dimanche 14 juin 2020

Adama Traoré ? Arrêtez vos conneries !


Vidéo: Zikiri (Kiki ?) Moustapha Sidibe Bilale Traoré. Un régal pour les oreilles.

Le grand avocat (le plus grand de France au pénal) de la famille d’Adama Traoré, mort accidentellement en 2016 après son arrestation après plusieurs délits de fuite et rébellion à la force publique, s’interroge bêtement sur l’existence d’un soi-disant «passif» entre le délinquant de race noire (comme spécifié par madame Lapix au journal de 20 heure) multirécidiviste dit abusivement «jeune homme» de 24 ans et un des trois gendarmes ayant procédé à son interpellation, dans un courrier aux juges daté de vendredi et complaisamment expédié à l’Agence France Palestine une agence de presse raciste et d’ultra gauche dite AFP qui ce fait l’écho de ces divagations et arguties marxistes culturelles.
Interrogé dix jours après le décès, ce gendarme avait affirmé connaître Monsieur Traoré et précisé qu’il était «très défavorablement connu» de ses services, selon un procès-verbal dont a eu connaissance les ultras gauchistes de l’AFP et dont ils se font les rapporteurs.
«Je ne peux pas vous dire combien de fois j’ai procédé à son interpellation, mais peut-être trois ou quatre fois en trois ans. A chaque fois, cela s’est mal passé car il y a toujours eu une opposition violente de cet individu. Il y a eu des violences, des rebellions, des outrages, des fuites», avait déclaré le chef d’équipe lors de cette audition par les enquêteurs. Et alors ? Traoré avait un palmarès édifiant. Notre brave «jeune homme» sodomite avait entre 2007 (il avait 15 ans) et 2016, fait l’objet de 17 procédures pour vol, possession, usage et trafic de drogue et viol sur son codétenu ! Il a été incarcéré entre fin 2015 et début 2016.
Le 19 juillet 2016, Adama Traoré était décédé dans la caserne des gendarmes de Persan près de deux heures après son arrestation dans sa ville de Beaumont-sur-Oise (Val-d’Oise) et au terme d’une course-poursuite, après avoir échappé à une première interpellation.                                                                                     L’avocat de la famille, Maître Yassine Bouzrou, qui témoigne suivant Wikipédia avoir été traité de «bicot» par un policier dans son adolescence lors d'un contrôle d'identité demande donc à ce que soient jointes à l’enquête les procédures dans lesquelles les trois gendarmes, placés sous le statut intermédiaire de témoin assisté, ont eu affaire à Adama Traoré, avant le 19 juillet 2016.

Toutefois il convient de faire attention, les Traoré n’ont pas de chance avec l’excellent maître Yassine Bouzrou. En novembre 2016, il défend très habilement Malamine Traoré (d’origine Malienne lui aussi il n’a cependant rien à voir avec la famille d’Adama), le 21 février 2013, il avait foncé sur un véhicule de policiers à plus de 160 km/h sur le périphérique à Paris alors qu'il était ivre et n'avait pas de permis. Il avait tué deux policiers, grièvement blessé un troisième. En mars 2018, l’assassin Malamine Traoré est condamné à seulement 15 ans de prison avec une période de sûreté de 10 ans, une peine supérieure au jugement en première instance ou il n’avait été condamné qu’à 12 ans de prison. On dit merci qui ? 
Aux dernières nouvelles (source : Valeurs actuelles.com) le 13 juin 202O, le maintenant dit «clan Traoré», un clan qu’est pas cucul, porte plainte (enfin l’excellentissime maître Yassine Bouzrou) contre madame Marion Maréchal, à son tour leur cible après madame  Marine Le Pen, messieurs Julien Odoul et Jean-Jacques Bourdin. Le «clan Traoré» (enfin Assa Traoré et maître Bouzrou à la solde des assocs marxistes culturelles et racistes) a décidé d’attaquer en justice (la fameuse ajustice de s’pays des doigts de l’homme dans le Centre d’Union Libéral) tous ceux qui déclarent qu’Adama Traoré ou un membre de la famille est un «délinquant». Dans une vidéo publiée sur le compte Twitter du collectif La Vérité pour Adama, Assa Traoré a ainsi annoncé qu’elle avait porté plainte contre Marion Maréchal pour «diffamation». La sœur d’Adama Traoré reproche à l’ex-députée des propos tenus dans une vidéo virale, dans laquelle elle déclare notamment ne pas avoir à «s’excuser en tant que Blanche».
SVP maître Yassine Bouzrou pouvez-vous me joindre à vos plaintes, puisque je revendique haut et fort d’avoir qualifié le «jeune homme noir» Adama Traoré (dixit madame Lapix d’A2) votre brave «jeune homme» sodomite qui avait entre 2007 (il avait 15 ans) et 2016, fait l’objet de 17 procédures pour vol, possession, usage et trafic de drogue et viol sur son codétenu ! Il avait été incarcéré (c’est-à-dire mis en prison) entre fin 2015 et début 2016, de délinquant. Oui je persiste et signe Adama Traoré était un DELINQUANT ! Un ncona en Bambara!

Il est vrai que le «clan Traoré», des Français de fraiche date ne maîtrisent pas encore très bien la langue Française ; un délinquant dans notre belle langue et un individu qui a commis un ou des délits. Peut-être préféreriez-vous : Bandit, voyou, antisocial, dévoyé, vaurien, inadapté, pour qualifier Adama ?
Et alors quand on sait depuis 2010 par un excellent article du Figaro écrit par madame Cécilia Gabizon que suivant l’étude du sociologue et chercheur au CNRS Hugues Lagrange : «Les jeunes Noirs français issus de l'immigration africaine, sont, à conditions sociales égales, 3 à 4 fois plus souvent mis en cause en tant qu'auteurs de délits que les autochtones. Ceux qui sont éduqués dans des familles maghrébines, deux fois plus».


Michel Alain Labet de Bornay

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1 commentaire:

  1. A l’occasion de la manifestation à l’appel de Collectif Vérité pour Adama Traoré, ce samedi 13 juin 2020, des manifestants antiracistes ont lancé des insultes antisémites.
    Les partisans d’Adama Traoré souhaitant dénoncer les violences policières se sont réunis ce samedi 13 juin en début d’après-midi place de la République, à Paris. Si le cortège était alors bloqué par les forces de l’ordre, la tension est montée d’un cran après la banderole déployée par sur les toits par le groupe Génération Identitaire avec comme inscription : « Justice pour les victimes du racisme anti-blancs ».
    Ulcérés par ce message, des manifestants antiracistes ont réagi avec des propos particulièrement violents et antisémites : « Sales juifs ». Le préfet de Police a signalé ces propos antisémites à la justice. Par ailleurs, des participants auraient accusé Israël d’être « le laboratoire des violences policières ». Le cortège parisien était toujours immobile en milieu d’après-midi. La police refusait de lever son barrage et rappelait l’interdiction des rassemblements de plus de 10 personnes. « On ne bougera pas d’ici pour l’instant », a-t-elle dit aux organisateurs de la marche contre les violences policières et le racisme.

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