L’affaire Lahcene Benalhia dit Alexandre Benalla, acte
deux.
L’affaire Lahcene Benalhia devient le Benallagate !
Jean-Patrick
Grumberg le 22 juillet 2018 sur Dreuz.info écrit : «Son vrai nom serait Lahcene Benahlia. Pas surprenant, les
musulmans ne s’appellent pas souvent Alexandre, mais son nom de famille,
pourquoi le changer ? Ce
semi-voyou est un exécutant, pas un décisionnaire. Qu’il s’appelle Lahcene
Benahlia ou j’assène des bègnes ou Alexandre parce que Vladimir a été confisqué
par les médias, who cares ? Il recevait des ordres et les exécutait et il ne
devait pas se faire prendre. Hélas pour la machine Macron, il a été repéré en
train de tabasser des manifestants, et toutes les magouilles du chef de l’Etat
lui ont pété à la tête. Benalla sera sacrifié, il est le bouc-émissaire qui
permet de protéger les vrais responsables, les gros bonnets corrompus parce que
les Français laissent faire : ils s’appuient trop sur l’Etat providence, et
n’aiment pas se révolter contre leur Etat maman. (De plus les «médias» la presse merdiatocrasseuse et
ces journalopettes pourries sont en train de rétropédaler à donf) Benalla sera jeté en pâture au peuple et les
hauts-fonctionnaires eux, resteront en place, et continueront avec d’autres
barbouzes le flicage de la société : c’est la France exemplaire de la classe
politique, exemplairement corrompue comme à l’époque des barbouzes de De Gaulle
et de la 4e République. Benalla s’est vu refuser un port d’armes en 2013 par le
ministère de l’Intérieur. Sa demande de port d’armes avait été formulée
par l’avocat Karim Achoui, fondateur de la ligue de défense judiciaire des musulmans,
une belle brochette d’islamistes déguisés. La demande a été
refusée. Jusqu’à l’intervention de l’Élysée… Rien ne change, seuls les
pigeons changent de génération».
Le 25 juillet 2018, madame Justine Faure de LCI nous
raconte sa petite histoire: Devant
les députés de la majorité réunis à la Maison de l’Amérique latine mardi soir,
le président de la République Emmanuel Macron s’est exprimé pour la première
fois sur l’«affaire Benalla». Il a notamment précisé aux parlementaires comment
et pourquoi il avait embauché Alexandre Benalla à l’Elysée il y a un peu plus
d’un an. (Ni madame Faure, ni le président n’ont donné le vrai nom de
Benalla : Lahcene Benalhia ; Un démenti à ce propos circule dans les
merdias stipendiés et marxistes culturels: «Depuis
quelques jours, une rumeur présente le patronyme d’Alexandre Benalla comme la
fausse identité de celui qui se nommerait en réalité Lahcene Benalhia. L’intox
( ?), serait née sur un site
«d’extrême droite» (dont on ignore le nom, par contre certains sites de droite
patriotique, visiblement prudents vis-à-vis de l’affirmation Alexandre
Benalla/Lahcene Benahlia, ont ainsi uniquement repris les informations du
Parisien – à l’instar de Fdesouche, qui titre avec le conditionnel de rigueur :
«Alexandre Benalla : originaire du Maroc,
il aurait modifié son prénom pour le franciser»), prend de l’ampleur depuis qu’elle se mêle à une «théorie complotiste» (Relayée
par monsieur le journaliste bien connu Jean Claude Bourret lui-même ancien conseiller
du Directeur général de la Gendarmerie nationale) qui le présente comme un agent secret marocain.(Voir ici une très bonne vidéo de
Jean Claude Bourret qui dénonce l’AFP allah botte du pouvoir). Une source proche de l’Elysée (dont on ignore
le nom ?) confirme à 20 Minutes
qu’Alexandre Benalla n’a pas d’autre identité… et s’appelle bien Alexandre
Benalla (Seulement celui qui se faisait appeler «Alex» dans l’intimité de la Macronie se faisait appeler «Ben» dans sa jeunesse pourquoi pas
«Alex» comme aujourd’hui ?) Selon les informations recueillies par LCI,
il (Notre cher leader et très grand président Macron) a ensuite poursuivi et expliqué que les compétences acquises par
Alexandre Benalla pendant la campagne présidentielle l'avaient convaincu de
l'embaucher à l'Elysée. "La campagne terminée, il s’est agi de constituer
des équipes à l’Elysée. Ces équipes elles ont été constituées de gens qui
connaissent l’Etat (…) et de gens engagés dans la campagne, comme il est bon
que ce soit le cas. Il est bon d’arriver à cet amalgame de personnalités».
