jeudi 23 avril 2020

France, émeutes et violences urbaines.




Les enquêtes du Professeur la GUEPE (Gustave Urbain Emile Poireau-Embrene).

Encore un «homme» selon la presse allah botte des gauchus et autres REM est proprement abattu par des policiers le 15/04/2020 alors qu’il les attaquait violemment avec une arme blanche, dans le parc de La Courneuve. Et allez hop un de moins !
Les motivations de cet «homme» âgé d’environ 25 ans restent à déterminer toujours selon les mêmes merdias allah con.
On sait toutefois avec certitude que cet «homme» n’est pas Français, qu’il est de nationalité Afghane, ce prénomme Mohamed et était à mon avis personnel vraisemblablement musulman ce qui explique bien son geste de djihadiste terroriste et il avait un statut de demandeur d’asile, valable jusqu’au 26 avril. Il était comme d’habitude inconnu des services de renseignements et de la police et «habitait» aux frais des Français sur la commune de Saint-Denis. En outre, l’«homme» avait fait une première demande en Autriche en 2018 et avait essuyé un refus.

Quand est-ce que l’on va enfin lire dans la presse : Un étranger musulman dénommé Mohamed (pour  changer) qui menaçait de mort des policiers avec une arme blanche a été heureusement neutralisé par balle dans cette époque ou les économies pour renvoyer dans leur pays d’origine tous ces parasites sont plus que jamais importantes un grand merci à nos policiers pour cette belle et bonne action.
Et c’est alors que l’enquête du Professeur la GUEPE (Gustave Urbain Emile Poireau Embrene) continue, car deux jours plus tard.

Sur You Tube ici, une sorte de soixante-huitard, ou d’ultra gauchiste attardé, viens nous expliquer que le 18 Avril 2020 Un «jeune» (des fois c’est un jeune homme, mais tout le monde sait maintenant que c’est une racaille de merde issue de l’immigration), conduisant une sorte de Pit Bike non immatriculé, sans lumières et sans phare, se livrant à un rodéo urbain très dangereux et strictement interdit c‘est gravement blessé à la jambe à Villeneuve-la-Garenne ne maitrisant pas son engin. De nombreux faux témoins de la même tribu de vermines parlent de bavure policière. Un policier aurait ouvert sa portière pour tenter de stopper l’ahuri au moment où l’engin dépassait dangereusement sa voiture banalisée. A ce moment-là, la portière aurait sectionné la jambe du taré. Un acte que l’on aimerait revoir plus souvent. Une émeute en cours à Villeneuve et les merdiatocrasseux parlent d’une soi-disant  2ème bavure policière un autre «homme» un émeutier aurait touché  terre avec soi-disant une balle dans le dos (c’est l’affaire de «l’homme» du 15, du parc de la Courneuve que nous venons de voir en apéritif). Je vous la donne à 10 contre un que notre «homme» s’appelle Mohamed ou Mokhtar.
Il récidive dans une autre vidéo ici en affirmant  que d’après les premiers témoignages sur la soi-disant bavure policière qui s’est produite à Villeneuve le policier était soi-disant alcoolisé et se trouvait côté passager (à droite).
Le policier aurait ouvert la portière volontairement afin de stopper le motard au moment où la moto dépassait la voiture banalisée (donc par la droite).
A ce moment-là, la portière aurait sectionner (sectionné ! Nul en orthographe) la jambe du prétendu «motard» (Moi tout de suite j’ai un larbi avec une jambe en moins, j’ai pensé chouette un beur allégé). 
Un acte prétendument odieux prémédité et criminel pour ce vidéaste ce dit : Au cœur de l’action. C’est le genre j’l’ai pas lu, j’l’ai pas vu mais c’est bien inventé !

