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Retours aux liens de l’Association des Marocains en France.
Une mine d’or marxiste culturelle.
Mais avant causons un peu. Vous connaissez l’importance
du prolétaire chez le marxiste classique ou culturel. Le migrant aujourd’hui en
tient lieu.
Source : De héros, d'idole, de substitut du Christ pour assurer le salut de
l'homme dans l'histoire, il devint le Beauf, il devint Dupont-Lajoie, il devint
le sujet méprisé du fameux populisme.
Les mots prolétaires et prolétariat en sont venus à passer de vie à trépas aussi pour une autre raison: les prolétaires, en réalité, il faut comprendre: les prolétaires autochtones, européens qui n'étaient pas au rendez-vous. Dans les années 70 une formule devenue cliché méprisant s'est répandue chez les fameux «intellectuels de gauche»: «le peuple manque». Il n'est jamais au rendez-vous que la théorie marxiste a fixé pour lui. En mai 68, puis dans les années 70, les prolétaires, ces ingrats, ont manqué. On - c'est-à-dire les battus de mai - a commencé dès lors à le haïr, le peuple! On a commencé dès lors à le désaimer, le prolétaire. De héros, d'idole, de substitut du Christ pour assurer le salut de l'homme dans l'histoire, il devint le Beauf, il devint Dupont-Lajoie, il devint le sujet méprisé du populisme. La formule des bourgeois apeurés par les partageux d'autrefois était reprise, implicitement, par ceux qui allaient donner naissance au nouvel antiracisme: «salauds de pauvres!» Salauds de prolétaires au gros rouge qui tache! Salauds de souchiens pue-la-sueur! Ils n'ont pas voulu de la révolution, ces Dupont-Ducon! Eh bien nous nous tournerons vers d'autres! Pourquoi ne pas le remplacer, cet ingrat prolétaire autochtone, par de nouveaux levains de l'histoire? Pourquoi pas par le travailleur immigré ? Par le sans-papier ? Par le jeune de banlieue ? Pourquoi pas par le Rom ? L'échec de mai 68 a causé la péjoration du peuple. Ainsi, l'immigré devint le mime raté du prolétaire. Il en est perçu aussi comme la punition: la promotion de l'immigré est la punition infligée au sale prolo pour avoir manqué à son devoir historique !
Pour assurer le salut de l'humanité, il y eut, chez Saint-Simon, les savants et les industriels ; les travailleurs et les femmes, chez Auguste Comte ; les prolétaires, chez Marx ; les étudiants, chez Marcuse. Nous rencontrons dans la gauche actuelle les immigrés comme étant la nouvelle figure du groupe chargé d'opérer le basculement de l'histoire. Auprès de ce fantôme de la gauche qu'est la gauche morale et sociétale contemporaine, l'immigré, le sans-papiers, le Rom, endossent le double rôle d'ersatz et de Père Fouettard du prolétaire. Les Marocains en France en font partie.
Les mots prolétaires et prolétariat en sont venus à passer de vie à trépas aussi pour une autre raison: les prolétaires, en réalité, il faut comprendre: les prolétaires autochtones, européens qui n'étaient pas au rendez-vous. Dans les années 70 une formule devenue cliché méprisant s'est répandue chez les fameux «intellectuels de gauche»: «le peuple manque». Il n'est jamais au rendez-vous que la théorie marxiste a fixé pour lui. En mai 68, puis dans les années 70, les prolétaires, ces ingrats, ont manqué. On - c'est-à-dire les battus de mai - a commencé dès lors à le haïr, le peuple! On a commencé dès lors à le désaimer, le prolétaire. De héros, d'idole, de substitut du Christ pour assurer le salut de l'homme dans l'histoire, il devint le Beauf, il devint Dupont-Lajoie, il devint le sujet méprisé du populisme. La formule des bourgeois apeurés par les partageux d'autrefois était reprise, implicitement, par ceux qui allaient donner naissance au nouvel antiracisme: «salauds de pauvres!» Salauds de prolétaires au gros rouge qui tache! Salauds de souchiens pue-la-sueur! Ils n'ont pas voulu de la révolution, ces Dupont-Ducon! Eh bien nous nous tournerons vers d'autres! Pourquoi ne pas le remplacer, cet ingrat prolétaire autochtone, par de nouveaux levains de l'histoire? Pourquoi pas par le travailleur immigré ? Par le sans-papier ? Par le jeune de banlieue ? Pourquoi pas par le Rom ? L'échec de mai 68 a causé la péjoration du peuple. Ainsi, l'immigré devint le mime raté du prolétaire. Il en est perçu aussi comme la punition: la promotion de l'immigré est la punition infligée au sale prolo pour avoir manqué à son devoir historique !
Pour assurer le salut de l'humanité, il y eut, chez Saint-Simon, les savants et les industriels ; les travailleurs et les femmes, chez Auguste Comte ; les prolétaires, chez Marx ; les étudiants, chez Marcuse. Nous rencontrons dans la gauche actuelle les immigrés comme étant la nouvelle figure du groupe chargé d'opérer le basculement de l'histoire. Auprès de ce fantôme de la gauche qu'est la gauche morale et sociétale contemporaine, l'immigré, le sans-papiers, le Rom, endossent le double rôle d'ersatz et de Père Fouettard du prolétaire. Les Marocains en France en font partie.
Monsieur Frédéric Durand dans l’ex
journal communiste La Marseillaise dont il est directeur exécutif, aura une assez bonne analyse de la
situation en écrivant : «Par
définition la question des migrations est à analyser dans sa globalité. Parmi
les intellectuels qui se penchent sur la question, le philosophe Alain Badiou (connu
politiquement pour son engagement maoïste, ainsi que pour sa défense du
communisme et des travailleurs étrangers en situation irrégulière) décrit un monde au sein duquel 10% de la
population possèdent 86% des richesses. 40% (ceux que l’on peut nommer les
classes moyennes à l’échelle mondiale) se partagent les 14% restant, tandis que
la moitié de l’humanité ne possède rien. «Dans le monde aujourd’hui, il y a un
peu plus de deux milliards de gens dont on peut dire qu’ils sont comptés pour
rien (...) ce qui veut dire qu’au regard du développement structurel du monde,
ils ne sont rien...» (Ce n’est pas faux). Un «prolétariat nomade», des
centaines de milliers de familles qui errent dans le monde à la recherche de
nourriture et d’un toit. Ainsi explique-t-il les déplacements massifs de
populations qui pourraient aller croissants. Et qui rencontrent l’hostilité
d’une classe moyenne occidentale inquiète à l’idée de se voir déclassée. «La
peur constante de se voir balancer, à partir des 14% qu’on partage, du côté des
50% qui n’ont rien », explique Badiou. «Il n’est pas impossible, vue la
rapacité grandissante de l’oligarchie et les conflits guerriers coûteux qu’elle
est contrainte de mener pour défendre ses zones de profit, qu’on ne puisse plus
donner à la classe moyenne ses actuels 14% des ressources disponibles... ».
Repli des classes populaires également, angoissées à l’idée de se voir
subtiliser leur travail ou la possibilité d’en trouver un, par des migrants et
qui se réfugieraient dans un vote populiste et anti-immigration». De bien
belles constatations venant de la pire des idéologies criminelles contre
l’humanité d’un maoïste. Mais bon, les pires islamophobes dans le monde sont
les Chinois communistes maoïstes, voir en cliquant ici les camps de concentration et de
rééducation pour les musulmans en Chine Populaire. Qu’en pense notre brave «philosophe» maoïste Alain Badiou ?
ASDHOM (Lien de
l’Association des Marocains en France).
Association
de Défense des Droits de l'Homme au Maroc, un pays musulman ! Dur
dur !
ATF (Tunisiens) (Lien
de l’Association des Marocains en France) Encore une association
de marxistes antisémites copains comme cochon avec les juifs érèv rav communistes
de l’UJPF qui éructent : «Nous
sommes juifs et nous sommes antisionistes». Bof, des antisémites comme les
autres !
