Le MRAP des Landes et la coupe Banania.

D’un propos ordurier à son exploitation commerciale puis raciale ! Analyse d’un « article » ou « message » du MRAP des Landes.

La fédération des landes du MRAP (Attention ; cette fédération, c’est depuis longtemps désolidarisée du Mrap National de Monsieur Aounit) comme les autres comités du mouvement engagés dans l’action contre le racisme dans le sport, mène un travail de sensibilisation aux valeurs de fraternité et de tolérance afin de contribuer à un sport débarrassé du racisme, de la violence et de l’irrespect de l’autre sur les terrains ou dans les gradins.

Les propos inqualifiables prononcés par Nicolas Anelka illustrent les dérives contre lesquelles nous luttons aux côtés de nos divers partenaires sportifs.

(Il y a maintenant pire et c’est pas fini…nini ! “C’est quand même pas la Coupe Banania, c’est la Coupe du monde !” Vient nous dire Christophe Dugarry (Canal+, i>Télé) :

“Ces Bleus partagés en autant d’ego injustifiés, divisés en autant de clans, selon les origines ethniques ou sociales – ah ! la belle légende « black-blanc-beur » qui explose au pays de Mandela ! - [...]“Dixit La Dépêche du Midi :

“À la veille du match contre le Mexique, Sidney Govou a même reconnu l’existence de clans ethniques au sein de l’équipe de France. [...] “Toujours selon la même Dépêche du Midi :

“cela signifie que non seulement la France a échoué sur le plan moral en acceptant que ce modèle de société vienne s’imposer sur ce que nous avons de plus précieux, mais encore que nous avons complètement manqué l’intégration puisque ce qui reste ce sont des clans. Ce qui reste, c’est la séparation entre les Français fondée sur l’origine” (…) Déclare très justement  François Bayrou sur RTL

“Quand vous écoutez les joueurs parler, Ribéry par exemple, vous ne reconnaissez plus la langue Française. [...]“Pierre Berbizier

Même not bon maître, le sieur Dominique de Villepin qui s’exclame : “Je ne veux pas que la France ressemble à notre équipe de football”

“Notre pays paie au prix fort, et à la face du monde, les conséquences d’une politique sportive fondée sur des choix principalement idéologiques : les vertus supposées de la prétendue « diversité ».” à dit très justement monsieur Bruno Gollnisch, comme quoi « une seule couleur celle du maillot » c’est un rêve de marxistes irréalisable !

Un autre Bruno, le Roger-Petit en une du Post.fr constate bien qu’une GUERRE est livrée par les banlieues ISLAMISEE à la nation  : “Oui, le naufrage de l’équipe de France est un miroir. Mais il n’est pas le reflet de la guerre que livre la banlieue islamisée à la Nation. Il est le reflet de la crise des élites à la française, donc, de la crise du Sarkozysme.”

Mais quand un grand organe de presse, (Note : L’équipe, organe de « presse » et grand en plus, comme Dieu alors ? Mais non camarade ; seul l’huma est un bel est gros organe) extrait les propos orduriers du fond de la poubelle des vestiaires de l’équipe de France pour en faire une manchette éditoriale, il contribue à la banalisation du propos. Il met en spectacle ce qui devait se limiter à la sanction sportive. (Note : avis personnel qui n’engage que l’auteur anonyme de l’article, en fait le public adore……… !)

Cette basse opération commerciale pour vendre du vendre du papier n’est pas moins scandaleuse que le propos incriminé. (Eh oui c’est ça le capitalisme ! Il faut allez vivre à Cuba, un beau pays ou il n’existe qu’un petit racisme cordial !)

Cependant la dérive n’est pas que celle du fric qui fructifie sur les pires aspects de la pratique sportive. Sur Europe 1, l’ineffable Finkielkraut qui théorisait hier,(…)

(L’auteur anonyme de ce message membre du politburo du MRAP40, et de la nomenklatura du MRAP National, a de curieuses notions d’hier et du passé dont il fait bien sur table rase ! En effet monsieur Alain Finkielkraut qui dans Haaretz a dit que "l'Equipe de France n'est pas Black-Blanc-Beur mais Black-Black-Black"? C’était en 2005, soit il y a plus de cinq ans. Cette méthode de mettre dans la bouche des gens des propos qu’ils n’ont pas tenu porte un nom c’est de la désinformation. Les fameuses techniques de l'intox et de la manipulation dispensées dans toutes les bonnes écoles de journalisme ou d’agitprop de la pensée dominante stalinienne ressortent nettement dans cette affaire. En fait cette fois le philosophe a réagi de façon virulente à la "vulgarité d’Anelka", sur Europe 1 samedi. Il a considéré les propos adressés par Nicolas Anelka à Raymond Domenech comme une "agression verbale d’une vulgarité inouïe". Il a expliqué sur Europe 1 samedi, au micro de Pierre-Louis Basse, qu’il avait été "atterré" mais "pas forcément étonné".

Alain a qualifié les joueurs de l’équipe de France de "voyous".
"Nous entendons le capitaine de l’équipe de France nous dire que le problème ce n’est pas cette agression […] mais le traître qui l’a dénoncé. […] Nous avons la preuve effarante que l’équipe de France n’est pas une équipe, c’est une bande de voyous qui ne connaît qu’une seule morale, celle de la mafia", a-t-il poursuivi.

"On a rêvé avec l’équipe de la génération Zidane aujourd’hui on a plutôt envie de vomir avec la génération caillera", a déclaré le philosophe. "Il est temps de ne plus confier le destin de l’équipe à des voyous arrogants et inintelligents et de sélectionner des gentlemen", a-t-il poursuivi sans mâcher ses mots. Il a aussi dénoncé l’existence de "divisions ethniques et religieuses", au sein de l’équipe de France.

Dans le même élan, le philosophe a élargi le problème à la société française. Il a le sentiment que la France "contemple le spectacle de sa désunion, de sa possible déliquescence".!)

(…) dans un journal israélien, sur l’équipe de France « black-black-black, ce qui provoque des ricanements dans toute l’Europe » en rajoute dans sa charge raciale, relayé par France Inter un dimanche matin qui diffuse à son tour les délires du philosophe chroniqueur. (..).

(…) Les propos scandaleux du joueur, leur exploitation commerciale par la presse sportive ou raciale par des gens comme Finkielkraut, apparaissent bien loin du dévouement de tout cet encadrement bénévole qui donne de son temps pour les mômes de nos campagnes et de nos quartiers populaires ou non.

Et s’il y a quelques dérives parfois, elles ne sauraient occulter le fait que la plupart de ces bénévoles, agissent avec le souci permanent d’inculquer auprès de nos jeunes, les valeurs de tolérance et de fraternité aujourd’hui bafouées par Anelka, le journal équipe (sic) ou un chroniqueur pyromane.

La Fédération des Landes, loin des agitations malsaines d’une (sic) certain sport spectacle, continuera, avec ses partenaires (Nous serions heureux de connaître les fameux « partenaires » ? La Corée du Nord peut-être ?), à œuvrer pour une fête sportive débarrassée de la violence, la haine ou le racisme. (Amen ; ite missa est).

Michel Alain Labet de Bornay

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