Le 27 avril 2020 voir
ici des folliculaires à gages, lâches
comme l’est tout merdiatiste faiseur de feuilles à se torcher les fesses,
stipendiés et collabos de l’AFP (agence raciste et antisémite dite Agence
France Palestine) titraient : Didier Lallement fait suspendre les deux
policiers mis en cause pour des propos racistes à L’Île-Saint-Denis. Didier
Lallement ? C’est le préfet de police de Paris. Accessoirement c’est celui
qu’Ali Juppé traitait de «Nazi».
Sur le Parisien du 28 Avril, Parigot
qui fut Libéré et de nouveau Collaborateur des Islamos marxistes, on peut
lire : «Comme tout le monde, Mohamed Gnabaly (maire
de l’Ile Saint Denis) a découvert,
dimanche soir, la vidéo d'une interpellation policière. On y voit des
fonctionnaires proférer plusieurs remarques humoristique à l'égard d'un
individu (un étranger en situation irrégulière qu'ils viennent gentiment de
sauver de la noyade dans l'eau de la Seine ou il c’était jeté pour fuir la
police), en bordure de Seine. «Il ne sait
pas nager, un bicot ça ne nage pas», lance un des policiers, avant qu'un
autre réplique : «Ça coule, tu aurais dû
lui accrocher un boulet au pied».
Le maire (sans étiquette mais au nom bien de chez nous)
de L'Ile-Saint-Denis qui, doté d’une mémoire plus qu’excellente a bien
évidemment immédiatement identifié les lieux filmés par le raciste antisémite
Taha Bouhafs qui se dit «journaliste»
sans carte de presse. (Monsieur Bouhafs est un militant d’ultra gauche de La
France Insoumise, un Franco-Algérien islamo marxiste qui lorsqu’il était
candidat pour les législatives à Tolbiac insultait les policiers en les
traitant de «Grosses merdes» ! C’est
lui qui a filmé les policiers et diffusé la vidéo dès le 26 Avril). Monsieur le
maire Mohamed Gnabaly a une vue
extrêmement perçante, un vrai œil de faucon (ou de vrai ?) car sur la
vidéo voir
ici identifier le
quai du Moulin, sur le territoire de sa commune relève de l’exploit. «Je suis très choqué», glissait-il alors.
L'élu a depuis exigé des «sanctions
exemplaires», et salué au passage les déclarations du ministre de l'Intérieur,
Christophe Castaner, condamnant ce lundi l'attitude des policiers.
Bizarrement nous sommes toujours dans l’attente d’une
déclaration indignée de monsieur le maire Mohamed Gnabaly ; de monsieur le
ministre Castaner, si ce n’est du préfet Lallement au sujet de l’agression monsieur
E. Zemmour qui s’est fait gravement insulter et cracher dessus dans la rue par
un maghrébin musulman (c’est lui qui le revendique) Mehdi
Korchi: «Gros fils de p… nique bien ta
mère !» (Comme d’habitude les merdias habituels marxistes culturels et
collabos qualifient le raciste «maghrébin»
(selon Europe Israël) de «jeune», d’«homme» ou de «jeune homme» (il y a aussi quelques «individu») alors que ce n’est qu’une vermine, une racaille
musulmane raciste, militant du continuum de la haine !).
D'autres élus de Seine-Saint-Denis ont également réagi
très rapidement à ces images. Le député (La France Insoumise) Eric Coquerel dit
ainsi (et sans rire) avoir «découvert
avec horreur une vidéo datant a priori de la nuit de samedi à dimanche». «
Je ne sais pas ce que ce dernier a fait, je sais par contre que le 17 octobre
1961 (il y a 60 ans au moment de la guerre d’Algérie) on a retrouvé sur ces
mêmes berges les corps d'Algériens noyés par la police, écrit-il dans un
communiqué (ces propos sont une escroquerie intellectuelle (Voir
ici la vérité). Entendre
aujourd'hui de tels propos et comportements racistes de la part de
fonctionnaires de police est une honte et une grande inquiétude». Tout ça
pour un mot ! Un seul mot prétendument raciste ! Le mot «bicot» ! Où est le problème
d'appeler un Wesh-wesh délinquant un «bicot»
? C'est certes un mot péjoratif mais de langage courant et face à l'insulte,
on ne peut pas demander aux policiers d'avoir des réactions d'académiciens.
D’autant que le nom commun «bicot»
vient par aphérèse du mot arbicot («arabe»),
diminutif de «arbi» ou «larbi» pour arabe, ce qui n’a rien de «raciste».
Monsieur le député Eric Coquerel nous dit qu’il ne sait
pas ne sais pas ce que ce dernier a fait, c’est vrai ça, dans quelles
conditions l'intervention s'est-elle déroulée ? Alors en mission de
sécurisation autour de Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine), des policiers du
commissariat d'Asnières captent un message radio d'un équipage de la BAC. Les
policiers de la BAC pourchassent une Laguna occupée par trois individus qui
viennent de commettre un très important vol sur un chantier d'Eiffage de la rue
des Grésillons à Asnières. Le véhicule roule à vive allure et refuse
d'obtempérer. Il tente même de percuter un des gardiens de la paix qui avait
mis pied à terre. C'est alors que la BAC signale que les voleurs se dirigent
vers L’Ile-Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). C'est là que les policiers
d'Asnières à proximité prennent le relais, comme on peut le voir sur une vidéo
publiée sur Twitter. Les tristes sirs fuyards ont abandonné leur voiture et
continuent à pied. Deux prennent le chemin d'une zone pavillonnaire, le
troisième saute dans la Seine. Avec leur lampe torche, les policiers repèrent
le fugitif. Le courant l'emporte vers la berge. Il semble en mauvaise posture.
