mercredi 22 février 2012

Quand le Parti communiste fait son cinéma.


Jacques Bompard interdit les drapeaux étrangers..





Le 21 mars 2012 un mois avant le premier tour des présidentielles 2012 sortira un film de basse propagande marxiste culturelle. Film de Jean-Baptiste Malet et Bernard Richard dont le titre est « Mains brunes sur la ville ».
Ce film est destiné à salir l’image du Front National au travers des équipes dirigeantes de deux villes du Vaucluse Orange et Bollène admirablement dirigées par Jacques et Marie-Claude Bompard de la Ligue du Sud et qui seraient aux dires des auteurs marxistes culturels des « laboratoires » (sic) de l’extrême droite ( ?) aux « dérives » fascisantes.

Jean-Baptiste Malet et Bernard Richard ont été tous deux été élèves à l’école militaire d’Aix-en-Provence, monsieur Richard dans les années 50 et monsieur Malet dans les années 2000, leur travail ensemble fut parait il pour eux une évidence : un tandem cinéaste-journaliste. La critique du formatage éducatif qu’ils ont connu leur donnerait à leurs dires, de bonnes bases pour la critique de ce qu’ils appellent « l’extrême droite ».
Seulement voilà ; le documentaire est bidonné ! Ce n’est que de l’agitprop politique marxiste culturelle, de la propagande gauchiste de la pure désinformation !

Et ce sont eux qui l’avouent :

« Nous avons également rencontré les époux Bompard qui, en pleine campagne des cantonales, nous ont accueillis avec hostilité, tant et si bien que nous avons eu recourt à divers stratagèmes pour recueillir leurs propos : journaliste reporter d’images inconnu de leurs services, caméra cachée, épluchage de leur propagande électorale et municipale… »

Si après ça vous accordez du crédit à leur délire marxiste c’est à désespérer.
Les méthodes employées par ces deux marxistes culturels sont celle préconisées par Lord Ponsonby, un aristocrate anglais, socialiste et pacifiste, qui résuma les méthodes utilisées pour la propagande socialiste: Cliquez ici.

Il faut faire croire

1. que notre camp ne veut pas la guerre
2. que l’adversaire en est responsable
3. qu’il est moralement condamnable
4. que la guerre a de nobles buts
5. que l’ennemi commet des atrocités délibérées (pas nous)
6. qu’il subit bien plus de pertes que nous
7. que Dieu est avec nous
8. que le monde de l’art et de la culture approuve notre combat
9. que l’ennemi utilise des armes illicites (pas nous)
10. que ceux qui doutent des neuf premiers points sont soit des traitres, soit des victimes des mensonges adverses (car l’ennemi, contrairement à nous qui informons, fait de la propagande).
Mais qui est monsieur Bernard Richard ?
Après avoir passé 6 ans en Algérie nouvellement indépendante où il aurait effectué des études supérieures d’économie,( Après l’indépendance, l’Algérie était totalement dépourvue de cadres et d’enseignants de haut niveau) Bernard Richard enseigne les Sciences Economiques et Sociales pendant 15 ans.
A 39 ans, il se forme à l’école Louis Lumière, puis exerce comme opérateur de prise de vue à la télévision et réalise des films de commande à caractère économique ainsi que des documentaires. Parallèlement, il enseigne la prise de vue et le montage en BTS Audiovisuel à Boulogne-Billancourt. Lors de son travail de documentariste, il assure les fonctions de réalisateur, chef opérateur et parfois de monteur. Ses deux premiers films d’auteur avaient pour titre E.T. - Enfant de Troupe (2005) et Solstices - Les Enfants de la Parole (2009). Mains brunes sur la ville, réalisé en collaboration avec J-B. Malet, est son troisième documentaire de long métrage.


Quant à Monsieur Mallet (ex candidat « écologiste » dans le var) c’est un vulgaire militant du parti Europe écologie (Des pastèques), d'une subjectivité qui rejoint l'ignorance et la plus pure propagande de désinformation marxiste culturelle. Imbu de sa personne, et intrusif de surcroît, parce qu'il est un élu manqué.
D’ailleurs journaliste et écologie, c’est complètement incompatible, la pratique journalistique est un métier et non une activité militante, l’écologiste marxiste culturel comme le communiste marxiste est foncièrement incapable de dissocier ses convictions de sa pratique professionnelle.
On retrouve de ces articles dans la revue marxiste « Regards » Cliquez ici..

