dimanche 13 janvier 2013

Des musulmans menacent la France.





«Stoppez votre assaut contre nous, ou vous creuserez la tombe de vos propres enfants», a prévenu Abdallah al Chinguetti.

Tous les français à travers le monde sont menacés !

Les menaces n'auront pas tardé à tomber. Les mouvements musulmans au Mali et en Somalie menacent la France et les Français il s’agirait de membres « d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) » ainsi que s’évertue à le proclamer les journaleux incultes et illettrés.

D'origine algérienne, cette mouvance de l’islam salafiste est connue sous le nom de Groupe salafiste pour la prédication et le combat, groupe issu d'une dissidence du Groupe islamique armé (GIA). Son affiliation au prétendu réseau Al-Qaida aurait selon les « spécialistes » auto proclamés obtenu l'approbation d' Oussama Ben Laden. Ces musulmans multiplient les menaces contre la France et les Français depuis la décision prise vendredi par le président socialiste Hollande d'engager les troupes françaises au Mali pour « aider » l'armée locale à repousser les musulmans salafistes.

Ces « groupes » salafistes se trouvent sur le territoire national Français. Dans l’Hexagone, l’émergence du salafisme date d’une vingtaine d’années il est le fruit de l’action d’anciens étudiants musulmans formés dans les universités musulmanes d’Arabie Saoudite et de la prédication d’ex-activistes du FIS (Front islamique du salut) algérien.

Depuis plusieurs années se poursuit en France et dans certains pays musulmans, la banalisation d'un racisme anti blancs,  anti Français et antisémitisme bestial: les Juifs sont considérés comme des «fils de singes», les chrétiens comme des «fils de porcs», d'ailleurs… Pour certains « jeunes » des « cités » islamisées, cela signifie la possibilité de tuer, puisque lorsque l'on est dans la voie de « Dieu », on a la vérité avec soi…


Le mot arabe « salaf » signifie ancêtre. Le but des musulmans salafistes est de revenir à un islam naturel, pur, un islam des origines et a l’instauration de la charia sur le territoire national Français, fondamentalistes, orthodoxes, rigoristes, les salafistes se considèrent comme le petit carré « d’élus » qui sera sauvé dans l’au-delà,  ces musulmans développent un islam de haine, de guerre et de meurtres. Outre la prédication dans les mosquées, la diffusion de leur « pensée » homophobe, sexiste, antisémite, machiste, terroriste, violente inébriant à l’Islam ils opèrent aussi sur Internet. Il existe de nombreux sites (comme Ansar al-Haqq Cliquez ici et si ce n’est Ici sans oublier de cliquer ou l’on fait l’apologie du meurtre ignominieux d’une missionnaire chrétienne à Kaboul. L'aventure continue ici.

Un groupe très connu, dont des membres sont toujours en liberté dans notre pays, c’est distingué particulièrement ces dernières années. Forsane Alizza Cliquez ici. . Il entretient des relations constantes avec des mouvements islamistes implantés à l'étranger et des personnes impliquées dans des actes de terrorisme »

L'intervention militaire de la France contre les musulmans salafistes au Mali aura des «conséquences» pour les «otages français» ainsi que «tous les ressortissants français à travers le monde musulman», a déclaré ce samedi un porte-parole du groupe  Ansar Dine ( à l’huile ?).  «Nous allons continuer à résister et à nous défendre. Nous sommes prêts à mourir au combat», a déclaré Sanda Ould Boumama (Quel joli nom !).

Dirigé par Iyad ag Ghali (Pète ?) Ansar Dine (Allah tomate ?) est l'un des principaux groupes de musulmans participants à l'insurrection malienne de 2012, avec le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (MUJAO) et le Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA).

Ansar Dine ( Al Huile) milite pour l'instauration comme en Egypte, en Algérie, en Tunisie, au Maroc, à Gaza, au Yémen, aux Philippines, en Indonésie, au Pakistan, au Nigeria, etc. etc. de la charia au Mali.


