Socialism can be
put into practice only by methods of which most socialists disapprove. (Friedrich
Hayek)
Suite de la bolchosphère ou liens de la nébuleuse
communiste de la haine rouge. Ben oui, ce n’était pas encore terminé.
Loisirs, Solidarité des retraités (L.S.R.) partie du PCF
et de son immonde bras armé, la CGT.
Crée en 1981 par la «CiGiTi»
pour rompre la solitude des camarades, la Fédération Nationale des Associations
Loisirs et Solidarité des Retraités accueille largement les retraités pour
pratiquer ensemble à des activités marxistes culturelles, physiques et
sportives, des loisirs, des séjours en
«Terre sainte» de Corée du Nord avec visite de chambres à gaz et de camps
de la mort rouge ou voyage
à Cuba avec visite d'une unité militaire d'aide à la production
ou ils pourront fouetter eux-mêmes des activiste homosexuels, à moins que vous
ne préféreriez allez au Vietnam et
participer à la torture des ennemis du peuple dans une des belles prisons du
pays,
que de bons moments de détente et d'enrichissement culturels en perspective.
https://www.fondation-abbe-pierre.fr/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
En France, la Fondation Abbé Pierre devenue totalement
marxiste culturelle et qui n’a plus rien à voir avec le christianisme soutient
prioritairement des projets d'auto-réhabilitation et de rénovation des
logements en permettant aux bénéficiaires le plus souvent des étrangers d'être
acteurs dans leur projet dès que cela est possible. 468 opérations réparties
sur tout le territoire ont été financées en 2013 pour plus de 12 millions
d'euros grâce à l’argent des impôts volés aux Français. Que ce soit dans le
cadre de ses grands programmes nationaux «Toits d'abord» et «SOS Taudis» mais aussi
dans toutes autres opérations d'amélioration de l'habitat, lorsqu'un apport
financier complémentaire est nécessaire pour lancer les travaux. À
l'étranger également, dans les pays les plus pauvres ou victimes de
catastrophes naturelles, la Fondation Abbé Pierre finance la construction
d'habitations en impliquant le plus possible les populations locales souvent
démunies. Des dizaines de milliers de personnes voient ainsi leurs conditions
de vie améliorées ; des micro-activités sont favorisées dans le cadre des
programmes soutenus afin d'assurer leur développement. En 2013, la Fondation
est intervenue dans plus de 20 pays pour mettre en œuvre 36 projets de
développement, de réhabilitation de l'habitat et de construction avec les
populations locales (Asie, Afrique, Europe, Amérique).
http://www.fondem.ong/(Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
La Fondation Energies pour le Monde a été créée par
Alain Liébard qui en est le président-fondateur (Enseignant à l'Ecole
d'Architecture de Paris La Villette. Il participe, dès juin 1973, avant le premier choc
pétrolier, au congrès «Le soleil au
service de l'homme» organisé par l'UNESCO qui réunit à Paris plus de mille
chercheurs de tous les pays. Lauréat du concours «Habitat original par la thermique» lancé par le Plan construction,
il construit, en 1974 à Blagnac, les premières maisons solaires HLM. Il
consacre sa vie professionnelle au développement et à la promotion des énergies
renouvelables en défendant leur complémentarité avec les autres énergies. Il
prône un scénario de croissance régulière de leur apport dans la consommation
énergétique mondiale, qui permettrait d'atténuer les effets de la grande crise
énergétique qui s'annonce et d'aider à l'émancipation des populations rurales
des pays du Sud. En 1984, il est chercheur invité de l'université de Berkeley
en Californie. Il préside l'Observatoire des énergies renouvelables
(www.energies-renouvelables.org) depuis 1985 et crée, en 1990, la Fondation
énergies pour le Monde, reconnue d'utilité publique (C’est-à-dire financée à
100% avec l’argent des impôts des Français à l’usage exclusif d’étrangers).
Directeur de publication de la revue Systèmes solaires, il publie de nombreux
ouvrages et enseigne dans le pôle Environnement de l'École d'architecture de
Paris la Villette. Il est chevalier de l'Ordre national du Mérite). Précurseur
et visionnaire du lien entre énergies renouvelables et développement, il sut
associer à cet ambitieux projet les pouvoirs publics, les entreprises ainsi que
des personnalités de premier plan. Depuis 1990, la Fondation Énergies pour le
Monde et ses partenaires favorisent l’accès à l’électricité en milieu rural,
principalement en Afrique, à Madagascar et en Asie du Sud-Est et plus
particulièrement au Viêt Nam et au Laos qui sont des immondes dictatures communistes à parti
unique basées sur les principes du marxisme-léninisme et étaient des véritables
colonies dits pays satellites de l'URSS pendant la Guerre froide. La Fondation
conduit et assure le suivi de projets pérennes et sûrs, en collaboration
étroite avec ses partenaires locaux (populations locales, collectivités, institutions…). La
Fondation s’inscrit dans une démarche responsable en privilégiant dans son
action les énergies renouvelables, respectueuses de l’environnement, dans leur
diversité et sans parti pris (solaire photovoltaïque et thermique, éolien,
hydraulique, biomasse…).
Foodwatch est une organisation à but non lucratif qui
se bat pour une alimentation sans risques, saine et abordable pour tous et
toutes ce qui à priori est plutôt sympathique et emporte mon adhésion. Nous
faisons entendre la voix des consommateurs∙rices (là ce n’était peut-être pas
nécessaire d’employer un «inclusif» totalement
marxiste culturel), nous militons pour plus de transparence dans le secteur
alimentaire, et défendons notre droit à une alimentation qui ne porte atteinte
ni aux personnes, ni à l’environnement. Foodwatch fait la lumière sur les
pratiques des industries agroalimentaires et des distributeurs qui violent les
droits et les intérêts des consommateurs∙rices. Notre objectif est de pousser
les responsables politiques à améliorer les règlementations liées à
l’alimentation, encore très insuffisantes à l’échelle nationale comme
européenne.
A travers ses investigations, la révélation de scandales,
la mobilisation citoyenne et ses actions de plaidoyer, Foodwatch assure un
important rôle de contrepoids citoyen face au pouvoir de l’industrie
agro-alimentaire. Nous voulons que chacun puisse librement décider de ce qu’il
mange, en toute connaissance de cause et sans risque pour sa santé et celle de
ses proches. Nos activités couvrent des thèmes variés liés à l’alimentation :
scandales et fraudes alimentaires, transparence sur l’étiquetage et emballages
trompeurs, lien alimentation et santé, menaces des accords de commerce de
libre-échange, etc. Nos campagnes ont suscité une prise de conscience sur des
sujets essentiels et ont déjà mené à certains changements significatifs dans
les pratiques des industriels et dans les politiques gouvernementales. Foodwatch
France est une association régie par la loi du 1er juillet 1901. L’organisation
milite pour le droit des consommateurs de se voir proposer des aliments de
qualité, sans risques pour la santé et comportant un étiquetage fiable et
transparent. Elle joue un rôle de lanceur d'alerte. Foodwatch a été fondée en 2002 en Allemagne
en réponse au scandale de la crise dite «de
la vache folle» (ESB, Encéphalopathie spongiforme bovine), puis 2009[réf.
nécessaire] aux Pays-Bas et 2013 en France. Foodwatch a annoncé le lancement de
sa première campagne française, à Paris, le 6 mai 2014. À l’échelle européenne,
l’organisation a critiqué fortement les règles d’étiquetage des aliments,
accusant l’industrie alimentaire d'"arnaques" 3. Après l’accident
nucléaire de Fukushima 2011 Foodwatch a demandé un embargo sur les importations
alimentaires en provenance du Japon. Avec d’autres organisations comme Oxfam,
Foodwatch a fait campagne contre la spéculation sur les denrées alimentaires
sur les marchés financiers, qui peut causer une hausse des prix des aliments, selon
elle. Depuis son implantation en France, les thèmes de prédilection de
l'association sont l'information nutritionnelle6 et la lutte contre les fraudes
alimentaires. Elle a été particulièrement active lors du scandale des œufs
contaminés au fipronil. Elle fait également partie de plusieurs coalitions
d'organisations, notamment sur les sujets du glyphosate et des traités de
libre-échange (CETA, TTIP). Foodwatch considère que le traité entre l’UE et le
Canada est anti-démocratique et appelle à sa renégociation. Foodwatch alerte
également sur la contamination. L’ONG a porté ces sujets aux états généraux de
l’alimentation, organisés à l’automne 2017 par le Ministère de l’Agriculture. Foodwatch
alerte également sur la contamination des aliments. À la suite des résultats
inquiétants de tests réalisés en laboratoire sur des aliments de grande
consommation et publiés en octobre 2015, Foodwatch a révélé que 60 % des
produits testés étaient contaminés aux huiles minérales toxiques. Un an plus
tard, six grands distributeurs se sont engagés à réduire cette contamination. Le
mode opératoire de Foodwatch consiste à cibler des personnalités politiques et
des marques, souvent par des pétitions en leur demandant de changer leurs
pratiques. Foodwatch ainsi déjà fait reculer plusieurs grandes marques comme
Leclerc, Danone, Vrai, Maggi (Nestlé). Foodwatch dénonce aussi les conflits
d’intérêt qui nuisent aux consommateurs. Elle a plusieurs fois épinglé
Coca-Cola et de grands groupes comme Nestlé, Unilever, Pepsi-Cola, Mars et
Mondelez. Tout cela me rendrait Foodwatch
plutôt sympathique d’autant qu’à
l’occasion de la fête nationale, le 14 juillet 2017, Foodwatch a montré que
plusieurs fabricants d’aliments faisaient croire que leurs produits étaient 100
% «made in France» alors que ce
n’était pas le cas. Seulement voilà, Foodwatch est profondément infiltré par
l’idéologie dominante du marxisme culturel et par un gauchisme ultra qui va
l’amener dans l'entre-deux-tours de l'élection présidentielle française de 2017
qui opposait madame Le Pen et monsieur Macron, à appeler implicitement (noter
l’implicite : qui se mouille avec modération) dans une tribune avec
soixante autres associations à faire barrage à la candidate FN (source
Wikipédia très marxiste culturelle). Je me demande bien quel est le rapport
entre la malbouffe et le maintenant Rassemblement National hormis la connerie
congénitale de la gauche Française et de la droite molle.
Le 29 avril 2017 la rédaction du stipendié Journal du
Dimanche (de pelle à gâteau ?) titrait effectivement «Le pire est malheureusement possible!» : l’appel de 61
associations et ONG avant le second tour! (Nous avons déjà vu cet «appel» plus haut pour un autre exemple)
Le journal du Dimanche appartient pourtant au groupe
Lagardère via sa filiale Lagardère Active pas particulièrement connu pour ses
opinions gauchistes, mais madame Anna Cabana, née Anna Bitton en est depuis août 2016 rédactrice
en chef politique. Madame Cabana est de confession juive (source :
Steve Nadjar, Journaliste, Responsable contenus du site, « Anna Cabana « Je m’intéresse à l’idée que les
politiques se font de Dieu » » sur Actualités
Juives (consulté le 3 novembre 2018) :
«Tout le monde sait que je suis juive mais je ne porte pas de signes
ostentatoires. Si mon identité juive est absolument essentielle pour moi, je ne
m’engage pas sur ce terrain dans le cadre de ma vie professionnelle…». Oui
d’accord, mais quel rapport entre l’identité religieuse de madame Cabana, et un appel même implicite à faire «barrage» à la candidate FN ? C’est
simple comme Guten Tag, la trop
célèbre réductio-ad-hitlerum
s’attache à madame Le Pen comme la vérole sur le bas clergé ou la chaude pisse
sur le rabbinat populaire, disqualifier un personnage politique en le comparant
à un personnage honni du passé comme le social-nationaliste Hitler un
antisémite notoire et avéré fait partie du marxisme culturel comme l’appartenance
de madame Le Pen à un groupe identitaire et à la présidence d’un parti
nationaliste fait d’elle dans l’ensemble de la presse Française une présumée
anti-semite sans aucune preuve. Mais il est certain que pour la rédactrice en
chef du journal du Dimanche qui affirme que «Si
mon identité juive est absolument essentielle pour moi, je ne m’engage pas sur
ce terrain dans le cadre de ma vie professionnelle» ça peut poser un petit
problème très marxiste culturel.
Elles étaient comme on va le voir 61 organisations de
la fameuse «société civile» (voir
ici) à lancer un «cri d’alarme» dans le JDD, une semaine avant le second tour de la
présidentielle qui opposait madame Le Pen à monsieur Macron. Sans citer le nom
des deux candidats la rédaction du JDD nous précisait que ces mouvements (tous
d’ultra gauche) publiaient un appel à la mobilisation «face à celles et ceux qui prônent le rejet de l’autre et le repli sur
soi. Il en va de la défense de nos valeurs les plus universelles, un enjeu
majeur de cette élection». Un appel implicite à voter contre Marine Le Pen.
Et c’est là parmi les 61 signataires que l’on retrouve Foodwatch
avec : ActionAid France - Peuples Solidaires, Aides, Alofa Tuvalu,
Alternatiba, Animafac, ANV-COP 21, Association des paralysés de France, Attac,
CCFD Terre solidaire, Centre Primo Levi, Ceras, Concordia, Coordination Sud,
CRID, Emmaüs France, Étudiants et Développement, Fadear, Fédération des acteurs
de la solidarité, Fédération des associations de Marocains en France,
Fédération Loisirs solidarité retraités, Fondation Abbé-Pierre, Fondation
Énergies pour le monde, Foodwatch, Forim, France Libertés, France Nature
environnement, France Terre d’asile, Générations futures, Greenpeace France,
Hôtel social 93, Jeunesse ouvrière chrétienne, L’Auberge des migrants, Cimade,
Ligue de l’enseignement, La Main tendue, Les Amis de la terre France, Ligue des
droits de l’homme, LVN - Personnalistes et citoyens, Maison des potes, Médecins
du monde, Miramap, Mountain Wilderness France, etc. etc.
Tiens, il manque le MRAP, la rédaction du JDD doit me
lire, surtout
lorsque j'affirme que le MRAP distille de la haine des juifs en général !
Cette bonne dame Anna Cabana, née Anna Bitton devrait
peut-être m’aider dans mon combat pour dreuz.info ,
votre bouffée d’air du matin pour mieux supporter les mensonges des médias. Et
prendre conscience que c’est le raciste antisémite génocidaire Hitler qui
disait : « Si nous sommes
socialistes, alors nous devons forcément être antisémite – et l’opposé, dans ce
cas, c’est le Matérialisme et le Mammonisme, auxquels nous cherchons à nous
opposer (…) Comment, en tant que
socialiste, ne pouvez-vous pas être antisémite ? »
J’invite aussi madame Anna Cabana à me lire ici,
lorsque je m'exclame: Je suis Arno !
https://www.forim.net/ (Lien de la nébuleuse communiste de
la haine rouge).
Le Forum des
Organisations de Solidarité Internationale issues des Migrations (FORIM) est une plateforme
nationale qui réunit des réseaux, des fédérations et des regroupements
d'Organisations de Solidarité Internationale issues de l'Immigration (OSIM), engagés dans des actions
d'intégration ici et dans des actions de développement dans les pays d'origine.
Le FORIM représente environ 1000 associations intervenant en Afrique
Subsaharienne, au Maghreb, en Asie du Sud Est, aux Caraïbes et dans l'Océan
Indien. Créé en mars 2002 avec le soutien des pouvoirs publics français, il
témoigne de la volonté de ses membres de s'associer à toutes les composantes de
la société civile française, afin de favoriser l'intégration des populations
issues des migrations internationales, de renforcer les échanges entre la
France et les pays d'origine et de contribuer au développement de leur région
d'origine. Il montre une image spécifique de la vie associative des personnes
issues de l'immigration et met en évidence les aspects positifs de la double
appartenance en faisant la promotion d'actions conduites en France autour de
l'intégration, de l'échange culturel et d'actions de développement vers les
pays d'origine. En bref un gouffre bouffe pognon de vos impôts !https://www.france-libertes.org/fr/ Fondation Danielle Mitterrand (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Depuis sa création en 1986, France Libertés œuvre avec
100% d’argent issu de vos impôts pour faire respecter les «droits» des fameux «peuples»
à travers le monde et soutient notamment ceux qui ont difficilement voix au
chapitre (peuples opprimés, minorités, peuples autochtones…). Grâce à son
statut consultatif auprès des Nations Unies, France Libertés partage sa tribune
avec les «peuples» (pas tous, faut
pas déconner, les Chinois et autres Viêts ou Cambodgiens en sont exclu de même
que les Zimbabwéens communistes et génocidaires) qui souhaitent dénoncer
l’oppression de régimes autoritaires et le refus des États de reconnaître leurs
droits humains fondamentaux.
https://www.fne.asso.fr/, France Nature environnement (Lien de
la nébuleuse communiste de la haine rouge).
France Nature Environnement est la fédération française
des associations de protection de la nature et de l'environnement. Elle est la
porte-parole d'un mouvement de 3500 associations, regroupées au sein de 64
organisations adhérentes, présentes sur tout le territoire français, en
métropole et outre-mer. Fondée en 1968, reconnue d’utilité publique
en 1976, c’est-à-dire dévoreuse de l’argent de vos impôts, France Nature
Environnement se bat pour la protection de la nature et de l’environnement. Une
équipe fédérale, composée de près de 120 bénévoles et 43 salariés, s’y investit
au quotidien. Les
dérives de France Nature Environnement
https://www.france-terre-asile.org/ France
Terre d’asile (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
L'association selon la loi du 1er juillet 1901, dite
France terre d'asile, fondée en décembre 1970, a principalement pour but le
maintien et le développement d'une des soi-disant plus anciennes traditions
françaises, soi-disant celle de l'asile et de garantir en France
l'application de toutes les conventions
internationales pertinentes (c’est-à-dire marxistes culturelles
internationalistes qui ne sont en aucun cas du droit). Pour l'association, il
s'agit d'aider toutes les personnes en situation de migrations soi-disant de «droit», en particulier celles répondant
aux définitions de «réfugié» et «d'apatride» précisées par les «conventions» dites internationales, notamment par
l'article premier de la
convention de Genève du 28 juillet 1951 complété par l'article premier du
protocole de New-York du 31 janvier 1967 et par la convention de New-York du 30
août 1961, ainsi que les personnes ne bénéficiant pas du statut légal de
réfugié ou d'apatride.
https://www.generations-futures.fr/
Générations futures (Lien de la nébuleuse
communiste de la haine rouge, faisant appel à ne pas voter pour le
Rassemblement National, voir plus haut, à Foodwatch).
Générations Futures est une association de défense de
l’environnement agréée par le ministère de l’Ecologie depuis 2008
(renouvellement obtenu en 2014 et 2019), et reconnue d’intérêt générale.
L’association a été fondée en 1996 (anciennement nommée le Mouvement pour les
Droits et le Respect des Générations Futures ou MDRGF) par un ingénieur
agronome, Georges Toutain (qui se définit lui-même comme agro-écologiste), et
un enseignant, François
Veillerette, coauteur de l’ouvrage de référence «Pesticides, révélations sur un scandale
français», paru chez Fayard en 2007 (Monsieur Veillerette
est une Pastèque (vert dehors, rouge dedans) élu conseiller régional en mars
2010 avec Europe Écologie et président de Greenpeace France de septembre 2002 à
juin 2005 puis vice-président en 2008 et 2009 ce qui explique bien des choses
pas très propres beaucoup plus rouges que vertes). Générations Futures mène des
actions (enquêtes, colloques, actions en justice, campagne de sensibilisation…)
pour informer sur les risques de diverses pollutions (les substances chimiques
en général et les pesticides en particulier) et promouvoir des alternatives à
ces produits menaçants la santé et l’environnement.
https://www.greenpeace.fr/ Greenpeace
France, (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Au-delà des enjeux environnementaux sur lesquels nous
nous mobilisons au quotidien, Greenpeace porte des valeurs liées à son histoire
et sa culture. Tout d’abord, Greenpeace est une organisation internationale. Les crises
environnementales, comme les crises sociales ou les conflits, ne s’arrêtent pas
aux frontières. Aucun Etat, aucun gouvernement n’est capable de régler seul la
question du changement climatique, de la perte de biodiversité ou de la paix
dans le monde. Tous les bureaux de Greenpeace travaillent ensemble au règlement
global d’enjeux qui dépassent les frontières. Greenpeace soutient la lutte contre les inégalités et promeut un strict
respect des droits humains. Les injustices sociales et environnementales
doivent être combattues ensemble. Au-delà de la préservation de la planète, nos
engagements et nos actions contribuent aussi à réduire la précarité
énergétique, préserver la sécurité alimentaire, défendre les moyens de
subsistance des populations ou permettre un accès de tou-te-s (inclusif =
cocos) à l’eau potable. Notre vision de la transition écologique est celle d’une transformation
juste et bénéfique pour tous, porteuse d’une meilleure répartition des
richesses, pourvoyeuse d’emplois et d’une qualité de vie renforcée. Nous sommes
pour la coopération, l’échange lorsqu’il se base sur le respect de l’intérêt
général, et rejetons l’accumulation et la surconsommation liées à un modèle
économique productiviste. Il faut consommer moins et mieux. Nous défendons également la liberté d’expression, de réunion et de
manifestation, piliers indispensables de nos modes d’action. Nous exerçons la
plus grande transparence concernant nos actions, nos propositions et notre
financement. Nous en attendons autant à l’égard de tous les acteurs politiques
et économiques. Nous n’acceptons pas que des décisions concernant notre avenir
commun soient prises dans le secret et pour le seul bénéfice à court terme de
certains intérêts privés. L’ouverture,
la générosité et la solidarité font aussi partie de notre colonne vertébrale.
Nous rejetons toute forme d’intolérance, de racisme et de repli sur soi.
Greenpeace est une organisation qui souhaite la mise en place de politiques
d’accueil pour tous ceux qui souffrent et fuient leur pays, quelles qu’en
soient les raisons. Une plus grande solidarité doit s’exercer non seulement
entre les êtres humains, quelle que soit leur religion, leur orientation
sexuelle ou leur mode de vie, mais aussi envers notre environnement. Greenpeace
est une organisation pacifiste et non-violente. Les liens entre les crises
environnementales et les conflits sont de plus en plus étroits. L’accès à des
ressources naturelles en raréfaction, qu’elles permettent de produire de
l’énergie ou de contribuer à la vie sur terre, est générateur d’instabilité et
de guerres et se fait souvent aux dépens des droits humains. Sans une plus
juste exploitation de nos ressources il n’existera pas de paix dans le monde.
La pacification de la planète et la protection de l’environnement sont
intrinsèquement liées. Greenpeace est
née du courage et de la conviction d’un petit groupe de personnes engagées
contre les essais nucléaires en 1971. Aujourd’hui encore, nous restons
convaincus que le changement passe par l’engagement et l’action d’un nombre
toujours plus important de citoyens qui refusent la fatalité et décident d’agir
ensemble. Greenpeace soutiendra en ce sens les initiatives individuelles ou
d’organisations alliées au sein de la société civile qui défendent les mêmes
objectifs.
