jeudi 7 mai 2020

Propos «racistes» la suite.



Le 27 avril 2020 voir ici des folliculaires à gages, lâches comme l’est tout merdiatiste faiseur de feuilles à se torcher les fesses, stipendiés et collabos de l’AFP (agence raciste et antisémite dite Agence France Palestine) titraient : Didier Lallement fait suspendre les deux policiers mis en cause pour des propos racistes à L’Île-Saint-Denis. Didier Lallement ? C’est le préfet de police de Paris. Accessoirement c’est celui qu’Ali Juppé traitait de «Nazi». 
Sur le Parisien du 28 Avril, Parigot qui fut Libéré et de nouveau Collaborateur des Islamos marxistes, on peut lire : «Comme tout le monde, Mohamed Gnabaly (maire de l’Ile Saint Denis) a découvert, dimanche soir, la vidéo d'une interpellation policière. On y voit des fonctionnaires proférer plusieurs remarques humoristique à l'égard d'un individu (un étranger en situation irrégulière qu'ils viennent gentiment de sauver de la noyade dans l'eau de la Seine ou il c’était jeté pour fuir la police), en bordure de Seine. «Il ne sait pas nager, un bicot ça ne nage pas», lance un des policiers, avant qu'un autre réplique : «Ça coule, tu aurais dû lui accrocher un boulet au pied».
Le maire (sans étiquette mais au nom bien de chez nous) de L'Ile-Saint-Denis qui, doté d’une mémoire plus qu’excellente a bien évidemment immédiatement identifié les lieux filmés par le raciste antisémite Taha Bouhafs qui se dit «journaliste» sans carte de presse. (Monsieur Bouhafs est un militant d’ultra gauche de La France Insoumise, un Franco-Algérien islamo marxiste qui lorsqu’il était candidat pour les législatives à Tolbiac insultait les policiers en les traitant de «Grosses merdes» ! C’est lui qui a filmé les policiers et diffusé la vidéo dès le 26 Avril). Monsieur le maire  Mohamed Gnabaly a une vue extrêmement perçante, un vrai œil de faucon (ou de vrai ?) car sur la vidéo voir ici identifier le quai du Moulin, sur le territoire de sa commune relève de l’exploit. «Je suis très choqué», glissait-il alors. L'élu a depuis exigé des «sanctions exemplaires», et salué au passage les déclarations du ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, condamnant ce lundi l'attitude des policiers.

