L'affaire Audin CHAPITRE 2
12 balles pour Maurice Audin
Vous allez lire le deuxième chapitre du livre l’Affaire Audin écrit par Michel Alain
Labet de Bornay sur son blog blogspot.com/,
c'est ici.
Venons au sujet principal de cette histoire, détail
parmi les détails de l’histoire de France, l’affaire du camarade marxiste, du
sieur et citoyen Français Maurice Audin, né le 14 février 1932 à Béja (Tunisie)
et mort à Alger en 1957.
Fils de Louis Audin (1900-1977) et d'Alphonsine Fort
(1902-1989), mariés en France en 1923 à Koléa (Département d’Alger), tous deux
issus de familles modestes, lui d'ouvriers lyonnais, elle de paysans de la
Mitidja. Au moment de la naissance de Maurice, son père est chef de la brigade
de gendarmerie de Beja, dans le protectorat français de Tunisie. Après la
Tunisie, Louis Audin est affecté en France (Bayonne, Toulouse) puis à Alger.
Fils d'un militaire, le Français Maurice Audin devient
enfant de troupe et, en 1943, entre en cinquième à l'école militaire
préparatoire de Hammam Righa; en 1946, il est admis à l'école d'Autun dont la
devise est: «Pour la Patrie, toujours
présents». en 1948, renonçant à une carrière militaire, il revient faire la
classe de Mathématiques élémentaires à Alger (au lycée Gauthier). Il fait des
études de mathématiques à l'université d'Alger et devient membre du Parti
Communiste Algérien en 1950 obtenant sa licence en juin 1953, puis un DES en
juillet. Dès février 1953, il est recruté comme assistant du professeur René de
Possel, poste dans lequel il est titularisé en 1954. Il travaille aussi sur une
thèse sur «les équations linéaires dans
un espace vectoriel dans le cadre d'un doctorat d'État de mathématiques». En janvier 1953, il se marie
avec Josette Sempé (née en 1931) ; ils ont trois enfants : Michèle
(1954), Louis (1955) et Pierre (avril 1957). Maurice et Josette Audin font partie de la toute
petite minorité de crétins Français marxistes-léninistes membres du très
illégal et mouvement terroriste le PCA et qui ont constitué à Alger un groupuscule
de terroristes marxistes, fabricants et poseurs de bombes. Les chefs de ce
groupuscule sont André Moine et Paul Caballero avec Henri Alleg et une bonne partie du
personnel d’Alger Républicain. Le PCA est justement interdit le 13 septembre 1955 et devient une
organisation terroriste marxiste clandestine, en relation étroite avec le FLN . Quel que soit la façon dont on présente les choses,
l’Algérie étant à l’époque pleinement la France, le couple Audin et ses complices communistes
étaient devenus des traîtres et des terroristes criminel, en effet après cette interdiction du PCA, les dirigeants qui
avaient estimé qu’Audin, qui n’avait pas de responsabilités politiques de
premier plan et n’était pas forcément fiché, serait plus utile dans un travail
discret que dans la «lutte armée» c’est
à dire l’action directe de terroriste ; en effet l’Algérie c’était la
France et la «lutte» par des Français
contre des Français et leur patrie c’était bel et bien du pur terrorisme, outre
une trahison. Audin ayant oublié la devise de l’école militaire d’Autun qui lui
a payé ses études : «Pour la Patrie,
toujours présents». Il hébergea des assassins et autres militants
terroristes traqués, stocka de la documentation, des bombes etc. Il participa
également à des activités diverses comme par exemple le recel de malfaiteur :
l’article 434-6 code pénal en dit: «Le
fait de fournir à la personne auteur ou complice d’un crime ou d’un acte de
terrorisme puni d’au moins dix ans d’emprisonnement un logement, un lieu de
retraite, des subsides, des moyens d’existence ou tout autre moyen de la
soustraire aux recherches ou à l’arrestation est puni de trois ans
d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende». L’exfiltration vers les pays «socialistes» du secrétaire général du
PCA Larbi Bouhali en septembre 1956 par Audin fut en quelque sorte une affaire
de famille, Maurice Audin ayant assuré la logistique avec sa sœur Charlie et
son beau-frère Christian Buono. (Christian Buono, fut lui aussi un activiste
traître à la France et terroriste rouge militant du Parti communiste Algérien né
le 8 décembre 1923 qui a passé une dizaine d’années de sa vie à
Constantine. Pendant la deuxième guerre mondiale, en 1941, il entre à l’École
Normale de Bouzaréah (Alger) et à sa sortie il est nommé instituteur à Burdeau
où il exerce sa profession de propagandiste marxiste de 1945 à 1947. Il se
marie en 1947 avec Charlye Audin, sœur ainée de Maurice Audin. Charlye et lui
sont enseignants dans des écoles de Tizi-Ouzou, Tigzirt, Mizrana et Makouda.
Tous deux reviennent en 1956 à Alger, plus précisément dans la Cité populaire
de la Montagne où ils vont exercer leur profession d’enseignants du primaire.
Rus aussi deviendront des logeurs des terroristes et autres dirigeants
clandestins du Parti communiste Algérien tels que Larbi Bouhali, premier
secrétaire, puis Paul Caballero et André Moine. Pendant cette période,
Christian Buono aura la charge de rechercher des planques et pour le matériel
d’impression des publications clandestines du PCA. C’est
dans la demeure de Charlye et Christian qu’André Moine sera arrêté en 1957.
Christian Buono le sera également. Emprisonné à Barberousse il sera dans la
même cellule qu’Henri Alleg arrêté lui chez Audin qui l’informera de sa
dernière rencontre avec Maurice Audin. Transféré ensuite au camp de Lodi où sont
internés d’autres activistes rouges et dirigeants terroristes communistes ou
nationalistes, Christian y demeurera pendant deux années. En raison d’une
augmentation des troubles de sa vue, il obtient, grâce à l’intervention de ses
avocats, une assignation à résidence dans son domicile. Mais en 1959 le
tribunal permanent des forces armées à Alger, au procès de plusieurs militants
communistes poursuivis à la suite de leur soutien actif aux actes terroristes du
FLN, le condamne à cinq ans de prison. Son avocat, Maître Matarasso qui milite
au Parti communiste français, parvient à lui obtenir de ce tribunal la liberté
médicale. Libéré sous condition, Christian Buono parvient à fausser compagnie
aux services qui assuraient sa surveillance. Il disparaît, prend le nom de
Michel Marchand et poursuit ses actes de terroriste marxiste dans le PCA jusqu’à l’indépendance de l’Algérie. A ce moment-là il
reprend aux côtés de son épouse son métier d’enseignant à l’école primaire de
la Cité de la Montagne. Elle devient une école modèle que le Premier Président
de la République Algérienne, Ahmed Ben Bella, visitera. Buono
était binational et reconnu comme ancien moudjahid (Autre nom des assassins
terroristes du FLN, aujourd’hui on parle de djihadistes). A l'indépendance, les Buono avaient choisi de rester
en Algérie. Ils ont continué à diriger l'école de La Montagne. L'école a été
baptisée Tarek-Ibn-Ziad. En 1966, Boumediene fout tout ce petit monde de
djihadistes à la porte de leur «pays».
La France récupérera cette bande de malfaiteurs terroristes et les
rétribueront grassement avec l’argent des impôts des pieds noirs et des Harkis
recueillis. Quelle honte !).
