L’inter National ! Ou l’interne à sonnailles !
Deux bouts Leda née de la guerre,
Deux bouts l’effort Sade deux la fin !
La raie son thon ne anse onc rat terre,
C’est l’erre, option de l’enfin !
Du pas ces faits ont à bleus raz !
Fous laids slaves, deux bouts, deux bouts,
L’immonde va chant j’ai deux sables
Nous nœuds sots me riz hein, soie y on foot !
REFRAIN
Croupion mou à deux mains,
Le front Nationaaaaale,
Sœur a le gendre à Pétain !
Il née pas de sots vers carême
Nids d’œufs, nids ces arts, nids crétins
Professeurs sots, vos nounous m’aiment,
Des crétins le sale hue de Pétain
Porcs que les vols heure rouge-gorge
Poutine ré les prix du cageot
Sous flonflons mous mémé nos traits morve,
Bas thon leurs fées sur le réchaud
REFRAIN
Tous au trou à deux pains,
L'interrupteur nationaaaaaaaaallle,
Ce rat, mon gendre Urbain.
Les tas de cons prime les oies pissent,
Les pots seigneur le mal Zorro
Nus d’œufs voir, nœuds impôts ho biches
Le doigt du pot vrai putain d’maquereau
Cétacés langue ire dans pucelle,
Les gars alités veulent un Roy,
Pas deux doigts s’en deux mercredi ailes,
Les Goths pas d’œufs deux voir l’endroit !
REFRAIN
Croûtons mous des deux nains,
La frite au totaaaaaaaalllllle,
Ceux râleurs gents radins !
L’effroi nous sous laids enfumés,
Pets d’antre loups gays rots tirant,
A plis cons là e bon gré vos arts mémé,
Crocs os en les raie ronds pont l’errant,
Si îles zobs tétine comme Hannibal,
Affaire dénouée deux zéros,
Ils sots ronflent bien toc nos bals,
Ceux ronds deux propres artichauts !
REFRAIN
Grattons nous les zozos,
Les slips à Chantaaaaaaalllle,
Reprendront le métro !
Ou crier pays sans je t’assomme,
Le gant parti du rémouleur,
J’adhère et n’a de parties qu’au zob,
L’oie zéphire à Roger sa sœur,
Cons chiens deux nos chers serre les fesses,
Mémé si les corps beaux, les veaux sourds,
Une de ces mannes de Tintin dit paresse,
Le sot à l’œil des centres de secours
REFRAIN
Bien le bonjour les cocos,
Mettez un doigt à la futailllllle,
Vous serez moins idiots,
Où variante amusante :
C’est la pute infernaaaaale
Celle qui branle à deux mains
C’est la sœur à le Jean Rumain
Michel Alain Labet de Bornay
Michel Alain Labet de Bornay
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire