jeudi 23 avril 2020

France, émeutes et violences urbaines. Deuxième partie.




Les enquêtes du Professeur la guêpe.


La température monte dangereusement dans les zones de non droit, territoires perdus (mais pas pour tout le monde) ou quartier pourris dit «sensibles» plein d’islamos marxistes déchainés. L’accident de Villeneuve-la-Garenne a provoqué des violences et fait couler beaucoup d’encre. L’envie d’émeute se répand dans les quartiers de merde ou zone de non droit ou la république n’est plus chez elle, remplacée par la charia et la lassitude dans les rangs des forces de l'ordre. La policière Linda Kebbab (déléguée nationale de l'Unité SGP Police-FO) pense que le pire est à venir.



Elle s’est confiée au professeur la GUÊPE : «Dimanche 19 avril, 23h30. Police-secours est appelé dans le quartier des épinettes à Évry. Des «perturbateurs» ont été signalés. Arrivée sur place, la patrouille entend des cris, et aperçoit une silhouette cachée dans un buisson. La situation va alors dégénérer en quelques secondes. D’autres silhouettes encerclent peu à peu les policiers. En tout, ils seront une trentaine d’individus encapuchonnés, à lancer des pierres et des bouteilles en verre, puis à tirer au mortier d’artifice. Les policiers n’ont alors plus le choix, ils doivent s’extraire du guet-apens. Le policier au volant récupère ses collègues difficilement, sous les tirs…
Une scène qui choque, mais que les policiers relatent avec résignation, en serrant les dents. «On a connu des moments pires…», dit Linda Kebbab, «On le savait. On savait que le confinement allait augmenter les violences urbaines», soupire, résignée, la policière. Mais elle ne relativise la situation qu’en pensant à la suite. Le confinement dure, et c’est le relâchement qui s’ensuivra qui lui fait craindre que le pire soit à venir.
Guérilla contre la police, trafic de stupéfiants, rodéos sauvages: «c’est toujours l’histoire de quelques centaines de personnes dans chaque cité». Toujours les mêmes, sous-entend Linda Kebbab. Mais avec l’épidémie de Covid-19, les petites frappes et autre racailles se rendent désormais coupables d’un nouveau méfait: «Quand vous avez cinq ou dix jeunes qui squattent au pied des immeubles et contaminent les poignées de porte… ce sont les autres qui trinquent», souligne madame Kebbab.
Et si le confinement a en effet été remis en cause dans la France entière, la réaction au rappel à l’ordre diffère dans les fameuses «zones sensibles». «Là, ils refusent toute règle»: là, chaque contrôle peut virer à l’émeute. Face à la menace, les atermoiements de la hiérarchie policière désespèrent la policière: les instructions de ne pas porter de masque ou celles de ne pas entrer dans certains quartiers… ou alors en voiture banalisée. Sortir ainsi caché, c’est pour elle un aveu terrifiant de faiblesse: «On préfère se plier au code de ceux qui ne veulent pas voir de forces de l’ordre dans les quartiers. Quand les autorités nous disent de ne pas interpeller, de ne pas intervenir, on abandonne les habitants. On veut juste que le gouvernement nous donne les moyens de protéger les habitants», exige madame le gardien de la paix (sans rire SVP).

Le 18 avril à Villeneuve-la-Garenne, la voiture de police dont l’agent a ouvert la portière, causant un accident avec un «individu» de 30 ans à moto, n’était pas sérigraphiée. Sur les réseaux sociaux, la rumeur s’est répandue comme une traînée de poudre: les policiers guettaient les jeunes et auraient commis une bavure. Le pilote du motocross aurait eu la jambe coupée. Pourtant, les faits semblent différer.
Le multirécidiviste à moto a-t-il foncé sur les flics?