ATMF (Lien de l’Association
des Marocains en France).
Comme
d’habitude c’est en analysant le langage et les mots employés par ces gens
marxistes culturels que nous découvrons comme chaque fois leur véritable
objectif.
L’ATMF
(Association des Travailleurs Maghrébins de France) est une association qui
puise ses racines dans les mouvements dits de libération nationale marxistes
léninistes, dans les mouvements progressistes (comprendre communistes) et de
résistance (au grand capital), du mouvement ouvrier (communiste), et dans les
non moins fameuses luttes de l’immigration, et des éternels «droits humains» au Maghreb. L’ATMF est
passée par des phases historiques, de l’AMF association des marocains en
France, créée par Mehdi Benbarka en 1961, puis l’AMF coordination des sections
en 1975. L’ATMF association des travailleurs marocains en France, a déposé ses
statuts en janvier 1982. En 2000, l’ATMF association des travailleurs marocains
s’est transformée lors de son 7ème congrès en une association de Travailleurs
Maghrébins de France. L’ATMF est une association démocratique comme en Chine
Populaire, progressiste (autre nom du marxisme culturel, progressisme est un
mot-virus dans la pensée unique collectivisante. Est progressiste celui qui est
en faveur de la spoliation d'autrui par l'impôt et en faveur des «acquis sociaux» payés par la dette
publique ou la taxation, tandis que celui qui est en faveur des droits
individuels et de la propriété individuelle comme par exemple un libertarien
minarchiste, est un réactionnaire d’extrême droite ou au mieux un conservateur.
Le progrès dans la taxation et dans la réglementation est considéré comme un
progrès de la société ! Walter Lippmann dira : «Le
seul instrument de progrès dans lequel les progressistes aient confiance, c’est
l’autorité gouvernementale. On dirait qu’ils ne peuvent rien imaginer d’autre,
et qu’ils ont oublié que tous les progrès qui leur sont chers ont été obtenus
en émancipant les hommes de la puissance politique, en limitant le pouvoir, en
libérant les énergies individuelles de l’autorité et de la contrainte
collective»), laïque et indépendante de tous pouvoirs.
L’ATMF serait soi-disant porteuse de valeurs de fraternité, d’égalité et de
liberté. L’ATMF est une association de lutte contre toutes les formes
d’exclusion, de racisme, d’islamophobie (?), d’antisémitisme, de
discriminations. Elle prône une citoyenneté active notamment pour les
maghrébins de France. L’ATMF lutte pour de nouveaux rapports Nord / Sud, basés
sur la solidarité (la «solidarité» qui
est mise en œuvre de nos jours par l'Etat-providence marxiste culturel est une
vaste supercherie politique. C’est un système reposant sur la croyance que le
social et l'économique doivent être contraints par la loi à une forme de
solidarité redistributive. Au-delà
du fait que la «solidarité» étatique
soit moralement condamnable malgré les vertus dont elle se pare, elle est par
ailleurs contre-productive et inefficace. La solidarité telle qu'elle est mise
en oeuvre décourage les sources de richesse : le travail, en taxant les
travailleurs et en subventionnant ceux qui ne travaillent pas, et l'épargne,
puisque plus on est riche plus on est taxé. Les agents économiques — individus
mais aussi entreprises — sont plus tentés par la possibilité de s'enrichir sur
le dos des autres en captant telle ou telle subvention à leur profit plutôt que
de s'associer entre individus et d'innover pour produire de nouvelles
richesses. La solidarité étatique sonne donc la fin de la civilisation. Les marxistes culturels allah tête de ces «associations» stipendiées ont
parfaitement assimilé la règle N°9 de la théorie marxiste culturelle : La
création d’une dépendance financière croissante vis à vis de l’état afin de
créer une population asservie et assistée avec la N°14 ce que les marxistes
culturels nomment l’humanisme et qui conduira l’ensemble de l’humanité à sa
perte totale et définitive. Mon bon maître Frédéric Bastiat
dira : «Il
m'est tout à fait impossible de séparer le mot fraternité du mot volontaire. Il
m'est tout à fait impossible de concevoir la Fraternité légalement forcée, sans
que la Liberté soit légalement détruite, et la Justice légalement foulée aux
pieds»). L’ATMF œuvre pour
le respect des droits humains en général et sans rire dans les pays du Maghreb
en particulier. L’ATMF souscrit à la déclaration universelle des droits
humains, à la convention des nations unies pour la protection des droits des
migrants et leurs familles et aux différentes conventions internationales
relatives à l’élimination de toutes les formes de discriminations en raison de
la race, du genre, de l’origine ethnique, de la croyance…
CAC (Collectif des
associations citoyennes) (Lien de l’Association des Marocains
en France).
Le
CAC
ah, était allah fête de l'huma 2019 c’est vous dire
l’idéologie de la bête ! Son secrétaire général l’apparatchik Jean-Claude
Boual est un de ces fameux militants syndicaux communistes, membre de la nomenklatura
communiste, membre du CTP ministériel du ministère de l'Équipement de 1971 à
1991, Secrétaire Général adjoint du SNPTAS de 1971 à 1979, Secrétaire au bureau
de l'UGFF-CGT de 1975 à 1991, Membre de la Commission Exécutive de la CGT (annexe
du PCF) de 1978 à 1992, Secrétaire Général de la Fédération CGT (Cancer
Généralisé du Travail) de l'Équipement et de l' Environnement de 1975 à 1991,
Fonctionnaire au ministère de l’Equipement Ingénieur en chef des Travaux
Publics de l’Etat – Chargé de Mission – DAEI – Mission Europe Équipement sur
les services publics et Europe – L’Europe sociale depuis 1991, Animateur de
l’association Réseaux Services Publics – organisation à ce titre de plusieurs
colloques sur les services publics, Secrétaire du Comité européen de liaison
sur les Services d’intérêt général, Membre de la Commission «Réseaux 2010» du Commissariat général
au Plan, Membre des Groupes «Régulation
des services publics» et «Les réseaux
de service public dans le monde – organisation, régulation, commerce». Secrétaire-fondateur
du « Comité européen de liaison sur les
services d’intérêt général» depuis 1994. Un bien brave homme, peut-être un
peu trop rouge ?
Le
collectif d’obédience marxiste-léniniste dit Collectif des Associations Citoyennes
(CAC) est né en 2010 pour lutter contre la réduction des associations à leur
seule dimension économique et défendre la contribution des associations à
l’intérêt général marxiste culturel et à la construction d’une société communiste
solidaire, durable (de lapin ?) et participative des soviets. Après avoir
déposé un recours en Conseil d’État contre la circulaire Fillon, qui assimilait
l’ensemble des associations à des entreprises, le Collectif a développé une
analyse globale des difficultés associatives et élaboré des propositions pour
une nouvelle politique associative. L'étatisme marxiste culturel utilise fréquemment les
structures associatives comme le CAC (Collectif des
associations citoyennes), comme un paravent à
l'oppression de la population et à la spoliation : subvention clientéliste
d'associations amies du pouvoir en place, obligation d'adhésion à certaines
associations qui bénéficient d'un monopole (exemple des mutuelles «obligatoires»
dans le domaine de l'assurance maladie,
qu'elles soient d'entreprise ou de Sécurité sociale), emploi d'associations
subventionnées pour détourner des fonds vers un usage privé ou électoral, etc.
