samedi 23 février 2019

L'affaire Audin chapitre 2.



L'affaire Audin CHAPITRE 2


12 balles pour Maurice Audin


Vous allez lire le deuxième chapitre du livre l’Affaire Audin écrit par Michel Alain Labet de Bornay sur son blog blogspot.com/, c'est ici.  


Venons au sujet principal de cette histoire, détail parmi les détails de l’histoire de France, l’affaire du camarade marxiste, du sieur et citoyen Français Maurice Audin, né le 14 février 1932 à Béja (Tunisie) et mort à Alger en 1957.
Fils de Louis Audin (1900-1977) et d'Alphonsine Fort (1902-1989), mariés en France en 1923 à Koléa (Département d’Alger), tous deux issus de familles modestes, lui d'ouvriers lyonnais, elle de paysans de la Mitidja. Au moment de la naissance de Maurice, son père est chef de la brigade de gendarmerie de Beja, dans le protectorat français de Tunisie. Après la Tunisie, Louis Audin est affecté en France (Bayonne, Toulouse) puis à Alger.
Fils d'un militaire, le Français Maurice Audin devient enfant de troupe et, en 1943, entre en cinquième à l'école militaire préparatoire de Hammam Righa; en 1946, il est admis à l'école d'Autun dont la devise est: «Pour la Patrie, toujours présents». en 1948, renonçant à une carrière militaire, il revient faire la classe de Mathématiques élémentaires à Alger (au lycée Gauthier). Il fait des études de mathématiques à l'université d'Alger et devient membre du Parti Communiste Algérien en 1950 obtenant sa licence en juin 1953, puis un DES en juillet. Dès février 1953, il est recruté comme assistant du professeur René de Possel, poste dans lequel il est titularisé en 1954. Il travaille aussi sur une thèse sur «les équations linéaires dans un espace vectoriel dans le cadre d'un doctorat d'État de mathématiques».                                                                         En janvier 1953, il se marie avec Josette Sempé (née en 1931) ; ils ont trois enfants : Michèle (1954), Louis (1955) et Pierre (avril 1957).                                                                                Maurice et Josette Audin font partie de la toute petite minorité de crétins Français marxistes-léninistes membres du très illégal et mouvement terroriste le PCA et qui ont constitué à Alger un groupuscule de terroristes marxistes, fabricants et poseurs de bombes. Les chefs de ce groupuscule sont André Moine et Paul Caballero  avec Henri Alleg et une bonne partie du personnel d’Alger Républicain.                                                                                Le PCA est justement  interdit le 13 septembre 1955 et devient une organisation terroriste marxiste clandestine, en relation étroite avec le FLN .                                                                                    Quel que soit la façon dont on présente les choses, l’Algérie étant à l’époque pleinement la France,  le couple Audin et ses complices communistes étaient devenus des traîtres et des terroristes criminel, en effet après cette interdiction du PCA, les dirigeants qui avaient estimé qu’Audin, qui n’avait pas de responsabilités politiques de premier plan et n’était pas forcément fiché, serait plus utile dans un travail discret que dans la «lutte armée» c’est à dire l’action directe de terroriste ; en effet l’Algérie c’était la France et la «lutte» par des Français contre des Français et leur patrie c’était bel et bien du pur terrorisme, outre une trahison. Audin ayant oublié la devise de l’école militaire d’Autun qui lui a payé ses études : «Pour la Patrie, toujours présents». Il hébergea des assassins et autres militants terroristes traqués, stocka de la documentation, des bombes etc. Il participa également à des activités diverses comme par exemple le recel de malfaiteur : l’article 434-6 code pénal en dit: «Le fait de fournir à la personne auteur ou complice d’un crime ou d’un acte de terrorisme puni d’au moins dix ans d’emprisonnement un logement, un lieu de retraite, des subsides, des moyens d’existence ou tout autre moyen de la soustraire aux recherches ou à l’arrestation est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende». L’exfiltration vers les pays «socialistes» du secrétaire général du PCA Larbi Bouhali en septembre 1956 par Audin fut en quelque sorte une affaire de famille, Maurice Audin ayant assuré la logistique avec sa sœur Charlie et son beau-frère Christian Buono. (Christian Buono, fut lui aussi un activiste traître à la France et terroriste rouge militant du Parti communiste Algérien né le 8 décembre 1923 qui a passé une dizaine d’années de sa vie à Constantine. Pendant la deuxième guerre mondiale, en 1941, il entre à l’École Normale de Bouzaréah (Alger) et à sa sortie il est nommé instituteur à Burdeau où il exerce sa profession de propagandiste marxiste de 1945 à 1947. Il se marie en 1947 avec Charlye Audin, sœur ainée de Maurice Audin. Charlye et lui sont enseignants dans des écoles de Tizi-Ouzou, Tigzirt, Mizrana et Makouda. Tous deux reviennent en 1956 à Alger, plus précisément dans la Cité populaire de la Montagne où ils vont exercer leur profession d’enseignants du primaire. Rus aussi deviendront des logeurs des terroristes et autres dirigeants clandestins du Parti communiste Algérien tels que Larbi Bouhali, premier secrétaire, puis Paul Caballero et André Moine. Pendant cette période, Christian Buono aura la charge de rechercher des planques et pour le matériel d’impression des publications clandestines du PCA. C’est dans la demeure de Charlye et Christian qu’André Moine sera arrêté en 1957. Christian Buono le sera également. Emprisonné à Barberousse il sera dans la même cellule qu’Henri Alleg arrêté lui chez Audin qui l’informera de sa dernière rencontre avec Maurice Audin. Transféré ensuite au camp de Lodi où sont internés d’autres activistes rouges et dirigeants terroristes communistes ou nationalistes, Christian y demeurera pendant deux années. En raison d’une augmentation des troubles de sa vue, il obtient, grâce à l’intervention de ses avocats, une assignation à résidence dans son domicile. Mais en 1959 le tribunal permanent des forces armées à Alger, au procès de plusieurs militants communistes poursuivis à la suite de leur soutien actif aux actes terroristes du FLN, le condamne à cinq ans de prison. Son avocat, Maître Matarasso qui milite au Parti communiste français, parvient à lui obtenir de ce tribunal la liberté médicale. Libéré sous condition, Christian Buono parvient à fausser compagnie aux services qui assuraient sa surveillance. Il disparaît, prend le nom de Michel Marchand et poursuit ses actes de terroriste marxiste dans le PCA jusqu’à l’indépendance de l’Algérie. A ce moment-là il reprend aux côtés de son épouse son métier d’enseignant à l’école primaire de la Cité de la Montagne. Elle devient une école modèle que le Premier Président de la République Algérienne, Ahmed Ben Bella, visitera.                                                                                Buono était binational et reconnu comme ancien moudjahid (Autre nom des assassins terroristes du FLN, aujourd’hui on parle de djihadistes).                                                                                A l'indépendance, les Buono avaient choisi de rester en Algérie. Ils ont continué à diriger l'école de La Montagne. L'école a été baptisée Tarek-Ibn-Ziad. En 1966, Boumediene fout tout ce petit monde de djihadistes à la porte de leur «pays». La France récupérera cette bande de malfaiteurs terroristes et les rétribueront grassement avec l’argent des impôts des pieds noirs et des Harkis recueillis. Quelle honte !).                                                                                     En septembre 1956, Maurice Audin avait organisé, avec sa sœur (Charlye, née en 1925, elle aussi communiste) et son beau-frère (Christian Buono, autre coco), l'exfiltration clandestine à l'étranger (en Tchécoslovaquie soviétique) de Larbi Bouhali, premier secrétaire du PCA.                                                                            Quelques mois après, en janvier 1957, est lancée l'opération dite «bataille d'Alger», pour laquelle la 10e Division Parachutiste du général Massu détient les pouvoirs de police dans la zone d'Alger (Le terme de «bataille d’Alger» imposé par les gauchiottes ne me convient pas, comme d’ailleurs il ne conviendra pas au Général Massu qui dira : «Moi, je veux dire que le mot bataille est peut-être un peu excessif ; en fonction de la situation, et du déroulement de cette affaire, qui n’a pas été strictement une bataille militaire telle qu’on les connaît et qu’on les dénomme habituellement. Mais qui a été un ensemble d’actions, autant humaines que policières, auxquelles le comportement du FLN nous a obligés»). Cette unité se livre à des interrogatoires un peu «musclés» une sorte de «question» par la force et aux interrogatoires entre hommes, il y aura bien sur quelques bavures. Le  Général Jacques Massu dira: «dans la guerre moderne, dans la guerre révolutionnaire, quand l’adversaire, ce qui était le cas, emploie le terrorisme comme mode d’action essentiel, les forces dites de rétablissement de l’ordre sont obligées d’employer des procédés, qui ne sont pas des procédés classiques des guerres conventionnelles».                                     En mars 1957, Maurice Audin héberge un autre dirigeant communiste, Paul Caballero, à un moment où celui-ci doit être soigné par un médecin, Georges Hadjadj, membre du Parti Communiste.
Quelques jours après l'attentat terroriste du Casino de la Corniche (3 juin 1957) qui fait 8 morts et 92 blessés avec des bombes fabriquées par le réseau communistes, Hadjadj est arrêté et avoue avoir soigné, au domicile de Maurice Audin, l'un des dirigeants du Parti, l'ouvrier métallurgiste Paul Caballero l’envoyé de Moscou, il dénonce évidemment Audin comme membre du réseau «bombe» d’Alger. Le 11 juin 1957, le terroriste Audin est  arrêté à son domicile par le capitaine Devis, le lieutenant Philippe Erulin et plusieurs militaires du 1er régiment étranger de parachutistes, pour être transféré vers une destination où il est assigné à résidence et subi la «question par force». Souvent tenu sous silence une souricière est installée dans l'appartement de la famille Audin, et Henri Alleg, ancien directeur du journal illégal Alger républicain et dirigeant communiste recherché, y est arrêté le lendemain. À l'exception des militaires, il est le dernier à avoir vu Maurice Audin vivant. La trace de Maurice Audin est dès lors perdue pour ses proches.                                                                                              Cette disparition a des effets considérables : c'est le début de l'affaire Audin.                                                                                               Dans le torchon rouge du sang de plus de cent cinquante millions d’innocentes victimes de l’idéologie criminelle contre l’humanité (cette idéologie est à l’origine de l'Holodomor (9 millions de morts au bas mot) que fin 2006, l'Ukraine a officiellement qualifié de génocide et que le parlement européen a reconnu en 2008 comme un crime contre l'humanité et ce n’est qu’un début camarades! Continuons le combat !). C’est cette idéologie pourrie marxiste et criminelle qui animait le couple Audin ; Donc, dans l'Humanité du 9 juin 2017 on pouvait lire: «Maurice Audin, membre du Parti communiste algérien (PCA) depuis 1950 – il a alors 18 ans –, est arrêté par les parachutistes du 1er RCP, le mardi 11 juin 1957. Il est assassiné, probablement le 21 juin (Audin n’est pas «assassiné» il est décédé et vraisemblablement exécuté pour l’exemple à la suite d’un interrogatoire un peu musclé que Massu dira être «la question par force», les paras cherchant la destruction du groupe de traîtres à la Patrie, les terroristes communistes poseurs de bombes assassins de femmes et d’enfants ou leurs complices islamomarxistes). La version officielle est que le jeune homme se serait évadé lors d’un transfert. Mais, dès 1957 – et a fortiori aujourd’hui –, personne, hors les militaires et quelques responsables politiques marxistes culturels, ne soutient sérieusement cette thèse» (…) «Longtemps, sur la foi de cette enquête, c’est un lieutenant tortionnaire, Charbonnier, qui a été considéré comme coupable de cet assassinat. En 2012, Nathalie Funès, une folliculaire du très marxiste culturel Nouvel Observateur, découvre un document dans lequel un autre nom est avancé, le sergent Garcet. Hypothèse confirmée par le général Aussaresses, au soir de sa vie».
Bon et alors comme nous en finissons avec l’article d’un «journal» marxiste n’hésitons pas pour glorifier les mannes de Maurice Audin à nous exclamer en cœur : «Vive les grands criminels contre l’humanité, Lénine, Staline, Mao, Pol Pot, Robert Mugabe, Castro, Guevara, j’en passe et des meilleurs !».
«L’affaire Audin», devient l’«affaire de la France», alors qu’elle n’est que l’affaire d’un communisme criminel, terroriste et d’un traître à sa patrie.
L’engrenage c’était mis en place le 9 juin 1957. Le docteur Georges Hadjadj, un marxiste-léniniste membre et cadre de l’illégal PCA poseur de bombes, est arrêté. Passé par un interrogatoire musclé, il résiste durant trois jours, mais aurait soi-disant craqué devant la prétendue menace d’interrogatoire de sa femme : il finit, le 11 dans la soirée, par avouer entre autres choses qu’il a soigné Paul Caballero, le grand patron du PCA (agent de Moscou) et des réseaux terroristes de poseurs et fabricants de bombes, cadre dirigeant communiste de l’IC envoyé par Moscou et membre du PC-(F), au domicile de la famille Audin. Les paras s’y précipitent. C’est là, à 23 heures, en présence de sa femme et de ses enfants, que Maurice Audin est arrêté. Sa femme complice proteste mais n’est pas arrêtée, sa fille aînée Michèle – trois ans – donne même des coups de pieds aux paras. Le prisonnier est transporté à El Biar, dans un immeuble «réservé», où déjà l’avocat terroriste Ali Boumendjel était décédé. Là, les «paras», persuadés avec raison d’avoir capturé un «gros poisson», passent immédiatement à la «manière forte». Le docteur Hadjadj est mis en sa présence aux environs d’une heure du matin. Audin a déjà été interrogé, deux heures après son incarcération mais n’a pas encore tout raconté… Henri Alleg est arrêté au domicile d’Audin le lendemain, 12 juin. Dans la soirée, il est mis en présence de son complice et camarade qui invente un dialogue comme il inventera 80% du pamphlet «La question»: «Il faisait chaud. Maurice portait une chemisette. Je revois son visage défait. Son interrogateur l’a amené devant moi et lui a dit : «Audin, dis à ton ami les horreurs qu’on t’a faites hier soir. Ainsi, ça lui évitera de les subir, lui aussi ! «Maurice m’a regardé. Il a juste lâché dans un souffle : «C’est dur, Henri… ». Eh oui c’était dur, encore plus pour les parents des femmes, des enfants, des hommes déchiquetés par les bombes communistes dont Audin était membre du réseau.
