dimanche 11 juillet 2010

C’est un scandale !



C’est un scandale, au sens étymologique du terme ; Du grec skandalon : un obstacle. Une abomination, une entrave à l’amour.


Lors de la  récente visite surprise et confidentielle du président de la République française Sarkozy dans les territoires occupés du 93, il a été interpellé par un « jeune des cités ». Ayant réussi à contourner les services de sécurité, ce « jeune » lui  a crié:
«Va te faire enculer connard, tire- toi. Tu es chez moi ici! ».
En d’autres termes, il dit à l’hôte actuel de l’Elysée : Ici c’est ailleurs, ici ce n’est plus la France ! Ici c’est chez moi !! Fous le camp avant que ça chauffe !!! Ce « t’es chez moi » veut dire aussi que tous ceux qui ne sont pas de son clan, qui habite encore le voisinage, sont aussi « chez lui » et ne sont plus chez eux…
Cette affaire scandaleuse a trouvé son épilogue au tribunal en  comparution immédiate où ce « jeune », qui refusait au Président français de la République française le droit de visite, a été très lourdement condamné à …35 heures de travaux d’utilité publique. Quelle utilité « publique » peut-il  amener, cela restera sans doute à débattre!


L’affaire a fait peu de bruit. On n’en a pas entendu parler dans les grands medias ni dans les petits. Pas plus d’ailleurs que des violentes émeutes qui ont suivi le match de football impliquant l’Algérie. Pas plus d’ailleurs que les images des arabes (pardon des « jeunes ») saccageant des magasins sur l’Avenue des Champs Elysée. Pas plus que ne sont reproduites les images d’incendie de voitures, ce qui fait désormais partie intégrante des grandes traditions religieuses de la fiesta arabe, un vrai ramdam (Voir ce mot au dictionnaire).


Le silence le plus total couvre ces scandales permanents afin de ne pas déchaîner la rue « musulmane » et ne pas mettre en danger la « paix sociale ». Les actes antisémites se multiplient, les agressions contre les biens et les Français de souche sont en constante augmentation et la réaction du gouvernement français est de continuer à imposer une chape de silence sur ces événements en s’imposant une autocensure et en l’imposant aux médias.
L’incident de La Courneuve n’est pas un fait anodin car il traduit toute la philosophie de l’Islam et la mentalité de ses adeptes.


Lors de l’inauguration de la mosquée d’Argenteuil, Monsieur Fillon a de nouveau répété que l’islam était une religion de paix et de tolérance. Cela tourne réellement au réflexe pavlovien! A peine entendue la clochette de l’islam, qu’il faut baver « paix et tolérance ». Nul n’ignore  que le but et la solution finale pour l’Islam est la conquête de toutes les terres non encore soumises à la loi du Coran. Nul ne peut ignorer  que la guerre dans ce but est « sainte » et que mourir en « martyr » ouvre de luxuriantes et luxurieuses perspectives pédophiles dans le paradis promis aux terroristes. C’est justement contre l’Islam que se battent et meurent les soldats de la France en Afghanistan et ses  policiers dans les cités.


Mes grands parents se sont battus contre le totalitarisme  nazi, je me bat contre le totalitarisme communiste liberticide tout comme il faut lutter contre l’Islam. Interdire la burqa en inaugurant des mosquées revient à interdire le port de la croix gammée en autorisant les défilés nazis. L’Islam n’est pas intégrable ni soluble dans la démocratie. D’ailleurs, qui pourrait citer le nom d’une seule démocratie en terre arabe?


La construction d’une église (sans oser parler de synagogue) en terre d’Islam est impensable. Parlez donc de la tolérance musulmane aux Maronites exilés du Liban,aux juifs de France et d'ailleurs aux Chaldéens fuyant l’Irak, aux derniers Chrétiens de Bethlehem non encore assassinés, aux Coptes d’Egypte! Il faut être sourd, aveugle, illettré ou complice pour oser parler de tolérance musulmane.
Alors, on peut rêver et dire à  Monsieur le Président de la république française, agissez  aujourd’hui. Demain il sera trop tard et les loups seront rentrés dans votre Ville, pour l’instant il la cerne et l’assiège.


Quant à nous, tirons définitivement les leçons de notre histoire et de la faillite de l’Europe et de ses valeurs. Pas de concessions, pas de compromis et pas de négociations avec l’ennemi. Jusqu’à ce qu’il lève le drapeau blanc et qu’il comprenne que c’est nous qui sommes chez nous ici !


Michel Alain Labet de Bornay.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire