Un site qui encourage la « glauquerie ».

Michel Eyquem de Montaigne disait : « Le premier trait de la corruption des mœurs, c'est le bannissement de la vérité. »

Le socialisme et le marxisme sont une infection au même titre que le sida et malgré la réalité des malheurs qu'ils ont provoqué, leur culte persiste. Amnésie, négationnisme, falsification, occultation, diversion: tout est bon pour cacher la réalité des révolutions socialistes avec leurs faillites humaines, économiques et écologiques sans compter l'océan des drames humains! Il existe un « blog » d’un sympathique agitateur marxiste culturel ou l’on relève pêle-mêle le florilège habituel des fantasmes gauchistes les plus cradingues. Le patriote y est traité de « petit blanc flippé » insulte raciste si il en est! Sans oublier la reductio ad Hitlerum habituelle, le patriote laïque  est réduit à l’expression de « cryptonazillon dépressif » et de « Fafounet » (Comprendre « Fasciste »). Christine Tasin de riposte laïque y est violemment insultée et traitée de « connasse frappadingue » et tout ça pour en arriver à la conclusion, qui, pour ce « monsieur » est très simple : « ces gens sont des malades traversés de pulsions inassouvies, de frustrations violentes, de fantasmes délirants » des « névropathes frustrés et conformistes » en un mot comme en cent; des fous !

Ces anciens marxistes staliniens ou trotskistes recyclés, devenus de véritables professionnels du glapissement indigné et des nauséabonds borborygmes veulent clore toute possibilité de débat en jetant l'anathème suprême ! Vous êtes, vous autres les nationalistes et patriotes Français, des fous, c'est à dire bons pour l’asile, l’Hôpital psychiatrique, les camps du Goulag, vous excluant du genre Humain et on ne discute pas avec des « fous » on les exclut ! Tous les régimes communistes et tous les marxistes culturels prêchent la normalisation de l'individu ainsi que le traitement de la prétendue folie des patriotes nationalistes. Ont connait malheureusement le système marxiste d'internement dans des hôpitaux psychiatriques et des goulags, qui fonctionnent à plein régime en Chine « populaire et démocratique (sic) » en Corée du Nord, j’en passe et des meilleures, les confessions publiques et la dépendance à la collectivité, bref la répression sociale et l'altération de la liberté. Le Marxiste a une pensée intellectuelle très faible et généralement un QI de moule qu’il compense en disqualifiant par des mots a fort impacts psychologiques tout les contradicteurs un peu trop convaincants. Le Marxiste est sans scrupule, sa bonne conscience l'autorisant à user de la pire mauvaise fois. Il est inutile de voir en celui-ci un être Humain doué de conscience, il est plus proche psychologiquement du psychopathe, n'ayant aucun scrupule à violer tout principe éthique.

Mais bon, ceci étant dit, moi, libertarien minarchiste, je ne suis pas particulièrement concerné par ces querelles entre des socialistes nationaux et socialistes internationalistes ! D’autant que le gentil auteur du blog en question, à eu pour une fois, outre ces idées qu’il nous présente (sans rire) comme progressistes, égalitaristes, d'urgence de solidarité et de tolérance, et qui ne sont que marxistes culturelles, la bonne idée de « pondre » un article extrêmement intéressant.

Source

Extrait : «  J'adore les gosses.

Et une fois lâché ça, il faut immédiatement, dans la foulée de la phrase, préciser que j'adore les gosses de façon "normale".

Puisque désormais, quand un homme adulte dit qu'il aime les enfants, il lui faut ensuite dire à voix haute et forte que cette affection est dénuée de toute arrière pensée ; tous les mots sont piégés désormais et on a un peu trop vite fait de vous soupçonner d'horreurs. Je ne sais pas si c'est une bonne chose. Plus personne ne peut se permettre d'être candide, sans doute.

Parce que de toute façon, des êtres qui "aiment" les enfants de la manière la plus dégueulasse existent bel et bien. Et il faut en tenir compte (…)

Pour dénoncer ces saloperies c'est ICI !

(…) Je ne saurais donc trop vous encourager à balancer cette immondice  ICI. Puisque c'est le moyen de plus efficace d'attirer l'attention des pouvoirs publics qui pourront enjoindre les administrateurs de fermer cette glauquerie, et les fera repérer pour qu'ils évitent de recommencer. Avec un peu de chances, ils auront même des ennuis.

Vous hésitez ?

Vous n'avez pas deux minutes de votre précieux temps à consacrer à cette démarche ? Vous êtes gênés qu'il s'agisse d'un site gouvernemental ? Vous pensez que certes ce n'est pas très joli mais au fond "pas si grave" ? Même, vous faites partie de cette poignée de masos qui viennent sur mon blog en me détestant et qui n'ont pas envie de faire ce que leur demande CSP parce que  c'est CSP ? (…) »

Tout savoir sur le militantisme pédophile.

Bon ; on sait que notre sympathique blogueur marxiste culturel n’est pas un militant pédophile comme son « pote » Cohn Bendit (*1) ou Philippe Houbart, (*2) un marxiste culturel « journaliste » au Courrier Picard, membre du SCALP, qui avait qualifié de "vermine" les membres du FNJ, arrêté comme membre d'un réseau pédophile ; c’est déjà ça ! Mais communiste ; marxiste culturel ? Certainement un peu, beaucoup, passionnément, à la folie !

Mais bon ; ce propagandiste marxiste qui pratique l’amalgame et la désinformation au sujet du Norvégien Franc Maçon Chrétien, auteur du désolant massacre d’Oslo qui a copier l’intégralité de ses idées sur le Manifeste d’un écologiste cinglé  Voir ICI pour Unabomber ! En effet le « manifeste » d'Anders Behring Breivik plagie des pans entiers du «Manifeste» de l’anarchiste écologiste américain qui envoyait des colis piégés dans les années 1980 et 1990.

Notre marxiste culturel semble oublier que dans les affaires de pédophilie la gauche marxiste culturelle est plus qu’impliquée ! Ainsi Marc Bellet, 56 ans, ex-conseiller régional PCF de Basse-Normandie poursuivi pour agressions sexuelles sur quatre mineures, a été condamné en février 2005 par la cour d'appel de Caen (Calvados) à deux ans de prison avec sursis et cinq ans de privation de droit civique et familiaux. Cet apparatchik était une référence pour tous les adversaires du Front National. Est ce pour cela que l’on devrait assimiler tous les communistes à des pédophiles ?

Toujours l’invective à la bouche lorsqu’il s’agissait de salir les défenseurs de la France française, les patriotes, ce grand donneur de leçons marxiste se voulait le chevalier « blanc » rouge de la lutte contre la « bête immonde » et faisait flèche de tout bois pour pourfendre les opposants à l’immigration, au cosmopolitisme et au multiculturalisme.

En juillet 2004 et en première instance, le communiste Marc Bellet avait été condamné à 24 mois de prison, dont 18 avec sursis. Le 7 janvier dernier, la cour d'appel avait de nouveau jugé cette affaire et l'avocat général, Olivier Bray, avait requis 42 mois de prison, dont dix ferme. Tous les marxistes méritent ils d’être trainés dans la boue à cause d’un détraqué ?

Conseiller régional communiste, conseiller municipal communiste à Caen, candidat communiste aux législatives, membre du Comité des régions de l’Union européenne ( CDR),  membre du comité national du PCF pendant plus de vingt ans, Marc Bellet avait été accusé en février 2002 par quatre jeunes femmes.

Deux jeunes filles du proche entourage du camarade Marc Bellet et deux de leurs amies accusaient le camarade d'attouchements, de caresses déplacées et appuyées, faits commis alors qu'elles étaient adolescentes entre 1996 et 1998.

A l'énoncé du jugement d'appel, les victimes et leurs familles se sont déclarées "écœurées par cette justice qui protège les politiques". Justice très noyautée par le syndicat de la magistrature un « syndicat » de gauchistes marxistes culturels de la pire espèce.

On se souviendra ainsi d’un prétendu titre de gloire du communiste Bellet, (*3) le 12 avril 2000, lors de la venue de Jörg Haider -en tant que gouverneur de la Carinthie- à la 33ème session du Comité des régions de l’UE à Bruxelles. Bellet interrompit alors la conférence de presse de M. Haider en éructant bruyamment et en brandissant un numéro de la « bande dessiné antinazi » d’Art Spiegelman, « Maus ».

Dans un communiqué du 25 avril 2000, écrit dans le style inimitable appris à l’école des cadres du parti, M. Bellet s’auto congratulait pour cet « admirable » acte de « résistance ». Rompu à la langue de bois, comme notre blogueur, l’apparatchik communiste exigeait « la démission d’Haider du CDR » et du gouvernement autrichien, tançait « l’arrogance de ce personnage d’extrême droite, dangereux pour les démocraties en Europe » et déclarait qu’il « mènerait bataille pour convaincre les forces de gauche et de progrès de construire une Europe, fondée sur les droits démocratiques (sic)… ».

Hormis la presse locale, les médias ont été d’une discrétion exemplaire sur la condamnation de cet ami politique de Robert Hue ; il est vrai que cet « homme de progrès » était un adversaire acharné du Front National.

(*1) Le marxiste culturel Cohn-Bendit a publié ceci, en 1975, dans Le Grand Bazar: « Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais: “Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas les autres gosses?”. Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même ».

Puis en 1977 c’est la naissance du très marxiste culturel « Front de libération des pédophiles ».

Mai1977 (republié: Libération 01.03.1979), on lit ceci dans Libération le journal torche cul marxiste culturel:

Naissance du « front de libération des pédophiles »

Un nouveau groupe vient de naître: le FLIP (Front de libération des Pédophiles) dont vous pourrez lire ci-dessous la plate-forme constitutive. Qui sont-ils ? Pour l’essentiel, des lecteurs de Libération qui à la suite d’une « lettre ouverte aux pédophiles dans notre édition du 9/2/77 nous firent parvenir un courrier abondant – nous en rapportions quelques-unes dans une double page le 24 mars 77 intitulée: Relations Adultes-Enfants. Le deux avril dernier se tenait à Jussieu une première réunion regroupant une trentaine de personnes. Simple prise de contact. Sans doute, peut-on regretter que l’essentiel des préoccupations ait été d’ordre judiciaire. Il ne fut en effet question que de répression, de défense et de poursuite des pédophiles. Sans méconnaître ces dures réalités, un tel groupe a tout à gagner s’il élargit son champ de réflexions

Le FLIP (Front de libération des Pédophiles) est né. Quelques objectifs essentiels ont déjà pu être lancés :

Combattre l’injustice pénale et mener une réflexion critique sur la famille et l’école, fondée sur une analyse politique de la sexualité entre mineurs et adultes.

— S’associer à la lutte des enfants qui veulent changer leur mode de vie et de tout groupe politique qui vise à l’établissement d’une société radicalement nouvelle où la pédérastie existera librement.

— Développer une culture pédérastique qui s’exprime par un mode de vie nouveau, et l’émergence d’un art nouveau

— Prendre la parole dans des organes d’information qui lui en donnent les moyens et par les voies qui s’imposent

— Manifester sa solidarité avec les pédophiles emprisonnés ou victimes de la psychiatrie officielle.

La « tyrannie bourgeoise » fait de l’amoureux des enfants un monstre de légende qui croque les chaumières. Nous casserons ensemble monstres et chaumières.

Pour joindre le FLIP, écrivez à Jean-Louis Burckhardt, BP N°361, 75 Paris Cédex 02 (ne pas mentionner FLIP sur l’enveloppe, joindre un timbre pour la réponse)

Libé définit la pédophilie comme une culture (Libération 10.04.1979) qui cherche à briser la « tyrannie bourgeoise qui fait de l’amoureux des enfants un monstre de légende » (Libération 07-08.05.1977). La rédaction affirme vouloir tout simplement « traiter des relations entre les gens comme des faits de société (…) et ne pas les ghettoïser, en circuits fermés et cinémas spécialisés » (Libération 01.03.1979).

Le 10 avril 1979, le nauséabond quotidien marxiste culturel publiera le prétendu plaidoyer de deux pédophiles  Gabriel Matzneff et Tony Duvert en faveur des “amours minoritaires” (article titré: “Année de l’enfance”…) mais c’est deux mois plus tôt que l’horreur absolue a été atteinte, avec l’interview pleine page, sur deux jours, de Jacques Dugué, membre du Parti Communiste Français, employé de la mairie de Saint-Ouen, membre de la CGT, qui sera arrêté en 1978 comme chef d'un réseau pédophile, violeur d’enfants et de ses propres enfants, que le journal ne manque pas de louer pour “sa franchise quant à la sodomie”. « Pourquoi un homme n’aurait-il pas le droit d’aimer un enfant? », interroge Dugué qui prend un malin plaisir à se répandre en descriptions obscènes: « Un enfant qui aime un adulte, sait très bien qu’il ne peut pas encore donner, aussi, il comprend et il accepte très bien de recevoir. C’est un acte d’amour. C’est une de ses façons d’aimer et de le prouver. Ce fut le comportement avec moi des quelques garçons que j’ai sodomisés.

Et puis disons les choses comme elles se passent. Il aime ressentir dans son corps, le membre viril de celui qu’il aime, d’être uni à lui, par la chair. Cela donne de grandes satisfactions

Il a aussi la satisfaction d’être agréable à celui qui le sodomise qui jouit en lui. Cela lui procure aussi une grande joie, car aimer c’est aussi bien donner que recevoir.

Cela peut-être dur à admettre pour des profanes, mais c’est la réalité »; dans un quotidien d’audience nationale… (Libération 25-26.01.1979)

Devant l’horreur de ces déclarations marxistes culturelles, la société, dans un ultime sursaut “réactionnaire”, brave la dictature de la pensée unique et ose une protestation.

L’indéboulonnable Serge July, rédacteur en chef, persiste et signe: En mars 1979, le journal titre triomphalement sur « les outrages de Libération », où July crie à la censure et publie à nouveau, en guise de provocation, l’ensemble des articles ou illustrations qui, en 19 mois, lui ont valu pas moins de 9 inculpations pour outrages aux bonnes mœurs et incitations à la débauche. Accusation “bourgeoises” et contraires à l’idée qu’il se fait d’une presse “innovante”, une presse qui, en l’occurrence, « respecte le mouvement, les mouvements contradictoires et multiples de la vie ». Le monde nouveau que Libération rêvait pour demain devait avoir la pédophilie pour principe

Certains membres du milieu marxiste culturel et « pédophile militant » se sont discrédités avec l'implication de membres dans des affaires de viol sur mineur ou de vente d'images pédopornographiques ; le CRIES disparaît brusquement en 1987 lorsque l'on découvre que, derrière les photos « soft » de L'Espoir, Philippe Carpentier le marxiste culturel Belge ancien traducteur juré au Parquet de Bruxelles avec le photographe Olivier Ralet, le directeur de l’Unicef ( Rien que ça !) et ancien journaliste Jos Verbeeck, organisaient un trafic d'images et de vidéos pédopornographiques impliquant dix-huit pays; Jean-Manuel Vuillaume est condamné en 1997 pour avoir tourné en Colombie des vidéos pornographiques mettant en scène des adolescents mineurs, affaire à laquelle Michel Caignet est également mêlé. Ces revues et mouvements ont donc pu contribuer à la formation de réseaux dits « pédocriminels ».

Plus d'infos sur le CRIES

Très intéressant:  Ministre pédophile faisceau de présomptions!

A VOIR ABSOLUMENT SUR LE SITE MUSULMAN INTEGRISTE FORSANE ALIZZA MASSACRE D'ENFANTS EN EUROPE

(*2) ABBEVILLE (80) Douze mois de prison ferme pour 9000 photos pornos de mineurs .

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Six ans après sa première comparution, Philippe Houbart ( Son blog.) était de nouveau devant le tribunal correctionnel ce lundi. Lundi matin, il a été condamné à douze mois de prison ferme pour les milliers de photos pornographiques de jeunes mineurs retrouvées sur son ordinateur.

En juin 2008, il avait apporté son ordinateur en réparation dans un magasin informatique d'Abbeville. Le réparateur découvre les images et alerte la police.

Le PC contenait 8 793 photos obscènes et une quarantaine de vidéos du même type (dont certaines représentant des scènes de viols). Toutes montraient de jeunes mineurs, garçons ou filles.

À son domicile, d'autres images ont été trouvées, stockées sur des CD.