Les musulmans sur le pont. Sur les nombreux forums musulmans, des exhortations, y compris individuelles, à frapper la France se sont récemment multipliées. Vendredi par exemple, un cyber-salafiste surnommé « Abdul Rahman bin Abdul Rahman» a lancé un appel «à tous les musulmans à lancer des attaques individuelles ou groupées contre les Français et leurs intérêts», demandant que l'on liste sur Internet les adresses des ambassades de France et des cibles potentielles.


Des «conséquences amères». Après la tentative ratée de libérer l'otage français en Somalie, Denis Allex, (un pseudonyme) agent de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) qui s'était fait passer pour journaliste,(*)  dont «tout donne à penser» qu'il a été tué, selon Paris, et au cours de laquelle au moins un soldat français et dix-sept musulmans armés somaliens sont morts, les musulmans du groupe Al-Shabbaab ( En arabe : Jeunesse), en Somalie, issu de la fraction la plus dure de l'Union des tribunaux islamiques, qui milite pour l'instauration de la charia ont menacé la France de «conséquences amères».

Les musulmans Somaliens n’en sont pas à leur coup d’essais. 1er octobre 2011 : Enlèvement d'une Française âgée de 66 ans, handicapée, Marie Dedieu, une ancienne militante féministe, par un groupe d'hommes armés à son domicile de l'île de Manda, près de Lamu, au large du Kenya. Privée de soins, l'otage décédera peu après.

L’UMPS pactise depuis des années avec les musulmans conquérants. Mais s'il y a une leçon qu'il ne faut jamais oublier c'est bien celle de Munich. Churchill avait dit : « Ils ont préféré le déshonneur à la guerre et ils auront les deux ». Il ne faut jamais tenter de pactiser avec ceux qui vous ont déclaré la guerre.


(*) 14 juillet 2009 : Les shebabs terroristes s'emparent de deux membres de la DGSE . Un de ces otages était initialement détenu par le groupe Hezb al-Islamiya du cheikh Hassan Dahir Aweys, l'autre par les shebabs, mais finalement ces derniers ont réussi à obtenir la garde des deux agents. Selon le ministre somalien des Affaires sociales, Mohammed Ali Ibrahim, « la raison principale de l'enlèvement est que certains shebabs ont des proches emprisonnés en France, les pirates ». La France détient en effet quinze pirates somaliens, dont certains arrêtés lors de la prise d'otages du Ponant, en avril 2008. Un des otages parvient à s'évader au mois d'août.

Les Shebabs feront dire à leur otage qu’il est victime “de la mauvaise politique de la France vis-à-vis des musulmans en France et à l’extérieur de la France.”.
Physiquement marqué par ses trois années de captivité, l’agent de la DGSE l avait un texte en français dans lequel il s’adressait directement au président François Hollande, en espérant que son “attitude (…) sera différente de celle du président Sarkozy et son gouvernement.”


7 commentaires:

  1. Sur rue89, un point de vue marxiste culturel extrémiste : Mali : sécuriser « notre » approvisionnement en uranium.
    Le 11 janvier 2013, l’armée française est intervenue au Mali à la suite de mouvements, vers Bamako, de groupes armés islamistes. Depuis des mois, ces derniers tiennent tout le nord du Mali et se seraient enhardis au point, nous dit-on, de vouloir occuper l’ensemble du pays.
    Personne ne niera que ces groupes soient composés d’horribles individus qui, sous prétexte de convictions « religieuses », battent toute personne dont le comportement ne leur plaît pas, coupent les mains des voleurs (réels ou supposés), exécutent – en particulier des femmes – pour des broutilles ou même pour rien.
    Pour autant, de la même façon qu’au moment de l’intervention militaire contre Kadhafi en Libye, il est insupportable de se retrouver sommé de soutenir une intervention militaire déployée par ceux qui sont largement responsables de la gravité de la situation.
    Qui plus est, qui peut vraiment croire qu’il s’agit d’une opération « pour la démocratie au Mali » ? Cela fait des décennies qu’elle est bafouée dans ce pays par des régimes corrompus, largement soutenus par la France. Alors, pourquoi cette subite urgence « démocratique » ?
    De même, qui croira qu’il s’agit de « sécuriser la région » ? En réalité, il s’agit de sécuriser l’approvisionnement des centrales nucléaires françaises en uranium : ce dernier est en effet extrait dans les mines du nord du Niger, zone désertique seulement séparée du Mali par une ligne sur les cartes géographiques.
    A ce propos, on soulignera l’extrême perversité des ex-puissances coloniales qui ont jadis tracé des frontières absurdes, faisant fi de l’implantation des populations, et créant des pays aux contours bien curieux : le Niger et le Mali sont tous les deux en forme de sablier, une partie sud-ouest contenant la capitale, totalement excentrée et éloignée d’une immense partie nord-est, principalement désertique.
    C’est ainsi que, pendant 40 ans, Areva (auparavant la Cogéma) a pu s’accaparer en toute tranquillité l’uranium nigérien dans ces mines situées à 500 kilomètres de la capitale et du fragile « pouvoir » politique nigérien.
    Ces dernières années, des groupes armés se sont organisés dans cette région : des Touaregs, dépités d’être méprisés, déplacés, spoliés. Et des groupes plus ou moins islamistes, certains issus des anciens GIA qui ont semé la terreur en Algérie, d’autres contrôlés par Kadhafi, et autonomisés suite à la disparition de ce dernier. A SUIVRE

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  2. Sur rue89, un point de vue marxiste culturel suite…
    Des salariés d’Areva, cadres dans les sociétés d’extraction de l’uranium, ont été enlevés en septembre 2010 au Niger, transférés au Mali et retenus depuis. Puis, le 7 janvier 2011, deux jeunes français ont à leur tour été enlevés au Niger.(…)
    (…) De même, la France a maintenu depuis 40 ans le pouvoir du Niger dans un état de faiblesse et de dépendance par rapport à l’ancienne puissance coloniale et son entreprise d’extraction de l’uranium, la Cogéma devenue Areva. Alors que les dirigeants nigériens essaient tant bien que mal de contrôler ce que fait Areva, la France reprend totalement la main avec son intervention militaire.
    Les récents mouvements des groupes islamistes n’ont effectivement fait que précipiter l’intervention militaire française qui était en préparation. Il s’agit indéniablement un coup de force néocolonial, même si les formes ont été mises avec un opportun appel à l’aide du Président par intérim du Mali, dont la légitimité est nulle puisqu’il est en place suite à un coup d’Etat qui a eu lieu 22 mars 2012.
    Précisons à nouveau que nous n’accordons pas le moindre crédit aux dangereux fondamentalistes qui sont aussi des trafiquants de drogue et d’armes et n’hésitent pas à blesser et tuer.
    Par contre, nous refusons la fable de l’intervention militaire « pour la démocratie ». Ce prétexte a déjà beaucoup servi, en particulier lorsque les USA ont voulu mettre la main sur des réserves pétrolières, et le voilà encore de mise parce que la France veut assurer l’approvisionnement en uranium de ses réacteurs nucléaires. Notons d’ailleurs que, à 27 000 euros l’heure de vol d’un Rafale, le tarif réel du courant d’origine nucléaire est encore plus lourd que ce que l’on pouvait craindre...
    En conclusion, il est une nouvelle fois démontré que l’atome, et la raison d’Etat qui l’entoure, ne nuit pas seulement à l’environnement et aux êtres vivants mais aussi à la démocratie.
    Stéphane Lhomme | Directeur de l'Observatoire du nucléaire http://observ.nucleaire.free.fr/

    Stéphane Lhomme est un marxiste culturel type ; ancien « instituteur » et activiste de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), militant de l’association « Droit » au logement, il est président de l'association antinucléaire Tchernoblaye.

