jeudi 9 juillet 2020

Les noms des assassins ?





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Pourquoi la presse de donne plus les noms des criminels ?

Si chaque journalopette a le choix de divulguer ou non une identité, il y a bien davantage de réticences à divulguer un prénom d'origine étrangère ! Car c'est bien là où le bât blesse. Que le mis en cause s'appelle Henri ou Mohamed, c’est bien là le problème, car à plus de 90 % c’est Momo le grand gagnant et ça fait désordre pour le politiquement correct. Révéler un nom à consonance barbaresque, dans un type d'affaire criminelle avec, cerise sur le gâteau, de forts antécédents judiciaires, n'apporte rien à l'information cela risque selon les journaleux d'enflammer davantage des tensions communautaires. Mais j'ai de plus en plus l’impression et on a pu le constater souvent que des précautions peuvent avoir l'effet inverse que celui attendu et exposent à être rattrapé par la rumeur. Le silence est une solution toujours dangereuse, surtout face au niveau de conscience de la population auquel nous faisons face aujourd'hui.


Yassine E., (Pour El Zobi la mouche ?) 26 ou 27 ans (on ne sait pas exactement), l’assassin arabe du gendarme Mélanie Lemée, 25 ans, est déjà comme d’habitude vu ses origines (ce qui explique l’absence de nom de famille) très défavorablement connu des services de police et de gendarmerie pour des délits liés entre autres aux stupéfiants et des délits routiers, avec notamment une suspension de permis.

Le «jeune homme» et assassin Yassine E., avait affirmé s'être enfui «parce qu'il n'est pas titulaire du permis de conduire, qu'il conduisait sous l'emprise de produits stupéfiants et qu'en plus il transportait une quantité de cocaïne d'un peu plus de 150 g».

Assez curieusement cette monstrueuse racaille bénéficie pour sa défense de deux avocats, maître Edouard Martial du barreau d’Agen (s’est notamment illustré en plaidant au procès de Mohamed Merah, comme maître Dupont Moretti un ministre à l’insu de son plein gré) qui partagera la défense du monstre avec sa consœur du barreau d’Agen Maître Isabelle Gillet. Avec quel argent ? Certainement le mien, le tien, celui qu’on veut notre, l’argent de nos impôts ! Elle est pas belle la vie en Francarabia ?


Ah oui, et puis j’ai des nouvelles fraiches au sujet des assassins de Philippe Monguillot le conducteur de bus de Bayonne il y a un Mohamed A. 40 ans (encore un bien d’chez nous !) habitant une des tours du quartier Balichon, à Bayonne (Pyrénées-Atlantiques), au 9e étage, porte numéro «129».

De plus, mes amis de la http://www.liguedefensejuive.com/ dans le cadre de leurs actualités nous disent le 9 juillet 2020:

Bayonne : les nom de 3 des 5 assassins de Philippe Monguillot sont : Moussa Baraka, Moglhamed A. (celui que j’ai appelé Mohamed de la cité Balichon agé de 40 ans) et Selim. Ils nous disent aussi qu’évidemment, cette information est soigneusement cachée par les «médias officiels», On se demande bien pourquoi ? (Les «médias officiels», sont ceux que je nomme les merdiatocrasseux et ces piteux journalopes marxistes culturels)

Il est vrai que j’imaginais bien que ces criminelles racailles ne s’appelaient pas Pierre, Jacques ou Paul.

Jusqu’à quand, mais jusqu’à quand, allons-nous subir la loi de ces pourritures ?

A Bayonne, la «Marche blanche» a rassemblé des milliers de personnes qui ont défilées en l’honneur de Philippe. Pas d’émeute pour Philippe…

Michel Alain Labet de Bornay


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