lundi 16 mai 2011

Le silence maffieux de la presse UMPS. DSK ? Ce n'était pas la première fois !

Dans l'affaire d'aujourd'hui il est étonnant pour ne pas dire choquant que les «socialistes», si prompts à défendre "le travailleur", n'aient montré aucune solidarité avec la victime (même présumée). Un Vals qui verse des larmes de crocodile en voyant un « socialiste » directeur du FMI avec des menottes, une Aubry ou Royal n'ont pas eu un seul mot de compassion pour la femme de chambre.

Avertissement:
Amis lecteurs, vous venez de prendre connaissance d'un article qui a été censuré sur le Post.fr pour propos potentiellement diffamatoires. 

La mafia UMPS du politiquement correct Islamo Socialo Marxiste a encore frappé.
Remarquez que ce posteur à eu de la chance car en février dernier un autre posteur à vu son blog carrément fermé pour avoir raconté la même histoire.

Son article sur son blog:

« Posteur invétéré depuis quelques années et souvent censuré, moi, pat1950, viens donc d’être rayé du site POST.fr pour avoir enfreint les règles du silence mafieux sur un scandale d’état à propos des frasques et des comportements sexuels agressifs de Dominique Strauss Kahn archi connus de tout le petit monde des médias et de la politique .

Pourtant, l’affaire est avérée. Et ce n’est pas la seule affaire sexuelle de DSK  
D’autres pourraient bien surgir si le bouchon de la censure venait à sauter

Il est à noter que Tristane Banon a confirmé récemment aux journalistes du Post.fr que lorsqu’elle parlait  du « chimpanzé en rut » qui l’agressait sexuellement, selon les propres termes utilisés par l’écrivain, elle parlait bien de DSK dans cette séquence vidéo extraite de l’émission chez ARDISSON et visible sur Internet.
Mais, selon le POST, à la botte de l'UMPS rien ne permet d’affirmer que tout cela est vrai, les déclarations de Tristane BANON n’engageant évidemment qu’elle-même !   
  Sûrement que Tristane Banon a dit ça pour rire ! Et puis c'est bien connu, dans les délits à caractère sexuel, la vraie victime c’est bien sûr toujours l’agresseur. L’agressée n’avait qu’à être moche et sale.  
 
Tristane BANON, est allée voir un avocat spécialisé très en vue pour donner une suite à l’affaire.  Un avocat qui, quand elle lui a parlé de Strauss Kahn, lui a affirmé qu’il avait déjà une pile de dossier comme ça sur ce personnage
 
Tristane BANON n’a pas donné suite. Elle donne les raisons pour lesquelles elle n’a pas porté plainte contre DSK : Elle ne voulait pas noircir son nom avec cet individu, ne voulait surtout pas « de son fric »....
 
Sur la plainte, elle a peut-être eu tort, car Tristane Banon est un exemple de ce que peut faire une femme face à son agresseur. J’espère que parmi les coups de pieds qu’elle a réussi à donner pour se défendre, quelques-uns ont pu atteindre les testicules Strauss-Kahniens.
 
Et un peu tort aussi parce que tout le monde sait qu’elle a dit la vérité. Même DSK, puisqu’il n’a pas porté plainte contre elle pour dénonciation calomnieuse.
  Il est insupportable de voir un délinquant incapable de dominer ses pulsions sexuelles, fut-il directeur du FMI, venir parader et donner des leçons à la terre entière



Mais il y a eu déjà un premier scandale, cette fois aux Etats-Unis. « Le FMI enquête sur les relations entre son patron et une de ses employées », titrait le Wall Street Journal. L'article révèle que Dominique Strauss-Kahn a eu une relation sexuelle avec Piroska Nagy, économiste hongroise employée au département Afrique de l'organisme. Une enquête est ouverte afin de déterminer si Piroska Nagy, qui a quitté le FMI dans le cadre d'un plan de départs volontaires, a subi des pressions pour démissionner ou si elle a bénéficié, au contraire, d'un traitement privilégié. Des soupçons d'abus de pouvoir pèsent donc sur DSK.
L'ancien ministre des Finances reconnaît aussitôt un « incident » dans sa « vie privée », survenu en « janvier 2008 ». Il s'excuse publiquement auprès des membres de l'institution monétaire et de son épouse, Anne Sinclair. « A aucun moment je n'ai abusé de ma fonction de directeur général du Fonds. J'attends avec impatience le rapport du conseiller juridique extérieur », assurait-il à l'époque.


 « Cet homme a un problème »
Le conseil d'administration du FMI blanchit DSK : Il n'y « a pas eu de harcèlement, ni de favoritisme, ni aucun autre abus de pouvoir ». Mais en février 2009, l'affaire rebondit. L'Express publie une lettre de Piroska Nagy. Elle y accuse DSK. « Je pense que M. Strauss-Kahn a abusé de sa position dans sa façon de parvenir jusqu'à moi. Je vous ai expliqué en détail comment il m'a convoquée plusieurs fois pour en venir à me faire des suggestions inappropriées. Je n'étais pas préparée aux avances du directeur général du FMI [...] je me sentais « maudite si je le faisais et maudite si je ne le faisais pas ». 
Piroska Nagy concluait ainsi sa missive : « Je crains que cet homme ait un problème pouvant le rendre peu adapté à la direction d'une institution où des femmes travaillent sous ses ordres. »

Des propos qui font écho à ceux de Jean Quatremer, journaliste à Libération, qui écrivait sur son blog : « Le seul vrai problème de Strauss-Kahn est son rapport aux femmes. Trop pressant, il frôle souvent le harcèlement. » 

Ou à ceux de Sylvie Pierre-Brossolette dans un édito du Point : « Ses frasques sont légendaires [...] Son goût pour le sexe faible l'a conduit à prendre beaucoup de risques. Il a failli plusieurs fois être l'objet de plaintes pour harcèlement. On l'a vu ici ou là dans des lieux où la plus élémentaire prudence devrait le tenir éloigné. » 

Michel Alain Labet de Bornay

1 commentaire:

  1. Mon épouse qui bosse dans l'édition est au courant depuis des lustres à propos des frasques de DSK via quelqu'un d'important dans l'Edition dont je tairais le nom... quelqu'un qui comme DSK et Sinclair est habitué des milieux échangistes, où il croisait l'un et l'autre, toujours ensemble. D'où la complaisance d'Anne à propos des extravagances de la bite de Dominique-nique-nique...

    Et pas seulement mon épouse, mais tout PARIS était au courant.

    Tant que le Prince baise entre ses quatre murs avec des personnes consentantes, c'est son affaire... seulement lorsqu'il a un problème avec sa bite qui lui dicte jusqu'à son attitude... là, ça commence à devenir tragi-comique

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