vendredi 5 octobre 2012

Les musulmans sont innocents.





Vidéo: Submission: le court métrage de Theo van Gogh.



De nombreux lecteurs de ce blog m’ont demandé une bonne foi pour toute, mon opinion sur le mahométisme et les mahométans, certains étaient même sales et lafistes d’autres, Catholicistes très propres sur eux, Thomistes de Savoie, Catharsistes de Toulouse ou Nestorianistes (oui, je sais, les Cathares et les Nestoriens, ça ne ce fait plus tellement) des marxistes (mais oui) des frangins du GO et de la GLNF et même 2 ou 3 animistes m’écrivant d’Afrique noire avec les trois Druides du grand Collège des Gaules. Sans oubliez les gomorrhéennes et autres sodomites qui mouillent leur petites culottes, redoutant la colère des mahométans, car en terre d’Islam, brouter des minous et bouffer de la tarte au poil comme le gigot à l’ail d'une Simone de Beauvoir pédophile et la culture de la « rondelle défoncée » chère à Jean Genet, c’est rigoureusement harâm (Verboten… strictement interdit, c’est puni de mort !!!)

Pour éviter toute ambiguïté et vous éviter le gay pied de ce dîner à Sainte adresse, mettons carrément nos pieds de cochon dans la couscoussière.

Il y a pas longtemps encore, je confondais rassoul avec raalouf, normal, les consonances barbaresques arabiques n’étaient pas encore bien rentrées dans mes oreilles d’infidèle et de mécréant (et fier de l’être) et j’avais toujours pris ces deux mots pour des synonymes ou des synagogues (Je n’ai jamais bien fais la différence).

A mon sens, coiffant les aspirations les plus viles, flattant les pulsions les plus archaïques, encourageant la paresse intellectuelle, l'intolérance, l’hypocrisie, la violence, prêchant un virilisme pathologique, justifiant les pires ignominies antiféministes et antisémite, l'islam n'est ni une sagesse , ni une civilisation, ni un mode de vie, c'est un fléau."

La réalité de l’islam, c’est que ce n’est pas une « religion », mais un projet politico-religieux totalitaire. Islam veux dire soumission.

Ceci étant dit et comme ça ça sera dit… rose ! Retournons à nos agneaux égorgés au pris de grandes souffrances c'est-à-dire l’islam : (A vos souhaits) M’enfin, au début j’avais écrit : L’islam c’est sale et ça colle des boutons verts ! La témérité a des limites ! Je m’étais arrêté là ! Il y a bien une fois ou j’avais trouvé quelques synonymes douteux mais drôles: coraniquetasoeur, islamiquetamère, islamitérrant, mahométan, sarrasinophile, abrutislamiste, corraniste, busarrasin, maure, barbaresque, chimpacrouille,etc. etc.

Mais bon, c’était un peu court, d’autant que beaucoup de lecteurs et de lectrices (Bonjour Anne Marie), me posent des questions sur mon opinion sur l’islam, alors allons y.

L’ennemi de la république et surtout de la liberté, n’est pas seulement l’islam ou son corollaire politiquement correct « l’islamisme ». Mais c’est surtout le marxisme culturel ou « politiquement correct » Vien ici que je t’explique.

Ah les mots, que ne leur fais-t-on pas dire. La forgerie du mot « Islamisme » pour qualifier l’islam dit « politique » à été faite par les occidentaux, incapables intellectuellement de concevoir l’islam en sa globalité archaïque, qui est tout à la fois une « religion » au sens occidental, mais aussi une politique et un mode de vie  (je me refuse quant à moi à qualifier cette pseudo « religion » autrement que par son nom : «  l’Islam »). L’islam et seulement l’islam, qui est faussement assimilé à une « religion » est une arme de destruction massive, une théocratie digne du nom de totalitarisme immonde et sanguinaire.

La forgerie « islamisme » en France serait « modéré » viennent nous faire croire les marxistes culturels. Est-il nécessaire de redéfinir l’islamisme ? Le Robert dit : “Mouvement politique ou religieux (Notez le OU !) Prônant l’expansion ou le respect de l’islam (Que de OU !) ”. Autrement dit, mouvement qui agit pour le prosélytisme (“expansion”) ou la charia (“respect de l’islam”). Alors il est temps de rétablir une vérité. Non, il n’existe pas d’islamisme modéré, pas plus qu’il n’existe d’islamistes modérés.

Si l’on entend par modération le bannissement de traditions archaïques qui peinent à trouver leur justification dans les textes sacrés à moins de les déformer comme l’excision ou la polygamie, alors on se trompe. Nous ne sommes pas dans la modération, mais dans la disparition de la barbarie.

