Affichage des articles dont le libellé est Venezuela. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Venezuela. Afficher tous les articles

mercredi 12 septembre 2018

La presse qui pue !





J’ai pris depuis quelques temps une très mauvaise habitude… Je regarde le journal de 20 Heure allah Télévision de Rance qui pue. Média allah botte du pouvoir marxiste culturel ou politiquement correct.
Je ne dirai rien des pseudos «journalistes» et autres journalopes à la culture historique de protozoaires qui savent à peine lire des prompteurs et des dépêches (allah ligne ?) avec leurs tronche de premier de la classe ou de tenancière de maison close ;
Ces guignols se contentent de reprendre les dépêches de l’AFP (Une agence de presse que plus gauchiste tu meurs). AFP une agence de désinformation marxiste culturelle dont le rôle principal est de désinformer la population.
Tiens je vais vous parler de deux ou trois cas qui me font bondir !

Par exemple savez-vous (Merci à madame Tasin) que la violence en Birmanie, qui a durement endeuillé et les musulmans Rohingyas et les Bouddhistes birmans, est à la source d’une idée reçue et fausse particulièrement ancrée dans l’opinion publique par la presse qui pue le gauchisme marxiste culturel que les Rohingyas seraient les agressés. Mais ce sont les musulmans Rohingyas qui agressent, massacrent et tuent les Bouddhistes depuis 1947. Nous n’avons pas là affaire à une guerre de religions. C’est un conflit d’ordre politique où les autochtones Birmans essaient de se protéger d’une communauté d’immigrés musulmans qui en veulent à leur vie. Le seul motif des Rohingyas est la création d’une zone islamique autonome en Birmanie. Et là on est au cœur d’un problème récurent avec qui vit à côté de musulmans (suivez mon regard) il est simplement question pour les bouddhistes, de savoir si ils veulent mourir des mains des séparatistes islamiques ou survivre en répliquant.

Et si on continuait sur le même sujet ? Il y a quelques jours (On approchait du 11 Septembre) la téloche qui schlingue le couscous a réussis un exploit ; nous montrer pendant un bon quart d’heure des images des attentats terroristes du 11 Septembre 2001 à New York  sur les tours du World Trade Center. Pour une personne non avertie ou des jeunes gens, on aurait peu croire que nous avions affaire à une catastrophe naturelle. Pas un mot sur les musulmans auteurs des attentats, pas un mot sur l’islamiste Ben Laden et pas un mot sur l’organisation terroriste musulmane Al-Qaïda. Mais il y a une raison : ces «journalistes» chargés théoriquement – mais qui y croit encore ? – de faire de l’information, font en réalité de la manipulation et de la désinformation au profit de l’allahicité et de l’immigration de masse s’ ils n'éructent pas encore : «muslim’s is good for you», ça ne saurait tarder !