Au travers de cet article j’espère vous faire prendre conscience de la main mise par les marxistes sur la culture.



REGARDS est une publication marxiste engagée à l’ultra gauche et qui assume un parti pris antilibéral, alter mondialiste et anticlérical. Le mensuel proposerait un traitement marxiste et sois disant critique de l’actualité politique.

Créé en 1932, année ou Paul RASSINIER,(*1) militant communiste, antifasciste antisémite et pacifiste est exclu du PCF rassinier était un des principaux initiateurs du négationnisme français dont Maurice Bardèche (*2) est considéré comme l'« inventeur ».
Regard qualifié d’hebdomadaire illustré du Parti Communiste, est d’abord dirigé par Léon Moussinac, (à droite sur la photo ci-dessous aux cotés du camarade Aragon)) adhèrent du Parti communiste français (PCF) dès 1924, ce disant critique et théoricien du cinéma. Il en confiera plus tard les rennes à son ami Pierre Unik membre du Parti Communiste, dès 1927.


Regards avait pour ambition d’être un illustré, mais pas un de ceux que l’on voit fleurir pour « distraire le peuple », Regards se veut l’illustré de la « classe ouvrière ». L’image photographique sera donc une de ses principales préoccupations. Regards expérimente, sans tarder, ses multiples possibilités. Des réflexions naissent sur l’utilisation de la photographie, sa mise en page, mais aussi sur la portée idéologique de ce média. Le photomontage, le truquage (*3) deviennent une pratique courante notamment pour la réalisation des premières pages de couverture. Il s’agit de chercher une image photographique idéale afin de combattre l’image « bourgeoise » présente dans la plupart des magazines illustrés de l’époque, et de définir la « photo de classe ».
Chez Regards tout s'accomplit selon la doctrine de Lénine : d'abord la construction d'un parti révolutionnaire, ensuite la conquête de la classe ouvrière. C'est très important pour comprendre la confiance sans borne des militants de cette génération vis-à-vis du « marxisme-léninisme » et leur foi dans leur parti et dans l'Internationale. Car en 1932, si le PCF exerce une séduction certaine sur les jeunes ouvriers combatifs, la conquête de la classe ouvrière est loin d'être acquise.

Grâce à son action bolchevique et marxiste au sein du Ciné-Club de France, le film Le Cuirassé Potemkine considéré comme l'un des plus grands films de propagande communiste de tous les temps est projeté pour la première fois en 1926 à Paris. Il fonde peu après avec son ami Jean Lods le "premier ciné-club de masse" - Les Amis de Spartacus, qui organise des projections au Casino de Grenelle avant d'être interdit après six mois d'existence.
Prenons le cas du cinéma américain.
En 1933, le cinéaste Yvan Noë publie chez nous une charge virulente sur cette ville dégénérée et déclare : « Le cinéma américain tend à nous abêtir, à détruire par ses enfantillages et ses fadaises admirablement présentées notre jugement, notre bon sens, notre esprit critique et à paralyser notre esprit tout court ». Voici une phrase que l’on pourrait retrouver mot à mot dans n’importe quelle revue marxiste culturelle actuelle mais qui se serait pourtant débarrassée de celle qui lui fait suite, à savoir : « Le cinéma américain est la propriété d'une certaine finance israélite qui a mené l'Amérique entière à la situation dramatique dans laquelle elle se débat actuellement et qui affirme la faillite de ses méthodes économiques et gouvernementales ». Cette antisémitisme déclaré, qui prend pour cible un cinéma supposé juif, va largement se durcir durant la décennie des années 30, sous la plume de divers critiques de films français dont le plus tristement célèbre est Robert Brasillach, grand écrivain mais aussi grand supporter des futures méthodes « d’épuration » des socialistes nationaux. 
Du côté des socialistes internationalistes et des communistes, la critique d’Hollywood est plus mesurée mais néanmoins très présente. Léon Moussinac successeur de Louis Delluc, fondateur du célèbre Ciné-club voit dans la mission du Ciné-club une résistance « contre la publicité commerciale, contre le protectionnisme français, contre la colonisation américaine ». Les années d’après-guerre vont mener les tenants du Ciné-club à s’opposer plus fermement à Hollywood, accusée de produire du « cinéma opium ». Et ces cinéphiles de militer en faveur de « l’éducation des masses, par le cinéma et pour le cinéma ». L’Union soviétique, où les films ne sont pas produits à des fins commerciales, devient logiquement leur modèle à suivre.
Ainsi, produites à tour de rôle par l’antisémitisme et par la tentation totalitaire marxiste, les accusations multiples envers Hollywood (crétinisation des masses, décadence, argent roi etc.) vont largement perdurer dans l’inconscient collectif jusqu’à nos jours, à travers des discours marxistes culturels qui oublient trop souvent la nature de leur source.
Moussinac est le fondateur, en 1932, avec Paul Vaillant-Couturier et Aragon, de l'Association des Écrivains et Artistes Révolutionnaires (AEAR). Association naissante du marxisme culturel nidoreux.