Ceci étant posé, que dire ou que faire de plus et surtout que faire pour éviter l’expansion des « coranneries » dans votre beau pays .

On ne « lutte » pas contre l’islam, c’est inutile. Cette «lutte » est vouée à l’échec. L’islam est impérialiste et est « condamné » à l’expansion ; ils ne peuvent pas faire autrement.

On n’intègre pas les mahométans dans la « République », c’est un leurre marxiste, la pierre noire n’est pas soluble dans l’eau de la liberté.

Si la France a intégré pendant des siècles et c’est très bien, quantité de populations allogènes, l’échec avec les populations musulmanes est flagrant, irréversible définitif et grave.

Patriotes Français et autres laïques, vous vous trompez de « lutte », votre combat contre « l’islam », sa critique et son implantation est voué à l’échec.

Pourtant en République, la critique de la « religion », comme toutes les convictions, devrait être libre car elle est constitutionnellement garantie et  fait partie de la liberté d'opinion et d'expression seulement l’Islam n’est pas une « religion » ou alors faut m’expliquer ? Une « religion » sans « clergé » ? Elle ne saurait être assimilée au racisme et à la xénophobie » (Extrait du Rapport annuel 2005 du Haut Conseil à l'Intégration).

Oui, mais voila, vous vous bercé d’illusions si vous vous croyez  encore vivre dans une république, vous vous trompez, vous vivez dans une dictature marxiste communiste d’un genre nouveau, la république marxiste culturelle ! D’aucuns parlent de « multiculturelle »

Ce marxisme culturel là,  ne peut  que développer  le vice. Car c'est dans un régime  non socialiste,  c'est-à-dire  un régime  vraiment libéral où personne  n’agresserait  personne, et ou les vicieux ne pourrait l'être qu'à leurs  dépens.  Si, parce que  je n'aime pas  les musulmans, ce qu’a Dieu ne plaise, (En fait personnellement je les adore ! Chez eux !!! Dans leur beaux pays ou ils peuvent êtres polygames, torchonner ou bâcher leurs moukères ; les battrent et les lapider, se prosterner le cul en l’air 5 fois par jour, se faire couper le kiki et le clito des petites filles, exécuter les homos, couper les mains aux voleurs, bouffer de la merde hallal,tourner comme des cons autour d’une tente de bédouins avec une météorite au milieu ( Faut y être allumé !) enfin pratiquer cette magnifique « religion » la RATP Religion d’Amour de Tolérance et de Paix) donc si je ne les aime pas, je refuse d'acheter  les services  du musulman, alors  qu'ils sont  meilleurs  et moins chers, c'est à mes frais à moi  que je pratique  le « racisme islamophobe » ( Oh … ; comme ils disent !) . Le régime non socialiste, la véritable république où la solidarité est régulée  par le consentement, punit toujours  l'irrationalité.  La responsabilité  régule le vice,  comme  tous les autres  aspects  de la société.
 
C'est  en revanche  quand le marxisme vole l'argent et en cela les parasites marxistes sont des experts, que certains  peuvent  forcer les autres  à payer  leurs erreurs  et leurs fautes. Par exemple en faisant payer à la collectivité toute entière la construction de « Mosquées » qui ne profiteront qu’à quelques uns. 

C'est  ainsi que,  dans les administrations publiques Française,  perdure  un racisme  institutionnel  anti-blancs et anti Français qui a remplacé  le racisme  anti-noirs,  et que  les gouvernements européens,  avec l'argent volé  aux contribuables,  ont développé  cette extraordinaire  multiplicité  de racistes  anti-indigènes  que  nous pouvons observer  aujourd'hui.  Ce racisme-là  illustre  aussi que :

Le communisme  développe  spécifiquement  le racisme, parce qu'à la place de l'échange volontaire,  où les différences  enrichissent  l'un et l'autre,  il impose  une relation forcée,  où "le profit de l'un  est la perte de l'autre"  [Montaigne],  la même différence  devenant  de ce fait  le prétexte d'une haine,  donc éventuellement  d'un racisme  qui est  sa création exclusive  et son pur produit.  Et comme il vole  tout le monde  pour redistribuer  à tout le monde ,  il pousse  chacun  à s'enrôler  dans un groupe  de pression,  afin de voler les autres  plutôt que  d'en être volé.  D'un racisme personnel  il fait  un racisme politique,  organisé  voire violent.

Certains  objecteront  que ma conclusion est fallacieuse  parce qu'il existe  des crimes spécifiquement racistes.  

Encore une fois,  ce qu'on s'acharne à faire oublier,  que lorsqu'un crime ou un « délit raciste »  est commis,  ce n'est pas  son racisme  qui en fait  un crime  ou un délit. C'est le crime  qui fait le crime  et non  le motif  du crime,  ni la race  de la victime,  et pas davantage  l'arme du crime.