Et puis l’autre soir c’est la cerise sur le gâteau, notre belle téloche marxiste culturelle  nous montre tout un flot de Vénézuéliens qui fuient leur pays pour des raisons que l’on aimerait bien connaitre, car là aussi on a l’impression que c’est une sorte de secret d’état, tout juste sont évoquées des «questions économiques». D’après mes modestes connaissances, il me semble bien que le  Venezuela du nord de l'Amérique du Sud dispose des plus importantes réserves de pétrole mondial et que les exportations pétrolières de la compagnie d'État PDVSA assurent 95 % des exportations et 50 % du PIB.
En 2008, l'afflux des pétrodollars a fait de Caracas une vitrine du capitalisme, caractérisé par une frénésie de consommation: hôtels, restaurants, centres commerciaux se multipliaient sur le modèle américain.
Les quartiers pauvres des bidonvilles de la capitale (barrios) montraient une certaine prise en charge de la société par l'État: mercal (supérettes subventionnées par l'État), souvent irrégulièrement approvisionnés; programmes de santé, d'éducation, d'aide aux nécessiteux, sous la surveillance de «Comités révolutionnaires locaux» qui s’en mettaient d’abord plein les fouilles (Charité communiste bien ordonnée commence par soi-même). Les réformes mises en place par le dictateur socialiste très teinté de marxisme léninisme Nicolás Maduro Moros, avaient pour objectif de faire du Venezuela une société socialiste bolivarienne, sorte de marxisme stalinien à la sauce locale de Cachapas (Galettes de maïs épaisses et bourratives) ce que certains abrutis nommaient le pays du socialisme du XXIe siècle. La priorité serait l'indépendance vis-à-vis des États-Unis, qui restaient le principal client pour le secteur stratégique des hydrocarbures et le principal partenaire commercial du Venezuela d'une manière générale. Cela explique en partie le rapprochement avec le Cuba marxiste et castriste.
«Avec plus de 2,3 millions d’émigrés, on commence à l’appeler le plus grand exode des cinquante dernières années en Amérique latine», observe La Nación le principal quotidien argentin.
Les raisons ?
Tout commence avec Hugo Rafael Chávez Frías, né le 28 juillet 1954 à Sabaneta (Llanos, sud du Venezuela) et mort le 5 mars 2013 à Caracas, président de la République de 1999 à 2013. Fondateur et chef du parti politique du Mouvement Cinquième République de 1997 à 2007 – date à laquelle il fonde le Parti socialiste unifié du Venezuela (PSUV) –, il est élu président de la République du Venezuela fin 1998. Se réclamant du bolivarisme et ayant pour objectif l'établissement du «socialisme du XXIe siècle», il met en place un ensemble de réformes, désigné sous le nom de «Révolution bolivarienne», et comprenant la promulgation d'une nouvelle constitution, une politique de soi-disant «démocratie participative», et la nationalisation des industries clés. Les ressources naturelles du Venezuela lui permettent de financer un ensemble de politiques sociales, et suscite l’enthousiasme d'une partie de la gauchiotterie pourrie et des nationalistes-révolutionnaires allah con à l'échelle internationale. Sa politique fait l'objet de controverses : il lui est notamment reproché de ne pas poser les bases d'un développement durable au Venezuela, de gouverner de façon autoritaire et d'entretenir des liens avec plusieurs immondes dictatures communistes. Mais surtout comme dans tout système socialiste c’est d’abord l’éternel : «Moi, merveilleux président élu démocratiquement à vie et génie de la sierra de la Culata, je m’en met plein les fouilles avec mes «potes» de la nomenklatura socialope et l’armée et je laisse le populo crever la dalle» C’est que Chávez a été beaucoup plus influencé par les écrits de l'historien marxiste Federico Brito Figueroa, que de celles du libérateur Simón Bolívar même si il prône un «Bolivarisme» de façade.
En Colombie, les immondes guérillas marxistes des Forces armées révolutionnaires de Colombie, principale guérilla communiste et de l’Armée de libération nationale organisation marxiste placée sur la liste des organisations terroristes des États-Unis, du Canada et de l'Union européenne se revendiquent elles aussi du bolivarisme. Avantageuse façon de soi-disant se distinguer du marxisme et du communisme criminel contre l’humanité et de prendre les gens pour des cons comme chez nous les altermondialistes, écologistes et autres antiracistes.
Et puis viendra le temps de Nicolás Maduro Moros, né le 23 novembre 1962 à Caracas. Issu de la classe moyenne d'un quartier populaire du sud de cette ville. Il milite dans la Ligue socialiste (marxiste-léniniste) du lycée au début des années 1970 (Le marxisme-léninisme demeure l'idéologie officielle à Cuba où il est mêlé aux idées de José Martí, en République populaire de Chine, au Viêt Nam et au Laos. En Corée du Nord, la mention du marxisme-léninisme a été supprimée dans la constitution de 1992; des mentions continuent d'en être faites en tant que «prémisse idéologique et théorique» du Juche, l'idéologie à usage national créée par Kim Il-sung). Selon un de ses amis, il s'est fait expulser de son établissement scolaire en 1977 pour propagande communiste.
Ancien chauffeur de bus puis leader syndical, il est membre du très gauchiste Mouvement Cinquième République (MVR). D'abord député (1999-2000), puis président de l'Assemblée nationale du Venezuela (2005-2006), il est ensuite ministre des Affaires étrangères (2006-2012) puis vice-président de la République (2012-2013). À la suite de la mort du président Hugo Chávez, il devient président de la République par intérim, puis remporte en trichant l'élection présidentielle anticipée avec 50,6 % des voix face à Henrique Capriles.
En 2014 et 2017, au cours d'une grave crise économique provoquant notamment des pénuries alimentaires, Nicolás Maduro est confronté à des manifestations meurtrières et à une opposition demandant sa démission de la part d'opposants au gouvernement socialiste vénézuélien. Les élections législatives de 2015 voient l'opposition emporter la majorité à l'Assemblée nationale, ce qui constitue le point de départ d'une grave crise institutionnelle. Il est réélu en 2018 à l'issue d'un scrutin plus que contesté. Il est intéressant de remarquer que très démocratiquement au cours du scrutin une partie des partis d'opposition était interdite de candidature.