Alexandre Benalla «a été embauché de manière conforme au droit, avec les
enquêtes menées par les services de l’Etat, dans un cadre rappelé par le préfet
Strzoda» (notamment la DGSI véritable
abomination marxiste un vrai KGB (Komitet Gossoudarstvennoï Bezopasnosti, le
Comité pour la Sécurité de l’État) ou que la même chose en couleur la «Gestapo» de la pensée unique (Gestapo =
Geheime Staatspolizei signifiant «Police
secrète d'État» voir en cliquant
ici), a ajouté le chef de l'Etat. Le
président de la République a ensuite semblé satisfait du travail effectué par Alexandre
Benalla à l'Elysée : «Il a beaucoup fait dans ce cadre-là et il a aussi gagné
la confiance de ses interlocuteurs à l’extérieur de l’Elysée». Emmanuel Macron
a toutefois exprimé sa déception suite aux événements survenus place de la
Contrescarpe : «Ce qu’il s’est passé le 1er mai (…) est grave, sérieux et a été
pour moi une déception, une trahison. Ce collaborateur, parce qu’il avait la
confiance d’autres gens, s’est rendu sur ce lieu de manifestation et d’une
manière évidente est sorti du cadre d’observateur».
En revanche, si
le chef de l'Etat a tenu à démentir qu'Alexandre Benalla avait bénéficié d'une
rémunération de 10.000 euros (seulement 9900
hors frais) ou d'un logement de 300m2 à
l'Alma (Il n’y était effectivement pas encore entré et il ne faisait que…80
m2), il n'a pas listé les avantages dont
bénéficiait son «officier de sécurité». Il n'a pas non plus précisé s'il avait
vraiment été rétrogradé et déchargé de la participation à l’organisation des
déplacements officiels du président de la République, comme le prévoyait sa
sanction. Emmanuel Macron a parlé, certes, mais n'a pas répondu à toutes les
questions que pose encore cette affaire.
Madame Justine Faure de LCI dans sa petite histoire fait
bien sur l’impasse sur les démentis que monsieur le coprince d’Andorre, chanoine
honoraire de l'église Catholique, apostolique et romaine de Saint-Jean de
Latran et accessoirement cher leader et grand président de la république de
Francarabia au Boukaquistan précisant avec soi-disant «humour»: «Alexandre Benalla n'a jamais détenu les codes nucléaires,
Alexandre Benalla n'a jamais occupé un appartement de 300 m2, Alexandre Benalla
n'a jamais eu un salaire de 10.000 euros, Alexandre Benalla n'est pas mon
amant».
Cette petite phrase de fin scandalisera avec juste
raison monsieur Jean-Claude
Bourret qui écrira sur Fesse de Bouc : «Une phrase incroyable du Président de la République Française :
«Benalla n'était pas mon amant !»
Cette phrase, impensable dans la bouche de tous les chefs d'Etat dignes de
ce nom, indique bien l'état de décomposition de notre démocratie. A travers les
centaines de révélations et de démentis se dessine une République, bien pire
que celle des copains et des coquins sous ses prédécesseurs... J'imagine bien
le général de Gaulle, ou le Président Pompidou, dire, lors d'une conférence
publique «monsieur X n'est pas mon amant…!»
Macron est intelligent mais c’est un abominable filou. On se fiche éperdument qu’il soit ou pas homosexuel et s’il avait avoué une possible homosexualité, nul doute qu’il aurait été élu tout de même. Les Français ne sont ni racistes ni homophobes. Par contre, jouer le rôle du couple hétéro parfait avec mémé Trogneux 64 balais donc de 24 ans son ainée alors qu’il serait homo, ça ce n’est pas honnête, c’est peu de le dire, et les Français n’aiment pas du tout qu’on les prenne pour des cons.
Or, son dernier coup de gueule est très révélateur…
On laissera de côté le fait qu’un Président de la
République digne de ce nom ne beugle pas «un
tel n’est pas mon amant», «une telle n’est pas ma maîtresse», qui en dit long
sur la vulgarité et la médiocrité du personnage pour s’attacher à cette phrase
curieuse : «Benalla n’est pas mon amant».
La logique, dans la situation où il est, c’est de dire «je ne suis pas homosexuel, désolé, donc je n’ai pas d’amant, ni
Benalla ni qui que ce soit..». Or il s’en garde bien. Et il avait déjà fait
la même chose quand des rumeurs couraient sur une possible liaison entre lui et
Mathieu Gallet. Macron se garde bien de tout déni d’homosexualité, se réservant
ainsi le droit de dire… qu’il n’aura pas menti si un jour le pot aux roses
était découvert.
Il joue ainsi gagnant-gagnant comme disait sa grande
copine Ségolène…
Étonnant non !… comme aurait dit notre regretté Pierre
Desproges…
Boulevard Voltaire avec humour nous vend la
mèche : «Allez, Médiapart l’a tenté
: l’affaire Benalla, c’est… du racisme !
Il manquait, à
cette affaire Benalla, la niaiserie de la vision antiraciste au flot de
commentaires qui ont envahi la sphère médiatique. Médiapart (le site d’ultra gauche marxiste culturel Francaoui) vient combler cette lacune en ouvrant ses colonnes au développement de
l’argument que personne n’avait encore osé avancer : le racisme. «Benalla a
tous ces ennuis parce qu’il a un nom
marocain». Amis demeurés, bienvenue chez Edwy Plenel.
Dans un style
qui n’est pas sans rappeler la maladresse d’un devoir de 3e, l’auteur aligne
tous les poncifs trouvés ici et là dans le grenier d’Harlem Désir (Ou du MRAP qui distille de la haine des juifs). «Ah, s’il s’était agi d’un Blanc qui tape sur un Arabe, on n’aurait pas
fait toute cette histoire, ma pauvre dame». La dimension politique de l’affaire, l’acte d’un proche de Macron, la
promotion éclair et injustifiée du personnage sont autant d’éléments passés
allègrement à la trappe au profit de la bonne vieille rengaine victimaire chère
au gauchiste fort dépourvu quand la réalité fut venue. Air connu, comptine de
cour de récréation chantée également par Anne Hidalgo qui se pense critiquée
parce qu’elle est une fââââmme. Mais
revenons à ce pauvre article de Médiapart écrit par un certain Rachid Barbouch,
ici moqué en raison de la consonance maghrébine de son patronyme. Est-il besoin
de le préciser ?
Une manie
épouvantable confirmée par l’intéressé : «Le patronyme Benalla, très fréquent
au Maroc, ne m’est pas étranger, un nom à dormir dehors ou en prison», précise
le chroniqueur, qui connaît ses classiques. Les prisons sont pleines de détenus
qui ont été condamnés en raison de leur nom de famille. Une évidence
heureusement dénoncée par Rachid, l’un des rares rescapés de ces rafles
odieuses. Caché dans le grenier d’Harlem Désir, il a pu échapper, jusqu’à
présent, à ces arrestations massives, mais pour combien de temps encore ?
Ce «Jean Moulin»
du cliché d’occasion est un perfectionniste. Aucun lieu commun, aucune ironie
pour punk à chien ne doit être oubliée. Après raclage en profondeur d’un vieux
fond de tiroir de Julien Dray, il sasse et ressasse son interprétation borgne
de l’événement : «C’aurait été un Blanc qui tabasse un autre Blanc, ou Blanc
qui tape un Arabe, ou un Arabe qui tabasse un autre Arabe (Notez bien que pour nombre de gros cons marxistes culturels les «zarabes» ne sont pas des blancs !), un Black qui tabasse un autre Black, ça passerait
nickel chrome». L’énumération omet le
black qui aurait tabassé un Arabe et inversement. Le Blanc qui frappe un Black
est également oublié. Et l’Asiatique qui tabasse un Arabe ? Hein ? Et un Black
qui noie un berger allemand ? Dans un prochain numéro de Médiapart, la liste
complète des cas qui n’auraient pas attiré l’attention sera publiée. Numéro à
retirer au bureau de poste le plus proche. Prévoir Caddie® à roulettes pour le
transporter jusqu’à son domicile. Les pages jaunes de l’antiracisme ont trouvé
leur inventeur.
Le rédacteur de
ce texte réussit – et c’est là son fait d’armes – à voir du racisme dans les
agissements violents d’un homme d’origine marocaine promu lieutenant-colonel de
réserve, grand manitou de la garde rapprochée du président de la République,
presque nommé sous-préfet, canonisé de son vivant par saint Macron. La
performance mérite applaudissements. Aujourd’hui, il faut le dire, Emmanuel
Macron tient le remplaçant d’Alexandre Benalla. En la personne de ce
chroniqueur il trouvera toute l’honnêteté intellectuelle et la rigueur que
requiert ce poste.
Et pour finir la
meilleure conclusion ce serait la parodie de Boulevard Voltaire : «entendre hurler d’indignation de circonstance
de vieux briscards, ripoublicains blanchis sous le harnois, champions
incontestés de la trahison, de la compromission, de la concussion et du
clientélisme relève du comique de boulevard. Il y a longtemps que «Boîte à
Flatter Macron TV» ne nous avait pas donné de telles occasions de nous fendre
la pipe (aïe, politiquement incorrect !), à écouter dégoiser leurs
pédantes jactances de doctes «spécialistes» «mainstream», auto ou
médiatiquement proclamés, pour nous expliquer que, non, ce n’est pas bien, pas
républicain et que ça risque de déplumer le boa de Brigitte !Pendant que l’on discute à l’infini des turpitudes barbouzardes du régime macronien, les nuages noirs de la politique mondiale et nationale qui s’amoncellent sur nos têtes sont négligemment balayées. Les mauvais coups assenés par la Macronie spoliatrice au peuple français, l’immigration invasive galopante, les impôts massifs prélevés à la source, le 80 km/h, les atteintes réitérées aux libertés, tout cela est occulté par l’affaire Benalla et se perdra bientôt dans le sable des plages aoûtiennes comme les gouttes d’une serviette de bain qu’on essore. Comme disent nos voisins Italiens : «E la nave va», traduction transalpine de «Et vogue la galère»… de la raie publique !
De toute façon le pouvoir se fout de
votre gueule.
Par exemple et en gros, Benalla a été sanctionné par
l'Élysée (rétrogradé et suspension de salaire) mais il a continué à être appelé
sur des manifestations comme la panthéonisation de Veil ou le retour des Bleus,
et sa retenue de salaire n'a encore jamais eu lieu (Impossible pour l'Elysée de
fournir la preuve qu'Alexandre Benalla a été sanctionné d'une retenue sur
salaire lors de sa mise à pied de 15 jours à la suite des événements du 1er
mai. Et pour cause : auditionné le mercredi 25 juillet devant la commission
d'enquête du Sénat, le directeur de cabinet d'Emmanuel Macron, Patrick Strzoda,
a avoué que celle-ci… n'avait pas eu lieu. Interrogé par la sénatrice Esther
Benbassa (EELV) sur la possibilité de fournir un document à l'appui des
affirmations de l'Elysée concernant la sanction - "mise à pied sans traitement" -, Patrick Strzoda a en
effet répondu : «Monsieur Benalla a
touché pour le mois de mai son salaire intégral». Heureusement qu'on nous a
dit que c'était la sanction la plus sévère jamais prise par l'Élysée !!! Et on
rit jaune d'entendre Macron dire qu'il s'est senti «trahi» quand on voit les clichés qui rassemblent Benalla et Macron
après le 1er Mai !
