jeudi 4 juin 2020

Adama Traoré la vérité qui dérange.


TENSIONS - Malgré l'interdiction prononcée par son excellence monsieur Lallement préfet de police de Paris, environ 20.000 manifestants se sont rassemblés devant le tribunal mardi soir, jusqu'à la dispersion dans un climat tendu, peu après 21h. Ils répondaient à l'appel du comité de soutien à la famille d'Adama Traoré, le jeune homme noir de 24 ans mort en 2016 après son interpellation par la gendarmerie nationale.
D’origine Malienne (Adama Traoré) un «jeune homme» noir de 24 ans, était déjà très bien connu des services de police et de gendarmerie, il s’était enfuit pour échapper à un contrôle d'identité lors de l'arrestation de son frère, dans le cadre d'une enquête sur une extorsion de fonds avec violence. Le 03/06/2020 sur la chaine de télévision A2 madame Lapix la présentatrice très politiquement correcte du journal de 20 H 00 qualifiera le, jusqu’à présent «jeune homme» Traoré : «d’homme de RACE noire» se rattrapant aux branches en spécifiant que l’homme noir avait été victime du «racisme» de la police comme  l’afro-américain George Floyd sans préciser que l’individu était un sinistre délinquant multirécidiviste sortant de prison.
Rattrapé et menotté, il parvient à l’époque et à nouveau à s'échapper et se réfugie dans un appartement alentour, selon les informations de France Info et de Libération. «Il venait de sortir de prison il y a peu de temps. Il ne voulait pas y retourner», expliquera alors un de ses amis (Avec juste raison puisque  le sieur Traoré un brave chomiste assédicien avait sur lui 1300 euros en liquide (la came sa paye) et une certaine quantité de cannabis, ce qui explique sa fuite devant les gendarmes). Là, il est interpellé par trois gendarmes: «Il a pris le poids de nos corps à tous les trois», notent-ils dans le procès-verbal, en précisant toutefois avoir «employé la force strictement nécessaire pour le maîtriser». Car Traoré comme Georges Floyd, qui pratiquait la musculation, était en outre parvenu à se débarrasser de ses menottes et se débattait. «J'étais sur ses jambes. Mes deux autres collègues contrôlaient chacun un bras», relate un gendarme. Très essoufflé, il est pris d'un malaise dans le fourgon qui le conduit à la gendarmerie tout près. Les secours ne parviendront pas à la ranimer.
Après la mort du «jeune homme» Adama Traoré, le New York Times a déclaré que des violences policières soi-disant raciales (!) avaient aussi cours en France. Les gauchistes en France nomment ces gens des «personnes racisées» (vu sur la page fesse de Bouc d’Adama) sorte de façon de tortiller du cul pour chier droit. Si des fois vous aviez des doutes sur la race du «jeune homme» vous êtes fixés, ce brave «jeune homme» était noir comme George Floyd ce délinquant multirécidiviste, déjà condamné à 5 ans de prison pour attaque à mains armées, l’afro-américain de 1 mètre 98 et 110 kilos. Il est décédé lors de son arrestation musclée, le lundi 25 mai 2020, dans la soirée, après avoir été arrêté par la police de Minneapolis, pour avoir écoulé un faux billet de 20 dollars après un appel au 911 le désignant comme très impressionnant ivre ou drogué (Pour les habituels gauchistes, socialopes, marxistes culturel je vous précise que, ne vous en déplaise, voir en cliquant ici : les races existent, un article public de décembre 2014 écrit avec mes petits doigts de l’homme à moi. D’ailleurs la nouvelle expertise médicale de Traoré (dont nous reparlerons) a été récemment communiquée aux juges d’instruction. Dans ce rapport les médecins utilisent les termes «sujet de race noire». Pour ceux que ça intéresse ici le compte Fesse de Bouc du sujet de race noire décédé ou les gauchiottes complices font des menaces racistes dont le PCF, EELV, SOS Racisme, etc.
Au début de «l’affaire» Traoré, immédiatement instrumentalisée par les marxistes culturels Français et l’ensemble des foutriquets gauchistes, différentes plaintes sont déposées soi-disant  par la famille concernant un possible homicide involontaire (coups et blessures) par les gendarmes, de supposées entraves à l'enquête et non-assistance à personne en danger. Sa sœur Assa Traoré, aurait contribué à la naissance du mouvement «Vérité et justice pour Adama», se réclamant de «l’antiracisme et de la lutte contre les (fantasmées) violences policières (sur des délinquants multirécidivistes et violents)». Les expertises innocenteront toujours les gendarmes et l’instruction judiciaire est clôturée une première fois fin 2018, sans retenir de responsabilité pour les gendarmes.
Difficile désormais, pour les proches de Traoré, de soutenir la théorie des coups qui lui auraient été soi-disant fatals. Ils se tournent donc vers l'hypothèse d'une «compression thoracique» qui aurait été effectuée par les gendarmes, provoquant l'asphyxie.
Ils réclament «justice», ils veulent la «vérité». La vérité ou leur vérité ? À les entendre, il y a forcément bavure, dissimulation, voire complot, si l'on s'en tient aux propos de l’activiste rouge sœur du délinquant Adama, mais aussi du frère qui délire: «Je suis persuadé qu'ils avaient mis un contrat sur sa tête», encore un qui devrait arrêter les films policiers. L'inversion accusatoire, tapis rouge de la manipulation victimaire qui absout les minorités ethniques de toute faute, balise l'écho merdiatocrasseux. Traoré est un «symbole», décrète l'avocate de la famille. Il «rappelle l'actualité récente aux États-Unis», affirme la tribune d'un collectif de pourritures marxistes culturelles dans Libération, qui soulève la soi-disant problématique «raciale» du dossier: «Il existe en France une police, des gendarmes, qui utilisent de manière disproportionnée la violence». A quand le mouvement «Touche pas à mon nègre» ?
Traoré, le délinquant multirécidiviste serait mort d’une hyperthermie consécutive à un effort physique intense par forte chaleur, aggravée par une asphyxie engendrée par la technique légale d'interpellation mise en œuvre par la gendarmerie nationale ?
Et bien non, une expertise médicale de 2020 vient encore une fois d’écarter la responsabilité de la technique d'interpellation des gendarmes dans le décès d'Adama Traoré, en 2016, lors de son interpellation. «Adama Traoré n'est pas décédé d'asphyxie positionnelle», mais d'un œdème cardiogénique», concluent les médecins, selon une source proche du dossier.
Tiens un truc rigolo, au début la famille réclamait l’intervention du Mali. Le pays lui répondra «Aucun document officiel n’indique que Adama Traoré est de nationalité malienne». «Tous les documents de feu Adama Traoré prouvent qu’il est français, même si sa mère Tata est détentrice d’un passeport malien périmé». La famille de Traoré l’a toutefois enterré au Mali dans la périphérie de Bamako et avait réclamé l'«implication» du président malien Ibrahim Boubacar Keïta dans ce dossier. Une source diplomatique malienne avait exclu toute intervention du Mali.
Le 19 juillet 2016, le jeune homme de 24 ans était décédé dans la caserne des gendarmes de Persan, près de 2 heures après son arrestation dans sa ville de Beaumont-sur-Oise (Val-d'Oise) et au terme d'une course-poursuite, après avoir échappé à une première interpellation. Adama Traoré avait été interpellé lors d'une opération qui visait son frère Bagui, suspecté d'extorsion de fonds.
Trois gendarmes ayant procédé à l'arrestation avaient été placés sous le statut intermédiaire de témoin assisté et depuis, la défense et la famille se livrent une bataille judiciaire, mais aussi médicale.
Plusieurs des frères d'Adama Traoré ont des sérieux démêlés avec la justice — Bagui, Yacouba, Youssouf et Serene (que des beaux petits noms bien d’chez nous) Traoré — notamment pour des délits commis lors des émeutes ayant suivi le décès de leur frère.
Le 15 mars 2017, Yacouba Traoré est condamné à 18 mois de prison ferme, pour avoir passé à tabac un jeune homme qui avait porté plainte contre Adama Traoré, accusant ce dernier de l'avoir violé lorsqu'il était son codétenu. Yacouba Traoré est libéré en octobre, mais placé en détention provisoire le 16 novembre de la même année dans l'affaire de l'incendie d'un bus à Beaumont-sur-Oise. Le 15 octobre 2018, il est condamné à 3 ans de prison ferme pour l'incendie de ce bus. Le parquet fait appel, ayant requis six ans de prison, mais la peine de 3 ans est confirmée en appel le 2 avril 2019.
Le 19 avril 2018, Serene Traoré, autre frère d'Adama Traoré, est condamné à quatre mois de prison ferme et 600 euros d'amende pour outrage, trois jours après la mort de son frère, à l'encontre de madame le maire de Beaumont-sur-Oise. Le comité Adama, dirigé par la sœur du délinquant Assa Traoré, déclare en avril 2018 voir dans la condamnation de Serene Traoré «un acharnement contre la famille Traoré et ses soutiens».                                                                                            Sans lien direct avec la mort de son frère, Samba Traoré est condamné le 30 mai 2018 en comparution immédiate, à quatre ans de prison, dont 18 mois avec sursis et mise à l'épreuve pendant deux ans pour violences avec arme.
Et la sœur ne direz-vous ? Assa Traoré, contribue à la naissance du mouvement «Vérité et justice pour Adama», se réclamant de «l’antiracisme et de la lutte contre les violences policières», qui dans le cas du délinquant Adama n’ont jamais eu lieu.
Et la série continue : Un «jeune homme» noir de 19 ans, élève d'un lycée d'Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis, est décédé le 22 novembre dernier des suites de ses blessures, après avoir été poignardé non loin de son domicile à Saint-Ouen. La victime, prénommée Diadié, était le cousin d'Assa Traoré, la sœur d'Adama Traoré.

Michel Alain Labet de Bornay

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1 commentaire:

  1. certains sont de vrais gangrène pour la France des milliers. Merci de cet éclairage , j'avais des bons voisins senegalais des fils policiers des filles pharmaciennes qui viennent d'ailleurs voir les miennes en ISRAËL .... c'est toute une éducation, il faut rétablir toute vérité ces racailles ont ce qu'elles méritent !!! Encore Merci

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