Sous l'autorité du Parti communiste français, l'association d’agitprop et son organe de propagande marxiste Commune ont alors pour mission de réunir les différents courants culturels qui, en France, se préoccupent à l'époque des rapports entre l'engagement révolutionnaire et la culture.

Le 20 avril 1940, Moussinac est arrêté et interné à la prison de la Santé au motif d’avoir, à partir du 26 septembre 1939, « eu une activité ayant directement ou indirectement pour objet de propager les mots d’ordre de la IIIe Internationale communiste (Collaborationniste avec l’Allemagne hitlérienne)».Il sera acquitté le 5 Mai 1941.
Il est directeur de l'IDHEC de 1947 à 1949 et de l'École nationale supérieure des arts décoratifs (ENSAD) de 1946 à 1959.
Il meurt dans son bureau le 10 mars 1964
En 1936, Regards tire à plus de 100 000 exemplaires alors que le Front populaire arrive au pouvoir. En septembre 1939, Regards est interdit pour propagande communiste.
Pour des raisons économiques évidentes (le collectivisme ne MARCHE PAS !), la parution de Regards s’arrête en 1962.
Trente-trois ans plus tard, en 1995, Regards réapparaît sous l’impulsion du PCF, avec le communiste Henri Malberg comme directeur qui a noté lors d’une conférence que "l'antisémitisme militant cherche à faire sauter les digues que le mouvement émancipateur humaniste ( ?) a dressées, à l'issue de la victoire sur le fascisme". Indiquant qu'"on ne peut pas minimiser le rôle de l'idéologie" qui a fait du juif le "coupable", il a insisté sur le fait que "les théorisations et les discours contre les juifs ont toujours pu prendre leur essor quand le chômage, la misère, les inégalités bouchaient toute perspective". Pour lui, la "forme privilégiée" de cet antisémitisme militant d'aujourd'hui est à rechercher dans le négationnisme. Soucieux de n'évacuer aucune dimension du problème, il a mis aussi en garde contre l'amalgame "sionisme-judaïté", tout en s'interrogeant (Il était temps !) sur "le racisme et l'antisémitisme qui ont sévi en URSS".



En 2000, une refonte de la formule est élaborée par la nouvelle direction du journal : l’historien Roger Martelli, (né en 1950) est un historien (sic) du communisme. Ancien membre de la direction du Parti communiste français, directeur de la rédaction, et l’architecte de « sensibilité » communiste Catherine Tricot, rédactrice en chef. La formule de 2000 renoue avec le concept originel : investigation du monde au travers du photojournalisme, enquêtes et contributions d’intellectuels (les fameux idiots utiles).
En octobre 2003, après le dépôt de bilan de la Société des Editions du Journal Regards, onze salariés du mensuel s’engagent financièrement individuellement et s’associent collectivement pour créer une Scop (Société coopérative de production). Formule rare dans un paysage médiatique désormais propriété quasi exclusive des grands groupes financiers, Regards appartient donc aujourd’hui à sa rédaction. Les salariés sont membres fondateurs, ils possèdent 51% du capital et 65% des voix. Les coopérateurs élisent Catherine Tricot à la tête de la Scop dont elle assure la gérance. Roger Martelli et Clémentine Autain(*4) assurent la direction de la rédaction, et Emmanuelle Cosse(*5) en est la rédactrice en chef.