Ce montage est ridicule ! Il ne montre pas
l'essentiel. Strzoda avait affirmé la veille et sous serment devant l'AN que
Benalla avait été suspendu 15 jours avec retenu de salaire, pour rétropédaler
le lendemain au Sénat et affirmer que son salaire lui avait été versé intégralement,
et qu'il lui serait retiré après son licenciement sous forme de droits à congé
non payés ! C'est dire que 3 mois après les faits, Benalla n'a pas été
sanctionné (il a été mis en congé payé 2 semaines !) et que s'il n'avait pas
été licencié (grâce à l'éclatement de l'affaire), il n'aurait probablement
jamais été pénalisé !!!!! Strzoda devrait être poursuivi pour parjure ! Et vous
devriez avoir honte dans le merdiatosphère de votre pseudo travail de
journalistes !!! (Second rétropédalage après celui d'Alain Gibelin sur la
présence de Benalla à des réunions de sécurité après le 1er mai)
Dans le
première partie de cet article j'écrivais: Dernières nouvelles : Alexandre
Benalla Lahcene Benalhia était réputé proche des réseaux franc-maçonniques,
à l’instar de notre faux frère Gérard
Collomb. Le site Explicite révèle
ainsi que celui qui se fait appeler Alexandre Benalla était membre du Grand
Orient de France, la plus ancienne obédience maçonnique irrégulière et d’ultra
gauche de France et la plus importante d'Europe continentale. Traditionnellement
ancré à l’extrême gauche, héritier de combats anticléricaux (elle n’initie pas
de musulmans), le GO est la principale obédience française et la plus «engagée» dans le camp d’ultra gauche
dit «progressiste». Elle affiche des
positions marquées en faveur de sans éclater de rire SVPl'égalité, des droits
sociaux, de la liberté de penser à gauche et de la laïcité. La plupart de ses
Grands Maîtres successifs ont été membres du PS ou dans sa mouvance. Elle
interdit très démocratiquement à ses membres d'appartenir au Front national. Je
précisais bien dans mon article que le GODF publiait un le communiqué de
démenti le 23 juillet: «Démenti sur une
pseudo-appartenance. Plusieurs pseudo-informations diffusées et relayées par
des sites complotistes assurent depuis quelques jours que M. Benalla serait
membre du Grand Orient de France.
Un démenti formel peut
être apporté. Il n’est pas membre de notre Obédience et ne l’a jamais été».
Nonobstant sur sa page Fesse de Bouc monsieur Jean Claude Bourret nous
précise : «Benalla est bien Franc
Maçon... Mais pas au Grand Orient - qui avait d'ailleurs été démenti, ce qui
est rarissime pour une obédience, mais qui indique bien le côté très sulfureux
de l'affaire…- ...non, M. Benalla est Franc Maçon au sein de la GLNF, ou il a
été initié il y a un an (il est donc apprenti) ... Mais , conformément à la
procédure habituelle de cette obédience , M. Benalla a été suspendu, en
attendant que la justice se soit prononcée...»
Ceci sera confirmé le lendemain par le Figaro : «Alexandre Benalla, franc-maçon?
L'information, publiée par plusieurs médias, avait été démentie il y a quelques
jours par le Grand Orient de France, la première obédience française. Ce
mercredi, le journaliste de L'Express François Koch le révèle sur son blog «La
lumière»: le jeune chargé de mission de l'Élysée a en fait «été initié au sein
de la loge les Chevaliers de l'espérance, de la Grande Loge nationale française
(GLNF)». «Ce franc-maçon porte le matricule 106161 de cette obédience depuis
janvier 2017», écrit François Koch, citant «des documents internes» transmis
par «de bonnes sources». Il a été suspendu «le 23 ou le 24 juillet», confirme
au Figaro le grand maître de la GLNF Jean-Pierre Servel.