En septembre 1956, Maurice Audin avait organisé, avec
sa sœur (Charlye, née en 1925, elle aussi communiste) et son beau-frère
(Christian Buono, autre coco), l'exfiltration clandestine à l'étranger (en
Tchécoslovaquie soviétique) de Larbi Bouhali, premier secrétaire du PCA. Quelques mois après, en janvier 1957, est lancée l'opération dite «bataille
d'Alger», pour laquelle la 10e Division Parachutiste du général Massu détient les pouvoirs de police dans la zone d'Alger (Le terme de «bataille d’Alger» imposé par les
gauchiottes ne me convient pas, comme d’ailleurs il ne conviendra pas au
Général Massu qui dira : «Moi, je
veux dire que le mot bataille est peut-être un peu excessif ; en fonction de la
situation, et du déroulement de cette affaire, qui n’a pas été strictement une
bataille militaire telle qu’on les connaît et qu’on les dénomme habituellement.
Mais qui a été un ensemble d’actions, autant humaines que policières,
auxquelles le comportement du FLN nous a obligés»). Cette unité se livre à des interrogatoires un peu «musclés» une sorte de «question» par la force et aux interrogatoires
entre hommes, il y aura bien sur quelques bavures.
Le Général Jacques Massu dira: «dans la
guerre moderne, dans la guerre révolutionnaire, quand l’adversaire, ce qui
était le cas, emploie le terrorisme comme mode d’action essentiel, les forces
dites de rétablissement de l’ordre sont obligées d’employer des procédés, qui
ne sont pas des procédés classiques des guerres conventionnelles». En mars 1957,
Maurice Audin héberge un autre dirigeant communiste, Paul Caballero, à un
moment où celui-ci doit être soigné par un médecin, Georges Hadjadj, membre du
Parti Communiste.
Quelques jours après l'attentat terroriste du Casino
de la Corniche (3 juin 1957) qui fait 8 morts et 92 blessés avec des bombes
fabriquées par le réseau communistes, Hadjadj est arrêté et avoue avoir soigné,
au domicile de Maurice Audin, l'un des dirigeants du Parti, l'ouvrier
métallurgiste Paul Caballero l’envoyé de Moscou, il dénonce évidemment Audin
comme membre du réseau «bombe» d’Alger.
Le 11 juin 1957, le terroriste Audin est arrêté à son domicile par le capitaine Devis,
le lieutenant Philippe Erulin et plusieurs
militaires du 1er régiment
étranger de parachutistes, pour être transféré vers une
destination où il est assigné à résidence et subi la «question par force». Souvent tenu sous silence une souricière est
installée dans l'appartement de la famille Audin, et Henri Alleg, ancien directeur du journal illégal Alger républicain et dirigeant communiste recherché, y est arrêté le lendemain. À l'exception des militaires, il est le
dernier à avoir vu Maurice Audin vivant. La trace de Maurice Audin est dès lors
perdue pour ses proches. Cette disparition a des effets considérables :
c'est le début de l'affaire Audin. Dans le torchon rouge du
sang de plus de cent cinquante millions d’innocentes victimes de l’idéologie criminelle
contre l’humanité (cette idéologie est à l’origine de l'Holodomor (9 millions de morts au bas mot) que fin 2006, l'Ukraine a officiellement
qualifié de génocide et que le parlement européen a reconnu en 2008 comme un
crime contre l'humanité et ce n’est qu’un début camarades! Continuons le
combat !). C’est cette idéologie pourrie marxiste et criminelle qui
animait le couple Audin ; Donc, dans l'Humanité
du 9 juin 2017 on pouvait lire: «Maurice
Audin, membre du Parti communiste algérien (PCA) depuis 1950 – il a alors 18
ans –, est arrêté par les parachutistes du 1er RCP, le mardi 11 juin 1957. Il
est assassiné, probablement le 21 juin (Audin n’est pas «assassiné» il est décédé et vraisemblablement
exécuté pour l’exemple à la suite d’un interrogatoire un peu musclé que Massu
dira être «la question par force», les
paras cherchant la destruction du groupe de traîtres à la Patrie, les
terroristes communistes poseurs de bombes assassins de femmes et d’enfants ou leurs
complices islamomarxistes). La version
officielle est que le jeune homme se serait évadé lors d’un transfert. Mais,
dès 1957 – et a fortiori aujourd’hui –, personne, hors les militaires et
quelques responsables politiques marxistes culturels, ne soutient sérieusement
cette thèse» (…) «Longtemps, sur la
foi de cette enquête, c’est un lieutenant tortionnaire, Charbonnier, qui a été
considéré comme coupable de cet assassinat. En 2012, Nathalie Funès, une
folliculaire du très marxiste culturel Nouvel Observateur, découvre un document
dans lequel un autre nom est avancé, le sergent Garcet. Hypothèse confirmée par
le général Aussaresses, au soir de sa vie».
Bon et alors comme nous en finissons avec l’article
d’un «journal» marxiste n’hésitons
pas pour glorifier les mannes de Maurice Audin à nous exclamer en cœur : «Vive les grands criminels contre
l’humanité, Lénine, Staline, Mao, Pol Pot, Robert Mugabe, Castro, Guevara, j’en
passe et des meilleurs !».
«L’affaire Audin», devient l’«affaire de la France», alors qu’elle n’est que l’affaire d’un
communisme criminel, terroriste et d’un traître à sa patrie.
L’engrenage c’était mis en place le 9 juin 1957. Le
docteur Georges Hadjadj, un marxiste-léniniste membre et cadre de l’illégal PCA
poseur de bombes, est arrêté. Passé par un interrogatoire musclé, il résiste
durant trois jours, mais aurait soi-disant craqué devant la prétendue menace
d’interrogatoire de sa femme : il finit, le 11 dans la soirée, par avouer entre
autres choses qu’il a soigné Paul Caballero, le grand patron du PCA (agent de
Moscou) et des réseaux terroristes de poseurs et fabricants de bombes, cadre dirigeant
communiste de l’IC envoyé par Moscou et membre du PC-(F), au domicile de la
famille Audin. Les paras s’y précipitent. C’est là, à 23 heures, en présence de
sa femme et de ses enfants, que Maurice Audin est arrêté. Sa femme complice
proteste mais n’est pas arrêtée, sa fille aînée Michèle – trois ans – donne
même des coups de pieds aux paras. Le prisonnier est transporté à El Biar, dans
un immeuble «réservé», où déjà
l’avocat terroriste Ali Boumendjel était décédé. Là, les «paras», persuadés avec raison d’avoir capturé un «gros poisson», passent immédiatement à
la «manière forte». Le docteur
Hadjadj est mis en sa présence aux environs d’une heure du matin. Audin a déjà
été interrogé, deux heures après son incarcération mais n’a pas encore tout
raconté… Henri Alleg est arrêté au domicile d’Audin le lendemain, 12 juin. Dans
la soirée, il est mis en présence de son complice et camarade qui invente un
dialogue comme il inventera 80% du pamphlet «La
question»: «Il faisait chaud. Maurice
portait une chemisette. Je revois son visage défait. Son interrogateur l’a
amené devant moi et lui a dit : «Audin, dis à ton ami les horreurs qu’on t’a
faites hier soir. Ainsi, ça lui évitera de les subir, lui aussi ! «Maurice
m’a regardé. Il a juste lâché dans un souffle : «C’est dur, Henri… ». Eh oui c’était dur, encore plus pour les
parents des femmes, des enfants, des hommes déchiquetés par les bombes
communistes dont Audin était membre du réseau.