Si c'est  pour vous voler que je vous assassine, quel soulagement n'est-ce pas  pour vous  que d'apprendre, dans les spasmes  de votre agonie, que le racisme  n'y était pour rien ! 

Si c'est  par haine de classe  ou par hostilité politique  marxiste que les hommes  de l'état  et leurs apparatchiks du MRAP ou du PCF  persécutent une minorité, ce n'en est  pas moins  injuste  que si c'était  par haine de race.  Les 9 millions d’ukrainiens  assassinés  par Staline l'ont-ils  été  en tant que koulaks, en tant  que nationalistes  ou en tant qu'Ukrainiens ?  Un Rothschild n'a-t-il pas  quitté la France  parce qu'il y était  persécuté  [je cite]  comme "riche  sous Mitterrand"  après l'avoir été  comme "Juif  sous Pétain" ? Bon d’accord, c’est un mauvais exemple, Mitterrand, faisait partie du gouvernement de Vichy et était décoré de la Francisque.

Ma conclusion,  donc,  demeure  que le « racisme »  n'est pas  en soi  criminel,  et constitue  un leurre absolu  dans le débat  politique.  Mais à quoi  sert un leurre ?  A  détourner l'attention.  Car  ce qui n'est pas vrai  du racisme  en tant que tel,  à savoir  qu'il serait  criminel  par nature,  l'est  en revanche  du marxisme.   On a vu  qu'il ne peut  en aucun cas  être moins immoral  que le racisme.  Mais il faut  aller plus loin :  le marxisme  consiste  à nier  la propriété naturelle,  en commettant  systématiquement  des agressions  contre les biens  (dans ce qu'on a coutume  d'appeler  le "socialisme")  et contre  les personnes  (dans  ce qu'on  appelle communément  "communisme").  C'est donc  par essence,  par définition,  par  principe  et par vocation  que le socialisme  est criminel.

La seule lutte pour la liberté qui vaille et qui est une petite chance de réussite, c’est la lutte contre votre pire ennemi, le marxisme culturel. Marxisme ou communisme qui implante « l’Islam » par intérêt politique. Le communisme revient à la vie. Il est comme l’hydre du mythe grec, dont les têtes repoussaient après avoir été coupées. Il poursuit les mêmes objectifs que l’Islam, l’hégémonie mondiale. Le marxisme comme l’Islam est un totalitarisme criminel

A-t-on jamais vu un site « islamique », et l’islam est la première « religion » des prisons de France, si ce n’est de France tout court, demander la fermeture de « mes blogs, de Riposte Laïque, François de Souche, j’en passe et des meilleurs comme feu  marcelisme.com ou France Avenir ».

En réaction à vos « attaques » contre la construction de mosquées, qui vous répond ? L’Islam ? Les sectateurs de Mahomet ? Non bien sur, mais les fameux « élus » de la république, communistes, socialistes ou pour le moins convaincus du bien fondé du marxisme culturel avec les idiots utiles des médias, de jeune lobotomisés qui on bu le lait de la très marxiste « éducation nationale ». Les experts auto proclamés de la nébuleuse marxiste culturelle française de type PCF, GISTI, MRAP, CIMADE, SOS Racisme, LICRA, et autres groupuscules ou « mouvements » marxistes culturels, sont vos vrais ennemis qui agissent dans l’ombre en cachant leurs objectifs qui sont sensiblement les mêmes que ceux de l’islam comme je viens de vous le démontrer.

Vous me direz, certes,  mais qu’est ce qui vous permet d’affirmer si catégoriquement que ces associations,ces partis politiques, ces comités et collectifs sont la résurgence de la bête immonde et criminelle communiste et marxiste économique de sinistre mémoire.

Un simple exemple « camarades… ! Non ; pas camarade, c’est comme citoyen, c’est une injure, préférons lui les mots « d’amis patriotes ». Prenons un cas plus ou moins connu, celui de monsieur Gérard Kerforn, le bon « Président » du MRAP des Landes, ex conseillé municipal (SE) de Mont de Marsan, retraité de l’éducation nationale, siégeant au comité central bureau national de la volkpoliceï du MRAP  et surtout comme tous les affidés du PCF, membre d’ATTAC.

Vous me direz, l'incomparable monsieur Kerforn  président du MRAP 40,ancien conseillé municipal de Mont de Marsan est un démocrate, puisqu’il participe à la démocratie. Ce à quoi je vous répondrai ; oui, un démocrate de façade comme une Lepen ou un Alain Krivine qui ont été ou sont eux aussi des élus de la république.