Garnier, un véritable anarchiste illégaliste qui a fini à la guillotine et ayant fait partie de la fameuse «Bande à Bonnot» (Note : Un mien cousin de Pont de Roide; et ce n’est pas une blague !) au début du XXème siècle disait: «tous ces messieurs n’étaient autres que des profiteurs et arrivistes qui criaient révolte partout, qu’il fallait détruire le capitaliste (Un peu comme au CAC ou au NPA : Nouveau Parti Antisémite) et autre, mais pourquoi. Je compris qu’ils voulaient détruire l’état social actuel, tout simplement pour s’installer, eux, à la place, remplacer la République par le syndicat, c’est-à-dire éliminer un état pour le remplacer par un autre dans lequel il y a des lois et toute la même engeance sociale actuelle, en somme ne changer que le nom pour arriver à cela».
Garnier, un véritable anarchiste illégaliste qui a fini à la guillotine et ayant fait partie de la fameuse «Bande à Bonnot» (Note : Un mien cousin de Pont de Roide; et ce n’est pas une blague !) au début du XXème siècle disait: «tous ces messieurs n’étaient autres que des profiteurs et arrivistes qui criaient révolte partout, qu’il fallait détruire le capitaliste (Un peu comme au CAC ou au NPA : Nouveau Parti Antisémite) et autre, mais pourquoi. Je compris qu’ils voulaient détruire l’état social actuel, tout simplement pour s’installer, eux, à la place, remplacer la République par le syndicat, c’est-à-dire éliminer un état pour le remplacer par un autre dans lequel il y a des lois et toute la même engeance sociale actuelle, en somme ne changer que le nom pour arriver à cela».
CCFD (Lien de l’Association
des Marocains en France).
Déjà
vu, mais bon, je vous en ressers une petite louche ; j’ai écrit en
2015 : «Avec pour exemple le CCFD
Terre solidaire, nous abordons une question «délicate» celle de l’infiltration
de l’idéologie marxiste au sein du monde chrétien. Entre le marxisme et le
christianisme on pourrait croire à une incompatibilité. Eh bien non. Il existe
une sorte de sympathie naturelle, de compatibilité animale provenant de la
participation aux «combats» métapolitique des uns et des autres. Le «public»
n’accédant habituellement pas à ces «connaissances» là, le sujet étant trop
sensible. A la fin du 19ème siècle Friedrich Nietzsche le «généalogiste» des
études de questions morales dont le père pasteur luthérien était lui-même fils
de pasteur écrivait : «La tâche de gouverner la terre va nous échoir» et «le
temps vient où l’on mènera la lutte pour la domination de la terre (…) elle sera menée au nom des doctrines
philosophiques fondamentale».
Nietzsche était-il prophète lorsqu’il écrivait aussi ? : «Le socialisme moderne tend à créer une forme de jésuitisme séculier, à faire de tous les hommes des instruments» et encore : «Ce qu'on désire, c'est le bien-être (…) Par suite on marche vers un esclavage spirituel tel qu'on n'en a jamais vu (...) Le césarisme intellectuel plane au-dessus de toute l'activité des négociants et des philosophes». Si Nietzsche avait connu le début du 21ème siècle il n’aurait pas parlé de «césarisme intellectuel», mais simplement de marxisme culturel ! Dans L'homme révolté, l’idiot utile Albert Camus (Qui aura sa carte du PCF pendant 2 ans) écrit : «Passée au creuset de la philosophie nietzschéenne, la révolte (entendre la révolution marxiste), dans sa folie de liberté, aboutit au césarisme biologique ou historique (…). Le marxisme-léninisme a pris réellement en charge la volonté de Nietzsche, moyennant l'ignorance de quelques vertus nietzschéennes». Camus est un rescapé de la théorie marxiste (Suivant Saint Marx et saint Seppi Dougatchvili (Joseph Staline : Seppi en Alsacien) qui relève de la plus haute voltige intellectuelle bien plus que de la rationalité. Mais maintenant si on «pense» pratique au lieu de théorique, soit marxisme culturel au lieu d’idéologie marxiste où il existe un sois disant «commandement» (Humaniste, progressiste et tolérant) qui est «tu diminueras l'injustice sociale», alors le marxisme culturel est totalement équivalent à la pratique du christianisme. Bien sûr, si mon prochain souffre de l'injustice sociale, puisque le christianisme m’oblige à aimer mon prochain comme moi-même, je ne saurais le supporter. En ce qui concerne l’idéologie chrétienne, c'est-à-dire le christianisme dogmatique, il présente comme le marxisme un certains nombres d'affirmations arbitraires qui peuvent difficilement emporter l'adhésion d'un être rationnel. Pourtant cette pratique chrétienne d’aujourd’hui peut être considérée comme un prolongement logique du protestantisme théorique et d’une idéologie marxiste-léniniste dévoyée devenue culturelle. CQFD. A travers un russe Yuri Bezmenov né à Moscou en 1939, spécialiste de l’Inde pour les services de renseignement soviétiques qui fait défection en 1970, alors qu’il participe à des opérations de subversion du KGB à New Delhi, nous pouvons mieux appréhender l’infiltration marxiste culturelle du christianisme et développer celle de l’ensemble de nos institutions au cours du 20ème siècle. Après sa défection Bezmenov expliquera à ses homologues US que 85% des moyens humains et matériels du KGB consistent non pas à espionner mais à collecter des quantités colossales d’informations et à les utiliser lors d’actions subversives. Bezmenov expose les phases de cette véritable «guerre» qui se décompose en 4 étapes. La première étant la plus cruciale et qui se dénomme «Démoralisation». La démoralisation prend 15 à 20 ans. Pourquoi ? Car elle vise la jeunesse, singulièrement étudiante. L’objectif étant de formater une génération complète qui, mécaniquement, prendra sa place dans la couche supérieure, l’élite d’un pays donné. Bezmenov les qualifie «d’infectés» et souligne qu’une fois le processus complété il est impossible de faire marche arrière durant la vie de cette génération : elle a les postes, elle dirige et seul un état autoritaire pourrait s’en débarrasser. Et comme le souligne Bezmenov : par définition une société ouverte dite «démocratique» ne peut agir ainsi. Cette génération reprend tout ou partie de l’idéologie marxiste. Le but du KGB n’étant pas une conversion radicale au communisme de l’intérieur, mais simplement de parvenir à la phase 4 de la subversion d’un pays qui est le coup d’état révolutionnaire. Bezmenov explique en outre que durant cette première phase de contamination intellectuelle et idéologique mais surtout culturelle, le KGB visait surtout les parties conservatrices d’un pays et non – c’est le terme du renseignement soviétique – des «prostituées communistes» qui soutiennent les idées marxistes. Pour le KGB, ces gauchistes sont une simple force d’appoint pour pratiquer l’agitation mais sera éliminer en priorité lors de la révolution, précisément parce que ces éléments sont idéalistes et perdront inévitablement leurs illusions sur la véritable nature du marxisme une fois en place. De fait, ils deviendraient des ennemis politiques acharnés. Il s’agit pour le KGB d’aider les intellectuels, artistes, journalistes, politiciens et même des religieux qui soutiennent, à un degré ou à un autre, l’agenda prosoviétique et procommuniste d’un pays cible afin qu’ils influencent les masses. Cela passe parfois par de la corruption, parfois par du piston, parfois cela se fait tout seul. Ce sont ce que l’on appelle : les idiots utiles et aujourd’hui des abrutiles. La subversion ce fait en 4 phases. La première phase est très longue. C’est son but : modifier lentement la société en usant du peu de mémoire des «masses» et de son inculture. Le premier volet de cette première phase de la subversion marxiste telle que préconisée par le KGB vise les idées. Comme le dit Bezmenov : «Les idées gouvernent le monde. Personne ne meurt pour une vérité scientifique, mais des millions sont prêts à mourir pour des mythes ou une foi» c’est pourquoi les subversions religieuses sont extrêmement importantes. Le KGB et le marxisme entendent donc détruire tout le cadre moral et idéologique d’un pays donné pour ruiner sa base intérieure.