Oui Audin terroriste communiste traître à sa parie
complice de crimes atroces contre des femmes et des enfants innocents tous
Français a subi la gégène, l’interrogatoire par la force, mais il n’en est pas
mort, Alleg non plus, comme des centaines d’autres traîtres.
Le 21 juin, le drame atteint son point de non-retour.
Les paras auraient tué leur prisonnier. Mais il faut immédiatement maquiller
cette action. Une partie de la presse métropolitaine de journalopes
merdiatocrasseux de gauche marxiste et socialope bruisse encore des échos de la
protestation contre les prétendues exactions des opérations d’Alger commises sous
le gouvernement Français socialiste avec François Mitterrand le décoré de la
Francisque du Maréchal de France Philippe Pétain étant ministre de l’intérieur.
Si des «disparitions» de ce type sont
alors nombreuses, il ne s’agit la plupart du temps que de piteux terroristes membres
du FLN qui se disaient «soldats», hors
dans le cas de «soldats» il arrive
malheureusement qu’ils soient tués au combat ce qui n’était pas le cas de
Français communistes, juste complices des exactions de cette soi-disant «armée» de terroristes Islamomarxistes. Dans le cas Audin, il s’agit d’un jeune
membre d’un réseau de terroristes communistes, certes père de famille et assistant
à l’université mais complice d’activité terroriste rouge. La
vérité sortira lors des ultimes confidences reçus dans la demeure du général Aussaresses en
2014 par
Jean-Charles Deniau. «La vérité, c’est qu’on a tué Audin», (ça il y a longtemps qu’on le
savait mais on ne savait pas par qui et comment) lâche un jour l’ancien
commandant de la 10e division parachutiste. Et d’ajouter, après plusieurs
hésitations : «Bien sûr, j’ai obéi à
Massu». Pourquoi exécuter un jeune homme dont l’engagement dans la rébellion
était certes avéré mais somme toute limité ? interroge Deniau. «Pour l’exemple, tranche Aussaresses. Oui, [Massu] a dit, c’est pour les faire réfléchir. Pour qu’ils s’arrêtent de faire
des attentats spectaculaires». Selon les faits rapportés par le général
Aussaresses, Audin aurait été tué au couteau par l’un de ses sous-officiers,
puis enterré de nuit dans l’une des fosses de la lointaine banlieue algéroise.
Une version que confirmera, le sergent Pierre Misiri, un ancien para de la 10e
division.
Oui, selon le général Aussaresses Massu aurait
dit de se débarrasser du traître et pour le moins complice de terrorisme Audin
et que cela a été fait pour l’exemple, pour les faire réfléchir. Pour qu’ils
s’arrêtent de faire des attentats spectaculaires.
Il reste par contre une partie de l’histoire d’Audin
non élucidée, qui Audin a-t-il «vendu»
pendant ses interrogatoires ? Et qui sont donc ces «les» et ces «ils» qu’il
convient de «faire réfléchir» ?
Ceux qui ont suivis courageusement depuis le début ce
sont déjà fait à l’idée que ces «les»
et ces «ils» sont des communistes de
nationalité Française membres d’une extension de la SFIC devenu le Parti
communiste français (PC- F), le fameux Parti Communiste Algérien, le PCA
illégal.
Pendant le mois de mai 1955, le dirigeant du FLN Ramdane Abane (considéré
comme le dirigeant le plus politique du FLN, surnommé «l'architecte de la révolution» agissait au sein du très islamomarxiste PPA-MTL. Ramdane Abane conduira des rencontres avec ceux qui désiraient
participer à la «guerre» pour
l'indépendance). Ramdane prépare un accord PCA-FLN qui est négocié par Bachir Hadj Ali (qui avait succédé à Larbi Bouhali au poste de secrétaire général du PCA et qui avait
été en
1953 condamné à deux ans de prison par pour atteinte à la sûreté de l'État) et Sadek Hadjerès, afin de
maintenir l'autonomie politique du PCA. Il n'admet l'adhésion de communistes au
FLN qu'à titre individuel et non en tant que groupe.
Des militants du PC-(F) envoyé de Moscou et du PCA créent un réseau de clandestins, les
Combattants de la libération (CDL), qui bénéficient du détournement par l’activiste marxiste et traître
l'aspirant Maillot d'un camion chargé d'armes. C’était
le 20 juillet 1955 qu’Alfred Sepcelevitius, dit Gerson, cadre du Komintern (Né
le 21 juillet 1928 à Paris, fils d’émigrés communistes juifs de Lituanie, jeune
érev rav communiste de Paris XVIIIe sorti de l’école Internationale Lénine de
Moscou, chargé par l’IC et très secrètement le PC-(F) de la propagande auprès
des soldats et du périodique Soldat de France ; en Algérie de septembre 1955 à
novembre 1956 Gerson publie
dix-sept numéros d’une feuille de La Voix
du soldat en direction du contingent français ; arrêté en mars 1957,
expulsé en décembre 1958 ; membre de la Fédération de Paris du PC-(F) (1966-1977);
grand responsable dans l’administration de l’Humanité et la gestion de la presse du PC-(F), Gerson est envoyé
par le PC-(F) en Algérie pour «travailler»
avec le terroriste rouge André Moine lui aussi cadre de l’IC à la
propagande auprès des soldats français (Il s'agit là d'une des nombreuses
activités "secrètes" du PC
ce disant Français) Lucien Hanoun dont nous aurons l’occasion de reparler,
militant du PCA, sera le principal rédacteur de la feuille marxiste-léniniste clandestine,
La Voix des soldats. Le
12 septembre 1955, le parti communiste est interdit par les autorités de la
République. Il essaye alors de se rapprocher de plus en plus du FLN qui n’est
que très peu intéressé par les idées rouges des cocos. En été 1955.
Constitution effective des Combattants de
la Libération, un petit réseau de traitres rouges d’à peine une
cinquantaine de terroristes et militants communistes qui se constitue dans
l’Ouarsenis en vue de la «lutte armée». Abdelkader
Guerroudj lui dirige le CDL d’Alger. Le 13 septembre 1955. Le PCA est interdit,
ainsi que l’UJDA, l’UFA et le Secours populaire. Son journal Liberté est
interdit, ainsi qu’Alger républicain. En
octobre. Ouverture de cinq «centres
d’hébergement», dont celui de Lodi pour les traitres communistes européens
et les autres pour les «musulmans»
(dont Berrouaghia et Lambèse). Il y en aura douze en 1958, avec au total 11 000
internés traîtres à la patrie. Début novembre. Parution du journal Liberté
clandestin, imprimé dans une villa louée à la demande du PCA par Georges
Hadjadj villa qui servira à Audin et Buono pour abriter des terroristes.
En 1956, le PCA est complétement marginalisé par le
FLN islamomarxistes, les quelques activistes encore vivants ou en liberté de
son groupe piteusement armé, les CDL, ayant rejoint le FLN. C'est ainsi que le
camarade Fernand Iveton (Ami d'enfance
de son voisin du Clos-Salembier, l'aspirant Maillot) pose une bombe à Alger peu
de temps après l'incorporation des CDL dans le FLN.
Il est une évidence oubliée, c’est que les bombes
terroristes qui ont tués à Alger étaient toutes des bombes fabriquées,
entreposées et souvent posée par les communistes.
Les communistes
s’attaquent aux églises d’Alger !