C’est vraiment se tromper où vouloir tromper et avoir de la bouse dans les yeux que de croire qu’un membre d’ATTAC comme cet excellent Gérard Kerforn peut être un « démocrate », ce n’est qu’un marxiste culturel déguisé en « démocrate ». Se pourrait il qu’il soit un nostalgique des goulags ou des asiles psychiatriques (qui n’ont jamais existés) lorsqu’il appelle sur le net à mettre «  hors d’état de nuire » ses « ennemis politiques » ? Je n’ose le croire.

Tout comme son joli faux nez « d’antiraciste » détourne l’attention. Sa “ lutte” pour l’ «antiracisme» et le «métissage» et la promotion du «multiculturalisme» lui permet de détruire l’identité nationale donc la nation, c'est-à-dire un lieu majeur de transmission des valeurs traditionnelles Françaises. Son immigrationnisme a le même objectif, remplacer un peuple rétif mais instruit par un peuple importé peu éduqué donc manipulable.

Il n’est que de se rendre voir le site d’ATTAC dont le très honorable retraité de l’éducation nationale monsieur Kerforn est membre. Ces gens s’appellent des Alter Mondialistes on pourrait croire que chez ces gens là monsieur, on luttent contre la mondialisation, que nenni amis lecteurs, ces gens là “luttent” pour une autre mondialisation, pour l’internationale marxiste. Il l’avouent eux mêmes sur leur site marxiste :”Le mouvement alter mondialiste est la forme nouvelle que prend aujourd’hui l’organisation de la lutte pluriséculaire de l’humanité pour son émancipation, c’est-à-dire le combat contre toutes les formes de domination des êtres humains. ». Le credo marxiste dans toute sa splendeur nidoreuse.

Une de leur “ruse” préférée est l’invention de mots, par exemple “islamophobie » qui est un vocable marxiste culturel, destiné à faire passer la laïcité pour du racisme.

C’est dans ce cadre que s’inscrit l’action contre l’immigration choisie, les marxistes culturels comme ce bon et gentil monsieur Kerforn ne tiennent pas à voir arriver des migrants cultivés, éduqués, donc non manipulables. De plus, les marxistes culturels et autres néos communistes ne souhaitent pas voir arriver des migrants ayant la capacité de s’intégrer rapidement ce qui ne permettrait pas d’exploiter leur ressentiment pour les attirer à soi.

Comme l’islam, le marxisme culturel ou économique ne peut pas être infléchi, il doit être éradiqué. Le marxisme culturel comme économique est une tentative de reconstruction de l’ancien régime marxiste et de ce fait il est vulnérable à la démocratie libérale, ce qui explique d’ailleurs la haine qu’il lui voue. Il peut et doit donc être combattu par la démocratie libérale et en faisant prévaloir des valeurs occidentales valables. Pour autant, l’occident ne doit pas se contenter de se recroqueviller sur ses valeurs pour résister à l’agression, il doit continuer à aller de l’avant et à s’améliorer mais en ayant foi dans sa qualité.

Cela ne suffit pourtant pas, il est indispensable de détruire et de discréditer cette idéologie par le débat et l’argumentation ou toute autre voie de destruction idéologique car, comme toutes les idéologies fausses et puantes de haine, le marxisme culturel ne peut se maintenir que par le mensonge et la falsification.

Il est aussi indispensable de donner une éducation aux citoyens leur permettant de résister à la démagogie et de résoudre eux-mêmes les injustices auxquelles ils pourraient être confrontés. Il est enfin indispensable de démontrer la fausse moralité de cette idéologie en lui opposant une vraie morale.

Il est temps d’opposer une vraie résistance à cette dictature intellectuelle immorale qui brise des hommes, qui les humilie en les contraignant à vivre dans le mensonge et qui salit, donc discrédite les vraies valeurs comme la liberté, la solidarité, la justice, la générosité et le respect de l’autre.

Il faut d’abord détruire la cause de l’implantation de l’Islam en France avant de lutter contre ses effets.

L’islam est obligatoirement une théocratie et un mode d’organisation de la société sous tous ses aspects ; la famille, les rapports sociaux, l’économie, la justice qui inclut aussi la surveillance de la moralité, l’application des différents codes de conduite et le respect des obligations religieuses. Peut-on envisager l’émergence d’un islam nouveau, qui se contentera d’être une religion personnelle respectueuse du choix des individus et des droits humains, qui ne prétendra plus régenter le politique et le social et qui écartera de son programme le projet de convertir de gré ou de force toute l’humanité ? La question mérite d’être posée.