Enfin, Greenpeace est une organisation résolument tournée vers l’avenir
et porteuse d’espoir et de solutions. L’optimisme est une forme de courage et
lorsque les gens se lèvent en nombre suffisant avec la conviction qu’ils
peuvent rendre ce monde meilleur, tout devient possible !
Bien que plus modeste en taille que le WWF, Greenpeace
peut sans problème revendiquer son statut de «multinationale verte», avec ses 27 bureaux nationaux et un budget
total de 170 millions d’euros en 2007 pour 2,7 millions d’adhérents. Greenpeace
dirige une petite armée de 1400 salariés et de 10.000 volontaires qui lui a
permis, à la différence notoire du WWF, de devenir l’organisation écologiste la
plus médiatique au monde et sans doute la plus connue. Paradoxalement, elle
reste aussi sur de nombreux aspects la plus mystérieuse. En effet, l’aventure de
Greenpeace commence modestement avec un petit groupe de militants qui, en 1971,
s’embarque sur un bateau pour s’interposer et empêcher la réalisation d’un
essai nucléaire américain dans le Golfe de l’Alaska. Ces militants ont une
excellente idée : ils embarquent également six journalistes et une équipe de
télévision de la chaîne CBC. En 1972, les Etats-Unis abandonnent les essais
nucléaires atmosphériques, offrant ainsi aux combattants écologistes une
première victoire. Pour Bruno Rebelle, ancien dirigeant de Greenpeace France,
cet événement est « l’élément structurant du mode opératoire ». Ce mode
opératoire va trouver toutes son ampleur quand ce groupe d’écologistes, baptisé
désormais « Greenpeace », décide de mener campagne contre les essais nucléaires
français à Mururoa. Là, ils sont rejoints par un certain David McTaggart, futur
grand boss de l’organisation. En 1973, les militaires français arraisonnent le
Véga, le bateau de Greenpeace, et brutalisent McTaggart qui perdra
partiellement l’usage d’un œil. Les images de l’agression, prises par un membre
de l’équipage, seront reprises dans la presse internationale. Voilà pour le
mythe fondateur de Greenpeace – la suprématie de David sur Goliath –, modèle
qui sera par la suite sans cesse reproduit. Maintenant, comment cette poignée
de militants barbus est devenue en quelques années une multinationale verte,
avec des financements très importants, personne à ce jour n’a encore réussi à
résoudre cette énigme. Certains
ont vu dans Greenpeace la main du KGB. Et il est indéniable que, dans les
années 80, le pouvoir soviétique a soutenu et encouragé l’association
écologiste, surtout quand elle dénonçait davantage les missiles à l’Ouest qu’à
l’Est. D’autres observateurs, on crut déceler la main de la CIA. En 1991, par
exemple, le journaliste autrichien Michael Knessler écrivait que David
McTaggart «n’a pas réussi à démentir de
façon convaincante les accusations venant de sources françaises selon
lesquelles il avait travaillé pour le compte de fonctionnaires américains dans
une mission secrète en Amérique latine». Certains anciens de Greenpeace ont
même prétendu que l’association avait reçu 100.000 dollars en 1979 de la CIA
pour tester les défenses soviétiques sous prétexte de protestation contre la
pêche à la baleine. D’autres enfin y voient simplement une grosse machine
opportuniste dont l’un des objectifs principaux est de faire de l’argent.
http://www.abri-groupe.org/ Hôtel
social 93 (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
L'association Hôtel Social 93 a pour objet de créer,
animer, gérer des centres d'hébergement provisoire, susceptibles d'offrir un
accueil convivial et un accompagnement social aux personnes les plus démunies
(Un muni? Non des munis). Hôtel Social 93 a développé un dispositif comprenant
12 structures d'hébergement et 2 services de premier accueil (Samusocial 93 et
un centre de jour).
http://www.joc.asso.fr/ Jeunesse
ouvrière chrétienne (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Créée en 1925 en Belgique par un prêtre (un idiot utile
Belge), Joseph Cardijn, la JOC naît en France à Clichy en 1927 sous l’impulsion
du père Guérin. Il proposait aux jeunes qu’il rejoignait de réfléchir,
d’analyser ce qu’ils vivaient, de se former et de mener l’action vers le
socialisme et les lendemains qui chantent l’internationale. Lorsqu’il entendit
parler de la JOC belge, il eut l’intuition que c’était l’outil dont ils avaient
besoin pour faire l’unité de leur vie dans tous les domaines (famille, amis,
logement, travail, foi…) Le mouvement
se développa dans un contexte industriel et ouvrier de manière fulgurante et
devint rapidement un mouvement de masse influençant la création des mouvements
d’action catholique spécialisés par milieux dans l’Eglise.
La JOC, Jeunesse Ouvrière dite Chrétienne, est une
association de garçons et de filles marxiste culturelle issus de milieux dits «ouvriers et populaires». Ensemble, ils
discutent et réfléchissent beaucoup mais n’agissent que très rarement pour
avoir prise sur ce qu’ils vivent et changer ce qui ne va pas autour d’eux et
dans la société. Avec 120 fédérations locales, la JOC est gérée et animée par
les jeunes eux-mêmes.
La JOC association communautariste propose aux jeunes
de milieux «populaires» les fameux «prolos» des espaces pour se
rencontrer, s’exprimer et agir ensemble.
Association d’éducation populaire c’est-à-dire encore
une fois qui vit de l’argent des impôts de tous les Français même bouddhistes,
ce sont les jeunes eux-mêmes qui en sont responsables. Avec la JOC, ils mènent
des projets de solidarité et apprennent à comprendre le monde de façon
marxiste-léniniste. En France, ils sont 8 à 9 000, de 13 à 30 ans, en formation,
au travail ou en précarité, qui agissent pour l’autonomie des jeunes, pour
favoriser le vivre ensemble et le lien social dans les quartiers populaires. À
travers ces expériences, ils se réalisent et franchissent les étapes de la
citoyenneté. Le mouvement appelle les jeunes à donner du sens à leur vie en
proposant la nouvelle foi chrétienne fortement teintée de rouge.
Sur
Réinformation TV, Jeanne Smits évoque le 19 septembre 2018 une
commentatrice danoise, Iben Thranholm, dont l’analyse a été reprise par
LifeSiteNews. Pour expliquer les abus sexuels dans l’Eglise, il faut remonter à
l’époque bolchevique et à celle de Staline et au résultat d’une stratégie
soviétique pour détruire l’Eglise de l’intérieur. La stratégie existe depuis
les années 20 et s’appelle le Marxisme Culturel c’est sa règle N°5 qui nous
intéresse ici : Destruction des
repères culturels et moraux fondateurs en sabotant le judéo-christianisme. Iben Thranholm cite
d’emblée une vidéo disponible sur YouTube où l’on voit le témoignage d’un
ancien responsable de la propagande soviétique, Youri Bezmenov, membre du KGB
avant de passer à l’Ouest en 1970. Il fut longtemps collaborateur de l’agence
de presse soviétique Novosti et s’expliqua après sa défection sur la propagande
marxiste de l’Occident en cours, affirmant dans cette vidéo datant de 1983 que
le KGB menait sa guerre contre l’Amérique essentiellement au moyen de «la subversion idéologique»(Voir
ici la vidéo de Yuri Alexandrovitch Bezmenoz). Il
précisait alors que l’espionnage à la James Bond représentait seulement 15 % de
l’activité du KGB ; à l’inverse, les «mesures actives» visaient à démoraliser
la jeunesse en Occident représentaient le plus gros du travail de la police
politique communiste. Les marxistes cherchaient surtout, selon Bezmenov, à «corrompre la jeunesse, à la focaliser sur
le sexe, à l’éloigner de la religion». Les jeunes, il fallait les «rendre superficiels et les affaiblir
(…) ; il fallait détruire la foi des
peuples en leurs chefs nationaux en exposant ceux-ci au mépris, au ridicule, au
déshonneur (…) ; en organisant
l’effondrement des vieilles vertus morales : l’honnêteté, la sobriété, la
maîtrise de soi, le respect de la parole donnée». Dans
cet entretien filmé, Youri Bezmenov précisait que les principales cibles
étaient les institutions religieuses, l’enseignement, les médias et la culture
: pendant que les Etats-Unis rejetaient – en apparence – fermement le
communisme soviétique tout au long de la Guerre froide (il n’est pas question
dans l’article d’Iben Thranholm des collusions entre le capitalisme et le
communisme dans les hautes sphères mondialistes), l’endoctrinement
marxiste-léniniste était endémique dans les universités, les médias et le monde
de la culture en Occident au cours des années 1960 et 1970, comme le résume
Iben Thranholm. […] Elle
évoque alors le témoignage de l’ancienne communiste Bella Dodd, convertie au
catholicisme en 1952 grâce à Mgr Fulton Sheen : devant le Comité des activités
antiaméricaines de la chambre des représentants (HUAC), celle-ci avait témoigné
à l’époque d’un plan déjà ancien d’infiltration. «Au cours des années 1930, nous avons orienté 1.100 hommes vers le
sacerdoce en vue de détruire l’Eglise de l’intérieur. L’idée était de les faire
ordonner, afin qu’ils puissent grimper sur l’échelle de l’influence et de
l’autorité en devenant des Monsignors et des évêques».
Ils étaient choisis pour leur absence de foi et de vertu morale. Alice
von Hildebrand, veuve de Dietrich von Hildebrand, elle-même philosophe et
professeur, qui connaissait bien Bella Dodd, affirme que celle-ci avait assuré
que du temps où elle était membre actif du Parti, elle avait eu affaire à pas
moins de quatre cardinaux au Vatican «travaillant pour nous», comme elle le
disait. […] Pour Iben Thranholm, ce qui se déroule actuellement sous nos yeux
pourrait bien être le terrible résultat de cette infiltration, les «agents» implantés au milieu du siècle
dernier s’étant chargés de recruter d’autres hommes de leur acabit dans les
séminaires. De fait, l’explosion des cas d’agressions sexuelles remonte aux
années 1960, de telle sorte qu’on peut se demander si, plutôt que de s’agir de
prêtres ayant cédé à la tentation, il n’existe pas ici une attaque généralisée
à l’encontre de la foi et de la morale chrétiennes du fait d’un ennemi rusé et
profondément pervers. En 2016, Alice von Hildebrand attirait l’attention sur ce
fait, notant que l’un des éléments clefs des faits qui sont aujourd’hui mis au
jour est bien le fait que de nombreux coupables n’étaient pas : «Des prêtres catholiques devenus esclaves
d’une “concupiscence sans limites” mais des infiltrés ayant obtenu de faux
certificats de baptême et qui étaient à l’évidence des agents du communisme et
de la démoralisation». «J’ai su par
Bella Dodd que ces hommes pervers avaient même infiltré le Vatican – car
l’Eglise catholique est la pire ennemie du communisme. Et ils le savent». «Ainsi, la mission stalinienne
anti-chrétienne est en passe d’atteindre son but deux générations après
Staline, à un moment où l’Occident est confronté au second avènement du
marxisme». Selon
Iben Thranholm, la subversion de ce qui reste des cultures chrétiennes en
Occident va permettre une nouvelle ère soviétique : «Nous pouvons déjà en observer les signes avant-coureurs : la
suppression de la liberté d’expression, la tyrannie du politiquement correct,
et la persécution politique et psychologique brutale des chrétiens. Seule une
Eglise purifiée est capable de se dresser face à ce type de régime diabolique».
Vous savez si
vous avez déjà lu ici que maintenant les classes dites «sociales» n’existent plus, l’ère de la
«dictature du prolétariat» est
advenue, les «parasites» (on a vu
plus haut que le programme des gouvernements mondiaux devenus marxistes
culturels tient en un mot: c’est du parasitisme) de premier niveau (les plus ou
moins riche) gouvernent le «peuple» (de
plus en plus pauvre). C’est le marxisme culturel dans sa pleine acceptation,
devenue une religion séculière avec ses dieux, son clergé, ses dogmes et sa
liturgie. Il est bien certain que si l’homme a besoin d’air, de nourriture, de
divertissement, de sexe il a aussi le besoin de croire en quelque chose. Les marxistes
culturels et particulièrement les disciples de Freud et de son neveu Bernays
avaient compris qu’avant d’être un être de raison, l’homme est un être
d’émotion. Les marxistes croient en leurs Dieux la laïcité et même en rien car
rien c’est déjà quelque chose (voir les trous noirs) les médias, le monde
théorique, les hommes ont besoin de chefs, de quelqu’un à suivre sans poser de
question ce qui explique le culte (notez le mot : Culte) de la personnalité,
les marxistes culturels ont recours à la tromperie, a un bel emballage pour
créer une image de confiance en leur système inepte. Système provoquant des
crises graves d’encéphalite spongiforme religieuse avec des coliques quasiment
frénétiques aux tripes du cerveau des susdits.
https://www.laubergedesmigrants.fr/fr/accueil/ L’Auberge
des migrants (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Depuis 2008, l’Auberge des Migrants intervient auprès
des exilés des immigrés clandestins voulant se rendre chez nos «amis» et maudis Anglois dans le
Calaisis et le Nord de la France, en apportant aide matérielle et alimentaire,
sur le dos des français avec un accompagnement et défense des fameux «droits». Notre entrepôt situé à Calais
accueille chaque jour entre 30 et 70 volontaires. Ils travaillent à la
préparation des repas et des dons matériels, avant de les distribuer sur les
camps du Nord de la France ou dans les rues de Calais.
https://laligue.org/ Ligue
de l’enseignement (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Mouvement laïque d’éducation populaire, subventionnée à
150% avec le pognon des impôts des Français, la Ligue de l’enseignement propose
des activités éducatives, culturelles, sportives et de loisirs c’est-à-dire
pleinement marxistes culturels.
Après la Libération, là où commence vraiment à
s’installer les bases du marxisme culturel on assiste à une
institutionnalisation des mouvements gauchistes. C'est un moment plus
ambivalent qu'il n'y paraît. Traumatisés par l'impuissance des «valeurs» républicaines et de l'instruction
transmise par l'école pour enrayer le fascisme social-nationalisme, les
refondateurs de l'Éducation nationale décident de créer une direction de
l'éducation politique, des jeunes et des adultes, et d'en confier la pédagogie
non pas à des enseignants mais à des militants politiques marxistes et des acteurs
activistes gauchistes de la culture. Un
demi-siècle plus tard, la règle N° 7 de la théorie marxiste culturelle joue son
plus bel effet : Affaiblissement de l’éducation par une baisse progressive
du niveau et une élimination de la
sélection afin de faire disparaitre tout repère chez les jeunes.
De fait, l'État Français honni avait créé, par l'ordonnance du 2 octobre
1943, reconduit à la Libération un statut administratif des associations
d'éducation populaire. Cet agrément Jeunesse et Éducation populaire, qui est
délivré à la discrétion de l'administration de la jeunesse et des sports,
nécessite au moins trois ans d'existence de l'association et le respect de
certains principes : liberté de conscience, non-discrimination, fonctionnement
démocratique, transparence de la gestion et absence de buts lucratifs. Il
permet de bénéficier d’énormes subventions publiques, de certains allègements
de cotisations sociales et de redevances (SACEM), ainsi que de se porter partie
civile pour les problèmes touchant des publications destinées à la jeunesse.
http://lamaintendue.org/ La
Main tendue, (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Encore une Association humanitaire de plus autour des
actions «solidaires» nationales et
internationales valorisant l’humain, avec une branche à Chatou et une autre en
Côte d’ivoire, à but non lucratif régie sous la loi 1901, l’association la Main
Tendue est enregistrée sous le numéro W783002926 avec parution au J.O. et le
numéro SIRET 752 715 268 OOOO13
https://www.amisdelaterre.org/ Les
Amis de la terre France, (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
La fédération des Amis de la Terre France est une
association de protection de l’Homme et de l’environnement, de loi 1901 et
agréée pour la protection de l’environnement c’est-à-dire très fortement
subventionnée pour détruire les valeurs de la république. Elle se dit sans rire
indépendante de tout pouvoir économique, politique et religieux. En
France, les Amis de la Terre forment un réseau d’une trentaine de groupes
locaux et de groupes associés autonomes qui agissent selon leurs priorités
locales et relaient les campagnes nationales et internationales sur la base
d’un engagement commun en faveur de la justice sociale et environnementale.
Les Amis de la Terre France comptent de nombreux alliés
(marxistes stalinien, socialistes ou communistes) dans la société dite civile
qui n’est que marxiste culturelle et dont les actions sont complémentaires aux
leurs. Parmi eux, citons Attac France, La Via Campesina France,
le CRID et le Réseau Action Climat
les gays filiales du PCF !
http://www.lvn.asso.fr/ LVN
- Personnalistes et citoyens, (Lien de la nébuleuse communiste de la haine
rouge).
Au premier abord cela semblerait plutôt sympathique, si
ce n’était l’origine du lien à leur habitude, les cocos font de l’entrisme. LVN
- personnalistes et citoyens rassemble des femmes et des hommes unis par la
conviction que chaque être humain est une personne unique, libre, créatrice qui
se réalise par la reconnaissance et l’acceptation mutuelle des autres.
S’inspirant de la pensée d’Emmanuel Mounier, philosophe français du XXe siècle,
LVN - personnalistes et citoyens a une approche personnaliste qui veut rendre
compte de la globalité de la personne en associant ses différentes dimensions :
corporelle, affective, sociale, citoyenne et spirituelle. Le
personnalisme, ou personnalisme communautaire, est un courant d'idées dit «spiritualiste» fondé par Emmanuel
Mounier autour de la revue Esprit et
selon le fondateur, recherchant une troisième voie «humaniste» entre le capitalisme libéral et les sociaux-nationalismes
ou fascismes. Le personnalisme «post-Mounier»
est une philosophie éthique dont la valeur fondamentale est le respect de la
personne. Le principe moral fondamental du personnalisme peut se formuler ainsi
: «Une action est bonne dans la mesure où
elle respecte la personne humaine et contribue à son épanouissement ; dans le
cas contraire, elle est mauvaise». C’est peut-être ce qui explique le lien ?
Pourtant le personnalisme, nommé aussi personnalisme communautaire, de
Mounier n’est ni un système ni une doctrine. C’est une «matrice philosophique», suggère Jean-Marie Domenach, ancien
directeur d’Esprit. Même si c’est bien sa foi chrétienne qui l’inspire, il
n’entend pas faire œuvre confessionnelle. Esprit ne sera donc pas une revue
catholique, mais une revue où des croyants et des incroyants se fréquentent,
discutent, s’expriment. Il veut créer une fraternité fondée sur un socle de
valeurs communes et sur une méthode qui privilégie la discussion et la
pluralité des points de vue.
Nonobstant Mounier aurait été de droite, de ce qu’il
appellera la Jeune Droite qui rassemblait de jeunes intellectuels plus
ou moins dissidents de l'Action française
(parmi eux Jean de Fabrègues, Jean-Pierre Maxence
et Thierry Maulnier)
autour de revues comme Les Cahiers, Réaction, La Revue française, La Revue du siècle.
Mounier relance Esprit à Paris dès la Libération. Installé avec
plusieurs amis dans la propriété des Murs blancs à Châtenay-Malabry, il reprend
des tâches accrues : directeur de la revue et des collections Esprit aux
éditions du Seuil, animateur de groupes de réflexion, conférencier, auteur de
nombreux articles, de causeries à la radio et de plusieurs ouvrages. Honoré par
la France résistante, il est reconnu comme le chef de file du courant
personnaliste, interlocuteur des intellectuels communistes et existentialistes
(ce qui explique encore mieux le lien), principal maître à penser de la jeune
génération chrétienne et protagoniste de tous les débats politiques et
religieux de ces années. Il meurt brutalement à 45 ans d’un infarctus survenu
en pleine activité, le 22 mars 1950.
http://www.maisondespotes.fr/ Maison
des potes, (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
La FNMDP, la Fédération Nationale des «Maisons Des Potes» (FNMDP) est un
réseau d'associations de quartier au
service des associations de racailles et des habitants des quartiers dits «populaires». Créée en 1989, elle a pour
vocation de participer au développement des projets associatifs dans les
quartiers dits «défavorisés». Ces
gens-là seraient animés par les fameuses «valeurs
de l'Éducation Populaire», de l’antiracisme, de la laïcité, du féminisme,
de la solidarité, de la justice sociale... Elle articule son action autour du
concept de «Maison des Potes», véritable
espace citoyen au service des habitants, pour leur offrir un relais face aux
carences publiques auxquelles ils sont confrontés. Elle porte également des
projets spécifiques tels «SOS-Stages», qu'elle
expérimente avant de le diffuser à l'ensemble de son réseau au niveau national
ou encore le magazine «Pote à Pote»,
véritable porte-voix des acteurs de quartier, dont elle valorise les actions et
à qui elle donne un espace d'expression sur les thématiques qu'ils traitent. La
volonté, faire clairement émarger une vision plus réaliste et positive des habitants
des quartiers et des projets associatifs qui y sont menés. Alors
oui ! Touche pas à mon Pote, monsieur Éric Zemmour ! À
vos smartphones !
https://www.mountainwilderness.fr/ Mountain
Wilderness France, (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Bizarre, étrange ! Le lien donné par des cocos est
étonnant d’autant que Mountain Wilderness soutient la juste cause Tibétaine
contre la colonisation communiste Chinoise. Nonobstant dans l'entre-deux-tours
de l'élection présidentielle française de 2017 qui opposait madame Le Pen à
monsieur Macron, Mountain Wilderness France appelait implicitement dans une
tribune avec les soixante autres associations marxistes culturelles d’abrutiles
distingués à faire barrage à la candidate FN (Voir ici à : Foodwatch.org).
Ceci expliquerait peut être cela ?
En 1987 à Biella en Italie, naissait le mouvement
Mountain Wilderness International. Son objectif ? La sauvegarde de la montagne,
sous tous ses aspects. La philosophie et les buts du mouvement sont décrits
dans les «Thèses de Biella», adoptées
lors du congrès fondateur. Organisation non gouvernementale (ONG), Mountain
Wilderness International est reconnue au niveau de l’Union européenne et du
Conseil de l’Europe, par le biais de son action pour la mise en place de lois
cadres et de recommandations relatives à la politique de la montagne. Le
mouvement Mountain Wilderness est actif dans une dizaine de pays,
principalement en Europe et en Asie. La section française de Mountain Wilderness a été
créée en septembre 1988 lors
du Congrès d’Evian.