Derrière nouvelles par de vrais journalistes: Villeneuve-la-Garenne : Sur une moto, sans casque, il refuse le contrôle de police et chute violemment, provoquant de vives tensions. Alors que la France est toujours en plein confinement en raison de la pandémie de Covid-19. Certains quartiers pourris de la région Parisienne ne connaissent pas ces mesures de confinement réservées aux souchiens. Dans la nuit de samedi à dimanche, une patrouille de police souhaite contrôler un «jeune homme» (oh, comme ils disent) sur une soi-disant «motocross»(en fait une merde pour gamin genre Pit Bike). L’individu, sans casque, refuse d’obtempérer et part à vive allure. Une course-poursuite s’engage. Les policiers à bord de leur voiture banalisée arrivent à hauteur du fuyard quand le policier passager ouvre sa portière (portière de droite), mais l’homme voyant qu’il ne pouvait doubler par la droite va percuter le véhicule et va être projeté sur un poteau. Souffrant d’une fracture ouverte, il a immédiatement été pris en charge par les forces de l’ordre. Sur une vidéo, on peut voir le policier faire un garrot au motard. Des échauffourées ont ensuite éclaté entre joyeux habitants et les forces de l’ordre. Une enquête a été ouverte.
Les ders des ders par le Parisien tête de chien et ses folliculaires à gages.
Les circonstances dans lesquelles un conducteur de «moto», roulant trop vite, a été percuté par la porte d’un véhicule de policiers sont encore troubles.
Des échauffourées ont éclaté dans la nuit de samedi à dimanche à Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine), après un accident de moto trottinette à moteur  impliquant la police dans des circonstances encore confuses.
Selon une source policière, le conducteur de la moto roulait à vive allure dans cette commune quand un policier à bord d’une voiture banalisée a ouvert la porte de son véhicule et l’a percuté.
Selon les premiers éléments d'enquête fournis par le parquet, «le «motard» qui arrivait par l'arrière en cherchant d'abord à dépasser le véhicule par la gauche, a changé de trajectoire pour finalement doubler le véhicule arrêté par la droite, au mépris des règles du Code de la route et est venu percuter la portière avant droite, en cours d'ouverture».
Le «motard» à mobylette a alors fait un vol plané et atterri contre un poteau. Il a eu une fracture ouverte de la jambe, selon une source policière.
Des échauffourées ont ensuite éclaté entre habitants et forces de l’ordre, a indiqué la source. Leur ampleur restait pour l’instant encore inconnue.
«Toute la lumière doit être faite par les autorités»
Relayée notamment sur Twitter, une vidéo montrait un homme à terre auquel un policier semblait poser un garrot dans un climat de tension avec des habitants. «Vous allez le payer», y entend-on notamment lancer un habitant.
Evoquant une bavure policière, des internautes assuraient que le «motard» a eu une jambe arrachée dans la collision, une affirmation que l’AFP n’était pas en mesure de confirmer.
Dans un communiqué, l’association de gauchistes SOS Racisme a indiqué, affirmant citer la version donnée par les policiers, que l’incident a eu lieu après une «course-poursuite» consécutive à un refus d’obtempérer et que le motard était «grièvement blessé» à la jambe.
«Toute la lumière doit être faite par les autorités sur les circonstances qui entourent cet événement. En ces temps de confinement et de tensions, la proportionnalité de l’action de la police - qui ne devrait jamais faire défaut - est sans doute d’autant plus fondamentale», écrit l’association.
L’opération de la jambe s’est bien passée, le «jeune» (appelons le donc Mohamed) de Villeneuve La Garenne est actuellement toujours à l’hôpital en salle de réveil.

L’affaire n’est pas terminée :

Campus Vox le 19 avril 2020 à 3:37 publie :

Villeneuve-La-Garenne : La présidente de l’UNEF diffuse des fake news et dénonce des violences policières ciblées contre les personnes «racisées». Boudiou notre brave homme est-il noir ?

Ce samedi 18 avril dans la nuit de samedi à dimanche, à Villeneuve-La-Garenne, un homme en moto cross (en fait un Dirt Bike ou Pite Bike) aurait percuté une voiture de police, ce qui a lui a provoqué une blessure à la jambe.

Hier soir, twitter s’est enflammé sur le sujet en parlant de «bavures policières», en appelant à l’émeute et à «tuer du flic», le hashtag #mortauxporcs était d’ailleurs en tendance twitter dans la nuit. De nombreuses versions sont sorties de cette histoire avec plus ou moins d’exactitudes beaucoup moins que plus. Certains affirmaient notamment que la jambe du «motard» était sectionnée et que cela avait été délibérément fait par les policiers qui patrouillaient pour faire respecter le confinement. Hors les derniers éléments prouvent que sa jambe est simplement fracturée avec une petite blessure ouverte. Toujours est-il que cet épisode de la guerre civile a fait sortir du bois toute la haine anti policiers qui sommeillait chez de nombreuses personnes d’ultra gauche et autres racailles sur les réseaux sociaux, avec une mention spéciale pour l’extrême gauche associative qui n’a cessé de faire des raccourcis entre cet incident et un racisme systémique de la part des forces de l’ordre qui cibleraient en priorité des personnes soi-disant «racisées».
C’est notamment le cas de la présidente d’ultra gauche de l’UNEF, Mélanie Luce qui a publié sur son compte twitter hier soir : «Encore, encore et encore. Le confinement ne justifie ni tabassage, ni perte de membre, ni mort.
Marre de ces violences policières qui se répètent dans les quartiers populaires, souvent sur les personnes racisées. A quand 1 vraie réponse?». 