Avant d’aborder le sujet du totalitarisme dans l’islam j’invite le lecteur à méditer les citations suivantes :

« Parmi les religions du monde, le bolchevisme doit être comparé à l’islam plutôt qu’au christianisme ou au bouddhisme. Le christianisme et le bouddhisme sont avant tout des religions personnelles, avec des doctrines mystiques et un amour de la contemplation. L’islam et le bolchevisme ont une finalité pratique, sociale, matérielle dont le seul but est d’étendre leur domination sur le monde. » Bertrand Russell ; Theory and Practice of Bolschevism. Londres, 1921.

«  ...Par un million de ramifications, pénétrant chaque aspect de la vie, toutes avec une signification religieuse, l’islam maintient son emprise sur les musulmans. »  Charles Watson

« La charia vise à contrôler dans leurs moindres détails les activités politiques et sociales des individus, sans aucune restriction la vie des fidèles, et s’assurer que les autres religions ne puissent pas gêner l’islam. » « ...Elle constitue un corpus de devoirs institués par « Dieu » mais contrôlés par une autorité humaine. Sans exception, ces devoirs sont fondés sur l’impénétrable volonté de Dieu et ne s’exercent qu’à son profit. Toutes les obligations que l’on peut imaginer y sont traitées, toutes les obligations imposées aux hommes dans n’importe quelle circonstance et en rapport avec n’importe quelle tierce personne. » Snouck Hurgronje.

« La loi islamique essaye de régenter tous les aspects de la vie d’un individu. Ce dernier n’est pas libre de penser ou de décider par lui-même. Il lui est seulement permis d’accepter les commandements divins tels qu’ils furent infailliblement interprétés par les docteurs de la loi... » « Les droits et l’importance qu’une culture accorde aux femmes et aux minorités est l’indicateur de son niveau de démocratie. La loi islamique refuse tout droit aux femmes et aux minorités religieuses non musulmanes. Les païens et les incroyants ne bénéficient d’aucune mesure de tolérance. Pour eux, c’est la conversion ou la mort. Les juifs et les chrétiens sont traités comme des citoyens de seconde classe... »   Ibn Warraq ; Pourquoi je ne suis pas musulman.

Pour ceux qui l’ignorent, l’islam est présenté par ses adeptes comme un système global (et parfait) voulu par Allah. Ce sont les fameux trois D : Din, Dawla et Donia. Traduction de l’arabe : Religion, État, Monde, ce dernier point comprend la famille, la société, la vie quotidienne, le commerce et l’industrie. L’islam ne se contente pas du statut de religion personnelle, il est obligatoirement une théocratie et un mode d’organisation de la société sous tous ses aspects ; la famille, les rapports sociaux, l’économie, la justice qui inclut aussi la surveillance de la moralité, l’application des différents codes de conduite et le respect des obligations religieuses.

Il est important de traiter du rôle de l’islam dans les états musulmans contemporains, particulièrement de ceux qui possèdent une constitution conforme à l’idéologie islamiste.

La constitution d’un état musulman qui se veut conforme à l’islam est en tous points opposée aux constitutions des états démocratiques. Les oppositions sont évidentes : Dans l’islam le pouvoir temporel et le pouvoir religieux se confondent d’où cette appellation bien connue de « République » islamique et, dans certains états semi-islamisés l’enchâssement de l’islam dans la constitution en tant que religion officielle de l’État et source de la législation. Même dans les états considérés comme « laïcs », la loi stipule que le chef d’État doit obligatoirement être musulman, les portefeuilles des ministères sont détenus presque exclusivement par des musulmans, en particulier les ministères importants.

En Égypte (pays supposément laïc devenu musulman) où l’on compte une minorité chrétienne d’au moins dix millions de personnes, seul le ministère de l’approvisionnement (sujet de doléances favori des égyptiens) est occupé par un copte. Boutros Ghali architecte des accords de paix avec Israël a été déchu de son titre de ministre par intérim des affaires étrangères en 1978 (en pleins pourparlers) et nommé ministre d’état sans portefeuille pour la simple raison qu’il n’est pas musulman, ce qui ne l’a pas découragé de servir son pays et la cause de la paix. Quand il a été nommé Secrétaire Général des Nations Unies par le Conseil de Sécurité de l’ONU, les musulmans n’ont pas caché leur irritation : l’Égypte n’avait-elle pas de musulmans assez qualifiés pour le poste ?

La discrimination religieuse est inscrite en toutes lettres dans le coran, les musulmans ne doivent en aucun cas « obéir » à un supérieur non musulman. Dans les pays musulmans à constitution « laïque » ou semi-islamisée, les postes de responsabilité dans la fonction publique, les institutions d’enseignement, les hôpitaux, les entreprises d’état, la police et l’armée sont réservés aux musulmans par une sorte de règle non écrite mais toute aussi implacable que le coran dont elle suit fidèlement les directives.

