Dieudonné ? L’abjection !

Mais que fait le MRAP ? La LDH ? La Licra ? Rien ! Nada ! Ah si c’était Marine Le Pen qui avait fait ce film se fut une autre histoire ! Tiens à propos d’histoire : « On découvrit dans des slogans tels que "Mort aux Juifs" ou "La France aux Français" des formules presque magiques permettant de réconcilier les masses avec le gouvernement et la société »  (Hannah Arendt, « L'affaire Dreyfus ») . On comprend mieux maintenant à la lumière de l’histoire, l’attitude avilissante des nidoreux « militants » du sordide MRAP NATIONAL ou des militants de droit devant par derrière, des Verts (de terre ?) maintenant devenus Europe Ecologie, de vraies pastèques, de la LDH et du NPA !

Y aura-t-il une instance en France qui pourra enfin régler son compte à cet odieux personnage gauchiste qu’est ce M’Bala M’Bala (de chiotte ?)? Dans le film « L’antisémite » qu’il vient de réaliser avec un financement gouvernemental iranien, Dieudonné laisse la voie libre à sa haine, mais au moins, il devrait ôter définitivement le doute aux quelques naïfs qui ne le croyaient « qu’antisioniste » comme lui-même se prétend exclusivement.
Le début de ce long-métrage est une insupportable parodie de la Shoah sous forme de film muet, dans la quelle Auschwitz et le massacre des juifs sont tournés en dérision La suite du film n’est que propagande antisioniste, antisémite et négationniste grossières, l’ancien marxiste Robert Faurisson y apparaissant pendant quelques minutes jouant son propre rôle.

L’envie de vomir n’en est que plus forte lorsque l’on sait que Dieudonné vit en France en toute impunité, que le film a été tourné en France, et que jusqu’à présent personne n’a réussi à faire barrage à sa logorrhée de haine et de mensonges qui rencontre d’ailleurs un succès impressionnant parmi les jeunes musulmans du pays.

 Même si le film a toutefois été interdit dans les salles et est accessible par le site privé du « comédien » et circulera bientôt sur les réseaux sociaux. Le film a été présenté en Iran lors d’une conférence sur le « Hollywoodisme et le cinéma », en marge du 30ème festival international du film de Fajr. Le dernier spectacle de Dieudonné est d’ailleurs intitulé « Mahmoud » en hommage au président iranien, ami de Dieudonné.

La société iranienne de production HACC, qui a cofinancé le film avec Dieudonné, va probablement produire aussi son prochain film, « Le Code Noir », destiné selon son directeur, Mohsen Ali-Akbari « à insister sur la participation des sionistes (sic) à l’esclavage des noirs au 18e siècle ».

Scandale supplémentaire, le film est recensé comme tous les autres dans le site cinématographique www.allocine.fr sous la rubrique… «  Comédie » !!!

Michel Alain Labet de Bornay.

^{Copyright 2011. Agence de Presse AIS (Accréditation International System). (Trade Mark).}

^{Secrétariat technique de l’Association de défense des identités Françaises.}

^{Tous droits réservés.} 

^{Ce matériel peut être publié, diffusé ou redistribué dans la mesure de la citation de la source.}

^{Une faute d'orthographe, une erreur à signaler ? Une précision à apporter ? Des sous à nous envoyer ? Écrivez à :} frenchlibertarian@gmail.com

100 Sites Libertariens.

N’hésitez pas à visiter le blog de nos amis du CTECNA :

http://antisemitenonmerci.blogspot.com/ les commentaires sont libres.

Chrétiens à babouche ou chrétiens à Kippa ?

Un très bon blog.

http://mimisdiogenesclub.hautetfort.com/

Il y a là un dialogue des plus intéressant :

Le génie juif - Op.1 et Le génie juif - Op. 2

Sur ce blog il y a aussi ce texte…. Magnifique !

Mais sans une forte dose de démence, nulle initiative, nulle entreprise, nul geste. La raison : rouille de notre vitalité. C’est le fou en nous qui nous oblige à l’aventure ; qu’il nous abandonne et nous sommes perdus : tout dépend de lui, même notre vie végétative ; c’est lui qui nous invite à respirer, qui nous y contraint, et c’est encore lui qui force notre sang à se promener dans nos veines. Qu’il se retire, et nous voilà seuls! On ne peut être normal et vivant à la fois. Si je me maintiens dans une position verticale et que je m’apprête à remplir l’instant qui vient, si, en somme, je conçois le futur, un heureux détraquement de mon esprit en est cause. Je subsiste et j’agis dans la mesure où je déraisonne, où je mène à bien mes divagations. Que je devienne sensé, et tout m’intimide : je glisse vers l’absence, vers des sources qui ne daignent pas couler, vers cette prostration que la vie dut connaître avant de concevoir le mouvement, j’accède à force de lâcheté au fond des choses, tout acculé à un abîme dont je n’ai que faire puisqu’il m’isole du devenir.
La Tentation d’Exister - Emile Cioran