mercredi 11 mars 2020

Madame C. Tasin au Goulag ? (Partie 4)




- Mouvement de la Paix (Nîmes).
Le Mouvement de la Paix est une Organisation marxiste non-gouvernementale créée en 1948 et agréée «Association nationale de jeunesse et d’éducation populaire». Association loi 1901 à but non lucratif, le Mouvement de la Paix agit pour le désarmement, en particulier nucléaire, mais aussi contre la production et les transferts d’armements, pour la réduction des budgets militaires. Etait contrôlé par le mouvement communiste international (Kominform). Dès lors, tout le problème du Mouvement s’exprime à travers une dialectique contraignante : tenter de créer un mouvement de masse mondial universel, mais également soutenir il y a encore peu de temps la politique étrangère soviétique. Plus le temps passera, plus la balance penchera vers ce second objectif, ce qui mettra en contradiction le Mouvement avec sa doctrine initiale à but pacifiste. Madame  Marianne Durand, est présidente du Mouvement de la Paix (Nîmes). 30@mvtpaix.org

Ainsi, si l'appel de Stockholm de 1950 (contre l'utilisation de la bombe atomique) est un vrai succès, le Mouvement ne condamnera jamais les expériences atomiques soviétiques, ni celle de la Corée du Nord d’aujourd’hui.

- Parti Communiste Français (PCF Gard).
Vincent Bouget, est son secrétaire.

- Parti Ouvrier Indépendant (POI Nîmes).
Groupuscule de Trotskistes. Se propose de regrouper travailleurs, jeunes et retraités pour la réalisation de la démocratie politique et sociale, la laïcité de l’école et de l’état, la reconnaissance et l’organisation de la lutte des classes.
Secrétaire monsieur Dany Bertrand.

- Rassemblement citoyen (Beaucaire).
Il est plus que temps de rappeler à ceux qui voudraient nous faire avaler qu'il est naturel, voire courageux d'être communiste et de se réclamer de l'idéologie marxiste que non, cela ne l'est pas. C'est à peu près aussi logique que d'estimer courageux de s'enfermer dans une cave avec des rats pendant une épidémie de peste... La normalisation intensive que mène notre société moderne contre tous les épiphénomènes qui la dérangent vous ferait passer des vessies de porc pour des lanternes hallal ! Il faut faire très attention aux mots que l'on emploie, ils ont un sens précis et peuvent, s'ils sont mal employés, causer des ravages que rien ne pourra réparer. La définition du courage est pourtant très claire : «fermeté, force de caractère qui permet d'affronter le danger, la souffrance, les revers, les circonstances difficiles». Son contraire, illustré quotidiennement dans ses actes comme dans ses propos par les communistes et leurs satellites, se désigne par plusieurs mots : «lâcheté, couardise, pleutrerie, poltronnerie, veulerie». Les mots ont un sens.
Se méfier des mots est l'une des premières choses que l'on apprend quand on combat cette nébuleuse qu'est le marxisme ! Nous ne le dirons jamais assez, il est aberrant de donner une visibilité médiatique au communisme et à l’ultra gauche et ses nombreuses ramifications au nom d'une liberté d'expression que ces gens-là dévoient dès qu'ils ont la parole. Leurs idées nauséabondes, dès lors qu'elles sont exprimées, font oeuvre de gangrène et creusent inexorablement leur tranchée jusqu'à annexer complètement les cerveaux mal préparés à leur résister. L'inculture politique fait le lit de tous les collectivismes, internationalismes, et autres fascismes rouges. Et ce n'est en rien pédant de le dire, il est nécessaire et urgent d'instruire pour prévenir ce cancer qui s'étend inexorablement.
Laure Cordelet : Présidente du Rassemblement Citoyen Beaucaire Terre d'Argence. www.rcb-beaucaire.org