Le caractère islamique de l’État signifie l’imposition des règles prescrites par le coran, lesquels s’opposent littéralement à la déclaration universelle des droits de l’homme. Voyons de quoi il en retourne :

Article 1 : « Tous les êtres humains naissent LIBRES et ÉGAUX en dignité et en droits... » Que dit la « loi » coranique ? elle affirme que les femmes sont des êtres inférieurs, elles dépendent de leur tuteur (père, frère ou oncle paternel) ou de leur mari, leur témoignage devant une cour de justice vaut la moitié de celui d’un homme, elle n’ont pas le droit de se déplacer librement, ne peuvent disposer de leur propre personne, ne peuvent épouser un non-musulman, leur part d’héritage vaut la moitié de celle de l’homme, elles peuvent être légalement violentée par leur mari si celui-ci CRAINT ou ANTICIPE leur désobéissance, elle ne peuvent refuser ses avances sexuelles, elle ne peuvent quitter le domicile conjugal même si elles sont violentées, elles peuvent être répudiées à tous moments et n’ont pas en contrepartie le droit de répudier leur mari, elles sont tenues de partager leur mari avec d’autres épouses, elles ont l’obligation de se couvrir le corps au complet et ne rien révéler de leur épiderme.

En ce qui concerne les non-musulmans la loi coranique ne leur reconnaît qu’un statut inférieur comme on l’a déjà démontré, ils ne peuvent témoigner contre un musulman, ne peuvent monter à cheval, ni porter des armes (ils ne peuvent exhiber un statut social égal à celui des musulmans), leur domicile doit être en tout temps ouvert aux musulmans de passage, ils doivent en tout temps céder la place aux musulmans, ils doivent porter des signes distinctifs et se raser la tête, ils doivent payer la taxe tout en s’humiliant.

Article 3 : « Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne  » Que décrète la « loi » coranique ? Les athées n’ont pas droit à la vie, au même titre que les polythéistes, ils sont condamnés à mourir et ne peuvent échapper à la mort qu’en se convertissant à l’islam. La peine de mort est prescrite à ceux parmi les musulmans qui abandonnent leur religion.

Article 4 : « Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude... ; » L’esclavage est reconnu par la « loi « coranique, il connaît actuellement un regain de faveur au Soudan en Mauritanie et dans de nombreux autres pays « Islamiques », les hommes musulmans ont droit à des rapports sexuels avec leurs esclaves femelles même si elles sont mariées.

Article 5 : « Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants. » La «  loi » coranique, prévoit l’amputation des mains pour le vol, la flagellation en cas d’adultère pour les célibataires, la lapidation en cas d’adultère pour les personnes mariées.

Article 6 : « Chacun a le droit à la reconnaissance en tous lieux de sa personnalité juridique. » La notion de personnalité juridique appliquée à l’être humain signifie qu’il est libre de ses choix tout en étant responsable moralement et juridiquement de ses actes. Cette notion n’existe pas dans l’islam pour qui l’être humain est soumis aux règles immuables de la divinité, il est soit observant ou transgresseur de ces règles.

Article 18 : « Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ainsi que la liberté de manifester sa religion seule ou en commun, tant en public qu’en privé... » en Arabie, terre du « prophète », il est interdit aux non musulmans de pratiquer leur religion, de construire des édifices de culte et même de porter des signes religieux distinctifs tels qu’une croix autour du cou, la possession d’une bible et de tout autre livre religieux est formellement interdite. Il est formellement interdit sous peine de mort d’abandonner l’islam. Les ulémas ont le droit d’annuler un mariage sans le consentement du couple du simple fait que l’époux a émis une opinion considérée comme contraire à l’orthodoxie islamique, c’est le cas d’un professeur d’université du Caire que les ulémas d’Al Azhar ont littéralement divorcé de sa femme et qui s’est vu obligé de s’exiler en Europe.

Article 19 : « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. » Ce droit est non seulement inexistant dans les pays islamiques mais la libre expression des opinions est formellement interdite par la loi coranique, la peine de mort est prescrite pour qui est convaincu de blasphème ou de propos désobligeants à l’égard du prophète Mahomet ou des membres de sa famille, et cette loi s’applique même à l’extérieur des territoires musulmans comme on a bien pu le constater dans l’affaire Salman Rushdie, l’assassinat de Hitoshi Igarashi, traducteur des Versets Sataniques, l’assassinat de Théo Van Gogh, l’affaire des caricatures danoises, les propos du Pape Benoît XVI, l’article de Redeker dans le Figaro etc. etc.