Bizarrement nous sommes toujours dans l’attente d’une déclaration indignée de monsieur le maire Mohamed Gnabaly ; de monsieur le ministre Castaner, si ce n’est du préfet Lallement au sujet de l’agression monsieur E. Zemmour qui s’est fait gravement insulter et cracher dessus dans la rue par un maghrébin musulman (c’est lui qui le revendique) Mehdi Korchi: «Gros fils de p… nique bien ta mère !» (Comme d’habitude les merdias habituels marxistes culturels et collabos qualifient le raciste «maghrébin» (selon Europe Israël) de «jeune», d’«homme» ou de «jeune homme» (il y a aussi quelques «individu») alors que ce n’est qu’une vermine, une racaille musulmane raciste, militant du continuum de la haine !).
D'autres élus de Seine-Saint-Denis ont également réagi très rapidement à ces images. Le député (La France Insoumise) Eric Coquerel dit ainsi (et sans rire) avoir «découvert avec horreur une vidéo datant a priori de la nuit de samedi à dimanche». « Je ne sais pas ce que ce dernier a fait, je sais par contre que le 17 octobre 1961 (il y a 60 ans au moment de la guerre d’Algérie) on a retrouvé sur ces mêmes berges les corps d'Algériens noyés par la police, écrit-il dans un communiqué (ces propos sont une escroquerie intellectuelle (Voir ici la vérité). Entendre aujourd'hui de tels propos et comportements racistes de la part de fonctionnaires de police est une honte et une grande inquiétude». Tout ça pour un mot ! Un seul mot prétendument raciste ! Le mot «bicot» ! Où est le problème d'appeler un Wesh-wesh délinquant un «bicot» ? C'est certes un mot péjoratif mais de langage courant et face à l'insulte, on ne peut pas demander aux policiers d'avoir des réactions d'académiciens. D’autant que le nom commun «bicot» vient par aphérèse du mot arbicot («arabe»), diminutif de «arbi» ou «larbi» pour arabe, ce qui n’a rien de «raciste».
Monsieur le député Eric Coquerel nous dit qu’il ne sait pas ne sais pas ce que ce dernier a fait, c’est vrai ça, dans quelles conditions l'intervention s'est-elle déroulée ? Alors en mission de sécurisation autour de Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine), des policiers du commissariat d'Asnières captent un message radio d'un équipage de la BAC. Les policiers de la BAC pourchassent une Laguna occupée par trois individus qui viennent de commettre un très important vol sur un chantier d'Eiffage de la rue des Grésillons à Asnières. Le véhicule roule à vive allure et refuse d'obtempérer. Il tente même de percuter un des gardiens de la paix qui avait mis pied à terre. C'est alors que la BAC signale que les voleurs se dirigent vers L’Ile-Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). C'est là que les policiers d'Asnières à proximité prennent le relais, comme on peut le voir sur une vidéo publiée sur Twitter. Les tristes sirs fuyards ont abandonné leur voiture et continuent à pied. Deux prennent le chemin d'une zone pavillonnaire, le troisième saute dans la Seine. Avec leur lampe torche, les policiers repèrent le fugitif. Le courant l'emporte vers la berge. Il semble en mauvaise posture. L'un des policiers décide de «le récupérer dans l'eau et d’attraper l'individu qui se laisse dériver, afin de le ramener au bord pour le récupérer», ainsi qu'il est écrit dans le rapport d'intervention. Une fois sorti des eaux, le fuyard est palpé puis menotté. Il se présente comme un Égyptien sans papier de 27 ans. Il est connu sous cette identité (Mohamed, Ali, ou Mokhtar ?) et sous d'autres alias pour des vols et détention de drogue. Il fait l'objet d'un mandat de recherche délivré en mai 2019 par le procureur de la République du tribunal judiciaire de Créteil. Selon des informations de bonne source, il a été ausculté par un médecin avant son placement en garde à vue. Son état de santé a été jugé compatible avec sa mise en détention. Durant son audition, il n'aurait fait état d'aucune violence physique de la part des policiers.                                                                                                     Sur Twitter, le président PS du conseil départemental Stéphane Troussel, s'est dit «très choqué par la vidéo qui circule […]. Ces actes et paroles sont écœurants, racistes et indignes de la République. L'enquête de l'IGPN doit être menée rapidement et les policiers identifiés sévèrement sanctionnés». Monsieur Troussel, en bon homme d’ultra gauche n’aura pas un mot sur la vidéo de l’agression raciste de monsieur Zemmour par un maghrébin !
Suspendre les deux fonctionnaires c'est aussi le souhait de Fabien Gay (c’est celui qui Tweet : «Le racisme antiblanc c'est comme les licornes ou le monstre du Loch Ness. Beaucoup en parlent, mais personne ne l'a jamais vu, ni vécu». Bof dans le cas de monsieur Zemmour c’est pas du racisme antiblanc (Voir ici pour le racisme antiblocage) avec Eliane Assassi, sénateurs PCF, qui y voit le reflet d'une réalité plus large : «Depuis le début du confinement, des actes de violences policières, particulièrement dans certains quartiers de notre département, se multiplient. Les habitants de Seine-Saint-Denis doivent cesser d'être stigmatisés et montrés du doigt en supposant qu'ils ne respectent pas les règles du confinement». Ben oui les musulmans ne respecte pas le confinement. Est-ce «raciste» que de le dire ?
Dès dimanche soir (sur les ordres de monsieur le ministre Castaner), le préfet de police de Paris Didier Lallement a annoncé qu'il saisissait l'IGPN. Ce lundi, le parquet de Nanterre a également décidé de saisir la police des polices «d'une enquête judiciaire pour injures à caractère raciste et violences par personne dépositaire de l'autorité publique» Didier Lallement a en outre demandé la suspension administrative de ces deux agents, rattachés à la direction de la sécurité publique territoriale des Hauts-de-Seine, et qui ont reconnu les propos incriminés.
Bon et si pour finir on parlait des vrais racistes ?
Le 26 novembre dernier on apprenait que le leader de la LDNA (LDNA : ligue de défense noire africaine qui se présente comme luttant contre la négrophobie et le racisme) avait été condamné pour viol sur une femme handicapée à 7 ans de prison.

Les outrances de la LDNA, ce groupuscule raciste antiblanc l’avait amenées devant les tribunaux pour avoir agressé l’élu Patrick Balkany (monsieur Balkany n’est pas ma tasse de thé d’autant qu’il a été condamné  avec son épouse Isabelle et en appel à trois ans de prison ferme et dix ans d'inéligibilité le mercredi 4 mars dernier). Au cours du procès, on apprend qu’un des membres de la LDNA a été lui condamné à 7 ans de prison sur personne vulnérable. Selon de nombreuses sources concordantes et plusieurs articles de presse, il s’agirait du leader de la LDNA. A force de vouloir faire le buzz, certaines informations très peu reluisantes remontent à la surface.

Deux militants racistes antiblancs de la Ligue de défense noire africaine (LDNA. Jolie association de racistes antiblancs violeurs, voleurs, terroristes en tous genres à dissoudre avec perte de nationalité) ont été condamnés le 26 novembre dernier pour acte d’intimidation envers Patrick Balkany, qu’ils avaient pris à partie début septembre dans la rue à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). Déjà très défavorablement connus de la justice, les deux hommes sans emploi, âgés de 30 et 31 ans, ont été condamnés pour «acte d’intimidation envers un élu public» à six mois de prison et devront indemniser l’édile d’un euro symbolique. Le plus âgé, notamment condamné en 2014 à sept ans de prison pour viol sur personne vulnérable (une femme handicapée), a également écopé d’une amende de 1000 euros pour avoir donné aux enquêteurs une «identité imaginaire» – son «nom de militant», rapporte le Figaro. Selon ces informations, confirmées par la LDNA sur son compte Twitter, il s’agirait du leader dit aussi porte-parole de la LDNA, Egountchi Behanzin, dit aussi Gucci dont le vrai nom serait Sylvain Afoua. Il était accompagné d’un autre raciste dit Riko (Militant Ldna).

Michel Alain Labet de Bornay
 
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