Oui Audin terroriste communiste traître à sa parie complice de crimes atroces contre des femmes et des enfants innocents tous Français a subi la gégène, l’interrogatoire par la force, mais il n’en est pas mort, Alleg non plus, comme des centaines d’autres traîtres.
Le 21 juin, le drame atteint son point de non-retour. Les paras auraient tué leur prisonnier. Mais il faut immédiatement maquiller cette action. Une partie de la presse métropolitaine de journalopes merdiatocrasseux de gauche marxiste et socialope bruisse encore des échos de la protestation contre les prétendues exactions des opérations d’Alger commises sous le gouvernement Français socialiste avec François Mitterrand le décoré de la Francisque du Maréchal de France Philippe Pétain étant ministre de l’intérieur. Si des «disparitions» de ce type sont alors nombreuses, il ne s’agit la plupart du temps que de piteux terroristes membres du FLN qui se disaient «soldats», hors dans le cas de «soldats» il arrive malheureusement qu’ils soient tués au combat ce qui n’était pas le cas de Français communistes, juste complices des exactions de cette soi-disant «armée» de terroristes Islamomarxistes. Dans le cas Audin, il s’agit d’un jeune membre d’un réseau de terroristes communistes, certes père de famille et assistant à l’université mais complice d’activité terroriste rouge.                                                La vérité sortira lors des ultimes confidences reçus dans la demeure du général  Aussaresses en 2014 par Jean-Charles Deniau. «La vérité, c’est qu’on a tué Audin», (ça il y a longtemps qu’on le savait mais on ne savait pas par qui et comment) lâche un jour l’ancien commandant de la 10e division parachutiste. Et d’ajouter, après plusieurs hésitations : «Bien sûr, j’ai obéi à Massu». Pourquoi exécuter un jeune homme dont l’engagement dans la rébellion était certes avéré mais somme toute limité ? interroge Deniau. «Pour l’exemple, tranche Aussaresses. Oui, [Massu] a dit, c’est pour les faire réfléchir. Pour qu’ils s’arrêtent de faire des attentats spectaculaires». Selon les faits rapportés par le général Aussaresses, Audin aurait été tué au couteau par l’un de ses sous-officiers, puis enterré de nuit dans l’une des fosses de la lointaine banlieue algéroise. Une version que confirmera, le sergent Pierre Misiri, un ancien para de la 10e division.
Oui, selon le général Aussaresses Massu aurait dit de se débarrasser du traître et pour le moins complice de terrorisme Audin et que cela a été fait pour l’exemple, pour les faire réfléchir. Pour qu’ils s’arrêtent de faire des attentats spectaculaires.
Il reste par contre une partie de l’histoire d’Audin non élucidée, qui Audin a-t-il «vendu» pendant ses interrogatoires ? Et qui sont donc ces «les» et ces «ils» qu’il convient de «faire réfléchir» ?
Ceux qui ont suivis courageusement depuis le début ce sont déjà fait à l’idée que ces «les» et ces «ils» sont des communistes de nationalité Française membres d’une extension de la SFIC devenu le Parti communiste français (PC- F), le fameux Parti Communiste Algérien, le PCA illégal.
Pendant le mois de mai 1955, le dirigeant du FLN Ramdane Abane (considéré comme le dirigeant le plus politique du FLN, surnommé «l'architecte de la révolution» agissait au sein du très islamomarxiste PPA-MTL. Ramdane Abane conduira des rencontres avec ceux qui désiraient participer à la «guerre» pour l'indépendance). Ramdane prépare un accord PCA-FLN qui est négocié par Bachir Hadj Ali (qui avait succédé à Larbi Bouhali au poste de secrétaire général du PCA et qui avait été en 1953 condamné à deux ans de prison par pour atteinte à la sûreté de l'État) et Sadek Hadjerès, afin de maintenir l'autonomie politique du PCA. Il n'admet l'adhésion de communistes au FLN qu'à titre individuel et non en tant que groupe. 
Des militants du PC-(F) envoyé de Moscou  et du PCA créent un réseau de clandestins, les Combattants de la libération (CDL), qui bénéficient du détournement par l’activiste marxiste et traître l'aspirant Maillot d'un camion chargé d'armes.  C’était le 20 juillet 1955 qu’Alfred Sepcelevitius, dit Gerson, cadre du Komintern (Né le 21 juillet 1928 à Paris, fils d’émigrés communistes juifs de Lituanie, jeune érev rav communiste de Paris XVIIIe sorti de l’école Internationale Lénine de Moscou, chargé par l’IC et très secrètement le PC-(F) de la propagande auprès des soldats et du périodique Soldat de France ; en Algérie de septembre 1955 à novembre 1956  Gerson publie dix-sept numéros d’une feuille de La Voix du soldat en direction du contingent français ; arrêté en mars 1957, expulsé en décembre 1958 ; membre de la Fédération de Paris du PC-(F) (1966-1977); grand responsable dans l’administration de l’Humanité et la gestion de la presse du PC-(F), Gerson est envoyé par le PC-(F) en Algérie pour «travailler» avec le terroriste rouge André Moine lui aussi cadre de l’IC à la propagande auprès des soldats français (Il s'agit là d'une des nombreuses activités "secrètes" du PC ce disant Français) Lucien Hanoun dont nous aurons l’occasion de reparler, militant du PCA, sera le principal rédacteur de la feuille marxiste-léniniste clandestine, La Voix des soldats.                                                                                                   Le 12 septembre 1955, le parti communiste est interdit par les autorités de la République. Il essaye alors de se rapprocher de plus en plus du FLN qui n’est que très peu intéressé par les idées rouges des cocos. En été 1955. Constitution effective des Combattants de la Libération, un petit réseau de traitres rouges d’à peine une cinquantaine de terroristes et militants communistes qui se constitue dans l’Ouarsenis en vue de la «lutte armée». Abdelkader Guerroudj lui dirige le CDL d’Alger. Le 13 septembre 1955. Le PCA est interdit, ainsi que l’UJDA, l’UFA et le Secours populaire. Son journal Liberté est interdit, ainsi qu’Alger républicain.                                                                                                                            En octobre. Ouverture de cinq «centres d’hébergement», dont celui de Lodi pour les traitres communistes européens et les autres pour les «musulmans» (dont Berrouaghia et Lambèse). Il y en aura douze en 1958, avec au total 11 000 internés traîtres à la patrie. Début novembre. Parution du journal Liberté clandestin, imprimé dans une villa louée à la demande du PCA par Georges Hadjadj villa qui servira à Audin et Buono pour abriter des terroristes.
En 1956, le PCA est complétement marginalisé par le FLN islamomarxistes, les quelques activistes encore vivants ou en liberté de son groupe piteusement armé, les CDL, ayant rejoint le FLN. C'est ainsi que le camarade Fernand Iveton (Ami d'enfance de son voisin du Clos-Salembier, l'aspirant Maillot) pose une bombe à Alger peu de temps après l'incorporation des CDL dans le FLN.
Il est une évidence oubliée, c’est que les bombes terroristes qui ont tués à Alger étaient toutes des bombes fabriquées, entreposées et souvent posée par les communistes.