Les actions ponctuelles, sur le terrain, ont pour objet de provoquer une prise
de conscience et d’ouvrir le dialogue entre les acteurs concernés. La naissance
du mouvement a été ainsi marquée par des campagnes de remise en cause des
remontées mécaniques existantes, de sur-pitonnage des falaises en haute
montagne, des vias ferratas. Mountain Wilderness International a organisé la
première expédition de nettoyage d’un grand sommet himalayen, le K2. Aujourd’hui
Mountain Wilderness International : organise des formations à la pratique
écologique de l’alpinisme en Inde, au Pakistan et en Afghanistan, participe à
l’éducation à l’environnement en collaboration avec des agences de trek, lutte
contre la pratique de l’heliski, agit pour la protection du massif du
Mont-Blanc, coordonne les actions des différentes sections nationales, incite
de nouvelles sections à émerger dans les pays montagneux. Le poste de délégué
international au sein de Mountain Wilderness France est actuellement
conjointement occupé par Bernard Marclay et Michel Dietrich.
https://www.medecinsdumonde.org/fr
Médecins du monde, (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
En 1978, quelque part en mer de Chine, un bateau vogue
à la dérive. À son bord, 2564 réfugiés vietnamiens qui fuyaient le communisme
qu’aucun pays ne veut accueillir. Désespérés, ils lèvent une banderole : «Nous sommes menacés de famine et
d’épidémies. Nations unies, sauvez-nous !» Des médecins, parmi lesquels
Bernard Kouchner, des intellectuels (?) et des journalistes partent sur un
navire-hôpital, L’Île de lumière,
pour soigner mais aussi témoigner de la situation des boat-people qui fuyaient
l’atroce communisme génocidaire. Le 1er février 1980, Médecins du Monde est né.
L’association s’est assignée un triple objectif : aller où les autres ne vont
pas, témoigner de l’intolérable et travailler bénévolement. Il s’agit avant
tout, selon l’un des médecins fondateurs, de «créer une structure prête à parer aux situations d’urgence, dans les
délais les plus brefs, ce qui n’est parfois pas possible aux institutions
internationales».
Décembre 1979, les troupes soviétiques communistes envahissent
l’Afghanistan. Le pays, déjà naturellement défavorisé par l’Islam qui y règne
en maître et éprouvé par des famines successives, est maintenant confronté à la
guerre. L’état sanitaire devient rapidement critique : comme dans tous les pays
islamiques, pas de médecins, pas d’hôpitaux, des blessés de guerre laissés à
l’abandon. Médecins du Monde décide d’intervenir clandestinement en 1980. C’est
le début d’une longue aventure où plus de cent médecins se sont relayés
organisant des campagnes de vaccination, formant le personnel infirmier local
et participant à la réorganisation scolaire et agricole.
Été 1980. Au Salvador, la situation est de plus en plus grave. L’armée
ratisse et quadrille, la guérilla marxiste stalinienne continue ses exactions
abominables (La rébellion du FMLN (Frente
Farabundo Martí de Liberación Nacional) était soutenue par Cuba
et le Nicaragua qui le fournissaient notamment en armes
soviétiques (AK-47, RPK
et PKM). Les paysans fuient les massacres. Pour
venir en aide à ces réfugiés de l’intérieur, Médecins du Monde organise «un avion pour le Salvador» chargé de
vivres, de médicaments et de vêtements, et installe un camp de réfugiés : Béthania.
Créé officiellement en février 2010, MIRAMAP est le
mouvement Inter-Régional des AMAP (Mouvement pour une Agriculture Paysanne,
sorte de Mécanique de Mécaniciens) ; il a pour objet de renforcer la cohésion
des AMAP à travers le partage d’une éthique marxiste commune, de mutualiser les
expériences collectivistes et les pratiques et d’assurer la représentation et
la mise en valeur des AMAP au niveau national.
Miramap comme Mouvement Interrégional des AMAP, est
plus qu’un réseau collectiviste ou une fédération marxiste culturelle, il s’affirme
comme un mouvement de la société civile (Le terme est attribué à Hegel qui,
dans les Eléments de la Philosophie du Droit, présente la société civile
(bürgerliche Gesellschaft) comme un moyen terme entre l'Etat et la famille) rassemblant
des paysan-ne-s en AMAP et amapien-ne-s (langage inclusif, le coco n’est pas
loin ) en synergie avec des partenaires du monde agricole et de l’économie
solidaire et œuvrant pour : maintenir et développer une agriculture locale, économiquement viable,
socialement équitable, écologiquement soutenable, à faible impact
environnemental, créatrice d’activité économique et d’emploi, de lien social et
de dynamique territoriale ; promouvoir
un rapport responsable et citoyen à l’alimentation ; faire vivre une économie
sociale et solidaire, équitable et de proximité; contribuer à
une souveraineté alimentaire favorisant celle des paysan-ne-s du monde dans un
esprit de solidarité. Et vive l’internationale prolétarienne !
Dans la collectivité socialiste tous les moyens de
production sont propriété de la communauté. La communauté seule peut en
disposer et décider de leur emploi dans la production. C'est la communauté qui
produit, c'est à elle que revient le rendement de la production et c'est d'elle
que dépend la manière dont les produits doivent être utilisés. Les
socialistes modernes, en particulier les marxistes et autres marxistes
culturels, désignant d'ordinaire la communauté socialiste sous le nom de «société», appellent «socialisation» le transfert des moyens
de production à la disposition absolue de la collectivité. On n'aurait rien à
redire à cette expression si l'on ne savait qu'elle a été inventée pour
répandre une imprécision voulue sur un des points du socialisme, dont la
propagande socialiste croyait ne pouvoir se passer. Le
mot «société» a dans notre langue
trois sens différents. D'abord il sert à désigner d'une manière abstraite
l'ensemble des relations réciproques au sein de la société. Puis il désigne
d'une manière concrète la réunion des individus eux-mêmes. Entre ces deux
significations dont le sens est très nettement séparé, le langage de tous les
jours en intercale une troisième : la société abstraite, que la pensée
personnifie et qui devient: «la société
humaine, la société bourgeoise et maintenant la Société Civile» comme nous
le verrons tout à l’heure). Marx et aujourd’hui les marxistes ci inclus les «culturels» et assimilés emploient cette
expression dans les trois sens. C'est parfaitement leur droit, tant qu'ils les
emploient chacun avec l'idée qui leur est propre. Mais ils font justement le
contraire. Quand cela leur plaît, ils les échangent l'un pour l'autre avec
l'adresse dialectique d'un prestidigitateur. Parlent-ils du «caractère social» de la production
capitaliste, ils ont en vue la conception abstraite de la société. Parlent-ils
de la «société» qui souffre de
certaines crises, ils ont en vue la collectivité des hommes personnifiée.
Parlent-ils enfin de la «société» qui
exproprie et qui «socialise» les
moyens de production, ils ont en vue une formation concrète, une réunion
d'individus en société. Et ces trois significations ne cessent d'être échangées
l'une pour l'autre dans l'enchaînement des preuves, selon les exigences de la
thèse à démontrer, et lorsqu'il s'agit de prouver, en apparence, ce qui est
impossible à prouver. Cette manière de dire, soigneusement choisie et employée
avec conséquence, a d'abord pour but d'éviter le mot «État», ou un mot analogue. Car ce mot sonnait mal aux oreilles de
ces républicains et de ces démocrates, au concours desquels le marxisme à ses
débuts voulait encore faire appel. Un programme qui veut faire de l'État
l'unique soutien et l'unique directeur de la direction, n'aurait eu aucune
chance de trouver l'agrément de ces milieux. C'est pourquoi le marxisme devait
et doit chercher une phraséologie qui lui permette de dissimuler le fond
essentiel de son programme. Il arrive ainsi à camoufler l'abîme profond,
insurmontable, qui sépare la démocratie du socialisme. Que les hommes de
l'avant-guerre n'aient pas percé ces sophismes ne prouve pas de leur part une
grande pénétration d'esprit. Mais que dire de ceux d’aujourd’hui ?
https://www.mrjc.org/ MRJC,
(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Jeunes et ruraux engagé.e.s (et allez pour un petit
coup d’inclusif marxiste culturel*) pour transformer la société.
Le Mouvement Rural de Jeunesse Chrétienne (?) est une
association qui oeuvre pour l’animation et la valorisation des territoires
ruraux. Le MRJC propose aux jeunes ruraux·ales (Vous aurez remarqué qu’ici le
paysan à l’inverse de ce que dessus a disparu au profit du rural de se réunir
en équipe à l’échelle d’une ou plusieurs communes afin d’agir ensemble sur leur
lieu de vie. Les actions passent ainsi par des fêtes de village, des échanges
internationaux, de l’accompagnement à l’installation agricole, des festivals…
Le MRJC organise également tout au long de l’année des séjours éducatifs,
vacances collectives, des formations à l’animation pour expérimenter
l’autonomie et la vie en groupe. Il propose aussi des formations et espaces
d’échanges sur différents sujets de société (égalité, culture en milieu rural,
laïcité…).
Entièrement géré et animé par des jeunes de 13 à 30
ans, le MRJC constitue une expérience
d’engagement et de citoyenneté. En permettant aux jeunes d’être acteur·trice·s
de l’association et des projets mis en place, le MRJC est un outil
d’émancipation et de transformation de la société.
A travers Miramap et MRJC nous voyons nettement ce
qu’est devenue en France l'agriculture. C’est est un secteur
économique en déclin rapide dans le monde occidental et par ce motif l'un des
plus subventionnés, ce qui est source de multiples rigidités et
dysfonctionnements. Les politiques agricoles fournissent la meilleure
illustration des thèses de la théorie
du choix public selon
lesquelles une infime partie de la population (les agriculteurs d'un pays)
bénéficie d'avantages aux dépens d'une immense autre partie (les contribuables
et les consommateurs de ce même pays). Face au protectionnisme des pays occidentaux qui empêche le développement des
agricultures des pays du Sud tout en renchérissant le coût de l'alimentation
pour les habitants des pays riches, les libéraux comme les libertariens minarchistes soutiennent le
libre-échange auquel tout le monde serait gagnant. L'interventionnisme étatique en matière d'agriculture consiste
principalement en barrières douanières (le consommateur paie) et en subventions
(le contribuable paie). Dans tous les cas, ces mesures se font au détriment du consommateur et au bénéfice de domaines économiques non
rentables : Nicolas Baverez dira : «Droguée
à la PAC, l’agriculture française a déserté les marchés. À l’exception de
quelques filières comme la viticulture, qui revit en trouvant de nouveaux
clients dans les pays émergents. Pour le reste, nous avons transformé les
paysans en jardiniers du paysage qui vivent de subventions destinées à se
tarir, en s’étant détachés de la production et des consommateurs». L'argument
classique de l'intérêt
général (parfois décliné comme «souveraineté alimentaire» du
pays !) est un pur mensonge marxiste culturel qui sert à justifier
l'oppression de la grande majorité des citoyens. Soit la population est prête à
payer plus cher les productions locales, et en ce cas les mesures
protectionnistes ou les subventions sont injustifiées et absurdes ; soit
elle n'y est pas prête, et en ce cas ces mesures ne sont qu'une coercition étatique qui va à l'encontre des vœux du citoyen, au
bénéfice d'un secteur particulier de l'économie du pays, qui se trouve indûment
privilégié. La
règlementation et la bureaucratie ont largement envahi l'agriculture et
transformé la plupart des agriculteurs en fonctionnaires. Par exemple la
règlementation européenne impose à l'agriculteur de "semer des
jachères", et ceci en respectant des dates réglementaires, cela se
préoccuper de l'intérêt de la chose ni de son efficacité. Le
discours libéral ou même libertarien minarchiste, en pratique, se heurte au
lobby agricole, qui réclame toujours davantage de subventions et de
protections. Ainsi, en Suisse, «îlot de cherté» où existe
(comme dans le reste de l'Europe) un fort protectionnisme agricole (qui renchérit le prix des produits
alimentaires d'environ 30% en comparaison avec le reste de l'Europe), le
conseiller fédéral Christoph
Blocher a choqué en 2004 en demandant
l'ouverture des frontières, la fin des subventions, et un comportement
entrepreneurial de la part des agriculteurs : «La Suisse est devenue une victime de sa propre bureaucratie
agricole. (...) Nous sommes allés trop loin dans les interventions bien
intentionnées de l’État. Laissons les agriculteurs devenir à nouveau des
entrepreneurs !». Un autre
argument fréquent est que sans subventions et sans protectionnisme,
l'agriculture disparaîtrait en Europe faute d'être suffisamment compétitive par
rapport au reste du monde. En réalité, la loi
des avantages comparatifs s'applique
aussi en matière agricole, et doit permettre aux agriculteurs de se spécialiser
dans les créneaux les plus porteurs, plutôt que de se transformer en jardiniers
du paysage ou en conservateurs du patrimoine rural. La Nouvelle-Zélande, pays plus isolé que la Suisse, subventionne très peu
son agriculture en comparaison avec la Suisse ; or l'agriculture reste
l'industrie d'exportation la plus importante du pays. CQFD.
(*) A propos de l’écriture dite «inclusive» vous trouverez ci-après
l’avis de l’académie Française :
Séance du jeudi 26 octobre 2017 : Prenant acte de
la diffusion d’une «écriture inclusive»
qui prétend s’imposer comme norme, l’Académie française élève à l’unanimité une
solennelle mise en garde. La multiplication des marques orthographiques et
syntaxiques qu’elle induit aboutit à une langue désunie, disparate dans son
expression, créant une confusion qui confine à l’illisibilité. On voit mal quel
est l’objectif poursuivi et comment il pourrait surmonter les obstacles
pratiques d’écriture, de lecture – visuelle ou à voix haute – et de
prononciation. Cela alourdirait la tâche des pédagogues. Cela compliquerait
plus encore celle des lecteurs. Plus que toute autre institution, l’Académie
française est sensible aux évolutions et aux innovations de la langue,
puisqu’elle a pour mission de les codifier. En cette occasion, c’est moins en
gardienne de la norme qu’en garante de l’avenir qu’elle lance un cri d’alarme :
devant cette aberration « inclusive », la langue française se trouve désormais
en péril mortel, ce dont notre nation est dès aujourd’hui comptable devant les
générations futures. Il est déjà difficile d’acquérir une langue, qu’en
sera-t-il si l’usage y ajoute des formes secondes et altérées ? Comment les
générations à venir pourront-elles grandir en intimité avec notre patrimoine
écrit ? Quant aux promesses de la francophonie, elles seront anéanties si la
langue française s’empêche elle-même par ce redoublement de complexité, au
bénéfice d’autres langues qui en tireront profit pour prévaloir sur la planète.
A mon avis l’objectif affiché de l’écriture inclusive est d’imposer une prétendue «égalité» des représentations entre les
femmes et les hommes. En réalité, il s’agit d’un champ de bataille
idéologique où resurgit la
dialectique marxiste des rapports exploiteurs/exploités, oppresseurs/opprimés,
revisitée par l’idéologie marxiste culturelle est sa règle N°12: Promotion d’une forme exacerbée de féminisme
jouant sur la jalousie entre sexes plutôt que sur leur complémentarité, la
société est alors vue comme une juxtaposition de communautés, la plupart
rangées en catégories victimaires, dont les femmes. De ce fait, en supprimant
le neutre, l’introduction de l’écriture inclusive prend le risque de communautariser les deux
sexes et d’aboutir non à une égale
représentation, mais d’inciter les victimes à se vivre comme telles, et
à faire endosser aux vrais mâles (hétérosexuels) le statut de bourreau.
http://noe.org/ Noé,
(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Noé a été fondé en 2001 par Arnaud Greth, vétérinaire
et biologiste de formation et ancien directeur scientifique du WWF-France.
L’ADN de Noé se caractérise par son engagement, sa volonté d’être dans l’action
et sur le terrain, sa culture du résultat, et la recherche de solutions
positives. A son lancement de 2000 à 2005, Noé a été incubée par le WWF-France,
avec l’appui de son directeur général, le Belge Cédric du Monceau (Monsieur le
comte du Monceau est membre du Centre démocrate humaniste (CDH), anciennement
Parti social-chrétien (PSC), un parti politique francophone belge de centre
gauche, dont le projet politique s’enracine dans une lecture actualisée de
l’humanisme ou personnalisme d’Emmanuel Mounier, que nous avons déjà vu), puis
par La Fondation pour la Nature et l’Homme, avec le soutien de Nicolas Hulot.
Le premier salarié de Noé a été recruté le 1er avril 2004. Puis
l’association a grandi rapidement. Noé s’adresse au grand public, mais aussi
entreprises et aux collectivités, vecteurs de changement en faveur de la
biodiversité. Je me suis posé la question, pourquoi le lien d’une association
qui apparemment n’a rien à voir avec la pestilentielle idéologie criminelle contre
l’humanité marxiste est-il donné par le Parti Communiste s’affublant du nom de
Français ? Et je suis tombé (rassurez-vous je ne me suis pas fait mal) sur
ça dans leur présentation : «Noé
propose à chacun d’entre nous (grand public, entreprises, collectivités,
institutions), des solutions concrètes pour devenir acteur de la sauvegarde de
la biodiversité. S’engager pour la nature avec Noé, c’est aussi favoriser le
vivre-ensemble à travers l’environnement». Hé ben voilà ça y est :
avec le «vivre ensemble», c’est la
puante règle N°2 du marxisme culturel qui vient encore une fois démontrer de la
sombre imbécilité du «vivre ensemble»
en tentant d’encourager l’immigration de cultures exotiques qui auront du mal à
s’intégrer, généreront des tensions et contribueront à la destruction
progressive de l’identité de la race blanche et des valeurs démocratiques.
C’est en partie l’idéologie multiculturelle qui va aboutir à la disparition de
notre société judéo-chrétienne. Vous me direz que Noé très subventionné par des
municipalités de gauche se devait de faire un petit signe de connivence.
https://www.ompe.org/ OMPE,
(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
L’OMPE (ONG Environnementale, encore une) a été créée
en France en septembre 2013 afin de défendre concrètement les causes
environnementales mondiales comme le maintien de la biodiversité (espèces en
voie de disparition), le réchauffement climatique, les pollutions
(insecticides, plastiques, radioactivité, etc…), la qualité de l’eau et de
l’air, de l’atmosphère, la protection des forêts, etc… Comme dessus, je me suis posé la question, pourquoi le lien
d’une association plutôt sympathique qui apparemment n’a rien à voir avec la
pestilentielle idéologie criminelle contre l’humanité marxiste est-il donné par
le Parti Communiste s’affublant du nom de Français ? Désolé, là je n’ai pas de
réponse !
https://www.one.org/fr/ ONE,
(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Là je ne me suis pas posé de question ONE est tout
simplement marxiste culturelle, écriture inclusive idiote oblige !
Laissons-les se présenter : ONE est un mouvement
mondial qui fait campagne pour en finir avec l’extrême pauvreté et les maladies
évitables d’ici 2030, afin que chacun-e, partout dans le monde (nb : sauf
dans les pays communistes, comme la Corée du Nord, la Chine, Cuba, le Laos et le Viêt Nam, où règne
le bonheur le plus total), puisse mener une vie digne et pleine de
possibilités. Nous sommes convaincu-e-s (poil au nez-e-s) que la lutte contre
la pauvreté (poil au pied-e-s) n’est pas une question de charité, mais de
justice.
Que ce soit à travers des actions
de plaidoyer ou des grandes campagnes de sensibilisation au niveau local,
national, européen ou international, ONE fait pression sur les gouvernements
pour qu’ils agissent davantage en vue de lutter contre l’extrême pauvreté et
les maladies évitables, en particulier en Afrique, et pour que les citoyen-ne-s
puissent demander à leurs gouvernements de rendre des comptes. La mobilisation
de nos membres est essentielle au travail d’ONE. Ces soutiens viennent de tous
bords et de tous horizons. Ce sont des artistes, des militants (ou
tantes ?), des étudiants et des scientifiques. Ils agissent, jour après
jour – en organisant des événements, en sensibilisant les citoyens et en
faisant pression sur les dirigeants politiques – afin de contribuer non
seulement à sauver mais aussi à améliorer la vie des populations les plus
démunies. Les équipes d’ONE à Abuja, Berlin, Bruxelles, Dakar, Johannesburg,
Londres, New York, Ottawa, Paris et Washington DC font pression sur les
gouvernements en vue de les encourager à soutenir et financer des programmes
qui peuvent réellement faire la différence dans la vie des populations les plus
pauvres (sauf en Chine populaire et démocratique, en merveilleuse Corée du Nord
ou règne les chambres à gaz homicides, à Cuba, au Laos ou au Viêt Nam ou tout
le monde est «pauvre», c’est
l’égalité des peuples). Ces programmes sont souvent menacés par des coupes
budgétaires ou relayés au second plan. Cofondée par Bono
(bo ?) et d’autres activistes (rouges ?), ONE est, sans rire, strictement
non-partisane. ONE n’accorde pas de subventions, elle ne collecte pas de fonds
auprès du grand public et ne reçoit pas de financements publics. ONE est
presque (c’est quoi ce presque ? Un million, deux millions de
dollars ?), exclusivement financée par des fondations, des philanthropes
et des entreprises partenaires.
https://osezlefeminisme.fr/ Osez
le féminisme !, (Lien de la nébuleuse communiste de la
haine rouge).
Si, ah que, comme le piano, vous aviez encore un doute,
je vous rappelle la règle N°12 de la théorie marxiste culturelle: Promotion
d’une forme exacerbée de féminisme jouant sur la jalousie entre sexes plutôt
que sur leur complémentarité. Avec Osez le féminisme !,
nous sommes plus que gâtés.
En 2009, la réforme Bachelot prévoyait des coupes
budgétaires pour le Planning familial : une pétition d’ampleur aurait mobilisé
la société française et en particulier les lobotomisés marxistes culturels. A
la suite de cette mobilisation, une dizaine de jeunes «femmes» se retrouvent le 5 avril 2009 chez l’une d’entre elles et
décident de créer une nouvelle organisation féministe. Il y avait là une
sapeuse pompière, une chasseuse Alpine engagée chez les chasseurs Alpins, une
travailleuse de Saint Claude dans le Jura dite pipière ou souvent pipeuse, une
autrice qui écrit des livres, une auteuse qui écrivassionne aussi, une
entraineuse qui ne travaille pas au bouchon mais sur les stades, une cheffe de
gare qui cocufie son mari, une défenderesse des doigts de l’homme dans le
Centre d’Union Libertarien, une égoutière jamais dégoutée des égouts, une
plombière zingueuse avec une peintresse en bâtiment-e-s. Elles choisissent le nom «Osez le féminisme !», laissant de côté «les clitoridiennes»… L’association
grandit très vite, lance un-e journal-e et organise un-e premier-e week-end de
formation à Lyon : Osez le féminisme !
Est né-e-s. Elles innovent dans les méthodes de militantisme en lançant une grande
campagne «Contre le viol – La Honte doit
changer de Camp» avec le CFCV et Mix-Cité basée sur une forte mobilisation web
et réseaux sociaux. Aujourd’hui,
Osez le féminisme ! Ce sont plus de
26 antennes réparties dans toute la France et à l’étranger, plus de 100 000
personnes sur sa page Facebook et une présence médiatique régulière qui lui
permet de faire passer ses idées et d’avoir un impact sur les institutions et
l’opinion publique. Osez le féminisme! est membre du Haut
Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes (Diantre, fichtre, bougre
qui l’eut cru ?) depuis le 9 janvier 2013, représenté par Magali de Haas
(2013-2016) puis par Claire Serre- Combe depuis le 29 janvier 2016.