Ancien journaliste du Courrier picard, Philippe Houbart avait été condamné pour des faits similaires en 2004 par le tribunal d'Amiens (téléchargement, détention et diffusion d'images pédo- pornographiques). Les images avaient été découvertes cette fois sur son ordinateur professionnel. 

Devant le tribunal, lundi matin, le prévenu a reconnu, comme en 2003, l'intégralité des faits.

Aujourd'hui il avoue comprendre son comportement. « Je suis tombé dans une dépression assez grave suite à la mort de ma compagne en 2003. Mais je ne suis pas pédophile », affirme-t-il à la barre. « Le tribunal peut le penser. Vous n'en avez peut-être pas conscience », ajoute le président du tribunal. Le substitut du procureur, Fanny Siali, a souligné « la personnalité inquiétante » du prévenu. « Aujourd'hui, un des experts n'écarte pas le risque de récidive », a-t-elle averti.

« Les faits sont sordides mais bien moins graves que tout comportement sexuel déviant, que toutes atteintes physiques, a débuté dans sa plaidoirie l'avocat du prévenu, Me Blondet. Une fois que l'écran redevenait noir, il était immédiatement conscient du caractère abject de ce qu'il venait de faire, ce dégoût était tel qu'il se dénonce quasiment en apportant son ordinateur en réparation avec toutes les photos à l'intérieur. »

Le prévenu a également été condamné à l'obligation de soins, au suivi socio-judiciaire pendant cinq ans, à l'interdiction d'exercer une activité professionnelle ou bénévole impliquant des contacts avec des mineurs pendant dix ans, à l'interdiction de ses droits civiques, civils et familiaux pendant cinq ans, et à l'inscription au fichier judiciaire automatisé des auteurs d'infractions sexuelles ou violentes (FIJAIS).

(*3). En réalité, selon un reporter du Times, Bellet a simplement remis la BD à Haider qui, après un coup d’œil, l’a abandonnée sur une table pour gagner tranquillement sa place tandis que le président de séance sermonnait Bellet pour avoir « tenté d’empêcher le fonctionnement d’une institution démocratique » et que la majorité des élus repoussait une motion présentée par les socialo-communistes et exigeait que l’on en finisse avec ces gesticulations pour passer à l’ordre du jour.

La fermeture des usines Moulinex a aussi donné à cet agitateur, formé dans les dernières promotions de l’école des cadres du parti à l’époque de Brejnev, l’occasion de poser au défenseur de la classe ouvrière. Enfin , il se flatte d’avoir été « condamné pour délit de soutien à une famille expulsée », ce qui lui a valu cette citation à l’ordre du parti : « Marc Bellet incarne l’engagement des militants communistes et humanistes pour un progrès social partagé par tous. Marc Bellet est un juste et quand l’histoire jugera l’action des uns et des autres, chacun s’en souviendra. C’est cela qu’il faut retenir. Il y a des condamnations qui honorent les condamnés. » Et de baptiser Bellet « l’homme au casier solidaire ».

On pouvait donc s’attendre à voir le parti se montrer à son tour solidaire lorsque, la semaine dernière, ce héros, ce modèle, ce fils de déportés juifs, ce résistant (à allumage différé, cependant) a été une fois de plus inculpé par la justice bourgeoise.

Or, contre toute logique, les camarades du parti n’ont pas pris la défense du persécuté. Rien. Pas un mot dans les organes de propagande du parti. Pas une mobilisation, pas un communiqué, pas un tract. Même pas la moindre information.

Il est vrai que, cette fois, l’étoile montante a été mise en examen pour une activité qui depuis Dugué, semble relever des actions militantes communistes. Inculpé pour «agressions sexuelles sur mineures de moins de quinze ans, agressions sexuelles par personne ayant autorité ou par ascendant », il a été placé en garde à vue puis sous contrôle judiciaire strict.

Ce sont les victimes de ce noble défenseur des opprimés qui l’ont dénoncé. Des ennemis de classe, sans doute : sa fille, la fille de sa concubine et une de leurs amies accusent leur père, parâtre et hôte de les avoir souillées à plusieurs reprises entre 1994 et 2000, c’est-à-dire à partir de leur douzième année.

Cette fois, il n’est pas certain que la condamnation sera de celles qui « honorent les condamnés »

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