Sous contrôle judiciaire depuis le 16 mars, le pilote du deux roues non homologué, sans éclairage et dépourvu de plaques d'immatriculation, roulait sans casque (un must de la voyoucratie). Et selon le syndicat de police Alliance, l’intéressé serait un «multirécidiviste»: «violences, stups, agression sexuelle... avec des antécédents longs comme le bras» Le «trentenaire» avait déjà été condamné à quatorze reprises pour extorsion, outrages et plus récemment pour détention de stupéfiants. Il était sous contrôle judiciaire pour menaces de mort avec un hachoir.
Il a en outre été verbalisé à trois reprises depuis le début du confinement.

«Ça faisait plusieurs nuits qu’il excédait les habitants. Les collègues sont intervenus sur signalisation des riverains. Il est arrivé en sens inverse et sur le trottoir, puisque la portière a été ouverte du côté droit. J’aimerais savoir à quel moment c’est une violence policière!» s’insurge madame le gardien de la paix.
Et qu’on ne vienne pas lui dire que les échauffourées dans les quartiers sont autant de révoltes face à une accumulation d’injustices: «quand des banlieues privilégiées comme à Meudon et Suresnes sont touchées par des incendies de véhicules, on ne combat pas des injustices! Ce ne sont que des prétextes». On ne combat pas ainsi les discriminations, dit-elle.

Un mois après la libération anticipée de 10.000 détenus par madame le ministre LREM Nicole Belloubet: déjà, les premières récidives dans le trafic de drogue !
Il en faudrait donc bien peu pour que la poudrière n’explose, et au pire moment. Mais quand? Selon des sources d’informations, le professeur la Guêpe affirme que la moitié sud de la France est encore alimentée en stupéfiants. Mais au nord, les choses sont toutefois plus compliquées, particulièrement pour la région parisienne. Combien de temps les stocks pourront-ils durer? Les caïds et autres saloperies sont sur les dents, les consommateurs de drogue se présentent moins: «Ça ajoute au fait qu’ils ne veuillent pas voir de policiers dans les quartiers. Faire fuir l’autorité, c’est dire aux consommateurs qu’ils peuvent venir sans problème», explique très justement madame Linda Kebbab.

Du côté des policiers, la lassitude du confinement se fait aussi sentir. D’autant plus que des congés leur ont été retirés à la suite d’une ordonnance publiée il y a quelques jours, le 15 avril. «On protège des habitants, on se fait lyncher par les médias, et on nous sucre nos congés», résume madame Kebbab, tirant la sonnette d’alarme: «bientôt, les policiers n’auront vraiment plus envie d’y aller». 
Sur ce, la malheureuse madame Kebbab est insultée tous les jours et traitée de beurette de service, suceuse/pute à blanc etc. par la vermine de service.

Le 20 Avril en ce 35e jour de confinement, après 19 718 victimes du Covid 19 officiellement recensées, des émeutes ont éclatées dans de nombreuses citées françaises pour une jambe cassée. Gennevilliers, Villeneuve-La-Garenne, Fontenay-sous-Bois, Evry, Saint-Ouen, Aulnay-sous-Bois, Suresnes, Villepinte, Rueil, Noisiel... Des incidents ont également été signalés dans certains quartiers de Strasbourg, Amiens, Lyon et Toulouse. Des dizaines d'incendies constatés.
«Ce n'est que le début», préviennent certains jeunes.

