Vidéo: Zikiri (Kiki ?) Moustapha Sidibe Bilale
Traoré. Un régal pour les oreilles.
Le grand avocat (le plus grand de France au pénal) de
la famille d’Adama Traoré, mort accidentellement en 2016 après son arrestation
après plusieurs délits de fuite et rébellion à la force publique, s’interroge
bêtement sur l’existence d’un soi-disant «passif»
entre le délinquant de race noire (comme spécifié par madame Lapix au
journal de 20 heure) multirécidiviste dit abusivement «jeune homme» de 24 ans et un des trois gendarmes ayant procédé à
son interpellation, dans un courrier aux juges daté de vendredi et
complaisamment expédié à l’Agence France Palestine une agence de presse raciste
et d’ultra gauche dite AFP qui ce fait l’écho de ces divagations et arguties
marxistes culturelles.
Interrogé dix jours après le décès, ce gendarme avait
affirmé connaître Monsieur Traoré et précisé qu’il était «très défavorablement connu» de ses services, selon un
procès-verbal dont a eu connaissance les ultras gauchistes de l’AFP et dont ils
se font les rapporteurs.
«Je
ne peux pas vous dire combien de fois j’ai procédé à son interpellation, mais
peut-être trois ou quatre fois en trois ans. A chaque fois, cela s’est mal
passé car il y a toujours eu une opposition violente de cet individu. Il y a eu
des violences, des rebellions, des outrages, des fuites»,
avait déclaré le chef d’équipe lors de cette audition par les enquêteurs. Et
alors ? Traoré avait un palmarès édifiant. Notre brave «jeune homme» sodomite avait entre 2007 (il avait 15 ans) et 2016,
fait l’objet de 17 procédures pour vol, possession, usage et trafic de drogue
et viol sur son codétenu ! Il a
été incarcéré entre fin 2015 et début 2016.
Le 19 juillet 2016, Adama Traoré était décédé dans la
caserne des gendarmes de Persan près de deux heures après son arrestation dans
sa ville de Beaumont-sur-Oise (Val-d’Oise) et au terme d’une course-poursuite,
après avoir échappé à une première interpellation. L’avocat
de la famille, Maître Yassine Bouzrou, qui témoigne suivant Wikipédia avoir été traité
de «bicot» par un policier dans son
adolescence lors d'un contrôle d'identité demande donc à ce que soient jointes
à l’enquête les procédures dans lesquelles les trois gendarmes, placés sous le
statut intermédiaire de témoin assisté, ont eu affaire à Adama Traoré, avant le
19 juillet 2016.
Toutefois il convient de faire attention, les Traoré
n’ont pas de chance avec l’excellent maître Yassine Bouzrou. En novembre 2016, il défend très habilement Malamine
Traoré (d’origine Malienne lui aussi il n’a cependant rien à voir avec la
famille d’Adama), le 21 février 2013, il avait foncé sur un véhicule de
policiers à plus de 160 km/h sur le périphérique à Paris alors qu'il était ivre
et n'avait pas de permis. Il avait tué deux policiers, grièvement blessé un
troisième. En mars 2018, l’assassin Malamine Traoré est condamné à seulement 15
ans de prison avec une période de sûreté de 10 ans, une peine supérieure au
jugement en première instance ou il n’avait été condamné qu’à 12 ans de prison.
On dit merci qui ?
Aux dernières nouvelles (source : Valeurs
actuelles.com) le 13 juin 202O, le maintenant dit «clan Traoré», un clan qu’est pas cucul, porte plainte (enfin l’excellentissime
maître Yassine Bouzrou) contre madame Marion Maréchal, à son tour leur cible
après madame Marine Le Pen, messieurs Julien
Odoul et Jean-Jacques Bourdin. Le «clan
Traoré» (enfin Assa Traoré et maître Bouzrou à la solde des assocs marxistes
culturelles et racistes) a décidé d’attaquer en justice (la fameuse ajustice de
s’pays des doigts de l’homme dans le Centre d’Union Libéral) tous ceux qui
déclarent qu’Adama Traoré ou un membre de la famille est un «délinquant». Dans une vidéo publiée sur
le compte Twitter du collectif La Vérité
pour Adama, Assa Traoré a ainsi annoncé qu’elle avait porté plainte contre
Marion Maréchal pour «diffamation».
La sœur d’Adama Traoré reproche à l’ex-députée des propos tenus dans une vidéo
virale, dans laquelle elle déclare notamment ne pas avoir à «s’excuser en tant que Blanche».
SVP maître Yassine Bouzrou pouvez-vous me joindre à vos
plaintes, puisque je revendique haut et fort d’avoir qualifié le «jeune homme noir» Adama Traoré (dixit
madame Lapix d’A2) votre brave «jeune
homme» sodomite qui avait entre 2007 (il avait 15 ans) et 2016, fait
l’objet de 17 procédures pour vol, possession, usage et trafic de drogue et
viol sur son codétenu ! Il avait été incarcéré (c’est-à-dire mis en prison) entre
fin 2015 et début 2016, de délinquant. Oui je persiste et signe Adama Traoré
était un DELINQUANT ! Un ncona en Bambara!
Il est vrai que le «clan
Traoré», des Français de fraiche date ne maîtrisent pas encore très bien la
langue Française ; un délinquant dans notre belle langue et un individu qui
a commis un ou des délits. Peut-être préféreriez-vous : Bandit, voyou, antisocial,
dévoyé, vaurien, inadapté, pour qualifier Adama ?
Et alors quand on sait depuis 2010 par
un excellent article du Figaro écrit par madame Cécilia Gabizon que suivant
l’étude du sociologue et chercheur au CNRS Hugues Lagrange : «Les jeunes Noirs français issus de
l'immigration africaine, sont, à conditions sociales égales, 3 à 4 fois plus
souvent mis en cause en tant qu'auteurs de délits que les autochtones. Ceux qui
sont éduqués dans des familles maghrébines, deux fois plus».
Michel Alain Labet de Bornay
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A l’occasion de la manifestation à l’appel de Collectif Vérité pour Adama Traoré, ce samedi 13 juin 2020, des manifestants antiracistes ont lancé des insultes antisémites.
RépondreSupprimerLes partisans d’Adama Traoré souhaitant dénoncer les violences policières se sont réunis ce samedi 13 juin en début d’après-midi place de la République, à Paris. Si le cortège était alors bloqué par les forces de l’ordre, la tension est montée d’un cran après la banderole déployée par sur les toits par le groupe Génération Identitaire avec comme inscription : « Justice pour les victimes du racisme anti-blancs ».
Ulcérés par ce message, des manifestants antiracistes ont réagi avec des propos particulièrement violents et antisémites : « Sales juifs ». Le préfet de Police a signalé ces propos antisémites à la justice. Par ailleurs, des participants auraient accusé Israël d’être « le laboratoire des violences policières ». Le cortège parisien était toujours immobile en milieu d’après-midi. La police refusait de lever son barrage et rappelait l’interdiction des rassemblements de plus de 10 personnes. « On ne bougera pas d’ici pour l’instant », a-t-elle dit aux organisateurs de la marche contre les violences policières et le racisme.