samedi 5 juillet 2014

Je prends ma retraite ce jour où Rachida a assasssiné ma jeune collègue

 
SOURCE : Je prends ma retraite ce jour où Rachida a assassiné ma jeune collègue



Aujourd’hui, 4 juillet 2014, Rachida, contrariée, a pris un couteau de cuisine, a planté la lame et a tué une institutrice dans une école de France.

Aujourd’hui c’était mon dernier jour d’école car j’ai pris ma retraite et ce dernier jour sera à jamais marqué par cette ignominie. J’ai tant de peine pour cette jeune femme, ses enfants, sa famille et j’ai tant de rage et de haine
contre tous ceux qui, sans relâche, avec détermination et volonté de destruction, nous imposent des centaines de milliers de Rachida, de Mohamed ou de Mouloud, tous bien sûr fragiles, innocents, déséquilibrés et irresponsables.
Vas-y Rachida frappe, perce, vas-y Momo égorge, viole, vole, détruit, massacre,allez Mouloud brûle, bousille tout sans bien sûr oublier le butin traditionnel, le pillage culturel, la jazya quotidienne, allez-y mais n’oubliez pas de geindre, de pleurer, de vous poser en éternelles victimes car les traîtres qui nous gouvernent et leurs affidés journaleux vous trouveront toutes les excuses clés en main fournies par leur catalogue idéologique. Et oui, ne craigniez rien, vous êtes victimes de la société, on vous aura poussé à bout, vous êtes si fragiles, si discriminés, si stigmatisés! Tout d’un coup, pour une contrariété, un affront peut-être, une vétille, vous basculez, mais ce n’est pas de votre faute, vous êtes une « maman », un brave fils à son papa. Tu auras tous les bienfaits de la médecine occidentale Rachida, les journaleux reconnue « sans discernement » et les meilleurs psychiatres sont déjà à ton chevet! Ouf, nous voilà rassurés, la « maman » a été bien prise en charge, le protocole a été respecté avec célérité et compétence.

Soyez heureux, à partir de maintenant vous allez payer pour les soins de Rachida, les médicaments de Rachida, les médecins de Rachida, les psys de Rachida. Vous allez payer pour sa chambre d’hôpital, ses draps bien blancs, ses repas qu’on aura sans doute la délicatesse de lui fournir halal, la prise en
charge de ses gosses par l’ASE. Vous allez payer pour son avocat commis d’office, pour le magistrat bienveillant qui ne l’épinglera jamais au mur des cons, vous allez payer pour toute sa ruineuse prise en charge. Et vous êtes sommés de payer avec le sourire.

Et vous avez juste le droit d’être bouleversé par l’émotion dégoulinante dans une grande communion cathodique, à la rigueur de vous prétendre sidéré en un tweet convenu, c’est mode, et sans doute d’organiser une marche blanche. Et
le ministre de l’éducation nationale, très professionnel et grotesque, vous assure que « le projet éducatif fonctionnait, que la mixité fonctionnait »!

Et puis le foot ouvre le journal de 20 heures. Et puis quelque part sur l’acier du frigo une jeune femme de 34 ans git livide, exangue, massacrée par l’impéritie et la forfaiture de ceux qui nous gouvernent et, accessoirement par la lame de Rachida.

Danielle Moulins



7 commentaires:

  1. Vu sur Boulevard Voltaire : Abominable, absurde assassinat de l’institutrice du Tarn. Acte inqualifiable. Chacun en conviendra. Derrière les faits odieux, deux phénomènes se rappellent au bon sens commun et aux objectives observations, la banalisation de l’homicide et bien sûr, désolé d’y revenir, l’immigration de masse et la complicité médiatico-politique qui l’accompagne…

    Jamais depuis des siècles, on a autant assassiné pour rien. Pas une semaine sans un meurtre gratuit. En France, on assassine pour une cigarette, parfois pour un regard. À Albi, la mère tueuse aurait dit à l’enseignante : « Tu as mal parlé à mon enfant ! » avant de la poignarder.

    Absence de morale. Qu’a-t-on fait du sixième commandement ? Tu ne tueras point. La devise est trop chrétienne pour qu’on s’en rappelle dans une société décérébrée, déracinée et déculturée. De l’avortement banalisé à l’euthanasie pour tous en passant par le meurtre impuni, ou presque. La culture de mort règne à tous les étages.