Le grand démocrate socialiste Maduro est élu président de la République le 14 avril 2013.
Le 14 novembre 2013, Maduro fait voter par le Parlement le droit de gouverner par décret pendant un an, type de gouvernance utilisé par tous les présidents du Venezuela depuis les années 1970, y compris par Hugo Chávez. La principale raison de la gouvernance par décret est l'aggravation de la crise économique. Ainsi, Maduro promet de changer de modèle économique et vaincre la «bourgeoisie parasitaire» qui, selon lui, détiendrait les rênes de l'économie et tenterait sans relâche de déstabiliser le gouvernement dans le cadre d'une «guerre économique». Il promet aussi de lutter fermement contre la corruption, qu'il nomme «antivaleur du capitalisme».
Le 4 août 2018, Nicolás Maduro se dit victime d'un attentat lors d'une parade militaire organisée à l'occasion du 81e anniversaire de la création de la garde nationale bolivarienne. Selon les autorités vénézuéliennes, cette tentative d’assassinat a été menée à l’aide de deux drones chargés d'explosifs, et a blessé sept militaires. Le socialo communiste Maduro considère bien sûr que «l'ultra-droite vénézuélienne alliée avec l'ultra-droite colombienne de Juan Manuel Santos» est responsable de l’attentat. L’exécutif vénézuélien souligne également la responsabilité de militants présents aux États-Unis et en appelle à Donald Trump. L'attaque est ensuite revendiquée par un groupuscule jusque-là inconnu, Los soldados de Franelas ou  Mouvement national des soldats en chemise, tandis qu'une journaliste d'opposition installée aux États-Unis relaye un communiqué de revendication disant «Nous ne pouvons pas tolérer que la population soit affamée, que les malades n'aient pas de médicaments, que la monnaie n'ait plus de valeur, que le système éducatif n'enseigne plus rien et ne fasse qu'endoctriner avec le communisme».

La triste débâcle du Venezuela est bien un résultat prévisible du socialisme
Au cours de sa présidence, Hugo Rafael Chávez Frías a utilisé les revenus provenant du pétrole, lesquels ont explosé grâce à la hausse fulgurante du prix du pétrole, pour sans bourrer les poches et très accessoirement aider assez modestement toutefois les plus démunis. C’était une stratégie plutôt simple et efficace pour prendre le pouvoir puisque au début de son premier mandat, environ 50% de la population du pays était considérée comme pauvre (ce chiffre est descendu à 31,5% au début de 2008).
S’il advenait une baisse du prix du pétrole ou de la production, il aurait à couper drastiquement dans les dépenses pour les plus démunis, à défaut de quoi il mettrait le pays dans une situation financière encore plus précaire.
Le Venezuela était parti clairement sur les traces du Cuba marxiste-léniniste et Chávez entrainait le pays, peu à peu, vers une dictature socialiste marxiste militaire-totalitaire.
Le régime marxiste manque cruellement de devises étrangères, ce qui l’empêche d’importer des produits de première nécessité et de payer ses dettes. Environ 85% des biens consommés au Venezuela sont importés. Le pays fait face à des pénuries de biens essentiels comme le lait et la farine, en passant par le shampooing, le papier toilette et les serviettes hygiéniques. Des files d’attente de plusieurs centaines de personnes se forment chaque jour devant les supermarchés. Une dizaine de patients sont récemment décédés dans un hôpital de Caracas par manque de valves coronariennes. L’administration socialo-communiste blâme les commerçants et impose des contrôles de prix, ce qui a évidemment comme conséquence d’accentuer les pénuries. Des dirigeants de pharmacies et de supermarchés ont été démocratiquement arrêtés. Il est maintenant interdit de photographier les étagères vides des supermarchés appartenant au gouvernement et des journalistes ont été arrêtés pour avoir dénoncé ces pénuries.
Entre 2000 et 2012, le gouvernement marxiste a bénéficié d’environ 800 milliards de Dollars de revenus pétroliers. C’est ce qui a permis à Chávez d’ancrer son régime. Le nombre de fonctionnaires a plus que doublé en 16 ans tandis que le dirigeant communiste expropriait ou nationalisait bêtement 1.200 entreprises privées. Le déficit de gouvernement a alors explosé à 20% du PIB et la dette du pays a très fortement augmenté. L’inflation s’est accélérée tandis que le PIB était en diminution. La pauvreté a recommencé à augmenter, tout comme l’insatisfaction de lapopulation.                                                                                                                                                                Le pays s’approchera alors  de plus en plus du totalitarisme communiste le plus ignoble. Le 27 janvier dernier, le ministre de la défense a imposé un décret permettant à l’armée d’utiliser leurs armes contre des protestataires s’ils faisaient preuve de violence. La censure envers les médias indépendants a continué. Seulement le quart de la population a confiance en l’autorité électorale. Les prisonniers politiques se font de plus en plus nombreux, incluant Leopoldo Lopez, fondateur du parti Voluntad Popular, mis «provisoirement» et démocratiquement en prison, il y croupit depuis un an, ainsi que le maire de la capitale Caracas, Antonio Ledezma.
En 2003, Chavez le génie de la serranía de Perijá avait renvoyé 18.000 employés (50%) des Petróleos de Venezuela SA (PDVSA) parce qu’ils avaient participé à une manifestation dénonçant la politisation socialo-communiste idiote de cette entreprise d’État. Beaucoup de ces gens constituaient les cadres et l’intelligentsia de PDVSA et durent s’expatrier aux États-Unis, au Mexique, en Colombie, au Pérou et même en Alberta. La communauté vénézuélienne de l’Alberta est passée de 465 en 2001 à 3.860 en 2011 ! L’un d’eux a même fondé un nouveau centre de recherches à l’Université de Calgary. Mais c’est certainement la Colombie qui a le plus bénéficié de l’exode des cerveaux du Venezuela.