Nietzsche était-il prophète lorsqu’il écrivait aussi ? : «Le socialisme moderne tend à créer une forme de jésuitisme séculier, à faire de tous les hommes des instruments» et encore : «Ce qu'on désire, c'est le bien-être (…) Par suite on marche vers un esclavage spirituel tel qu'on n'en a jamais vu (...) Le césarisme intellectuel plane au-dessus de toute l'activité des négociants et des philosophes». Si Nietzsche avait connu le début du 21ème siècle il n’aurait pas parlé de «césarisme intellectuel», mais simplement de marxisme culturel ! Dans L'homme révolté, l’idiot utile Albert Camus (Qui aura sa carte du PCF pendant 2 ans) écrit : «Passée au creuset de la philosophie nietzschéenne, la révolte (entendre la révolution marxiste), dans sa folie de liberté, aboutit au césarisme biologique ou historique (…). Le marxisme-léninisme a pris réellement en charge la volonté de Nietzsche, moyennant l'ignorance de quelques vertus nietzschéennes». Camus est un rescapé de la théorie marxiste (Suivant Saint Marx et saint Seppi Dougatchvili (Joseph Staline : Seppi en Alsacien) qui relève de la plus haute voltige intellectuelle bien plus que de la rationalité. Mais maintenant si on «pense» pratique au lieu de théorique, soit marxisme culturel au lieu d’idéologie marxiste où il existe un sois disant «commandement» (Humaniste, progressiste et tolérant) qui est «tu diminueras l'injustice sociale», alors le marxisme culturel est totalement équivalent à la pratique du christianisme. Bien sûr, si mon prochain souffre de l'injustice sociale, puisque le christianisme m’oblige à aimer mon prochain comme moi-même, je ne saurais le supporter. En ce qui concerne l’idéologie chrétienne, c'est-à-dire le christianisme dogmatique, il présente comme le marxisme un certains nombres d'affirmations arbitraires qui peuvent difficilement emporter l'adhésion d'un être rationnel. Pourtant cette pratique chrétienne d’aujourd’hui peut être considérée comme un prolongement logique du protestantisme théorique et d’une idéologie marxiste-léniniste dévoyée devenue culturelle. CQFD. A travers un russe Yuri Bezmenov né à Moscou en 1939, spécialiste de l’Inde pour les services de renseignement soviétiques qui fait défection en 1970, alors qu’il participe à des opérations de subversion du KGB à New Delhi, nous pouvons mieux appréhender l’infiltration marxiste culturelle du christianisme et développer celle de l’ensemble de nos institutions au cours du 20ème siècle. Après sa défection Bezmenov expliquera à ses homologues US que 85% des moyens humains et matériels du KGB consistent non pas à espionner mais à collecter des quantités colossales d’informations et à les utiliser lors d’actions subversives. Bezmenov expose les phases de cette véritable «guerre» qui se décompose en 4 étapes. La première étant la plus cruciale et qui se dénomme «Démoralisation». La démoralisation prend 15 à 20 ans. Pourquoi ? Car elle vise la jeunesse, singulièrement étudiante. L’objectif étant de formater une génération complète qui, mécaniquement, prendra sa place dans la couche supérieure, l’élite d’un pays donné. Bezmenov les qualifie «d’infectés» et souligne qu’une fois le processus complété il est impossible de faire marche arrière durant la vie de cette génération : elle a les postes, elle dirige et seul un état autoritaire pourrait s’en débarrasser. Et comme le souligne Bezmenov : par définition une société ouverte dite «démocratique» ne peut agir ainsi. Cette génération reprend tout ou partie de l’idéologie marxiste. Le but du KGB n’étant pas une conversion radicale au communisme de l’intérieur, mais simplement de parvenir à la phase 4 de la subversion d’un pays qui est le coup d’état révolutionnaire. Bezmenov explique en outre que durant cette première phase de contamination intellectuelle et idéologique mais surtout culturelle, le KGB visait surtout les parties conservatrices d’un pays et non – c’est le terme du renseignement soviétique – des «prostituées communistes» qui soutiennent les idées marxistes. Pour le KGB, ces gauchistes sont une simple force d’appoint pour pratiquer l’agitation mais sera éliminer en priorité lors de la révolution, précisément parce que ces éléments sont idéalistes et perdront inévitablement leurs illusions sur la véritable nature du marxisme une fois en place. De fait, ils deviendraient des ennemis politiques acharnés. Il s’agit pour le KGB d’aider les intellectuels, artistes, journalistes, politiciens et même des religieux qui soutiennent, à un degré ou à un autre, l’agenda prosoviétique et procommuniste d’un pays cible afin qu’ils influencent les masses. Cela passe parfois par de la corruption, parfois par du piston, parfois cela se fait tout seul. Ce sont ce que l’on appelle : les idiots utiles et aujourd’hui des abrutiles. La subversion ce fait en 4 phases. La première phase est très longue. C’est son but : modifier lentement la société en usant du peu de mémoire des «masses» et de son inculture. Le premier volet de cette première phase de la subversion marxiste telle que préconisée par le KGB vise les idées. Comme le dit Bezmenov : «Les idées gouvernent le monde. Personne ne meurt pour une vérité scientifique, mais des millions sont prêts à mourir pour des mythes ou une foi» c’est pourquoi les subversions religieuses sont extrêmement importantes. Le KGB et le marxisme entendent donc détruire tout le cadre moral et idéologique d’un pays donné pour ruiner sa base intérieure.
Il
faut donc détruire :
-
La religion, pour obtenir un nihilisme de «masse».
-
L’éducation, pour obtenir une ignorance de «masse»
-
Les médiats, pour obtenir une myopie de «masse»
-
La culture, pour créer des modèles conformes au marxisme
Le
second volet de la première phase de la subversion vise les structures d’un
pays.
-
La loi et l’ordre : faire prévaloir le législatif sur la morale
-
Les relations sociales : faire prévaloir les «droits» sur les obligations
-
La sécurité : obtenir une culture du pacifisme
-
Politique : exciter les clivages partisans pour diviser le pays
-
Relations étrangères : isoler le pays
Le
troisième volet de la première phase de la subversion vise la vie des individus
:
-
La famille / Société : la rupture vis-à-vis du pays.
-
Santé : Sports, Sécurité Sociale, Nourriture abondante mais de mauvaise qualité
afin d’obtenir des esprits apathiques.
-
Race : faire monter les incapables, abaisser les talentueux afin de créer de
puissantes frustrations.
-
Peuplement : urbaniser, vider les campagnes afin d’aliéner les «masses» et remplacement des populations.
-
Travail : les syndicats contre la société pour obtenir une victimisation de «masse».
Conséquences.
Il
est inutile de détailler les trois phases suivantes. Notons simplement que la
seconde consiste à «déstabiliser» le
pays visé en sabotant son économie par des grèves de masse, des crises
politiques à répétition, etc. Elle dure entre 2 et 5 ans en moyenne. La
troisième phase consiste à obtenir une crise du système, qui dure de 2 à 6
mois. Enfin la quatrième phase consiste à «normaliser
un pays» et selon Bezmenov, cette phase dure «indéfiniment» puisqu’il s’agit de maintenir ce pays sous une direction
communiste. La
suite en cliquant ici.
CHABAKA (Lien
de l’Association des Marocains en France). Chabaka est un réseau
d’organisations non-gouvernementales du nord du Maroc, dédiées à travailler
ensemble pour adresser une gamme issues compris de la pauvreté, la violence
familiale, l’immigration et les droits de l’homme. Même motifs même
punition : Voit mes commentaires sur l’ATMF.
Néanmoins leurs liens sont intéressants
pour cette étude :
Attawasol: L’association est spécialisée dans le droit de la
femme travailleuse, localisée à Tanger.
L’association Mains solidaires: L’association qui est membre de Chabaka. Il travaille
dans le domaine des droits de la femme et la femme agricole. Elle a un but non
lucratif, et a été fondée le 05 mars 2000 à Larache. Pour des informations
détaillées, cliquez ici.
