 19 parties civiles, soit 6 650 euros en
réparation de ses écrits de dénigrement injustes et blessants pour les forces
de l’ordre. Dans notre démocratie, il y a une limite à la liberté d’expression
: c’est l’injure et la diffamation. La Ville de Beaucaire, qui avait accordé la
protection fonctionnelle à ses élus et employés dans cette affaire, se félicite
de cette décision de justice et souhaite qu’à l’avenir chacun conserve la
mesure qui sied à la vie démocratique. Etre opposé à des idées, à des élus,
n’autorise pas à salir ces élus et les fonctionnaires municipaux astreints à un
devoir de neutralité qui ne font que leur difficile travail. Mais il est vrai
que pour avoir accès à un micro ou une caméra, certains sont aujourd’hui prêts
à tout. Qu’ils sachent que leurs comportements condamnables seront
systématiquement poursuivis.
Le plus rigolo dans cette
affaire est la lettre de soutien envoyée à ce brave camarade Deschamps par
madame Cordelet.
Cher ami,
Retenue à Beaucaire par mon
activité, je n'ai hélas pas pu participer à votre réunion du 20 janvier et vous
manifester ainsi mon soutien, j'en suis navrée.
Ce soutien bien évidemment
vous l'avez, plein et entier. Éclaboussée moi-même en plusieurs occasions,
ainsi que ma famille et l'association dont je suis présidente, par les
ignominies, les mensonges et la haine de ce torchon qu'est Riposte Laïque, je
prends en connaissance de cause la mesure de ce que vous subissez avec tant
d'injustice.
Je serai présente au
Tribunal de Grande Instance de Nîmes le 13 février, accompagnée de plusieurs
membres du Rassemblement Citoyen de Beaucaire. Notre association s'est toujours
honorée de votre soutien en diverses occasions, il est juste que nous vous
rendions la pareille.
Avec toute mon amitié,
Laure Cordelet
Présidente du RCB. bureau@recb-beaucaire.org
Raymond Cubells, Secrétaire de l'Association biterroise France-Algérie.
Sylvette Fayet, Présidente du groupe Front de Gauche au Conseil municipal de Nîmes.
André Genot, MRAP Lunellois-Petite Camargue.
Technicien du bâtiment chez
Salino, et secrétaire de Section du PCF.
Roger Grevoul, Président Fondateur de Cuba Coopération France.
Sibylle Jannekeyn, EELV (Languedoc-Roussillon), Porte-parole régionale.
Etc. etc.
Et voilà c’est fini !
Michel Alain Labet de Bornay
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