En 1994, un jugement rendu par la Haute Cour de Lahore au Pakistan considère que la loi contre le blasphème concerne tous les prophètes de l’islam dont Jésus-Christ. Or en professant que Jésus est le fils de Dieu, alors que le coran enseigne qu’il n’est qu’un des prophètes, les chrétiens pourraient être convaincus de blasphème.

Taha Hussein écrivain égyptien a subi les foudres des ulémas non pour avoir mis en doute la véracité du coran mais pour avoir soutenu la thèse selon laquelle la poésie arabe pré-islamique est d’une rédaction postérieure, soit une centaine d’années après l’hégire. Il est vrai que cette thèse étayée par des arguments de nature historique et linguistique soutient que la langue arabe n’a connue sa forme définitive qu’après les conquêtes islamiques, ce qui s’applique sur la poésie pourrait s’appliquer sur le coran même s’il n’en est pas fait mention dans la thèse d’où la réaction des religieux. Farag Fouda autre écrivain et penseur a été assassiné dans la rue pour avoir critiqué les superstitions islamiques particulièrement celles qui ont rapport avec les djinns supposés hanter la vie des humains ! Naguib Mahfouz a été égorgé en pleine rue à l’âge vénérable de 82 ans par un islamiste (il a miraculeusement survécu) à cause de ses romans qui soulèvent le voile sur les tares de la société égyptienne empêtrée dans ses rigidités et ses croyances.

Et quoi encore ? La loi islamique interdit l’alcool, sa production son commerce et sa consommation sont sévèrement punis par la flagellation. Le prêt avec intérêt est contraire à la loi divine, il est donc interdit obligeant les musulmans à contourner hypocritement le tabou en utilisant des subterfuges comme par exemple, faire mine de vendre un objet au prêteur et le racheter pour un montant plus élevé à l’échéance du prêt, la différence de prix représentant l’intérêt (hallal).

Les jeux de hasard sont interdits parce qu’ils constituent un défi à la volonté divine, Allah étant omniscient, le hasard et la chance n’existent pas, tout est prédestiné, on ne force pas la main à la « providence ». Pour la même raison les assurances sont interdites et comme pour le prêt avec intérêt il devient nécessaire de contourner l’interdit.

Les relativistes et les défenseurs de l’exception religieuse soutiennent que les pays islamiques respectent à leur façon les droits de l’homme. Cependant il n’y a rien qui vient appuyer leurs affirmations, l’examen objectif des faits indique plutôt le contraire : Elizabeth Mayer dans « Islam and Human Rights », 1991 démontre comment, dans divers programmes islamiques des droits de l’homme, des critères spécifiquement islamiques ont été utilisés pour restreindre les libertés garanties par le droit international et comment, pour beaucoup de musulmans, les garanties des conventions internationales sont de loin plus généreuses que les « droits » et les « libertés » qui sont accordées par l’islam. Sa conclusion est que, « dans ces programmes l’islam est considéré comme un moyen de restreindre les libertés individuelles et de maintenir les individus dans un état d’infériorité vis-à-vis l’état et la société. »

Plus loin elle dénonce le fait que ces programmes islamistes n’accordent aucune protection réelle aux minorités religieuses, elle ajoute : « ...En fait, dans la mesure où ces programmes traitent de la question des droits des minorités religieuses, ils semblent retourner aux directives de la charia qui appellent à reléguer les non-musulmans à un statut inférieur s’ils appartenaient au peuple du livre (ahl al Kitab) et à nier tout droit humain à ceux qui n’appartiennent pas aux religions juive et chrétienne. Que ces programmes islamiques des droits de l’homme soient incapables de prendre position contre la peine de mort prescrite par la charia pour l’apostasie signifie que les auteurs ont négligé de confronter les droits universels de l’homme et la charia et de résoudre les principaux problèmes engendrés par l’harmonisation de leurs normes respectives. Leur répugnance à supprimer une règle qui condamne à mort une personne pour une question de foi religieuse révèle le fossé énorme qui existe entre leur mentalité et la conception moderne des droits de l’homme. »

Mayer rapporte que dans des pays tels que le Soudan, le Pakistan ou l’Iran, les programmes officiels d’islamisation se sont traduits par de sérieuses violations des droits des femmes, des non-musulmans, des bahaïs, des ahmadis et de bien d’autres minorités religieuses dont les chrétiens. Dans ces pays, l’islamisation « fit beaucoup pour supprimer les procédures pénales, limiter l’indépendance des magistrats, placer la justice sous le contrôle de l’autorité politique et pour transformer les tribunaux en instruments d’intimidation et de répression. Dans ces trois pays, l’islamisation s’est traduite par une nette dégradation du fonctionnement de la justice." Selon Mayer » « La façon dont les gouvernements de ces pays traitent leurs administrés ne doit pas être inaccessible à l’investigation et à la critique des spécialistes, et il est tout à fait approprié de juger les programmes islamiques à l’aune des standards internationaux qu’ils tentent de remplacer. »

L’islam est-il réformable ? Peut-on envisager l’émergence d’un islam nouveau, qui se contentera d’être une religion personnelle comme les autres respectueuse du choix des individus et des droits humains, qui ne prétendra plus régenter le politique et le social et qui écartera de son programme le projet de convertir de gré ou de force toute l’humanité ?