L’association est par ailleurs membre du Conseil d’Administration de la
Coordination Française pour le Lobby Européen des Femmes (CLEF) et membre du
Bureau du Centre Hubertine Auclert.
En cherchant un peu j’ai trouvé sur Causeur (Cliquez
ici)
un délicieux article qui cause des demoiselles d’Osez le féminisme. Article du 28 septembre 2011 par madame Coralie
Delaume (dite
ici : Souverainiste de "gauche", bizarre après 17
ans d’armée): «L’association Osez le
féminisme (OLF) connaît les valeurs sûres, et notamment l’esprit de famille.
Magali de Haas, sœur de Caroline de Haas, semble en effet avoir hérité du
porte-parolat de la boutique, après que sa prédécesseur-e eût rejoint l’équipe
de campagne de la socialiste Martine Aubry pour y promouvoir «l’égalité
femmes-hommes». Au gré des tweets et retweets de la cadette de Haas, et parce
que toutes les radios de France étaient saturées, mardi matin, de cette
nouvelle colossale, on apprenait avec bonheur le lancement, par OLF et le Chiennes
de garde, d’une campagne qui fera date : «Mademoiselle, la case en trop». L’objectif
? Faire ôter de tous les formulaires administratifs la case «mademoiselle»,
pour ne laisser aux femmes qu’une seule option : «madame». En effet, pour les
féministes, l’existence des deux possibilités relève d’une indiscrétion, et
contraint les femmes à dévoiler leur situation de famille. Par ailleurs, cela
constitue une entorse grave à l’idée d’égalité : «vous ne vous êtes jamais
demandé pourquoi on n’appelait pas un homme célibataire «Mondamoiseau», voire
«jeune puceau» ?» tancent élégamment les militantes. Nous souhaitons ici
apporter notre soutien plein et entier à l’association de la famille de Haas,
et leur proposer quelques idées afin d’aller plus loin. Nous suggérons
notamment que l’ouvrage de Théophile Gautier, Mademoiselle de Maupin, fasse
l’objet d’un immédiat autodafé, que les albums de la chanteuse Mademoiselle K
soient retirés de la vente sans délai, et que le frontispice de nos édifices
publics soit désormais orné de la devise «liberté, égalité, fraternité,
sororité». Par ailleurs, nous demeurons dans l’attente du communiqué de
Caroline de Haas qui ne manquera pas de nous expliquer pourquoi Martine Aubry
n’a pas soutenu un instant la candidature de son amie Catherine Tasca à la
présidence du Sénat».
Bien sûr chez nous cré vingt guieu, ce féminisme là est
un féminisme
anti-libéral, car en Occident, les femmes ont aujourd’hui très largement les
mêmes droits reconnus que les hommes, si ce n’est davantage ; voir par exemple
les inégalités en Suisse.
Les féministes contemporaines en bonnes marxistes culturelles appliquant allah
lettre l’article 12 des règles de l’établissement du marxisme culturel qui
est je vous le rappelle : Promotion d’une forme exacerbée de féminisme
jouant sur la jalousie entre sexes plutôt que sur leur complémentarité. Elles inventent
alors dès lors des combats visant à réduire les droits des hommes et des femmes
: interdiction de la prostitution (réduisant les droits réels des femmes
prostituées, ou clientes) ; interdiction de la pornographie (réduisant les
droits réels des femmes actrices pornographiques, ou consommatrices); quotas
obligatoires (réduisant les droits réels des femmes chefs d’entreprises et des
femmes employées si les quotas sont symétriques) ; contrôles des salaires
(réduisant les droits réels des femmes chefs d’entreprises ou cadres et des
femmes employées si la prétendue loi anti-discrimination peut être employée
contre une femme gagnant davantage qu’un homme, comme c’est aujourd’hui souvent
le cas) , etc.
Par ailleurs, les marxistes culturelles dites «féministes» d’aujourd’hui, ne critiquent jamais les législations
islamiques contemporaines, qui sont extrêmement patriarcales, sous lesquelles
les femmes ont effectivement largement moins de droits que les hommes : comme par exemple l’obligation légale
de se voiler pour les femmes ou le témoignage
d’une femme valant moins que celui d’un homme ; l’héritage de parts moindres
pour les femmes ; la soumission légale de la femme aux ordres de son mari (qui
peut lui interdire de voyager, de travailler, etc.), interdiction aux femmes de
sortir non-accompagnées d’un homme, etc. Au contraire, des «féministes» parmi les plus actives les soutiennent.
Le 19 décembre 2018 cliquez ici, madame Lydia Guirous une femme politique de la droite molle dénonce un
féminisme qui a renoncé à l’universalisme des origines pour se mouler dans le
relativisme culturel. «Le féminisme occidental est devenu une lamentable et
hypocrite police de la pensée». C’est ce qu’affirme l’essayiste et
féministe française Lydia Guirous, par ailleurs porte-parole du parti Les Républicains. Elle vient de signer
un ouvrage qui dénonce ce féminisme qui
ergote sur l’écriture inclusive, l’indifférenciation des genres ou
l’ «adelphité», pendant que des
femmes, ailleurs dans le monde, luttent pour s’affranchir du joug des
traditions et des dogmes religieux barbares. Elle rejette ce néoféminisme de
l’anecdotique qui oublie les urgences. Elle dira avec juste raison : «si je cible ces pseudo-féministes, c’est
parce qu’elles ont perdu l’essence même du féminisme: universalisme et courage.
La gauche a trahi ses valeurs, renoncé à la laïcité et à l’universalisme pour
satisfaire une clientèle électorale et le politiquement correct qui est le
poison de nos démocraties».
https://www.oxfamfrance.org/ Oxfam
France, (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Association loi 1901 d’intérêt général. (Un organisme
d’intérêt général peut délivrer des reçus fiscaux à ses donateurs et membres
afin qu'ils puissent bénéficier d'une réduction d’impôt. En effet, les
particuliers qui effectuent des versements ou abandonnent des créances au
profit de certains organismes d'intérêt général bénéficient d'une réduction
d'impôt sur le revenu. De même, les entreprises bénéficient d'une réduction
d'impôt sur les sociétés. C’est une façon masquée de subventionner le marxisme
culturel au travers de dons). Oxfam
France est membre de la confédération Oxfam, une organisation internationale de
soi-disant «développement» qui
mobiliserait le pouvoir citoyen contre la pauvreté. Ils disent «travailler» dans plus de 90 pays afin
de trouver des solutions durables pour mettre fin aux fameuses «injustices» qui engendrent la pauvreté
(Sauf bien sûr dans les pays communistes, comme la Corée du Nord, la Chine, Cuba, le Laos et le Viêt Nam, où
règnent le bonheur et l’opulence le plus total).
C’est ce que l’on appelle ce foutre de la gueule du
monde !
Le 28 janvier 2019, monsieur Nicolas Lecaussin (De l’IREF
qui comme moi libertarien minarchiste se prononce pour un Etat minimum. La
plupart de ses missions seront confiées au privé comme l’ont fait de nombreux
pays parmi lesquels la Suède, le Canada, le Danemark ou l’Allemagne. Le statut
de la fonction publique doit être supprimé et le recrutement dans les administrations
ouvert à tout le monde. Voir
ici leurs propositions, monsieur Lecaussin à propos d’OXFAM, vient
cracher dans la gamelle marxiste culturelle : «Le salaire du PDG d’Oxfam (GB) est 100 fois
plus élevé que le salaire moyen du quart de l’humanité. Selon le dernier
«scoop» de l’organisation Oxfam, les 26 plus riches ont autant d’argent que la
moitié de l’humanité. L’année dernière, ils étaient 42 et il y a deux ans,
seulement 8 ! La comparaison est ridicule, elle ne veut rien dire. Le plus
important est, on le sait, la baisse de la pauvreté dans le monde et la
possibilité de s’enrichir grâce à l’état de droit et à l’économie de marché.
Mais prenons notre calculette, il y a d’autres comparaisons qui laissent perplexes
: le salaire du président-directeur général d’Oxfam Grande-Bretagne a été en
2017 de 127,753 livres sterling ou 146.532 euros/an ; le salaire moyen annuel
au Burundi, par exemple, est... 600 fois inférieur à ce chiffre. Elargissons le
champ, et l’on s’aperçoit que le salaire annuel du PDG d’Oxfam est 100 fois
plus élevé que le salaire moyen annuel dans 50 pays du monde... Rappelons aussi
que plus de la moitié du budget d’Oxfam provient de subventions publiques. Et
que Cécile Duflot, dont l’objectivité statisticienne était jusqu’ici restée un
secret bien gardé, est présidente d’Oxfam France», madame Duflot, est une femme
politique toute marxiste culturelle, ex secrétaire des Verts puis d'EELV (Les
pastèques : Verts dehors, rouges dedans !). Le 30/07/2014 monsieur Christian Gerondeau,
écrira : «L’écologie est la nouvelle
maladie infantile du communisme. Ses principaux animateurs sont passés du rouge
au vert. Ils ont été repeints, mais ils défendent toujours la même vision du
monde : l’individu ne sait pas ce qui est bon pour lui, c’est à la société
de le lui apprendre». Quant à monsieur Luc Ferry il fait encore plus fort,
très récemment en déclarant dans Le Figaro du 31/07/2019: «Au fond, tout se passe comme si le taux
d’idéologies totalitaires était stable d’une génération à l’autre, comme si le
passage du communisme à l’écologisme fondamentaliste n’était finalement qu’une
affaire de vases communicants». L'écologie pastèque est aussi un filon
politique exploité cyniquement par les professionnels des médias et de la
politique, qui en général se soucient fort peu de mettre leurs actes en
conformité avec leurs convictions affichées. Ainsi, Nicolas Hulot, éphémère «ministre de la Transition écologique et
solidaire» (2017-2018) peu avare de déplacements ministériels en
hélicoptère, déclare posséder neuf véhicules à moteur, dont un bateau, un
scooter électrique, une moto et six voitures, qui ne rentrent pas toutes dans
la catégorie des véhicules propres),
ancienne ministre du logement, ex députée de Paris (2014-2017), Cécile Duflot
est aujourd'hui directrice générale d’Oxfam France, l'une des quatre ONG à
l’initiative de la pétition «l'Affaire du siècle». (Madame Duflot est
embauchée en CDI, statut de cadre dirigeant, mobilité nationale et
internationale, rémunération annuelle brute de 65 000/70 000 euros, hors frais,
notons que le salaire moyen annuel au Burundi, par exemple, est... 300 fois
inférieur à ce chiffre).
https://passansnous.org Pas
sans nous, (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Ces marxistes prétendent à un rôle de syndicat des «quartiers populaires».
Saint Dicat priez pour nous !
Communiqué de presse de Pas sans nous par Sabrina du 21 Octobre, 2019 : Titre :
Islamophobie d’État, nous disons stop. Depuis la rentrée de septembre, l’actualité foisonne
de paroles et d’actes islamophobes, racistes et sexistes
qui prolifèrent en toute
impunité. Tant dans la classe politique que dans la sphère médiatique.
Nous, habitant.e.s (Inclusif=cocos) des quartiers populaires, de toutes
origines, de toutes confessions, hommes et
femmes (Et les autres genres, ils n’ont pas la parole ? Il faut dire que
les homos en marxisterie ce n’est pas le Pérou comme en Corée du Nord. Les
autorités nord-coréennes marxistes associent l'homosexualité au modèle capitaliste et la société de consommation.
Les informations sur l'homosexualité fournies par le gouvernement communiste nord-coréen
ne sont pas vérifiables car les contacts avec la population sont pratiquement
inexistants. Néanmoins, The Korea Times a déjà rapporté des
exécutions de personnes homosexuelles, accusées d'être «teintées par le capitalisme». En terre d’Islam et pour la grande
majorité des musulmans ce n’est pas mal non plus: «Quiconque que vous trouvez coupable de sodomie, tuez-le aussi bien que
celui qui se laisse sodomiser», affirme un hadith, une «parole» attribuée à Mahomet, le prophète illettré et pédophile de
l'islam. Un texte dont le caractère «sacré»
est suffisamment attesté pour qu'il soit rapporté au IXe siècle à la fois par
Abou (de fis El ?) Daoud et Tirmidhi (à quatorze heure ?), deux
auteurs de compilations de hadiths considérées comme canoniques (ta mère ou ta
sœur ?). Aucune ambiguïté, donc : pour la loi musulmane, l'homosexualité
est un crime majeur), Pas sans nous condamne fermement la
stigmatisation et la ségrégation. Ils nous disent : comment peut-on
laisser Éric Zemmour tenir l’info (à demain ? ou à deux pieds ?) sur une
chaîne de grande écoute après avoir été condamné pour incitation à la haine
religieuse ? ( Là il faut le faire (à repasser ?), la haine religieuse
n’existe pas, c’est une formule toute
marxiste culturelle). C’était lors de l’émission «C à vous», que ce bon monsieur Zemmour avait estimé très justement
que la France vivait «depuis trente ans
une invasion, (Dans le nouvel Observateur lire
ici
le 19 septembre 2019 on trouve un article que j’ai un peu remanié. Monsieur Zemmour un bien brave journaliste fort courageux est
définitivement condamné par l’ignoble ajustice de s’pays des doigts de l’homme
mahométiste et islamocompatible à 3 000 euros d’amende pour provocation à la soi-disant «haine religieuse» après des propos sur
l’islam tenus en 2016, après le rejet de son pourvoi en cassation, selon une
décision consultée par l’AFP (Agence France Palestine fondamentalement
antisémite). Selon «Le Point», le journaliste va saisir la Cour européenne des droits
de l’homme à la suite de sa condamnation par la «justice» française toute entière marxiste culturelle pour «provocation à la haine religieuse» (la
haine religieuse comme on vient de le voir n’existe pas, c’est une formule toute marxiste culturelle, seule existe suivant en cela la loi
inique (ta mère ou ta sœur la pute ?) N° 1881 : art. 23 et 24 alinéa. 8 : La provocation publique à la discrimination, à la haine
ou à la violence nationale, raciale ou religieuse). Lors d’un numéro de C à
vous diffusé en septembre 2016, Éric Zemmour avait dit avec encore une fois
juste raison que les musulmans devaient choisir «entre l’islam et la France»
et que la France vivait «depuis trente ans une invasion». «Dans
d’innombrables banlieues françaises où de nombreuses jeunes filles sont voilées»,
il existe une «lutte pour islamiser un territoire», estimait-il également.
Le 17 septembre 2019, la Cour de cassation a confirmé l’arrêt de
la cour d’appel affirmant
que ses propos étaient une exhortation implicite à la haine (J’adore le mot
implicite utilisé en «droit», implicite
veut dire qu’on suppose une exhortation à partir du contexte. Implicitement et
supposition ont un synonyme, le non-dit, alors comment condamner un homme par
ce qu’on suppose qu’il aurait pu dire une chose qu’il n’a pas dite). Dans notre
belle patrie des droits de l’homme allah justice si bonne et belle, il existait
pourtant en 2014 des juges qui appliquaient la loi, rien que la loi et que même
les formulations explicites ne dérangeaient pas plus que ça. Madame Tasin
présidente de Résistance Républicaine nous disait en décembre de la même
année : «Ainsi, pour la
deuxième fois en un peu plus d’un an je suis relaxée pour de faux procès que
l’on me fait et qui me conduisent au tribunal bien que je n’aie jamais bafoué
la loi française. En septembre 2013, après la plaidoirie de Maître Scipilliti,
j’avais été relaxée pour l’article où je disais «marre de la violence
mahométane exportée sur notre sol», article pour lequel le Procureur de Lyon
avait porté plainte contre moi. Et aujourd’hui, 18 décembre 2014, après la
plaidoirie de Maître Pichon, je suis relaxée pour avoir dit à Belfort que
l’islam est une saloperie. C’est une date symbolique, puisque c’est 4 ans jour
pour jour après les Assises sur l’islamisation de nos pays qui ont valu à
Jacques Philarchein et à Renaud Camus une condamnation au printemps dernier». Le
dimanche 23 juin 2019, j’écrivais sur mon blog: «Personnellement je suis de l’avis de madame Tasin. Mais ce qui m’inquiète le plus, ce sont les deux
parties civiles de ce faux procès, en premier lieu la LICRA toute socialiste,
celle dont parlait ce bien cher Éric Zemmour en disant : «L’antisémitisme le
plus puissant n’est pas en 40, contrairement à ce qu’on croit aujourd’hui,
celui de l’extrême-droite et de l’Action Française : le plus virulent dans les
années 40 sous l’occupation c’est l’antisémitisme de la gauche pacifiste, de
Laval et de tous les autres. (…) L’historien israélien Simon
Epstein montre que la plupart des collabos viennent de la gauche pacifiste,
socialiste, radicale, antiraciste : il note tous les discours qu’ils faisaient
à la LICRA dans les années 20 contre l’antisémitisme et le racisme, et tous
ceux-là sont passés à la
collaboration ! (…) Depuis Mars 2012
, j’accuse les associations dites antiracistes de type LICRA, MRAP National,
MRAP Pluriel, LDH, SOS Racisme, d’avoir
une responsabilité écrasante dans le drame antisémite de Toulouse la fusillade qui s'est déroulée devant le
collège-Lycée Ozar Hatorah ou quatre personnes ont été tuées, dont trois
enfants. Par leurs imbéciles actions judiciaires incessantes depuis plusieurs
années, elles ont favorisé le développement de l’islam, en France, en traînant
devant les tribunaux quiconque – et j’en sais quelque chose – osait essayer
d’alerter nos compatriotes sur la réalité de ce fascisme rouge et de cet islamo
marxisme nauséabond. Certaines d’entre elles ont osé porter plainte contre
Michel Houellebecq, liant leur voix à celle des islamistes qui demandaient
l’interdiction de toute critique de l’islam bêtement amalgamée à du racisme. D’autres, parfois les
mêmes, ont osé défendre, à Vesoul, un imam antisémite, au nom d’une liberté
d’expression qui m’a été refusée comme à Remi Moréno, Pierre Cassen, Christine
Tasin, Pascal Ilout et combien d’autres ? Elles font régner un véritable
terrorisme judiciaire dans notre pays, et donnent raison à Alain Finkielkraut,
qui voyait dans l’antiracisme le communisme du 21e siècle. Mustafa Kemal Atatürk (mort en 1938, paix à
son âme), lui, disait : «Depuis plus
de cinq cents ans, [...] les règles
et les théories d'un vieux cheikh arabe, et les interprétations abusives de
générations de prêtres crasseux et ignares ont fixé, en Turquie, tous les
détails de la loi civile et criminelle. Elles ont réglé la forme de la
Constitution, les moindres faits et gestes de la vie de chaque citoyen, sa
nourriture, ses heures de veille et de sommeil, la coupe de ses vêtements, ce
qu'il apprend à l'école, ses coutumes, ses habitudes et jusqu'à ses pensées les
plus intimes. L'Islam, cette théologie absurde d'un Bédouin immoral, est un
cadavre putréfié qui empoisonne nos vies».
Michel Houellebecq avait dû lire Kemal lorsqu’il écrivit dans son
livre Plateforme: «L'islam ne pouvait naître que dans un
désert stupide, au milieu de bédouins crasseux qui n'avaient rien d'autre à
faire, pardonnez-moi, que d'enculer leurs chameaux». Les chèvres, les
moutons et les petits garçons, tu les as oubliés Michel ?
Et ce bon Gustave Flaubert : «Je demande, au nom de l'humanité, à ce
qu'on broie la Pierre-Noire, pour en jeter les cendres au vent, à ce qu'on
détruise la Mecque, et que l'on souille la tombe de Mahomet. Ce serait le moyen
de démoraliser le Fanatisme».
Moi j’aime bien aussi Bossuet : «L’Islam ! Cette religion monstrueuse a pour toute raison son
ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle
ses armes, qui font trembler le monde et rétablissent par force l’empire de
Satan dans tout l’univers». Pour moi qui estime que l’Islam est bien une
saloperie, je pense en revanche que les musulmans sont innocents.
Selon Sabrina de Pas sans nous, qui aime bien l’implicite et les non-dits comme tous les cocos ou les islamomarxistes, les propos de monsieur Zemmour «visent les musulmans dans leur globalité et contiennent une exhortation implicite à la discrimination». Ah toujours ce fameux «implicite» ! Son contraire est «explicite», le caractère de ce qui est exprimé, rédigé ou énoncé par quelque chose de manière directe, d’une façon claire et précise sur laquelle on ne peut se tromper (Cela sous-entend que lorsqu’on emploie le mot implicite on peut ce tromper ? La justice Française peut donc juger avec des arguments sujets à caution ?
Selon Sabrina de Pas sans nous, qui aime bien l’implicite et les non-dits comme tous les cocos ou les islamomarxistes, les propos de monsieur Zemmour «visent les musulmans dans leur globalité et contiennent une exhortation implicite à la discrimination». Ah toujours ce fameux «implicite» ! Son contraire est «explicite», le caractère de ce qui est exprimé, rédigé ou énoncé par quelque chose de manière directe, d’une façon claire et précise sur laquelle on ne peut se tromper (Cela sous-entend que lorsqu’on emploie le mot implicite on peut ce tromper ? La justice Française peut donc juger avec des arguments sujets à caution ?
La Cour de cassation a estimé de son
côté que la cour d’appel «a exactement retenu que, par leur sens et leur
portée, les propos incriminés, qui désignaient tous les musulmans se trouvant
en France comme des envahisseurs et leur intimaient l’obligation de renoncer à
leur religion ou de quitter le territoire de la République, contenaient un
appel à la discrimination». La
cour d’appel n’avait portant pas retenu trois autres passages de l’émission,
pour lesquels Éric Zemmour avait été condamné en 2017. Le polémiste soutenait
comme moi que «tous les musulmans, qu’ils
le disent ou qu’ils ne le disent pas, considéraient les djihadistes comme de
«bons musulmans» (Voir
en cliquant ici une performance du Politiquement Correct). La cour d’appel avait estimé que ces
passages ne comportaient «pas
d’exhortation, même implicite, à la provocation à la haine». Selon une
jurisprudence récente, une «incitation
manifeste» ne suffit pas à caractériser le délit: il faut désormais «pour entrer en voie de condamnation»
que les propos relèvent d’un «appel»
ou d’une «exhortation». Qu’on se le
dise !