Une belle liste de gauchiasses aux idées criminelles et nauséabondes est annexée aux messages de soutien à ce très bon camarade Bernard Deschamps.
Voyons donc quelque une des 191 «personnalités» parmi lesquelles des élus de gauche, d’anciens élus marxistes, des responsables de partis, de syndicats ou d’organisations soutiens de monsieur Bernard Deschamps:
Sylvain André. Maire de Cendras (30) depuis le 6 janvier 2017, Sylvain André a annoncé sa candidature aux élections municipales de 2020. À 35 ans, Sylvain André a encore beaucoup d’énergie à consacrer à sa toute petite commune de 1 800 habitants, Cendras, au sein de laquelle il a été élu conseiller municipal en 2014. Aujourd’hui, «après réflexion avec l’équipe municipale, mes collègues m’ont proposé d’animer la liste pour les prochaines élections», déclare l’élu qui toujours vu la gestion municipale comme un collectif. Un collectif au sein duquel  tout le monde se retrouve dans certaines valeurs et convictions, notamment celle de l’urgence sociale et écologique. Trois piliers nous rassemblent : solidarité, écologie et culture. Côté opposition, le conseiller municipal Kamel Belkacemi, qui a déjà tenté sa chance en 2014 et 2008, ne se représente pas à Cendras en 2020, mais vise plutôt Alès puisqu'il sera sur la liste du candidat de La République en marche, Éric Bouchité. «À Cendras, il y a une véritable hégémonie communiste. Tout est cloisonné, il n'est pas possible de changer les choses», considère-t-il. Kamel Belkacemi estime par ailleurs que «c'est une commune où le racisme règne en maître». Quand je vous le dit !                                                                                           Dès Octobre 2017 le conseil municipal de cette charmante bourgade dirigée par son maire communiste fait voter par son conseil municipal à sa botte de père Noël (Bottes rouges) dans la série Droits de l’Homme Terroriste Palestinien, une motion  pour  la  libération du sieur terroriste Salah Hamouri adoptée au Conseil municipal lors de la séance du 25 septembre 2017, de plus à l’occasion de la venue de Rami Badran et Asem Taha, Médecins du dispensaire rural d’Abu Shkhe-dem en Eretz Israël une soirée de solidarité a été organisé sur Cendras par l’association antisémite filiale du Parti Communiste en France l’AFPS en partenariat avec la municipalité communiste. Le dispensaire d'Abu Shkhedem que l'AFPS antisémite  Alès-Cévennes  le  soutient grâce notamment aux dons individuels et aux subventions  de  municipalités  (dont  Cendras),  et  de  la Fondation Un monde par tous. Le terrorisme Palestinien antisémite est donc financé par de l’argent public venant de municipalités communistes ! CQFD.
Les contacter : mairie-cendras@wanadoo.fr

