Le merdias allah con
«le Parisien» qui n’est plus «libéré»
du
26 avril 2020 titre : Essonne : il faisait des rodéos à moto en plein
confinement. Un jeune homme de 19 ans a été interpellé, vendredi soir, en forêt
de Sénart. Insupportés par ces nuisances nocturnes, des habitants de
Quincy-sous-Sénart avaient donné l’alerte quelques jours plus tôt.
J’ai
déjà exprimé le fond de ma pensée sur les prétendus "jeunes hommes",
parfois ces espèces de vermines (des fois c’est un «homme» ou un «jeune»), mais tout le monde sait maintenant que
c’est une racaille de merde le plus souvent issu issue de l’immigration.
Le «Parisien»
nous dit : «Le vrombissement de sa
moto-cross ne retentit plus dans les rues de Quincy-sous-Sénart. «C'est un vrai
soulagement pour les habitants du quartier du Vieillet», confie une source
policière».
Pourtant Quincy-sous-Sénart dans le 91 (Essonne) n’est
pas particulièrement connu pour être une banlieue sensible. Quoique, en 2017 des voitures ont brûlé. Les
faits se sont déroulés dans la nuit du 31 mars au 1er avril en bas de la
résidence de la Fontaine Cornaille à côté de la cité du Vieillet dans le
quartier de la gare de Quincy-sous-Sénart. Des «jeunes» avaient bloqué l'accès de la rue avec des barrières et ont
incendié deux véhicules. Les policiers sont intervenus sans heurts ce soir-là.
Mais quelques jours plus tard lorsqu'une patrouille du commissariat de Brunoy
repasse, les agents reçoivent des pierres jetées par un adolescent de 16 ans.
Un enfant de 11 ans les insulte même. Les deux gamins sont identifiés et
convoqués au commissariat par la suite. Un policier s'étonne : «Ce n'est pas un secteur qui pose régulièrement
des soucis. Mais quelques tensions nous ont été signalées». Les problèmes
remontent en fait au mois de juillet dernier. Durant l'Euro de football, les
esprits s'étaient échauffés puis tout était rentré dans l'ordre durant l'hiver.
Ouf !
Le «Parigot» tête
de veau, continue : «Vendredi soir,
ce jeune homme de 19 ans, qui se livrait depuis plusieurs semaines déjà à des
rodéos essentiellement nocturnes, a été interpellé par les motards de la
direction départementale de la sécurité publique (DDSP). Insupportés par ces
bruits de moteur, des riverains avaient alerté le commissariat de Brunoy
quelques jours plus tôt. Les policiers ont finalement pu repérer le jeune
motard, vendredi en fin de journée. Ils l'ont arrêté dans la foulée, au terme
d'une course-poursuite qui s'est terminée en forêt de Sénart. «Son
interpellation a été tendue», commente un proche du dossier. Le jeune homme,
qui a pris de nombreux risques pour échapper aux forces de l'ordre, s'est
débattu. Il a porté plusieurs coups aux policiers. Il a également proféré des menaces
de mort à leur encontre. Le jeune homme devait être déféré ce dimanche au parquet
d'Evry-Courcouronnes et devrait être jugé ce lundi en comparution immédiate par
le tribunal correctionnel d'Evry-Courcouronnes».
Allons y : «Sa
folle chevauchée a pris fin sur les fesses, en pleine forêt de Sénart. Un jeune
homme de 19 ans, originaire de Quincy-sous-Sénart, a été condamné à huit mois
de prison ferme pour refus d'obtempérer ce lundi, après un rodéo urbain en motocross».
Un jeune homme ? |
Non, mais faut être abrutis vraiment, ou ont-ils vu un «motard» et une moto-cross ? Une moto crotte oui ! Un
pauvre naze de racaille plus ou moins cyclomotoriste qui roulait sans casque
sur un Dirt Bike ou Pite Bike de 90 cm3 en aucun cas un «motard», c’est faire une insulte aux motards Français que de l’affirmer
à propos de cette merde ! Le pilote du deux roues genre mobylette non
homologuée, sans éclairage et dépourvu de plaques d'immatriculation, roulait
sans casque (un must de la voyoucratie) et sans attestation de déplacement. Exactement
comme le «jeune» de Villeneuve la
Garenne Cliquez
ici.
Tout cela est confirmé par le Parisien Collabo : «Au guidon d'une machine non homologuée,
sans casque, le prévenu aurait écopé d'une amende salée s'il s'était simplement
arrêté. Mais sa volonté de fuir l'a finalement conduit à prendre tous les
risques, pointe l'avocate des policiers qui l'ont interpellé. «Il a eu de la
chance que l'on soit en confinement, et qu'il n'y avait pas grand monde dans la
rue», note-t-elle.
Le Parisien nous raconte l’histoire : «Vendredi soir, le bruit incessant de
l'engin excède les habitants du quartier du Vieillet, à Quincy. Depuis le début
du confinement, le commissariat de Brunoy recevait de nombreux appels. Une
patrouille de motards est dépêchée, munie d'un signalement précis. Un jeune
tout juste majeur, à la longue tignasse et aux chaussures orange fluo, pétarade
sur sa petite Yamaha rose et bleu, parfois tard le soir. Sur place, la bécane
bariolée attire vite l'œil des policiers. Pour ne pas se voir «confisquer» sa
moto, le jeune homme fuit à travers les rues de Quincy. Jusqu'à entrer en forêt
de Sénart. Plusieurs fois, il fait mine de s'arrêter, avant de repartir à toute
berzingue. La course-poursuite dure une dizaine de minutes. En forêt, la Yahama
finit par buter dans un trou. Son pilote chute violemment, mais s'en sort
indemne. Lors de son interpellation, selon le récit des policiers, le prévenu a
menacé de mort les fonctionnaires, ce que le jeune homme nie. Embarqué dans un
fourgon, le jeune homme provoque les agents en affichant son intention de
revenir «avec une moto plus puissante». «Vous ne pourrez pas m'attraper»,
aurait-il ajouté. «L'un des policiers m'a dit : tu mérites de te prendre une portière comme à Villeneuve-la-Garenne»,
rétorque à l'audience le prévenu, encore vêtu d'un tee-shirt Yamaha 46 vert
fluo. « Et pourquoi vous sortez faire du motocross en plein confinement ? » demande
la présidente. «J'ai vu un rayon de soleil, j'ai sorti ma moto, c'est une
erreur de ma part», reconnaît-il. «Monsieur
n'avait rien à faire dehors», appuie la procureure. De son côté, le jeune homme
au physique frêle se plaint de violences policières. «Vu le gabarit de mon
client, qui se dit sonné lors de sa chute, je le vois mal se relever pour
frapper quelqu'un», s'étonne son avocat. Déjà
condamné pour vol aggravé, recel, outrage et dégradations, le prévenu échappe
de peu au mandat de dépôt et donc à la détention. Il doit indemniser trois
policiers à hauteur de 500 euros pour les menaces de mort proférées, au titre
du préjudice moral. Sa moto aux couleurs criardes, elle, a été confisquée.
Michel Alain Labet de Bornay
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