Zobida ou Sabrina (c’est kif-kif mon zami) de Pas sans nous, qui a bien retenu ses
leçons, n’en a pas fini avec ses idées marxistes culturelles et se demande comment
peut-on cautionner un gouvernement (elle parle du gouvernement de son «pote» Macron là ?) qui appelle à
la surveillance des signaux de radicalisation et globalement à la surveillance
entre citoyen.ne.s ? Comme en témoigne l’outil de fichage et de délation islamophobe
de l’Université de Cergy (qui
n'existe plus). Comment peut-on ne pas appeler à la
démission de Julien Odoul (élu RN) après avoir discriminé (?) une femme voilée (une
musulmane) qui accompagnait une sortie
scolaire, qui est un «droit légal» (Là
j’aime bien, il existe donc des droits illégaux ? Quel aveu !), approuvé
par le Conseil d’État. Comment peut-on
ne pas appeler à la démission de Laurent
Bouvet, du conseil des
sages de la laïcité (sans hurler de rire) pour avoir partagé la caricature
islamophobe de la fachosphère (comprendre extrême droite ! Les gros nazes
socialopes, islamomarxistes ou marxistes culturels ont l’habitude détestable
d’accuser bêtement leurs opposants d’être d’extrême droite, car l’accusation la
plus parfaite est celle où l’accusé ne reçoit pas la possibilité de se
défendre. Si votre opinion sur de grands sujets de société n’est pas conforme à
l’opinion générale, ou à leur opinion, alors vous serez accusé de faire partie
de l’extrême droite, ce qui est une forme de condamnation sociale et de réductio
ad Hitlerum) dans le cadre de la campagne de la FCPE
(les parents d’élèves islamo
gauchistes) l’État demande de faire preuve de neutralité? Mais à quel
moment l’État est-il neutre dans ses prises de positions et ses décisions, quand toute la classe politique
confondue ne se positionne pas clairement pour traiter avec justice et égalité
l’ensemble de ses concitoyen.ne.es ? Quand dans le même temps, un racisme
(L’islam est une race pour Zobida ?) institutionnel, politique et
médiatique pullule, notamment au travers d’allocutions sur les politiques
migratoires ou les habitant.e.s issues des quartiers populaires. Nous condamnons
toutes formes de haine (sauf la juste haine contre les libertariens, les
libéraux, les capitalistes, les bourgeois, les aristocrates, les
anticommunistes, le Rassemblement National et ses militants), nous réprouvons le
racisme (sauf bien sur le racisme antiblanc), l’islamophobie, l’antisémitisme
(sauf celui du MRAP et de la gauche qui n’est qu’un antisionisme), la
xénophobie et le sexisme. Nous exigeons
le respect de nos «droits» et la condamnation
systématique (de qui ou de quoi ?) par les instances compétentes et
appelons le Défenseur des droits à condamner de tels propos et des tels actes.
Nous exigeons le «droit»
à la dignité et demandons que des
excuses publiques (par qui ?) soient faites à l’ensemble d’une communauté
(laquelle ?) stigmatisée. Toutefois
si vous aviez encore un doute sur la «communauté»
dont il est ici «implicitement»
question sachez que c’est sidi Mohamed Mechmache le fondateur et président
d’honneur du collectif «Pas Sans Nous», aussi
membre fondateur du Collectif ACLeFeu (Association Collectif Liberté Egalité
Fraternité Ensemble Unis).
http://www.placetob.org/ Place
to B, (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Place to B est à la croisée des chemins entre médias,
écologie et économie collaborative pour fédérer, étudier et transmettre autour
du changement climatique et de la transition. Mais sacré nom de D., il vient
d’où ce lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge ? Place to B ne
serait donc que des pastèques comme les autres ? Yves Egal nous
dira : «A Copenhague en 2009,
s'est opérée la fusion entre les écologistes et les altermondialistes,
conduisant à poser la question climatique en relation avec la justice sociale,
nous annonce triomphalement Hervé Kempf dans Le Monde, comme s'il fallait se
réjouir de la contamination de ses meilleurs amis par le virus de la rage.
C’est la reconnaissance du retour des «écolos-pastèques» (vert dehors, rouge
dedans), avec la mise en scène qui marche à chaque sommet international, que ce
soit les G8 ou G20 : de la violence pour attirer les caméras, mais une violence
juste, contre l'Injustice, contre les responsables de tous nos maux réunis là
devant nous ! La scène idéale avec unité d'action, de temps et de lieu, sous
les yeux du monde entier». CQFD.
https://www.planning-familial.org/fr Planning
familial, (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Mouvement marxiste culturel sexiste dit «féministe» (Voir la règle N° 12 de la
théorie marxiste culturelle : Promotion d’une forme exacerbée de féminisme
jouant sur la jalousie entre sexes plutôt que sur leur complémentarité), aussi
mouvement nettement marxiste classique dit d'éducation populaire, le Planning
Familial milite pour les de plus en plus fameux faux «droits» à l'éducation, à la sexualité, à la contraception, à
l'avortement, à l'égalité femmes – hommes (sauf chez les fameux «français» musulmans) et combat toutes
formes de violences et de discriminations.
Les faux-droits vus en partie ci-dessus, sont un des
nombreux phénomènes de la démocratie sociale entièrement marxiste culturelle,
ils sont un des principaux facteurs de surproduction de textes législatifs, où
s'expriment une multitude de désirs absurdes, réclamations idiotes ou exigences
imbéciles. Cette situation se traduit souvent par un verbiage confus et source
d'amalgames. Situation où les pouvoirs publics de l'État, défenseurs
auto-proclamés de la doctrine de la «justice
sociale», s'empressent d’exécuter en distribuant des biens dits sociaux,
envoûtant l'esprit créatif en matière fiscale. Sous plusieurs appellations :
droits sociaux et économiques, droits-créances, droits culturels, droits où
l'alourdissement de la «facture» est
à la charge de l'État, en réalité des cons dit tribuables. De plus, les «droits à» (ou droits-créances) sont de « faux droits» économiques et
sociaux : le droit à la sécurité sociale, le droit aux congés payés, le droit à
l'éducation, le droit au logement, droit à l'image, droit à la solidarité, aux
loisirs etc. Expression d'une folie législative très marxiste culturelle et
d'un bataillon d’idiotes revendications exigibles se portant garants d'un proclamé
«devoir d'État», ces «droits» se sont
développés sans référence à la propriété, à la responsabilité et à la liberté
de contracter de l'individu ; ils ne proviennent que de décisions étatiques
arbitraires destinées à satisfaire une clientèle électorale via des «prestations» publiques. Certains
partisans de la dénaturation du droit comme le Planning familial, tendent
à les assimiler abusivement à des droits de l’Homme.
http://refedd.org/ Refedd,
(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Le REFEDD est le Réseau Français des Etudiants pour le Développement Durable (de lapin
rouge). C’est un réseau marxiste
culturel d’associations étudiantes qui mènent des projets sur le
développement durable tels que l’alimentation, la biodiversité, le climat, les
déchets, etc. Le REFEDD est une association de loi 1901 (les statuts du REFEDD). Leurs objectifs : avoir 100% d’étudiant.e.s sensibilisé.e.s et engagé.e.s (inclusif =
cocos) et 100% de campus
durables !
Le REFEDD est convaincu que le monde étudiant est une
force essentielle pour construire demain et des lendemains qui chantent dans
les camps du Goulag ! Bien pire, ce sont des marxistes culturels
écototalitaristes prônant une forme d'idéologie marxienne dont la finalité
officielle est la protection de l'environnement. Ces véritables «écofascistes» souhaitent atteindre
leurs buts au moyen d'une dictature qui permettrait de réduire la population
terrestre par la coercition, tandis que ses habitants restant assureraient la
continuité de l'humanité avec des moyens techniques archaïques (chasse, pêche,
cueillette de petits fruits, de champignons et de racines, etc.). Sont prévus
également des modes malthusiens de contrôle des naissances afin de ne pas
menacer l'environnement par une surpopulation, tels que l'abattage des bébés
considérés en surnombre. Les plus extrêmes se positionnent en faveur d'une
amélioration génétique de la population humaine que servirait l'eugénisme.
Howard Bloom (Howard
Bloom, auteur scientifique américain, né en 1943 a été surnommé par une chaîne
de télévision anglaise le «Darwin,
Einstein, Newton, et Freud du XXIe siècle». Dans sa conférence à
l'Université de Yale, le 7 mai 2005 intitulée : «Au diable le développement durable !» il dira : «L'idée du développement durable suppose une
nature charmante et attentionnée, une nature aisément violée par la
technologie, l'industrie, le capitalisme et le modernisme. Elle suppose une
nature qui protégera automatiquement les forêts tropicales, les baleines et les
espèces en voie de disparition si nous autres humains modernes avides
maîtrisons nos convoitises consuméristes. Si nous nous débarrassons de nos SUV
et de nos usines, cette vision du monde nous dit que la nature retournera à la
verdure et à la sécurité d'un ancien paradis perdu. Mais cette vision de la
nature n'est pas vraie. La nature n'est pas un protecteur maternel. La nature
est tout le contraire. Elle nous lance des courbes et défie notre créativité...
Mère Nature ne construit pas des jardins d'Éden éternels pour les
éco-conscients. Mère Nature est la mère de la catastrophe... Le niveau de CO2
il y a 1,4 milliard d'années était au moins dix à 200 fois plus grand qu'il ne
l'est aujourd'hui, dix à 200 fois supérieur à ce qu'il est projeté d'être dans
quelques décennies même si nous continuons à vomir les émissions produites par
notre économie hyper-industrielle. Quand les niveaux de CO2 auront de nouveau
grimpé à ce point — et ils le feront, un jour, avec ou sans nous — ils feront
fondre la glace de cette planète, submergeront nos villes, transformeront nos
régions céréalières en marécages, et pourraient bien nous empoisonner avec les
dernières respirations que nous serons capables de prendre. Ils feront tout
cela en dépit des traités de Kyoto et en dépit de toute réduction de la
production humaine de CO2 dont nous sommes capables». Le 21/04/2018 il dira
aussi : «Le changement climatique
est inévitable. La réponse (des pastèques marxistes culturelles)
écologiste — réduire le CO2
créé par l'homme — est une idiotie. C'est un sacrifice religieux (Le
marxisme culturel est une religion séculière) déguisé en science. En tant que scientifique convaincu, je suis
consterné par la façon dont les dévots du climat ont accaparé le paravent de la
science. Cela rappelle la façon dont les marxistes prétendaient faire de la
science (Cela s’appelle de la clairvoyance). Déjà en
2011 Pascal Bruckner,
dans Le Fanatisme de l’Apocalypse : sauver la Terre, punir l’Homme, nous disait : «L’écologie
est devenue une idéologie globale qui couvre l’intégralité de l’existence, les
modes de production autant que les manières de vivre. On y retrouve tous les
travers du marxisme
appliqués à l’environnement (et
au reste, d’ailleurs ceux qui ont suivis savent que la règle N°13 de la
théologie marxiste culturelle précise bien qu’il faut mettre en place pour
abstenir la dictature finale: «la propagation des grandes peurs écologiques,
totalement fictives et manipulées à longueur d’années»): le scientisme omniprésent, les visions
effroyables de la réalité, l’admonestation aux hommes coupables de ne pas
comprendre ceux qui leur veulent du bien. Toutes les sottises du bolchevisme,
du maoïsme, du trotskisme (Et du
marxisme culturel ambiant) sont en quelque sorte reformulées au carré, au
nom du salut de la planète. Tous ces auteurs, journalistes, politiciens,
savants rivalisent dans l’abominable, se réclament d’une hyperlucidité :
eux seuls voient juste quand les autres végètent dans les ténèbres d’où ils se
réveilleront un jour, affolés. Eux seuls sont sortis de la caverne de
l’ignorance où le troupeau humain piétine, sourd et aveugle aux évidences».
Alors les moutons de l’Aïd ça va toujours ?
https://reseauactionclimat.org/ Réseau Action climat, (Lien de la
nébuleuse communiste de la haine rouge).
Le Réseau Action Climat est le représentant français
d’un réseau mondial et européen d’ONG toutes marxistes culturelles, qui
regroupe près de 1300 membres à travers la planète. Avec pour objectif de
parler d’une seule voix pour peser davantage sur les décideurs, le Réseau Action
Climat couvre de par son travail l’ensemble des secteurs responsables du
dérèglement climatique : les transports, la production d’énergie, l’agriculture
et l’alimentation, l’habitat, etc. Il travaille principalement à l’élaboration
de mesures alternatives et ambitieuses pour lutter contre les changements
climatiques et ses impacts et veille à ce que ses propositions ne portent pas
atteinte à l’environnement, à la sécurité et surtout aux fameux «droits humains». Il reste au contraire
convaincu que la lutte contre les changements climatiques est une formidable
option de sortie de crise et est porteuse de cobénéfices en termes de création
d’emplois, de préservation de la santé et de plus de justice sociale et de
solidarité. Et c’est dans ce sens qu’il porte auprès des pouvoirs publics des
mesures à la fois bonnes pour le climat mais également sources de multiples
cobénéfices pour la société dans son ensemble.
Exactement comme dessus avec messieurs Howard Bloom ou
Pascal Bruckner,
monsieur l’ingénieur chimiste, diplômé de l'École polytechnique fédérale de
Lausanne, Michel de Rougemont viendra sur
Contre Point et le 2 septembre 2018 nous parler de
ces associations écolos au fonctionnement et à la méthode néo-soviétique ou soviéto-marxiste
qui s’est imposée comme guide stratégique et moral de l’action politique dans
le domaine de l’écologie (Monsieur de Rougemont semble un peu ignorant des
stratégies marxistes culturelles mises en place vers 1920 par Lénine, Lukàcs et
Münzenberg. Je l’invite donc à lire en
cliquant ici les explications sur le marxisme culturel.
Laissons-lui la parole : Quels sont les dogmes de
l’écologisme ? (Afin d’éviter toute confusion il faut rappeler que l’écologisme
n’a rien à voir avec l’écologie, qui est une discipline scientifique. Par
définition un «-isme» procède d’une
idéologie, avant tout politique, fondé sur un ou plusieurs dogmes. C’est de cela
dont il est question ici. Le très court résumé dogmatique qui est présenté a
été tiré des déclarations de partis écologistes).
Tout d’abord celui que l’action humaine conduit
inexorablement à la ruine de sa propre espèce (la défaite de l’Homme) par les agressions
qu’elle opère sur une Nature innocente dont nous pillons et empoisonnons les
ressources. Ensuite, que les modèles économiques en place, orientés vers le
productivisme, produisent à répétition des crises sans limites avec des
victimes manquant de tout : désagrégation sociale, chaos environnementaux et
climatiques, mondialisation injuste. L’Internationale
verte : Nous sommes donc tous les prolétaires d’un environnement
insupportable, victimes de l’action égoïste d’un monde économique conduit par
une oligarchie, devant nous tenir prêts à nous libérer pour atteindre un avenir
radieux de simplicité, d’harmonie entre nous et avec la Nature. Une action
alternative est nécessaire –un projet global– fondée sur l’action locale et
mutualisée par une nouvelle gouvernance mondiale, ayant comme objectif la «mutation
écologique de la société» afin de la rendre durable et juste, sans
privilèges ni victimes. Organisé en cellules locales, coordonné par une
puissante Internationale, le monde soviétique savait assurer sa mainmise sur le
politiquement correct de son époque, malgré les contre-offensives de la
propagande yankee. Par compagnons de route interposés et en instrumentalisant
bon nombre d’idiots utiles, la méthode soviéto-marxiste s’est imposée comme
guide stratégique et moral de l’action politique (ça il est certain que c’était
la face visible de l’iceberg, sa face cachée étant le marxisme culturel voir
ici).
Et nous ne sommes pas près d’en être libérés, le relais étant pris par cette
doxa écologiste qui s’est imposée en l’espace d’un demi-siècle. Même buts, le
matérialisme en moins et la Nature en plus, même combat, mêmes méthodes : l’Histoire
nous l’enseigne mais nous n’apprenons pas.
Les néo-Soviets, cellules de base du mouvement, sont les associations
écologistes, souvent préoccupées par une défense ou une protection allant du
lombric au grand mammifère, d’un biotope particulier à la flore et la faune
d’une région entière, ou soucieuses de conserver la biodiversité ou de régler
le climat global, etc. Il y a aussi les militants anti-quelque chose –
nucléaire, chimie, biotech, béton – ou prônant leur schmilblick –véganisme,
LGBT, panneaux solaires et éoliennes, agriculture bio. Bien que cela ressemble
à un inventaire à la Prévert, les fondements de ces entreprises se trouvent
partiellement ou entièrement dans les dogmes cités plus haut. Avocats et chiens
de garde, ces groupes animent la scène en exprimant des revendications ou en
réagissant à tout évènement ou publication leur paraissant scandaleux. Les
arguments factuels et rationnels faisant défaut, l’opposant ou le déviant a
droit à des attaques ad hominem pour le disqualifier ou l’accuser de crimes
imaginaires. Les programmes scolaires en ont été envahis. Les enfants n’en sont
pas encore à dénoncer les mauvais comportements de leurs parents, mais la
tentation est grande de les y inciter. Or il est bien connu que les petites
racines doivent nourrir de grands arbres. Des fédérations globalisées sont en
place qui dispose de moyens énormes, bien supérieurs à ceux que des
associations d’industries engagent dans leur lobbying. Leurs noms sont
Greenpeace, WWF, Friend of the Earth, Sierra Club, Climate Action Network, et
d’autres encore. Quoique dénommées ONG elles jouissent d’un statut quasi
gouvernemental, avec des agents infiltrés ayant accès aux préparations et
délibérations de conférences internationales qui s’assurent de la rectitude
politique des experts publiant des rapports de synthèse pour les décideurs. C’est
une sorte de Komintern virtuel qui fonctionne, maître de l’agenda politique
donnant le ton et le rythme, sachant parfaitement user des médias et du levier
des réseaux dits sociaux de l’internet. Ni un Pape, ni un comité directeur, ni
une académie écolo-climatique ne sont nécessaires, la syntonisation est devenue
automatique. Comme tout producteur d’électricité ne peut se connecter que si sa
fréquence et sa phase sont parfaitement synchronisées avec le réseau, tout
écart provoque un rejet immédiat du fautif et à sa destruction s’il persiste.
L’écologisme est contre la liberté avec les compagnons de route qui sont
les habituels collectivistes et planificateurs de bonheur au prix de la liberté
individuelle, les étatistes distributeurs d’impôts trop perçus, soutenus par
des administrations trouvant là une raison d’exister et de perdurer. Les médias
y participent aussi, voulant se donner des airs de maîtres à penser mais en
réalité subordonnés à un politiquement correct qu’ils aident à imposer (règle
N° 10 de la théorie marxiste culturelle : Contrôle et abêtissement des
médias pour dévaloriser le jugement personnel et l’esprit critique). Ils
n’aiment pas savoir qu’ils sont les idiots utiles de la farce, pourtant leur
conformisme discipliné prouve leur manque d’opinion propre et d’esprit
critique. La
réponse à ce néo-soviétisme (pur marxisme culturel) est quasiment absente ou
muette : ceux qui s’y opposent sont isolés et désorganisés. Dans le monde
francophone un Claude Allègre, pourtant socialiste, a été réduit au silence et
ridiculisé, les Luc Ferry et autres Pascal Bruckner s’expriment avec talent mais ne
disposent d’aucun relais médiatique ou politique pour amplifier leur message,
au contraire de n’importe quel incompétent –Président d’une grande république,
chef d’un département fédéral, ministre d’État, animateur TV ou vedette pop et
éphémère – répétant le mantra écologiste avec splendeur. Pas
de place non plus pour un Bjorn Lomborg
(Celui qui dit : «Le
réchauffement climatique n'est en aucune sorte la principale menace pour
l'environnement») considéré comme traître à la cause écologiste parce qu’il
propose une méthode fondée sur les faits et les priorités des peuples concernés
plutôt que de s’aligner aveuglément au courant dominant et aux solutions toutes
faites des «sachants». La fibre
écologiste a maintenant été phagocytée par tous les partis traditionnels, tant
d’un bord que d’un autre, bien que, à l’exception du dogmatisme vert, n’ayant
aucune opinion structurée à propos de la gestion de l’environnement, le monde
politique reste fidèle à lui-même : suiveur et opportuniste. À gauche, le
néo-soviétisme bat son plein, bis repetita placent, cette fois sous la
métaphore de la pastèque. À droite, personne ne conçoit rien pour s’y opposer
ni même entrevoir les dérives totalitaires que cela entraînera ; la sidération
devant l’avènement de l’État social, percepteur et redistributeur, se poursuit
face à l’écologisme. Alors que, dans le bon vieux mauvais temps, le communisme
pouvait mobiliser une opposition déterminée, le néofascisme écologiste ne
semble effrayer personne. Même aux USA les Républicains ne mettent pas en cause
les causes écologistes mais s’attachent à préserver des avantages politiques et
financiers à plutôt court terme, celui de la prochaine élection. Le monde de la
finance semble aussi y trouver son beurre, peu lui chaut l’illibéralisme que
cela implique.
Faudrait-il alors se résoudre, une fois de plus, à subir les «visions» d’un monde promis comme meilleur, à accepter l’omniprésence d’une propagande qui vend cet avenir radieux au prétexte mensonger que le présent serait des plus horribles, le pire de l’histoire, à obéir à l’ardeur normative et planificatrice contraignant nos besoins et nos désirs, nous imposant des comportements et des croyances absurdes ainsi que des taxes toujours plus élevées ? Faut-il se soumettre au mensonge organisé et permanent, à cette contrainte moralisante ? Non, bien sûr ! La place manque ici pour démontrer l’inanité, donc le mensonge, du message catastrophiste à propos des malheurs sans précédents des temps modernes. Voir mon livre Réarmer la raison et ses chapitres consacrés à l’écologie et au développement. Mais comment faire, alors que les Soviets et leurs commissaires politiques sont d’ores et déjà en place à tous les niveaux, que les gardiens du temple y font de magnifiques affaires et que la mise à l’index n’a jamais été aussi efficace ? Il serait plus confortable de se planquer, de rester coi. C’est certainement ce que fait cette majorité silencieuse dont on dit qu’elle sait tout mais ne l’exprime pas. Comment faire pour la réveiller, la secouer ? Je n’en sais rien mais je commence en écrivant ce billet…
Faudrait-il alors se résoudre, une fois de plus, à subir les «visions» d’un monde promis comme meilleur, à accepter l’omniprésence d’une propagande qui vend cet avenir radieux au prétexte mensonger que le présent serait des plus horribles, le pire de l’histoire, à obéir à l’ardeur normative et planificatrice contraignant nos besoins et nos désirs, nous imposant des comportements et des croyances absurdes ainsi que des taxes toujours plus élevées ? Faut-il se soumettre au mensonge organisé et permanent, à cette contrainte moralisante ? Non, bien sûr ! La place manque ici pour démontrer l’inanité, donc le mensonge, du message catastrophiste à propos des malheurs sans précédents des temps modernes. Voir mon livre Réarmer la raison et ses chapitres consacrés à l’écologie et au développement. Mais comment faire, alors que les Soviets et leurs commissaires politiques sont d’ores et déjà en place à tous les niveaux, que les gardiens du temple y font de magnifiques affaires et que la mise à l’index n’a jamais été aussi efficace ? Il serait plus confortable de se planquer, de rester coi. C’est certainement ce que fait cette majorité silencieuse dont on dit qu’elle sait tout mais ne l’exprime pas. Comment faire pour la réveiller, la secouer ? Je n’en sais rien mais je commence en écrivant ce billet…
Mon fils chéri,
(ou éventuellement ma fille chérie)
Vendredi, au lieu d’aller au lycée, tu as participé à
la manifestation pour la défense du climat. Aussi, avec ton père, avons-nous
décidé d'être sensibles à ta cause et allons tout faire pour réduire
l’empreinte carbone de la famille. A compter d'aujourd'hui, nous supprimons
tous les smartphones, ta console de jeux, l'internet et la télévision. Il
paraît que cela génère des déchets électroniques qui empoisonnent les rivières
du sud-est asiatique. Nous n'irons plus en vacances au ski, ni à l'étranger, en
avion, ni même sur la côte d'Azur, avec le camping-car, que d'ailleurs nous
allons revendre. L'été prochain, ton père et moi avons programmé la remontée du
canal du Midi par les berges, à vélo. Tu t'entraîneras en allant au collège, la
batterie de ta trottinette électrique n'est pas recyclable. Pour les vêtements,
plus de marques fabriquées par des mains d'enfants, nous t'achèterons des
vêtements en tissus écoresponsables, genre lin ou laine écrue. Nous mangerons
bio, vu que nous économiserons sur les transports et bannirons les nourritures
industrielles comme tes Mars ou les canettes de Coca. Le soir, nous nous
mettrons tous à la lecture, sur des livres en papier recyclé, ça va de soi et
nous jouerons aux échecs, aux dames et aux petits chevaux, avec des jeux en
bois du Jura, bien entendu. Et pas trop tard, nous nous coucherons tôt pour
économiser la lumière. Nous sommes certains que tu adhéreras à ce programme enthousiasmant.
