vendredi 21 avril 2017

Marine Le Pen élue au premier tour.



Les sondages placent Marine Le Pen en tête de l’élection présidentielle. Elle est la seule candidate dont la présence est donnée comme certaine au second tour.
Le Front National est aux portes du pouvoir.
Il y a de nombreuses personnes en France qui commencent à se faire pipi dessus !
Alors, toutes les saloperies, les flagorneries émises par de vaniteux trous du cul se prenant pour des intellos et autres «V.I.P. du showbiz et des médias» marxistes cultuels abrutiles, envers ce parti, ses électeurs et sympathisants, oubliant que leur statut est avant tout celui de saltimbanques, destinés uniquement à nous distraire et non à nous donner leur avis sur les personnalités politiques, avis qui ne regarde qu’eux et dont on se fout totalement, m’irritent au plus haut point !
J’en ai plus que marre que ces bouffons crachent dans la soupe, en faisant comme s’il n’y avait que des gens «bien sous tous rapports» parmi leurs «admirateurs», ceux qui achètent leurs bouquins, places de cinéma, théâtre, concert, ou leurs CD et DVD, et se bouchent le nez lorsqu’il est question du Front National !
Alors, une bonne fois pour toutes, que certains «intellocrates» abrutiles «zartistes» «merdiateurs et merdiatrices» cessent de nous emmerder avec leurs petites réflexions à deux balles ; non seulement on ne les a pas sonnés, mais en se comportant ainsi avec autant de mépris envers des citoyens qu’ils ne connaissent pas, ils prouvent que leur pseudo humanisme n’est que de la poudre aux yeux.
Surtout ceux qui régulièrement nous promettent de quitter la France si le FN arrive au pouvoir… alors qu’ils vivent déjà ailleurs (peut-être pour échapper au fisc jugé trop gourmand ici), mais reviennent régulièrement y faire leur promo … tel, Yannick Noah qui, en 2014, se disait «insulté» par le score du FN aux élections européennes ; heureusement, Julien Rochedy l’a remis à sa place de bobo vaniteux et stupide par deux-trois images bien senties !
Au moins, certains, lorsqu’ils se lâchent devant les médias pour parler politique, ont la délicatesse d’arroser large, de manière à en faire bénéficier tout le monde ; c’est le cas du chanteur Eddy Mitchell qui dans une interview du JDD avait taclé Hollande, le PS, Sarkozy, la Légion d’honneur …concluant par un réjouissant : «si Hollande et Valls sont de gauche, moi, je suis curé» ! Réjouissant, j’vous dis ! A noter au passage que ce chanteur qui figurait à l’origine dans la troupe des « Enfoirés » n’y est plus présent depuis longtemps, ainsi d’ailleurs que beaucoup d’autres… Tiens donc, pour quelle raison ?
Il y a bien une autre troupe d’enfoirés qui comme les psychanalystes Christiane Alberti, Carole Dewambrechies-La Sagna et Jacques-Alain Miller, rejoints par Bernard-Henri Lévy et la revue marxiste culturelle La Règle du jeu, avaient pris l’initiative de convoquer, à cinq jours du premier tour de l’élection présidentielle, un très démocratique tolérant et progressiste «Forum anti-Le Pen» le 18 avril à la Mutualité. Des «personnalités» politiques, des idiots utiles dit  intellectuels et des non moins imbéciles au sens psychiatrique de terme se disant artistes avaient été invités à prendre la parole pendant dix minutes chacun, en solo, de 19h à une heure du matin non-stop. Il s’agissait de contester la dédiabolisation du FN et d’appeler à voter en tous les cas contre Marine Le Pen aux deux tours de la présidentielle. (J’adore ces «démocrates» qui votent «contre» plutôt rouge que français ! Quelle honte !)

Le Forum du 18 avril à la Mutualité comme celui qui lui succédera le 28 avril à la Maison de la chimie avait décidé de s’inscrire dans une Série de Conversations démocratiques Anti-Le Pen (sans rire) lancé par l’Ecole marxiste culturelle de la Cause Freudienne, association psychanalytique déclarée d’utilité publique. (Le linguiste et philosophe américain Noam Chomsky, qui a connu Lacan dans les années 1970, a confié qu'il le considérait comme un «charlatan conscient de l'être qui se jouait du milieu intellectuel parisien pour voir jusqu'à quel point il pouvait produire de l'absurdité tout en continuant à être pris au sérieux». Tiens, Chomsky a bien résumé ce que je pense de Lévy et des autres comme Yann Moix par exemple. Les choses se sont accélérées depuis les années 2000. En 2004, c’est «l’amendement Acoyer» qui met le feu à la psychosphère crétiniste marxiste culturelle (Notez que le Freudo marxisme qui existe, a le même sens que le marxisme culturel dit aussi politiquement correct ; il y eut bien un courant intellectuel désigné sous le nom de freudo-marxisme dont les principaux représentants ont été les psychanalystes de la gauche freudienne : d'Otto Fenichel à Wilhelm Reich, ainsi qu'Erich Fromm et Herbert Marcuse. Mais c'est en France, que s'effectua avec le plus de richesse la jonction entre l'idéal communiste et l'idée d'une subversion freudienne, avec le mouvement surréaliste et le double projet de révolution du langage et de la réalité qui deviendra le marxisme culturel ou il s’assimilera avec succès). Les psychanalystes font un intense lobbying pour préserver leurs privilèges de pseudos thérapeutes sans diplômes n’ayant jamais guéri personne. Puis, après «Le livre noir de la psychanalyse –Vivre, penser et aller mieux sans Freud», ouvrage collectif de 830 pages publié en 2005 sous la direction de Catherine Meyer avec le philosophe Mickel Borch-Jacobsen, qui provoqua l’ire de la «papesse» (le marxisme culturel et le Freudo-marxisme sont bien des religions séculières) de la psychanalyse parisienne, Elisabeth Roudinesco, c’est Michel Onfray qui écrit en 2010, le très remarquable «Le crépuscule d‘une idole – L’affabulation freudienne», recherchant, en 612 pages, les contradictions foncières, les biais méthodologiques, les impostures intellectuelles et les mensonges à l’origine d’une pensée viciée dès sa fondation. La pratique de la psychanalyse est extrêmement controversée. Elle est marginale sauf en France et en Argentine. Le succès du cas fondateur Anna O. est un mensonge selon Freud (rapporté par Jung) et Jones. La correspondance de Freud révèle qu'en fait les traitements étaient deséchecs.                                                                                         Selon Lacan en 1977 elle est «une escroquerie», puis en 1978 «un délire», «pas une science», une pratique ne montrant «pas de progrès». De nombreuses affirmations de Bettelheim sont des «impostures» avérées. De graves incohérences sont reprochées à la psychanalyse: En 1922, Freud écrit qu'elle est un «traitement médical» mais qu'il «se passe d'une façon tout à fait contraire aux autres branches de la médecine (...) [et] qu'il ne peut rien promettre», ce qui est incompatible. Ces contradictions sont réaffirmées en 2011 dans un film censuré à propos de l'autisme: il faut fondamentalement «abdiquer à l'idée d'une progression», l'analyste doit pouvoir vivre avec le conflit (qui est le «fondement même de la pratique analytique») entre absence totale de résultats, tout en étant «payé pour donner du soin». Ces contradictions perdurent en 2012 : pour certains auteurs, la psychanalyse est «un mythe», «un substitut de religion», une «pseudoscience», une «bizarre charlatanerie d'autrefois», « peu efficace et qui peut même aggraver l'état d'un patient»).

Un pacifique combat progressiste et marxiste culturel sera poursuivi par les charlatans, les menteurs, les imposteurs marxistes culturels au-delà de l’élection présidentielle et des élections législatives. En effet, Jacques-Alain Miller gendre de Jacques Lacan a décidé de lancer le réseau «L’Instant-de-voir», dont la vocation est de pérenniser et de développer les alliances marxistes culturelles passées lors des Forums. «L’Instant-de-voir» se présente comme la «réplique républicaine» à la montée en puissance du groupe ultramontain «Sens Commun».

Il y en a un le sieur Bernard Henry Levy qui lui a carrément chopé une tourista marinistique et c’est avec une véritable diarrhée verbale et le trouillomètre à zéro qu’il déclarera ce soir-là que les haruspices ont décrété une fois pour toutes, depuis le début de la campagne présidentielle, que Marine Le Pen, quel que soit le cas de figure, serait forcément au second tour. (…) Et cela arrange sacrément la Bande des Quatre. Qu’ils se nomment Mélenchon, Hamon, Fillon, ou Macron, tous battent sans coup férir Marine Le Pen au second tour, par l’alliance forcée, ainsi qu’en 2002, de tout ou partie des fameux républicains de droite et de gauche ensemble (faire du communiste Mélenchon un républicain, c’est pousser le bouchon un peu loin). Avec elle, le second tour, c’est du gâteau, l’Elysée sur un plateau sans lever le petit doigt ! (…) Faute de Marine Le Pen au second tour, il serait infiniment plus ardu pour Mélenchon de battre en duel un Fillon ou un Macron, de même que pour ceux-ci de l’emporter sur l’autre en cas de match entre eux. Finie l’élection de confort, Marine Le Pen au second tour = la victoire assurée pour l’autre vainqueur du premier tour, quel qu’il soit. «Merci Marine, garde bien ma place au chaud, et que personne d’autre que toi me la prenne. J’arrive, ma Cocotte, j’arrive». Et c’est déjà, à gauche comme à droite, un concert général, une foire d’empoigne, aux cris de : «C’est moi qui serai le meilleur pour battre la méchante, la détestable au second tour». «Mais non, c’est moi.» «Pas du tout, c’est moi !» A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire, écrivait Corneille. Pas un de ses quatre rivaux ne dit, relevant le défi, sauvant l’honneur : «Battons-la, nous candidats républicains, au premier tour». Trop risqué, bien sûr (là monsieur Levy prend ces désirs pour des réalités).

Mais quel affront (National ?) pour la France, a répété Lévy, quel bas calcul !, en conclusion d’une soirée passionnante, revigorante, où se sont succédé à la tribune jusqu’à 2 H. du matin Jean-Claude Milner, Régis Jauffret, Mohamed Sifaoui, Yann Moix, Dominique Sopo, Caroline Fourest, Monique Canto-Sperber et bien d’autres.
L’ensemble de cette nomenklatura politiquement correcte et marxiste culturelle part du postulat que madame Le Pen a fait le plein à 90 % de ses électeurs (les plus convaincus idéologiquement). Le tiers du corps électoral, cette masse énorme d’indécis à quelques jours du scrutin, se disputerait encore entre les autres candidats. Ce vivier se partagera entre eux. Pour eux madame Le Pen n’en profitera pas ce qui est moins que sûr et certain.
Monsieur Levy ou ses complices pensent que madame Le Pen d’avoir parlé de la rafle du Vel d’Hiv, où «la France n’était pour rien» ne lui aurait pas réussi et que quand elle voudrait faire croire faire du de Gaulle, la dame fait du Pétain. Mais non messieurs dames il n'y a pas que la déclaration de Marine. Dans un communiqué, elle a affirmé que Vichy fut un régime collaborateur et illégal, que la légitimité était à Londres avec le général De Gaulle. C'est une rupture complète avec l'histoire antérieure du Front national. Marine Le Pen réussit la performance d'être, d'une part dans le refus de la repentance qui fait plaisir à une partie de ses militants et de son électorat. Et d'autre part, elle arrive à se livrer à une véritable captation de l'héritage gaulliste, en allant non pas dans la surenchère, mais dans la rupture totale avec ce que disait son père.
Suivent de pauvres arguments comme une soi-disant mauvaise campagne, le parfum de violence autour de ses meetings ratés (climat de violence entretenu par les petits copains de Levy et autres lobotomisés gauchistes et teigneux). Le personnage a vieilli. Le corps est aujourd’hui l’enveloppe d’une bateleuse de plateau fatiguée (Il est vrai que madame Le Pen n’est pas trafiquée ni n’a la peau du cul tirée comme une femme moche de philosophe de pacotille de 59 ans, qui quand elle ferme les paupières ça lui ouvre le trou du cul !).
Puis là, c’est le grand rêve éveillé : Bref, la partie est gagnable. MLP peut être troisième, si tous les candidats, si la Bande des Quatre agit en ce sens, appelle en ce sens, proclame solennellement préférer un duel au second tour entre Républicains qu’un mano à mano dégradant avec la Blonde au sourire entre les dents et une victoire à bon compte.

Ben non m’sieur Levy, ils sont quand même pas si cons la bande des 4 .ons et puis Marine elle va gagner au second tour si ce n’est au premier.



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Michel Alain Labet de Bornay.
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1 commentaire:

  1. Comme Charles de Gaulle, François Mitterrand, ou encore de nos jours Henri Guaino, Jean-Pierre Chevènement, ou Nicolas Dupont-Aignan, je considère que la France et la République étaient à Londres pendant l’occupation, et que le régime de Vichy n’était pas la France. C’est une position qui a toujours été défendue par le chef de l’Etat, avant que Jacques Chirac et surtout François Hollande, à tort, ne reviennent dessus.
    Cette position fait suite à l’ordonnance du 9 août 1944 qui a frappé d’inexistence juridique le régime de Vichy, régime collaborateur et illégal.
    Elle n’exonère en rien la responsabilité effective et personnelle des Français qui ont participé à l’ignoble rafle du Vel d’Hiv et à toutes les atrocités commises pendant cette période.
    L’instrumentalisation politique à laquelle se livrent aujourd’hui quelques personnalités politiques est indigne. En particulier celle des prétendus gaullistes qui salissent ainsi la mémoire et l’oeuvre du Général de Gaulle.

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