Association Pateras de la vida: L’association qui est membre de Chabaka,
spécialisée dans le demande de la migration, localisée à Larache.
Forum de Femmes du Rife: L’association qui est membre de Chabaka,
travaille dans le domaine de la femme rurale et urbaine dans la province du Rif.
Forum de Femmes du Larache: L’association qui est membre de Chabaka, elle
travaille dans le domaine de la femme des quartiers périphériques et
défavorisés à Larache.
MouaTina de Tanger: L’Association féministe autonome qui est
membre de Chabaka. Pour des informations détaillées, cliquez ici.
Femme Militante de Tétouan: L’association qui est membre de Chabaka,
elle travaille dans le domaine de droit de la femme.
Massinissa Amazigh: L’association qui est membre de Chabaka,
elle travaille dans le Amazigh, localisée à Tanger.
Rêves de jeunes et enfants: L’association qui est membre de Chabaka, travaille
avec les jeunes issues des quartiers périphériques et défavorisés.
Conseil de Migrants subsahariens au
Maroc:
GADEM Rabat: Le groupe antiraciste de défense et d’accompagnement
des étrangers et migrants (GADEM) est une association de droit marocain. Pour
plus d’informations, cliquez
ici.
Manifeste Euroafricain: Le réseau du Manifeste Euroafricain est né
de la Conférence non-gouvernementale euro-africaine sur les migrations, les
droits fondamentaux et la liberté de circulation, organisé au Maroc les 30 juin
et 1er juillet 2006, en marge d’une conférence ministérielle euro-africaine (10
et 11 juillet 2006) sur «migrations et
développement» abrité par le Maroc.
Migroeurope: Un réseau européen et africain de militants et
chercheurs dont l’objectif est de faire connaître et de lutter contre la
généralisation de l’enfermement des étrangers et la multiplication des camps,
dispositif au cœur de la politique d’externalisation de l’Union européenne. Pour
des informations détaillées, cliquez ici.
APDH: L’Association pour la Promotion des Droits Humains.
Pour des informations détaillées, cliquez ici.
UNFPA: United Nations Population Fund. Pour des informations détaillées cliquez ici.
UNFPA: United Nations Population Fund. Pour des informations détaillées cliquez ici.
SETEM: SETEM est une fédération d’ONG de solidarité internationale, été fondée en
1968. SETEM concentre notre conscience de la société, des inégalités Nord-Sud,
rapport de leurs causes sociales et la promotion de transformations
individuelles et collectives pour un monde plus juste et solidaire. Pour
des informations détaillées, cliquez ici.
On continue…..
CIMADE (Lien de
l’Association des Marocains en France) Du déjà vu, une horreur.
CMODH (Lien de
l’Association des Marocains en France). Coordination Maghrébine des Organisations
des Droits Humains, organisation non gouvernementale créée en 2006. Réseau de
26 organisations de défense des droits humains au Maghreb et chez les
maghrébins de France.
DAL (Lien
de l’Association des Marocains en France).
L’Association Droit Au Logement (DAL) a été créée en 1990, par des
familles mal-logées ou sans-logis et des militants associatifs marxistes
d’ultra gauche de quartier, dans le 20ème arrondissement de Paris. Elle est née
à la suite du campement durant quatre mois de 48 ménages, essentiellement des
familles avec enfants, expulsées avec raison en mai 1990 de deux immeubles
squattés (L’action des expulsés et le campement avaient alors entraîné un large
soutien de la part de la population du quartier, des associations marxistes
culturelles , des syndicats et des partis politiques de gauche et d’extrême
gauche. Le Dal a pour objectif d’unir et organiser les familles et les
individus, mal-logés ou concernés par le problème du logement, pour la défense
du «droit» à logement décent pour
tous.
De nos jours il est devenu presque banal d'affirmer des «droits à» comme faisant partie de la
vie sociale courante au point qu'ils soient devenus des acquis incontestables,
dès lors, les accuser d'une quelconque contradiction ou faiblesse peut paraître
un signe de malhonnêteté. D'autant plus que ces mêmes faux-droits pourraient
être identifiés à des libertés individuelles, alors qu'en réalité ils reposent
souvent sur une logique d'intervention étatique. De surcroît, il s'agit d'une
forme d’ingérence étatique qui, tout en orientant l'exercice des libertés, sert
comme appât le «nécessaire» à l'homme
tout en habillant de vêtements neufs de nouvelles fonctions et avantages de
l'État. Le
droit au logement, au même titre que le droit à un logement
convenable : il va du bon sens que chaque individu ressent ce besoin
d'être à l'abri de condition extérieures ou de disposer d'un espace de vie,
mais au-delà du besoin de protection, même si les individus n'ont pas tous les
moyens de s'offrir un logement, même en considérant que vivre sous un pont est
indécent, venir en aide aux sans-abri est un acte volontaire digne. Un autre
aspect des choses est le caractère interventionniste sur le marché immobilier
et l'incitation à violer la propriété d'autrui (occupation illégale de lieux
privés). Ce droit tel comme il est appliqué va bien au-delà d'un simple secours
aux mal-logés, car il sert aussi de prétextes divers : intégration
territoriales, lutte contre l'exclusion, lutte contre les locations de très
courte durée etc. Voir aussi : Contrôle des loyers.
Délinquants Solidaires (Lien
de l’Association des Marocains en France). Ces marxistes culturels ultra
gauchistes en conviennent, ce qu’ils appellent, la «solidarité» n’a jamais été inscrite dans aucun code comme un
délit. Cependant, ces militants associatifs d’ultra gauche qui ne feraient que
venir en aide à des «personnes» (la
plupart du temps des migrants illégaux) en situation de très grande précarité,
victimes de justes décisions qu’ils jugent inhumaines, se retrouvent
aujourd’hui face à la justice. Avec l’instauration de l’état d’urgence, et dans
le contexte baptisé «crise migratoire»,
on assiste à une recrudescence de poursuites visant à empêcher l’expression de
la solidarité envers migrants, réfugiés, Roms, sans-papiers… Au-delà, c’est le
soutien à l’ensemble des personnes étrangères qui tend à devenir suspect, l’expression
de la contestation des politiques menées qui est assimilée à de la rébellion et
au trouble à l’ordre public.
Une simple phrase de monsieur Christian Michel tirée de son livre Le Socialisme, pornographie de la Solidarité: «L’homme de gauche n’annonce la société solidaire que comme la
prostituée promet l’amour. L’un et l’autre ne peuvent offrir que des simulacres
(ivresse passagère et frustration). Ils instaurent le règne du faire-semblant,
de la pornographie généralisée». Cette phrase devrait suffire à vous
convaincre qu’à notre époque, il faut être «solidaire».
Il y a une rage vraiment comique d’user de ce terme (…) En France, tout
discours officiel doit renfermer une ou plusieurs fois le terme de «solidarité». La suite en cliquant ici:
Solidaire si je veux !
Droit à la langue du pays
d'accueil (DRAL) (Lien de l’Association des Marocains en
France). Encore un faux «droit» !
Les
«droits
à» (ou droits-créances) sont de «faux-droits»
économiques et sociaux : le droit à
la sécurité sociale,
le droit aux congés payés, le droit à
l'éducation, le droit
au logement, droit à
l'image, droit à la solidarité, aux loisirs, etc.
Expression d'une folie législative et d'un bataillon de revendications
exigibles se portant garants d'un proclamé «devoir d'État», ces
"droits" se sont développés sans référence à la propriété, à la responsabilité et à la liberté de contracter de l'individu ; ils ne proviennent que de décisions
étatiques arbitraires destinées à satisfaire une clientèle électorale via des «prestations»
publiques. Certains partisans marxistes culturels de la dénaturation du droit
tendent à les assimiler abusivement à des droits de l’Homme.