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  3. Sur rue89, un point de vue de Franc Mac du GO.
    François Hollande a pris une décision d’une extrême gravité, seul dans le palais de l’Elysée, sans avoir préalablement consulté le Parlement, comme la gauche s’y était pourtant engagée.
    Les raisons qu’il a données pour décréter l’intervention sont connues. Les groupes qui occupent le Nord-Mali sont des fascistes et des fanatiques, doublés de trafiquants, qui font subir à la population malienne des violences inacceptables. Ils doivent être chassés.(…)
    Mais la question n’est plus là. Elle n’est même plus celle des otages Français, passés par profits et pertes de cette intervention précipitée et isolée.
    La seule question qui vaille aujourd’hui est bien : quelle est la politique africaine de la gauche au pouvoir ? Va-t-elle poursuivre dans son rôle de gendarme de l’Afrique, comme nous le faisons depuis 150 ans ou créera-t-elle les conditions pour que les Africains prennent en main leur destin ? (…)
    Toutes les interventions militaires de ces dernières années (par exemple, en Afghanistan, en Irak et en Libye) se sont conclues par des succès militaires dans un premier temps, aussitôt suivis par des défaites politiques, et ce pour une simple raison : on ne remplace pas la volonté souveraine d’un peuple. Lorsque l’Etat est démantelé, il faut le reconstruire, lorsque l’unité d’un peuple est brisée, il faut la rétablir, lorsque l’armée est décomposée, il faut la rassembler, la former, lui redonner le moral.
    C’est cette décomposition de la nation malienne qui est advenue ces derniers mois. Et ce, en grande partie, à cause de l’intervention française en Libye. La politique de Nicolas Sarkozy a entraîné le retour de centaines de Touaregs surarmés, désœuvrés et prêts à se jeter dans une aventure avec les djihadistes.
    Parallèlement, la France n’a pas aidé le Mali à se défendre ; elle a abandonné le Président Amani Toumani Touré (ATT), tout seul dans la tempête qui se préparait. A deux mois de la fin de son mandat et de la transition politique, il ne pouvait même plus payer ses militaires qui se sont révoltés et ont entraîné l’effondrement de l’Etat malien.
    Oui, il faut en finir avec les groupes djihadistes, mais c’est au peuple malien de le faire, avec l’aide de la communauté internationale. La guerre par procuration va renforcer la dépendance à moyen terme et ne créera pas le sursaut moral nécessaire, même si, aujourd’hui, une très grande majorité des Maliens se sent soulagée et applaudit l’intervention française.
    Je ne suis pas un pacifiste bêlant ; je me suis prononcé pour l’interposition des troupes françaises en Côte d’Ivoire pendant dix années, afin de protéger les ivoiriens d’un nouveau Rwanda. Mais nous ne sommes pas dans ce contexte.(A SUIVRE)

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  4. Sur rue89, un point de vue de Franc Mac du GO. SUITE.
    Les quelques centaines de djihadistes étaient à des dizaines de kilomètres de Mopti, elle-même à des centaines de kilomètres de Bamako. Le président malien a appelé au secours son homologue français parce que, comme son Premier ministre quelques semaines auparavant, il était menacé pour son incurie par son propre peuple.
    Il ne faut pas se cacher la réalité, nous avons des intérêts stratégiques dans cette grande région du Mali : pétrole, uranium, ressources énormes en eau souterraine, terres cultivables…Tout cela est convoité par les multinationales françaises, qataries, américaines… Sans oublier la plate-forme aéroportuaire de Tassalit (près de Kidal), utile pour surveiller et contrôler toute la région du Sahel, la Méditerranée, la mer Rouge.
    Aujourd’hui, c’est tout le Sahel qui est déstabilisé, et pas seulement le Mali. Il ne faudrait pas que, dans une logique de dominos, après le Mali, précipité dans sa chute par l’intervention française en Libye, le Niger, le Burkina ou d’autres pays soient victimes de cette « cancérisation » de la région due au jeu trouble des grandes puissances et des groupes djihadistes.
    Mais maintenant que le vin est tiré, il faut le boire. C’est pourquoi, cette intervention doit être limitée, encadrée, que les buts de guerre soient clairement définis : veut-on repousser les groupes djihadistes ou réoccuper l’ensemble du Nord ?
    Il faut le dire clairement. Parce que, si la seconde solution est le vrai but de cette guerre, alors, ce ne seront pas deux semaines de conquêtes faciles, mais une guerre longue et coûteuse.(…)
    Je ne voudrais pas que, cette fois encore, faute d’avoir eu le débat public indispensable sur la guerre ou la paix, sur la vie ou la mort, on dise qu’à la Françafrique a succédé la Gauchafrique.
    Noël Mamère. Député de Gironde, Franc maçon du GO.