Le «motard» (Momo ou Karim ?) est pourtant bien défavorablement connu des services de police.
Sur Synergie-Officiers @PoliceSynergie on trouve ça :

«Un multirécidiviste connu pour stups (trafic de drogue), violences (vols), agression sexuelle (viols)... pourrit la vie d’un quartier depuis plusieurs nuits avec plaintes des riverains qui n’en peuvent plus de ses rodéos en motocross. Il fuit les policiers et écope d’une fracture ouverte».

J’aimerais revenir un instant sur le cas grave de bien chère madame Mélanie Luce et de son emploi du mot : «racisées» !

Les mots AR (Anti Racistes), mais oui ça existe, consistent en des termes prétendument scientifiques et techniques débarrassés aux dires absurdes de leurs inventeurs marxistes culturels au QI de moche à merde de leurs significations indésirables et dont on prend soin d’oublier le sens premier.

Prenons pour exemple le terme «racisé.e.s». A l’origine, un concept sociologique, plus ou moins utile à l’étude du racisme structurel mais qui, une fois entré dans la novlangue ordinaire, brille de sa nouvelle indigence. Des «personnes racisées» aux «racisés», la novlangue substantive le lexique universitaire, essentialisant par là même le mot qui devait non seulement éviter ce piège mais rendre dicible la «réalité sociale» du racisme.
De fait, dans sa nouvelle acception, le mot ne renvoie plus au processus de racisation mais réduit la personne à une identité fixe, à «l’être racisé.e». Autrement dit, on ne se fait pas raciser, on est un ou une racisé.e. Grâce à la novlangue, des victimes de discriminations, d’inégalités, de préjugés et de clichés ont ainsi intégré cette nouvelle catégorie homogénéisée et dont le principal avantage consiste à effacer la pluralité des trajectoires sociales. «Le racisé», proche du «non-souchien», lui aussi se dira donc d’abord en revendiquant. Sa place dans le duel « X versus non-X », sa position dans le rapport de forces social et économique, son camp dans la mécanique du racisme – en définitive, son potentiel de mobilisation.

L’une des fonctions du jargon AR (Anti Raciste) est en effet de masquer l’impuissance à créer un mouvement «social» autant que l’incapacité à mener des «luttes» catégorielles. Le vocabulaire R (Raciste) refuse lui de changer la société, le vocabulaire AR renonce au changement social. Pendant ce temps, le vrai racisme au quotidien prospère.

En marge de cette affaire le professeur La Guêpe vous recommande l’excellent article de la Ligue de défense Juive (cliquer ici) et qui titre : Taha Bouhafs le mélenchoniste qui fait de l’humour avec les juifs et les «petits fours» interpellé en marge des émeutes en banlieue. L’article est là un court extrait un chouia amélioré: «Taha Bouhafs un p’tit gars bien d’chez nous, ancien candidat de la France insoumise aux législatives s’est une nouvelle fois rendu coupable de provocation envers les forces de l’ordre, qui ont fini par l’embarquer.
Dans la nuit du dimanche 19 au lundi 20 avril, de violentes émeutes ont éclaté dans plusieurs zone de non droit de banlieue parisienne, pour protester contre un supposé abus policier. Toujours friand de ce genre d’événement, le supposé «journaliste» militant marxiste Taha Bouhafs s’est immédiatement rendu à Villeneuve-la-Garenne, où tout a commencé, pour «couvrir» l’événement à sa façon, au cours d’un live vidéo diffusé en direct sur les réseaux sociaux. Seulement, alors qu’il enjoignait les forces de l’ordre, présentes en nombre, «à faire leur job» en se targuant du statut de «journaliste» qu’il ne possède pas, l’activiste raciste et antisémite a été interpellé et a écopé d’une amende de 135 euros pour non-respect des règles de confinement».

Mais ce n’est pas fini camarades, nous dit le professeur La Guêpe.

Gustave Urbain Emile Poireau-Embrene. Pour

Michel Alain Labet de Bornay
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Lire la suite en cliquant Ici : Les émeutes ethniques en France deuxième partie
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1 commentaire:

  1. tout à fait juste assez de ces racailles que les politiques nous imposent un référendum serait le bien venu (avant qu'ils ne soient plus nombreux que nous pauvres cons de français )

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