mercredi 6 mai 2020

Les musulmans ont peur d’Éric Zemmour !




Avant-propos : Au micro de Boulevard Voltaire, Maître Gilles-William Goldnadel réagit à l’agression (insultes, crachat) dont a été victime monsieur Zemmour, ce 30 avril, en pleine rue, agression diffusée sur le réseau social Snapchat et relayée sur Twitter. Il dénonce l’absence de réaction de la plupart des médias et de Christophe Castaner, et le sentiment d’impunité de «la racaille». Une vidéo tirée du réseau social Snapchat est sortie, hier, sur Twitter. On y voit une personne poursuivre, insulter et d’après ses mots avoir craché sur Éric Zemmour. Cette agression passe pour l’instant relativement inaperçue. Que vous a inspiré cette vidéo ?
Cette vidéo m’inspire tout un tas de réflexions que je vous donne peut-être dans le désordre.                                                           Premièrement, les faits sont complètement avérés. L’agresseur lui-même s’en vante glorieusement sur les réseaux sociaux. Cela montre à quel point il a conscience de jouir d’un sentiment total d’impunité. Ce sentiment s’appuie rationnellement sur les dégradations de M. Castaner qui étaient totalement dans la culture de l’excuse. Je ne le savais d’ailleurs pas aussi cultivé… Il expliquait que les petits gars dans les banlieues ne supportaient pas le confinement et la misère. Toutes les excuses à deux balles, pardon pour l’expression triviale, qu’on balance depuis trente ans sont l’ingrédient le plus sûr pour fabriquer des cocktails Molotov intellectuels et, si j’ose, dire matériels. 
                                                                                  Deuxièmement, j’ai publié hier, sous le propre tweet de Christophe Castaner, avec une sévérité exemplaire, un commentaire qui disait que s’il pensait que n’importe qui ne peut être injurié, pas même un délinquant clandestin irrégulier, on peut imaginer aussi qu’un journaliste français n’a pas à être injurié en période dangereuse. Je peux vous dire qu’au moment où nous parlons, M. Castaner ne s’est fendu d’aucun communiqué pour réprouver ce qui s’est passé. Je rends hommage à son culte du premier mai, mais il me semble tout de même que ces événements auraient dû requérir de sa part une déclaration immédiate. Il ne doit pas être extrêmement difficile pour nos limiers d’aller rechercher celui qui s’est vanté sur la Toile. Hormis Valeurs actuelles, Sputnik et Boulevard Voltaire, on a l’impression qu’aucun média ne s’est fait écho de cette agression, alors que si elle avait concerné Jean-Michel Aphatie ou Christophe Barbier, cela aurait fait les gros titres.

Image Charlie Hebdo
Alors que le polémiste préfère ne pas répondre et continuer son chemin, la racaille, fière de son agression, continue de filmer son méfait, et poursuit Éric Zemmour en continuant de l’insulter grossièrement: «Un petit doigt dans le cul, Éric! Un petit doigt dans le cul!». Mais, loin de se contenter de ces insultes pour intimider le lanceur d’alerte, l’agresseur va cracher sur Éric Zemmour. «J’peux vous dire, il a goûté un mollard à l’aise, spécial Ramadan», s’enorgueillit le jeune évoquant le jeûne mahométan (des fois que l’on ne saurait pas que cette vermine est un mahométiste distingué pratiquant de l’Islam, cette théologie absurde d'un bédouin immoral, qui est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies comme le disait si justement ce bon Mustapha Kémal Atatürk.
De nombreuses (pas tant que ça) personnalités politiques ou médiatiques ont dénoncé cette agression ou apporté leur soutien à Éric Zemmour.
Le parquet de Paris a décidé d’ouvrir une enquête pour menaces et violences suite à la diffusion sur internet de la vidéo de l’agression. L’enquête a été confiée par le parquet à la brigade de répression de la délinquance contre la personne, de Paris.                                                                                                     «Éric Zemmour est indifférent à la peur. Mais en tant que son avocat je ne laisserai rien passer», a déclaré alors Me Olivier Pardo sur Twitter.
Quant à monsieur Zemmour il dit: «Ce qui m’est arrivé n’est rien comparativement à ce que beaucoup de Français subissent tous les jours».

Mais alors ? Enfin des bonnes nouvelles, la racaille qui a agressé Eric Zemmour, sidi Mehdi Korchi est enfin déférée devant le parquet de Paris pour menaces et violences nous dit Anne van Gelder le 05/05/2020 : «L’agresseur présumé (?) d’Éric Zemmour a été interpellé et déféré devant le parquet de Paris dans le cadre de l’enquête pour menaces et violences, affirme l’hebdomadaire L’Express, en suivant une source proche du dossier (Medhi, le brave «jeune homme» raciste, violent et lâche ne risque donc pas grand-chose). L’agression contre le journaliste dans les rues vides de Paris a eu lieu le jeudi précédent. «Éric Zemmour comment tu vas, gros fils de pute? Ça va, gros fils de pute, ouais, nique bien ta mère!» Un jeune musulman (enfin une partie de la vérité) a commencé par insulter gratuitement le journaliste qui rentrait tranquillement chez lui (…) Quelques jours après les faits, l’agresseur a tenté un stratagème de dédouanement dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux.
«Tout d’abord, je ne m’attendais pas à croiser Éric Zemmour, une personne avec qui je suis en total désaccord sur ses idées et sur tout ce qu’il véhicule», dit-il. «En le voyant, je me suis laissé emporter». En clair, Zemmour n’avait qu’à ne pas être là. Torts partagés. «Je tiens à préciser que je ne l’ai pas touché. Je n’avais ni l’intention, ni l’envie de l’agresser physiquement», ajoute l’agresseur avant de tenter de nier de lui avoir craché dessus. «Je ne lui ai pas craché dessus. On peut voir dans une vidéo publiée par la suite me vanter de lui avoir craché dessus, mais c’est complètement faux. Vraiment, c’est complètement faux, ce n’est pas vrai. J’ai mal agi. Je n’aurais pas dû agir de cette façon, j’ai pu le blesser et j’ai choqué beaucoup de monde et je regrette vraiment mon geste», s’excuse-t-il.                                                                                                    Très courageux dans la rue face à un homme seul, se pavanant sur les réseaux sociaux, un peu moins fier face aux poursuites, il est à parier qu’au tribunal il se fera tout petit.
Et puis ou est passé madame Le Pen, insulté elle aussi par la racaille qui disais : «C’est comme si j’avais voulu parler avec Marine Le Pen», a-t-il poursuivi, «à part l’insulter sa mère, vous voulez faire quoi?». 

Faire quoi ? Fermer ta gueule !

Michel Alain Labet de Bornay

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