Par contre il est vrai que tous les citoyens (Français) ont le droit
démocratique, garanti par la loi, de recevoir une information et de s’exprimer
dans leur langue. La DGLFLF assure le suivi et la coordination
interministérielle de l’application des textes législatifs concernant la langue
française, en particulier la loi du 4 août 1994 dite loi Toubon, du nom du
ministre qui la fit adopter. Ces dispositions contribuent notamment à garantir
la santé et la sécurité des consommateurs et des salariés en imposant l’emploi
du français dans un grand nombre de circonstances de la vie courante. Un
rapport est remis chaque année au Parlement sur l’application de cette loi.
FASTI (Lien de
l’Association des Marocains en France). Féministe,
anticapitaliste, et anticolonialiste, la Fédération qui
tire sa soi-disant légitimité du travail de terrain des militants et bénévoles
des Associations de Solidarité avec «Tou-te-s»
les «Immigré-e-s», se bat pour les
faux «droits» des personnes migrantes
depuis près de cinquante ans. Ces fameux «droits» des personnes migrantes auraient été rognés, bafoués
attaqués par les gouvernements successifs et la FASTI fidèle à ses valeurs d’ultra
gauche marxiste-léniniste se bat contre toutes les formes d'enfermement, les
centres de rétention administrative notamment, contre la Double Peine ( ?),
contre le sexisme, le racisme et la xénophobie et contre toutes les formes d''exploitation
du Sud par le Nord sauf pour la Corée du Nord qui exploite le Zimbabwe et en
Chine colonialiste du Tibet. La FASTI lutte pour la liberté de circulation et
d'installation, le droit de vote pour toutes et tous, l'annulation de la dette
du tiers-monde, et pour une égalité homme femme réelle. Je ris de veau !
FORIM (Lien de
l’Association des Marocains en France). Le Forum des Organisations de
Solidarité Internationale issues des Migrations (FORIM) est une plateforme
nationale qui outre voler du pognon dans la poche du contribuable, réunit des
réseaux marxistes culturels, des fédérations gauchistes et des regroupements
d'Organisations de «Solidarité
Internationale» issues de l'Immigration (OSIM), engagés dans des actions
d'intégration ici et dans des actions de développement dans les pays d'origine.
Le FORIM représente environ 1000 associations intervenant en Afrique
Subsaharienne, au Maghreb, en Asie du Sud Est, aux Caraïbes et dans l'Océan
Indien. Créé en mars 2002 avec le soutien des pouvoirs publics français, il
témoigne de la volonté de ses membres de s'associer à toutes les composantes de
la société civile française, afin de favoriser l'intégration des populations
issues des migrations internationales, de renforcer les échanges entre la
France et les pays d'origine et de contribuer au développement de leur région
d'origine. Il montre une image spécifique de la vie associative des personnes
issues de l'immigration et met en évidence les aspects positifs de la double
appartenance en faisant la promotion d'actions conduites en France autour de
l'intégration, de l'échange culturel et d'actions de développement vers les
pays d'origine.
Forum des Alternatives
Maroc (FMAS) (Lien de l’Association des Marocains en
France). Le Forum des Alternatives Maroc «FMAS»
s'inscrit comme toutes les associations marxistes culturelles dans la lutte
d'ensemble pour le respect des fameux faux «droits»
humains. Il a pour vocation de contribuer à ériger un mouvement social
démocratique, citoyen fort et autonome. Il se définit comme une association de
défense et de promotion des droits économiques, politiques, sociaux, civiques
et culturels des groupes et des individus, sans distinction raciale, ethnique, linguistique,
religieuse ou sexuelle.
FTCR (Tunisiens) (Lien
de l’Association des Marocains en France) La Fédération des Tunisiens pour une
Citoyenneté des deux Rives (F.T.C.R.) regroupe des associations d’activités et
d’horizons divers. Elles ont en commun une double référence géographique. La
référence première est la société française, pays de résidence définitive de la
majorité d’entre nous. Mais l’attachement à la mémoire du pays d’origine, à sa
culture et à sa langue confère à notre regroupement un caractère double.
Association à deux visages mais dotée d’une seule vision, et d’un seul langage
: Pour une pleine citoyenneté ici et là-bas.
La
FCTR marxiste culturelle ce fait le porte-parole d’un «collectif» carrément Stalinien pour nous
inviter à une réunion, d’un nouveau «collectif» dit: J’y suis, j’y vote, le 2 Octobre 2019 à
18 heures au siège du MRAP (le délicat mouvement partie de la nébuleuse de la
haine rouge qui distille de la haine des juifs), 43 Boulevard de Magenta 75010
– Paris, pour une réunion préparatoire à une campagne que nous voulons mener
pour les élections municipales des 15 et 22 mars 2020. Cette campagne pourrait
comprendre trois volets :
1)
Un appel des maires
2) Un appel des résidents étrangers n’ayant pas le droit de vote 3) Une
mobilisation au moment des élections autour de : Un vote symbolique des
résidents étrangers n’étant pas inscrit sur les listes électorales, pour les
candidats se présentant dans la commune. 3) Une
votation Citoyenne pour ou contre le droit de vote des étrangers ouverte à
toutes et à tous. Le
droit de vote des étrangers a depuis plusieurs années le soutien de la
population et une participation plus importante et régulière de tous les
résidents à la vie de la cité est de plus en plus revendiqué. Les prochaines
élections municipales sont une nouvelle occasion de manifester l’importance de
l’égalité des droits de tous les citoyens et d’une véritable démocratie locale. Associations et organisations membres du fameux Collectif JSJV au 10 Septembre
2019 (on retrouve toute la nébuleuse marxiste culturelle haineuse habituelle):
Assemblée Citoyenne des Originaires de Turquie (ACORT), Association
Démocratique des Tunisiens en France (ADTF), Association Interculturelle de
production, de Diffusion et de Documentation Audiovisuelles (AIDDA),
Association des Marocains en France (AMF), Association Nationale des Elus
Communistes et Républicains (ANECR), Association des Sahraouis en France,
Association de Soutien à l’Expression des Communautés d’Amiens (ASECA-Lettre de
la citoyenneté), Association des Travailleurs Maghrébins en France (ATMF),
Association des Tunisiens en France (ATF), Association des Tunisiens du Nord de
France (ATNF), Association pour la Taxation des Transactions financières et
pour l’Action Citoyenne (ATTAC), Avenir Jeunes Marseille, Cap-MED Marseille,
Centre d’études et d’initiatives de solidarité internationale (CEDETIM),
Collectif Culture, Création, Citoyenneté (Collectif 3C), Collectif pour
l’avenir des foyers (COPAF), Collectif des Sans Papier de Paris ( CSP75 ),
Conseil Représentatif des Associations Noires (CRAN), Coordination
Internationale des sans Papiers et Migrants ( CISPM ), Droit au Logement (DAL),
Fédération des Tunisiens pour une Citoyenneté des deux Rives (FTCR), Groupe
d’Information et de Soutien aux Immigrés (GISTI), Justice et Liberté
(Strasbourg), Les Amis du PIT-Sénégal, Ligue des droits de l’Homme (LDH),
Maison des Potes, Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les
Peuples (MRAP), No-Vox International, Réseau Euromed France (REF), Réseau
féministe Ruptures, Sortir du Colonialisme (SDC), Union des Tunisiens pour
l’Action Citoyenne (UTAC), Union des Travailleurs Immigrés Tunisiens –IDF
(UTIT-IDF), Anciens Appelés en Algérie et leurs Amis Contre la Guerre (4ACG),
Confédération Générale du Travail 75 (CGT 75), Fédération Syndicale Unitaire
(FSU), Syndicat de la Magistrature (SM), Union Nationale Lycéenne (UNL), Union
Syndicale Solidaires, EELV, Ensemble !, Mouvement Ecolo, Mouvement des Jeunes
Socialistes (MJS), NPA, PCF, PG,… Il convient de préciser que le vote en France
a été construit historiquement comme corollaire d’une citoyenneté elle-même
référée à la nationalité. Le vote est affaire de nationalité, et non de
territorialité, ce qui signifie que les étrangers résidant sur le territoire
national ne votent pas, tandis que les Français établis à l’étranger peuvent, à
certaines conditions, voter (ils disposent de représentants au Sénat, et,
depuis 2008, à l’Assemblée nationale). Cette équivalence entre droit de vote et
nationalité se heurte toutefois à une objection : les étrangers résidant sur le
territoire paient des impôts, sont usagers du service public et participent de
fait à la vie de la cité. Quand leur présence résulte d’une trajectoire
migratoire nourrie de l’espoir d’être naturalisé, l’argument gagne encore en
force. D’où l’idée de conférer un droit de vote restreint pour des élections
qui n’engagent pas la souveraineté nationale. Depuis le traité de Maastricht
(1992), la France, comme les autres États de l’UE, autorise ses étrangers
ressortissants de pays membres de l’Union européenne à voter aux élections
locales et européennes. Il fallut attendre le gouvernement socialiste Jospin pour voir le traité appliqué aux
élections municipales de 2001. Seule limite au droit ainsi conféré : les
étrangers ne sont pas éligibles comme maires ou adjoints, car ce serait leur
permettre de participer à la désignation des sénateurs, donc d’une instance
dépositaire de la souveraineté nationale. S’agissant des étrangers extérieurs à
l’UE, la question resurgit régulièrement. Certains hommes politiques contaminés
par le marxisme culturel internationaliste s’étaient prononcés pour le droit de
vote aux élections locales à tous les étrangers (Le socialiste François
Hollande lors de la campagne pour l’élection présidentielle en 2012, comme le
socialiste ex décoré par le gouvernement de Vichy de la Francisque du Maréchal
Pétain François Mitterrand avant lui en 1981), ou s’y étaient déclarés
favorables (Nicolas Sarkozy de la fausse droite au début des années 2000), sans
que cela soit suivi d’effet. L’adoption d’une telle mesure est, il est vrai,
politiquement difficile puisque cette réforme constitutionnelle exige une
majorité des 3/5 au Parlement.