Par ailleurs, la surévaluation du Bolivar imposée par le gouvernement marxiste du Venezuela nuit énormément aux opérations de PDVSA. En fait, ce que l’on a observé est que si on dilapide en bon socialiste le capital d’une entreprise plutôt que d’y réinvestir, sa production ne peut qu’en souffrir. C’est l’accumulation du capital productif par l’investissement qui pousse la productivité et engendre la richesse. Plutôt que de porter le blâme et changer le système socialiste incompétent, l’abruti dictateur marxiste Maduro préféra rejeter la responsabilité de cette débâcle sur le dos de la politique «impérialiste» des États-Unis. Le psychopathe et président socialo-communiste est devenu paranoïaque et voit des complots partout comme d’ailleurs tous les socialopes du monde.

Malheureusement, le Venezuela prouve encore une fois que le marxisme et le socialisme détruisent la richesse et appauvrit la population. Par ailleurs, un régime socialiste ne peut subsister qu’en affaiblissant constamment la démocratie et les libertés individuelles, jusqu’à sombrer dans le totalitarisme militaire criminel contre l’humanité. Espérons que le monde apprendra des erreurs tragiques des Vénézuéliens marxistes ou socialistes. Mais ne comptez pas sur la presse marxiste culturelle de Francarabia pour vous l’expliquer !


Michel Alain Labet de Bornay

2018. Agence de Presse AIS (Accréditation International System). Trade Mark. Tous droits réservés.

Ce matériel peut être publié, diffusé ou redistribué dans la mesure de la citation de la source.
Une faute d'orthographe, une erreur à signaler ? Une précision à apporter? Des sous à nous envoyer ? Commenter l’article les commentaires sont libres et les ânes honimes tolérés ou écrivez à : a.de.bornay@gmail.com



jeudi 6 août 2009

Au Venezuela Hugo Chavez ferme 34 stations de radio pour démocratiser les ondes !






ARTICLE CERTIFIÉ DÉMOCRATIQUEMENT CENSURÉ SUR LE POST.FR

Le plus grand démocrate du Monde Socialiste, le camarade président antisioniste Hugo Chavez ferme 34 stations de radio pour enfin «démocratiser» les ondes au Venezuela.
L’opposition d’extrême droite fasciste, sioniste et impérialiste à la solde des vipères lubriques impérialistes américaines dénonce une «atteinte à la liberté d’expression». Une juste loi sur les «délits médiatiques» est aussi en préparation.