Tes parents
http://www.civam.org/ Réseau Civam, (Lien de la nébuleuse
communiste de la haine rouge). Réseau Civam (Centres
d’Initiatives pour Valoriser l’Agriculture et le Milieu rural) met en lien les
agriculteurs, les ruraux et la société civile pour promouvoir une agriculture
plus économe, autonome et solidaire visant à nourrir, préserver et employer
dans les «territoires».
Dans les années 50, l’agriculture française vit un
contexte particulier : celui de l’après-guerre, de la recherche de la
productivité. Les CIVAM naissent à cette époque d’une double volonté : celle de
l’Association Nationale des Maîtres Agricoles (ANMA), souhaitant favoriser la
vulgarisation agricole et la circulation du fameux «progrès» et de la Ligue française pour l’enseignement, acteur de
la diffusion du savoir, de la laïcité et de l’égalité des chances. Cette double
paternité lui lègue deux fondements : les valeurs marxistes de l’éducation
populaire et sa vocation de «développement»
agricole.
https://www.secours-islamique.org/ Secours
islamique France, (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Nous venons de voir que monsieur Howard Bloom a réalisé que l’écologie était pour
une grande partie, une escroquerie intellectuelle marxiste culturelle de vaste ampleur
ce qu’il pense de l’Islam n’est pas mal non plus : «Des
millions de musulmans considèrent l'islam comme une religion de tolérance, de
pluralisme et de paix, mais il y a un fait brutal auquel nous sommes
confrontés... Car Allah et son Messager exigent que les musulmans soient au
sommet. Les musulmans ne tolèrent l'existence des autres que s'ils assument un
rôle de citoyens de seconde classe dans un État purement musulman et paient la
jizya, une taxe infamante, et ils exigent que l'islam régisse chaque centimètre
carré de terre sur cette poussière divine, la planète Terre».
Quant à Bertrand Russell mathématicien et philosophe
britannique il avait écrit : «le
bolchevisme combine les caractéristiques de la révolution française avec celle
de l’essor de l’islam. Marx a enseigné que le communisme était fatalement
prédestiné à prendre le pouvoir ; cela engendre un état d’esprit peu différent
de celui des premiers successeurs de Muhammad. Parmi les religions, le
bolchévisme doit être comparé à l’islam plutôt qu’au christianisme ou au
bouddhisme. Le christianisme et le bouddhisme sont avant tout des religions
personnelles, avec des doctrines mystiques et un amour de la contemplation (avez-vous
déjà vu des moines musulmans ?). L’islam
et le bolchevisme ont une finalité pratique, sociale, matérielle dont le seul
but est d’étendre leur domination sur le monde».
La première chose auquel le Secours islamique France
appelle, est la Zakât (Le don) qui serait un «droit» pour les pauvres (uniquement musulmans).
La zakât est le troisième pilier de l’Islam. Elle est l’institution
centrale du système économique islamique sans laquelle, ce dernier ne pourrait
atteindre entièrement les objectifs stipulés par le Coran et la Sunna de
domination mondiale. Ainsi, la zakât est plus qu’un simple devoir religieux
individuel, c’est une institution fondamentale de l’Islam. La zakât (l’aumône) doit être versée avec l’intention d’obéir à Allah et
à son Messager. Celui qui devrait la verser, mais s’en abstient mérite la
Colère d’Allah et doit-être exclu de la communauté musulmane. La zakât favorise
ainsi une véritable entraide sociale entre musulmans et uniquement entre
musulmans tout en étant une œuvre d’utilité publique. Plus qu’une institution à
portée sociale, la zakât peut aussi être perçue comme un instrument de la
politique économique de l’Islam.
Il est à noter que l’aumône due est passée en 2018 de 5 € à 7 € par personne en France. Avec 6 millions de musulmans pratiquants, cette collecte rapporte environ 42 millions d’euros. La zakât al Maal demandée par le secours islamique est l’aumône obligatoire que les riches doivent reverser aux pauvres et aux plus démunis en vertu de ses règles de solidarité entre musulmans et exclusivement entre musulmans instituées par l’Islam. Les particuliers sont soumis à la Zakât pour les biens qui ont le potentiel de croître ou de fructifier (épargne, actions en bourse, titres, obligations…). Elle peut alors être comparée à un «impôt religieux» sur les revenus. Mais la Zakât est aussi due par une entreprise, une boutique, un commerce, une usine, et par un indépendant (par exemple un médecin ou un avocat). Elle peut alors être comparée à un «impôt religieux» sur les entreprises. Il existe de très nombreux calculateurs de Zakât sur Internet pour déterminer le montant à verser. Les sommes versées pour la zakât en France sont difficiles à évaluer en raison du nombre important d’organismes collecteurs. En Algérie, la zakât a rapporté 1,4 milliard de dinars en 2017. La zakât peut être donnée par un particulier à un autre, mais elle est le plus souvent collectée par les mosquées ou des associations et reversée aux musulmans pauvres, mais obligatoirement pratiquants. Normalement la zakât doit être distribuée localement, mais si le contribuable a un proche parent méritant la zakât qui habite une autre contrée, elle peut lui être versée, car il s’agit là d’entretenir un lien de parenté. D’autre part, si les besoins locaux sont satisfaits, le paiement de la zakât à l’étranger est envisageable si le pays est plus pauvre que celui où la zakât est perçue (par exemple en 2016 le «Secours islamique de France» a versé 4 275 131 d’euros d’aide à la Palestine qui n’est pas un état souverain et uniquement dirigé par des organisations terroristes). Il est même aujourd’hui certain que la zakât participe activement au financement de l’État islamique et autres groupes islamistes terroristes. La France, notre pays soi-disant laïc, contribue indirectement à cet impôt religieux. L’état Français, à travers les réductions d’impôts pour les dons aux associations participe généreusement à cet «impôt religieux obligatoire». Cette particularité française est mise en avant par de nombreuses associations musulmanes qui n’hésitent plus à communiquer autour des réductions d’impôt pouvant aller jusqu’à 75 % du montant du don. Par exemple, l’association qui nous intéresse aujourd’hui, le «Secours islamique de France» dispose en 2016 d’un budget global de 46 millions d’euros. Les aides sont bien sûr attribuées en priorité aux pays à majorité musulmane (aide aux Rohingyas, Crise syrienne, Crise palestinienne, Crise yéménite, Crise irakienne…). Là où le bât blesse, c’est que l’aide accordée par l’État sous forme de réduction d’impôt pour la zakât ne profite qu’à une partie de la population : les musulmans. La zakât ne devrait donc pas être éligible aux réductions d’impôt, car elle ne respecte pas l’une des trois obligations qu’un organise bénéficiaire doit remplir : Être à but non lucratif. Avoir un objet social et une gestion désintéressée. Ne pas fonctionner au profit d’un cercle restreint de personnes. C’est cette dernière obligation qui n’est pas remplie par les associations cultuelles musulmanes, car la Zakât ne profite qu’aux seuls musulmans… donc à un «cercle restreint de personnes». L’État Français vérolé par le marxisme et l’Islamomarxisme contribue indirectement et surtout illégalement à cet impôt religieux. On doit encore une fois constater la position plus qu’ambiguë de l’État vis-à-vis de la zakât qui favorise l’islamisation des cités en montrant que l’Islam fait beaucoup plus pour les pauvres que les services sociaux français et donne ainsi l’impression que «l’Islam est la solution à tous les problèmes des musulmans». Ce slogan politique est régulièrement employé par les musulmans depuis son invention par les Frères musulmans de l’Égypte au milieu du XXe siècle. Cette phrase paraît simpliste et le slogan semble n’avoir que peu à offrir. Mais il trouve écho chez bon nombre de gens qui croient que, si l’on obéissait à l’Islam et qu’on honorait ses valeurs, alors les taxes baisseraient, les limites imposées aux activités personnelles seraient supprimées et les tentations qui corrompent les jeunes et les faibles disparaîtraient. La Zakât, ce pilier de l’Islam, répond aux besoins des pauvres et renforce les liens entre musulmans contre les mécréants qui à leurs yeux sont à l’origine de tous leurs problèmes. CQFD. Il est temps que nos politiques ouvrent les yeux et arrêtent de financer l’islamisation de la France et le terrorisme par des réductions d’impôt accordées aux associations musulmanes. L’état français doit impérativement sortir la zakât du dispositif des réductions d’impôt.
Il est à noter que l’aumône due est passée en 2018 de 5 € à 7 € par personne en France. Avec 6 millions de musulmans pratiquants, cette collecte rapporte environ 42 millions d’euros. La zakât al Maal demandée par le secours islamique est l’aumône obligatoire que les riches doivent reverser aux pauvres et aux plus démunis en vertu de ses règles de solidarité entre musulmans et exclusivement entre musulmans instituées par l’Islam. Les particuliers sont soumis à la Zakât pour les biens qui ont le potentiel de croître ou de fructifier (épargne, actions en bourse, titres, obligations…). Elle peut alors être comparée à un «impôt religieux» sur les revenus. Mais la Zakât est aussi due par une entreprise, une boutique, un commerce, une usine, et par un indépendant (par exemple un médecin ou un avocat). Elle peut alors être comparée à un «impôt religieux» sur les entreprises. Il existe de très nombreux calculateurs de Zakât sur Internet pour déterminer le montant à verser. Les sommes versées pour la zakât en France sont difficiles à évaluer en raison du nombre important d’organismes collecteurs. En Algérie, la zakât a rapporté 1,4 milliard de dinars en 2017. La zakât peut être donnée par un particulier à un autre, mais elle est le plus souvent collectée par les mosquées ou des associations et reversée aux musulmans pauvres, mais obligatoirement pratiquants. Normalement la zakât doit être distribuée localement, mais si le contribuable a un proche parent méritant la zakât qui habite une autre contrée, elle peut lui être versée, car il s’agit là d’entretenir un lien de parenté. D’autre part, si les besoins locaux sont satisfaits, le paiement de la zakât à l’étranger est envisageable si le pays est plus pauvre que celui où la zakât est perçue (par exemple en 2016 le «Secours islamique de France» a versé 4 275 131 d’euros d’aide à la Palestine qui n’est pas un état souverain et uniquement dirigé par des organisations terroristes). Il est même aujourd’hui certain que la zakât participe activement au financement de l’État islamique et autres groupes islamistes terroristes. La France, notre pays soi-disant laïc, contribue indirectement à cet impôt religieux. L’état Français, à travers les réductions d’impôts pour les dons aux associations participe généreusement à cet «impôt religieux obligatoire». Cette particularité française est mise en avant par de nombreuses associations musulmanes qui n’hésitent plus à communiquer autour des réductions d’impôt pouvant aller jusqu’à 75 % du montant du don. Par exemple, l’association qui nous intéresse aujourd’hui, le «Secours islamique de France» dispose en 2016 d’un budget global de 46 millions d’euros. Les aides sont bien sûr attribuées en priorité aux pays à majorité musulmane (aide aux Rohingyas, Crise syrienne, Crise palestinienne, Crise yéménite, Crise irakienne…). Là où le bât blesse, c’est que l’aide accordée par l’État sous forme de réduction d’impôt pour la zakât ne profite qu’à une partie de la population : les musulmans. La zakât ne devrait donc pas être éligible aux réductions d’impôt, car elle ne respecte pas l’une des trois obligations qu’un organise bénéficiaire doit remplir : Être à but non lucratif. Avoir un objet social et une gestion désintéressée. Ne pas fonctionner au profit d’un cercle restreint de personnes. C’est cette dernière obligation qui n’est pas remplie par les associations cultuelles musulmanes, car la Zakât ne profite qu’aux seuls musulmans… donc à un «cercle restreint de personnes». L’État Français vérolé par le marxisme et l’Islamomarxisme contribue indirectement et surtout illégalement à cet impôt religieux. On doit encore une fois constater la position plus qu’ambiguë de l’État vis-à-vis de la zakât qui favorise l’islamisation des cités en montrant que l’Islam fait beaucoup plus pour les pauvres que les services sociaux français et donne ainsi l’impression que «l’Islam est la solution à tous les problèmes des musulmans». Ce slogan politique est régulièrement employé par les musulmans depuis son invention par les Frères musulmans de l’Égypte au milieu du XXe siècle. Cette phrase paraît simpliste et le slogan semble n’avoir que peu à offrir. Mais il trouve écho chez bon nombre de gens qui croient que, si l’on obéissait à l’Islam et qu’on honorait ses valeurs, alors les taxes baisseraient, les limites imposées aux activités personnelles seraient supprimées et les tentations qui corrompent les jeunes et les faibles disparaîtraient. La Zakât, ce pilier de l’Islam, répond aux besoins des pauvres et renforce les liens entre musulmans contre les mécréants qui à leurs yeux sont à l’origine de tous leurs problèmes. CQFD. Il est temps que nos politiques ouvrent les yeux et arrêtent de financer l’islamisation de la France et le terrorisme par des réductions d’impôt accordées aux associations musulmanes. L’état français doit impérativement sortir la zakât du dispositif des réductions d’impôt.
Vous savez mon aversion pour le communisme, le
socialisme, le social nationalisme ou nazisme, et toutes idéologies assimilées.
Mais de plus en plus je suis tenté de croire les cocos
Chinois qui stigmatiseraient soi-disant des musulmans, les Huis ou de l’ethnie ouïghours en faisant un
parallèle entre islam et maladie. En avril 2018, l’AFP faisait état d'«équipes de travail» envoyées par le merveilleux
et démocratique parti communiste chinois
dans le Xinjiang et composées de «civils»
et commissaires politiques censés «s’intéresser
à l’état des gens [Research the people’s conditions], améliorer leur vie, et gagner leurs cœurs». Ces groupes de
promotion de l'«harmonie ethnique» le
reconnaissaient : il s’agissait aussi d'«éradiquer
les tumeurs» et en particulier l’Islam.
Les autorités chinoises ont également déclaré que les ouïghours musulmans
internés dans des «centres de
rééducation» sont «infectés par une
maladie idéologique», qu’il faut traiter «comme une maladie physique». Des termes récurrents dans un
enregistrement attribué au Parti communiste chinois par Radio Free Asia (un
média financé par le Congrès américain) pendant l’été.
L’islam «est traité comme une maladie mentale, sans garantie qu’elle soit un jour complètement soignée, comme l’addiction ou la dépression» dira le sinologue américain, Timothy Grose, dans The Atlantic.
L’islam «est traité comme une maladie mentale, sans garantie qu’elle soit un jour complètement soignée, comme l’addiction ou la dépression» dira le sinologue américain, Timothy Grose, dans The Atlantic.
«Le
gouvernement chinois a la vieille habitude de considérer que ceux qui pensent
différemment du gouvernement (un gouvernement communiste,
pacifiste, démocratique et populaire) souffrent
de défauts idéologiques ou de maladies mentales, et de les forcer à se
soumettre à un endoctrinement politique (Maoïste, marxiste-léniniste
progressiste et humaniste)», écrit
Humans Right Watch dans un rapport publié en septembre 2018.
Dans une récente conférence sur la situation des
ouïghours, le chercheur de l’université de Cambridge Adrian Zenz pose la même
observation que l’ONG : la Chine a une longue histoire du camp de rééducation,
d’abord utilisé pour les artistes capitalistes et les intellectuels réactionnaires
et fascistes opposés à Mao le grand leader communiste. Ils se sont développés
depuis les années 2000 sous d’autres formes extralégales, pour les toxicomanes
par exemple. «Aujourd’hui, cette
procédure s’applique pour les musulmans ouïghours», constate Zenz. «La rééducation est comme un traitement pour
les personnes qui ont une sorte de maladie. Certains documents font état d’un
«traitement médical gratuit»» pour désigner l’internement dans des camps,
assure le chercheur, s’appuyant sur des reportages et des documents
officiels. Zenz confirme que pour Pékin et de nombreuses
personnes dans le monde, «la religion musulmane est une maladie de la
pensée.»
En Chine pourtant sous l'impulsion du grand Timonier Mao Zedong, du Grand
Bond en avant et de sa Révolution culturelle, l'islam est alors complètement
abattu. Des mosquées sont heureusement détruites, des copies du Coran sont
brûlées et les pèlerinages à La Mecque sont interdits. Il est vrai que le grand
leader Xi Jinping à la tête de la Chine aujourd’hui n’en est pas à quelques 3
ou 4 millions de morts musulmans, Mao Tsé-toung son inspirateur et fabuleux
auteur du Grand Bond en avant, sera responsable de famines de masse et de la
mort d'environ 55 millions de personnes démocratiquement et pacifiquement exécutées
avec amour et tolérance.
Au début du XXIème siècle ce sont des musulmans qui ont déclenché les hostilités. En
juillet 2009, à Urumqi, capitale du Xinjiang, Ouïghours et Hans (l’ethnie
majoritaire en Chine à 92%) s’affrontent dans les rues et le bilan est de près
de 200 morts et d’environ 2000 blessés. Depuis ce jour, le gouvernement chinois
a décidé de renforcer sa politique sécuritaire dans la région autonome du
Xinjiang, un véritable tournant pour les musulmans Ouïghours. Des attaques meurtrières
de musulmans djihadistes terroristes sont perpétrées par des musulmans
Ouïghours à Pékin en 2013 puis à Kunming et Urumqi en 2014, qui ne font que
renforcer les mesures prises par le juste gouvernement communiste démocratique pour
enfermer le Xinjiang et restreindre la liberté de parole et de la mobilité de
la population musulmane ouïghour. La construction des camps de rééducation à la
foi communiste et de déradicalisation aurait véritablement débuté en mars 2017.
Si un dixième de la population ouïghour serait enfermé dans ces camps de
déradicalisation, le reste de la région du Xinjiang est une vraie prison à ciel
ouvert pour les musulmans. Les autorités mettraient des moyens technologiques
très importants pour surveiller les musulmans Ouïghours : caméras, logiciels espions
dans les téléphones, études des données biométriques ou encore interdiction de
voyager sans autorisation. Téléphoner à l’étranger ou s’y rendre, porter une
barbe, refuser de boire de l’alcool ou donner un prénom musulman à son enfant
peut suffire à être emmené en camp nature et découverte du socialisme pour «extrémisme religieux». Récemment, Nihad
Jariri, une journaliste jordanienne, est allée soi-disant en vacances dans la
province du Xinjiang et s’est rendu compte que des dispositifs de
reconnaissance faciale étaient installés à l’entrée des mosquées, pour repérer
les musulmans les plus pratiquants.
Toujours en
Chine, après le Xinjiang où vit la minorité musulmane ouïghour, c’est à la
région de Linxia, terre de naissance des Huis, une autre ethnie chinoise
islamisée, de connaître les foudres administratives des pouvoirs communistes
locaux. La même politique d’interdiction de l’Islam et de ses pratiques y est
imposée progressivement et pourrait servir de laboratoire national au parti
communiste chinois. Tous les vendredis, la Grande Mosquée de Nanguan prend
vie à l’occasion de la prière la plus importante de la semaine. Les musulmans
Hui de Yinchuan, capitale de leur territoire officiel, se rassemblent pour la
prière du vendredi. Juste après midi, des hommes en chapeaux blancs se
faufilent dans la mosquée et disparaissent derrière une porte ornée de motifs
islamiques en or et de trois dômes verts, chacun coiffé d’un croissant de lune
argenté qui brille au soleil. C’est l’une des premières mosquées en style arabe
construites en 1981 pour remplacer une mosquée chinoise détruite pendant la grande
Révolution culturelle. Mais maintenant, ses dômes en forme d’oignon, ses motifs
élaborés et son écriture arabe pourraient être les cibles d’une campagne
gouvernementale visant à débarrasser la région autonome de Linxia, au nord-ouest,
où vit l’ethnie musulmane Hui, de ce que Pékin considère comme une tendance très
inquiétante d’islamisation et d’arabisation. Dans une mesure délibérée d’éradication de l’islam, le parti
communiste athée au pouvoir a déjà interdit aux mineurs de moins de 16 ans de
mener des activités religieuses ou d’étudier à Linxia, une région profondément islamique de la Chine occidentale où vit l’ethnie
musulmane des Huis. Posséder
un Coran ou même se faire pousser la barbe sont des pratiques considérées comme
des infractions par le pouvoir communiste local. «Le vent a tourné» au cours de l’année écoulée, a expliqué une
sorte d’imam autoproclamé de Linxia city qui a requis l’anonymat et qui déclare
avoir «très peur qu’elles (les
autorités communistes) y appliquent le
modèle répressif du Xinjiang». Les autorités locales ont fortement réduit le nombre d’étudiants
de plus de 16 ans officiellement autorisés à étudier dans chaque mosquée et les
processus de certification ont été limités pour les nouveaux imams. Le pouvoir
a également demandé aux mosquées d’afficher des drapeaux nationaux et de cesser
de lancer un appel à la prière pour réduire la «pollution sonore». Des haut-parleurs ont été entièrement retirés
des 355 mosquées d’un comté voisin. La mosquée de Nanguan a déjà remplacé son
appel par une alarme perçante. La situation tendue au Xinjiang est incontestablement liée aux
changements intervenus à Linxia. Le gouvernement communiste estime avec un
raisonnement implacable que «la piété
religieuse musulmane favorise le fanatisme, qui engendre l’extrémisme, ce qui
conduit à des actes terroristes». Mais cette
répression s’inscrit dans le cadre d’une campagne plus large visant à «siniser la religion», une politique
introduite par le président Xi Jinping en 2015 pour mettre les religions en
conformité avec la culture chinoise et l’autorité absolue du parti communiste. «Nous devons adhérer à la politique de la
sinisation de la religion dans notre pays et guider activement la religion pour
qu’elle s’adapte à une société socialiste», a-t-il déclaré dans un rapport
au congrès du parti à l’automne dernier.