FUIQP (Lien de
l’Association des Marocains en France). Le Front uni des immigrations et des
quartiers populaires est une organisation marxiste Stalinienne qui milite pour
créer une «force autonome» des
immigrations et des quartiers dits «populaires».
GADEM (Lien
de l’Association des Marocains en France). Le GADEM est une association étrangère
de droit marocain régie par le Dahir N°1.58.376 du 3 joumada I 1378 (15
novembre 1958) relatif au droit d’association tel qu’il a été modifié et
complété par la suite et notamment par la nouvelle loi N° 75-00. L'association
compte aujourd'hui 2 salariés et 1 volontaire GADEM/GISTI (programme Échange et
Partenariat/AFVP) et 1 volontaire AFVP. Deux pékins un tondu c’est quand même
pas beaucoup ! Par contre l’argent des impôts des Français y coule à
flot ! Principaux partenaires financiers 2010: CIMADE (253800 Dirham (DH)
environ 60 000 Euros volés aux Français 2010-2011), FMDH (167000 DH),
Oxfam NOVIB (250000 DH), Migrants rights international (22200 DH). Le
GADEM fonctionne en volet d'activité: volet droits des Étrangers, volet
plaidoyer et volet interculturel/discriminations Principaux partenaires des
projets: CARITAS MAroc, Terre des Hommes, GISTI, CIMADE, Migreurop.
Objectif global: Contribuer à la sortie de l’exclusion et à la
reconnaissance des fameux faux droits des étrangers et migrants (Le GADEM
inclut dans cette notion les réfugiés et les demandeurs d’asile, ce qui ne
porte pas préjudice à la définition du droit international du réfugié ;
pas folle la guêpe).
Objectif spécifique: Les droits des étrangers et migrants sont reconnus
et mieux appliqués.
Les résultats attendus sont:
R1 : Des actions en faveur de la mise à niveau du cadre juridique
national avec les textes internationaux sont mises en œuvre. R2
: Les mécanismes de protection, judiciaires et extrajudiciaires, des fameux
faux «droits» des migrants
envahisseurs sont renforcés.
R3: Des actions pour le
changement de regard sur les migrants et autres soi-disant réfugiés
subsahariens et de lutte contre les prétendues discriminations sont mises en
place. R4:
Des actions de sensibilisation et de plaidoyer sont menées conjointement pour
le respect des faux «droits» des
migrants et sont relayées en Europe et en Afrique.
GÉNÉRIQUES
(Centre ressources) (Lien de l’Association des Marocains en
France).
http://www.generiques.org/qui-sommes-nous/. Créée
en 1987, Génériques a pour objectif de préserver, sauvegarder et valoriser
l’histoire de l’immigration en France et en Europe. Organisme de recherche et
de création culturelle sur l’histoire et la mémoire de l’immigration en France
aux XIXe et XXe siècles, elle met en oeuvre des activités scientifiques et
culturelles. Située à la croisée des milieux universitaire, institutionnel,
associatif et culturel, Génériques contribue à la fois à tisser des liens entre
ces différents acteurs français et européens, à encourager les travaux sur
l’histoire de l’immigration et à sensibiliser le grand public sur l’apport des
populations étrangères à l’histoire nationale et européenne.
GISTI (Lien
de l’Association des Marocains en France). Le Gisti (Groupe
d’information et de soutien des immigré·e·s) milite pour l’égal accès aux fameux
faux droits et à la citoyenneté marxiste culturelle sans considération de
nationalité et pour la liberté de circulation. L’association se veut un trait
d’union entre les spécialistes du droit et les militant⋅e⋅s : la
présence en son sein de nombreux juristes, praticien⋅ne⋅s ou
universitaires, place le Gisti dans la position revendiquée de l’«expert militant», alliant de façon
étroite l’analyse juridique et le travail de terrain, l’usage du droit comme
arme ou levier et la participation au débat public. L’activité du Gisti se
décline autour de plusieurs pôles : conseil juridique, formation, publications, actions en
justice, à quoi s’ajoute le travail au sein de collectifs ou réseaux interassociatifs. Nous voyons se fameux Gisti réapparaître régulièrement dans les liens de
la gauche la plus ultra ! Avec : IDD, La Lettre de la
citoyenneté, LDH, Maroc
réalités, MDM (Médecins du monde),
le trop fameux MRAP, avec MSF
(Médecins sans frontières), tous des liens de l’Association des
Marocains en France)
OEE (Observatoire de
l'enfermement des étrangers) (Lien de l’Association
des Marocains en France)
PLATE-FORME
MIGRANTS (Lien de l’Association des Marocains en France)
REMDH (Lien
de l’Association des Marocains en France)
Réseau histoire et mémoire
IDF
(Lien de l’Association des Marocains en France)
RESF (Lien
de l’Association des Marocains en France)
Syndicat de la
Magistrature (SM) (Lien de l’Association des Marocains en
France)
Le fameux «saint Dicat»
d’Allahmadgistratire est un des saints du paradis rouge marxiste et de sa
religion séculière. Sophie Durand sur
riposte laïque (un site dans le viseur du fameux Saint
Dicat) nous dit : «Rappelez-vous son fameux «mur des cons». Un mur,
rappelons-le, épinglé dans les locaux du syndicat de la magistrature, sur
lequel figuraient en bonne place des familles de victimes de graves crimes
pénaux. Par exemple M. Escarfail, dont la fille avait été victime du violeur et
tueur en série Guy Georges (Guy Georges, de son nom de naissance Guy
Rampillon, fils de George Cartwright, soldat afro-américain (cuisinier sur la
base américaine de l'OTAN de Marly-le-Roi) de passage en France et déjà marié
aux États-Unis, et d'Hélène Rampillon (angevine montée à Marly-le-Roi
travailler «au bouchon», (soit une entraineuse
qui est souvent un euphémisme pour prostituée) dans les bars américains, la
prostitution doit être génétique, car plus tard Guy Georges volera et se
prostituera auprès d'une clientèle masculine). Ou le général Schmitt, dont la fille a été assassinée à l’âge de 23 ans
en 2007 de 32 coups de couteaux par un criminel récidiviste (Thierry
Devé-Oglou) qui aurait dû se trouver en
prison à l’heure du crime. Mais voilà : il avait été libéré avant la fin de sa
peine. Et dans le RER il avait voulu violer Anne-Lorraine, qui ne s’était pas laissé
faire. Mais en se défendant, elle avait été criblée de coups de couteau. Le
général Schmitt avait osé à cette occasion critiquer la justice, ce qui lui
avait valu de se trouver épingler au Mur des cons. (…) La vraie question est celle de savoir si les magistrats ont la
possibilité d’épingler les justiciables en se gaussant, en fonction de leurs idées politiques réelles
ou supposées, si cela ne porte pas atteinte au respect qu’ils doivent avoir
pour eux, et s’ils sont capables ensuite de les juger avec objectivité. Madame
Martre (Présidente du Syndicat de la magistrature) a été également condamnée à verser 15 000 euros de dommages et intérêts
au général Schmitt. C’est trop peu. C’est une gifle. Quinze autres parties
civiles ont été déboutées. Le parquet avait demandé l’acquittement. Une autre
gifle. D’ailleurs le général Schmitt, épinglé sur le mur en tant que «con fasciste», ne s’y est pas trompé,
il s’est adressé ainsi à la Cour : «C’est
la mémoire de ma fille qu’on insulte, cela traduit le mépris et le sectarisme
de cette organisation à l’égard des familles de victimes. Sur le Mur des cons,
il n’y a pas de photos de criminels, de violeurs, de pervers, mais des élus de
la Nation, des journalistes et des pères de victimes». Il avait conclu sa
déclaration ainsi : «le con fasciste a
terminé». Madame Schmitt a eu le mot
qui résumait tout : «j’ai eu l’impression qu’on crachait sur la tombe de ma
fille».