    Après le meurtre de l’enseignante, les réactions officielles furent terribles de médiocrité. Benoît Hamon, ministre de l’Éducation nationale, s’est perdu près d’un quart d’heure dans une déclaration d’une exceptionnelle nullité, se réfugiant derrière les mots, des mots vidés de leur sens à force d’en user et d’en abuser, école de la République, valeurs de la République, éducation de la République…

    Que pouvait-on espérer de plus de la part de ceux-là mêmes qui, d’une façon ou d’une autre, se partagent depuis quatre décennies la responsabilité de la terrible situation du pays. L’embarras grandit lorsqu’il s’agit d’évoquer l’auteur de l’assassinat d’Albi. Une déséquilibrée nous dit-on, comme si tuer une institutrice pouvait être un acte intelligent ! L’expertise a conclu à l’existence de « troubles mentaux sévères sous forme d’idées délirantes de persécution ».

    La tueuse au poignard est alors espagnole. La France s’émeut, l’information devient difficile à contenir. Pour finir, la mère meurtrière est marocaine et connue des services. Halte au feu, n’en dites pas plus, les Français vont encore mal voter ! Qu’importe qu’elle se prénomme Rachida, rebaptisez-la Joséphine ! On connaît le procédé…

    En dernier recours, le gouvernement va réagir, peut-être prendra-t-il des mesures pour vérifier qui entre chez nous pour scolariser ses enfants, ou alors mettra-t-il les « déséquilibrés » hors d’état de nuire ? Peut-être le gouvernement a-t-il entendu la souffrance et les vœux des Français ?

    Pensez-vous, la seule réponse dans un pays aux ordres des dogmes du siècle dernier, aura été de régulariser une famille de sans-papiers dont les cinq enfants étaient scolarisés dans l’école d’Albi, en hommage à la victime. Les bras m’en tombent…

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  2. Sur RTL: 09/07/14

    Le gouvernement a décidé de délivrer des papiers à une famille béninoise défendue par l’institutrice d’Albi qui a été poignardée à mort vendredi 4 juillet.

    Le meurtre de l’institutrice d’Albi a-t-il joué dans la régularisation d’une famille béninoise ? L’enseignante, Fabienne Terral-Calmès, se battait depuis trois ans pour que cette famille, dont les cinq enfants sont scolarisés dans son école, obtienne des papiers. C’est désormais chose faite ; Benoît Hamon, le ministre de l’Éducation, l’a confirmé à RTL.

    Pourtant, quelques jours plus tôt, cette famille s’était vu signifier une obligation de quitter le territoire. L’État est revenu sur cette décision en raison de l’intervention des parents de l’institutrice poignardée. Ils ont demandé à la préfète du Tarn de donner gain de cause à l’engagement de leur fille.

    « Je trouve formidable, remarquable que des parents qui viennent de perdre leur fille dans des conditions atroces, la première chose à laquelle ils pensent quand ils rencontrent madame la préfète c’est de dire : ‘Faites quelque chose pour cette famille en détresse’ », s’exclame Dominique, qui se battait aux côtés de Fabienne pour la régularisation de la famille.

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  3. Est-ce qu'une institutrice de 65 ans rédige vraiment ses lettres ainsi ?
    J'ai du mal à le croire

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    1. Oui vous avez raison c'est un "pamphlet" cette lettre, mais tellement vraie ! Jésus lui aussi s'exprimait en paraboles. Et puis bon, vous voyez quelqu'un aujourd'hui s'exclamer comme un raciste qu'il faut condamner: " Mais cette Rachida, c'est encore une enculée de putain de boucaques de merde venue bouffer le pain des Français et en plus crever nos instits" Non non ce serait très vilain et condamnable devant l'ajustice de s'pays des doigts de l'ôm dans le centre d'Union Libéral, alors on emploie des métaphores ou catachrèses, C'est tout de suite bien mieux.
      Beaucoup moins drôle aussi .

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  4. Cette institutrice se battait pour la régularisation d'une famille gambienne, elle était tolérante et avait des valeurs humanistes.
    La récupération de sa dramatique histoire par les organisations racistes l'aurait très certainement choquée et indignée, quant à sa famille qui voit ses photos largement publiées et diffusées par ces mêmes organisations, imaginons ce qu'elle peut ressentir.Cette lettre prétendument écrite par une de ses collègues est un faux écrit et diffusé par les sites d'extrême droite.

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