lundi 1 décembre 2014

Monsieur MRAP Landes et Exibit B.




Monsieur MRAPlandes est mal à l’aise avec le communautarisme ! L'article ici. Après avoir voulu pendant des années faire des immigrés et des personnes de couleur des défavorisés de substitution faute de prolétaires, le mouvement marxiste culturel qui distille de la haine des juifs et qui a puissamment contribuer à créer le communautarisme se trouve aujourd’hui confronté à un problème très grave qui n’ira qu’en s’amplifiant le RACISME anti blanc que ce « monsieur » Mraplandes (Un pseudonyme de courageux stalinien) refuse depuis longtemps de qualifier de RACISME ! Voir ici.
 En 2010 monsieur MRAPlandes avait inventé le mot de racisme « cordial » pour qualifier le racisme anti BLANCS ou Albophobie.
Le courageux « camarade » anonyme rédacteur des « articles » nauséabonds d’un mouvement qui distille de la haine des juifs, emploie souvent en guise d’albophobie les termes abscons et pédants d’ethno-différencialisme, différencialisme ou d’ethno pluralisme, appelé aussi néo-racisme ou racisme différentialiste.
Notre auteur mystérieux, mais néanmoins matamore est en colère, son « article » sent le « caca » nerveux. La crise cardiaque  de notre « humoriste » est pour bientôt, dommage, moi J'adore le MRAP.

Pensez donc ; Au sujet de « l’affaire » Exibit B, plusieurs militants du comité local du MRAP de Saint Denis se sont retrouvés avec d’autres, devant le théâtre Gérard Philippe pour tenter d’amorcer un « dialogue » avec les anti Exibit B ; Peine perdue, plusieurs tentatives de « discussions » ont viré à l’insulte, l’injure et même des violences ... C’est ainsi qu’une des figures « des luttes des sans » ( des sans quoi ?) à Saint Denis et adhérente du MRAP, âgée de plus de 70 ans, s’est retrouvée à terre après qu’une manifestante l’ai délibérément poussée après lui avoir craché au visage. Choquée, elle a été transportée à l’hôpital le plus proche par les pompiers.
Ce n’est pas la première fois que des « militants » du MRAP s’en prennent plein la chetron par des éléments notoirement racistes Voir ici où la Fédération du MRAP des Landes apportait son soutien à la présidente du MRAP de Marseille agressée par un membre des indigènes de la république.

Il y en a qui n'ont vraiment aucune reconnaissance !

Il y a trois ans dans un article intitulé : Voir ici quand le MRAP surf sur la vague Bleu Marine j’écrivais : « Depuis le départ (Botté en touche) de monsieur Aounit, ces « Indigènes » racistes et antisémites notoires dérangent le MRAP, nous auront encore l’occasion de voir de belles bastons dans l’avenir !

Et puis ! Ah là là ; toujours la paille dans l’œil du voisin ! Les fameuses techniques de l'intox et de la manipulation dispensées dans toutes les bonnes écoles de journalisme de la pensée dominante marxiste et stalinienne ressortent nettement dans cette affaire.

Et puis toujours ce masque sur la figure, on se cache, qui est le rédacteur de ce communiqué ? Mystère ! Qui est l’agressé ? Mystère ! On nous dit le président du MRAP du 9/4 a été agressé ? Il n’a pas de nom ce monsieur ? »



Amis "de couleurs" méfiez vous du MRAP !
Comme aujourd’hui, on sait qu’une adhérente du MRAP âgée et sans nom a été injuriée, insultée, blessée par une « manifestante » se réclamant de la représentativité du « peuple noir ».
C’est donc une agression RACISTE, qui plus est notoirement antiblanc, point barre !
Alors pourquoi de ces pudeurs de vierge effarouchée ?
Eh bien, par ce que la question que tout le monde doit se poser aujourd’hui la seule question importante en 2014 c’est : « Qui sont ces antisémites et autres albophobes qui éructent des mort au juifs ou des mort aux blancs dans les rues de France ? ».
Une réponse est proposée Voir ici, mais elle dérange le MRAP mouvement antisémite et raciste marxiste culturel.
Il est aujourd’hui évident que le déferlement de haine antisémite des manifestations dites « Pro Palestiniennes» et qui ne sont qu’antisémites, albophobes et anti blancs de souche (de nombreux «mort aux blancs» éructés par des hommes de race noire ont émaillés les manifestation de haine des juifs en Juillet 2014) et à Mont de Marsan en 2006 le MRAP des Landes appelait à faire de grands « barbecues » de drapeaux Israéliens !



Et cela à cause du summum de l’ignominie, de la falsification permanente, du continuel mensonge marxiste culturel antisémite qui appelait à la haine et à manifester dans toute la France: le Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples dit le MRAP qui distille de la haine des juifs et refuse de condamner le racisme antiblanc ou l’albophobie.
Dés Janvier 2014 j’avais demandé la dissolution de ce « mouvement » raciste et antisémite : Voir ici.

Le MRAP (Mouvement pour le Remplacement Accéléré du Peuple !) est depuis devenu un véritable Ku Klux Klan de l’antiracisme.


