jeudi 28 mai 2009

Français ! Dormez; je le veux !



Cassez vos télévisions !!!!!!!!!

Un bon espoir de gagner les procès engagé pour antisémitisme contre l’association Euro Palestine et le SNES (Syndicat national des enseignants du second degré, (marxistes d’ultra gauche)). Voir ici :http://www.lepost.fr/article/2009/05/23/1546984_actions-en-justice-contre-le-boycott-anti-israelien.html

En cherchant bien dans mes archives, divine surprise j’ai retrouvé une jurisprudence !!!! Et elle est de taille, Le monde est il devenu le nouveau Je suis Partout ?

Le 2 juin 2005. Condamnation du quotidien français Le Monde, de Jean-Marie Colombani et d'Edgar Morin Écho dans The Wall Street Journal

The Wall Street Journal

L'État de l'Union européenne, J'accuse (en français dans le texte)

Par Tom Gross

Extraits traduits de l'anglais.

La semaine dernière, un tribunal français a déclaré coupables de « diffamation raciste » à l'égard d'Israël et du peuple juif trois personnes ayant écrit dans Le Monde, ainsi que le directeur de la publication du journal. Dans un verdict qui fera date, la cour d'appel de Versailles déclare qu'un article d'opinion publié dans Le Monde en 2002, intitulé « Israël-Palestine : le cancer » a attisé les préjugés antisémites.

Les auteurs de l'article, Edgar Morin(1) (un sociologue), Danièle Sallenave(2) (maître de conférence à l'université de Nanterre) et Sami Naïr (3) (membre du parlement européen), ainsi que le directeur de la publication du journal, Jean-Marie Colombani, ont été condamnés à payer un euro symbolique de dommages et intérêts à un groupe de défense des droits de l'homme et à l'Association France-Israël. Le Monde a également été condamné à publier une condamnation de l'article, ce qu'il n'a pas encore fait.
Il est encourageant de voir un tribunal français trancher que l'antisémitisme n'a pas sa place dans les médias même s'il se présente comme une analyse du conflit israélo-palestinien. Le jugement précise que la loi, à cet égard, s'applique aux extrémistes juifs (M. Morin est juif) aussi bien qu'aux non Juifs.

La liberté de la presse est un bien précieux, mais elle ne doit être ni exploitée, ni malmenée. En général, les pays européens sont dotés de lois strictes contre les abus et, en général, les principaux médias d'Europe savent, de toute façon exercer l'autocensure. Les "journalistes" responsables s'attachent à éviter des présentations diffamatoires de groupes entiers, ethniques, nationaux ou religieux. Ils font en sorte, par exemple, d'éviter de suggérer que les massacres au Darfour, perpétrés par des milices arabes et musulmanes, présentent en quelque façon une caractéristique arabe et musulmane

Une exception cependant à cette règle : la façon de traiter des Juifs, en particulier les Israéliens. C'est particulièrement paradoxal compte tenu du fait que les lois sur la liberté d'expression relativement strictes en Europe (comparées à celles des États-Unis) furent, dans une large mesure, rédigées en réaction à l'occupation du continent par les socialistes nationalistes. Et pourtant, d'Oslo à Athènes, de Londres à Madrid, c'est pratiquement le déchaînement contre eux ces dernières années, notamment dans les médias prétendument de gauche.

« Israël Palestine : Le cancer » était un méchant article, rempli de mensonges,de calomnies et de mythes sur « le peuple élu », « le massacre de Djénine », décrivant les Juifs comme un « peuple méprisant ayant satisfaction à humilier », « imposant leur ordre impitoyable », etc.
Et pourtant, ce n'était guère pire que les milliers d'autres articles, éditoriaux, commentaires, lettres, caricatures et manchettes publiés en Europe ces dernières années en lieu et place d'un débat légitime et raisonné sur la politique israélienne. […] -[suivent des exemples analogues tirés de la presse britannique, espagnole, grecque, italienne et norvégienne]

Des comparaisons aussi grotesques et aussi fausses ne devraient pas avoir leur place dans les reportages et les commentaires sur le Moyen-Orient.

Or, bien que le verdict du tribunal français ; le premier du genre en Europe; constitue une étape décisive, personne en France ne semble s'en soucier. Le journal le MONDE d’aucuns le disent le plus « distingué » du pays, celui de l'article en question, a été jugé coupable d'antisémitisme.

On aurait pu penser qu'un tel verdict ferait l'objet d'une vaste couverture et conduirait à un examen de conscience et à un débat public. C'est au contraire un silence quasi-complet qui prévaut, la presse française s'abstenant pratiquement de toute couverture. Et que dire des « associations » qui disent " lutter" contre l’ antisémitisme et tout particulièrement le MRAP dont le silence est toujours aussi assourdissant !