À mon avis la question mérite d’être posée.

De l’avis de plusieurs spécialistes la réponse est donnée d’avance. Que dire de cette réflexion de Muir : « Une religion (l’islam) réformée qui remettrait en question l’autorité divine sur laquelle ses propres institutions reposent ou qui tenterait par des choix rationnels ou des compromis de mener à bien un changement, cesserait d’être l’islam ! »

Et c’est là toute la différence avec le Christianisme qui en se reformant et en se recentrant sur le message évangélique n’a fait que renouer avec sa vraie nature.

Allez en primes trois définitions sur l’islam.

Islam de France :
Comment ça marche : marquant l'origine, la préposition «de» suggère un Islam originaire de France. La formule implique que l'Islam est chez lui en France, ce qui correspond davantage à une volonté de certains politiques communistes qu'à une réalité historique.

Islam Modéré :
Comment ça marche : «Islam Modéré» est destiné à faire croire qu'il existe un Islam compatible avec la « démocratie. »

La réalité sur l' «Islam Modéré» : Il n'existe aucune démocratie Islamique.

On notera : On n'essaie même pas de faire croire à un «Islam Pacifique» mais à un «Islam Modéré». Modérément quoi, au fait ?


Islamophobe : « Je suis un peu islamophobe, ça ne me gêne pas de le dire. J’ai le droit de penser que l’Islam — je dis bien l’Islam je ne parle même pas des islamistes — apporte une certaine débilité qui en effet me rend islamophobe » Claude Imbert, membre du Haut Conseil à l’Intégration et fondateur du magazine Le Point sur LCI (24.10.03).

« Si être islamophobe, c’est d’avoir peur, alors je suis islamophobe, comme beaucoup de Français. » Véronique Genest 09/2012.

 
Michel Alain Labet de Bornay.

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2 commentaires:

  1. Sale mec à tes loukoums,

    Labête immonde et chien d’infidèle sioniste, Après lecture et l'allah n’ Alise attentive de ton article harâm et non cor Annick ta mère la pute par notre équipe de mahomerdation celui ci a été déclaré sincèrement harâm par Mohamerdatus notre logiciel qu’Oran nique sa mère , Mahométan et marxiste, celui-ci mérite d’ être retiré de la publication, âme doux lilas, en raison de sa non Allahité vis-à-vis de la Charia de Francarabia au Boukaquistan Le motif de retrait de votre article harâm serait: Autre motif non précisé. En fait ton article sent le cochon ! Et pi si la charia si tout. Si coum sa là, ti ferme ton gueule counard ou ak barre toi spice di con de ta race!
    Nos mahomerdateurs islamomarxistes sont tenus à une stricte obligation de respect de la pensée Mao et de Staline les joyeux duettistes de l’humour de bon goût et des corranerries marxistes. In chat là ! La neutralité islamique de leur Allah Lise est d’ailleurs régulièrement vérifiée par un mahométans certifié con-forme et sale afiste ainsi qu’ayatollah du parti antisioniste de Dieudonné et par les mollahs et commissaires politiques de la volkpoliceï, du MRAP du PCF, D’EELV, du PIR et du Front de Gauche.

    A tes look homme ; sale mec et bijour à Nadine Belbec, Nadine Aumoque et Oualdique

    Mahomerdatus ( PSL).

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  2. Henriette du Mans15 octobre 2012 à 07:15

    Traduire « Allah » par « Dieu » est une tromperie ! Les Romains ne si trompaient pas, lorsqu’ils affirmaient : Traduire c’est Trahir ! C’est comme de traduire JVH, le Jéhova hébreux par « Dieu ».
    Allah est un dérivé de El, le fameux : « je suis celui qui est » de la Bible, adoré au même titre que YVH dans le temple de Jérusalem, par nombres de tribus sémites, avec leurs prêtres spécifiques formant la tradition Eloïste de la bible en opposition à la tradition Jéhoviste. Les deux « Religions Hébraïque et Musulmane ne sont nullement des religions monothéiste comme le politiquement correct voudrais vous le faire avaler, mais des « religions » de peuples sémites monolâtres.

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