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6 commentaires:

  1. Réponses
    1. Une vidéo qui fait suite allah propagande du MRAP Landes et allah campagne BDS: Tuer les juifs

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    2. Monsieur "de" Bornay vous êtes mauvaise langue, le MRAP lutte contre les indigènes de la raie publique : La preuve:RACISME ANTIBLANC
      mercredi 7 mai 2008
      par mraplandes
      popularité : 14%
      Racisme antiblanc

      Le communautarisme mène au racisme. Chez les "indigènes de la république, un discours ne s’apprécie plus par rapport à son contenu, mais par rapport à la couleur de peau de celui qui le formule.

      Sur le site national du MRAP, le collège de la présidence a écrit : "Ce que le MRAP a dit, c’est que l’appel des Indigènes était un cri qu’il fallait entendre"

      C’est au moins un point sur lequel nous serons d’accord, il faut entendre ce cri !

      Mais Il faut l’entendre pour mieux le faire taire, comme il faut faire taire tous les cris de haine, de Le Pen à de Villiers en faisant donc un détour par le site internet des indigènes !.

      Nous invitons nos lecteurs à écouter un instant le cri antiblanc : http://www.indigenes-republique.org/spip.php ?article1416

      Ce cri qui diabolise les "blancs", qui divise la société entre blancs et non- blancs, (entre "souchiens blancs" et non-blancs comme le formule sur une chaîne télé la représentante du mouvement des indigènes), est un cri qui alimente le terreau de la haine raciste.

      Il n’y a aucune différence entre le discours qui transforme par nature, les blancs en colonialistes et les non-blancs en colonisés, et les discours qui ethnicisent la délinquance.

      Ces gens s’inscrivent dans un déterminisme stigmatisant.

      Comme s’il n’existait pas chez les non-blancs aussi des colonisateurs, des esclavagistes, des réactionnaires.

      Ce texte qui résume la divergence d’idée à un combat entre blancs et non-blancs est donc de la même nature que le discours de Le Pen.

      C’est le rapport entre la photo papier et son négatif, mais il s’agit de fait de la même photographie de haine.

      Les uns sont racistes anti-noir et anti-maghrébin tandis que le texte cité en référence est antiblanc.

      Alors si nous entendons le cri des indigènes avec la direction nationale du MRAP, nous n’en tirons pas les mêmes conclusions.

      La fédération des Landes considère que le texte cité, en stigmatisant les blancs, favorise le racisme.

      Il serait souhaitable que la direction nationale du MRAP tire les mêmes conclusions, pour rester fidèle à sa mission.

      D’autant plus que les indigènes arborent des portraits bien particuliers dans leurs manifs. voir ce barbu

      Tout résistant à l’impérialisme devient en effet un héros des indigènes, peu importe que ce soit un totalitaire, un fanatique, qu’il ait du sang sur les mains, qu’il défende un ordre religieux plus proche de Torquemada que de la théologie de la libération, il devient ami de la famille des indigènes. C’est ansi que sur cette photo de la dernière manif des indigènes, deux photos de Cheick Yassine côtoient celle de Mandela, pauvre Mandela !

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    3. Sur le Web : voir l’article des échos
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      L’antiracisme sélectif !
      mercredi 6 février

      L’antiracisme sélectif !

      Les blancs peuvent être calomniés en tant que groupe humain !

      Le MRAP national qui s’illustre parfois dans des plaintes hasardeuses, n’est guère pressé pour réagir quand le mouvement des indigènes de la république publie des textes, dont certains passages sont en contradiction totale avec les fondamentaux de la lutte antiraciste voire avec les lois en vigueur.

      Il est vrai que plusieurs membres de la direction nationale du MRAP étaient signataires de l’appel des indigènes et il y a peu encore, le siège national du MRAP accueillait l’un des fondateurs du mouvement , Pierre Tévanian, pour y présenter l’un de ses derniers ouvrages.

      Sur le site des indigènes lPierre Tévanian écrit : « les Blancs sont malades d’une maladie qui s’appelle le racisme et qui les affecte tous »

      Devant l’énormité de l’accusation porté contre un groupe humain en fonction de sa couleur de peau, le Président de la fédération des Landes en a informé le MRAP national.

      A ce jour, toujours pas de réaction de ce dernier !

      Conclusion : Un antiracisme sélectif, complaisant pour les indigènes, même dans leurs dérapages !