C’est toute la justice qui doit se réformer.
On ne peut pas accepter des juges (rouges ?) qui méprisent les justiciables. Les juges feraient bien de se demander
si par ces actions ils peuvent être respectés par ceux qu’ils ont mission de
juger. La réponse est non.
L’inconscience, le mépris, le sectarisme, l’idéologie (marxiste culturelle)
au service des idéologues, les esprits (socialistes) bornés et fiers de l’être, c’est cela le
vrai fascisme. (Fascisme qui est bien un vrai socialisme. Extrême droite =
fascisme c’est le grand simulacre de la gauche marxiste culturelle et de ses sbires
et autres idiots utiles du Syndicat de la magistrature et de bien d’autres à la
culture historique plus que faiblarde. Sus au fascisme, à l’extrême droite, au
nazisme ! Gauche et extrême gauche marxiste culturelles ne craignent pas
l’usage de ces mots pour diaboliser leurs adversaires c’est la réductio
ad hitlerum. Et la plupart des médias stipendiés enfourchent
le bidet, suivis par des dirigeants de la droite molle qui ne craignent pas de
patauger dans les sillons sanguinolents du communisme. Dès le début du XXe
siècle, la révision «antimatérialiste»
du marxisme opérée par un Georges Sorel constitue un élément fondamental de la
synthèse fasciste. Ce socialisme sorélien est une philosophie de l'action
fondée sur l'intuition, sur le culte de l'énergie et de l'élan. Le mythe de la
violence constitue chez Sorel un «facteur
essentiel du marxisme». Elle n'est pas un expédient mais une valeur éthique
et esthétique permanente qui « peut engendrer les éléments d'une civilisation
nouvelle propre à un peuple de producteurs ». (Réflexions sur la violence). Ce
socialisme nouveau n'a besoin du prolétariat qu'aussi longtemps qu'il considère
celui-ci comme capable de remplir sa fonction d'agent révolutionnaire. Lorsque
ce prolétariat montrera en Occident son incapacité à prendre le pouvoir, le
socialisme de ces penseurs restera révolutionnaire, alors que celui du
prolétariat a cessé de l'être. Entre le prolétariat et la révolution, ils choisiront
la révolution. Dans les années qui précèdent la guerre, il ne reste plus aux
soréliens qu'à remplacer le prolétariat défaillant par la grande force
montante, la nation dans toutes ses classes rassemblées. Ainsi se fait la
synthèse naturelle entre ce socialisme nouveau qui découvre la nation comme
agent révolutionnaire et le mouvement nationaliste, qui se dresse lui aussi
contre les injustices sociales, et qui considère que la nation ne sera entière
que lorsqu'elle aura intégré en son corps le prolétariat. Ainsi se rencontrent
les soréliens et les maurassiens, pour nous en tenir au cas français. La revue
L'Indépendance en est le point focal en 1911-1913, puis le projet avorté de La
Cité française, annoncé dans les Cahiers du cercle Proudhon, dirigés par le
socialiste sorélien Edouard Berth et le maurassien Georges Valois. Alors le fascisme
dans tout ça ? Il est né à gauche, à l’extrême gauche et en France bien sûr. Le
socialiste Mussolini, Benito, baptisera ce mouvement socialiste de fasciste en
référence à Benito Juárez, révolutionnaire mexicain. En mars 1919, à Milan, il
crée les Faisceaux italiens de combat, à l’origine du mot «fasciste». Il se fait connaître en mai 1901 en interdisant aux
enseignants d’entrer dans une école en grève. En Suisse, en 1902, il rencontre
son égérie : Angelica Balabanova, amie de Lénine, décrite dans la Pravda comme
celle qui conduit la politique révolutionnaire en Italie. Il publie, en 1903,
un ouvrage anticlérical : Christ et Citoyen. Et il devient le socialiste le
plus populaire, après deux condamnations pour avoir agressé des «exploiteurs» du peuple. Nationaliste,
il développe la thèse applaudie par Lénine, et reprise par Mao plus tard, de la
«nation prolétaire» italienne,
opposée aux «nations ploutocratiques»
qui ont des colonies. En 1912, il l’emporte dans le Parti socialiste contre les
«droitiers». Et sa popularité croît
quand, après des sabotages économiques, il est emprisonné ; le futur secrétaire
général du Parti socialiste, Pietro Nenni, l’appelle alors Duce. Nommé directeur
d’Avanti, le journal central du
parti, il organise la grève générale ouvrière de 1914. En octobre, il se pro-
nonce pour la guerre, comme les autres socialistes européens, et crée Il Popolo
d’Italia, avec cette référence à Blanqui : «Qui
a du fer a du pain». Exclu, celui qui est alors le socialiste le plus
populaire du pays réplique : «En
m’excluant, vous ne m’interdirez pas la foi socialiste ni le combat pour la
révolution». CQFD.
Syndicat des avocats de France (SAF) (Lien
de l’Association des Marocains en France). Si les médecins ont prêtés le
serment d’Hippocrate, les avocats du SAF ont prêtés le serment d’hypocrite.
Créé en 1974, le Syndicat marxiste culturel des avocats dit sans rire «de France» «milite» pour une justice
plus populaire et démocratique, de qualité égale pour tous, plus proche des
citoyens de la caste marxiste culturelle et garante des droits et libertés
publiques et individuelles pour les compères de la nomenklatura. Les avocats du
SAF placent le justiciable au cœur de leur réflexion, ils s’engagent pour les
libertés et pour la défense des intérêts professionnels des avocats marxistes.
UJFP (Union juive française pour la paix) (Lien
de l’Association des Marocains en France)
Fin des liens de l’Association des Marocains en France.
Mais ce n’est pas encore fini, nini ! Suite
et fin cliquez ici .
Michel Alain Labet de Bornay
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