Les communistes s’attaquent aux églises d’Alger !

Lire ici cet article de Pierre-Jean Le Foll-Luciani: Extrait : «Jusqu’ici absent de l’université d’Alger, le FLN s’y organise à travers l’UGEMA au même moment que le PCA clandestin. Or, indépendamment de tout contact entre les directions du PCA et du FLN, des étudiants du PCA et du FLN participent immédiatement à des actions clandestines communes. D’après Daniel et Gabriel Timsit, tous deux étudiants en médecine, un réseau mêlant communistes et nationalistes «socialisants» se forme fin 1955, «sans directives, sans dogmatisme» au point d’aboutir, fait exceptionnel, à la création d’un réseau FLN au sein duquel l’organisation communiste conserve son existence autonome (Oui bon d’accord mais le FLN islamiste ne voulait surtout pas des cocos athées) Sans que les frontières soient toujours bien nettes, l’activité de ce réseau se fait au profit du PCA et du FLN et fait circuler des planques (c’était là le rôle d’Audin et de Buono), des chauffeurs, des armes et du matériel clandestin (rôle d’Audin aussi) entre les deux organisations. D’après Daniel Timsit, le dirigeant de l’UGEMA Mohammed Ben Yahia, lorsqu’il aura connaissance de l’existence de ce réseau, demandera aux communistes de ne participer qu’individuellement à l’action du FLN. Il est clair que tous les membres du FLN ne sont pas partisans de cette collaboration : en mars 1956, un tract du FLN distribué à la cité universitaire menace explicitement les communistes, qualifiés (avec juste raison) de «factieux» et d’«agents de division» car ils se réclameraient du FLN pour organiser les étudiants au profit du PCA dans des actions «contre-révolutionnaires et antinationales» (Comme tout ça est bien dit !).


Attentats TERRORISTES en Algérie !

En octobre 1956, l'arrestation de militants communistes d'origine européenne et le démantèlement d'une partie de leur réseau de fabrication de bombes fut l'occasion pour la presse d’Alger de clouer au pilori trois d'entre eux dont Daniel Timsit, médecin à l'hôpital Mustapha d'Alger, Georgio Arbib, ingénieur, et Georges Smadja, étudiant en médecine, leur appartenance communiste fut soulignée par la presse d’Alger qui n'a pas manqué de rappeler leurs accointances avec le Front de libération nationale.
Tous les journaux de l'époque ouvraient leur édition datée du mardi 16 octobre 1956 de la même manière mettant en relief la thèse du complot communiste, remontant jusqu'à l'accord conclu entre le PCA et le FLN en juillet 1956, la désertion du traître communiste dit «l'aspirant félon» Henri Maillot (Sidi Abd El Kader), etc. Rappelons que le FLN était au déclenchement de la rébellion sérieusement préoccupé par la mise en place de structures capables de fournir des armes, des explosifs et autres bombes dont avait besoin leurs terroristes fellaghas, c'est à quoi s'était attelé Abane Ramdane. Il fit alors appel aux premiers communistes qui avaient rallié le FLN et qui constitueront en quelque sorte les premiers chimistes parmi lesquels figurait Georgio Arbib. Quant au docteur Daniel Timsit, il n'était pas inconnu des services de police puisqu'il était recherché depuis le 6 mai de la même année à la suite de l'explosion d'une bombe dans un placard du pavillon Pasteur à l'hôpital Mustapha. Bombe au fulminate de mercure qu'il avait lui-même fabriqué dans une villa appartenant à un de ses parents à Bouzaréah sur les hauteurs d'Alger. Tout le groupe ainsi constitué fut en quelque sorte convoyé et installé par Ali Hadj Ali qui était à l'époque étudiant à l'Ecole supérieure de commerce d'Alger et ancien des Scouts musulmans d'Algérie (SMA) et du PPA qui avait été chargé par Abane de trouver un endroit discret pour la mise en place de ce laboratoire clandestin. Ali Hadj Ali prit alors attache avec une de ses connaissances Abdelaziz Bensadok comme lui ancien des SMA, afin qu'il mette à la disposition de l'organisation la ferme familiale qu'il occupait avec sa mère à Birkhadem plus exactement dans le quartier de Sidi Embarek. Le lieu assez isolé se prêtait bien à l'installation d'un laboratoire de fabrication d'engins explosifs destinés aux traîtres communistes les «alliés» des rebelles du FLN. Malheureusement, au moment où le laboratoire allait devenir pleinement opérationnel, les services de police ont eu vent de son existence et procédé à son démantèlement. La presse de l'époque en relatant les faits écrits en première page avaient bien pris le soin de souligner que ce fut après l'arrestation de Mokhtar Bouchafa le «donneur» que le réseau de fabrication de bombes avait été découvert. La Dépêche quotidienne d'Algérie écrivait dans son édition du 16 octobre 1956 : «Installée (la fabrique de bombe) par les communistes, elle était dirigée par 3 Européens». «Tous recevaient leurs ordres d'un certain Hocine et du docteur Hadjerès conseillé, communiste de Maison Carrée». (Sadek Hadjerès était le principal dirigeant des terroristes communistes du PPA, il était chez Audin le 13 septembre 1955. Toute cette petite bande de terroristes marxistes d’Alger se connaissaient bien. Par exemple le militant du Parti Communiste Algérien, le docteur Georges Counillon qui s’était porté volontaire, à la demande de Larbi Ben M’Hidi, un des six dirigeants du FLN, pour monter un hôpital auprès des fellouzes des Aurès. Il quitta, au mois de décembre 1955, l’hôpital psychiatrique de Blida (HPB) où il exerçait en qualité d’interne auprès du docteur Frantz Fanon. Le témoignage est de madame J. Audin la veuve du traitre marxiste Maurice. Âgé de 25 ans, il était marié et père d’un enfant. Son épouse était institutrice à Blida. Né à Bab el Oued où sa mère était directrice d’école, il fit ses études à Alger. A l’université d’Alger, il connut Maurice et Josette Audin (dont il fut le voisin, en 1954, à la rue de Nîmes), les frères Daniel et Gabriel Timsit, Salah Mohamed Saïd, Georges Hadjadj, étudiants en médecine comme lui. A la cellule des étudiants communistes, il connut Smaïl Bendjabellah, Abdelaziz Benmiloud. A Blida, il militait à la section du PCA avec Ali Longo, Abdelkader Hannachi, Abdelkader Babou, Odet Voirin, Bachir Korchi, Célestin Moréno, et d’autres militants qui participèrent au transport, vers les rebelles fellaghas de la zone qui deviendra la wilaya 4, des armes détournées, le 4 avril 1956, par le traître Henri Maillot (le 05/04/56 le communiste Henri Maillot, comptable à Alger-Républicain, incorporé comme aspirant dans l’armée Française vole et livre un chargement d'armes aux rebelles. 97 fusils, 85 mitraillettes, 90 pistolets, 12 caisses de grenades et munitions passent ainsi aux mains des hors-la-loi. Quelques jours à peine après son arrivée dans les Aurès, sans avoir eu le temps de remplir la tâche de traître et de lâche crapule communiste pour laquelle il s’était engagé auprès de la direction du FLN, il connut une mort bien méritée au cours d’un rapide combat le 5 juin 1956 dans une embuscade tendue par les supplétifs (harkis) de l’armée française, menée par le Bachagha Boualem, dans la région d’El Karimia (Chlef)).                                                                                       Les journaux ouvraient leurs articles en soulignant la participation de traitres communistes à «l'œuvre de mort entreprise par le FLN», ce qui signifiait la «participation effective de Français dans des attentats perpétrés de sang-froid contre des Français».                                                                         Lorsque l’on fabrique une bombe, ce n’est pas pour faire joujou, c’est pour semer consciemment la mort, le réseau des terroristes communistes était très bien structuré par des fabricants comme Timsit, des receleurs comme Audin et des poseuses de bombes, redoutables comme Danièle Minne car on ne pouvait concevoir qu’une française puisse un jour attenter à votre vie. La lâcheté à l’état pur, un jour 4 bombes fabriquées et placées par les Communistes explosent dans des Eglises (la Cathédrale d'Alger, Saint Vincent de Paul à Bab-el-Oued, Ste Marie de Mustapha et au Sacré-Cœur.