Au printemps 2010, dans un contexte de crise des modèles économiques de la presse, la Scop est liquidée. Malgré tout Regards passe l’épreuve et reste dans les mains de ses salariés. La pétition et l’appel à soutien lancés auprès des lecteurs pour tenter de sauver le journal, reçoivent un accueil favorable. Une nouvelle Scop est créée, "Les éditions Regards", dans laquelle quatorze salariés (réguliers et pigistes) s’engagent de nouveau financièrement. Gérante de cette Scop, Clémentine Autain est également la directrice de publication du nouveau Regards dont le rédacteur en chef est Rémi Douat « journaliste » et militant gauchiste, c’est complètement incompatible, la pratique journalistique est un métier et non une activité militante, le journaliste militant de « Gôche) est foncièrement incapable de dissocier ses convictions de sa pratique professionnelle. Le premier numéro sort en juillet 2010. Au premier trimestre 2011, Regards assoit sa présence sur Internet en refondant son site web www.regards.fr.

Regard est plus qu’étrangement silencieux sur le cas des  fameux 12 de Mulhouse inculpés d’incitation à la haine raciale antisémite, comme l'apparatchik bolcho Aline Parmentier (Qui veux me traîner devant l’ajustice de s’pays des doigts de l’Ôm dans le Centre d’Union Libertarien), une responsable (sic) départementale du Parti communiste français et membre du « collectif » Boycott 68 avec ses complices Farida Trichine de « Justice » pour la Palestine Alsace, Henri Eichholzer de l’AFPS 68, Mohamed Akbar de l’association REDA, et Jacques Ballouey d’ Europe écologie les Verts 68 avec deux militants du PIR, les fameux Indigènes de la République. Parmi les autres inculpés il y a aussi cinq courageux anonymes antisémites. Voir ici les nouveaux antisémites marxistes.

Jacques Bompard (Ligue du Sud) chez Bourdin 


(*1)Paul Rassinier (18 mars 1906 - 28 juillet 1967) a été un pacifiste, un militant communiste, socialiste, puis anarchiste. Propagandiste clandestin lors de la Seconde Guerre mondiale, il fut prisonnier aux camps de concentration de Buchenwald et de Dora-Mittelbau. Voir ICI !

(*2) Maurice-Bardeche-Le-socialisme-fasciste. Cliquez ici !

(*3) Trucage de l'histoire et propagande communiste! Cliquez ici.

(*4) Clémentine Autain, ancienne militante à l'Union des étudiants communistes. Directrice de "Regards", membre de la Fédération pour une alternative sociale et écologique  (FASE). Tout est dit ! Clémentine Autain et les soutiens des antisémites.

La camarade Clémentine ce distingue en défendant des antisémites notoires ! Ainsi avec Plantu, Gisèle Halimi, Willem, Olivier Besancenot, Gérard Filoche, mollahs et autres ayatollahs de la conscience autoproclamée de « gôche », toujours en quête d’une affaire Dreyfus leur permettant de se hisser au niveau d’un Zola, ont pris la défense de l’antisémite Siné de Charlie Hebdo face à Philipe Val et à sa meute. Ces abrutiles au QI de moules n’ont jamais compris que Zola ne cherchait pas la célébrité ou la gloire mais seulement la justice avec son « J’ ACCUSE ».

Je serais vraiment curieux de savoir si Clémentine et ses camarades cautionnent les propos de ce même Siné dans Charlie Hebdo du 11 juin 2008 ?

« Je n’ai jamais brillé par ma tolérance mais ça ne s’arrange pas et, au risque de passer pour politiquement incorrect, j’avoue que, de plus en plus, les musulmans m’insupportent et que, plus je croise les femmes voilées qui prolifèrent dans mon quartier, plus j’ai envie de leur botter violemment le cul !

J’ai toujours détesté les grenouilles de bénitier catholiques vêtues de noir, je ne vois donc pas pourquoi je supporterais mieux ces patates à la silhouette affligeante et véritables épouvantails contre la séduction ! Leurs maris barbus embabouchés et en sarouel coranique sous leur tunique n’ont rien à leur envier point de vue disgracieux. Ils rivalisent de ridicule avec les juifs loubavitchs ! Je renverserais aussi de bon coeur, le plat de lentilles à la saucisse sur la tronche des mômes qui refusent de manger du cochon à la cantoche.