Monsieur Jean Claude Bourret, un vrai journaliste et
toujours sur fesse de bouc nous donne le lien d’un article cliquez ici en affirmant : «Benalla :
Un éclairage
intéressant de la chambre de commerce Franco/Israélienne.
Benalla,
Français par la naissance, et d'origine Marocaine, a toujours soutenu la cause
Palestinienne, ce qui évidemment ne plait pas aux Israéliens sionistes...»
Sur le magazine Voici l’attaché de mission «Alexandre Benalla» rétablit sa «vérité» sur son salaire de misère et
son logement de fonction. Silencieux depuis le début de cette affaire, Benalla
est enfin sorti de son silence. Dans une longue interview accordée au Monde, il
est revenu sur la polémique entourant son rôle et ses fonctions auprès du
président. Il a également tenu à faire la lumière sur le logement de fonction qu’il
occupe. «On met un appartement attribué par nécessité absolue de service à ma
disposition. Le 8 ou 9 juillet, on me remet les clefs, a-t-il indiqué. J'avais
demandé au directeur de cabinet, Patrick Strzoda, s'il était possible d'avoir
un appartement et il m'avait dit «bien
sûr, vu les contraintes liées à vos fonctions, il y a un appartement qui est en
train d'être rénové, je vous l'attribue». Alexandre Benalla a précisé que
le logement en question est «un
appartement de 80 mètres carrés, pas 300 comme ça a été dit». Il a
également révélé quel salaire il percevait chaque mois : «J'ai un contrat sur toute la durée du mandat, donc cinq ans, rémunéré
6 000 euros net» (Le porte-parole du gouvernement indiquais lui 5 000 €
nets, le 24 juillet, le directeur de cabinet de notre cher
leader et grand président de tous les François Patrick Strzoda refusait de
révéler le montant du salaire d' «Alexandre
Benalla», arguant que l'information relevait du fonctionnement de l'Élysée
et qu'il contreviendrait au principe de la séparation des pouvoirs en le
communiquant) assurant que «c’est
le salaire de tous les chargés de mission». Le journal Voici précise que le jeune homme aurait
également détenu les clés de la maison que possède le couple Macron au Touquet.
Nouvelle surprise dans l'affaire Alexandre Benalla.
Alors qu'il avait assuré, sous serment devant la commission d'enquête de
l'Assemblée, que l'employé de l'Elysée avait assisté à des réunions de travail
durant la période de la mise à pied décidée par la présidence, le directeur de
l'ordre public et de la circulation de la préfecture de police de Paris, Alain Gibelin,
a fait marche arrière le mardi 24 juillet, au lendemain de son audition.
Dans une lettre adressée à la présidente de la
commission, Yaël Braun-Pivet, consultée par Le Parisien, il assure qu’il aurait
mal compris la question de Marine Le Pen, expliquant avoir entendu que la
députée Rassemblement national (RN) évoquait la période allant du 1er mai au 18
juillet, et non celle de la suspension de Benalla, du 2 au 18 mai. Madame Le
Pen élue du Pas-de-Calais a pourtant répété à trois reprises et en Français de
France les dates exactes au très haut fonctionnaire un peu sourd qui, à chaque
fois, a acquiescé et confirmé la présence de Benalla à des réunions de travail
durant cette période. Il est bien certain que c’est madame Marine Le Pen qui a posé
les bonnes questions au directeur de l'ordre public et de la circulation sur le
sujet : «Nous avons bien compris, vous
nous l’avez expliqué tout à l’heure, qu’il y avait des réunions en amont pour
préparer des grands événements dans lesquels le président de la République a
vocation à se déplacer dans Paris. Que vous n’y étiez pas à titre personnel
mais que l’intégralité de vos services étaient présents. J’aimerais juste
savoir s’il y a eu une réunion de ce type entre le 2 et 18 mai ?».