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  2. Le 9 décembre 2014 monsieur ou madame mrap40 l’entité de la haine marxiste recopie sur son site la tribune de Pierre Mairat : co-président du MRAP (Mouvement qui distille de la haine des juifs) parue dans le journal de la nébuleuse de la haine rouge l’humanité du 8/12/2014
    Gardons-nous de communautariser les mémoires" par PIERRE MAIRAT Coprésident du MRAP
    La pièce de Brett Bailey, Exhibit B, suscite une controverse peu commune. Pour son auteur, comme pour plusieurs associations antiracistes et beaucoup de spectateurs qui ont assisté à cette pièce, elle peut constituer, fût-ce d’une manière crue et dérangeante, un moyen efficace de déconstruire les clichés les plus éculés du racisme. Pour d’autres, tout au contraire, elle représente un événement raciste et ils pétitionnent pour «  déprogrammer le zoo humain  ».
    Si l’on ne peut s’affranchir, s’agissant d’un sentiment, de l’humiliation et de l’atteinte à la dignité humaine, que certains ont ressenties, le Mrap, associé en la circonstance à la LDH et à la Licra, a rappelé avec force que « l’art est libre de contribuer, (…) avec toute la subjectivité de l’artiste (…), à lutter contre le racisme ».
    En revanche, beaucoup plus contestable est la motivation exprimée par les pétitionnaires au soutien de leur demande : « Il est déjà surprenant que, dans les quartiers mixtes au nord de Paris, on invite la population multiethnique à venir apprendre sur le racisme d’un Sud-Africain blanc. »
    La racialisation du combat antiraciste qui nous est ainsi proposée, où seuls les Noirs seraient légitimes à parler du racisme anti-Noirs, les juifs de l’antisémitisme et les Arabo-musulmans de l’islamophobie, participe de la redoutable communautarisation des mémoires.
    Redoutable parce que l’extrême droite se nourrit de l’inéluctable concurrence qui découle de ces mémoires fragmentées. Redoutable encore car, à l’instar de ceux qui assignent les seuls membres d’un «  corps  » ethnique noir à traiter de l’esclavage, du racisme anti-Noirs, répondront en écho ceux qui, comme Gérard Longuet, refusaient, au nom d’un corps «  traditionnel  » français, de nommer une personne d’origine arabe à la tête de la Halde.
    L’écrivain antillais Frantz Fanon se plaisait à citer les paroles de son professeur de philosophie : « Quand vous entendez dire du mal des juifs, dressez l’oreille, on parle de vous. » Exhibit B associe l’horreur des camps de concentration allemands en Afrique de l’Ouest, où se pratiquaient des expérimentations sur les Noirs, avec l’horreur des camps de concentration nazis, où ont été exterminés les juifs.
    La pièce de Brett Bailey est bien plus qu’une exposition, elle est une pièce de théâtre dérangeante qui bouscule notre société dans toute sa diversité. Elle offre en partage un indispensable travail de mémoire qui interdit d’assigner les individus, qu’ils soient noirs, blancs, arabes ou juifs, à leur identité. Mais, surtout, Exhibit B inscrit le présent dans le passé.
    Les sangles qui attachent au siège de l’avion le sans-papier que l’on voit dans la pièce sont faites de la même négation de la personne humaine que les chaînes qui entravaient l’esclave.
    A suivre.

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    1. Suite de l’article du 9 décembre 2014 de monsieur ou madame mrap40 ou en tout cas de l’entité de la haine marxiste qui recopie sur son site la tribune de Pierre Mairat : co-président du MRAP (Mouvement qui distille de la haine des juifs) parue dans le « journal » subventionné avec l’argent des contribuables partie de la nébuleuse de la haine rouge l’humanité du 8/12/2014

      Les détracteurs de la pièce affirment d’une manière péremptoire que « (…) l’exposition est une insulte à ceux et celles (dont une bonne partie des habitants des quartiers où est programmée l’exposition) qui se trouvent bien obligé(e)s de comprendre le racisme parce qu’ils (elles) le subissent quotidiennement ».
      Tout au contraire ! Elle peut constituer un formidable outil pédagogique pour des jeunes issus de toutes origines, au premier rang desquels ceux qui vivent au quotidien des situations de discrimination et qui n’arrivent pas, bien souvent, à mettre des mots sur les agressions racistes dont ils sont victimes, à projeter des moyens d’action pour les combattre.
      Enfin, le collectif contre Exhibit B ramène au rang de « figurants (…) qui restent silencieux et immobiles » les acteurs noirs qui, pourtant, ont un rôle difficile et enrichissant si l’on tient compte du point de vue qu’ils expriment et que le spectateur peut lire avant de quitter le spectacle.
      Loin d’être enfermés dans un statut de victimes, les acteurs noirs poursuivent de leur expression les spectateurs. Plus encore, c’est toute une société qu’ils questionnent de leurs regards accusateurs. Les spectateurs présents mais aussi les absents, qu’ils interpellent comme ceux qui se dérobent à leurs regards et qui appellent à censurer une pièce au motif qu’elle est produite par un Blanc.
      Ils nous disent : que faites-vous pour transmettre cette mémoire qui appartient à notre humanité ? Où étiez-vous quand des coiffeuses d’origine, africaine et asiatique, il y a quelques semaines de cela, demandaient de l’aide pour lutter contre le système mafieux tenu d’une main de fer par de nouveaux négriers, toutes origines confondues, qui organisaient la traite des êtres humains en plein Paris, au 57, boulevard de Strasbourg ? Gardons-nous de communautariser les mémoires, ce qui conduit inéluctablement à les mettre en concurrence et à hiérarchiser les luttes antiracistes.
      C’est parce que le racisme est un et indivisible que la lutte antiraciste doit être, elle aussi, une et indivisible. C’est à ce prix que nous contribuerons à une émancipation collective.

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