Grace à la «balance» Mokhtar Bouchafa le laboratoire d'explosifs des communistes est découvert à Birkadem : Sept arrestations, dont celle d'un Italien, Georgio Arbib, (communiste juif érèv Rav) et deux Français : Daniel Timsit, (communiste juif  érèv Rav) interne à l'Hôpital civil de Mustapha, et Georges Smadja, (communiste juif  érèv Rav) étudiant en médecine.
La poseuse de bombes Annie Steiner est arrêté elle aussi (madame Steiner née Fiorio le 7 février 1928 en France à Marengo, arrondissement de Blida, département d’Alger n’a jamais fait partie du Parti Communiste, mais c’était une juriste (licenciée en droit) aux idées marxistes et une communiste «cachée» membre de l’IC. La camarade Fiorio s'engagera dans les fameux «centres sociaux» fondés par Germaine Tillon, qui cachaient le réseau bombes des communistes «travaillants» pour le FLN et dirigé par Yacef Saadi. Arrêtée le 15 octobre 1956, elle est condamnée en mars 1957 par le Tribunal des Forces Armées d'Alger à seulement cinq ans de réclusion pour aide au FLN, et incarcérée à la prison de Barberousse, le Suisse Rudolf Steiner, architecte, son époux, furieux à juste titre d’apprendre son appartenance au FLN, demandera le divorce et l’obtient. Plus tard, la garde de ses deux fillettes lui sera, elle aussi, retirée. Elle est libérée en 1961).
Quant à madame Germaine Tillion elle est ethnologue. Madame Tillion bien que plutôt de gauche sera une vrai résistante de la première heure.  En 1934 il lui est proposé une mission dans l'Aurès, pour étudier l'ethnie berbère des Chaouis. Sa seconde mission dans les départements Français d’Algérie prend fin en mai 1940 et elle arrive à Paris le 9 juin, en pleine débâcle de l'armée française. Peu après l’armistice, elle recherche d'autres personnes ayant le même point de vue de résistants qu'elle et prend contact avec Paul Hauet, colonel en retraite devenu industriel, anti pétainiste de longue date ; elle trouve aussi des sympathies au Musée de l'Homme (Réseau du musée de l'Homme : Yvonne Oddon, Paul Rivet...). Après le retour à Paris de Boris Vildé (juillet) et d'Anatole Lewitsky (août), s'établit un réseau autour de Paul Hauet et Boris Vildé, avec pour objectifs l'assistance aux prisonniers de guerre notamment africains, le renseignement militaire et la propagande (journal Résistance, publié à partir de décembre 1940). Germaine Tillion ne participe pas à Résistance, elle est surtout l'adjointe de Paul Hauet dans le cadre de l'Union nationale des Combattants coloniaux (UNCC), qui sert de couverture à leurs activités. À la fin de l'année 1940, elle donne les papiers de sa famille à une famille juive qui sera ainsi protégée jusqu'à la fin de la guerre. Le réseau est démantelé en 1941 : arrestations en janvier-mars de Boris Vildé, Anatole Lewitsky et d'autres personnes du Musée de l'Homme, puis en juillet de Paul Hauet et de Charles Dutheil de La Rochère. Germaine Tillion devient alors responsable de ce qui reste du réseau. En janvier 1942, le procès contre Vildé, Lewitsky, Oddon, etc. aboutit à sept exécutions pour espionnage. Amie des Lecompte-Boinet, elle entre en contact avec Combat Zone Nord et par Jacques Legrand, avec un groupe lié à l'Intelligence Service, le réseau Gloria. Mais celui-ci est infiltré par un agent de l'Abwehr, Robert Alesch, un prêtre maudit, vicaire de La Varenne-Saint-Hilaire (à Saint-Maur-des-Fossés), qui réussit à livrer de nombreux résistants, dont, le 13 août 1942, Germaine Tillion, lors d'un rendez-vous à la gare de Lyon. Après un passage rue des Saussaies, elle est incarcérée à la prison de la Santé, subissant quatre interrogatoires (par l'Abwehr) en août et trois en octobre. Inculpée pour cinq chefs d'accusation, elle est transférée à Fresnes. Le 21 octobre 1943, intégrée dans la catégorie NN, Germaine Tillion est déportée sans jugement et emmenée avec 24 autres prisonnières de Fresnes au camp de Ravensbrück, au nord de Berlin, par train de voyageurs (sans passer par le camp de Compiègne). Placée dans la catégorie des Verfügbar (de l'allemand verfügbar : disponible), prisonniers non affectés à un Kommando de travail, mais «disponibles» pour les pires corvées, elle réussit à échapper pendant plusieurs mois à tout travail pénible, et utilise toutes ses capacités pour comprendre le monde dans lequel elle se trouve. En mars 1944, elle fait clandestinement une conférence pour quelques-unes des déportées françaises.