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  5. La droite l’avait promis ! L’ami Molette l’a fait !

    Après le Karcher ! La guerre !

    Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian a annoncé jeudi que 1.400 militaires français étaient désormais engagés dans les opérations contre les musulmans armés au Mali.
    Voir ICI.

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  6. Nouvelle de la France en guerre contre l’Islam.

    Les musulmans en guerre Somaliens ont annoncé jeudi avoir exécuté leur otage français l’espion de la DGSE marié et père de trois enfants qui opérait sous le nom de « Denis Allex », détenu depuis 2009 et donné pour mort par la France depuis un raid infructueux d’une cinquantaine de commandos français incapables visant à le libérer samedi dernier.

    Dans leur dernier communiqué publié mercredi, les guerrier musulmans expliquaient "Vu la persécution croissante par la France des musulmans à travers le monde, sa politique d'oppression de l'islam sur son sol (et) les opérations militaires françaises dans la guerre contre la charia en Afghanistan et plus récemment au Mali (...) les shebab(*) ont décidé à l'unanimité d'exécuter l'agent français de renseignement Denis Allex"

    Voir Ici.

    (*) Al-Shabbaab (en arabe : jeunesse), est un groupe somalien de combattants pour la doctrine de l’Islam issu de la fraction la plus dure de l'Union des tribunaux islamiques, qui militent pour l'instauration normal de la juste charia le chemin pour respecter la loi [de Dieu] comme dans tous les pays dominés par l’Islam.

    Certains « journaleux » utilisent le mot « Islamistes » pour qualifier ces groupes de bons musulmans. Voulant nous faire croire qu’il y aurait 2 Islam, un Islam modéré et un Islam guerrier ou politique qu’il qualifient d’Islamisme. Hors il n’y a qu’un seul Islam Voltaire utilisait déjà le mot Islamisme à la place de « mahométisme » pour signifier « religion des musulmans ».

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  7. Nouvelle de la France en guerre contre l’Islam.


    Des otages Français en Algérie ?

    Les assaillants seraient les jihadistes musulmans du groupuscule Al-Moulathamin, («les Enturbannés»), menée par l’Algérien Mokhtar Belmokhtar, alias « petite bitte », ou « le porc », ou le « chien galeux »,ou «Bellaouar», ou «Khaled Abou Abass», ou «le Borgne», ou «l’Insaisissable» ou «Mister Marlboro». Ils réclament l'arrêt de la guerre engagée par l'armée française au Mali.

    Dans un entretien publié en novembre sur le site mauritanien Alkhabar, Belmokhtar (Quel joli nom !) défendait l'application de l’islam dans toute sa plénitude (la charia) au Nord Mali et s'élevait contre toute offensive visant à s'y opposer : «Tout pays maintenant qui tenterait d’imposer le contraire ou interviendrait dans l’Azawad serait considéré comme un oppresseur, un agresseur qui s’attaquerait à un peuple musulman appliquant la Charia sur son territoire.»


    Mais c’est ou la guerre ? C’est par là mec !


    La Charia ? C’est Ici et maintenant !


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