Lire ici cet article de Pierre-Jean Le Foll-Luciani:
Extrait : «Jusqu’ici absent de
l’université d’Alger, le FLN s’y organise à travers l’UGEMA au même moment que
le PCA clandestin. Or, indépendamment de tout contact entre les directions du
PCA et du FLN, des étudiants du PCA et du FLN participent immédiatement à des
actions clandestines communes. D’après Daniel et Gabriel Timsit, tous deux
étudiants en médecine, un réseau mêlant communistes et nationalistes
«socialisants» se forme fin 1955, «sans directives, sans dogmatisme» au point
d’aboutir, fait exceptionnel, à la création d’un réseau FLN au sein duquel
l’organisation communiste conserve son existence autonome (Oui bon d’accord
mais le FLN islamiste ne voulait surtout pas des cocos athées) Sans que les frontières soient toujours bien
nettes, l’activité de ce réseau se fait au profit du PCA et du FLN et fait
circuler des planques (c’était là le rôle d’Audin et de Buono), des chauffeurs, des armes et du matériel
clandestin (rôle d’Audin aussi) entre
les deux organisations. D’après Daniel Timsit, le dirigeant de l’UGEMA Mohammed
Ben Yahia, lorsqu’il aura connaissance de l’existence de ce réseau, demandera
aux communistes de ne participer qu’individuellement à l’action du FLN. Il est
clair que tous les membres du FLN ne sont pas partisans de cette collaboration
: en mars 1956, un tract du FLN distribué à la cité universitaire menace
explicitement les communistes, qualifiés (avec juste raison) de «factieux» et
d’«agents de division» car ils se réclameraient du FLN pour organiser les
étudiants au profit du PCA dans des actions «contre-révolutionnaires et antinationales» (Comme tout ça est bien
dit !).
Attentats TERRORISTES
en Algérie !
En
octobre 1956, l'arrestation de militants communistes d'origine européenne et le
démantèlement d'une partie de leur réseau de fabrication de bombes fut
l'occasion pour la presse d’Alger de clouer au pilori trois d'entre eux dont
Daniel Timsit, médecin à l'hôpital Mustapha d'Alger, Georgio Arbib, ingénieur, et
Georges Smadja, étudiant en médecine, leur appartenance communiste fut soulignée
par la presse d’Alger qui n'a pas manqué de rappeler leurs accointances avec le
Front de libération nationale.
Tous les journaux de l'époque ouvraient leur édition
datée du mardi 16 octobre 1956 de la même manière mettant en relief la thèse du
complot communiste, remontant jusqu'à l'accord conclu entre le PCA et le FLN en
juillet 1956, la désertion du traître communiste dit «l'aspirant félon» Henri Maillot (Sidi Abd El Kader), etc. Rappelons que le FLN était au déclenchement de
la rébellion sérieusement préoccupé par la mise en place de structures capables
de fournir des armes, des explosifs et autres bombes dont avait besoin leurs
terroristes fellaghas, c'est à quoi s'était attelé Abane Ramdane. Il fit alors
appel aux premiers communistes qui avaient rallié le FLN et qui constitueront
en quelque sorte les premiers chimistes parmi lesquels figurait Georgio Arbib.
Quant au docteur Daniel Timsit, il n'était pas inconnu des services de police
puisqu'il était recherché depuis le 6 mai de la même année à la suite de
l'explosion d'une bombe dans un placard du pavillon Pasteur à l'hôpital
Mustapha. Bombe au fulminate de mercure qu'il avait lui-même fabriqué dans une
villa appartenant à un de ses parents à Bouzaréah sur les hauteurs d'Alger.
Tout le groupe ainsi constitué fut en quelque sorte convoyé et installé par Ali
Hadj Ali qui était à l'époque étudiant à l'Ecole supérieure de commerce d'Alger
et ancien des Scouts musulmans d'Algérie (SMA) et du PPA qui avait été chargé
par Abane de trouver un endroit discret pour la mise en place de ce laboratoire
clandestin. Ali Hadj Ali prit alors attache avec une de ses connaissances
Abdelaziz Bensadok comme lui ancien des SMA, afin qu'il mette à la disposition
de l'organisation la ferme familiale qu'il occupait avec sa mère à Birkhadem
plus exactement dans le quartier de Sidi Embarek. Le lieu assez isolé se
prêtait bien à l'installation d'un laboratoire de fabrication d'engins explosifs
destinés aux traîtres communistes les «alliés»
des rebelles du FLN. Malheureusement, au moment où le laboratoire allait
devenir pleinement opérationnel, les services de police ont eu vent de son
existence et procédé à son démantèlement. La presse de l'époque en relatant les
faits écrits en première page avaient bien pris le soin de souligner que ce fut
après l'arrestation de Mokhtar Bouchafa le «donneur»
que le réseau de fabrication de bombes avait été découvert. La Dépêche
quotidienne d'Algérie écrivait dans son édition du 16 octobre 1956 : «Installée (la fabrique de bombe) par les communistes, elle était dirigée par
3 Européens». «Tous recevaient leurs
ordres d'un certain Hocine et du docteur Hadjerès conseillé, communiste de
Maison Carrée». (Sadek Hadjerès était le principal dirigeant des terroristes communistes
du PPA, il était chez Audin le 13 septembre 1955. Toute cette petite bande de
terroristes marxistes d’Alger se connaissaient bien. Par exemple le militant du Parti Communiste Algérien, le docteur Georges Counillon qui s’était
porté volontaire, à la demande de Larbi Ben M’Hidi, un des six dirigeants du
FLN, pour monter un hôpital auprès des fellouzes des Aurès. Il quitta, au mois
de décembre 1955, l’hôpital psychiatrique de Blida (HPB) où il exerçait en
qualité d’interne auprès du docteur Frantz Fanon. Le témoignage est de madame J. Audin la veuve du traitre marxiste Maurice. Âgé de 25 ans, il était marié et père d’un enfant. Son épouse était
institutrice à Blida. Né à Bab el Oued où sa mère était directrice d’école, il
fit ses études à Alger. A l’université d’Alger, il connut Maurice et Josette
Audin (dont il fut le voisin, en 1954, à la rue de Nîmes), les frères Daniel et
Gabriel Timsit, Salah Mohamed Saïd, Georges Hadjadj, étudiants en médecine
comme lui. A la cellule des étudiants communistes, il connut Smaïl
Bendjabellah, Abdelaziz Benmiloud. A Blida, il militait à la section du PCA
avec Ali Longo, Abdelkader Hannachi, Abdelkader Babou, Odet Voirin, Bachir
Korchi, Célestin Moréno, et d’autres militants qui participèrent au transport,
vers les rebelles fellaghas de la zone qui deviendra la wilaya 4, des armes
détournées, le 4 avril 1956, par le traître Henri Maillot (le 05/04/56 le
communiste Henri Maillot, comptable à Alger-Républicain,
incorporé comme aspirant dans l’armée Française vole et livre un chargement
d'armes aux rebelles. 97 fusils, 85 mitraillettes, 90 pistolets, 12 caisses de
grenades et munitions passent ainsi aux mains des hors-la-loi. Quelques jours à
peine après son arrivée dans les Aurès, sans avoir eu le temps de remplir la
tâche de traître et de lâche crapule communiste pour laquelle il s’était engagé
auprès de la direction du FLN, il connut une mort bien méritée au cours d’un
rapide combat le 5 juin 1956 dans une embuscade tendue par les supplétifs
(harkis) de l’armée française, menée par le Bachagha Boualem, dans la région
d’El Karimia (Chlef)). Les
journaux ouvraient leurs articles en soulignant la participation de traitres
communistes à «l'œuvre de mort entreprise
par le FLN», ce qui signifiait la «participation
effective de Français dans des attentats perpétrés de sang-froid contre des
Français». Lorsque
l’on fabrique une bombe, ce n’est pas pour faire joujou, c’est pour semer
consciemment la mort, le réseau des terroristes communistes était très bien
structuré par des fabricants comme Timsit, des receleurs comme Audin et des
poseuses de bombes, redoutables comme Danièle Minne car on ne pouvait concevoir
qu’une française puisse un jour attenter à votre vie. La lâcheté à l’état pur, un
jour 4 bombes fabriquées et placées par les Communistes explosent dans des
Eglises (la Cathédrale d'Alger, Saint Vincent de Paul à Bab-el-Oued, Ste Marie
de Mustapha et au Sacré-Cœur.
