Les images chocs du 14/06/2020 d’un gendarme
lynché par des manifestants hier sur la Place de la République ont été
diffusées par CNews et ont provoqué l’indignation sur les réseaux sociaux.
Cette vidéo a été tourné au cœur de la manifestation organisée par le Comité
Adama Traoré et on peut voir un gendarme en train de prendre des coups de la
part de plusieurs protestataires et deux de ses collègues en train de lui venir
en aide. Le gendarme visiblement sonné par les coups ne parvient pas à se
remettre sur ses jambes et est traîné par ses collègues.
Source : Cliquez
ici.
Là où le prochain blanc agressé par un noir ou un
magrébin, devrons-nous nous comporter de la même façon en faisant des
manifestations, des pillages et casses de commerces, de banques et autres, et
appeler à la condamnation de tous les noirs ainsi que leur appel à la mort ? Si
ce n’est des cris de haine antisémites ! Car déjà à l’occasion de la
manifestation à l’appel du Collectif
Vérité pour Adama Traoré, le samedi 13 juin 2020, des manifestants «antiracistes» ont lancé des insultes
antisémites. La
vidéo sur le site de la LDJ.
Les partisans racistes et antisémites du délinquant Adama
Traoré souhaitant dénoncer les soi-disant violences policières se sont réunis une
nouvelle fois ce 13 juin 2020 en début d’après-midi place de la République, à
Paris. Si le cortège était alors bloqué par les forces de l’ordre, la tension
est montée d’un cran après la banderole déployée par sur les toits par le
groupe Génération Identitaire avec
comme inscription : «Justice pour les victimes
du racisme antiblancs».
Ulcérés par ce très juste message, des manifestants dit
«antiracistes» mais antisémites ont
réagi avec des propos particulièrement violents et antisémites : «Sales juifs». Le préfet de Police a
signalé ces propos antisémites à la justice de s’pays des doigts de l’homme qui
comme dab, les a mis de suite allah poubelle. Par ailleurs, des participants auraient
sans rire, accusé Israël d’être «le laboratoire
des violences policières». Le cortège parisien était toujours immobile en
milieu d’après-midi. La police refusait de lever son barrage et rappelait
l’interdiction des rassemblements de plus de 10 personnes. «On ne bougera pas d’ici pour l’instant», comme l’a dit la police
aux organisateurs de la marche contre les soi-disant violences policières et le
racisme à géométrie variable.
L'État doit réagir et interdire ces manifs racistes et
antisémites pour un fait qu’aux USA il apparaît que le policier ne serait pas
en cause puisque le noir était délinquant multirécidiviste(comme Adama Traoré)
déjà condamné à cinq ans de prison, un faux monneyeur drogué et avait d'autres
complications !!!!
Nous sommes en 2020 et il serait bon que les noirs se
prennent en charge seul et arrêtent de se plaindre en permanence et arrêtent
leur communautarisme qui va jusqu'à défendre l'indéfendable, le délinquant
comme Traoré, qui sera toujours innocent s'il est noir même s'il est
notoirement un trafiquant de drogue, fausse monnaie, proxénète, agression,
casse de commerces, brûleur de voitures mais dès qu'un blanc va lui parler ou
l'arrêter, il sera coupable, le blanc, de tous les maux de la Terre et même de
l'époque d'il y a plusieurs siècles d'un certain esclavage !!!!
Mais
attention, le noir ne se plaindra jamais de l'esclavage dû à la tribu noire
adverse ou des arabes musulmans qui les mirent en esclavage il y a des siècles
aussi !
La faute c’est toujours pour le blanc !!!
Personnellement j'ai une solution pour vous mais comme
vous n'êtes que des pleurnichards, vous ne l'accepterez pas !
Retournez en Afrique vivre votre liberté
!!!!!!!!!!!!!!!
Les Américains y avaient pensé, ils ont créé le «Liberia» pour les anciens esclaves !
Résultats ; Le Liberia est une dictature et bien qu'ils
soient essentiellement entre noirs, ils se font la guerre et l'insécurité est à
son maximum.
L'histoire du Liberia en tant que pays commence en
1845, année où il a été fondé par une société américaine de colonisation,
l'American Colonization Society, pour y installer des esclaves noirs libérés.
Rapidement, un malaise entre américano-libériens et population autochtone
apparaît.
En 1971, William Tolbert, vice-président depuis 1951,
accède à la présidence à la suite de la mort du président Tubman. La politique
économique qu'il mène accroît le clivage entre américano-libériens et tribus
d’autochtones. Et le 12 avril 1980, le gouvernement est renversé lors un coup
d'État mené par Samuel Doe, un autochtone qui prend le pouvoir. Il instaure
rapidement une abominable dictature.
La guerre civile au Liberia a coûté la vie à plus de
150 000 personnes, des civils pour la plupart, et a provoqué un effondrement
total de l'État. Des milliers de personnes ayant été déplacées à l'intérieur du
Liberia et hors de ses frontières, quelque 850 000 personnes se sont réfugiées
dans les pays voisins. Les combats ont commencé à la fin de l'année 1989 et au
début de l'année 1990, causant plusieurs centaines de morts lors des
affrontements entre les forces gouvernementales et les combattants se réclamant
d'un groupe d'opposition, le National Patriotic Front of Liberia (NPFL), dirigé
par un ancien membre du Gouvernement, Charles Taylor. Charles Taylor est de
père américano-libérien et de mère native. Après des études aux États-Unis, il
est revenu en Afrique, s'est plongé dans les intrigues politiques et militaires
ouest-africaines, et est devenu un chef de guerre, avide de profits financiers.
D’où une merde encore plus noire pour le pays.
Vous aurez remarqué qu’on ne dit jamais une merde
blanche !
Michel Alain Labet de Bornay
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