lundi 2 septembre 2013

Marseille ? C’est la guerre !



               
                   
                        Nouvelle discotheque a marseille
                   
Trois « jeunes » gangsters âgés d’une vingtaine d’années (Cliquez ici pour tout savoir sur ces "prétendus" "jeunes") ont été malheureusement seulement blessés par balles dimanche matin 1er Septembre 2013 dans le centre-ville de Marseille lors d’une fusillade à l’arme de guerre (vraisemblablement une kalachnikov) et au pistolet automatique 9 mm en sortant d'une discothèque (Voir vidéo)


Guerre des gangs ethniques à Marseille.
Deux ne sont blessés que légèrement et un troisième plus sérieusement, touché à la cuisse, au bras et l’épaule. Leur pronostic vital n’est malheureusement pas engagé.
Car ils seront soignés à vos frais messieurs dames, remis en circulation très rapidement selon la volonté de madame Mama Taubira et ils recommenceront ! Comme dab ! Vive la raie publique socialiste !


Marseille ? Pensez à nous; tirez tout doux !
C’est dans ce même quartier pourri de Marseille qu’un autre « jeune » de 18 ans, d’origine comorienne, très défavorablement connu des services de police pour plusieurs graves délits et vols sorti de prison récemment avait été heureusement mortellement poignardé le 18 août cours Jean Ballard, près du Vieux Port.

Allons z'enfants !
Notre cher sinistre de l’extérieur Manuel Gaz Valls, va t il encore une x fois nous faire part de sa « profonde tristesse », et appeler « l'ensemble des responsables publics à la retenue afin d'éviter les surenchères et polémiques déplacées », sur fond de campagne des élections municipales à Marseille et de guerre ethnique et des gangs.



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7 commentaires:

  1. A Marseille, si t'as pas ta kalachnikov à 20 ans c'est que tu as raté ta vie.

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  2. Pour Joris Karl, journaliste, Marseille est un exemple de ces zones où les Français disparaissent, et une nouvelle culture a pris la place. «Sauf à envisager une folle reconquête militaire, qu’y pouvons-nous ?»
    Marseille est autant une ville française que l’étaient les villes de l’Algérie d’avant 1962. Un déni de réalité. Bien sûr, la majorité arabo-africaine est encore officiellement sous la coupe de la République française, mais plus pour longtemps, ne rêvons pas.
    Le vieillissant Jean-Claude Gaudin ( tyrotinette) est probablement le dernier ou l’avant-dernier maire français de souche ; après, il faudra passer la main. C’est le vent de l’Histoire ! D’ailleurs, depuis quelques mois, les médias mettent fortement en avant Samia Ghali, maire actuel du huitième secteur.
    Candidate pour les municipales de 2014, elle a le bon profil pour diriger la phase de transition. Algérienne d’origine, socialiste, et visiblement imprégnée de culture républicaine, Samia Ghali sera le symbole parfait.
    En 2016 sera achevée la plus grande mosquée de France à Marseille (7.000 places). La construction a été lancée le 5 juillet dernier, jour anniversaire de l’indépendance algérienne. Tout un symbole.
    En attendant, continuellement à la une des faits divers, la deuxième ville de France, pourrie jusqu’à l’os par la corruption et les divers trafics, est devenue un véritable boulet pour la nation. Économique et humain. La bataille démographique est définitivement perdue. Plus de 50 % des jeunes de moins de 18 ans sont d’origine afro-maghrébine.
    Soyons lucides : Marseille est chaque année moins française. Il faut peut-être envisager le dégagement. Rapidement. Des accords pourraient être trouvés pour que la minorité européenne qui vit sur place puisse conserver la nationalité française si elle le désire, et tout du moins, qu’elle soit protégée à l’avenir.

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  3. Dans la nuit du 12 au 13 août dernier, vers 2 heures du matin, « un patient est sorti de sa chambre et a fait irruption dans les couloirs du service, un revolver à la main, raconte le Pr. Pascal Thomas, l’un des plus grands spécialistes français de la greffe pulmonaire. Il interdisait à quiconque d’entrer ou de sortir de l’unité, menaçant de buter le premier qui désobéirait ou qui donnerait l’alerte. »
    Le forcené, opéré d’une blessure par balle infligée quelques jours plus tôt dans un bar de Saint-Antoine, avait été sorti de réanimation et transféré au service de chirurgie thoracique. « Il était convaincu que ses agresseurs le cherchaient partout dans l’hôpital pour l’exécuter. Alors il s’est fait amener une arme par un ami à lui », poursuit le Pr. Thomas.
    Reparti libre, le preneur d’otages n’a été qu’exclu de l’hôpital
    Si les forces de l’ordre, rapidement sur place, sont parvenues à appréhender l’individu, son arme n’a elle pas été retrouvée. Quant au preneur d’otages, il est reparti libre et n’a été qu’exclu de l’hôpital. « Les soignants qui ont été victimes de l’agression n’ont pas porté plainte car ils ne voulaient pas donner leur identité par peur des représailles.

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  4. Une querelle entre deux hommes a dégénéré lundi 2 Septambre à Marseille pour une simple histoire de pression de pneus.

    Une banale querelle à la station essence a dégénéré en tirs à l'arme à feu lundi à Marseille. Un « homm »e a fait feu sur un autre à la suite d'un différend a priori bénin dans une station-service. Le pronostic vital de la personne touchée n'est pas engagé.

    Les deux « hommes » se seraient querellés en vérifiant la pression des pneus de leurs véhicules, l'un voulant prendre la place de l'autre, près de la cité Félix Pyat, proche du centre de Marseille. L'un des deux serait alors parti sur son scooter chercher une arme de poing, avec laquelle il aurait tiré sur le second, qui était en voiture, le blessant à la jambe avant de prendre la fuite.

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  5. Au lendemain de l'assassinat de son fils Adrien dans un 15e règlement de compte mortel depuis le début de l'année dans la cité phocéenne, le directeur sportif de l'OM José Anigo a livré ses premiers mots à L'Express.
    « La rue m'a aspiré mon fils », confiait en 2011 José Anigo au Journal Du Dimanche. Le directeur sportif de l'OM, , a parlé ce vendredi, dès le lendemain de l'assassinat de son fils Adrien à l'âge de 30 ans à Marseille :. « On » m'a pris mon fils (...) C'était mon fils et je l'aimais (...)", mais "quand je disais que cette ville mange les enfants, j'avais raison. Et ça s'est passé..." Adrien Anigo, fils du directeur sportif de l'OM José Anigo, a été tué par balles jeudi après-midi à Marseille dans un règlement de comptes (le 15e mortel depuis début 2013), le second de la journée dans la région après le meurtre d'un jeune homme à La Ciotat. Premier enfant d'une personnalité connue de la ville à être tué dans ces circonstances, Adrien Anigo se trouvait à bord d'une Twingo quand il a été pris pour cible, peu avant 16h, par deux individus circulant sur une moto de grosse cylindrée, qui l'ont mitraillé à bout portant. Il a été touché à la tête et à la carotide, et des étuis de calibre 11,43 mm et 9 mm ont été retrouvés sur place, selon une source proche de l'enquête.
    Condamné dans sa jeunesse pour des faits de vols et de conduite sans permis, il avait ensuite été écroué en mars 2007 pour sa participation présumée à plusieurs vols à main armée de bijouteries. Ce père de deux enfants, qui tenait une brasserie dans le centre ville, avait été remis en liberté début 2010 à la faveur d'une erreur de procédure et devait être renvoyé prochainement aux assises, selon son avocat. Finalement ça coûtera moins cher à la France.

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    1. Adrien Anigo a été condamné dans sa jeunesse pour des faits de vols et de conduite sans permis, Adrien Anigo, 30 ans, avait ensuite été écroué en mars 2007, aux côtés de trois autres comparses, pour sa participation présuméeà des vols à main armée de bijouteries. Il était soupçonné d'être impliqué dans douze braquages commis en 2006 et 2007 dans la région, pour un préjudice global estimé à 1,5 million d'euros. Un de ses complices, Alexandre Distanti, avait été tué par la police espagnole à Alicante en octobre 2011, alors qu'il tentait de prendre la fuite à l'issue d'un hold-up.

      Père de deux enfants, Anigo avait tenu par le passé un magasin de sport et gérait aujourd'hui une brasserie dans le centre de Marseille. A Marseille, le destin de la famille Anigo alimente la fascination à la fois pour le foot et pour ce que d'aucuns qualifient de milieu marseillais. Né en1961 dans les quartiers nord de la ville, José, crâne rasé et fort accent marseillais, est issu d'une famille de républicains espagnols en fuite devant Franco. Il a fait l'essentiel de sa carrière à Marseille d'abord en tant que joueur (1979-1987), puis comme entraîneur à deux reprises. Il s'installe ensuite au poste de directeur sportif en charge du recrutement. Il s'enorgueillit d'avoir fait venir des joueurs alors peu cotés et qui prirent leur essor à Marseille, comme Franck Ribéry converti à l'Islam et Mathieu Valbuena. L'ancien arrière gauche des années "minots", cette bande de jeunes qui sauvèrent l'OM au début des années 1980, n'a jamais vraiment coupé le cordon avec sa ville, "une ville qui mange ses enfants". Sa réputation est sulfureuse. On le dit proche de certains membres du milieu marseillais, des soupçons apparemment confirmés par des écoutes téléphoniques publiées au début de l'année par plusieurs médias. Anigo serait en particulier lié à Richard Deruda, un Marseillais fiché au grand banditisme qu'il a fréquenté à l'école, et dont le fils a été professionnel à l'OM, ne disputant cependant que quelques rares rencontres.

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  6. Un « homme », encore une chance pour la France, un « jeune » a été interpellé ce samedi à l'hôpital de Marseille après avoir proféré des menaces de mort sur le personnel infirmier.

    L'hôpital nord de Marseille a été l'objet d'un nouvel épisode de violence ce samedi 7 septembre 2013. Et ce, quelques jours après que n'éclate la polémique sur une agression armée passée sous silence pendant l'été. D'après la Provence, qui a révélé l'affaire, un « homme » sous l'emprise de l'alcool a menacé de mort le personnel infirmier de l'établissement ce samedi en fin de matinée.

    Il y a rapidement été interpellé grâce au « dispositif de sécurité ayant été mis en place depuis l'agression du 13 août », indique encore le journal. L' « homme », âgé d'une trentaine d'années, a été arrêté et placé en garde à vue. L'individu ou le jeune homme, avait déjà eu affaire à la police pour de multiples affaires de vols avec violences. Une plainte devrait être déposée dans la journée.

    Dans la nuit du 12 au 13 août, le personnel des urgences de nuit a été brièvement menacé par un patient qui venait d'être opéré pour une blessure par balle. Celui-ci craignait d'être victime de représailles de ses agresseurs au sein de l'hôpital. La police est intervenue mais n'a pas trouvé d'arme et aucune plainte n'a été déposée par peur de représaïlles.

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