Oh, comme ils avaient raison, le professeur la Guêpe toujours sur le terrain le sait bien ! Le 21 Avril 2020 émeutes généralisées dans les quartiers non confinés peuplés de cons finis, d’après nos amis d’Europe Israël qui titre : «Nouvelle nuit d’émeutes généralisées dans les quartiers non confinés : commissariat attaqué, voiture de police retournée, pompiers attaqués, mortiers …».
Andrev Le Bihan sur dreuz.info nous dit : «L’Histoire nous l’a bien démontré, les sociétés multiculturelles ou se trouvent ces «zones de non droit» amènent toujours avec elles tensions, conflits, haine et même jusqu’à la guerre et au génocide. Il n’y a qu’à voir l’Histoire récente du côté du Liban, du Rwanda, de l’Afrique du Sud, de la Yougoslavie ou + récemment de la Birmanie, qui ne sont qu’un amoncellement de morts et d’horreurs. Ici en France, des populations qui n’ont pratiquement aucun point commun sont amenées à vivre-ensemble et déjà les frictions s’entendent, l’immigration n’étant pas le sujet qui préoccupe le + les Français pour rien. Voulons-nous un pays où tensions, querelles, haine règnent ou un pays paisible ?                                                       Fin de la démocratie : L’immigration engendrant le multiculturalisme et le communautarisme qui en est indissociable, les minorités ethniques/culturelles voteront pour les partis/candidats qui auront une bonne opinion sur l’immigration, le multiculturalisme et les cultures importées, ce qui rend impossible l’existence d’une réelle démocratie où les électeurs devraient voter en premier lieu pour le Bien du pays et du peuple et non pour leurs propres intérêts. En outre, cela amène les politiciens à arranger leurs discours et leurs actions de sorte à plaire à cet électorat, surtout s’ils se présentent dans une zone à forte immigration».
Par ailleurs suivant la "presse" de merde d'ultra gauche tel France TV Info à  la plume multiculturaliste fétide continue de jeter de l’huile d’el Rachid sur le couscous de la haine anti blanche et Française en titrant : « Le motard grièvement blessé lors d'un accident impliquant une voiture de police samedi 18 avril au soir à Villeneuve-la-Garenne dans les Hauts-de-Seine a déposé plainte, a appris lundi franceinfo auprès du parquet de Nanterre».

