lundi 12 octobre 2009

Lettre à mon docteur.

Un article de feu L'ami Zantrope

Article très démocratiquement censuré par Netino la petite société d’ islamos Gauchistes « modérateurs » du Post.fr sur l’excellent et drôle blog de L’ ami Zantrope en totalité éliminé par le Post.fr !






Avec des jeux de mots laids pour gens bêtes !

Eh bien franchement mon cher Lévy, je ne jalouse pas ces trous du cul sans couilles qui veulent tous ce faire vacciner ! Non mais tu gamberge un peu ce que ça sera après nous ? Visualise un poil qu’il y a des vioques assez cons pour s’accrocher, faut ils qu’ils soient couillons. Vouloir faire durer la danse, ah non ! Il y a déjà cinq piges que je n’ décanille plus du gourbi ! Mettre les bouts. Pour aller ou ? Voir des gens ! J’ peux plus les voir ! Aujourd’hui dans les rues, sur les trottoirs, c’est Alger ou Bamako, c’est le pandémonium, Calcutta, les rives du Styx, c’est l’enfer, toubib ! Dans les rues, des grosses, encore et encore, des titanesques grosses, des frangines au valseur gigantesque, des gros tas de saindoux, souvent bâchées, le torchon de cuisine sur leur cafetière de porcasses, des brunes huileuses aux énormes fesses ! Putain, y a urgence ! Hé, les verts ! Sauvez Willy ! Dire qu’il y a des gaziers pour les foutres en cloque, les tringler avant bien sur, sont pas dégoûtés les keums !
De plus en plus de « barbus » semblables à de majestueux enfants du désert m’apparaissent "vêtus de probité candide et de lin blanc" mais qu’est ce que cela cache ? Oh, et puis rien à foutre hein, après moi le déluge ! Inch Allah ! Mektoub !

Oh oui mais tout ça c'est bien triste finalement et ça donne envie de partir pour ne plus revenir ou comme disait un ami à moi "Et chercher sur la terre un endroit écarté où d'être homme d'honneur on ait la liberté"
Mais comme il a dit mon copain à moi : « Seulement voilà y en a pas tout est loué depuis pâque, alors qu'est-ce que tu veux faire ? »

Le grand Charles disait : « les Français sont des veaux », d’immenses troupeaux de veaux, pour moi ce ne sont que de grotesques polichinelles, des pignoufs abrutis. Comme on les gâtent, ils seront de plus en plus multiples, les poussiéreuses grognasses et les pégreleux fossiles, et le jour viendra ou on ne pourra plus se remuer… Tous plantés … Tu te dresse, je me couche, je m’allonge, tu t’érige, tu te hausse… Et boulimiques, tous, et gris, parce que tous mêlé-cassis, un pot-pourri d’humains …De quelle manière faire différemment ?
Tous ces gros culs putassiers sont des appels à la fornication immodérée des gros beaufs dégueus à la tchouck-tchouck-nougat et à la pullulation des glandus zapotèques et des grognasses saltimbanques qui vont s’étaler sur la terre et l’infesteront. Dix… quinze milliard, de branques gris barbus et ventripotents et de gonzesses huileuses et torchonnées au gros cul … quand ce ne sera pas des tellement tirées de la peau, qui sont déjà comme des chameaux dans le désert, qui, quand ils ferment les paupières, ça leur ouvre le trou du cul, avec en plus des milliard de tafioles et de broute minous qu’ils disent et avec ça nom de dieu, plus de flotte, … Et plus d’onde pure, plus rien, que dalle ! queutce baby ! Sans eau, c’est la fin et la faim.

La faim… ? Ben, c’est la fin des haricots, quoi ! Bon arrêtons de ce lamenter au motif que je ne connaîtrai pas ces hommes de couleur bruns jaunâtres ou gris, plus ou moins foncés que l’on nous concocte, ces cloportes rois, ces papous des Carpates, nos cathédrales transformée en église de scientologie, nos églises en mosquées, tout le monde en survêt, casquette, basquets, tous lobotomisés, à la culture de rats d’égout et au QI de Bonobos, cercopithèques socialistes obsédés de la téloche.

Ça vous régalerait de voir ça bande de rhizopodes léninistes ? Moi je serais tout joisse de passer l’arme à gauche avant. Alors doc, soigne moi bien, mais pas trop. Pas de diligence praticienne tartignole, pas de chuchotis, pas d’acharnement thérapeutique, j’ t’en prie toubib. Du moment que je peux encore sortir balader les chiens, aller aux putes deux fois par mois, boire mon litron et mes cinq pastis quotidiens, je n’en demande pas plus. Le jour ou tu me trouvera une grosse vacherie bien salope, fait moi juste un clin d’œil, je capterai tout bien et là hop, ni vu ni connu, dix petits cachets et j’ clabote. Tu vas pas me faire le coup d’ me cassez la baraque sur ce coup là ; espèce de vieux flibustier de carnaval ?

Tu m’obligerais à être un vieux con (Pléonasme ?) fouineur soucieux de son avenir, un angoissé, un stressé comme y disent, un agité du bocal. Et puis après tiens merde, qu’on me crame sans ramdam ! Pas de trou, pas de paletot de sapin, pas de pierre … Je débarrasserai une place, c’est toujours ça.

L’ami Zantrope

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