mardi 2 juin 2020

Antisémitisme noir.



Un certain nombre de magasins et de synagogues casher ont été vandalisés et pillés dans le quartier chic de Fairfax à Los Angeles, entre samedi soir et dimanche matin, par des personnes protestant contre la brutalité policière après le meurtre accidentel de George Floyd, un homme afro-américain, à Minneapolis, Minnesota, la semaine dernière. George Floyd un délinquant afro-américain de 1mètre 98 et 110 kilos et décédé lors de son arrestation musclée, avait été lundi 25 mai 2020, dans la soirée, arrêté par la police de Minneapolis, pour avoir écoulé un faux billet de 20 dollars après un appel au 911 le désignant comme très impressionnant, ivre ou drogué.

Certaines des synagogues endommagées par le vandalisme, les graffitis et les pillages par les manifestants noirs incluent la Congrégation Kehilas Yaakov, également connue sous le nom de Rabbi Gershon Bess Shul, et Tiferes Tzvi (Rabbi Ganzweig Shul) sur Beverly Boulevard dans le quartier Fairfax de Los Angeles. Elder of Ziyon, un site pro-israélien, a enregistré des extraits de certains dommages causés aux synagogues de Fairfax.
La Commission Présidentielle américaine, dans son rapport sur les années 1970, constatait que les noirs représentaient 11,6 % de la population totale, mais 25,7 % des arrestations ; 40 % des incarcérés locaux (jails) et 46 % de la population pénitentiaire. En 1984, le taux d’infraction pour 1 000 jeunes (moins de 25 ans) est de 34,3 % pour les Blancs, de 56,2 % pour les Noirs. Le monde pénitentiaire américain induisant d’ailleurs de spectaculaires revanches racistes contre le racisme ; 60 % des viols homosexuels y impliquent des agresseurs noirs et des victimes blanches ; la statistique n’offre aucun exemple de victimes noires d’agresseurs blancs. De plus, 98 % des viols aux USA sont commis par des noirs sur des femmes blanches !
Le 10 décembre 2019, quatre personnes avaient déjà été assassinées à Jersey City, près de New York, par un couple afro-américain inspiré par l'idéologie antisémite d'un mouvement de grands malades psychiatriques et séparatiste noir, les Black Hebrew Israélites. Quelques jours après l'assassinat antisémite, une abrutie antisémite d’élue gauchiste de la commission scolaire locale, le Board of Education, s'est indignée sur Facebook qu'il y ait tant d'émotion après ces abominables meurtres alors qu'il y en avait eu si peu «quand les brutes de la communauté juive» sont venues avec «des paquets d'argent» pour acheter des maisons dans un quartier afro-américain. La racaille de gauche Joan Terrell-Paige a avancé que les tueurs du supermarché casher –qui ont heureusement été abattus par la police– avaient un message important à exprimer. «Aurons-nous le courage d'explorer leur message [...] et de faire cesser les attaques contre les communautés noires des États-Unis?», demandait-elle dans son post, depuis effacé.
Les noirs criminels antisémites ne vivaient pourtant pas à Jersey City et leurs écrits antisémites ne mentionnaient pas de problèmes locaux de logement: ils accusaient les juifs de «contrôler le gouvernement» et d'être à l'origine des violences policières contre les Noirs.

Plusieurs journaux de la communauté juive ont déploré un deux poids, deux mesures, expliquant que les personnalités politiques de cette gauche puante avaient comme en France beaucoup plus de mal à dénoncer l'idéologie antisémite quand elle venait d'Afro-Américains, (chez nous des Pasnous ou des arabes musulmans) et non de suprémacistes blancs qui n’existent que dans les cerveaux détraqués des malades de gauche.

Le 28 décembre, dix-huit jours après l'attaque de Jersey City, un schizophrène afro-américain (chez nous on dit un «déséquilibré») a blessé cinq hommes, à l'intérieur de la maison d'un rabbin de la communauté juive orthodoxe de Monsey, près de New York. Après son arrestation, les enquêteurs ont retrouvé des écrits personnels antisémites, dans lesquels il exprimait notamment beaucoup de sympathie pour Adolf Hitler.

Comme dans le cas de Jersey City, l'assaillant était inspiré par le mouvement antisémite noir des Black Hebrew Israelites, soi-disant groupe religieux qui pensent avec leur petit QI de mouches à merde que les Afro-Américains seraient les véritables descendants des Hébreux de l'Ancien Testament et accusent entre autres la communauté juive d'avoir financé l'esclavage.
La plupart de ces absurdes théories trouvent leur origine dans un influent livre de propagande publié en 1991 par Nation of Islam (tu m’étonne !), le principal groupe séparatiste noir aux États-Unis, intitulé La Relation secrète entre les Noirs et les Juifs – cet opuscule est cité en France par des antisémites comme Dieudonné ou Alain Soral.

On peut y lire que la communauté juive est la principale responsable de la traite esclavagiste, qu'elle est à l'origine de la création du Ku Klux Klan ou qu'elle contrôle les médias et l'économie. L'influence de ces allégations mensongères n'est pas négligeable: en 2018, un élu municipal de Washington afro-américain à l’intelligence d’un Bonobo avait dû s'excuser après avoir dit que «les Rothschild contrôlaient le climat».

Quant à moi, j’appelle tous les Français à réagir et à exiger des pouvoirs publics une autre politique : Lutte efficace contre les organisations racistes antisémites et antiblanc tel le Front de gauche, le NPA, le PCF, le PIR, EELV etc. et condamnation exemplaire des propagateurs de la haine raciste antisémite. Et fin des politiques et déclarations qui encouragent l’antisémitisme et le rejet de l’Autre dans une surenchère qui menace les valeurs même de la République. La suite en cliquant ici.

Les fameux «hommes de couleur» ne seraient-ils pas beaucoup plus heureux chez eux, sur leur continent  où règne la paix, l’amour, la justice, les droits de l’homme et la tolérance, où ils passent leur temps à paresser et à discuter à l’ombre de grands arbres, en écoutant les griots leur parler des coutumes. Au lieu de ça, ils préfèrent ces cons venir faire éboueur ou trafiquant de fausse monnaie ou de drogue en France. Non, franchement, ils seraient bien plus heureux chez eux. Lire en cliquant ici.

Michel Alain Labet de Bornay

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