Grace à la «balance»
Mokhtar Bouchafa le laboratoire d'explosifs des communistes est découvert à
Birkadem : Sept arrestations, dont celle d'un Italien, Georgio Arbib,
(communiste juif érèv Rav) et deux Français : Daniel Timsit, (communiste
juif érèv Rav) interne à l'Hôpital civil
de Mustapha, et Georges Smadja, (communiste juif érèv Rav) étudiant en médecine.
La poseuse de bombes Annie
Steiner est arrêté elle aussi (madame Steiner née Fiorio le 7 février 1928 en
France à Marengo, arrondissement de Blida, département d’Alger n’a jamais fait
partie du Parti Communiste, mais c’était une juriste (licenciée en droit) aux
idées marxistes et une communiste «cachée»
membre de l’IC. La camarade
Fiorio s'engagera dans les fameux «centres
sociaux» fondés par Germaine Tillon, qui cachaient le
réseau bombes des communistes «travaillants»
pour le FLN et dirigé par Yacef Saadi. Arrêtée le 15 octobre 1956, elle est
condamnée en mars 1957 par le Tribunal des Forces Armées d'Alger à seulement cinq
ans de réclusion pour aide au FLN, et incarcérée à la prison de Barberousse, le
Suisse Rudolf Steiner, architecte, son époux, furieux à juste titre d’apprendre
son appartenance au FLN, demandera le divorce et l’obtient. Plus tard, la garde
de ses deux fillettes lui sera, elle aussi, retirée. Elle est libérée en 1961).
Quant à madame Germaine Tillion
elle est ethnologue. Madame Tillion bien que plutôt de gauche sera une vrai
résistante de la première heure. En
1934 il lui est proposé une mission dans l'Aurès, pour étudier l'ethnie berbère
des Chaouis. Sa seconde mission dans les départements Français d’Algérie prend
fin en mai 1940 et elle arrive à Paris le 9 juin, en pleine débâcle de l'armée
française. Peu après l’armistice, elle recherche d'autres personnes ayant le
même point de vue de résistants qu'elle et prend contact avec Paul Hauet,
colonel en retraite devenu industriel, anti pétainiste de longue date ; elle
trouve aussi des sympathies au Musée de l'Homme (Réseau du musée de l'Homme :
Yvonne Oddon, Paul Rivet...). Après le retour à Paris de Boris Vildé (juillet)
et d'Anatole Lewitsky (août), s'établit un réseau autour de Paul Hauet et Boris
Vildé, avec pour objectifs l'assistance aux prisonniers de guerre notamment
africains, le renseignement militaire et la propagande (journal Résistance,
publié à partir de décembre 1940). Germaine Tillion ne participe pas à
Résistance, elle est surtout l'adjointe de Paul Hauet dans le cadre de l'Union
nationale des Combattants coloniaux (UNCC), qui sert de couverture à leurs activités. À la fin de l'année 1940,
elle donne les papiers de sa famille à une famille juive qui sera ainsi protégée
jusqu'à la fin de la guerre. Le réseau est
démantelé en 1941 : arrestations en janvier-mars de Boris Vildé, Anatole
Lewitsky et d'autres personnes du Musée de l'Homme, puis en juillet de Paul
Hauet et de Charles Dutheil de La Rochère. Germaine Tillion devient alors
responsable de ce qui reste du réseau. En janvier 1942, le procès contre Vildé,
Lewitsky, Oddon, etc. aboutit à sept exécutions pour espionnage. Amie des
Lecompte-Boinet, elle entre en contact avec Combat Zone Nord et par Jacques
Legrand, avec un groupe lié à l'Intelligence Service, le réseau Gloria. Mais
celui-ci est infiltré par un agent de l'Abwehr, Robert Alesch, un prêtre maudit,
vicaire de La Varenne-Saint-Hilaire (à Saint-Maur-des-Fossés), qui réussit à
livrer de nombreux résistants, dont, le 13 août 1942, Germaine Tillion, lors
d'un rendez-vous à la gare de Lyon. Après un passage rue des Saussaies, elle
est incarcérée à la prison de la Santé, subissant quatre interrogatoires (par
l'Abwehr) en août et trois en octobre. Inculpée pour cinq chefs d'accusation,
elle est transférée à Fresnes. Le 21 octobre 1943, intégrée dans la catégorie
NN, Germaine Tillion est déportée sans jugement et emmenée avec 24 autres
prisonnières de Fresnes au camp de Ravensbrück, au nord de Berlin, par train de
voyageurs (sans passer par le camp de Compiègne). Placée dans la catégorie des
Verfügbar (de l'allemand verfügbar : disponible), prisonniers non affectés à un
Kommando de travail, mais «disponibles»
pour les pires corvées, elle réussit à échapper pendant plusieurs mois à tout
travail pénible, et utilise toutes ses capacités pour comprendre le monde dans
lequel elle se trouve. En mars 1944, elle fait clandestinement une conférence
pour quelques-unes des déportées françaises.
Catholique et Gaulliste madame
Tillion était tentée par les idées marxistes. Seulement voilà, à Ravensbrück elle
fait la connaissance de Margarete Buber Neumann née
Thüring (Juive érèv rav Allemande
qui dans les années 1920, adhère au Parti communiste d'Allemagne parti sous
contrôle total du Komintern et de l'URSS, puis stalinisé. Elle épouse Rafael Buber, fils du
philosophe et
communiste Martin
Buber.
Elle devient en 1928 employée d'Inprekorr. Le couple Buber a
deux filles, puis divorce en 1929. Elle
vit ensuite avec Heinz Neumann, l'un des leaders
du parti communiste allemand. En 1932, Heinz Neumann s'oppose à Staline sur la
stratégie à suivre vis-à-vis du Parti Social
Nationaliste des Travailleurs Allemands le NSDAP successeur du DAP (Parti
ouvrier allemand)
parti qui aurait pourtant dû lui plaire, puisque son chef le chancelier élu
Adolph Hitler dira dans son discours du 1er mai 1927 : «Nous sommes socialistes, et ennemis du
système économique capitaliste actuel, qui exploite les économiquement faibles,
avec ses salaires injustes, qui évalue un être humain selon sa richesse et ses
biens et non selon la responsabilité et la performance, et nous sommes déterminés
à détruire ce système à tout prix». Joseph Goebbels dira lui en 1928
dans une brochure sociale nationaliste : «Nous sommes contre le marxisme, mais pour un vrai socialisme ! Nous
sommes pour le premier État national allemand de nature socialiste !». Heinz
Neumann est alors mis à l'écart. Le couple est toutefois envoyé en Espagne par
le Komintern. Avec l'arrivée
des nazis socialistes nationaux allemands au pouvoir, ils doivent se «réfugier» à Moscou, où ils arrivent en
1935. En avril 1937, Heinz Neumann juif érev rav pour changer est victime des Grandes Purges staliniennes tellement
antisémites, humanistes et démocratiques que s’en est un vrai plaisir et est
porté disparu (Il n’y avait pas qu’Audin à être porté disparu pour des raisons
politiques). Margaret Buber-Neumann est arrêtée à son tour en juin 1938, par le
NKVD le merveilleux et
juste Commissariat du peuple aux Affaires
intérieure.