L'un des policiers décide de «le récupérer
dans l'eau et d’attraper l'individu qui se laisse dériver, afin de le ramener
au bord pour le récupérer», ainsi qu'il est écrit dans le rapport
d'intervention. Une fois sorti des eaux, le fuyard est palpé puis menotté. Il
se présente comme un Égyptien sans papier de 27 ans. Il est connu sous cette
identité (Mohamed, Ali, ou Mokhtar ?) et sous d'autres alias pour des vols
et détention de drogue. Il fait l'objet d'un mandat de recherche délivré en mai
2019 par le procureur de la République du tribunal judiciaire de Créteil. Selon
des informations de bonne source, il a été ausculté par un médecin avant son
placement en garde à vue. Son état de santé a été jugé compatible avec sa mise
en détention. Durant son audition, il n'aurait fait état d'aucune violence
physique de la part des policiers. Sur
Twitter, le président PS du conseil départemental Stéphane Troussel, s'est dit «très choqué par la vidéo qui circule […].
Ces actes et paroles sont écœurants, racistes et indignes de la République.
L'enquête de l'IGPN doit être menée rapidement et les policiers identifiés
sévèrement sanctionnés». Monsieur Troussel, en bon homme d’ultra gauche
n’aura pas un mot sur la vidéo de l’agression raciste de monsieur Zemmour par
un maghrébin !
Suspendre
les deux fonctionnaires c'est aussi le souhait de Fabien Gay (c’est
celui qui Tweet : «Le racisme
antiblanc c'est comme les licornes ou le monstre du Loch Ness. Beaucoup en
parlent, mais personne ne l'a jamais vu, ni vécu». Bof dans le cas de monsieur
Zemmour c’est pas du racisme antiblanc (Voir
ici pour le racisme antiblocage) avec Eliane Assassi,
sénateurs PCF, qui y voit le reflet d'une réalité plus large : «Depuis le début du confinement, des actes
de violences policières, particulièrement dans certains quartiers de notre
département, se multiplient. Les habitants de Seine-Saint-Denis doivent cesser
d'être stigmatisés et montrés du doigt en supposant qu'ils ne respectent pas
les règles du confinement». Ben oui les musulmans ne respecte pas le
confinement. Est-ce «raciste» que de
le dire ?
Dès
dimanche soir (sur les ordres de monsieur le ministre Castaner), le préfet de
police de Paris Didier Lallement a annoncé qu'il saisissait l'IGPN. Ce lundi,
le parquet de Nanterre a également décidé de saisir la police des polices «d'une
enquête judiciaire pour injures à caractère raciste et violences par personne
dépositaire de l'autorité publique» Didier Lallement a en outre demandé la
suspension administrative de ces deux agents, rattachés à la direction de la
sécurité publique territoriale des Hauts-de-Seine, et qui ont reconnu les
propos incriminés.
Bon et si pour finir on parlait des vrais
racistes ?
Le 26 novembre dernier on apprenait que le leader de la
LDNA (LDNA : ligue de défense noire africaine qui se présente
comme luttant contre la négrophobie et le racisme) avait été condamné pour viol
sur une femme handicapée à 7 ans de prison.
Les outrances de la LDNA, ce groupuscule raciste
antiblanc l’avait amenées devant les tribunaux pour avoir agressé l’élu Patrick
Balkany (monsieur Balkany n’est pas ma tasse de thé d’autant qu’il a été
condamné avec son épouse
Isabelle et en appel à trois ans de prison ferme et dix ans d'inéligibilité le
mercredi 4 mars dernier). Au cours du procès, on apprend qu’un des membres de
la LDNA a été lui condamné à 7 ans de prison sur personne vulnérable. Selon de
nombreuses sources concordantes et plusieurs articles de presse, il s’agirait
du leader de la LDNA. A force de vouloir faire le buzz, certaines informations très
peu reluisantes remontent à la surface.
Deux militants racistes antiblancs de la Ligue de
défense noire africaine (LDNA. Jolie association de racistes
antiblancs violeurs, voleurs, terroristes en tous genres à dissoudre avec perte
de nationalité) ont été condamnés le 26 novembre dernier pour acte
d’intimidation envers Patrick Balkany, qu’ils avaient pris à partie début
septembre dans la rue à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). Déjà très défavorablement
connus de la justice, les deux hommes sans emploi, âgés de 30 et 31 ans, ont
été condamnés pour «acte d’intimidation
envers un élu public» à six mois de prison et devront indemniser l’édile
d’un euro symbolique. Le plus âgé, notamment condamné en 2014 à sept ans de
prison pour viol sur personne vulnérable (une femme handicapée), a également
écopé d’une amende de 1000 euros pour avoir donné aux enquêteurs une «identité imaginaire» – son «nom de militant», rapporte le Figaro. Selon
ces informations, confirmées par la LDNA sur son compte Twitter, il s’agirait
du leader dit aussi porte-parole de la LDNA, Egountchi Behanzin, dit aussi
Gucci dont le vrai nom serait Sylvain Afoua. Il était accompagné d’un autre
raciste dit Riko
(Militant Ldna).
Michel Alain Labet de Bornay
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