vendredi 13 juillet 2018

Panem et circenses


Finale de la coupe du monde. Les Blancs ultra minoritaires en équipe de Francarabia au Bamboulakistan (France) de football.



L’ultra gauche et ses journalopes merdiatocrasseux ont désormais imposé le débat religieux et racial sur la table merdiatique – érigeant noirs (mélanodermes hommes de couleur) et musulmans en nouveaux damnés de la terre à défendre coûte que coûte. Aussi, il est intéressant de se pencher sur la composition de l’équipe de France (sic) de football en vue de la finale de la Coupe du Monde 2018.
Le sélectionneur, Didier Deschamps, a dévoilé une liste de 23 joueurs choisis, parmi lesquels on recense seulement 6 joueurs blancs, c’est à dire 26% de l’équipe. Ils sont donc ultra-minoritaires dans une équipe de France censée représenter un pays où pourtant, les blancs sont encore majoritaires. L’intégralité des autres joueurs (c’est à dire 17) a des origines Africaine (Afrique du Nord ou Afrique noire).




Selon Jean-Paul Gourévitch, il y avait en France métropolitaine, en 2008, environ 2,4 millions de personnes noires originaires d'Afrique subsaharienne et de l'Océan indien et de 700 à 900 000 Domiens soit au total entre 3 et 3,5 millions de personnes noires en France métropolitaine soit 5 % de la population totale.
Selon certaines organisations communautaristes et racistes comme le Conseil Représentatif des Associations Noires de France (CRAN), cette catégorie de citoyens ou de résidents français d'ascendance africaine subsaharienne ou afro-américaine ou ultra-marins représenteraient selon différentes estimations entre 3 % et 8 % de la population française (DOM-TOM inclus).







Michel Alain Labet de Bornay


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Dans la série petite blague à diffuser :
Que voir allah télémédiacrasseuse en dehors du Faute-balle ?: Aujourd’hui dans Poubelle la vie, le «feuilleton» de merde Franchouillard marxiste culturel et «marseillais», Fatiha la tapineuse moukère est inquiète ; Ali Ben-couscous a reçu une décharge de 12 dans le visage alors qu’il s’apprêtait à cambrioler une bijouterie pour rembourser le grossiste de la BAC qui l’avait fourni en cocaïne afin d’alimenter les partouzes pédophiles des magistrats, des journalopes et des élus Marseillais d’ En Marche. Pendant ce temps, Mohamed déprime, tous ses amis sont morts dans des règlements de compte ou des attentats suicides terroristes et de plus son opération de changement de sexe l’a laissé invalide et handicapé. Son malaise se fait de plus en plus sentir auprès de ses clients à l’hôtel et si ses derniers apprenaient qu’il a refilé le Sida à monsieur le maire? Il perdrait la garde de ses enfants achetés à des Roms, ce qui nuirait à leur business florissant de trafic d’êtres humains et de voitures volées.








2 commentaires:

  1. Panem et circenses ?
    Panem et circenses (littéralement « pain et jeux du cirque », souvent traduite par « Du pain et des jeux ») est une expression latine utilisée dans la Rome antique pour dénoncer l'usage délibéré fait par les empereurs romains de distributions de pain et d'organisation de jeux dans le but de flatter le peuple afin de s'attirer la bienveillance de l'opinion populaire (politique d'évergétisme). L'expression est tirée de la Satire X du poète latin Juvénal, qui lui donne un sens satirique et péjoratif.
    Aujourd'hui, elle est souvent utilisée pour signifier la relation biaisée qui peut s'établir dans ces périodes de relâchement, ou de décadence, entre :
    Une population qui peut se laisser aller, se satisfaire de pain et de jeux, c'est-à-dire de se contenter de se nourrir et de se divertir et ne plus se soucier d'enjeux plus exigeants ou à plus long terme concernant le destin de la vie individuelle ou collective.
    Un pouvoir politique qui peut être tenté d'exploiter ces tendances « à la vie facile et heureuse » par la promotion de discours et de programmes d'action populistes ou court-termistes.

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  2. Une victoire de l’équipe de France en finale de la Coupe du monde dimanche pourrait profiter au Président de la République, comme ce fut le cas en 1998.
    "On est en finale. Rendez-vous dimanche pour la rapporter". A peine la demi-finale remportée contre la Belgique, Emmanuel Macron s’est fendu d’un tweet d’encouragement à l’équipe de France. Présent en tribune mardi soir, le président de la République est au diapason du reste de la population: à fond derrière les Bleus. Mais pour lui, il y a sans doute un peu plus d’enjeu que pour le reste des Français. Car selon la légende, un bon parcours d’une équipe de France à un Mondial, et a fortiori une victoire, aurait un effet direct sur la côte de popularité du chef de l'Etat. Et ça tombe bien, puisque que celle-ci s’est effritée ces dernières semaines, pour atteindre 34% d’opinion favorable selon le dernier baromètre de l’institut Elabe.
    En 1998, la côte de confiance en Jacques Chirac était passée de 45% avant le début de la compétition à 59% après. En 2006, le même Jacques Chirac s’appuie sur le parcours de l’équipe de France pour passer d’une côte de 16% à 21% d’opinions positives. "Au-delà de la performance sportive, ce qui se joue est quelque chose de nature politique, au sens de ce qui assemble les peuples, ce qui fait la vie de la cité, explique le politologue Stéphane Rozès, président de la société de conseils CAP. L’équipe de France de football est une bonne métaphore de ce que devrait être la République française et son mode de fonctionnement. En 1998 comme aujourd’hui, c’est d’abord l’équipe de France de foot comme métaphore qui provoque l’engouement populaire. Celui-ci va, si le président s’y conforme, lui profiter momentanément".
    "Si la France gagne, il peut essayer de renouer avec un pan du récit de la campagne électorale"
    Et pour en profiter, Emmanuel Macron n’a donc qu’un seul vrai modèle: celui de Jacques Chirac, il y a plus de 20 ans. Un modèle bien difficile à reproduire.

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