Lors
d'un juste procès humaniste et démocratique, elle est accusée d'immondes activités
contre-révolutionnaires d’ennemi du peuple, condamnée à seulement cinq années
d'emprisonnement dans un camp de travail et déportée à Karlag, goulag de
Karaganda, au Kazakhstan, où elle passe deux années dans des superbes conditions
d’une vraie socialiste qui travaille dur pour la révolution marxiste et la
gloire du prolétariat. En 1940, lorsque un des plus grands criminel contre
l’humanité d’alors, le camarade marxiste Staline s’étant admirablement entendu
avec son «ami» socialiste Adolph
Hitler, livre à l'Allemagne nazie les juifs et les communistes allemands
réfugiés en Union soviétique, Margarete Buber-Neumann est extradée, après deux
années de camp de concentration du goulag. Elle est remise avec plusieurs
milliers d’autres juifs à la Gestapo sur le pont de Brest-Litovsk et internée
au camp d’extermination nazi de Ravensbrück. Elle y passe cinq ans. Elle s'y
lie d'amitié avec l'ethnologue française Germaine Tillion. Madame Buber-Neumann,
lui apprend alors ce qu'est le système marxiste-léniniste et communiste
humaniste, démocratique et pacifiste qui inclut intrinsèquement des camps de concentration de l'enfer du Goulag. Si madame Tillion avait été tentée par le
communisme elle en sera dégoûtée à jamais. Comme quoi il suffit de pas
grand-chose pour devenir moins con ! Revenue vivante des
camps de la mort, en 1950, son maître et ami, Louis Massignon lui écrit «Avez-vous abandonné l’Afrique ?». Quatre ans plus tard, il la
persuade de retourner en Algérie en décembre 1954, accomplir une mission
officielle pour enquêter sur le sort des populations civiles dans les Aurès, là
où elle avait mené ses recherches avant-guerre, et où se déroulent les premiers
affrontements de ce qui va devenir les «évènements»
d’Algérie. Elle
renoue alors avec ceux dont elle avait partagé la vie vingt ans plus tôt. Elle
est atterrée par la dégradation de leurs conditions de vie, qu’elle qualifie de
«clochardisation» : «La clochardisation, c’est le passage sans
armure de la condition paysanne (c’est à dire naturelle) à la condition
citadine (c’est-à-dire moderne). J’appelle «armure» une instruction primaire
ouvrant sur un métier. En 1955, en Algérie, j’ai rêvé de donner une armure à
tous les enfants, filles et garçons».
L’accroissement démographique du fait de la médecine occidentale, la
raréfaction des parcelles, l’irruption de l’économie monétaire et l’exode rural
qui a détruit les structures sociales sont autant de facteurs à l’origine de
cet appauvrissement. Germaine Tillion explique avec une grande naïveté que le
passage d’une société archaïque et rurale à une urbanisation moderne a été trop
brutal et que seule l’instruction pourrait y remédier. Madame Germaine
Tillion va tenter d’abord de remédier aux
situations dont elle a constaté la gravité. Au terme des deux mois de mission,
elle accepte, en février 1955 de rester en Algérie au Cabinet du nouveau
Gouverneur général, Jacques Soustelle, comme elle ethnologue et résistant de la
première heure, pour concevoir et mettre en œuvre des réformes. Elle se
consacre à monter en neuf mois un projet socio-éducatif à l’intention des plus
démunis : ruraux appauvris et habitants des bidonvilles. Les Centres sociaux
doivent offrir aux jeunes et aux adultes, femmes et hommes, des services
concrets (dispensaire, secrétariat social, coopérative…) articulés à des
actions éducatives (alphabétisation, formation professionnelle, sanitaire,…).
Si madame Germaine Tillion une
grande résistante n’a jamais fait partie du parti communiste, ce n’est pas
faute de ses idées éminemment socialisantes et naïves (j’ai trop de respect
pour madame Tillion pour le traiter d’abrutile, mais souvent les idées
nauséabondes marxistes culturelles arrivent à faire de personnes honnêtes et
patriotes des idiots utiles qui ne l’appréhende pas). C’est la faute d’une
simple rencontre avec une cadre du PC Allemand comme on vient de le voir.
Le drame
est que ces «centres sociaux» deviendront
particulièrement et rapidement à Alger des centres de terrorisme. Bien qu’elle
s’en défende, la poseuse de bombe communiste Annie-Virginie-Blanche
Fiorio-Steiner y est arrêtée elle aussi avec les membres communistes du réseau.
La camarade Fiorio c’était engagée dans les fameux «centres sociaux» fondés par Germaine Tillion, qui cachaient le
réseau bombes des communistes Français de Moine, Caballero, Audin etc. etc. «travaillants» pour le FLN et «dirigé» par Yacef Saâdi adjoint de Larbi Ben M'hidi, le chef du F.L.N. pour la zone
autonome d'Alger
dont le principal tueur sera Ali la Pointe un petit truand
plusieurs fois condamné, pour vol d'effets militaires en 1943, pour viol en
1950, pour coups et blessures volontaires et violences à agent en 1952, pour
tentative d'homicide en 1953 puis en 1954 etc. Fin 1955, Ali la Pointe est
introduit auprès de Yacef Saâdi, ex apprenti boulanger
dans la Casbah, aujourd’hui dit «El Kho»
(corico ?) de son nom de «guerre». (En 1945, Saâdi avait rejoint
le Parti du peuple algérien (PPA), parti inspiré par l’IC (Internationale
communiste et Parti en France) et devenu islamomarxiste avec Messali Hadj. PPA
interdit par les autorités françaises auquel succéda le Mouvement pour le
triomphe des libertés démocratiques (MTLD) toujours autant islamomarxiste. De
1947 à 1949, Yacef Saâdi «sert» dans
l'aile paramilitaire du MTLD, l'Organisation spéciale (OS) dépourvue d’armes
hormis quelques vieux fusils de chasse, couteaux de cuisine et arme de poing
rouillés. Après le démantèlement de l'OS, il se rend en France où il vit
jusqu'en 1952, puis retourne en Algérie, où il reprend son métier de boulanger
dans la Casbah. En 1954, il est présenté à Rabah Bitat, un des responsables du
CRUA, qu'il héberge. Par ce canal il rencontre Amar Ouamrane et Krim Belkacem.