Non mais faut être abrutis vraiment, ou ont-ils vu un «motard» ? Un pauvre naze de racaille plus ou moins cyclomotoriste qui roulait sans casque sur un Dirt Bike ou Pite Bike, une petite saloperie de 50 cm3 non immatriculée, sans éclairage et qui c’est viandé comme un con par défaut de maitrise de son véhicule ne voulant pas obtempérer aux forces de l’ordre.
France TV Info continue dans la désinformation : «Le parquet l'étudie (la plainte) actuellement et doit saisir l'IGPN, la police des polices, en début d'après-midi. "Il faut que la vérité éclate et que la vérité judiciaire soit établie par les investigations policières d'un service indépendant comme l'IGPN", a insisté lundi sur franceinfo son avocat, maître Stéphane Gas».
Le professeur La Guêpe se demande bien qui paye le cabinet d’avocat M.G.A. Minkovski (Avocat aux barreaux de Paris et de New York) & Gas  Avocats Associés ? De la pub ?
Mais à c’est Grigny comme à Villeneuve-la-Garenne et autres «quartiers» défavorisés en QI que «Les trafiquants veulent éliminer toute présence policière». Retournons nous encore une fois vers Linda Kebbab déléguée d’un syndicat de police, qui déplore un regain de violences dans certains quartiers défavorisés de l’intelligence et où les racailles trafiquants de drogue tentent de protéger leur sinistre business malgré les consignes sanitaires.
A la question : «Le confinement attise-t-il les violences dans certains quartiers? »
Madame Linda Kebbab répond : «En réalité, le confinement ne fait qu’exacerber des situations qui existent malheureusement aussi le reste de l’année, car ces quartiers sont régulièrement le théâtre de violences urbaines. Seulement la crise sanitaire réveille et excite le pire dans ces territoires, et attise en effet les tensions latentes, qui couvent la plupart du temps et parfois explosent. Mais le problème n’est pas conjoncturel: c’est un problème de fond. Il y a donc actuellement un regain de violences. Dans la nuit de dimanche à lundi, 13 véhicules deux-roues ont été incendiés à Meudon - une ville habituellement plutôt calme. Il y a eu ici ou là des guet-apens dirigés contre les forces de l’ordre, comme dans le 91 où les policiers ont reçu un appel au secours bidon et ont été pris à partie une fois arrivés sur place. Ils ont déjà, hélas, l’habitude de ce genre de pièges. Certains policiers ont vu leurs visages circuler sur les réseaux sociaux, accompagnés de menaces de mort. Enfin, des fausses rumeurs répandues sur les réseaux sociaux circulent afin de déchaîner les violences contre les policiers. À Villeneuve-la-Garenne samedi soir, certains ont d’abord prétendu que les forces de l’ordre avaient volontairement blessé un jeune homme en ouvrant la portière de leur véhicule. En réalité, une voiture banalisée de police (c’est une demande de la hiérarchie: dans certains endroits, il est recommandé de ne pas circuler dans des véhicules sérigraphies pour ne pas «provoquer» les délinquants…) est intervenue sur demande des habitants, excédés par le tapage nocturne provoqué par un moto-cross. Les collègues s’y sont rendus sans grande conviction, en sachant qu’il serait de toute manière très difficile de mettre un terme aux nuisances sonores. Lorsque le conducteur de la moto, qui roulait sans casque et était déjà connu des services de police, a croisé leur route, ils étaient arrêtés au feu rouge et le policier qui se trouvait sur le siège passager est descendu côté trottoir, mais la moto a voulu forcer le passage du feu rouge en doublant le véhicule par la droite. L’enquête révélera selon toute probabilité qu’il n’y a donc pas eu de «bavure» comme certains l’ont prétendu sur les réseaux sociaux. Par la suite, il faut préciser que les policiers ont fait l’objet de menaces et d’intimidations, et que leurs visages ont circulé en photo sur Internet, accompagnés d’appels au meurtre. Ces fausses informations ont pour seul but d’attiser la violence contre les policiers. De plus le confinement met notoirement à mal le trafic de stupéfiants, car l’approvisionnement des dealers est rendu plus difficile par les contrôles aux frontières et la clientèle s’aventure moins qu’auparavant dans les quartiers pour venir se fournir. Les trafiquants sont donc sur les dents, et ils entendent faire passer un message fort pour se réapproprier le contrôle de certains quartiers et rassurer ainsi leurs clients. Leur but est d’éliminer toute présence policière dans ces zones afin de continuer à mener leurs activités sans être gênés dans leur business. Ainsi, la moindre patrouille des forces de l’ordre peut faire l’objet d’attaques, et ce week-end plusieurs d’entre elles ont essuyé des tirs de mortier. C’est comme un jeu: chaque policier peut devenir à tout moment une cible. Or les policiers sont davantage déployés que d’habitude car ils ont pour mission de veiller au strict respect des règles de confinement. Pour les délinquants, qui se savent coupables, cette présence est vécue comme une menace inacceptable.                                                La hiérarchie, certainement sur ordre politique, est très frileuse et encourage les collègues à éviter de patrouiller dans certains quartiers, à Nanterre par exemple, ou dans d’autres endroits. On leur recommande également d’utiliser des voitures banalisées. Mais la plupart des policiers refusent d’abandonner ces territoires à leur sort, car les premières victimes sont les habitants: ce sont eux qui pâtissent du non-respect des règles sanitaires et voient ainsi leur santé mise en danger. Nous ne pouvons pas nous résoudre à laisser une telle inégalité prospérer: les Français ont tous autant le droit d’être protégés et de voir leur sécurité garantie par les forces de l’ordre.     Mais l’État n’accorderait pas assez de moyens! La police fait ce qu’elle peut avec ce qu’elle a. Mais il est certain que les effectifs sont trop peu nombreux à certains endroits et l’usage des armes est tellement risqué pour les policiers, tant les polémiques alimentées par les fausses rumeurs vont bon train sur les réseaux sociaux, qu’il leur est parfois extrêmement difficile d’intervenir. Mais les collègues ont accepté cette lourde mission, à savoir aider les citoyens du mieux qu’ils peuvent et assurer l’égalité entre les territoires coûte-que-coûte, malgré le manque cruel de moyens humains, matériels et politiques. Les objectifs pour lesquels ils se sont engagés ne doivent pas rester un vœu pieux».


Ce n'est qu'un début continuons le combat!

Professeur la Guêpe pour Michel Alain Labet de Bornay
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