Ensuite viens Le nom à ne pas manquer !
Jean Asselmeyer, un grand cinéaste (Asselmeyer n’est qu’un minuscule réalisateur de rares petits films documentaires gauchistes allah con). Il est né le 11 janvier 1944 à Mulhouse. Depuis 1967-68 il évolue entre la France et la R.F.A. En 1967, il milite en R.F.A. aux côtés de Rudy Dutschke dit «Rudy le rouge» au S.D.S., puis au Secours rouge allemand et est proche de la maison d'édition «anti-impérialiste TriKont» (Tricontinental et pas trois fois con). En 1973, il fonde un groupe révolutionnaire et dirige lui-même, dit-on, un stage d'entraînement à la guérilla. Il est l'agent de liaison entre les défenseurs du criminel terroriste Baader et les groupes révolutionnaires terroristes rouges criminels de Munich. En 1976 il rentre en France où il crée la revue à l’unique N° de deux pages «combattants anti-impérialiste». A cette époque, au milieu des années soixante-dix, il est l'un des principaux animateurs du «Comité International pour la défense des prisonniers politiques en Europe Occidentale» (CIDPPEO) créé à Utrecht aux Pays-Bas en décembre 1974 à l'initiative d'un collectif international d'avocats dont Maître Klaus Croissant l’avocat de la sinistre «bande à Baader», très impliqué dans «l’action» marxiste révolutionnaire. Asselmeyer organise donc en France toute la campagne de soutien et de défense des terroristes rouges assassins prisonniers de la R.A.F. et il écrit des articles dans la presse sous divers pseudonymes (Victor Kleinkrieg, Fred Mohr). En 1975, Jean Asselmeyer réalise un documentaire, «De qui dépend que l'oppression demeure», sur la lutte armée en R.F.A. (bel euphémisme pour terroriste rouge criminel), qui passe cette année-là sur T.F.1. Le titre du film qui est emprunté à Berthold Brecht ne permet aucune équivoque. Le 24/10/77, le magazine allemand «Der Spiegel» accuse avec juste raison Asselmeyer d'être le correspondant de la Fraction Armée Rouge en France. A partir du printemps 1978, il dirige un bulletin de soutien aux divers groupes marxistes et criminels de guérilla urbaine qui paraîtra irrégulièrement jusqu'en 1980 : «Actualité de la résistance anti-impérialiste». Ce bulletin ne sera en réalité que la première ébauche de la revue «l'Internationale» que J. Asselmeyer lancera également, en 1983. Au sein d'A.D. Jean Asselmeyer se fera évidemment l'apôtre de l'alliance avec la sinistre R.A.F. Il disparaît de France entre 1980 et 1983, et est interpellé le 10 décembre 1984 par la police : le 13 décembre il est inculpé «d'association de malfaiteurs» pour l'aide matérielle apportée aux terroristes assassins A.D. (Voir ici les attentats terroristes commis par les communistes d'action Directe au moins 12 morts et 26 blessés). La profession déclarée aux enquêteurs de ce complice d’assassins était sans hurler de rire : conseiller d'éducation populaire ou conseiller socioculturel ! Du 15 septembre au 23 octobre 1985, il observe une grève de la faim par solidarité avec des détenus de la R.A.F. Le 12 janvier 1988 il est condamné par le Tribunal correctionnel de Paris à 7 ans de prison pour «association de malfaiteurs».
On retrouve le nom de monsieur Asselmeyer dans le Conseil d'administration de France El Djazaïr.
Vincent Bouget, Secrétaire de la fédération du Gard du PCF.
Pierre Clec’h, Président de l’ARAC (Gard).
Laure Cordelet, Présidente de RCB–Beaucaire (Rassemblement Citoyen de Beaucaire).
Décidément ces noms de «personnalités» donnés par notre excellent camarade le vieil apparatchik Stalinien Bernard Deschamps ressemble de plus en plus à une liste de malfaiteurs. La présidente du RCB condamnée.
Depuis l’élection de monsieur Julien Sanchez en tant que Maire de Beaucaire, de mauvais perdants croient pouvoir utiliser tous les moyens pour s’en prendre aux élus légitimes choisis par les habitants de Beaucaire et à ceux qui travaillent avec eux ou sous leur autorité. Injure, diffamation, propagation de fausse nouvelle : on ne compte plus les entorses au «vivre ensemble» de la part de gens qui prétendent pourtant à longueur de journée en être les seuls et uniques promoteurs. Pour tenter de justifier leur comportement inacceptable et fautif, certains opposants parlent même de «harcèlement démocratique», comme si la démocratie pouvait justifier et légitimer le harcèlement. Hier 28 février, la Cour d’Appel de Nîmes rendait sa décision concernant Madame Laure Cordelet, Présidente du Rassemblement Citoyen de Beaucaire, association regroupant une quinzaine d’habitants de Beaucaire (sur 16 000) habituée des micros et des caméras malgré sa très faible représentativité. Poursuivie pour diffamation et injures, Laure Cordelet a donc été condamnée civilement par la Cour d’Appel de Nîmes pour avoir jeté publiquement le discrédit sur les policiers municipaux de la commune dans un but de désinformation et de malveillance. Elle doit verser 300 euros de dommages et intérêts à chacune des 19 parties civiles et rembourser 50 euros de frais de justice à chacune des 19 parties civiles, soit 6 650 euros en réparation de ses écrits de dénigrement injustes et blessants pour les forces de l’ordre. Dans notre démocratie, il y a une limite à la liberté d’expression : c’est l’injure et la diffamation. La Ville de Beaucaire, qui avait accordé la protection fonctionnelle à ses élus et employés dans cette affaire, se félicite de cette décision de justice et souhaite qu’à l’avenir chacun conserve la mesure qui sied à la vie démocratique. Etre opposé à des idées, à des élus, n’autorise pas à salir ces élus et les fonctionnaires municipaux astreints à un devoir de neutralité qui ne font que leur difficile travail. Mais il est vrai que pour avoir accès à un micro ou une caméra, certains sont aujourd’hui prêts à tout. Qu’ils sachent que leurs comportements condamnables seront systématiquement poursuivis.
Le plus rigolo dans cette affaire est la lettre de soutien envoyée à ce brave camarade Deschamps par madame Cordelet.
Cher ami,
Retenue à Beaucaire par mon activité, je n'ai hélas pas pu participer à votre réunion du 20 janvier et vous manifester ainsi mon soutien, j'en suis navrée.
Ce soutien bien évidemment vous l'avez, plein et entier. Éclaboussée moi-même en plusieurs occasions, ainsi que ma famille et l'association dont je suis présidente, par les ignominies, les mensonges et la haine de ce torchon qu'est Riposte Laïque, je prends en connaissance de cause la mesure de ce que vous subissez avec tant d'injustice.
Je serai présente au Tribunal de Grande Instance de Nîmes le 13 février, accompagnée de plusieurs membres du Rassemblement Citoyen de Beaucaire. Notre association s'est toujours honorée de votre soutien en diverses occasions, il est juste que nous vous rendions la pareille.
Avec toute mon amitié,
Laure Cordelet
Présidente du RCB. bureau@recb-beaucaire.org

Raymond Cubells, Secrétaire de l'Association biterroise France-Algérie.
Sylvette Fayet, Présidente du groupe Front de Gauche au Conseil municipal de Nîmes.
André Genot, MRAP Lunellois-Petite Camargue.
Technicien du bâtiment chez Salino, et secrétaire de Section du PCF.
Roger Grevoul, Président Fondateur de Cuba Coopération France.
Sibylle Jannekeyn, EELV (Languedoc-Roussillon), Porte-parole régionale.
Etc. etc.
Et voilà c’est fini !

Michel Alain Labet de Bornay

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