Leur mission consiste à la création du réseau de la zone autonome d'Alger en
tant que conseillers politique et militaire de toute la zone algéroise. En
1955, il est expédié par Ramdane Abane en Suisse où il doit rencontrer des
rebelles du Caire, les planqués, ceux de l'«extérieur»,
et notamment Boudiaf, parce que l' «intérieur»
a besoin d'armes, d'argents, de postes radios, etc. Abane charge Yacef d'un
autre message : «ceux qui tiennent la
rébellion de l'intérieur auront priorité sur ceux qui logent dans les hôtels», à
l'étranger. Expulsé en avril 1955 par les autorités helvétiques, arrêté à son
arrivée à Orly par la DST, transféré début juin à la prison de Barberousse à
Alger, il est gentiment libéré en septembre contre la promesse d'informer la
DST sur les activités du FLN à Alger, l’agent double Saâdi va «donner» aux services français tous ses
anciens «amis», les messalistes
notoires de la Casbah rivaux du FLN. Il échappe à
la vigilance des services de renseignement et plonge dans la clandestinité. Le
24 septembre 1957, les parachutistes du général Massu l’arrêtent. La découverte
de sa cachette dans une maison située au cœur de la Casbah, a été rendue
possible par la multiplication des infiltrations au sein des filières du FLN et
particulièrement avec l’élimination du réseau communiste et des cas comme celui
d’Audin ou d’Alleg qui avaient «parlés» en
juin 1957. Le capitaine Yves Godard
utilisait de plus ceux que l'on appelait les «bleus de chauffe», des anciens fellaghas retournés, et qui
renseignaient les parachutistes français. Cette stratégie et l’élimination du réseau «communiste», permet l'élimination des
principaux chefs du FLN à Alger. Ainsi, Larbi Ben M'Hidi est arrêté le 23
février 1957 puis exécuté le 3 mars. Abane Ramdane et Krim Belkacem sont
contraints de fuir courageusement d’Alger et de se réfugier en Tunisie. Enfin,
le 24 septembre, Yacef Saadi et Zohra Drif sont arrêtés en plein cœur de la
Casbah. Le 8 octobre, suivant, les parachutistes font exploser au 5, rue Abderrahmane la cache du proxo
terroriste et assassin Ali La Pointe, Hassiba Ben Bouali, Mahmoud Bouhamidi et
de Petit Omar, qui refusent de se rendre). Revenons au début ou le maquereau et assassin Ali Lapointe après l'exécution de certaines figures de la pègre locale suspectées d'être des indicateurs, tels Rafai Abdelkader dit Bud Abbott et Hocine Bourtachi dit Hacène le Bonois, Ali met li feu, il «sème la terreur» dans la casbah, en y faisant «appliquer les strictes consignes musulmanes révolutionnaires, islamomarxistes du FLN comme l'interdiction de boire de l'alcool ou de fumer».
https://p1.storage.canalblog.com/13/56/113362/100702484.jpg
Le 30 septembre 1956, deux bombes dites avec juste raison
«communistes»
explosent dans deux établissements publics d'Alger, le Milk Bar et la
Cafétéria, faisant quatre morts et cinquante-deux blessés, posées
respectivement par Zohra Drif (madame Zohra
Bitat-Drif lorsqu’elle était étudiante aux frais de la communauté Française
toute entière
avait outre des idées «nationalistes» mais
aussi marxistes et c’est évidemment sans surprise que c’est par l’intermédiaire de Boualem Oussedik dit Boualem Taibi
membre du Parti Communiste Algérien qu’elle obtiendra un contact avec le FLN. Oussedik
est souvent cité comme «animateur
politique» sorte de commissaire politique du groupe de chimistes communistes du réseau
terroriste «bombes» à Alger.
Comme de tout temps, les socialistes, les
communistes sont des terroristes et des assassins potentiels ! En déposant
des bombes, les terroristes s’attaquaient non à l’armée dite «d’occupation», mais à des civils
innocents. Albert Camus écrira : «Quelle que soit la cause que l’on défend,
elle restera toujours déshonorée par le massacre aveugle d’une foule innocente
où le tueur sait d’avance qu’il atteindra la femme et l’enfant».
Chez Riposte Laïque en 2017
madame Danièle Lopez une pied noir écrit :
«Cette «aide» (des communistes en grande majorité Européens dont le
sinistre Audin au FLN) très active se
résumait à leur confectionner et leur apprendre à confectionner des bombes, à
entraîner les «rebelles» au maniement des armes et, surtout, à effectuer
eux-mêmes les basses besognes quand il le fallait. C’est-à-dire de poser,
eux-mêmes, les bombes, de leur fournir les armes qui tuaient tant de nos compatriotes
français et, surtout… tant de nos petits gars du contingent qui subissaient les
pires barbaries lorsqu’ils tombaient dans les embuscades des terroristes. Ces
communistes-là, il faut le dire, ont autant de sang de Français sur les mains
que les terroristes du FLN. Mais, sachant qu’ils tuaient leurs compatriotes,
avec autant de délectation, vous comprendrez aisément que nous leur en voulions
plus encore qu’aux arabes (Tous musulmans). Et nous leur en voulons d’autant
plus que les motivations de ces communistes n’avaient absolument rien à voir
avec les motivations des arabo-musulmans-algériens. Si vous préférez, c’était comme si deux guerres nous étaient livrées
par deux ennemis bien distincts, en même temps. Les premiers voulaient faire, de l’Algérie, une terre islamique (Ce
qui peu à la rigueur se concevoir mais alors restez chez vous et ne venez pas
nous gonfler avec vos coranneries). Il
fallait que, dans cette partie du Maghreb qui n’avait pas encore été «libérée»
des chrétiens et des juifs, l’islam règne en maître absolu. Le Maroc, la
Tunisie, la Libye et jusqu’à l’Egypte de Nasser, étaient devenus, depuis peu,
des pays islamiques. Tout le reste de l’Afrique pouvait suivre en utilisant les
mêmes procédés mais, avant tout, il fallait que plus aucun chrétien et juif ne
subsiste dans le pays (À part les juifs érev rav qui étaient tous
communistes). Les seconds, les communistes, voulaient instaurer le communisme en
Algérie.
Les communistes n’ont jamais compris la réelle
motivation des arabes. Ils en étaient à des années lumières. Eux, se prenaient pour les «Robin des bois» des peuples qu’ils
estimaient opprimés. En Algérie, il voulaient, par leur combat contre la France
et les Français – qu’ils tuaient sans remords – «rendre» la terre aux
indigènes (ce qu’ils ont fait à l’indépendance en collectivisant les terres
provoquant un échec économique monstrueux et une immigration colossale qui en
est la conséquence) et y créer un régime communiste dans lequel, forcément, ils régneraient
en maîtres. Ils ont essayé mais les
Algériens-nouveaux les ont virés comme des malpropres. Dans leurs petites têtes, abruties de l’idéologie dominante marxiste et
de bourrage de crâne, ils devaient libérer les Algériens du joug de la France. Mais
chacun sait que l’intelligence n’est pas le point fort du communiste en général
et du communiste français, en particulier. D’ailleurs, nous retrouvons les mêmes erreurs et les mêmes méfaits,
aujourd’hui, dans leur obstination du vivre-ensemble, de l’accueil des
clandestins et, surtout, de leur hargne contre ceux qui dénoncent l’islamisme
rampant qui s’insinue dans notre pays. Oui, bien sûr, ils ont trouvé des
«idéologues» du même acabit dans les partisans socialistes, qu’ils soient
démocrates ou libéraux. Ceux-là, aussi, ont grandement participé aux actes
terroristes en Algérie. Et si, ensemble, ils ont été d’une aide sans faille au
terrorisme islamique, en Algérie, ils reproduisent la même folie, chez nous, 63
ans plus tard. C’est à partir de 1955 que, jusqu’ici
absent de l’université d’Alger, le FLN s’y organise à travers l’UGEMA au même
moment que le PCA clandestin (Neuf mois après le déclenchement de la rébellion,
un Congrès constitutif se tient à la salle de la Mutualité, à Paris sous
l’obédience bienveillante des cocos Français et des moscoutaires de
l’Internationale Communiste, signant la naissance de l’Union Générale des
Etudiants Musulmans Algériens (UGEMA). Dans les années 1920 déjà, des étudiants
nourris à la mamelle de la gueuse ou du Socialisme Internationaliste (à ne pas
confondre avec le Socialisme National ou nazisme ; quoique ?),
s’organisent dans l’Association des Etudiants Musulmans de l’Afrique du Nord
(AEMAN), créée en 1919 à Alger. C’est encore une fois à Paris, qu’en 1927 naît l’Association des étudiants musulmans
nord-africains (l’AEMNAM), rassemblant les étudiants maghrébins en France. Et
c’est à la faveur d´une motion votée à l’unanimité par les étudiants de l’AEMAN,
le 27 février 1955 à Alger, qu’est lancée l’initiative de la création d’une
nouvelle organisation estudiantine algérienne permettant aux étudiants de
participer dans un cadre organique à la rébellion qualifiée par les communistes
de «guerre de Libération nationale».