Et ailleurs, bien peu de gens en ont entendu parler. Reuters et l'Agence France Presse (agences qui ont donné des preuves particulièrement marquées de leur parti pris anti-israélien) ont diffusé des brèves sur le jugement dans leurs dépêches en langue française, mais ont choisi de ne pas les expédier à leurs services anglophones. L'Associated Press n'en a pas du tout fait écho. Au lieu de déclencher une réévaluation qui se fait attendre de l'attitude de l'Europe à l'égard d'Israël, les médias ont choisi de l'ignorer.

M. Gross est un ancien correspondant du Sunday Telegraph et du New York Daily News à Jérusalem.

On peut aussi s’ étonner qu’ aucune des obédiences du MRAP, National ou d’ Avenir, ne ce soient fendues d’ un communiqué indigné fustigeant l’ antisémitisme viscéral des sus dits, sachant l’ attachement profond de certains de leurs excellents militants

Au-delà des sempiternelles déclarations officielles laissant entendre que l’Etat prendra toutes les mesures !!!, On ne peut que constater le caractère répétitif de ce type d’actes racistes contre des cimetières juifs, des commerces juifs,voir sur les banderoles de certains groupes militants dans les manifestation de gauche et leurs cris de haine antisémite ( Les vidéos circulent sur le net).
Alors on peut s’interroger, l’Etat si prompt à déployer ses forces de l’ordre pour verbaliser d’honnêtes citoyens sur les routes, se donne t’il tous les moyens pour mettre les formations antisémites marxistes d’ultra gauche hors d’Etat de nuire. Les indignations d’un moment ne s’accompagnent-elles pas d’un laxisme structurel.

Il est vrai que des dizaines de blogs de gauche marxistes et racistes appellent au boycott d’ Israël, que des sites en Français appellent au meurtre et à l’ assassinat des populations juives, sans semble t il déranger le MRAP: http://radioislam.org/

Si l’on en croit Madame Martine Gozlan de l’hebdomadaire Marianne, la fatwa publiée par un Internaute musulman sur le forum raciste Oumma.com, venant d’un chef reconnu de la communauté musulmane un cheik d’Al-Azhar qui qualifie les juifs de « singes et de porcs » et qui appelle au meurtre etqui est reproduite sur tous les sites et blogs antisémites d’Europe n’est pas du tout un acte isolé.

L’antisémitisme avéré du syndicat marxiste le SNES et l’association Euro Palestine dont les liens avec les fameuses « forces de progrès » et la gauche socialo communiste n’est plus à faire, ce doivent d’être condamnés avec la plus extrême fermeté.

Ceci soulève le problème de la nécessité de renforcer la lutte contre le racisme sur Internet afin de mettre ces racistes dans l’incapacité de nuire.

Pour l’heure le traitement de la haine raciste (Un Euro symbolique de condamnation !!!!) N’empêche pas la récidive.

Bornay.

(1) Edgar Morin, de son vrai nom Edgar Nahoum est un ancien communiste (De 1939 à 1949). Le 12 juillet 2006, la condamnation d'Edgar Morin pour diffamation raciale était cassée par la Cour de cassation.

(2) Danielle Sallenave : Un écrivain sympathisant communiste qui a du sang sur la plume :
Son article Fin du communisme : l'hiver des âmes, paru en1992 dans Les Temps modernes, a été critiqué par le philosophe et essayiste Jean-François Revel dans La grande parade (2000). Il y reprochait à Sallenave de prendre la défense de ceux qui ont cru au communisme et se retrouvent face à l'effondrement de leur idéologie, alors que les vrais victimes de l'idéologie communisme sont les dizaines de millions de morts qu'il a laissés derrière lui. Pour Revel, c'est sur ses résultats et non sur ses intentions que l'on doit juger le communisme alors qu'il estime que Sallenave fait l'inverse. Il qualifie ainsi son comportement de « cynisme » vis à vis des vraies victimes des régimes communistes et ajoute : « certes, Mme Sallenave et ses congénères intellectuels (Revel aurait du écrire intellocrates ou idiots utiles) occidentaux, communistes ou sympathisants, n'ont pas de sang sur les mains. Mais on peut en avoir sur le stylo »

(3) Sami Naï : Né le 23 août 1946 à Tlemcen (Algérie), ancien vice-président du Mouvement des citoyens et ex secrétaire national du Mouvement républicain et citoyen de Jean-Pierre Chevènement.

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