«Oui, très
certainement», répondra Alain Gibelin. Et madame le député du
Pas-de-Calais de relancer : «Comme vous
nous avez indiqué tout à l’heure que monsieur Benalla était présent à
l’intégralité de ces réunions, il ne vous est pas apparu qu’un jour monsieur
Benalla n’était pas présent à l’une des réunions qui ont pu avoir lieu entre le
2 et le 18 mai ?». «Non,
concède-t-il, ferme et sûr de lui. Et je répète que la sanction prise à
l’encontre d’Alexandre Benalla à aucun moment n’a été portée ni à ma
connaissance, ni à celle de mes collaborateurs».
Madame Le Pen enfonce le clou : «Si le directeur de l'ordre public n'a
jamais eu connaissance de cette sanction, cela veut-il dire qu'elle n'a jamais
été appliquée ?» «Oui», répond-t-il, jetant le trouble. Car là, il n’est
pas question de date !
Le 27 Juillet c’est la fin et nouveau rebondissement dans le feuilleton des auditions à l'Assemblée nationale autour de l'affaire Benalla. L'ensemble des membres de l'opposition a claqué la porte de la commission d'enquête, dénonçant la mainmise des «marcheurs» d’ultra gauche marxistes culturels sur les travaux de cette dernière. «Là où le Sénat s'est donné six mois pour enquêter, sans limite sur les personnes à auditionner, la présidente de la commission nationale, madame Yaël Braun-Pivet, a décidé d'étouffer cette affaire, de terminer aujourd'hui même et de ne pas auditionner des personnes essentielles», dénonce vendredi, au micro d'Europe 1, Éric Coquerel, député insoumis d’hyper gauche communiste de Seine-Saint-Denis. «Elle a décidé d'étouffer l'affaire sous la consigne de l'Elysée», assure-t-il. «Donc, on va arrêter. Quand on a une mascarade, une parodie, une volonté d'étouffer tout ça, à un moment on claque la porte», s'agace ce proche du camarade
A suivre…
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Livre pernicieux, mis à l’index des livres interdits
par la nomenklatura marxiste culturelle merdiatique Française et par le
Saint-Siège de la bienpensance intellectuelle politiquement correcte qui a
quand même un avantage, puisque son excellence
et grand leader bien aimé Kim Jong-un (*) guide suprême de la grande république populaire démocratique
de Corée, génie parmi les génies auguste suprématie encore plus grande que
celle de monsieur Macron le génie des Alpages en dira : «Note9
est une perle populaire et démocratique de l’ethnographie politique démocratique et populaire ! On peut
bien sûr ne pas être d'accord avec cet auteur chien capitaliste, d’extrême et d’ultra
droite mais il a le mérite comme mon ami Trump de ne pas faire de langue de
bois comme notre ami Alexandre Benalla. Chaque biographie qu’il nous donne est étudiée à
travers l’histoire... évidemment lourde de sens pour la compréhension du
positionnement des femmes, des hommes et autres genres politiques
d’aujourd’hui».
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(*) Le seuil de 170% de popularité a été atteint hier par
Kim Jong-un qui n’est pas d’ultra droite ; ouf. Ce taux historique est le
fruit d’un long travail et de mesures fortes, salués par la population qui a
exprimé avec vigueur sa satisfaction lors du dernier sondage. Une leçon à
méditer pour les pays occidentaux ?
A l’heure où la popularité d’Emmanuel Macron et celles
de monsieur Benalla nos aristarques préférés connaît des hauts et des
bas, au gré des humeurs des Français «un
peuple de racistes fachos d’ultra droite et de pisse-froids», il semblerait que les
Nord-Coréens aient quelques années d’avance dans la recherche du bonheur. Les
Français ont peut-être des leçons à apprendre de ce pays.
*****************
Michel Alain Labet de Bornay
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