Cette organisation sera nommée UGEMA. Dans les cahiers d'Histoire on trouve
cette phrase remarquable : «l'AGEA
– alors pris en main par une communiste cachée, Annie Steiner» Tiens
donc ! Sadek
Hadjerès, ancien responsable du Parti Communiste Algérien répondant à la
Question (la bonne) : «Comment
avez-vous connu Maurice Audin?».
Répondra : «Je l’ai
connu en tant que membre du Parti communiste algérien (PCA), auquel nous avons
adhéré à la même période, au début des années cinquante. Il était surtout très
actif au sein de la cellule Langevin des étudiants communistes, mais il
fréquentait aussi La Robertsau (foyer des étudiants musulmans de l’université
d’Alger, ndlr). Il était très proche de l’Association des étudiants musulmans
d’Afrique du Nord (AEMAN), qui deviendra l’Union générale des étudiants
musulmans algériens (Ugema) en 1955. Je dois dire qu’il était, parmi une
dizaine d’autres étudiants communistes (Rebbah Noureddine, Mohammed-Saïd Salah,
Ahmed Inal, Abdelhafid Ihaddaden, etc.) parmi les plus actifs et engagés dans
la lutte pour l’indépendance de l’Algérie. Maurice Audin, en particulier, était
un militant remarquable et intelligent, avec une grande capacité d’écoute et
d’analyse». Je me suis toujours interrogé sur le «communisme» qui est sans aucun doute une religion séculière. Le communisme est une «religion séculière», expliquait Raymond Aron dès 1944, ou une «idéologie millénariste officielle»; ou, simplement, une «religion laïque», c'est-à-dire sans croyance en un Dieu surnaturel, ni en une autre vie après la mort.
A mon avis qui dit Religion dit ESR ou «Maladie du Fou de «dieu» (Qui est généralement plutôt grand) et qui persiste à l'état endémique dans toute les régions du monde traditionnellement monothéistes, soit essentiellement l'Europe, le bassin méditerranéen et les Amériques ainsi que sur le net. Cette dégénération du cerveau résulte de l'absorption de Farines Religieuses. Ce redoutable substitut d'éducation est souvent donné aux enfants des zones touchées par la maladie, avant qu'ils n'aient pu atteindre le développement complet de leur intellect et les effets sont alors dévastateurs. Qui n'a jamais vu ces images terribles de foules de jeunes au cerveau spongieux acclamant en levant les bras un vieillard impotent qui radote des absurdités sur la sexualité ou sur l'économie mondiale ? Ou ces groupes de mâles au cerveau spongiforme qui s'enferment pour la vie dans un enclos jurant pauvreté, abstinence sexuelle et obéissance à vie ? Ou encore ces gens qui lisent une phrase banale d'un vieux bouquin du genre «Allah fit X.., «Dieu» vit que cela était bon» avant de commencer à glousser d'émerveillement en levant les yeux au ciel et même pour certains le cul en l’air ? La dégénération du cerveau entraîne une perte sélective de l'esprit critique. Ainsi, le patient se met à croire à tout ce que disent les gens qui portent des chapeaux bizarres (ou des torchons de cuisine sur la cafetière ou des turbans noirs dans certains cas). Le sujet devient victime de manipulations mentales: les enturbannés ou les porteurs de chapeaux bizarres le convainquent facilement de commettre des actions contre son intérêt bien compris: renoncement à une vie sexuelle saine, paiement d'impôts ecclésiastiques, «dons» à des pervers sexuels pédophiles parlant d'une voix mielleuse, actes terroristes qui t’apportera 72 vierges à niquer pour l’éternité etc. Il faut vraiment être con non ?
Les sectateurs communistes membres de la religion séculière marxiste devenue aujourd’hui marxiste culturelle sont beaucoup plus cons que les autres un peu comme les technocrates socialopes qui ont fait l’ENA. C’est une impression générale, hors le communiste est totalement brindezingue, taré, fou, malade mental car le communisme correspond à une peur bleue de l’autre, une peur que l’autre soit meilleur que soi, donc il faut nier ses qualités (celles de l’autre qui le rendent supérieur) sinon on risque d’être moins bon et c’est cela que les cocos ne supportent pas. Cela tient à la fois de l’immaturité et du complexe d’infériorité. On le voit bien dans la volonté des cocos de supprimer toutes différences entre les hommes et même entre les peuples. Cette hystérie de l’égalité en est la meilleure preuve. Le fait qu’ils se posent toujours aussi en protecteur du faible. Comme si les forts étaient un danger pour la société alors que ce sont eux qui permettent à la société de vivre en la nourrissant et en la protégeant. De plus cette conclusion permet de beaucoup mieux comprendre l’appel de Jean Paul II (attention lui aussi avait un chapeau ridicule) aux Polonais, le fameux «n’ayez pas peur»… La peur est le début du trouble mental un des symptômes émotionnels ou comportemental qui se caractérise chez le communisme par une perturbation de la réflexion, de l'humeur. La peur entraine aussi l’apparition de symptômes cognitifs (difficulté à raisonner normalement, croyances anormales) ou du comportement (le comportement agressif caractérise bien le coco qui a la trouille) qui ne rentre plus dans le cadre des normes.
Ceci étant dit, nous ne saurions plus avoir de doute sur l’appartenance de monsieur (du croyant) Audin au réseau bombe terroriste d’Alger. Mais de plus, il semble bien que ce soit les communistes terroristes qui aient été les organisateurs de l’affaire ! Il n’a jamais semblé étrange aux historiocrates socialopes écrivaillons de «l’histoire» bidonnée des «événements» d’Algérie qu’elle était toute entière téléguidée par Moscou et l’IC (Internationale Communiste) !
Vous venez de lire le deuxième chapitre de l’affaire Audin. Audin
traître à la France, terroriste rouge complice de crime contre l’humanité comme
tout bon communiste. Vous voulez toujours en savoir plus sur cette
AFFAIRE Audin pour lire au Chapitre 3 : L’internationale Communiste et les
évènements d’Algérie. Vous en saurez plus sur la réalité du rôle joué par
l’Internationale Communiste dans les événements d’Algérie.
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