Catholique et Gaulliste madame Tillion était tentée par les idées marxistes. Seulement voilà, à Ravensbrück elle fait la connaissance de Margarete Buber Neumann née Thüring (Juive érèv rav Allemande  qui dans les années 1920, adhère au Parti communiste d'Allemagne parti sous contrôle total du Komintern et de l'URSS, puis stalinisé. Elle épouse Rafael Buber, fils du philosophe et communiste Martin Buber. Elle devient en 1928 employée d'Inprekorr. Le couple Buber a deux filles, puis  divorce en 1929. Elle vit ensuite avec Heinz Neumann, l'un des leaders du parti communiste allemand. En 1932, Heinz Neumann s'oppose à Staline sur la stratégie à suivre vis-à-vis du Parti Social Nationaliste des Travailleurs Allemands le NSDAP successeur du DAP (Parti ouvrier allemand) parti qui aurait pourtant dû lui plaire, puisque son chef le chancelier élu Adolph Hitler dira dans son discours du 1er mai 1927 : «Nous sommes socialistes, et ennemis du système économique capitaliste actuel, qui exploite les économiquement faibles, avec ses salaires injustes, qui évalue un être humain selon sa richesse et ses biens et non selon la responsabilité et la performance, et nous sommes déterminés à détruire ce système à tout prix».  Joseph Goebbels dira lui en 1928 dans une brochure sociale nationaliste : «Nous sommes contre le marxisme, mais pour un vrai socialisme ! Nous sommes pour le premier État national allemand de nature socialiste !». Heinz Neumann est alors mis à l'écart. Le couple est toutefois envoyé en Espagne par le Komintern. Avec l'arrivée des nazis socialistes nationaux allemands au pouvoir, ils doivent se «réfugier» à Moscou, où ils arrivent en 1935. En avril 1937, Heinz Neumann juif érev rav pour changer est victime des Grandes Purges staliniennes tellement antisémites, humanistes et démocratiques que s’en est un vrai plaisir et est porté disparu (Il n’y avait pas qu’Audin à être porté disparu pour des raisons politiques). Margaret Buber-Neumann est arrêtée à son tour en juin 1938, par le NKVD le merveilleux et juste Commissariat du peuple aux Affaires intérieure.                                                                                                                                       Lors d'un juste procès humaniste et démocratique, elle est accusée d'immondes activités contre-révolutionnaires d’ennemi du peuple, condamnée à seulement cinq années d'emprisonnement dans un camp de travail et déportée à Karlag, goulag de Karaganda, au Kazakhstan, où elle passe deux années dans des superbes conditions d’une vraie socialiste qui travaille dur pour la révolution marxiste et la gloire du prolétariat. En 1940, lorsque un des plus grands criminel contre l’humanité d’alors, le camarade marxiste Staline s’étant admirablement entendu avec son «ami» socialiste Adolph Hitler, livre à l'Allemagne nazie les juifs et les communistes allemands réfugiés en Union soviétique, Margarete Buber-Neumann est extradée, après deux années de camp de concentration du goulag. Elle est remise avec plusieurs milliers d’autres juifs à la Gestapo sur le pont de Brest-Litovsk et internée au camp d’extermination nazi de Ravensbrück. Elle y passe cinq ans. Elle s'y lie d'amitié avec l'ethnologue française Germaine Tillion. Madame Buber-Neumann, lui apprend alors ce qu'est le système marxiste-léniniste et communiste humaniste, démocratique et pacifiste qui inclut intrinsèquement des camps de concentration de l'enfer du Goulag.  Si madame Tillion avait été tentée par le communisme elle en sera dégoûtée à jamais. Comme quoi il suffit de pas grand-chose pour devenir moins con !                                                   Revenue vivante des camps de la mort, en 1950, son maître et ami, Louis Massignon lui écrit «Avez-vous abandonné l’Afrique ?».                                                                                                                            Quatre ans plus tard, il la persuade de retourner en Algérie en décembre 1954, accomplir une mission officielle pour enquêter sur le sort des populations civiles dans les Aurès, là où elle avait mené ses recherches avant-guerre, et où se déroulent les premiers affrontements de ce qui va devenir les «évènements» d’Algérie.                                                                                                                                      Elle renoue alors avec ceux dont elle avait partagé la vie vingt ans plus tôt. Elle est atterrée par la dégradation de leurs conditions de vie, qu’elle qualifie de «clochardisation» : «La clochardisation, c’est le passage sans armure de la condition paysanne (c’est à dire naturelle) à la condition citadine (c’est-à-dire moderne). J’appelle «armure» une instruction primaire ouvrant sur un métier. En 1955, en Algérie, j’ai rêvé de donner une armure à tous les enfants, filles et garçons».      L’accroissement démographique du fait de la médecine occidentale, la raréfaction des parcelles, l’irruption de l’économie monétaire et l’exode rural qui a détruit les structures sociales sont autant de facteurs à l’origine de cet appauvrissement. Germaine Tillion explique avec une grande naïveté que le passage d’une société archaïque et rurale à une urbanisation moderne a été trop brutal et que seule l’instruction pourrait y remédier. Madame Germaine Tillion va tenter d’abord de remédier aux situations dont elle a constaté la gravité. Au terme des deux mois de mission, elle accepte, en février 1955 de rester en Algérie au Cabinet du nouveau Gouverneur général, Jacques Soustelle, comme elle ethnologue et résistant de la première heure, pour concevoir et mettre en œuvre des réformes. Elle se consacre à monter en neuf mois un projet socio-éducatif à l’intention des plus démunis : ruraux appauvris et habitants des bidonvilles. Les Centres sociaux doivent offrir aux jeunes et aux adultes, femmes et hommes, des services concrets (dispensaire, secrétariat social, coopérative…) articulés à des actions éducatives (alphabétisation, formation professionnelle, sanitaire,…).
Si madame Germaine Tillion une grande résistante n’a jamais fait partie du parti communiste, ce n’est pas faute de ses idées éminemment socialisantes et naïves (j’ai trop de respect pour madame Tillion pour le traiter d’abrutile, mais souvent les idées nauséabondes marxistes culturelles arrivent à faire de personnes honnêtes et patriotes des idiots utiles qui ne l’appréhende pas). C’est la faute d’une simple rencontre avec une cadre du PC Allemand comme on vient de le voir.                                                               
Le drame est que ces «centres sociaux» deviendront particulièrement et rapidement à Alger des centres de terrorisme. Bien qu’elle s’en défende, la poseuse de bombe communiste Annie-Virginie-Blanche Fiorio-Steiner y est arrêtée elle aussi avec les membres communistes du réseau. La camarade Fiorio c’était engagée dans les fameux «centres sociaux» fondés par Germaine Tillion, qui cachaient le réseau bombes des communistes Français de Moine, Caballero, Audin etc. etc. «travaillants» pour le FLN et «dirigé» par Yacef Saâdi adjoint de Larbi Ben M'hidi, le chef du F.L.N. pour la zone autonome d'Alger dont le principal tueur sera Ali la Pointe un petit truand plusieurs fois condamné, pour vol d'effets militaires en 1943, pour viol en 1950, pour coups et blessures volontaires et violences à agent en 1952, pour tentative d'homicide en 1953 puis en 1954 etc. Fin 1955, Ali la Pointe est introduit auprès de Yacef Saâdi, ex apprenti boulanger dans la Casbah, aujourd’hui dit «El Kho» (corico ?) de son nom de «guerre». (En 1945, Saâdi avait rejoint le Parti du peuple algérien (PPA), parti inspiré par l’IC (Internationale communiste et Parti en France) et devenu islamomarxiste avec Messali Hadj. PPA interdit par les autorités françaises auquel succéda le Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD) toujours autant islamomarxiste. De 1947 à 1949, Yacef Saâdi «sert» dans l'aile paramilitaire du MTLD, l'Organisation spéciale (OS) dépourvue d’armes hormis quelques vieux fusils de chasse, couteaux de cuisine et arme de poing rouillés. Après le démantèlement de l'OS, il se rend en France où il vit jusqu'en 1952, puis retourne en Algérie, où il reprend son métier de boulanger dans la Casbah. En 1954, il est présenté à Rabah Bitat, un des responsables du CRUA, qu'il héberge. Par ce canal il rencontre Amar Ouamrane et Krim Belkacem. Leur mission consiste à la création du réseau de la zone autonome d'Alger en tant que conseillers politique et militaire de toute la zone algéroise. En 1955, il est expédié par Ramdane Abane en Suisse où il doit rencontrer des rebelles du Caire, les planqués, ceux de l'«extérieur», et notamment Boudiaf, parce que l' «intérieur» a besoin d'armes, d'argents, de postes radios, etc. Abane charge Yacef d'un autre message : «ceux qui tiennent la rébellion de l'intérieur auront priorité sur ceux qui logent dans les hôtels», à l'étranger. Expulsé en avril 1955 par les autorités helvétiques, arrêté à son arrivée à Orly par la DST, transféré début juin à la prison de Barberousse à Alger, il est gentiment libéré en septembre contre la promesse d'informer la DST sur les activités du FLN à Alger, l’agent double Saâdi va «donner» aux services français tous ses anciens «amis», les messalistes notoires de la Casbah rivaux du FLN.                                                                                                     Il échappe à la vigilance des services de renseignement et plonge dans la clandestinité. Le 24 septembre 1957, les parachutistes du général Massu l’arrêtent. La découverte de sa cachette dans une maison située au cœur de la Casbah, a été rendue possible par la multiplication des infiltrations au sein des filières du FLN et particulièrement avec l’élimination du réseau communiste et des cas comme celui d’Audin ou d’Alleg qui avaient «parlés» en juin 1957. Le capitaine Yves Godard utilisait de plus ceux que l'on appelait les «bleus de chauffe», des anciens fellaghas retournés, et qui renseignaient les parachutistes français.                                                                                                                             Cette stratégie et l’élimination du réseau «communiste», permet l'élimination des principaux chefs du FLN à Alger. Ainsi, Larbi Ben M'Hidi est arrêté le 23 février 1957 puis exécuté le 3 mars. Abane Ramdane et Krim Belkacem sont contraints de fuir courageusement d’Alger et de se réfugier en Tunisie. Enfin, le 24 septembre, Yacef Saadi et Zohra Drif sont arrêtés en plein cœur de la Casbah. Le 8 octobre, suivant, les parachutistes font exploser  au 5, rue Abderrahmane la cache du proxo terroriste et assassin Ali La Pointe, Hassiba Ben Bouali, Mahmoud Bouhamidi et de Petit Omar, qui refusent de se rendre).
Revenons au début ou le maquereau et assassin Ali Lapointe après l'exécution de certaines figures de la pègre locale suspectées d'être des indicateurs, tels Rafai Abdelkader dit Bud Abbott et Hocine Bourtachi dit Hacène le Bonois, Ali met li feu, il «sème la terreur» dans la casbah, en y faisant «appliquer les strictes consignes musulmanes révolutionnaires, islamomarxistes du FLN comme l'interdiction de boire de l'alcool ou de fumer».
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Le 30 septembre 1956, deux bombes dites avec juste raison  «communistes» explosent dans deux établissements publics d'Alger, le Milk Bar et la Cafétéria, faisant quatre morts et cinquante-deux blessés, posées respectivement par Zohra Drif (madame Zohra Bitat-Drif lorsqu’elle était étudiante aux frais de la communauté Française toute entière avait outre des idées «nationalistes» mais aussi marxistes et c’est évidemment sans surprise que c’est par l’intermédiaire de Boualem Oussedik dit Boualem Taibi membre du Parti Communiste Algérien qu’elle obtiendra un contact avec le FLN. Oussedik est souvent cité comme «animateur politique» sorte de commissaire politique  du groupe de chimistes communistes du réseau terroriste «bombes» à Alger.
Comme de tout temps, les socialistes, les communistes sont des terroristes et des assassins potentiels ! En déposant des bombes, les terroristes s’attaquaient non à l’armée dite «d’occupation», mais à des civils innocents. Albert Camus écrira : «Quelle que soit la cause que l’on défend, elle restera toujours déshonorée par le massacre aveugle d’une foule innocente où le tueur sait d’avance qu’il atteindra la femme et l’enfant».
Chez Riposte Laïque en 2017 madame  Danièle Lopez une pied noir écrit : «Cette «aide» (des communistes en grande majorité Européens dont le sinistre Audin au FLN) très active se résumait à leur confectionner et leur apprendre à confectionner des bombes, à entraîner les «rebelles» au maniement des armes et, surtout, à effectuer eux-mêmes les basses besognes quand il le fallait. C’est-à-dire de poser, eux-mêmes, les bombes, de leur fournir les armes qui tuaient tant de nos compatriotes français et, surtout… tant de nos petits gars du contingent qui subissaient les pires barbaries lorsqu’ils tombaient dans les embuscades des terroristes. Ces communistes-là, il faut le dire, ont autant de sang de Français sur les mains que les terroristes du FLN. Mais, sachant qu’ils tuaient leurs compatriotes, avec autant de délectation, vous comprendrez aisément que nous leur en voulions plus encore qu’aux arabes (Tous musulmans). Et nous leur en voulons d’autant plus que les motivations de ces communistes n’avaient absolument rien à voir avec les motivations des arabo-musulmans-algériens. Si vous préférez, c’était comme si deux guerres nous étaient livrées par deux ennemis bien distincts, en même temps. Les premiers voulaient faire, de l’Algérie, une terre islamique (Ce qui peu à la rigueur se concevoir mais alors restez chez vous et ne venez pas nous gonfler avec vos coranneries). Il fallait que, dans cette partie du Maghreb qui n’avait pas encore été «libérée» des chrétiens et des juifs, l’islam règne en maître absolu. Le Maroc, la Tunisie, la Libye et jusqu’à l’Egypte de Nasser, étaient devenus, depuis peu, des pays islamiques. Tout le reste de l’Afrique pouvait suivre en utilisant les mêmes procédés mais, avant tout, il fallait que plus aucun chrétien et juif ne subsiste dans le pays (À part les juifs érev rav qui étaient tous communistes). Les seconds, les communistes, voulaient instaurer le communisme en Algérie.                                             Les communistes n’ont jamais compris la réelle motivation des arabes. Ils en étaient à des années lumières.                               Eux, se prenaient pour les «Robin des bois» des peuples qu’ils estimaient opprimés. En Algérie, il voulaient, par leur combat contre la France et les Français – qu’ils tuaient sans remords – «rendre» la terre aux indigènes (ce qu’ils ont fait à l’indépendance en collectivisant les terres provoquant un échec économique monstrueux et une immigration colossale qui en est la conséquence)  et y créer un régime communiste dans lequel, forcément, ils régneraient en maîtres. Ils ont essayé mais les Algériens-nouveaux les ont virés comme des malpropres. Dans leurs petites têtes, abruties de l’idéologie dominante marxiste et de bourrage de crâne, ils devaient libérer les Algériens du joug de la France. Mais chacun sait que l’intelligence n’est pas le point fort du communiste en général et du communiste français, en particulier. D’ailleurs, nous retrouvons les mêmes erreurs et les mêmes méfaits, aujourd’hui, dans leur obstination du vivre-ensemble, de l’accueil des clandestins et, surtout, de leur hargne contre ceux qui dénoncent l’islamisme rampant qui s’insinue dans notre pays. Oui, bien sûr, ils ont trouvé des «idéologues» du même acabit dans les partisans socialistes, qu’ils soient démocrates ou libéraux. Ceux-là, aussi, ont grandement participé aux actes terroristes en Algérie. Et si, ensemble, ils ont été d’une aide sans faille au terrorisme islamique, en Algérie, ils reproduisent la même folie, chez nous, 63 ans plus tard.  C’est à partir de 1955 que, jusqu’ici absent de l’université d’Alger, le FLN s’y organise à travers l’UGEMA au même moment que le PCA clandestin (Neuf mois après le déclenchement de la rébellion, un Congrès constitutif se tient à la salle de la Mutualité, à Paris sous l’obédience bienveillante des cocos Français et des moscoutaires de l’Internationale Communiste, signant la naissance de l’Union Générale des Etudiants Musulmans Algériens (UGEMA). Dans les années 1920 déjà, des étudiants nourris à la mamelle de la gueuse ou du Socialisme Internationaliste (à ne pas confondre avec le Socialisme National ou nazisme ; quoique ?), s’organisent dans l’Association des Etudiants Musulmans de l’Afrique du Nord (AEMAN), créée en 1919 à Alger. C’est encore une fois à Paris, qu’en 1927  naît l’Association des étudiants musulmans nord-africains (l’AEMNAM), rassemblant les étudiants maghrébins en France. Et c’est à la faveur d´une motion votée à l’unanimité par les étudiants de l’AEMAN, le 27 février 1955 à Alger, qu’est lancée l’initiative de la création d’une nouvelle organisation estudiantine algérienne permettant aux étudiants de participer dans un cadre organique à la rébellion qualifiée par les communistes de «guerre de Libération nationale». Cette organisation sera nommée UGEMA. Dans les cahiers d'Histoire on trouve cette phrase remarquable : «l'AGEA – alors pris en main par une communiste cachée, Annie Steiner» Tiens donc ! Sadek Hadjerès, ancien responsable du Parti Communiste Algérien répondant à la Question (la bonne) : «Comment avez-vous connu Maurice Audin?».                                                                               