jeudi 29 août 2013

Plainte pour mise en danger de la vie d’autrui. Les juges rouges doivent payer !




Vidéo: Un viol au nom d'Allah !

Encore un crime haineux et raciste. Le « jeune » musulman Sofiane a profité de son régime de semi-liberté accordé par des juges laxistes, pour agresser et violer deux femmes  en récitant le Coran ! 


Portable collé à l’oreille, Priscillia descend du train à La Garenne-Colombes. A 31 ans, Priscillia est responsable du marketing. Elle ba­varde avec Yannick, un collègue au téléphone, à 21 h 49, quand elle sort de la gare. Dans son ombre marche un « jeune » musulman.
Il ne faut que sept minutes à Pris­cillia pour rejoindre son domicile, à Colombes. Dans une ruelle déserte. Pas de gardien. Elle entre, passe devant le local des poubelles, gagne le hall sombre, s’approche des boîtes à lettres… C’est là que le « jeune » la saisit.
A 22 h 15, les policiers et les secou­ristes découvrent l’horreur : Priscillia agonise dans une mare de sang. L’homme s’est acharné contre elle pour tenter de la violer : il y a encore les empreintes ensanglantées de ses mains de bon musulman sur le pantalon de la jeune femme, entre ses cuisses et sur sa braguette. Priscillia, dans un état très critique, s’accroche, résiste à la mort… Les agents de police, pourtant habitués, sont frappés par l’extrême violence de l’agression. Ils suspectent d’abord une vengeance. Ils sont penchés sur ce corps inerte quand, à quelques rues, une jeune fille de 19 ans est agressée avec la même furie.


Deux viols au nom d'Allah !
Nous l’appellerons Elise, elle s’en­gage rue Jacqueline Auriol. C’est là que le « jeune » musulman délinquant multi récidiviste l’agrippe par-derrière. Une main saisit le visage de la jeune fille. L’autre, « une poigne grasse et moite », lui couvre la bouche. Et la jette au sol, entre deux véhicules. Il lui arrache son pan­talon, la viole. Deux fois. Puis, pour l’hu­milier encore, l’insulte, la menace avec son couteau en citant le Coran. C’est là ou le bât blesse en citant le Coran ! Vous savez ce « livre » de la RATP la célèbre « Religion » d’Amour de Tolérance et de Paix !  Des mots de barbares, des gestes inracontables. Dans un nouvel accès de fureur, il martèle son visage avec ses poings et ses genoux. Le sang qui coule ne l’arrête pas. C’est un barbare, un musulman. Les souffrances d’Elise durent cinq atroces minutes. Elle parvient à s’en­fuir en courant.
Elise va témoigner. Très vite, les enquêteurs font le lien avec l’agression de Priscillia. C’est le même sordide scéna­rio, le même calvaire. Les deux bilans médicaux relatent la même cruauté. A son arrivée à l’hôpital, Priscillia a été opérée pendant quatre heures : la moi­tié de sa boîte crânienne a été retirée par les neurochirurgiens, car son cer­veau congestionné a doublé de volume. Elle souffre aussi de multiples frac­tures au nez, à la mâchoire et au lobe temporal droit. Elle est dans le coma, dans un état très grave. Elise s’estime miraculée. Jusqu’au lundi 12 août, Elise aura « peur qu’il revienne ». Mais ce jour-là, à 7 h 15 du matin, les po­liciers interpellent le « jeune » Sofiane à Co­lombes, présumé innocent et certainement victime de la société. Un « jeune » musulman ordinaire, en apparence.

Arrêté une première fois en 2003, à 16 ans, pour vol à la roulotte. Puis les années suivantes pour outrages à agent, trafics de stupéfiants, vols, menaces à la personne, violences volontaires, etc. Il reste muet sur deux arrestations pour agressions sexuelles, en 2004 et 2009. En 2012, le jeune homme est incarcéré une fois encore à la prison de la Santé pour vol de véhicule, défaut de permis, refus d’obtempérer et ivresse.


En Suède aussi, violer une non voilée c'est permis  par l'Islam !
Ghislaine, la mère de Priscillia est à l’hôpital Beaujon, au chevet de sa fille, toujours entre la vie et la mort. « Quand les policiers se sont étonnés de ne pas voir ce garçon réinté­grer sa cellule, dit-elle, l’administration pénitentiaire leur a répondu que sou­vent les détenus en semi-liberté s’absen­taient quelques jours sans prévenir… C’est scandaleux ! » Elle reproche au procureur de la république d’avoir minimisé les faits en parlant d’« agressions ». Et crie : « Tout le monde se couvre, mais c’est leurs fautes humaines et administratives qui ont délivré ce loup (Hyène, chacal, vermine, ou même porc convient beaucoup mieux à ce sectateur de Mahomet) et lui ont donné le permis de tuer ma fille. Qu’on ne me parle pas de réinsertion, de prévention. On lui a donné toutes les chances, il ne les a jamais saisies. Il n’aurait jamais dû être dehors. Et ceux qui en sont respon­sables vont payer. (Vœux pieux !) » Cette femme va finir sur le « mur des cons ».




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2 commentaires:

  1. Bleu le ciel est bleu !29 août 2013 à 08:13

    La liste des faux problèmes qui cachent le seul vrai problème, celui de l’immigration maghrébine d’une bande de musulmans barbares et inassimilable, s’allonge :
    * Marignane c’est le problème des bureaux de tabac, reportage auprès de buralistes de plus en plus cambriolés.
    * Colombe c’est le problème de la récidive, interview de la mère de la victime qui s’étonne de la remise en liberté de l’agresseur.
    Témoignage, interviews micro trottoir, études, syndicats professionnels, marche blanche, tout est mis en place pour canaliser l’indignation et la colère ailleurs, vers de fausses cibles toutes différentes et rendant incompréhensible ce qui est en train de se passer.
    Ici, l’indignation très émouvante de la mère, nous fait tomber dans le panneau. Elle est scandalisée non pas qu’un type ait été importé du fin fond de l’Afrique, ait pu parasiter la société d’accueil ait pu assassiner par pure haine anti-blanc deux jeunes femmes, mais qu’ un juge Français ait pu libéré un récidiviste. Finalement qui est coupable ? Ce n’est pas l’immigration et ces horribles conséquences mais c’est encore la France à travers son système judiciaire.
    Rappelons-le s’il n’y avait pas le problème de l’immigration il n’y aurait avec la récidive qu’un problème marginal, n’intéressant que les professionnels de la justice.

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  2. Monsieur Vincent29 août 2013 à 08:14

    Si Ghislaine X, la mère de Priscillia X porte plainte pour ce motif, c’est qu’elle n’a toujours rien compris au fonctionnement de la justice française. Non seulement sa plainte aboutira à un échec, mais en plus elle se fera emmerder sans arrêt (contrôle fiscal, coupure d’électricité « par erreur », etc. etc. )

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