Des cinq religions officiellement reconnues en Chine, le taoïsme est la seule à être indigène. Le bouddhisme, bien qu’il ait son origine en Inde, a également été acceptée comme une religion chinoise, ayant été, à part le bouddhisme tibétain, intégré dans la culture Han au cours de l’histoire des dynasties chinoise. Le parti se méfie des autres religions – l’islam, le protestantisme et le catholicisme – et les associe à une influence étrangère ou au séparatisme ethnique.
Des cinq religions officiellement reconnues en Chine, le taoïsme est la seule à être indigène. Le bouddhisme, bien qu’il ait son origine en Inde, a également été acceptée comme une religion chinoise, ayant été, à part le bouddhisme tibétain, intégré dans la culture Han au cours de l’histoire des dynasties chinoise. Le parti se méfie des autres religions – l’islam, le protestantisme et le catholicisme – et les associe à une influence étrangère ou au séparatisme ethnique.
https://www.asso-sherpa.org/accueil Sherpa,
(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
SHERPA, association loi 1901 basée à Paris, a été créée
en 2001 en vue disent-ils de protéger et défendre les populations victimes de
crimes économiques.
Sherpa fonctionne essentiellement grâce aux subventions
de fondations privées, françaises et étrangères. L’association est notamment
activement soutenue par principalement la Fondation Charles Léopold Meyer pour
le Progrès de l’Homme, dans une moindre mesure par la Fondation Egalité des
Chances en Afrique (ici) ainsi
que par Open Society Foundations (ici ;
fondée par Georges Soros), Humanity United (ici), Freedom Fund (ici), Olin ggmbh (ici) et Bay and Paul
Foundations (ici).
En dépit de sa discrétion, la Fondation Charles-Léopold
Mayer pour le progrès de l’homme (FPH) qui subventionne Sherpa est devenue ces
dernières années un acteur important dans les débats sur l’agriculture. Si la
FPH – une fondation de droit suisse mais dont le bureau exécutif se trouve à
Paris – finance généreusement une pléiade d’associations contestataires
anti-OGM ou altermondialistes, elle entretient aussi des liens étroits avec de
nombreux acteurs issus de l’administration française ou de la fonction publique.
Récemment apparue dans le paysage mondial de la philanthropie, la Fondation
Charles-Léopold Mayer pour le progrès de l’homme (FPH) gère la fortune que lui
a léguée à sa mort, en 1971, le chimiste français Charles-Léopold Mayer. Ce
dernier n’ayant pas de descendance, c’est sa secrétaire Madeleine Calame qui en
a assuré la gestion au moment de la création de la fondation, en 1982. Depuis,
toute la famille Calame est impliquée : Pierre Calame, le fils de Madeleine, en
a pris les rênes en 1986, épaulé par sa femme Paulette et par leurs deux fils
Vincent et Matthieu. Autour du «noyau
Calame» gravitent une vingtaine de salariés, tous dévoués aux causes marxistes
culturelles de la fondation.
Placé en Bourse et dans l’immobilier, le capital de la Fondation Charles-Léopold Mayer pour le progrès de l’homme s’élève à quelque 225 millions d’euros. Le très chic Domaine de Villarceaux, dont la famille Calame est propriétaire, constitue son joyau. Il comprend un château, un golf et une exploitation agricole de plus de 400 hectares (la ferme de la Bergerie), convertie en bio en 1997 et gérée par Matthieu Calame. Grâce aux revenus de ses placements financiers, la FPH peut afficher un budget bisannuel de 17 millions d’euros, dont environ la moitié est consacrée au financement d’associations et de projets en France et ailleurs. Jusqu’en 1989, les aides accordées par la fondation étaient essentiellement destinées à des projets ponctuels. Depuis, la FPH a décidé de privilégier «la construction de réseaux internationaux à dominante thématique». Ceci a permis la création d’une série de nouvelles associations militantes, comme Inf’OGM ou la Fondation Sciences citoyennes. Son opposition à la politique productiviste ne concerne pas seulement l’agriculture. De manière plus générale, Pierre Calame remet en cause l’héritage gaulliste de l’après-guerre, qui a permis à la France de devenir une puissance industrielle et agricole. Son fils Matthieu, qui regrette que «l’après-guerre gaulliste [ait] ouvert la voie à une politique de recherche volontariste», est plus explicite : «Alors que Pétain pensait que la puissance d’une nation reposait sur sa force morale, de Gaulle et les communistes étaient persuadés que l’industrie fait la puissance d’une nation». A choisir, Matthieu préfère visiblement la force morale de Pétain à la puissance industrielle souhaitée par de Gaulle ! Un brin nostalgique, il rappelle que «la Troisième République, elle, avait fait le pari que son soutien le plus sûr, c’était les petits paysans propriétaires, et que pour assurer la stabilité et la force de la nation, il fallait maintenir et protéger les petits paysans». Paradoxalement, cette défense des «petits paysans» contre une agriculture moderne et mécanisée, typique de la droite conservatrice des années trente, permet à la FPH d’exercer une influence importante au sein des mouvements altermondialistes et marxistes culturels. L’artisan de cette étrange réussite s’appelle Pierre Vuarin. Proche collaborateur de Pierre Calame, c’est lui qui fixe les grandes orientations des questions agricoles au sein de la FPH.
Placé en Bourse et dans l’immobilier, le capital de la Fondation Charles-Léopold Mayer pour le progrès de l’homme s’élève à quelque 225 millions d’euros. Le très chic Domaine de Villarceaux, dont la famille Calame est propriétaire, constitue son joyau. Il comprend un château, un golf et une exploitation agricole de plus de 400 hectares (la ferme de la Bergerie), convertie en bio en 1997 et gérée par Matthieu Calame. Grâce aux revenus de ses placements financiers, la FPH peut afficher un budget bisannuel de 17 millions d’euros, dont environ la moitié est consacrée au financement d’associations et de projets en France et ailleurs. Jusqu’en 1989, les aides accordées par la fondation étaient essentiellement destinées à des projets ponctuels. Depuis, la FPH a décidé de privilégier «la construction de réseaux internationaux à dominante thématique». Ceci a permis la création d’une série de nouvelles associations militantes, comme Inf’OGM ou la Fondation Sciences citoyennes. Son opposition à la politique productiviste ne concerne pas seulement l’agriculture. De manière plus générale, Pierre Calame remet en cause l’héritage gaulliste de l’après-guerre, qui a permis à la France de devenir une puissance industrielle et agricole. Son fils Matthieu, qui regrette que «l’après-guerre gaulliste [ait] ouvert la voie à une politique de recherche volontariste», est plus explicite : «Alors que Pétain pensait que la puissance d’une nation reposait sur sa force morale, de Gaulle et les communistes étaient persuadés que l’industrie fait la puissance d’une nation». A choisir, Matthieu préfère visiblement la force morale de Pétain à la puissance industrielle souhaitée par de Gaulle ! Un brin nostalgique, il rappelle que «la Troisième République, elle, avait fait le pari que son soutien le plus sûr, c’était les petits paysans propriétaires, et que pour assurer la stabilité et la force de la nation, il fallait maintenir et protéger les petits paysans». Paradoxalement, cette défense des «petits paysans» contre une agriculture moderne et mécanisée, typique de la droite conservatrice des années trente, permet à la FPH d’exercer une influence importante au sein des mouvements altermondialistes et marxistes culturels. L’artisan de cette étrange réussite s’appelle Pierre Vuarin. Proche collaborateur de Pierre Calame, c’est lui qui fixe les grandes orientations des questions agricoles au sein de la FPH.
Monsieur Vuarin infatigable militant du Larzac dans les
années soixante-dix et membre de la Gauche ouvrière et paysanne, est
responsable depuis 1990 du programme «Agricultures
paysannes, sociétés et mondialisation» (APM) de la FPH. Conformément à la
philosophie de Pierre Calame, le programme APM vise à instaurer une agriculture
familiale et paysanne, en «arrêtant le
développement d’agricultures productivistes, consommatrices d’énergie,
polluantes, productrices d’aliments standardisés et souvent budgétivores des
subventions publiques». La stratégie de Pierre Vuarin consiste à favoriser l’émergence de
réseaux d’associations situés à gauche de l’échiquier politique, qui partagent
son discours anti-productiviste. Dès 1993, la FPH s’engage directement auprès
des associations qui participent aux manifestations du Larzac, en apportant son
soutien financier à ce grand meeting. Cette «rencontre
mondiale des réseaux qui se structuraient progressivement au niveau régional»
intéresse d’autant plus Pierre Vuarin qu’elle constitue l’occasion de mettre en
place une collaboration plus dense à un niveau international. Reprenant les
thèmes très en vogue «d’agriculture
durable, de sécurité alimentaire, de réformes agraires, de biodiversité et des
OGM, de la place des organisations paysannes et des pouvoirs locaux», Pierre
Vuarin souhaite surtout assurer «la
formation de leaders sociaux». La FPH finance donc de nombreuses
associations de paysans ou d’ONG en Afrique, en Asie, en Amérique latine,
tissant ainsi un véritable réseau d’alliés stratégiques marxistes culturelles.
https://www.solidarite-laique.org/ Solidarité laïque,
(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Depuis
1956, Solidarité Laïque lutte contre les fameuses «exclusions» et améliore l’accès de toutes et tous à une éducation
de qualité. L’association est un collectif de 52 organisations liées à l’école publique, à l’éducation
populaire et à l’économie
sociale et solidaire c’est-à-dire entièrement marxiste culturelle notamment la
mise en œuvre de son article7 : Affaiblissement de l’éducation par une
baisse progressive du niveau et une
élimination de la sélection afin de faire disparaitre tout repère chez les
jeunes. Elle est reconnue d’utilité publique c’est-à-dire subventionnée
à 100% avec les impôts des Français pour bénéficier à des étrangers !
Pour Solidarité Laïque, l’éducation est non seulement un «droit» fondamental mais la clé de l’émancipation individuelle, du développement social, culturel (quand je vous le serine !), et économique. Elle contribue à bâtir la paix dans le respect des différences. L'idéologie véhiculée par l'école publique et ce genre d’association toute marxiste culturelle est notoirement antilibérale et étatiste, touchant parfois au terrorisme intellectuel. L’éducation n’est pas un droit fondamental, c’est un de ces nombreux faux droits un de ces droits arbitraires «octroyés» par la social-démocratie, selon la philosophie subjectiviste du «droit» marxiste culturel qu'elle développe pour complaire à sa clientèle. Chacun a en quelque sorte autant de droit que d'influence (via la flatterie ou la menace) sur le Prince, seul habilité à distribuer avec grandeur et magnanimité, un privilège ou un argent qui n'est pas le sien. Le drame est que ces faux droits sont ensuite, au fil du temps, revendiqués comme de vrais droits, comme un «dû» de la société. : l'assistanat, la subvention, se perpétuent sous prétexte de «solidarité». Grâce aux donateurs et aux bailleurs, Solidarité laïque agis dans une vingtaine de pays et en France pour lutter contre les inégalités et éduquer à la citoyenneté.
Avec des centaines de partenaires locaux, ils feraient avancer la «cause» de l’éducation et se mobiliseraient pour que les Etats prennent les moyens de leurs engagements. Pour les libertariens dont je suis, il est injuste de forcer une personne, via l'impôt, à financer l'éducation d'autrui, d’autant plus à l’étranger. L'enseignement est donc un service comme les autres, que des individus ou des entreprises vendent à des clients. S'il était appliqué, ce modèle aurait de nombreux avantages sur le plan de la qualité de l'enseignement. Outre les bénéfices tirés de la concurrence entre établissements scolaires et écoles de pédagogie, la délivrance des principaux diplômes ne serait plus un monopole, ce qui permettrait de valoriser de manière optimale les acquis des étudiants. Le financement des études qui pourrait résulter de ce système est aussi supérieur à la formule de l'instruction publique gratuite. Ce marché, en plus d'intéresser les banques, pourrait voir fleurir les associations délivrant des bourses aux étudiants. Dans les deux cas, l'obtention de prêts serait soumise à la capacité des candidats à convaincre les prêteurs et donc à fournir des résultats. Ce principe de responsabilisation favoriserait la réussite scolaire et permettrait aux plus méritants de poursuivre des études. La conséquence directe montrerait l'inutilité voire le caractère nocif d'un ministère de l’Éducation Nationale, dont la mainmise idéologique et politique sur les jeunes esprits n'est pas le moindre défaut. Pour certains libertariens, comme Murray Rothbard, l'école publique représente un réel danger pour la liberté, car elle repose sur des croyances d'un faux libéralisme issu du dix-neuvième siècle et par des auteurs utilitaristes comme Jeremy Bentham et des auteurs positivistes.
Pour Solidarité Laïque, l’éducation est non seulement un «droit» fondamental mais la clé de l’émancipation individuelle, du développement social, culturel (quand je vous le serine !), et économique. Elle contribue à bâtir la paix dans le respect des différences. L'idéologie véhiculée par l'école publique et ce genre d’association toute marxiste culturelle est notoirement antilibérale et étatiste, touchant parfois au terrorisme intellectuel. L’éducation n’est pas un droit fondamental, c’est un de ces nombreux faux droits un de ces droits arbitraires «octroyés» par la social-démocratie, selon la philosophie subjectiviste du «droit» marxiste culturel qu'elle développe pour complaire à sa clientèle. Chacun a en quelque sorte autant de droit que d'influence (via la flatterie ou la menace) sur le Prince, seul habilité à distribuer avec grandeur et magnanimité, un privilège ou un argent qui n'est pas le sien. Le drame est que ces faux droits sont ensuite, au fil du temps, revendiqués comme de vrais droits, comme un «dû» de la société. : l'assistanat, la subvention, se perpétuent sous prétexte de «solidarité». Grâce aux donateurs et aux bailleurs, Solidarité laïque agis dans une vingtaine de pays et en France pour lutter contre les inégalités et éduquer à la citoyenneté.
Avec des centaines de partenaires locaux, ils feraient avancer la «cause» de l’éducation et se mobiliseraient pour que les Etats prennent les moyens de leurs engagements. Pour les libertariens dont je suis, il est injuste de forcer une personne, via l'impôt, à financer l'éducation d'autrui, d’autant plus à l’étranger. L'enseignement est donc un service comme les autres, que des individus ou des entreprises vendent à des clients. S'il était appliqué, ce modèle aurait de nombreux avantages sur le plan de la qualité de l'enseignement. Outre les bénéfices tirés de la concurrence entre établissements scolaires et écoles de pédagogie, la délivrance des principaux diplômes ne serait plus un monopole, ce qui permettrait de valoriser de manière optimale les acquis des étudiants. Le financement des études qui pourrait résulter de ce système est aussi supérieur à la formule de l'instruction publique gratuite. Ce marché, en plus d'intéresser les banques, pourrait voir fleurir les associations délivrant des bourses aux étudiants. Dans les deux cas, l'obtention de prêts serait soumise à la capacité des candidats à convaincre les prêteurs et donc à fournir des résultats. Ce principe de responsabilisation favoriserait la réussite scolaire et permettrait aux plus méritants de poursuivre des études. La conséquence directe montrerait l'inutilité voire le caractère nocif d'un ministère de l’Éducation Nationale, dont la mainmise idéologique et politique sur les jeunes esprits n'est pas le moindre défaut. Pour certains libertariens, comme Murray Rothbard, l'école publique représente un réel danger pour la liberté, car elle repose sur des croyances d'un faux libéralisme issu du dix-neuvième siècle et par des auteurs utilitaristes comme Jeremy Bentham et des auteurs positivistes.
http://www.utopia56.com/fr SOS
Racisme Utopia 56, (Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Utopia 56 est une association créée en janvier 2016 en
Bretagne pour encadrer le bénévolat marxiste culturel qui se déployait alors
sur la «jungle» de Calais (Bien connu
pour ces cocotiers, ses plages de sable blond, Calais le sera encore plus avec
ses chimpanzés dans sa fameuse jungle).
Avec plus de 11 000 adhérents (en juin 2019), nous mettons à l’abri des immigrés clandestins et mineurs isolés, nous aidons aux distributions de nourriture, sacs de couchages, et accès aux soins (hospitalisations) d’immigrés clandestins, à Calais, Lille, Paris, Rennes, Toulouse et Tours. Écoutons les : Devant de nombreux constats alarmants, les violations systématiques des fameux «droits» des exilé.e.s (écriture inclusive = cocos et Cie) et les manquements étatiques flagrants (?), nous nous engageons à :
Écouter et respecter les histoires et projets de vie de chaque exilé.e afin de lui offrir un support et un suivi en cohérence avec ses projets. Aider matériellement, administrativement, juridiquement toutes les personnes qui le souhaitent grâce à l’hébergement solidaire, aux collectes de dons matériels et à une orientation personnalisée vers les associations et les dispositifs juridiques et administratifs adaptés. Vous aurez remarqué que l’immigré clandestin en situation irrégulière sur le territoire national est, suivant la nov. langue marxiste culturelle devenu un exilé. Nonobstant l'immigré clandestin pèse moins que l'immigré régulier sur les comptes de la Sécurité Sociale, et il n'alimente pas les arguments de ceux qui fondent leur juste xénophobie sur le prélèvement qu'opèrent les étrangers sur les moyens et les services du «Club» France, tout simplement parce qu'il ne dispose pas des papiers nécessaires pour accéder à la plupart des faveurs de l'État-Providence. Par contre, l’état, qui est illégitime, n’a pas le Droit de laisser entrer sur le «sol national», qui est en réalité la propriété légitime de résidents privés à qui il a usurpé le Droit de les inviter, la présence d’individus qui n’y auraient pas droit. Donc, l’affirmation d’un prétendu «droit d’immigrer librement» est, comme la condamnation de l’«ordre moral» et pour la même raison, la négation d’un aspect du Droit de propriété légitime qui lui est inhérent. Certains libéraux minarchistes dont je ne suis pas l’acceptent parce qu’ils admettent l’usurpation de cette fonction par les hommes de l’état tout en refusant qu’ils l’exercent par crainte justifiée de leur arbitraire. Cette usurpation, ou «intégration forcée», a pour conséquence que certains individus se trouvent sur le «sol national» alors qu’ils ne devraient pas s’y trouver, et que certains autres ne s’y trouvent pas alors qu’ils devraient y être. De ce fait, sur le sol national, le soupçon est unilatéral : il pèse bien sur les seuls «étrangers» invités par les hommes d’un état lui-même illégitime, et dont la présence est de ce fait a priori illégitime.
Parlons encore un instant de «solidarité». La solidarité, dans sa forme primaire, a un sens très large qui peut inclure la notion d'entraide et d'assistance, par nécessité, esprit grégaire ou sentiment moral. La solidarité peut être décrite comme une dépendance mutuelle entre les êtres humains, due au besoin qu'ils ont les uns des autres, et d'où peut découler une responsabilité mutuelle. Cette communauté d'intérêt, sans nécessairement idée d'altruisme, et qui existe aussi chez les animaux, peut s'exprimer aussi bien dans le domaine associatif, mutualiste, que dans l'entreprise, les échanges économiques, la division du travail... Il est indispensable de séparer deux notions de solidarité : La solidarité volontaire où vouloir agir soi-même à l'égard d'autrui contribue à un enrichissement mutuel. La solidarité forcée, d'origine plutôt politique socialiste et idéologique marxiste culturelle, doctrine de la «solidarité» en tant que système reposant sur la croyance que le social et l'économique doivent être contraints par la loi à une forme de solidarité redistributive. Dans une économie de marché, les richesses produites sont en un premier temps réparties entre les différents agents - on parle alors de répartition primaire -, sous forme, par exemple, de profits ou de salaires. Une logique de redistribution peut par la suite être mise en œuvre afin de venir en aide aux individus exclus de cet effort productif. Pour les libéraux, il existe une différence bien définie entre la solidarité fondée sur la réciprocité volontaire, et celle qui est mise en œuvre de nos jours par l'Etat-providence qui est une vaste supercherie politique. En effet, la solidarité en tant que système social recevant l'approbation et le soutien de l’État, se résumant aux aides, primes et allocations (par exemple une sécurité sociale monopolistique obligatoire), par leur place dominante laisse croire que la seule et unique forme de solidarité ne peut se développer sans les ressources publiques, d'où une obligation imposée afin de la financer. Le système actuel de solidarité est instauré par la contrainte étatique, en d'autres termes, par la force (l'État ne connaît que la solidarité forcée, qui est à la vraie solidarité ce que le viol est à l'amour). Les individus sont obligés d'y souscrire, ce qui va à l'encontre des principes libéraux fondamentaux que sont la liberté, la propriété et la non-agression, définitivement établis par la Déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen de 1789.
Avec plus de 11 000 adhérents (en juin 2019), nous mettons à l’abri des immigrés clandestins et mineurs isolés, nous aidons aux distributions de nourriture, sacs de couchages, et accès aux soins (hospitalisations) d’immigrés clandestins, à Calais, Lille, Paris, Rennes, Toulouse et Tours. Écoutons les : Devant de nombreux constats alarmants, les violations systématiques des fameux «droits» des exilé.e.s (écriture inclusive = cocos et Cie) et les manquements étatiques flagrants (?), nous nous engageons à :
Écouter et respecter les histoires et projets de vie de chaque exilé.e afin de lui offrir un support et un suivi en cohérence avec ses projets. Aider matériellement, administrativement, juridiquement toutes les personnes qui le souhaitent grâce à l’hébergement solidaire, aux collectes de dons matériels et à une orientation personnalisée vers les associations et les dispositifs juridiques et administratifs adaptés. Vous aurez remarqué que l’immigré clandestin en situation irrégulière sur le territoire national est, suivant la nov. langue marxiste culturelle devenu un exilé. Nonobstant l'immigré clandestin pèse moins que l'immigré régulier sur les comptes de la Sécurité Sociale, et il n'alimente pas les arguments de ceux qui fondent leur juste xénophobie sur le prélèvement qu'opèrent les étrangers sur les moyens et les services du «Club» France, tout simplement parce qu'il ne dispose pas des papiers nécessaires pour accéder à la plupart des faveurs de l'État-Providence. Par contre, l’état, qui est illégitime, n’a pas le Droit de laisser entrer sur le «sol national», qui est en réalité la propriété légitime de résidents privés à qui il a usurpé le Droit de les inviter, la présence d’individus qui n’y auraient pas droit. Donc, l’affirmation d’un prétendu «droit d’immigrer librement» est, comme la condamnation de l’«ordre moral» et pour la même raison, la négation d’un aspect du Droit de propriété légitime qui lui est inhérent. Certains libéraux minarchistes dont je ne suis pas l’acceptent parce qu’ils admettent l’usurpation de cette fonction par les hommes de l’état tout en refusant qu’ils l’exercent par crainte justifiée de leur arbitraire. Cette usurpation, ou «intégration forcée», a pour conséquence que certains individus se trouvent sur le «sol national» alors qu’ils ne devraient pas s’y trouver, et que certains autres ne s’y trouvent pas alors qu’ils devraient y être. De ce fait, sur le sol national, le soupçon est unilatéral : il pèse bien sur les seuls «étrangers» invités par les hommes d’un état lui-même illégitime, et dont la présence est de ce fait a priori illégitime.