Répondra : «Je l’ai connu en tant que membre du Parti communiste algérien (PCA), auquel nous avons adhéré à la même période, au début des années cinquante. Il était surtout très actif au sein de la cellule Langevin des étudiants communistes, mais il fréquentait aussi La Robertsau (foyer des étudiants musulmans de l’université d’Alger, ndlr). Il était très proche de l’Association des étudiants musulmans d’Afrique du Nord (AEMAN), qui deviendra l’Union générale des étudiants musulmans algériens (Ugema) en 1955. Je dois dire qu’il était, parmi une dizaine d’autres étudiants communistes (Rebbah Noureddine, Mohammed-Saïd Salah, Ahmed Inal, Abdelhafid Ihaddaden, etc.) parmi les plus actifs et engagés dans la lutte pour l’indépendance de l’Algérie. Maurice Audin, en particulier, était un militant remarquable et intelligent, avec une grande capacité d’écoute et d’analyse».
Je me suis toujours interrogé sur le «communisme» qui est sans aucun doute une religion séculière. Le communisme est une «religion séculière», expliquait Raymond Aron dès 1944, ou une «idéologie millénariste officielle»; ou, simplement, une «religion laïque», c'est-à-dire sans croyance en un Dieu surnaturel, ni en une autre vie après la mort.
A mon avis qui dit Religion dit  ESR ou «Maladie du Fou de «dieu» (Qui est généralement plutôt grand)  et qui persiste à l'état endémique dans toute les régions du monde traditionnellement monothéistes, soit essentiellement l'Europe, le bassin méditerranéen et les Amériques ainsi que sur le net. Cette dégénération du cerveau résulte de l'absorption de Farines Religieuses. Ce redoutable substitut d'éducation est souvent donné aux enfants des zones touchées par la maladie, avant qu'ils n'aient pu atteindre le développement complet de leur intellect et les effets sont alors dévastateurs. Qui n'a jamais vu ces images terribles de foules de jeunes au cerveau spongieux acclamant en levant les bras un vieillard impotent qui radote des absurdités sur la sexualité ou sur l'économie mondiale ? Ou ces groupes de mâles au cerveau spongiforme qui s'enferment pour la vie dans un enclos jurant pauvreté, abstinence sexuelle et obéissance à vie ? Ou encore ces gens qui lisent une phrase banale d'un vieux bouquin du genre «Allah fit X.., «Dieu» vit que cela était bon» avant de commencer à glousser d'émerveillement en levant les yeux au ciel et même pour certains le cul en l’air ? La dégénération du cerveau entraîne une perte sélective de l'esprit critique. Ainsi, le patient se met à croire à tout ce que disent les gens qui portent des chapeaux bizarres (ou des torchons de cuisine sur la cafetière ou des  turbans noirs dans certains cas). Le sujet devient victime de manipulations mentales: les enturbannés ou les porteurs de chapeaux bizarres le convainquent facilement de commettre des actions contre son intérêt bien compris: renoncement à une vie sexuelle saine, paiement d'impôts ecclésiastiques, «dons» à des pervers sexuels pédophiles parlant d'une voix mielleuse, actes terroristes qui t’apportera 72 vierges à niquer pour l’éternité etc. Il faut vraiment être con non ?
Les sectateurs communistes membres de la religion séculière marxiste devenue aujourd’hui marxiste culturelle sont beaucoup plus cons que les autres un peu comme les technocrates socialopes qui ont fait l’ENA. C’est une impression générale, hors le communiste est totalement brindezingue, taré, fou, malade mental car le communisme correspond à une peur bleue de l’autre, une peur que l’autre soit meilleur que soi, donc il faut nier ses qualités (celles de l’autre qui le rendent supérieur) sinon on risque d’être moins bon et c’est cela que les cocos ne supportent pas. Cela tient à la fois de l’immaturité et du complexe d’infériorité. On le voit bien dans la volonté des cocos de supprimer toutes différences entre les hommes et même entre les peuples. Cette hystérie de l’égalité en est la meilleure preuve. Le fait qu’ils se posent toujours aussi en protecteur du faible. Comme si les forts étaient un danger pour la société alors que ce sont eux qui permettent à la société de vivre en la nourrissant et en la protégeant. De plus cette conclusion permet de beaucoup mieux comprendre l’appel de Jean Paul II (attention lui aussi avait un chapeau ridicule) aux Polonais, le fameux «n’ayez pas peur»… La peur est le début du trouble mental un des symptômes émotionnels ou comportemental qui se caractérise chez le communisme par une perturbation de la réflexion, de l'humeur. La peur entraine aussi l’apparition de symptômes cognitifs (difficulté à raisonner normalement, croyances anormales) ou du comportement (le comportement agressif caractérise bien le coco qui a la trouille) qui ne rentre plus dans le cadre des normes.
Ceci étant dit, nous ne saurions plus avoir de doute sur l’appartenance de monsieur (du croyant) Audin au réseau bombe terroriste d’Alger. Mais de plus, il semble bien que ce soit les communistes terroristes qui aient été les organisateurs de l’affaire ! Il n’a jamais semblé étrange aux historiocrates socialopes écrivaillons de «l’histoire» bidonnée des «événements» d’Algérie qu’elle était toute entière téléguidée par Moscou et l’IC (Internationale Communiste) ! 


Vous venez de lire le deuxième chapitre de l’affaire Audin. Audin traître à la France, terroriste rouge complice de crime contre l’humanité comme tout bon communiste. Vous voulez toujours en savoir plus sur cette AFFAIRE Audin pour lire au Chapitre 3 : L’internationale Communiste et les évènements d’Algérie. Vous en saurez plus sur la réalité du rôle joué par l’Internationale Communiste dans les événements d’Algérie.


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