lundi 27 avril 2020

Encore un «jeune homme» !



Le merdias allah con «le Parisien» qui n’est plus «libéré» du 26 avril 2020 titre : Essonne : il faisait des rodéos à moto en plein confinement. Un jeune homme de 19 ans a été interpellé, vendredi soir, en forêt de Sénart. Insupportés par ces nuisances nocturnes, des habitants de Quincy-sous-Sénart avaient donné l’alerte quelques jours plus tôt.

J’ai déjà exprimé le fond de ma pensée sur les prétendus "jeunes hommes", parfois ces espèces de vermines (des fois c’est un «homme» ou un «jeune»), mais tout le monde sait maintenant que c’est une racaille de merde le plus souvent issu issue de l’immigration.

Le «Parisien» nous dit : «Le vrombissement de sa moto-cross ne retentit plus dans les rues de Quincy-sous-Sénart. «C'est un vrai soulagement pour les habitants du quartier du Vieillet», confie une source policière».

Pourtant Quincy-sous-Sénart dans le 91 (Essonne) n’est pas particulièrement connu pour être une banlieue sensible.  Quoique, en 2017 des voitures ont brûlé. Les faits se sont déroulés dans la nuit du 31 mars au 1er avril en bas de la résidence de la Fontaine Cornaille à côté de la cité du Vieillet dans le quartier de la gare de Quincy-sous-Sénart. Des «jeunes» avaient bloqué l'accès de la rue avec des barrières et ont incendié deux véhicules. Les policiers sont intervenus sans heurts ce soir-là. Mais quelques jours plus tard lorsqu'une patrouille du commissariat de Brunoy repasse, les agents reçoivent des pierres jetées par un adolescent de 16 ans. Un enfant de 11 ans les insulte même. Les deux gamins sont identifiés et convoqués au commissariat par la suite. Un policier s'étonne : «Ce n'est pas un secteur qui pose régulièrement des soucis. Mais quelques tensions nous ont été signalées». Les problèmes remontent en fait au mois de juillet dernier. Durant l'Euro de football, les esprits s'étaient échauffés puis tout était rentré dans l'ordre durant l'hiver. Ouf !

Le «Parigot» tête de veau, continue : «Vendredi soir, ce jeune homme de 19 ans, qui se livrait depuis plusieurs semaines déjà à des rodéos essentiellement nocturnes, a été interpellé par les motards de la direction départementale de la sécurité publique (DDSP). Insupportés par ces bruits de moteur, des riverains avaient alerté le commissariat de Brunoy quelques jours plus tôt. Les policiers ont finalement pu repérer le jeune motard, vendredi en fin de journée. Ils l'ont arrêté dans la foulée, au terme d'une course-poursuite qui s'est terminée en forêt de Sénart. «Son interpellation a été tendue», commente un proche du dossier. Le jeune homme, qui a pris de nombreux risques pour échapper aux forces de l'ordre, s'est débattu. Il a porté plusieurs coups aux policiers. Il a également proféré des menaces de mort à leur encontre. Le jeune homme devait être déféré ce dimanche au parquet d'Evry-Courcouronnes et devrait être jugé ce lundi en comparution immédiate par le tribunal correctionnel d'Evry-Courcouronnes».


Allons y : «Sa folle chevauchée a pris fin sur les fesses, en pleine forêt de Sénart. Un jeune homme de 19 ans, originaire de Quincy-sous-Sénart, a été condamné à huit mois de prison ferme pour refus d'obtempérer ce lundi, après un rodéo urbain en motocross».

                                                                              

Un jeune homme ?

Non, mais faut être abrutis vraiment, ou ont-ils vu un «motard» et une moto-cross ? Une moto crotte oui ! Un pauvre naze de racaille plus ou moins cyclomotoriste qui roulait sans casque sur un Dirt Bike ou Pite Bike de 90 cm3 en aucun cas un «motard», c’est faire une insulte aux motards Français que de l’affirmer à propos de cette merde ! Le pilote du deux roues genre mobylette non homologuée, sans éclairage et dépourvu de plaques d'immatriculation, roulait sans casque (un must de la voyoucratie) et sans attestation de déplacement. Exactement comme le «jeune» de Villeneuve la Garenne  Cliquez ici.
Tout cela est confirmé par le Parisien Collabo : «Au guidon d'une machine non homologuée, sans casque, le prévenu aurait écopé d'une amende salée s'il s'était simplement arrêté. Mais sa volonté de fuir l'a finalement conduit à prendre tous les risques, pointe l'avocate des policiers qui l'ont interpellé. «Il a eu de la chance que l'on soit en confinement, et qu'il n'y avait pas grand monde dans la rue», note-t-elle.

Le Parisien nous raconte l’histoire : «Vendredi soir, le bruit incessant de l'engin excède les habitants du quartier du Vieillet, à Quincy. Depuis le début du confinement, le commissariat de Brunoy recevait de nombreux appels. Une patrouille de motards est dépêchée, munie d'un signalement précis. Un jeune tout juste majeur, à la longue tignasse et aux chaussures orange fluo, pétarade sur sa petite Yamaha rose et bleu, parfois tard le soir. Sur place, la bécane bariolée attire vite l'œil des policiers. Pour ne pas se voir «confisquer» sa moto, le jeune homme fuit à travers les rues de Quincy. Jusqu'à entrer en forêt de Sénart. Plusieurs fois, il fait mine de s'arrêter, avant de repartir à toute berzingue. La course-poursuite dure une dizaine de minutes. En forêt, la Yahama finit par buter dans un trou. Son pilote chute violemment, mais s'en sort indemne. Lors de son interpellation, selon le récit des policiers, le prévenu a menacé de mort les fonctionnaires, ce que le jeune homme nie. Embarqué dans un fourgon, le jeune homme provoque les agents en affichant son intention de revenir «avec une moto plus puissante». «Vous ne pourrez pas m'attraper», aurait-il ajouté. «L'un des policiers m'a dit : tu mérites de te prendre une portière comme à Villeneuve-la-Garenne», rétorque à l'audience le prévenu, encore vêtu d'un tee-shirt Yamaha 46 vert fluo. « Et pourquoi vous sortez faire du motocross en plein confinement ? » demande la présidente. «J'ai vu un rayon de soleil, j'ai sorti ma moto, c'est une erreur de ma part», reconnaît-il. «Monsieur n'avait rien à faire dehors», appuie la procureure. De son côté, le jeune homme au physique frêle se plaint de violences policières. «Vu le gabarit de mon client, qui se dit sonné lors de sa chute, je le vois mal se relever pour frapper quelqu'un», s'étonne son avocat. Déjà condamné pour vol aggravé, recel, outrage et dégradations, le prévenu échappe de peu au mandat de dépôt et donc à la détention. Il doit indemniser trois policiers à hauteur de 500 euros pour les menaces de mort proférées, au titre du préjudice moral. Sa moto aux couleurs criardes, elle, a été confisquée.

Michel Alain Labet de Bornay



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