Parlons encore un instant de «solidarité». La solidarité, dans sa forme primaire, a un sens très large qui peut inclure la notion d'entraide et d'assistance, par nécessité, esprit grégaire ou sentiment moral. La solidarité peut être décrite comme une dépendance mutuelle entre les êtres humains, due au besoin qu'ils ont les uns des autres, et d'où peut découler une responsabilité mutuelle. Cette communauté d'intérêt, sans nécessairement idée d'altruisme, et qui existe aussi chez les animaux, peut s'exprimer aussi bien dans le domaine associatif, mutualiste, que dans l'entreprise, les échanges économiques, la division du travail... Il est indispensable de séparer deux notions de solidarité : La solidarité volontaire où vouloir agir soi-même à l'égard d'autrui contribue à un enrichissement mutuel. La solidarité forcée, d'origine plutôt politique socialiste et idéologique marxiste culturelle, doctrine de la «solidarité» en tant que système reposant sur la croyance que le social et l'économique doivent être contraints par la loi à une forme de solidarité redistributive. Dans une économie de marché, les richesses produites sont en un premier temps réparties entre les différents agents - on parle alors de répartition primaire -, sous forme, par exemple, de profits ou de salaires. Une logique de redistribution peut par la suite être mise en œuvre afin de venir en aide aux individus exclus de cet effort productif. Pour les libéraux, il existe une différence bien définie entre la solidarité fondée sur la réciprocité volontaire, et celle qui est mise en œuvre de nos jours par l'Etat-providence qui est une vaste supercherie politique. En effet, la solidarité en tant que système social recevant l'approbation et le soutien de l’État, se résumant aux aides, primes et allocations (par exemple une sécurité sociale monopolistique obligatoire), par leur place dominante laisse croire que la seule et unique forme de solidarité ne peut se développer sans les ressources publiques, d'où une obligation imposée afin de la financer. Le système actuel de solidarité est instauré par la contrainte étatique, en d'autres termes, par la force (l'État ne connaît que la solidarité forcée, qui est à la vraie solidarité ce que le viol est à l'amour). Les individus sont obligés d'y souscrire, ce qui va à l'encontre des principes libéraux fondamentaux que sont la liberté, la propriété et la non-agression, définitivement établis par la Déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen de 1789.
https://www.wwf.fr/ WWF,
(Lien de la nébuleuse communiste de la haine rouge).
Bizarre vous avez dit bizarre ? Je croyais que le
WWF s’occupait d’animaux et n’avait rien à voir avec l’idéologie nauséabonde du
politiquement correct ou du marxisme culturel.
Pour en comprendre le pourquoi, il faut faire un peu
d’histoire. En 1960, Sir Julian
Huxley, alors directeur de l'UNESCO, se rend en Afrique de l’Est pour établir
un état des lieux de la faune dans cette région. Il est consterné par ce qu'il
découvre. La nature est tout simplement détruite et la chasse fait des ravages.
Sir Huxley décide qu'il est temps que le public sache : la plupart des espèces
sauvages d'Afrique de l'Est pourraient disparaître dans les 20 prochaines
années. L'aventure, qui est celle de cinq hommes déterminés à protéger
l’environnement, commence alors.
En 1961, le WWF, à l'époque «World Wildlife Fund», est officiellement enregistré comme
organisation caritative. La récolte de fonds est lancée. En à peine trois ans,
le WWF récolte plus d'1,4 millions d'euros. Cet argent est directement reversé
à des organisations non-gouvernementales qui mènent des projets de conservation
partout dans le monde. En 1973, création
du WWF France. Les actions se
concentrent alors sur la protection du balbuzard de Corse et du flamant rose en
Camargue.
En 1986, le World Wildlife Fund devient le World Wide
Fund for Nature afin de mieux refléter la portée de ses activités.
En 1987 - Publication du rapport Brundtland «Notre avenir à tous» (Our Common future).
Nommé d'après Gro Harlem Brundtland, présidente de la Commission mondiale sur
l’environnement et le développement de l'Organisation des nations unies, ce
rapport est à l'origine du terme de «développement
durable». Il servit par ailleurs de base de travail au Sommet de la Terre
de Rio, en 1992. Ça y est ! Le lien est fait, la main mise marxiste
culturelle sur une association de protection animale est faite. Gro Harlem
Brundtland, née Harlem le 20 avril 1939 à Bærum, est une femme d'État
norvégienne membre du Parti travailliste (AP, sorte de Parti socialo-communiste),
qu'elle a présidé de 1981 à 1992. Première ministre par trois fois entre 1981
et 1996, elle a passé près de dix ans au pouvoir et dirigé l'Organisation
mondiale de la santé (OMS) de 1998 à 2003.
Le rapport de la socialiste Brundtland en 1987 définit
le développement durable comme «un
développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité
des générations futures à répondre aux leurs». Le développement durable
doit être à la fois économiquement efficace, «socialement équitable» et éventuellement écologiquement tolérable.
Le «social» (comprendre socialisme) doit être l’objectif principal, l’économie
un moyen (c’est-à-dire du pognon volé aux citoyens) et l’environnement une
condition. Préserver, améliorer et
valoriser l’environnement et les ressources naturelles sur le long terme, en
maintenant les grands équilibres écologiques, en réduisant les risques et en
prévenant les impacts environnementaux restait dans la ligne initiale de la
protection de la nature du WWF mais favoriser la cohésion
sociale, la capacité de notre société à assurer le bien-être de tous ses citoyens,
la possibilité pour tout un chacun, d’accéder, quel que soit son niveau de vie,
aux besoins essentiels : alimentation, logement, santé, accès égal au travail,
sécurité, éducation, droits de l’homme, culture et patrimoine, etc., c’est
dévoyer l’esprit du WWF. Parmi les principaux enjeux sociaux qui animent
désormais le WWF les thématiques suivantes toutes marxistes culturelles ont été
identifiées : Lutter contre l’exclusion et les discriminations, c'est-à-dire respecter
et protéger les personnes les plus faibles (en situation de handicap, âgées,
minoritaires...), donner l’accès aux droits sociaux pour tous. Un vrai
programme rouge communiste !
On comprend mieux pourquoi madame Brundtland échappe de
justesse à un assassinat lors des attentats de 2011 en Norvège. Elle est sur
l'île d'Utøya quelques heures avant le massacre pour donner un de ses habituels
discours marxistes au camp de la Ligue des jeunes travaillistes (Socialistes).
L'auteur du massacre, Anders Behring Breivik, a avoué qu'elle était la cible
principale de l'attentat qu'il avait préparé, mais il n'avait pas pu arriver à
temps à cause d'un retard à la gare d'Oslo. (Breivik n’en déplaise à toute la gauchosphère
marxiste culturelle n’était pas un homme d’extrême droite, ni un
ultranationaliste néonazi ou chrétien comme certains marxistes culturels et
autres bolchos voudraient le faire croire : voir ici, l'auteur des deux attaques en Norvège (77
morts) c’est très largement inspiré du «livre»
de l’écolo anarchiste et terroriste Kaczynski pour écrire son manifeste ou Déclaration européenne d'indépendance,
Theodore John Kaczynski, était cet anarchiste anticapitaliste, militant écologiste, néo-luddite et terroriste américain plus connu
sous le nom de «Unabomber». De plus «Je suis antinazi», avait déclaré Breivik lors de son procès en réponse à la
question d'un juge, ce qui est étonnant pour un homme que la merdiatocrassie
marxiste culturelle qualifie «d’extrême
ou d’ultra droite nationaliste néonazi») à qualifier la religion séculière
marxiste d’état de cultural
marxism ou avec François Medioni
pour LibertyVox de marxisme culturel).
En 1993 c’est fait, le fameux «Social» est rentré au WWF. Le Forest Stewardship Council (FSC)
fondé en 1993 après la conférence de Rio par 130 organismes de 25 pays, dont le
WWF, est le seul système de certification qui garantisse un juste équilibre
entre les intérêts économiques, écologiques et «sociaux» (CQFD), la prise en compte des peuples autochtones et la
préservation de la biodiversité. Pauvre Panda !
https://www.zerowastefrance.org/ Zero
Waste France (Zero déchets), (Lien de la nébuleuse communiste de la haine
rouge).
A voir comme ça et comme le WWF, Zero Waste (En
anglais ?) serait plutôt sympa (c’est le but) d’autant qu’à première vue créée
en 1997 sous le nom du Cniid, Zero Waste France dit qu’elle est une association
citoyenne (petit bémol ! Comme moi dans Ennemis publics (Flammarion-Grasset, 2008) de Michel
Houellebecq et Bernard-Henri Lévy, Houellebecq dit : «Je ne suis pas un citoyen et j’ai pas
envie de le devenir. [...] On
est des individus [...], alors, «citoyenne»
et indépendante (?), qui agit auprès de tous les publics : «citoyens», élus, professionnels, entreprises, qu’elle
connerie !
Parmi ses «missions»,
Zero Waste France analyse et explique les enjeux de la gestion des déchets
et du gaspillage : surconsommation des ressources, pollutions, implications
économiques et «sociales» (ça y est,
le mot est lâché et indique nettement la direction marxiste culturelle du «machin»). L’association informe aussi les fameux «citoyens» et les autres acteurs sur les solutions et moyens qui
peuvent leur permettre d’agir sur cette situation. L’association mène ainsi régulièrement des enquêtes qu’elle rend
publiques afin d’alerter et mobiliser les «citoyens»,
notamment à travers des campagnes. Elle publie également des ressources
(guides, fiches pratiques, etc.) pour aider chacun à mettre en place la
démarche zéro déchet, zéro gaspillage dans différents contextes (à l’école, au
bureau, etc.). En outre, elle livre à travers des conférences, des formations,
des colloques ou d’autres types d’intervention partout en France, une analyse
du secteur des déchets et de ses évolutions.
Mais hormis un ou deux petits bémols, rien de
gravissime au niveau marxiste culturel, il me faut donc chercher plus avant. Et
c’est comme ça que dans leur présentation on peut lire : «Zero Waste France interpelle également les
pouvoirs publics afin de faire avancer la réglementation dans le sens du zéro
déchet et faire entendre la voix des citoyens (vous vous sentez «citoyens» vous ? Moi pas !), dans l’élaboration des politiques publiques.
L’association travaille essentiellement à
l’échelle nationale, en direction du gouvernement, des députés et sénateurs.
Elle se mobilise également sur les questions européennes, dans le cadre d’un
travail coordonné par les réseaux Zero Waste Europe et EEB (Bureau Européen
de l’Environnement). Là on touche au but avec ce Bureau Européen de
l’Environnement ! Ce fameux «bureau»
fait partie de neuf
ONG dites le GROUPE VERT. Les Verts ? Des
pastèques !
L'écologie pastèque (watermelon environmentalism, c’est mieux pour nos amis anglophones), fer de lance des écolos pastèques (watermelon environmentalists), consiste dans la réappropriation des thèmes écologistes (peau verte), tout en faisant avancer des idées socialistes ou communistes (chair rouge). En effet, à l'image d'une pastèque, le vert extérieur cache le rouge intérieur. Zero Waste Europe est une très grosse pastèque ! Souvent, derrière la cause environnementale, une certaine nostalgie de «mai 68» se dégage parfumée par une certaine décroissance conviviale et climatique. La nécessité de la lutte des classes est mise en avant, antidote social contre la vilaine méchanceté du capitalisme, principal responsable des déséquilibres écologiques. Pour lutter contre la pollution : une remise en cause du système productiviste par l'appropriation collective des moyens de production. De cette manière, pour chaque crise environnementale, l'écologie pastèque propose sa solution de façon «radicale». Parfois, ces attitudes relèvent in fine d'un keynésianisme écologique, forme politique et idéologique de l'écologie, au travers des attitudes classiques keynésiennes, basées sur l'impôt, la redistribution, et l'endettement. Ainsi, c'est sans surprise qu'on apprend que Jacques Perreux, deuxième sur la liste d'Europe Ecologie aux élections régionales de 2010 en Île de France, est responsable communiste de longue date, qui critique le PCF qui aurait trop bougé vers la droite de l'échiquier politique, militant «dans la plus stricte ligne du parti», «chouchou de Georges Marchais qui appliquait la ligne du parti avec zèle» et reconnait sans ambages «ne pas avoir été suffisamment bousculé par la question des libertés dans les pays de l'Est»... On apprend aussi que les anciennes juges Eva Joly et Laurence Vichnievsky, outre leur participation à l'organisme ANTICOR dirigé par le juge Halphen, ont appartenu aussi au Syndicat de la Magistrature (un des syndicats les plus à gauche). Elles ont adhéré à Europe Ecologie, aux élections européennes (pour Eva Joly) et aux élections régionales (pour Laurence Vichnievsky). Ces anciennes juges ont manifesté à plusieurs reprises des positions critiques à l'égard du capitalisme et/ou du libéralisme, imputant au capitalisme la responsabilité de la pollution, de la crise financière de 2007-2008 et des inégalités sociales. Or, c'est dans les pays à dominante étatique voire collectiviste que la pollution est la plus forte et non dans les pays dits libéraux. L'écologie pastèque est aussi un filon politique exploité cyniquement par les professionnels des médias et de la politique, qui en général se soucient fort peu de mettre leurs actes en conformité avec leurs convictions affichées. Ainsi, Nicolas Hulot, éphémère ministre de la Transition écologique et solidaire (2017-2018) peu avare de déplacements ministériels en hélicoptère, déclare posséder neuf véhicules à moteur, dont un bateau, un scooter électrique, une moto et six voitures, qui ne rentrent pas toutes dans la catégorie des véhicules propres.
L'écologie pastèque (watermelon environmentalism, c’est mieux pour nos amis anglophones), fer de lance des écolos pastèques (watermelon environmentalists), consiste dans la réappropriation des thèmes écologistes (peau verte), tout en faisant avancer des idées socialistes ou communistes (chair rouge). En effet, à l'image d'une pastèque, le vert extérieur cache le rouge intérieur. Zero Waste Europe est une très grosse pastèque ! Souvent, derrière la cause environnementale, une certaine nostalgie de «mai 68» se dégage parfumée par une certaine décroissance conviviale et climatique. La nécessité de la lutte des classes est mise en avant, antidote social contre la vilaine méchanceté du capitalisme, principal responsable des déséquilibres écologiques. Pour lutter contre la pollution : une remise en cause du système productiviste par l'appropriation collective des moyens de production. De cette manière, pour chaque crise environnementale, l'écologie pastèque propose sa solution de façon «radicale». Parfois, ces attitudes relèvent in fine d'un keynésianisme écologique, forme politique et idéologique de l'écologie, au travers des attitudes classiques keynésiennes, basées sur l'impôt, la redistribution, et l'endettement. Ainsi, c'est sans surprise qu'on apprend que Jacques Perreux, deuxième sur la liste d'Europe Ecologie aux élections régionales de 2010 en Île de France, est responsable communiste de longue date, qui critique le PCF qui aurait trop bougé vers la droite de l'échiquier politique, militant «dans la plus stricte ligne du parti», «chouchou de Georges Marchais qui appliquait la ligne du parti avec zèle» et reconnait sans ambages «ne pas avoir été suffisamment bousculé par la question des libertés dans les pays de l'Est»... On apprend aussi que les anciennes juges Eva Joly et Laurence Vichnievsky, outre leur participation à l'organisme ANTICOR dirigé par le juge Halphen, ont appartenu aussi au Syndicat de la Magistrature (un des syndicats les plus à gauche). Elles ont adhéré à Europe Ecologie, aux élections européennes (pour Eva Joly) et aux élections régionales (pour Laurence Vichnievsky). Ces anciennes juges ont manifesté à plusieurs reprises des positions critiques à l'égard du capitalisme et/ou du libéralisme, imputant au capitalisme la responsabilité de la pollution, de la crise financière de 2007-2008 et des inégalités sociales. Or, c'est dans les pays à dominante étatique voire collectiviste que la pollution est la plus forte et non dans les pays dits libéraux. L'écologie pastèque est aussi un filon politique exploité cyniquement par les professionnels des médias et de la politique, qui en général se soucient fort peu de mettre leurs actes en conformité avec leurs convictions affichées. Ainsi, Nicolas Hulot, éphémère ministre de la Transition écologique et solidaire (2017-2018) peu avare de déplacements ministériels en hélicoptère, déclare posséder neuf véhicules à moteur, dont un bateau, un scooter électrique, une moto et six voitures, qui ne rentrent pas toutes dans la catégorie des véhicules propres.
On peut raisonnablement se poser la
question de savoir si l’écologie ne serait finalement qu’un nouveau moyen pour
les réactionnaires socialistes ou marxistes culturels de maintenir les libéraux
hors de la gauche ?
Le 31 Octobre 2019 monsieur Alain
Cohen-Dumouchel a pris l’initiative de traduire l’article de Peter Staudenmaier sur les racines de l’extrême-droite de la
philosophie écologiste et sur sa mise en œuvre pratique et théorique sous le
IIIe Reich, article qui éclaire les relations de l’écologie avec l’idéologie
nazie. Article initialement
publié en 1995 dans Ecofascism: Lessons from the German Experience (San
Francisco: AK Press, 1995), ouvrage réédité en 2011 dans Janet Biehl and Peter
Staudenmaier, Ecofascism Revisited (Porsgrunn: New Compass Press, 2011). L’article : «Aux sources de
l'écologie, conservatisme, racisme et nationalisme. Les thèmes
écologistes ne datent pas d’hier et notamment pas de la deuxième moitié du XXe
siècle comme on le croit trop souvent. C’est au XIXe siècle que s’est
construite cette idéologie de résistance à la modernité, aux Lumières et au
bouleversement introduit par l’ordre spontané capitaliste. Mouvement
conservateur par essence, l’écologie s’est d’emblée positionnée comme un
mouvement profondément réactionnaire, adoptant tous les thèmes régressifs liés
à la paysannerie traditionnelle, à la résistance au changement, aux racines
terriennes des peuples, et à l’anti cosmopolitisme, ce qui, à l’époque, était
pratiquement toujours synonyme de racisme. Peter Staudenmaier rappelle que les
structures de la pensée écologique se sont développées dès le début du XIXe
siècle. Ainsi
Ernst Moritz Arndt, antisémite et nationaliste militant écrivait dès 1815 «en
des termes étonnamment similaires à ceux du bio centrisme contemporain» : «Quand
on voit la nature comme un lien et une interrelation nécessaires, alors toutes
les choses sont d’égale importance – arbuste, ver, plante, humain, pierre, rien
en premier ou en dernier, mais une seule unité». (Arndt fera aussi une critique sévère des Français
face à l'occupation napoléonienne, pendant laquelle il incitera les Allemands à
la haine du peuple français : «Si je dis
que je déteste la légèreté française, que je méprise la délicatesse française,
que je n'aime pas la frivolité française je parle d'une faille, d'un défaut qui
est commun à moi et à beaucoup de gens. De même, je peux dire que je déteste
l'arrogance anglaise, la fragilité anglaise, l'insularité anglaise. Les
propriétés ne sont pas en soi un vice, elles dépendent des gens qui les
portent, avec peut-être de grandes vertus qui me manquent à moi et à mon
peuple. Alors laissez-nous juste détester les Français, destructeurs de notre
innocence, qui ramollissent et énervent notre vertu et notre force». Il mettait
également en garde contre un contact trop étroit avec le judaïsme. Il estime
certes que «la semence d'Abraham» n'est
plus prédominante à la deuxième génération après la conversion au christianisme,
mais met en garde contre les «milliers
d'immigrés qui fuient la tyrannie russe, et le flot impur de l'Est, encore plus
foisonnant de Pologne»». En outre, il prévient d'un complot juif
intellectuel, prétendant que les Juifs avaient «usurpé» une bonne moitié de toute la littérature. Arndt associe
haine des Français et antisémitisme, appelant les Français «le peuple juif (Das Judenvolk)», ou «mauvais Juifs raffinés (verfeinerte schlechte Juden)» En 1815, il
écrit à propos des Français: «Juifs. Je
les appelle à nouveau, non seulement pour leur pingrerie, leur avarice, mais
encore plus en raison de leur solidarité juive»). Riehl,
élève d’Arndt, est un autre exemple d’un activisme environnemental ouvertement
nationaliste et antisémite. Auteur d’un essai intitulé Field and Forest, Arndt
appelait à se battre pour «les droits des étendues sauvages». Plus
près de nous Haeckel, inventeur du mot écologie et fondateur de la ligue
moniste, soutenait avec enthousiasme l’eugénisme racial. Il a contribué à
façonner le courant de pensée qui allait servir de base au social nationalisme,
en plus de ses activités directes dans la société de Thulé, une organisation
secrète qui joua un rôle important dans l’avènement du nazisme. Si ces prémisses
d’extrême droite de l’écologie sont peu connues du grand public, l’activisme
écologiste du IIIe Reich l’est encore moins. C’est le grand mérite de l’article
de Peter Staudenmaier de montrer que l’administration sociale nationaliste a
bien mis en œuvre un vrai programme écologiste, dont les contours possèdent
beaucoup de points communs avec l’écologie contemporaine. Cet activisme
écologiste nazi est pourtant complètement nié par Joann Chapoutot,
universitaire et chercheur français spécialiste de l’idéologie nazie. Il
faudrait consacrer un chapitre entier à l’argumentaire de Chapoutot développé
dans Les nazis et la «nature Protection
ou prédation ?». Ce curieux texte, très
politique, manque en effet cruellement de références historiques précises et
Yoann Chapoutot y abandonne son habituelle rigueur pour un déroulé
d’affirmations qui, sous couvert d’analyses sémantiques frisant le ridicule,
sont indignes d’un chercheur de son envergure. Ainsi, il ne craint pas d’écrire
: «L’idée d’un impératif de préservation universel, ou celle d’une solidarité
et d’une indépendance des phénomènes naturels et de leur perturbation a
l’échelle du monde, est radicalement absente [de l’idéologie nazie). Radicalement absente ? Peter Staudenmaier donne des exemples précis,
textes à l’appui, qui permettent de prouver le contraire.
Reste un autre débat : à la lumière
de son passé et de ses thèmes profonds, l’écologie peut-elle vraiment
s’afficher comme un mouvement de gauche ?
Un mouvement dont l’essence même est la conservation peut-il se
revendiquer de la gauche et pourquoi les origines de droite de l’écologie ne
sont-elles pas assumées par ceux qui ont endossé la plupart de ses thèmes ? En
d’autres termes, l’écologie n’est-elle qu’un nouveau moyen pour les
réactionnaires socialistes, de maintenir les libéraux hors de la gauche où ils
devraient se trouver ?
Encore une fois faisons appel à monsieur Christian Gerondeau qui le 30/07/2014
dira : «L’écologie est la nouvelle
maladie infantile du communisme. Ses principaux animateurs sont passés du rouge
au vert. Ils ont été repeints, mais ils défendent toujours la même vision du
monde : l’individu ne sait pas ce qui est bon pour lui, c’est à la société de
le lui apprendre».
Ça y est c’est fini, au revoir et à bientôt.
Michel Alain Labet de Bornay
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