Quand on a des parents aussi bornés que les leurs, le seul remède et de leur désobéir et de les envoyer se prosterner ! Et quand ils prétendent que c’est pour des raisons d’hygiène qu’ils refusent le porc, évoquant des maladies datant du temps de leur prophète mais éradiquées depuis belle lurette, mon sang ne fait qu’un tour et se transforme aussitôt en boudin !

La bêtise n’a pas de limites, c’est connu, mais arrêtons de la respecter et, qui plus est, de l’entretenir au nom d’une indulgence dont ils ne font, eux, aucune preuve !”


Tiens ; je vais lui poser la question là : Email :
clementineautain@live.fr

(*5) Emmanuelle Cosse Issue d'une famille engagée à gauche elle a commencé à militer à la Fédération indépendante et démocratique lycéenne.
Succédant à Philippe Mangeot, elle a été présidente d'Act Up-Paris de 1999 à 2001. Elle a été co-rédactrice en chef du magazine Regards après avoir collaboré à de nombreux journaux.
Emmanuelle Cosse est une fille, «hétérosexuelle», «séronéga-tive», qui a été néanmoins présidente d'Act Up, qui plus est particulièrement à l'aise dans ses baskets. «Moi je ne vois plus la différence entre un gay et Emmanuelle. Elle en est», tranche, tout sourire l'ancien président, Philippe Mangeot. La preuve? «On rit de ses gros seins comme deux gays vont déconner sur la longueur de leur queue. Pourvu que ce soit fait généreusement"»
Cette juriste, titulaire d'un DEA de droit public économique, est présente sur la liste de Europe écologie pour les élections régionales de 2010 en Île-de-France. Elle est 8e vice-présidente du conseil régional d'Île-de-France, chargée du logement, de l'habitat, du renouvellement urbain et de l'action foncière depuis le 26 mars 2010
Madame Cosse est un cas ! En effet elle est une des rares personne de gauche à écrire : « La défense par certaines institutions juives françaises de la politique menée par Ariel Sharon, le discours antisémite de certaines personnalités et mouvements de gauche ou ultra-gauche, la médiatisation par Nicolas Sarkozy des actes racistes et de ce qu’on l’a appelé la « montée communautaire, » n’ont certes pas permis de créer des conditions de débat adéquat et ont contribué souvent à la diabolisation de certains discours. » « Plus ici ! » Merci madame pour la reconnaissance du discours antisémite de certaines personnalités de gauche !
Michel Alain Labet de Bornay.






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5 commentaires:

  1. Dans le cadre des journaleux marxistes il y a Claire Checcaglini. Comment, vous ne connaissez pas cette courageuse résistante ? Obscure journaliste âgée de 35 ans, jusque-là inconnue des médias, elle a trouvé la combine pour se faire connaître : infiltrer les très méchants du Front national durant sept mois, et sortir un livre, à quelques semaines du premier tour des présidentielles. On pourrait dire que ce n’est pas une première, puisqu’une militante de la Ligue communiste révolutionnaire, Anne Tristan, avait fait de même en 1987. Mais le concept demeure vendeur, comme disent les commerciaux.
    Naturellement, la promotion médiatique de l’ouvrage est assurée. Bien qu’il ne soit sorti que le 27 février, elle était déjà sur le plateau du Grand Journal, de Denisot, dès le mercredi 22. Parfaite caricature de la petite bobo parisienne de gôche, elle a le côté pédant de Clémentine Autain, et le côté fausse rebelle des beaux quartiers de Caroline Fourest.
    Bien évidemment, en sept mois, notre vaillante Claire (qui s’était fait appeler Gabrielle Picard) a sans doute eu le temps de relever des horreurs qui feront les délices de tous les plateaux de télévision qui vont lui dérouler le tapis rouge. Elle nous a parlé de l’intolérââââble racisme contre l’islam qu’elle avait entendu tout au long de ce travail en immersion. Mais sans doute le plus médiatisé sera-t-il ce passage, attribué au compagnon de Marie-Christine Arnautu, Philippe Chevrier, responsable départemental du FN, page 188.
    Elle la tient, notre formidable Claire, sa preuve que la dédiabolisation du FN, c’était du pipeau ! En parfaite adepte des méthodes du Guépéou, elle a même les enregistrements ! Peu importe qu’elle ait pris quelques libertés avec la charte des journalistes, la caste va lui pardonner, puisque c’est pour la bonne cause. Par ailleurs, cette phrase laisse interrogatif. J’ignore si un cadre du FN l’a réellement prononcée, et dans quelles circonstances il aurait pu se laisser aller ainsi. Mais qui n’a jamais, dans un moment de délire, fantasmé sur des personnes qu’on n’aime pas, simplement avec des mots violents, provocateurs, qui font du bien sur le moment, sans envie pour autant de passage à l’acte ? Quel est le militant de gauche qui n’a jamais déliré sur des dirigeantes du FN qu’il exècre ? Quel est le syndicaliste qui, entre amis, à la fin d’un repas, ne s’est pas lâché contre un patron ou une employeuse, voire une DRH ? Quel est l’élu de droite qui n’a jamais envisagé de faire subir les pires sévices à un adversaire de gauche ? Quelle est la femme qui n’a jamais envisagé de faire subir quelques sévices à un rival qu’elle n’aime pas ? Qui n’a jamais raconté, entre amis, une blague antisémite, une histoire sur les Belges ou sur les homosexuels ? Dans le monde aseptisé de Claire Checcaglini, et de tous les commissaires politiques de gôche, cela ne sera plus possible. Il faut s’attendre, avec leurs méthodes de basse police, quand vous êtes dans un milieu amical, à voir, des mois plus tard, une bribe de conversation se retrouver sur le net, grâce une caméra cachée ! On va nous faire le coup du délit d’intention, voire essayer de nous faire avaler qu’une plaisanterie sexiste, même graveleuse, au premier, deuxième ou troisième degré demeure une plaisanterie sexiste, qu’il convient de réprimer par la loi, bien évidemment.
    Je ne suis pas certain par ailleurs que Caroline Fourest ne doive pas déposer plainte contre l’auteur et l’éditeur du livre, car porter à la connaissance de la France entière un tel fantasme supposé d’un dirigeant du Front national, n’est-ce pas inciter à la haine et à la violence contre Caroline Fourest, voire donner des idées à des personnes qui ne la portent pas dans leur coeur ?
    Claire Checcaglini va donc faire, pendant quelques jours, tous les plateaux télévisés de France. Elle va pouvoir se parer des habits d’une grande résistante contre la bête immonde, sa carrière, jusqu’à ce jour fort médiocre, va enfin pouvoir décoller. Bravo, fillette, c’est du beau boulot !

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  2. Communiqué de presse de Wallerand de Saint-Just, Avocat de Marine Le Pen
    Les méprisables procédés de Mme Checcaglini :
    Le procédé de Mme Checcaglini est doublement détestable : en violation des règles premières de la déontologie des journalistes, elle tente de dénigrer le Front National. En outre, au moyen d’une seconde fabrication, elle met dans la bouche de Marine Le Pen des propos que celle-ci n’a évidemment jamais tenus. La forgerie est à son comble. Imputer à Marine Le Pen d’avoir prétendument exprimé les propos que cette pseudo-journaliste rapporte, est diffamatoire à l’égard de Marine Le Pen qui se voit contrainte d’engager une procédure. Cette procédure fera valoir au surplus que les accusations insanes n’ont été permises que par une authentique tricherie déconsidérant et salissant le métier de journaliste.
    Espérons que madame et monsieur Bompard feront la même chose avec les deux journaleux Jean-Baptiste Malet et Bernard Richard.