Groupe de jeunes fascistes manifestant leur haine virulente de la vraie démocratie

La relation entre le camarade démocrate conducteur du peuple Hugo Chavez et les médias fascistes et privés capitalistes ne s’améliore décidément pas. Le démocrate gouvernement vénézuélien vient d’ordonner la juste fermeture de 34 stations de radio fascistes, impérialistes et sionistes dans le cadre de la «démocratisation des ondes» et de la «lutte contre les latifundistes médiatiques». Prenant exemple sur le magnifique révolutionnaire Français le noble Louis Antoine Léon de Saint-Just de Richebourg, guillotiné, à l'âge de vingt-six ans, avec les principaux partisans de Robespierre, le camarade petit père du peuple Vénézuelien, applique là, avec une grande simplicité marxiste, la Sainte et désormais célèbre maxime dont tous les véritables Socialistes doivent faire leur devise : « Pas de Liberté pour les ennemis de la Liberté ! » Sinon, c’est fini pour l’édification du socialisme ! Le même démocrate Louis Antoine Léon de Saint-Just de Richebourg a dit : « Ce qui constitue une République, c'est la destruction totale de ce qui lui est opposé ». Je crois là ,enfin, le camarade Chavez lancé sur la bonne voie pour la constitution d’une véritable république populaire et véritablement démocratique.

En France depuis le NPA en passant par le PCF et le PS et les verts ce n’est qu’un cri enthousiaste, bravo Hugo et vive la révolution ! Ce n’est qu’un début continue le combat camarade ! Les fachos au poteau ! Le Mrap National félicite le président Chavez et somme le gouvernement Français d’appliquer et de prendre les mêmes décisions que le Camarade Socialiste Chavez. Dans le même ordre d’idée, nous savons de source bien informée que le MRAP approuverait sans réserve les justes et bonnes décisions du Camarade Chavez, car plusieurs blogs et sites racistes, sionistes et de chiens anticommunistes sur le Web ( je vous demande un peu comment de nos jours, on peut être anticommunisme, avec toutes les avancée fondamentales, particulièrement au sujet des droits de l’ homme que l’ on doit pour l’ essentiel aux communistes dans le monde ? Regardez la Corée du Nord et ses libertés publiques, la Chine et sa tolérance de l’Islam, Cuba et son racisme cordial) Ces sites et blogs au racisme subtil, qui ne trompent pas les illustres et justes camarades militants du MRAP National,ouverts en 2008 et 2009 manifestent à nouveau une forte similitude avec les sites et blogs fascistes,nationalistes, racistes et sionistes ( France Echo, Marcélisme.com, SOS France, Zone Libre etc.) dont le MRAP association démocratique et populaire, peut avec juste titre se glorifier, d’ avoir contribué à leur disparition aujourd’hui renaissants comme : « des immondes blogs Libertariens d’ extrême droite, des sites sionistes comme celui de la LDJ, des Posteurs Colériques et Anticommunistes, et F. de souche etc. etc.).
Ceci soulève le problème de la nécessité de renforcer la lutte contre le racisme le fascisme, le sionisme et l’ anticommunisme sur Internet afin de mettre ces anticommunistes sionistes et fachos racistes dans l’incapacité de nuire et le Camarade Chavez est l’exemple à suivre. Pour l’heure le traitement de la haine raciste (ou anticommuniste) n’empêche pas la récidive de ces hyènes dactylographes.( JP Sartre)

Des centaines de personnes fascistes et sionistes qui ne comprennent pas décidément la vraie démocratie se sont mobilisées devant les sièges de radios suspendues pour dénoncer une prétendue «censure» du gouvernement et «une nouvelle atteinte à la liberté d’expression» on croit rêver; alors que le grand soir et la vraie liberté commence à éclairer le ciel du Vénézuela.
Mais le conducator del popolo, le président élu démocratiquement à vie, Hugo Chavez a rejeté ces accusations injustes des rats sionistes: «Nous avons repéré une série de stations qui ne respectaient pas la loi, et qui désormais appartiennent au peuple et non pas à l’immonde bourgeoisie sioniste et impérialiste.» Le directeur de la Commission nationale des télécommunications, le camarade Diosdado Cabello, a assuré que ces fréquences seraient redistribuées au peuple ou aux forces populaires et démocratiques.

Depuis son arrivée au pouvoir en 1999, le petit père du peuple, le compagnon de lutte et camarade Chavez a en effet cherché à contrebalancer le poids des radios et des télévisions privées capitalistes racistes et sionistes en créant des stations et des chaînes publiques, associatives ou communautaires. Ces radios et télés de l’avant-garde socialiste entraîneront les masses populaires prolétariennes au combat. Les masses des classes ouvrières et laborieuses et prolétaires libérées de la propagande grossière et impérialocapitalosioniste combattront pour rompre leurs chaînes et délivrer le genre humain !

Le gouvernement dénonce en effet justement et avec raison que «la bourgeoisie impérialiste et l’oligarchie sioniste» concentrent les médias entre leurs mains. Le ministre socialiste Cabello affirme ainsi que « 27 familles fascistes détiennent plus de 32% du spectre radioélectrique», Hé oui ; du passé faisons table rase camarades.



Lutte contre les mensonges !
Régulièrement accusé par les immondes médias capitalistes de son pays d’attenter à la liberté d’expression, le président socialiste vénézuélien a affirmé que les vipères lubriques des médias «tentent d’éloigner le camarade Chavez du peuple», et que ces mesures font partie de « la lutte contre la guerre médiatique impérialiste américaine, contre les mensonges de la bourgeoisie nidoreuse et de l’oligarchie sioniste ». Le camarade dirigeant «bolivarien» n’aurait en effet jamais pardonné aux médias impérialistes privés d’avoir activement soutenu l’ignoble coup d’Etat avorté contre lui en 2002.
De plus sous la bonne influence de ce digne représentant du Socialisme Sud américain, le procureur général du pays, Luisa Ortega Diaz, a présenté un juste projet de loi populaire qui prévoit jusqu’à quatre ans d’emprisonnement pour les auteurs de «délits médiatiques». Le texte, prévoit de considérer comme un délit la divulgation d’une information jugée «fausse», «manipulée» ou «déformée» Bravo, vive la démocratie, vive le peuple, vive le président Chavez., vive la liberté ! ! !Le parti communiste Français et le MRAP National en rêvait, le président Chavez l'a fait ! ! ! Béni soit Saint Joseph.... Staline bien sur !

Par exemple récemment on a pu lire dans les médias occidentaux de la pure diffamation et désinformation manipulatrice des rats sioniste concernant les relations qu’entretiendraient notre excellent président le camarade Chavez et la République (encore une !) Islamique d’Iran.
Le ministre des « Affaires étrangères », de l’entité sioniste Avigdor Lieberman, a accusé injustement et faussement notre président Socialiste et démocrate du Venezuela Hugo Chavez de coopérer avec des «branches radicales» de l'islam religion de paix d' amour et de tolérance et de faire preuve "d'antisémitisme," dans un entretien au quotidien colombien El Tiempo diffusé jeudi. Je vous laisse juge de la fausseté et de ces manipulations impérialistes de ces vipères lubriques capitalistes immondes en lisant la suite de cet article, bien évidemment mensongé :

«Nous avons suffisamment d'éléments qui nous indiquent une collaboration entre les branches radicales de l'islam et Hugo Chavez», déclare M. Lieberman, dans cette interview accordée au terme d'une tournée de dix jours en Amérique latine, destinée à contrer l'influence grandissante de l'Iran dans la région.
Le ministre israélien répondait à une question sur les preuves, que son pays affirme détenir, de l'existence de cellules du mouvement chiite libanais Hezbollah au Venezuela et dans la péninsule colombienne de La Guajira (nord).

Le président démocrate Chavez avec le très démocrate Iranien Mamloud Aménédidjabe.

«Israël garde un mauvais souvenir des attaques de Buenos Aires (contre son ambassade dans la capitale argentine en 1992 et contre une mutuelle juive en 1994). Aujourd'hui, nous voyons la proximité qu'il y a entre Chavez et les Iraniens et nous souhaitons bien sûr éviter de nouvelles attaques contre les Israéliens», ajoute-t-il.
Israël tient l'Iran pour responsable des deux attentats commis dans la capitale argentine, qui ont fait 107 morts et 500 blessés.

M. Lieberman accuse également M. Chavez d'antisémitisme pour avoir déclaré samedi que les États-Unis étaient en train de convertir la Colombie en «Israël de l'Amérique latine», en «plate-forme» militaire pour attaquer ses pays voisins.
«C'est de la xénophobie, de l'antisémitisme», estime le ministre israélien, qui est aussi chef du parti ultra-nationaliste Israël Beiteinou.
Il a également déclaré au quotidien El Espectador que le rétablissement des relations avec le Venezuela, rompues par Caracas en janvier après l'offensive israélienne dans la bande de Gaza, passait par des excuses de M. Chavez.
M. Lieberman ne voit toutefois «aucune raison» de discuter avec le président vénézuélien tant qu'il maintient des «relations avec l'Iran, le Hezbollah et le Hamas (palestinien)».

Michel Alain Labet de Bornay.