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  3. A l’attention de monsieur Malet. Un peu d’histoire.
    Socialisme Fasciste
    C’est le titre d’un essai de Drieu La Rochelle, constatation symbolique, car le socialisme fasciste est une idée et non un catalogue de réalisations. Tous les mouvements fascistes ont rencontré le socialisme à un moment donné, tous s’en sont inspirés : le partihitlérien s’appelait officiellement Parti socialiste national des ouvriers allemands (N.S.D.A.P., National sozialistiche Deutsche arbeiter parteï), Mussolini est un instituteur socialiste, José-Antonio Primo de Rivera est le symbole du socialisme national-syndicaliste, la Garde de Fer est un mouvement d’étudiants et de paysans, Mosley en Angleterre était un ministre travailliste, Doriot en France était un leader communiste et le P.P.F. eut pour origine la cellule communiste de Saint-Denis. Tous les mouvements fascistes historiques ont été des mouvements de libération contre la confiscation du pouvoir réel par le capitalisme cosmopolite et la malhonnêteté fondamentale des régimes démocratiques qui dépouillait le peuple de son droit de participation. Et pourtant, à l’exception du régime justicialiste de Peròn en Argentine, les circonstances n’ont jamais permis la réalisation intégrale de la vocation socialiste des partis fascistes. Ceux qui sont arrivés au pouvoir ont immédiatement eu à reconstituer une économie ruinée par une gestion démagogique, à rétablir un ordre bouleversé par l’anarchie, à créer au sortir du chaos leurs propres structures ou à se défendre contre des périls extérieurs qui menaçaient leur existence même : tâches urgentes et indispensables qui ont mobilisé toutes leurs forces, qui ont imposé des priorités. Finalement, les circonstances ont empêché presque partout la synthèse qu’ils voulaient réaliser entre le socialisme et l nationalisme, et le changement socialiste est devenu un objectif secondaire par rapport aux impératifs de survie nationale.
    Cette nostalgie du socialisme fasciste, elle est si profonde qu’on voit reparaître régulièrement dans les mouvements néo-fascistes les germes d’un fascisme national-révolutionnaire, plus verbal que concret, et qui présente toutes les nuances de la radicalisation doctrinale jusqu’au rêve, également verbal, d’un national-communisme. Ce phénomène peut-être observé partout en Europe, aussi bien en Italie qu’en Allemagne, en Espagne, et en France ; provoquant la naissance de groupes ou de publications extrémistes intransigeantes, éprises de pureté et d’absolu, traduisant très bien par leur violence même, ce manque fortement ressenti, avertisseur qui nous permet de mesurer à la fois la permanence et l’importance de cette vocation socialiste dans toute tentative de redéfinition du fascisme et aussi l’imprécision, parfois le vide qui les accompagnent quand il s’agit de préconiser des mesures et d’établir un programme.
    Extrait de Maurice Bardèche.

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  4. Etre marxiste culturel comme messieurs Jean-Baptiste Malet et Bernard Richard ( On dit aujourd’hui : « Humaniste, progressiste, pacifiste ») c’est l'incapacité quasi totale à se détacher de son groupe communiste ou écologiste d'origine, à penser le monde en dehors des « penseurs » marxistes patentés et de fait c’est la sacralisation d’un prétendu « savoir », l'incapacité à s'aventurer en-dehors des chemin battus par Mao Tsé-toung, Castro ou Staline par peur d'affaiblir une pensée ou un mouvement , l'incapacité à se remettre en question.

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  5. Mon cher monsieur Labet
    Le petit JB et le vieux Nanard ont une culture politique se limitant à la lecture des Inrocks des communiqués « indignés » du MRAP ou du PCF et l'écoute de Noir Désir, ils font ce qu'il pense être bien pour lutter contre la droite bien trop de droite et font n'importe quoi et de préférence n'importe comment. En faisant par exemple 5 ou 6 articles par semaine sur Rue 89, dans Regard ou Golias et même un film Allah con puisque n'est-ce pas "on ne combat que ce qu'on connaît" et donc on va aller à la "rencontre" des gensses qui ont l'étrange idée de voter Le Pen. (et les articles sur le FN ça fait du clic et ça fait plaisir aux publicitaires et donc ça donne des sous, mais soyons certains que ces basses considérations mercantiles n'entrent jamais dans les brillants esprits qui ont concocté cette stratégie, évidemment).

    On va donc aller voir de près ces curieuses bêtes qui envisagent de voter Le Pen et comble de l’exotisme on poussera l'audace à sortir de soi-même pour se frotter au prolétariat. Bigre, quelle aventure. Nantis d'un thermos de thé au jasmin - sans sucre - et d'un paquet de macarons Ladurée pour survivre en territoire forcément hostile, on va tenter de cerner les contours de ces pue-la-sueur cons dégénérés et incultes et qui logiquement vont voter Le Pen. Commisération, mépris de classe, semi-fascination révulsée pour le populo, las : nous deux braves et gentils bobos ne peuvent s'empêcher de laisser dégouliner leur répulsion à chaque ligne ou chaque image. Déjà qu'ils s'approchent de près de ce genre de chimpanzés, faudrait pas non plus trop leur demander d'aller en profondeur, faire du tourisme politique en France profonde c'est déjà une expédition à faire blêmir Indiana Jones, alors en plus en tirer de l'analyse, ça excède ce qu'on leur a appris en CFJ faut pas déconner.
    CFP

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